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La vague française de 1954:

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13 octobre 1954, Toulouse, Midi-Pyrénées:

Référence pour ce cas: 13-oct-54-Toulouse.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Rapports:

[Ref. lon1:] JOURNAL "L'OISE-MATIN":

Scan

ETRES MYSTERIEUX ET
PLANTES EVOLUEES...

...sont-ils les pilotes
des soucoupes volantes?

D'après les derniers rapports de témoins venus hier grossir, d'une façon devenue habituelle, le dossier des "soucoupes volantes", celles-ci sont:

- 1. Phosphorescentes et pilotées par des êtres minuscules qui plantent sur terre des graines mystérieuses;

- 2. Des torpilles de quatre mètres renfermant des êtres velus;

- 3. Des sphères lumineuses d'où descendent des scaphandriers de l'espace, de petite taille;

- 4. Des engins pouvant réaliser 300.000 kilomètres à la seconde et pilotés par des plantes intelligentes surveillant les progrès de l'humanité.

Ce sont plusieurs chasseurs de la commune de Saint-Ambroix, dans le Gard, qui avancent la théorie des mystérieux planteurs. Ces chasseurs ont déclaré à la presse qu'ils ont aperçu récemment sept êtres minuscules "dont la forme rappelait vaguement celle d'un corps humain."

Lorsque les chasseurs tentèrent de s'approcher de ces êtres, ces derniers, disent-ils, se précipitèrent vers un engin phosphorescent, qui s'envola aussitôt.

Les chasseurs ne précisent pas la forme de l'engin; ils affirment, par contre, qu'ils découvrirent, à l'endroit de l'envol de celui-ci, un certain nombre de graines d'aspect bizarre, qu'ils firent examiner par des grainetiers. Ceux-ci se trouvèrent dans l'impossibilité de les classer dans une espèce connue.

Rencontre nocturne

C'est avec un "mystérieux individu velu" sortant d'une torpille qu'un employé de la gare de Montluçon, M. Laugère, fit, dit-il, une curieuse rencontre, dimanche soir.

M. Laugère a précisé qu'il quittait son travail et traversait les voies à proximité du pont de la S.N.C.F., lorsqu'il vit, déclara-t-il, un engin métallique posé à peu de distance d'un réservoir de gas-oil destiné à l'alimentation des autorails. A côté de l'appareil, qui avait la forme d'une torpille et pouvait avoir quatre mètres de long, se trouvait, a ajouté M. Laugère, un homme tout couverts de poils "à moins qu'il ne fut vêtu d'un manteau à poil un peu longs."

Surpris je lui ai demandé ce qu'il faisait mais il m'a répondu en termes intelligibles où il me semble à distinguer cependant les mots "gas oil", a déclaré en substance le cheminot.

Un scaphandrier de petite taille, avec une tête grosse par rapport au corps, deux yeux énormes. Telle est la description qu'a fait avant-hier soir un Toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage descendu, dit-il, vers 19 h. 35, d'un engin sphérique qui venait de se poser sur un terrain vague.

M. Olivier, un industriel, était, dit-il, accompagné d'un employé, M. Perano, et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années lorsque l'engin, lumineux et de couleur rougeâtre, se posa. Les témoins virent ensuite, disent-ils, venir vers eux le personnage dont le scaphandre brillait comme du verre.

Des plantes
nous surveillent?...

Enfin, pour le savant Hermann Oberth, constructeur des tristement célèbre "V-2", les "pilotes des soucoupes sont des plantes douées de raison."

Selon Oberth, qui a exposé avant-hier cette théorie a un correspondant de l'A.F.P., les "Uranides" - nom dont il a baptisé ces plantes - ont des milliers d'années d'avance sur les hommes terriens tant en ce qui concerne leur évolution spirituelle que leur technique.

Les "Uranides", affirme Oberth, se déplacent dans des "soucoupes" capables d'atteindre à une vitesse proche de celle de la lumière: 300.000 kilomètres à la seconde.

Ils survolent la terre, conclut le savant, pour surveiller les progrès de l'humanité dans les sciences atomiques parce que ces progrès "représentent, dit-il, un danger pour l'ensemble du cosmos."

[Ref. lln1:] JOURNAL "LE LORRAIN":

Scan.

La chronique quotidienne (et variée) des soucoupes

Les papiers secrets du Martien
espion n'étaient que feuillea
volantes abandonnés au vent

Paris. -- Le dossier des soucoupes volantes s'est encore augmenté de plusieurs témoignages, dont l'un venant d'un habitant de Leguevin (Haute-Garonne) a fait penser quelques heures aux gendarmes et aux autorités militaires qu'ils se trouvaient en présence ni plus ni moins d'une affaire d'espionnage!

M. Jean Marty, 42 ans, se précipita mercredi matin à la brigade de gendarmerie pour faire part aux représentants de la loi de son étrange découverte.

"Je travaillais hier soir dans mon atelier, en bordure de la route de Toulouse, lorsque j'aperçua, non loin de Leguevin, une sorte de disque lumineux qui semblaient flotter dans les airs. J’ai alors couru vers lui car il n'était pas à plus de 5 mètres du sol, mais dès que j'approchai, il s'éleva sans bruit, à la verticale et disparut.

"Intrigué, je m'approchai de l'endroit où il avait dû se poser et mon attention fut tout à coup à attirée au milieu des champs par deux feuillets de papier glacé blanc couverts de lettres d'imprimerie. Je les ramassai soigneusement: les voici."

"Mais, c’est du Chinois!"

Les gendarmes se penchèrent, intrigués, sur les pièces à conviction. Les feuillets, type format commercial, n'était ni souillés, ni humides, ni froissés, mais d'une netteté absolue, comme s'ils venaient d'être arrachés d'une brochure neuve.

"Mais c'est du chinois!" s'exclama l'un des gendarmes. Heureusement, Leguevin compte parmi ses habitants un brave militaire en retraite et polyglotte, M. Maggy. On alla le consulter, il fut formel: "C'est un texte écrit dans un dialecte annamite, le Kug-No. Les feuilles sont numérotés 9-10 et 59-60: Elles proviennent d'une brochure reproduisant en off-set un document tapé à la machine. Mais attention, conclut gravement M. Maggy, je ne comprends pas tout: il est question du vietminh et du Vietnam".

Cette affirmation péremptoire suffit à déclencher une véritable enquête, la gendarmerie confiant à l'autorité militaire les deux feuillets révélatrice sans doute d'une importante affaire d'espionnage entre les Martiens, les Indochinois et les Français.

Ne laissez pas traîner vos papiers

C'est la sécurité aérienne qui prit la chose en main et la mena rondement. On convoqua un traducteur dûment qualifié qui, après quelques instants d'examen, retint difficilement une irrésistible envie de rire. "Ces feuillets proviennent d'une brochure éditée par les services du prince Buu-Loc; elles ont sans doute été laissées à Leguevin par des Vietnamiens venus y faire un pique-nique!..."

Les étudiants vietnamiens sont, en effet, particulièrement nombreux à Toulouse, et Leguevin située à une vingtaine de kilomètres et à proximité des régions [?] du Gers, offre aux Toulousains un but de promenade recherché pendant le week-end.

Quant au texte ultra-secret, il traite d'arrivée de poissons dans les ports indochinois!

Moralité : ne laissez pas traîner vos papiers!

Le choc d'un industriel toulousain

La région de Toulouse, semble, du reste, être un terrain de prédilection pour les pilotes de soucoupes, car cette affaire d'espionnage était à peine fermée que M. Olivier, industriel à Toulouse, mettait à nouveau en émoi les autorités.

Mercredi, à 19 h. 35, dans un faubourg de la ville, M. Olivier a vu un scaphandrier de 1 mètre environ avec une grosse tête et deux yeux énormes qui est descendu d'un engin sphérique dans un terrain vague. Le personnage vint vers lui et son scaphandre brillait comme du verre. Au bout d'une minute il regagna son appareil et du se courber pour monter dedans. Il disparut dans le ciel à une vitesse prodigieuse en laissant un sillage de feu.

"Ca fait un fameux choc", a conclu M. Olivier, encore sous le coup de l'émotion.

Le Martien de Montluçon ne connaît qu'une expression: gas-oil!

M. Laugère, cheminot à la gare de Montluçon, a attendu plusieurs jours pour raconter son aventure car il avait peur que ses camarades se moquent de lui. Mais comme il a vu dans les journaux qu'une rencontre avec un Martien n'était plus tellement exceptionnelle, il s'est décidé à parler.

Son histoire remonte à dimanche soir. M. Laugère traversait les voies à proximité du pont de la S.N.D.F., sur la rivière "Le Cher", lorsqu'il vit un engin métallique posé à peu de distance d'un réservoir de gas-oil destiné à l'alimentation des autorails. A côté de l'appareil qui avait la forme d'une torpille et pouvait avoir quatre mètres se trouvait un homme tout couverts de poils à moins qu'il ne fut vêtu d'un manteau à poils un peu long.

M. Laugère, surpris, lui demanda à ce qu'il faisait. L'inconnu lui répondit en termes inintelligibles mais le cheminot sembla cependant distinguer les mots "gas-oil".

Le cheminot voulu retourner à la gare pour donner l'alerte, mais à peine avait-il fait cent mètres qu'il vit l'appareil s'élever à la verticale sans bruit.

[Ref. vdn1:] JOURNAL "LA VOIX DU NORD":

Scan.

Toulouse, à son tour
se passionne pour
les soucoupes volantes

Toulouse, 14. (A.P.). -- Il s'est produit hier, à Toulouse, un événement tellement extraordinaire que toute la ville en parle.

Celui qui en fut témoin, M. Olivier, n'est pas un illuminé. Il est propriétaire des établissement Javel Neto, ainsi que d'une maison, sise au 102 de la rue des Fontaines. C'est en traversant son jardin, alors qu'il rentrait chez lui, vers 19 h. 30, qu'il aperçut à environ 80 mètres, une sorte de boule lumineuse, de couleur rougeâtre, posée sur le sol, devant un tronc d'arbre, à proximité d'un terrain de football limitrophe.

Il s'en fut bientôt alerter un voisin, M. Pérano, pour lui faire constater le phénomène. Mais quelle ne fut pas la stupéfaction des deux hommes en voyant se mouvoir, près de la boule lumineuse, une forme humaine qui, bien que ne mesurant pas plus d'un mètres vingt environ, dépassait l'engin de la hauteur d'une tête. Le mystérieux personnage était vêtu d'une sorte de scaphandre de couleur orange.

M. Olivier s'empressa de dessiner sur une porte voisine la silhouette du "Martien", estimant, non sans raison, que c'était là le moyen le plus sûr de se la graver dans la mémoire. Un appareil photographique eut certainement mieux fit l'affaire, mais M. Olivier n'en avait pas un sous la main -- non plus, d'ailleurs, que M. Pérano -- et l'étrange inconnu ne lui eut pas laissé le temps d'aller en chercher un. Soit pour échapper à l curiosité dont il était l'objet, soit pour toute autre raison connue de lui seul, il se courba pour pénétrer dans sa boule. Celle-ci s'éleva immédiatement dans le ciel à une allure que les deux témoins de la scène n'ont pas hésité à qualifier de vertigineuse, laissant derrière elle une traînée d'étincelles d'un effet saisissant.

L'un des témoins a assuré que la soucoupe étit entourée de reflets irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard. Il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que, lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il avait été violemment jeté à terre.

Une enquête est en cours pour tâcher d'élucider certains points encore obscurs de cere apparition.

Des traces huileuses auraient été relevées, ce matin, à l'endroit indiqué par les témoins.

[Ref. jps1:] JOURNAL "LE JOURNAL DU PAS-DE-CALAIS ET DE LA SOMME":

Scan.

UN SCAPHANDRIER
aux yeux énormes,
descendu d'un engin
mystérieux apparaît
à trois Toulousains

Toulouse, 14. -- Un scaphandrier de petite taille et, avec une tête grosse par rapport au corps, deux yeux énormes, telle est la description que vient de faire un Toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage, descendu d'un engin sphérique qui venait de se poser sur un terrain vague.

M. Olivier, propriétaire des établissements Javel-Meto, rue des Fontaines, à Toulouse, était accompagné d'un employé, M. Perano, et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années. Tous trois virent se poser l'engin lumineux, de forme sphérique et de couleur rougeâtre. Puis ils aperçurent venir vers eux un personnage dont le scaphandre, aux dires des témoins, brillait comme du verre.

Par la suite, M. Olivier, ancien pilote d'aviation, dessina à la craie, d'une manière saisissante, sur une porte, le scaphandrier.

"Je n'y croyais pas, ajouta M. Perano, mais je l'ai vu comme je vous vois. Cela fait un sacré choc."

Après un temps très court, environ une minute, le scaphandrier regagna la sphère lumineuse qui s'envola à la verticale, sans bruit et disparut dans le ciel à une vitesse prodigieuse en laissant un sillage de feu.

Des traces huileuses ont été relevés ce matin en plusieurs endroits du terrain vague, situé dans un faubourg de Toulouse.

Selon les déclarations de trois témoins, l'engin mystérieux, piloté par un personnage vêtu d'un scaphandre, ce serait posée sur ce terrain hier, à 19 h. 25.

La police de l'Air a interrogé ces trois personnes, qui ont maintenu leur déclaration en précisant que le mystérieux individu, mesurant environ 1 m. 20, dépassait l'engin de la tête et devait, par conséquent, se courber pour y pénétrer.

L'un des témoins a assuré que la soucoupe était entourée de reflets irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard. Il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que, lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre.

LA SUITE EN PAGE 8

Scan.

Les soucoupes

(Suite de la première page)

LES "MARTIENS ONT
PEUR DES TERRIENS"...

Nîmes. -- Plusieurs chasseurs de la commune de Saint-Ambroix (Gard) auraient récemment aperçu sept êtres minuscules dont la forme rappelait vaguement celle d'un corps humain. Lorsqu'ils tentèrent d'approcher les êtres se précipitèrent vers un engin phosphorescent qui s'envola aussitôt.

A l'emplacement où se trouvaient les pilotes de la soucoupe volante, les chasseurs découvrirent sur le sol un certain nombre de graines d'aspect bizarre, qu'ils firent examiner par des grainetiers. Ceux-ci se trouvèrent dans l'impossibilité de les classer dans une espèce connue.

LES "URANIDES" DU
CONSTRUCTEUR DES "V-2"

Hambourg. -- "Les pilotes des "soucoupes volantes" son des plantes douées de raison" - telle est la théorie qu'à exposée à un correspondant de l'Agence France Presse le professeur Hermann Oberth, inventeur et constructeur de la célèbre fusée V-2.

Selon le savant allemand, les "Uranides" (tel est le nom dont il baptise ces plantes) ont des milliers d'années d'avance sur les hommes terriens, tant en ce qui concerne leur évolution spirituelle que leur technique. La patrie d'origine des "Uranides" serait une planète où n'existe pas d'oxygène à l'état gazeux, ce qui interdit le développement d'une vie animale. Les plantes, par contre, tirent l'oxygène qui leur est nécessaire d'oxyde contenu dans le sol.

La planète en question se trouverait en dehors du système solaire […] de celle de la lumière (300.000 kms à la seconde).

Ceux de ces engins vu au-dessus de la terre seraient chargés de surveiller les progrès de l'humanité terrienne dans les sciences atomiques parce que ces progrès "représentent un danger pour l'ensemble du cosmos".

[Ref. cpd1:] JOURNAL "LE COURRIER PICARD":

Scan.

LES "SOUCOUPES"
évoluent maintenant
dans le Sud de la France

et l'on a vu des "Martiens"
à Toulouse et dans le Gard

TOULOUSE, 14 octobre. -- M. Jean Marty, 42 ans, habitant Leguevin (Haute-Garonne), a déclaré qu'il avait vu dans la nuit de mardi à mercredi, se poser au milieu d'un champ un disque lumineux mesurant de 6 à 7 mètres de diamètre et 2 m. 50 de hauteur, le disque était de couleur orange.

M. Marty travaillait vers 22 h. 30, dans son atelier situé sur la route de Toulouse, en face d'un champ, à 1 km. 300 de Leguevin. En levant la tête, il aperçut un jet lumineux.

Intrigué, il est sorti, a traversé la route et s'est dirigé vers le disque qui s'est alors élevé dans les airs, sans bruit, verticalement, et a disparu à une vitesse prodigieuse.

M. Marty a gagné le milieu du champ afin d'examiner l'endroit où l'engin avait atterri. Il n'y relevé aucune trace mais a trouvé, posés sur l'herbe, deux feuillets de papier glacé, blancs, couverts de lettres d'imprimerie.

Les feuillets n'étaient ni souillés, ni humides, ni froissés, mais d'une netteté absolue comme s'il venaient d'être arrachés d'une brochure neuve. M. Marty les a remis à la gendarmerie. Ils ont été examinés par un ancien militaire qui a passé de longues années en Indochine et qui vit retiré à Leguevin, M. Maggy. Celui-ci a déclaré qu'il s'agissait d'un texte en kuoc-nu, dialecte annamite, et que ce texte traitait des questions intéressant le Vietminh et le Vietnam. Il a été établi ensuite qu'il s'agissait d'extraits d'un journal vietnamien, sans doute déposés à cet endroit par des Indochinois qui y ont campé. Il y a, en effet, dans la région de Toulouse, de nombreux Indochinois.

Suite en 2e page sous le titre

LES SOUCOUPES

Scan.

LES SOUCOUPES

(Suite de la 1re page)

D'autre part, des traces huileuses ont été relevées ce matin en plusieurs endroits d'un terrain vague situé dans un faubourg de Toulouse.

Selon les déclarations de trois témoins, un engin mystérieux piloté par un personnage vêtu d'un scaphandre, se serait posé sur ce terrain hier à 10 h. 35.

La police de l'Air a interrogé ces trois personnes, parmi lesquelles figue un industriel, qui ont maintenu leurs déclarations en précisant que le mystérieux individu, mesurant environ 1 mètre 20 dépassait l'engin de la tête et devait, par conséquent, se courber pour y pénétrer.

L'un des témoins a assuré que la "soucoupe" était entourée de reflet irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard. Il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que, lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre.

Des "Martiens" dans le Gard

NIMES, 14 octobre. -- Plusieurs chasseurs de la commune de St-Ambroix (Gard), auraient récemment aperçu sept êtres minuscules dont la forme rappelait vaguement celle d'un corps humain. Lorsqu'ils tentèrent d'approcher, les êtres se précipitèrent vers un engin phosphorescent, qui s'envola aussitôt.

A l'emplacement où se trouvaient les occupants de la "soucoupe", les chasseurs découvrirent sur le sol un certain nombre de graines d'aspect bizarre, qu'ils firent examiner par des grainetiers. Ceux-ci se trouvèrent dans l'impossibilité de les classer dans une espèce connue.

[Ref. pce1:] JOURNAL "LE POPULAIRE DU CENTRE":

Scan.

Une "soucoupe volante" atterrit à Toulouse et trois témoins voient débarquer un être étrange

A Montluçon, un cheminot interpelle un "Martien"

Toulouse, 14 octobre (A.F.P.). -- Un scaphandrier de petite taille avec une tête grosse par rapport au corps, des yeux énormes, telle est la description que vient de faire un Toulousain, M. Oliver, d'un mystérieux personnage descendu d'un engin étrange qu'il a vu se poser hier à 19 h. 15, sur un terrain vague.

M. Olivier, propriétaire des établissement Javel Netto à Toulouse était accompagné d'un employé, M. Perano, et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années. Tout trois virent se poser l'engin lumineux, de forme sphérique et de couleur rougeâtre, puis aperçurent venir vers eux ce "personnage" dont le scaphandre, selon les dires des témoins, brillait comme du verre.

Par la suite, M. Olivier dessina à la craie d'une manière approximative, sur une porte, le scaphandrier. "Je n'y croyais pas, assure M. Perano, mais je l'ai vu tout comme je vous vois. Cela fait un sacré choc."

Après un temps très court, environ une minute, le scaphandrier regagna sa soucoupe volante qui s'envola à la verticale sans bruit dans le ciel à une vitesse prodigieuse en lançant un sillage de feu.

En raison de la nuit aucune constatation n'a pu être faite à l'endroit où se serait posé l'engin.

Près du Cher à Montluçon

Le dossier des soucoupes volantes s'est augmenté de plusieurs témoignages dont le plus important semble être celui d'un employé de la gare de Montluçon, M. Laugère, qui prit contact dimanche soir, avec un individu sorti d'un appareil en forme de torpille.

M. Laugère quittait son travail et traversait les voies à proximité du pont de la S.N.C.F. sur la route "Le Cher" lorsqu'il vit un engin métallique posé à peu de distance du réservoir de gas oil destiné à l'alimentation des autorails. A côté de l'appareil qui avait la forme d'une torpille et pouvait avoir quatre mètres de diamètre, se trouvait un homme, tout couvert de poils, à moins qu'il ne fût vêtu d'un manteau à poils un peu long.

M. Laugère, surpris, lui demanda ce qu'il faisait. L'inconnu lui répondit en termes inintelligibles, mais le cheminot sembla cependant distinguer les mots "gas oil".

M. Laugère ne lui en demanda pas d'avantage et s'en alla alerter ses camarades. A peine avait-il fait cent mètres, qu'il vit l'appareil s'élever à la verticale sans aucun bruit. Il disparut bientôt à ses yeux. Seule la crainte de l'ironie de ses camarades l'avait empêché, jusqu'à aujourd'hui, de conter son aventure.

Une "soucoupe" en Corrèze

M. Jean-Pierre Bartarange, cultivateur à La-Roche-de-Vic, commune d'Albussac (Corrèze) a aperçu une soucoupe volante qui lançait des feux de plusieurs couleurs. Elle volait à assez faible altitude.

[Ref. ler1:] JOURNAL "L'EST REPUBLICAIN":

La chronique quotidienne (et variée) des soucoupes

Les papiers secrets du Martien espion n'étaient que feuilles volantes abandonnées au vent

Paris. -- Le dossier des soucoupes volantes s'est encore augmenté de plusieurs témoignages, dont l'un émanant d'un mécanicien de Léguevin (Haute-Garonne), a fait penser à quelques heures aux gendarmes et aux autorités militaires qu'ils se trouvaient en présence ni plus ni moins d'une affaire d'espionnage!

M. Jean Marty, 42 ans, se précipita mercredi matin à la brigade de gendarmerie pour faire part aux représentants de la loi de son étrange découverte.

"Je travaillais hier soir dans mon atelier, en bordure de la route de Toulouse, lorsque j'aperçus, non loin de Léguevin, une sorte de disque lumineux qui semblait flotter dans les airs. J'ai alors couru vers lui, car il n'était pas à plus de 5 mètres du sol, mais dès que j'approchai, il s'éleva sans bruit à la verticale et disparut.

"Intrigué, je m'approchai de l'endroit où il avait dû se poser et mon attention fut tout à coup attirée au milieu du champ par deux feuillets de papier glacé blanc couverts de lettres d'imprimerie. Je les ramassai soigneusement: les voici".

"Mais, c'est du chinois!"

Les gendarmes se penchèrent, intrigués sur les pièces de conviction. Les feuillets, type format commercial, n'étaient ni souillés, ni humides, ni froissés, mais d'une netteté absolue, comme s'ils venaient d'être arrachés d'une brochure neuve.

"Mais c'est du chinois!" s'exclama l'un des gendarmes. Heureusement Léguevin compte parmi ses habitants un brave militaire en retraite et polyglotte, M. Maggy. On alla le consulter, il fut formel: "C'est un texte écrit dans un dialecte annamite, le Kuoc-Nn. Les feuilles sont numérotées 9- 10 et 59-60, elles proviennent d'une brochure reproduisant un off-set, un document tapé à la machine. Mais attention, conclut gravement M. Maggy, je ne comprends pas tout il est question du Vietminh et du Vietnam".

Cette affirmation péremptoire suffit à déclencher une véritable enquête, la gendarmerie confiant à l'autorité militaire les deux feuilles révélatrices sans doute d'une importante affaire d'espionnage entre les Martiens, les Indochinois et les Français.

Ne laissez pas traîner vos papiers

C'est la sécurité aérienne qui prit la chose en mains et la mena rondement. On convoqua un traducteur dûment qualifié qui, après quelques instants d'examen, retint difficilement une irrésistible envie de rire. "Ces feuilles proviennent d'une brochure éditée par les services du prince Buu-Loc, elles ont sans doute été laissées à Léguevin par des Vietnamiens venus... y faire un pique-nique!" Les étudiants Vietnamiens sont, en effet, particulièrement nombreux à Toulouse, et Léguevin, situés à une vingtaine de kilomètres et à proximité des régions boisées du Gers, offre au toulousains un but de promenade recherché pendant leur week-ends. Quand au texte ultra secret, il traite d'arrivages de poissons dans les ports indochinois! Moralité: ne laissez pas traîner vos papiers!

Le choc d'un industriel toulousain

La région de Toulouse semble, du reste, être un terrain de prédilection pour les pilotes de soucoupes, car cette "affaire d'espionnage" était à peine classée que M. Olivier, industriel à Toulouse, mettait à nouveau en émoi les autorités. Mercredi, à 19h35, dans un faubourg de la ville, M. Olivier a vu un scaphandrier de 1m20 environ, avec une grosse tête et deux yeux énormes, qui est descendu d'un engin sphérique posé dans un terrain vague. Le personnage vint vers lui et son scaphandrier brillait comme du verre. Au bout d'une minute, il regagna son appareil et dut se courber pour monter dedans. Il disparut dans le ciel à une vitesse prodigieuse en laissant un sillage de feu. "Ca fait un fameux choc", a conclu M. Olivier, encore sous le coup de l'émotion.

Le Martien de Montluçon ne connaît qu'une expression: gas-oil!

M. Laugère, cheminot à la gare de Montluçon, a attendu plusieurs jours pour raconter son aventure, car il avait peur que ses camarades se moquent de lui. Mais comme il a vue dans les journaux qu'une rencontre avec un Martien n'était plus tellement exceptionnelle, il s'est décidé à parler. Son histoire remonte à dimanche soir, M. Laugère traversait les voies à proximité du pont de la S.N.C.F. sur la rivière "Le Cher", lorsqu'il vit un engin métallique posé à peu de distance d'un réservoir de gas-oil destiné à l'alimentation des autorails. A côté de l'appareil, qui avait la forme d'une torpille et pouvait avoir quatre mères, se trouvait un homme tout couvert de poils, à moins qu'il ne fût vêtu d'un manteau à poils un peu longs! M. Laugère, surpris, lui demanda ce qu'il faisait. L'inconnu lui répondit en termes inintelligibles mais le cheminot sembla cependant distinguer les mots "gas-oil". Le cheminot voulut retourner à la gare pour donner l'alerte, mais à peine avait-il fait cent mètres qu'il vit l'appareil s'élever à la verticale, sans bruit.

[Ref. lae1:] JOURNAL "L'ALSACE:"

Scan.

Au dossier des soucoupes volantes

Un industriel toulousain fait un croquis d'un "Martien" avant que celui-ci ne disparaisse

Toulouse, 14 octobre. -- Il s'est produit hier à Toulouse un événement tellement extraordinaire, que toute la ville en parle.

Celui qui en fut témoin, M. Olivier, n'est pas un illuminé. Il est propriétaire d'une usine, et ancien pilote d'avion.

C'est en traversant un jardin, alors qu'il rentrait chez lui, qu'il aperçut à environ 80 mètres, une sorte de boule lumineuse, de couleur rougeâtre, posée sur le sol, devant un tronc d'arbre, à proximité d'un terrain de football limitrophe.

Il s'en fut aussitôt alerter un voisin, M. Perano, pour lui faire constater le phénomène. Mais quelle ne fut pas la surprise des deux hommes, en voyant se mouvoir, près de la boule lumineuse, une forme humaine, de petite taille et vêtue d'une sorte de scaphandre de couleur orange. Un autre témoin se joignit alors aux deux hommes.

Sans perdre la tête, M. Olivier s'empressa de dessiner sur une porte voisine la silhouette du "Martien", estimant non sans raison que c'était là le moyen le plus sûr de se la graver dans la mémoire. Un appareil photographique eût certainement mieux fait l'affaire, mais M. Olivier n'en avait pas sous la main - non plus d'ailleurs que M. Perano - et l'étrange inconnu ne lui eût pas laissé le temps d'aller en chercher un.

Soit pour échapper à la curiosité dont il était l'objet, soit pour toute autre raison connue de lui seul, il pénétra dans sa boule, et celle-ci s'éleva immédiatement dans le ciel à une allure que les deux témoins n'ont pas hésité à qualifier de vertigineuse, laissant derrière elle une traînée d'étincelles d'un effet saisissant.

Une enquête est en cours pour tâcher d'élucider certains points encore obscurs de cette nouvelle manifestation des relations interplanétaires.

La police de l'air a interrogé ces trois personnes. L'un des témoins a

(Lire la suite en page 3)

Scan.

Au dossier des soucoupes volantes

(Suite de la 1ère page)

assuré que la soucoupe était entourée de reflets irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard. Il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que, lorsque l'engin s'était élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre.

Selon le professeur Oberth:

Les "pilotes" des soucoupes seraient des plantes douées de raison

Hambourg, 13 octobre. -- "Les pilotes des "soucoupes volantes" sont des plantes douées de raison". Telle est la théorie qu'a exposée à un correspondant de l'Agence France-Presse le professeur Hermann Oberth, inventeur et constructeur de la célèbre fusée "V-2".

Selon le savant allemand, les "uranides" (tel est le nom dont il baptise ces plantes) ont des milliers d'années d'avance sur les hommes terriens tant en ce qui concerne leur évolution spirituelle que leur technique. La patrie d'origine des uranides serait une planète où n'existe pas d'oxygène à l'état gazeux, ce qui interdit le développement d'une vie animale. Les plantes, par contre, tirent l'oxygène qui leur est nécessaire d'oxydes contenus dans le sol.

La planète en question se trouverait en dehors du système solaire, mais les engins mystérieux dans lesquels se déplacent les plantes intelligentes pourraient se déplacer à une vitesse proche de celle de la lumière (300.000 kilomètres à la seconde).

Ceux de ces engins vus au-dessus de la terre seraient chargés de surveiller les progrès de l'humanité terrienne dans les sciences atomiques parce que ces progrès "représentent un danger pour l'ensemble du cosmos".

"Non-lieu" officiel dans l'affaire de Metz

Metz, le 14 octobre. -- Comme suite à l'enquête qui avait été ouverte par l'autorité militaire après la parution d'informations annonçant que les soldats chargés du maniement d'un phare installé à la foire de Metz avaient aperçu dimanche soir un cercle lumineux mystérieux, le gouvernement militaire publie le communiqué suivant:

"Il est fait état dans la presse de l'observation d'engins inconnus par un poste des forces anti-aériennes déployé à la foire-exposition de Metz. Il n'y a pas lieu de prendre en considé-

[Ref. vmr1:] JOURNAL "VAR-MATIN - REPUBLIQUE":

Descendu d'un engin mystérieux, un scaphandrier de petite taille, mais aux yeux énormes, apparaît à trois toulousains

Les pilotes des soucoupes sont des plantes douées de raison" déclare le constructeur des V2.

Toulouse, 14 octobre. -- Un scaphandrier de petite taille avec une tête grosse par rapport au corps, deux yeux énormes, telle est la description que vient de faire ce soir, un toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage, descendu d'un engin sphérique qui venait de se poser sur un terrain vague.

M. Olivier, propriétaire des établissements Jaret Netis, rue des Fontaines à Toulouse, était accompagné d'un employé, M. Perano et un jeune garçon d'une quinzaine d'année.

Tous trois virent se poser l'engin mystérieux, de forme sphérique et de couleur rougeâtre. Puis ils aperçurent venir vers eux, le personnage, dont le scaphandre, aux dires des témoins, brillait comme du verre. Par la suite, M. Olivier, ancien pilote d'aviation, dessina à la craie, d'une manière saisissante, sur une porte, le scaphandrier. "Je n'y croyait pas, dit M. Perano, mais je l'ai vu comme je vous vois, cela fait un sacré choc".

Après un temps assez court, une minute, le scaphandrier regagna la sphère lumineuse, qui s'en alla à la verticale, sans bruit dans le ciel à une vitesse prodigieuse en lançant un sillage de feu.

Des traces

Des traces huileuses, ont été relevées ce matin en plusieurs endroits du terrain, selon les déclarations des témoins, l'engin se serait posé la veille sur ce terrain à 19h35.

La police de l'Air a interrogé ces trois personnes qui ont maintenu leurs déclarations. En précisant que le mystérieux individu mesurant environ 1,20 m, dépassait l'engin de la tête, par conséquent se courbait pour y entrer.

L'un des témoins a assuré que la soucoupe était entouré de reflet irisé et émettait autour d'elle un léger brouillard.

Il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres, par une force paralysante. Lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violement jeté à terre.

Etrange contact près de la gare de Montluçon

Le dossier des soucoupes volantes s'est augmenté de plusieurs témoignages dont le plus important semble être celui d'un employé de la gare de Montluçon, M. Laugère, qui prit contact dimanche soir, avec un individu sorti d'un appareil en forme de torpille.

M. Laugère quittait son travail et traversait les voies à proximité du pont de la SNCF, lorsqu'il vit un engin métallique posé à peu de distance du réservoir de Gas-oil destiné à l'alimentation des autorails. A côté de l'appareil qui avait la forme d'une torpille et pouvait avoir quatre mètres de diamètre, se trouvait un homme, tout couvert de poils, à moins qu'il ne fût vêtu d'un manteau à poils un peu long.

M. Laugère, surpris, lui demanda ce qu'il faisait. L'inconnu lui répondit en termes inintelligibles, mais le cheminot sembla cependant distinguer les mots "Gas-oil".

M. Laugère ne lui en demanda pas d'avantage et s'en alla alerter ses camarades. A peine avait-il fait cent mètres, qu'il vit l'appareil s'élever à la verticale sans aucun bruit. Il disparut bientôt à ses yeux. Seule la crainte de l'ironie de ses camarades l'avait empêché, jusqu'à aujourd'hui, de conter son aventure.

Le disque n'a pas atterri...

Un second témoignage a été recueilli: celui d'un jeune homme de 17 ans, Marc Germain, habitant Pontault, qui a déclaré au commissariat de cette localité, qu'il avait aperçu dans la nuit, pendant environ une demi-heure, un engin qui était à son avis, une soucoupe volante. Cet engin se trouvait dans le ciel à 200 ou 300 mètres d'altitude et avait la forme d'un disque très brillant. Il resta trente minutes immobile puis partit à une vitesse vertigineuse, laissant derrière lui une traînée de feu. Le jeune homme déclara qu'il n'avait pas alerté plus tôt le commissariat car il avait tenu à rester sur place au cas où la soucoupe aurait atterri.

Une boule dans le ciel de la Creuse

A St Marc-de-Lombaud (Creuse), des habitants de Vallières ont aperçu, dans la nuit de lundi à mardi, une boule blanche qui se déplaçait dans le ciel. La boule changea de couleur, disparut et réapparut avant de disparaître définitivement.

Un simple ballon

Par contre, une mise au point vient d'être faite aujourd'hui par une personne, concernant la "soucoupe" qui fut aperçue au-dessus de la région de St André, à la limite du Eure de l'Eure et de l'Eure et Loire, samedi vers 18h30.

Mme Amonts de Groth-Soret a affirmé que l'objet n'était qu'un simple ballon. "Un dessin, dit-elle, paraissait peint en couleur rouge sur le sommet du ballon et des cordages maintenant la nacelle".

Sept minuscules êtres aperçus dans le Gard...

Plusieurs chasseurs de la commune de St Ambroise (Gard) auraient récemment aperçu sept êtres minuscules dont la forme rappelait vaguement celle d'un corps humain. Lorsqu'ils tentèrent d'approcher, les êtres se précipitèrent vers un engin phosphorescent qui s'envola aussitôt.

A l'emplacement où se trouvaient les pilotes de la soucoupe volante, les chasseurs découvrirent sur le sol un certains nombres de graines d'aspect bizarre qu'ils firent examiner par des grainetiers. Ceux-ci se trouvèrent dans l'impossibilité de les classer dans une espèce connue.

Les "pilotes" sont des plantes:

Hambourg - "Les pilotes des "soucoupes volantes" sont des plantes douées de raison". Telle est la théorie qu'a exposée à un correspondant de l'Agence France Presse, le Professeur Hermann Oberth, inventeur et constructeur de la célèbre fusée "V.2".

Selon le savant allemand, les "Uranides" (tel est le nom dont il baptise ces plantes) ont des milliers d'années d'avance sur les hommes terriens tant en ce qui concerne leur évolutions spirituelle que leur technique. La patrie d'origine des Uranides serait une planète où il n'existe pas d'oxygène à l'état gazeux, ce qui interdit le développement d'une vie animal. Les plantes par contre, tirent l'oxygène qui leur est nécessaire d'oxydes contenus dans le sol.

La planète en question se trouveraient en dehors du système solaire, mais les engins mystérieux dans lesquels se déplacent les plantes intelligentes pourraient se déplacer à une vitesse proche de celle de la lumière (300 000 km/s). Ceux de ces engins vus au-dessus de la terre seraient chargés de surveiller les progrès de l'humanité terrienne dans les sciences atomiques parce que ces progrès "représentent un danger pour l'ensemble du cosmos".

[Ref. nnm1:] JOURNAL "LE NOUVEAU NORD MARITIME":

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ENCORE DEUX HISTOIRES
DE "SOUCOUPES"
FANTASTIQUES

Sept nains

Nîmes, 14. -- Plusieurs chasseurs de la commune de St-Ambroix (Gard) auraient récemment aperçu sept êtres minuscules dont la forme rappelait vaguement celle d'un corps humain. Lorsqu'ils tentèrent d'approcher, les êtres se précipitèrent vers un engin phosphorescent, qui s'envola aussitôt.

A l'emplacement où se trouvaient les pilotes de la soucoupe volantes, les chasseurs découvrirent sur le sol un certain nombre de graines d'aspect bizarre, qu'ils firent examiner par des grainetiers. Ceux-ci se trouvèrent dans l'impossibilité de les classer dans une espèce connue.

Une force paralysante

Toulouse, 14. -- Des traces huileuses ont été relevées ce matin en plusieurs endroits d'une terrain vague situé dans un faubourg de Toulouse.

Selon les déclarations de trois témoins, l'engin mystérieux, piloté par un personnage vêtu d'un scaphandre, se serait posé sur ce terrain, hier, à 19 h. 35.

La police de l'Air a interrogé ces trois personnes, parmi lesquelles figure un industriel, qui ont maintenu leur déclaration en précisant que le mystérieux individu, mesurant environ 1 m. 20 dépassait l'engin de la tête et devait, par conséquent, se courber pour y pénétrer.

L'un des témoins a assuré que la soucoupe était entourée de reflets irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard. Il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre.

[Ref. ppe1:] JOURNAL "PARIS-PRESSE":

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Près de Toulouse, dans un pré

Un "Martien" dépose
deux feuillets imprimés
en dialecte annamite

LE professeur allemand Oberth, spécialiste des fusées, affirme que les Martiens ou Uranides sont "des plantes douées de raison". C'est possible. Mais si leurs apparitions se multiplient, ce sont les humains qui vont perdre la tête.

M. Olivier, ancien pilote d'aviation, a assisté, hier soir, dit-il, à l'atterrissage d'une soucoupe, dans un terrain vague, près de son domicile, rue des Sontaines, à Toulouse.

- C'était un engin sphérique, de couleur rougeâtre. II en est sorti une sorte de scaphandrier, de petite taille, avec une tête très grosse et des yeux énormes.

"Je l'ai vu ainsi, a-t-il ajouté, en dessinant à la craie sur sa porte le mystérieux visiteur. Il brillait comme du verre...

"Je n'y croyais pas, précise M. Perano, qui accompagnait M. Olivier, mais je l'ai vu comme je vous vois..."

Au bout d'une minute, le scaphandrier a regagné sa soucoupe qui a décollé sans bruit à la verticale et a rapidement disparu.

C'est à quelques kilomètres de Toulouse, aussi, à Léguevin, qu'un garagiste, M. Jean Marcy, a vu, dans un pré, un disque lumineux, de couleur jaune orange, qui a décollé à son approche.

A l'endroit où il s'était posé, il a découvert, sur l'herbe... deux feuillets de papier glacé, qu'il a remis à la gendarmerie. Les deux feuillets sont rédigés en KuocNu, dialecte annamite. On y lit les mots de Vietminh, Vietnam, prince Buu Loc. Il y est aussi question d'une arrivée à Marseille le 12 janvier 1954. Les deux feuillets paginés 9-10 et 59-60 paraissaient n'avoir pas séjourné longtemps sur l'herbe. Un traducteur va les examiner de plus près.

"Regarde, mais ne touche pas"

Tout cela est bien étrange. Beaucoup plus étrange que l'apparition, près de Châteaubriant (Loire-Inférieure) d'un Martien au chapeau mou et complet gris, descendu d'un cigare phosphorescent devant le petit Gilbert Lelay (13 ans) auquel il aurait déclaré, en français: "Regarde, mais ne touche pas..." Selon l'enfant, il tenait à la main "une boule qui lançait des feux violets" et remonta dans sa machine en claquant la portière. Autrefois, les moins de quinze ans se contentaient de voir des fées ou des fantômes.

Mais à Montluçon, un employé de la gare qui a largement dépassé l'âge où l'on croit aux contes de fées, affirme qu'il a vu un engin métallique posé à peu de distance d'un réservoir de gasoil destiné à l'alimentation des autorails. A côté de l'appareil qui avait la forme d'une torpille et pouvait avoir quatre mètres, se trouvait un homme tout couvert de poil. A moins qu'il ne fut vêtu d'un manteau à poil un peu long. M. Laugère, surpris, lui demanda ce qu'il faisait. L'inconnu lui répondit en termes inintelligibles mais le cheminot sembla cependant distinguer les mots "gas-oil".

M. Laugère n'a pas voulu en écouter davantage. Pendant qu'il allait chercher ses camarades, l'engin décolla et disparut.

[Ref. nmn1:] JOURNAL "NORD-MATIN":

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Descendu d'un engin mystérieux
un scaphandrier,
aux yeux énormes et de petite taille,
est apparu à un
ancien aviateur toulousain

Toulouse. -- Un scaphandrier de petite taille avec une tête grosse par rapport au corps, des yeux énormes, telle est la description donnée par un toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage, descendu d'un engin sphérique qui venait de se poser à 19 h. 35, sur un terrain vague.

M. Olivier, propriétaire des établissements Javel-Neto, rue des Fontaines, à Toulouse, était accompagné d'un employé, M. Perano, et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années. Tous trois virent se poser l'engin lumineux, de forme sphérique et de couleur rougeâtre. Puis, [ils] aperçurent venir vers eux le personnage dont le scaphandre, aux dires des témoins, brillait comme du verre.

Le mystérieux individu, mesurant environ 1 m. 20, dépassait l'engin de la tête et devait, par conséquent, se courber pour y pénétrer.

L'un des témoins a assuré que la soucoupe était entourée de reflets irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard. Il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que, lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre.

Par la suite, M. Olivier, ancien pilote d'aviation, dessina à la craie, d'une manière saisissante, sur une porte, le scaphandrier. "Je n'y croyais pas, ajouta M. Perano, mais je l'ai vu comme je vous vois. Cela fait un sacré choc".

Après un temps très court, environ une minute, le scaphandrier regagna la sphère lumineuse, qui s'envola à la verticale, sans bruit, et disparut dans le ciel à une vitesse prodigieuse en laissant un sillage de feu.

Une torpille à Montluçon

De son côté, M. Laugère, de Montluçon, quittait son travail et il traversait les voies à proximité d'un pont de la S.N.C.F., lorsqu'il vit un engin métallique posé à peu de distance d'un réservoir de gas-oil destiné à l'alimentation des autorails. A côté de l'appareil, qui avait la forme d'une torpille et pouvait avoir quatre mètres, se trouvait un homme tout couvert de poils, à moins qu'il ne fut vêtu d'un man-

Lire la suite en dernière page sous le titre:
SOUCOUPES

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SOUCOUPES

teau à poil un peu long. M. Laugère, surpris, lui demanda ce qu'il faisait. L'inconnu lui répondit en termes inintelligibles, mais le cheminot sembla cependant distinguer les mots "gas-oil".

M. Laugère ne leur demandera pas davantage et s'en alla alerter ses camarades. A peine avaient-ils fait 100 mètres qu'il vit l'appareil s'élever à la verticale, sans aucun bruit. Il disparut bientôt à sa vue. Seule la crainte de l'ironie de ses camarades l'avait empêché de compter son aventure, qui remonte à dimanche soir.

Sept êtres minuscules
et des graines bizarres

Plusieurs chasseurs de la commune de Saint-Ambroix (Gard) auraient récemment aperçu sept êtres minuscule dont la forme rappelé vaguement celle d'un corps humain. Lorsqu'ils tentèrent d'approcher, les êtres se précipitèrent vers un engin phosphorescent, qui s'envola aussitôt.

A l'emplacement où se trouvaient les pilotes de la soucoupe volante, les chasseurs découvrirent sur le sol un certain nombre de graines d'aspect bizarre, qu'ils firent examiner par des grainetiers. Ceux-ci se trouvèrent dans l'impossibilité de les classer dans une espèce connue.

L'armée dit "Non"

Comme suite à l'enquête ce qui avait été ouverte par l'autorité militaire, après la parution d'informations annonçant que les soldats chargés et du maniement d'un phare installé à la foire de Metz, avait aperçu, et dimanche soir, un cercle lumineux mystérieux, le gouverneur militaire publie le communiqué suivant:

"Il est fait état dans la presse de l'observation d'engins inconnus par un poste des forces antiaériennes déployées à la foire-exposition de Metz. Il n'y a pas lieu de prendre en considération ces informations dans ce cas particulier".

Précisons que les autorités militaires ont rarement reconnu l'existence de ces soucoupes, même si les témoignages de nombreux et souvent sérieux sont parfois bien troublant.

Des plantes douées de raison

"Les pilotes des "soucoupes volantes" sont des plantes doué de raison" - telle est la théorie qu'a exposé à un correspondant de l'Agence France-Presse le professeur Hermann Oberth, inventeur et constructeur de la célèbre fusée "V 2".

Selon le savant allemand, les "Uranides" (tel est le nom dont il baptisa ces plantes) ont des milliers d'années d'avance sur les hommes terriens, tant en ce qui concerne leur évolution spirituelle que leur technique. La patrie d'origine des Uranides serait une planète où n'existe pas d'oxygène à l'état gazeux, ce qui interdit le développement d'une vie animale. Les plantes par contre, tirent l'oxygène qui leur est nécessaire d'oxydes contenus dans le sol.

La planète en question se trouverait en dehors du système solaire, mais les engins mystérieux dans lesquels se déplacent les plantes intelligentes pourraient se déplacer à une vitesse proche de celle de la lumière (200.000 kilomètre à la seconde).

Ceux de ces engins vu au-dessus de la terre seraient chargés de surveiller les progrès de l'humanité terrienne dans les sciences atomiques, parce que ces progrès "représentent un danger pour l'ensemble du Cosmos".

Deux avions à réaction
prennent en chasse
une soucoupe

MARSEILLE. -- Dans le ciel du Vaucluse, deux avions à réaction ont pris en chasse une soucoupe volante.

Vers 14 heures, à Fontaine-de-Vaucluse, hier après-midi, deux enfants signalaient dans le ciel un disque blanc surmonté d'une calotte sphérique. Cet engin qu'une partie de la population a pu voir pendant un long moment lançait deux feux puissants, variant du blanc au violacé.

Alertée, la base aérienne de Caritat fit décoller deux avions à réaction. Peu après, les aviateurs annonçaient par radio : "Avons repéré l'engin qui s'est échappé à une vitesse supérieure à celle de nos appareils".

La vision de l'appareil dura près de dix minutes au-dessus de Fontaine-de-Vaucluse.

[Ref. ner1:] JOURNAL "NORD ECLAIR":

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EN DECOLLANT

Les "soucoupes" laissent
des taches huileuses
et des graines inconnues

Les soucoupes ne se contentent plus d'apparaître et de disparaître. Elles abandonnent aussi, au décollage, des traces suspectes qui intringuent les enquêteurs officiels.

A Toulouse, M. Olivier, industriel, accompagné d'un employé, M. Perano, et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années, virent, mercredi soir, se poser un engin lumineux, de forme sphérique et de couleur rougeâtre. Puis ils aperçurent venir vers eux un scaphandrier de petite taille avec une tête disproportionnée aux yeux énormes.

Par la suite, M. Olivier, acien pilote, dessina à la craie, d'une manière saisissante, sur une porte, le scaphandrier. "Je n'y croyais pas, ajouta M. Pernao, mais je l'ai vu comme je vous vois. Cela fait un sacré choc."

Le scaphandrier regagna la sphère lumineuse, qui s'envola à la verticale, sans bruit, et disparut dans le ciel à une allure prodigieuse, en laissant un sillage de feu.

Hier matin, des traces huileuses ont été relevées en plusieurs endroits.

La police de l'air a interrogé les trois témoins, qui ont maintenau leurs déclarations et précisant que le mystérieux individu, mesurant environ 1 m. 20, dépassait l'engin de la tête.

L'un d'eux a même ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que, lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il avait été violemment jeté à terre.

Plusieurs chasseurs de la commune de Saint-Ambroix (Gard), auraient aperçu sept êtres minuscules qui se précipitèrent vers un engin phosphorescent, qui décolla lorsqu'ils s'approchèrent.

Près du lieu d'atterrissage se trouvaient des graines d'une espèce inconnue.

Des "plantes intelligentes"

Selon le professeur Hermann Oberth, inventeur et constructeur de la célèbre fusée "V-2", les pilotes des "soucoupes volantes" seaient des plantes douées de raison et qui auraient des milliers d'années d'avance sur les terriens, tant en ce qui concerne leur évolution spirituelle que leur technique. Leur patrie d'origine serait une planète où n'existe pas d'oxygène à l'état gazeux, ce qui interdit le développement d'une vie animale. Mais les plantes, par contre tirent l'oxygène qui leur est nécessaire d'oxydes contenus dans le sol.

Cette planète se trouverait en dehors du système solaire. Les engins mystérieux, dans lesquels voyagent les plantes intelligentes, pourraient se déplacer à une vitesse proche de celle de la lumière (300.000 kilomètres à la seconde).

Ils seraient chargés de surveiller les progrès de l'humanité dans les sciences atomiques, parce que ces progrès "représentent un danger pour l'ensemble du cosmos".

[Ref. lcx1:] JOURNAL "LA CROIX":

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SOUCOUPES, CIGARES, ETC.

Les pilotes d'un mystéryeux engin s'intéressaient
aux questions vietnamiennes

M. Jean Marty, 42 ans, mécanicien, habitant Léguevin, a déclaré qu'il avait vu, dans la nuit de mardi à mercredi, se poser au milieu d'un champ, un disque orange mesurant de 6 à 7 mètres de diamètre et de 2 m. 50 de hauteur.

M. Marty travaillait vers 22 h. 30 dans son atelier, situé sur la route de Toulouse, en face d'un champ, à 1 km. 500 de Lèguevin. En levant la tête il aperçut l'objet lumineux. Intrigué, il sortit, traversa la route, et se dirigea vers le disque et qui s'éleva dans les airs, sans bruit, verticalement et disparut à une vitesse prodigieuse. M. Marty gagna alors le milieu du champ afin d'examiner l'endroit où l'engin avait atterri. Il ne releva aucune trace mais y trouva, posés sur l'herbe, deux feuillets de papier glacé, blancs, couverts de lettres d'imprimerie.

Les feuillets, type format commercial, n'étaient ni souillés, ni humides, ni froissés, mais d'une netteté absolue, comme s'il venaient d'être arrachés d'une brochure neuve. M. Marty les a remis à la gendarmerie. Ils ont été examinées par un ancien militaire qui a passé de longues années en Indochine et qui vit retiré à Lèguevin, M. Maggy. Celui-ci a déclaré qu'il s'agissait d'un texte en Kuoe-Nu, dialecte annamite, et que ce texte traitait de questions intéressant le Viet-Minh et le Viet-Nam.

Le texte serait récent, mais n'a pu être qu'imparfaitement traduit. On a précisé qu'il s'agissait des feuillets numérotés 9-10 et 59-60 d'une brochure reproduisant en offset un document tapé à la machine. Les feuillets ont été confiés à l'autorité militaire. On a pu auparavant en prendre des clichés qui seront confiées à un traducteur.

L'enquête ouverte par la sécurité aérienne, à la suite de cette découverte a fait apparaître qu'il s'agissait simplement de deux feuillets provenant d'une brochure éditée par les services du prince Buu Loc et laissés probablement à Léguevin par les Vietnamiens venus y faire un pique-nique.

Les étudiants vietnamiens sont en effet, particulièrement nombreux à Toulouse, et Léguevin située à une vingtaine de kilomètres et à proximité des régions boisées du Gers, offre aux toulousains un but de promenade recherché pendant le week-end.

La brochure en question datait du 12 janvier dernier, et les informations qu'elle contient, souligne l'autorité militaire, ne présentent aucun caractère susceptible d'entraîner de nouveaux développements de cette affaire. Il y est question, en effet, d'entrée de navires dans les ports indochinois et d'arrivages de poissons!

Atterrissage d'un engin
sphérique à Toulouse

Un scaphandrier de petite taille, avec une tête grosse par rapport au corps, deux yeux énormes, telle est la description que vient de faire un toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage, descendus d'un engin sphérique qui venait de se poser à 19 h. 35 sur un terrain vague.

M. Olivier, propriétaire des établissements Javel Neto, rue des Fontaines, à Toulouse, était accompagné d'un employé, M. Pérano, et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années. Tous trois virent se poser l'engin lumineux de forme sphérique et de couleur rougeâtre, puis aperçurent venir venir vers eux le personnage dont le scaphandre, aux dires des témoins, brillait comme du verre.

"Je n'y croyais pas, ajoute M. Pérano, mais je l'ai vu comme je vous vois. Cela fait un choc."

En un temps très court, environ une minute, le scaphandrier regagna la sphère lumineuse qui s'envola à la verticale sans bruit et disparut dans le ciel à une vitesse prodigieuse en laissant un sillage feu.

Le pilote couvert de poils
réclamait du gas-oil

Un employé de la gare de Montluçon, M. Langère, aurait pris contact dimanche soir avec un mystéryeux individu sorti d'un appareil en forme de torpille.

M. Langère quittait son travail et traversait les voies à proximité du pont de la S.N.C.F. lorsqu'il vit un engin métallique posé à peu de distance d'un réservoir de gas-oil, destiné à l'alimentation des autorails. A côté de l'appareil se trouvait un homme tout couvert de poils, à moins qu'il ne fut vêtu d'un manteau à poils très longs. M. Laugère, surpris, lui demande à ce qu'il faisait. L'inconnu lui répondit en termes inintelligibles, mais le cheminot sembla cependant distinguer les mots "gas-oil".

M. Langère ne lui en demanda pas davantage et s'en alla alerter ses camarades.

Un "cigare" dans la Marne

Se rendant à une répétition de musique, à Sainte-Menehould (Marne), le jeune André Léger, 18 ans, vit sur la route une masse sombre posée sur des skis qui décolla à son approche en faisant entendre un bourdonnement.

Le "cigare volant" avait environ 1 m. 30 de haut et 3 mètres de diamètre.

Cette vision laissa chez le jeune homme une vive impression.

[Ref. cmn1:] JOURNAL "CENTRE-MATIN:"

Un scaphandrier volant se serait posé à Toulouse
... où sa soucoupe a laissé des traces d'huile

Toulouse. -- Un scaphandrier de petite taille, avec une tête grosse par rapport au corps, deux yeux énormes, telle est la description qu'a faite mercredi soir un Toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage descendu d'un engin sphérique qui venait de se poser à 19:30 sur un terrain vague.

M. Olivier, propriétaire des Etablissements Javel Neto, rue des fontaines, à Toulouse, était accompagné d'un employé, M. Perano, et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années. Tous trois virent se poser l'engin lumineux, de forme sphérique et de couleur rougeâtre. Puis, aperçurent venir vers eux le personnage dont le scaphandre, au dire des témoins, brillait comme du verre.

Par la suite, M. Olivier dessina à la craie, d'une manière saisissante, sur une porte, le scaphandrier. "Je n'y croyais pas, ajouta M. Perano, mais je l'ai vu comme je vous vois. Cela faut un sacré choc."

Après un temps très court, environ une minute, le scaphandrier regagna la sphère lumineuse qui s'envola à la verticale, sans bruit, et disparut dans le ciel à une vitesse prodigieuse en laissant un sillage de feu.

En raison de la nuit, aucune constatation n'a pu être faite à l'endroit où se serait posé l'engin.

Des traces huileuses ont été relevées jeudi matin en plusieurs endroit d'un terrain vague situé dans un faubourg de Toulouse.

Selon les déclarations des trois témoins, l'engin mystérieux, piloté par un personnage vêtu d'un scaphandre se serait posé sur ce terrain hier à 19h35.

La police de l'air a interrogé ces trois personnes, parmi lesquelles figure un industriel, qui ont maintenu leur déclaration, en précisant que le mystérieux individu mesurait environ 1 m 20, dépassait l'engin de la tête et devait, par conséquent, se courber pour y pénétrer.

L'un des témoins a assuré que la soucoupe était entourée de reflets irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard. Il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que, lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre.

[Ref. cnd1:] JOURNAL "LA CROIX DU NORD":

Scan.

Un scaphandrier aux yeux énormes

TOULOUSE, 14. -- Un scaphandrier de petite taille, avec une tête grosse par rapport au corps, deux yeux énormes, telle est la description qu'a faite mercredi soir un toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage, descendu d'un engin sphérique qui venait de se poser à 19 h. 35 sur un terrain vague.

M. Olivier, propriétaire des établissement Javel Neto, à Toulouse, était accompagné d'un employé, M. Perano, et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années. Tous trois virent se poser l'engin lumineux, de forme sphérique et de couleur rougeâtre, puis aperçurent venir vers eux le personnage dont le scaphandre, aux dire des témoins, brillait comme du verre.

Par la suite, M. Olivier, ancien pilote d'aviation, dessina à la craie, d'une manière saisissante, sur une porte, le scaphandrier. "Je n'y croyais pas, ajoute M. Perano, mais je l'ai vu comme je vous vois. Cela m'a fait un scaré choc."

Après un temps très court, environ une minute, le scaphandrier regagna la sphère lumineuse qui s'envola à la verticale, sans bruit, et disparut dans le ciel à une vitesse vertigineuse en laissant un sillage de feu...

En raison de l'obscurité, l'enquête n'a pu être entreprise que jeudi matin. Des traces huileuses ont été relevées en plusieurs endroits du terrain vague.

L'un des témoins a assuré que la soucoupe était entourée de reflets irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard. Il a signalé qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante étrange, lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre.

[Ref. lqh1:] JOURNAL "LE QUOTIDIEN DE LA HAUTE-LOIRE":

[...]

UN SCAPHANDRIER AUX YEUX ENORMES APPARAIT AUX TOULOUSAINS

Un scaphandrier de petite taille, avec une tête grosse par rapport au corps, deux yeux énormes, telle est la description que vient de faire un toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage descendu d'un engin sphérique qui venait de se poser sur un terrain vague. M. Olivier, propriétaire des établissements Javel Neto rue des Fontaines à Toulouse, était accompagné d'un employé, M. Perano et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années. Tous trois virent se poser l'engin lumineux de forme sphérique et de couleur rougeâtre, puis aperçurent venir vers eux le personnage dont le scaphandre aux dires des témoins, brillait comme du verre. Par la suite, M. Olivier, ancien pilote d'aviation dessina à la craie d'une manière saisissante sur une porte, le scaphandrier. "Je n'y croyais pas", ajouta M. Perano, "mais je l'ai vu comme je vous vois. Cela fait un sacré choc". Après un temps très court, environ une minute, le scaphandrier regagna la sphère lumineuse qui s'envola à la verticale, sans bruit et disparut dans le ciel à une vitesse vertigineuse en laissant un sillage de feu. L'un des témoins a assuré que la soucoupe était entourée de reflets irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard. Il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que, lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre.

[...]

Article complet ici.

[Ref. lsr1:] JOURNAL "LE SOIR:"

Quand deux journalistes jouent
aux "Martiens" près de Toulouse

Certains témoins "avaient vu la soucoupe"...
... qui n'était autre qu'une automobile!

Paris, 21 octobre (AFP)

Un hebdomadaire parisien a tenté une curieuse expérience. Désirant, selon ses propres termes, montrer la part de l'hallucination individuelle ou collective dans les nombreuses "applications" [sic; apparitions] d'engins mystérieux atterrissant avec leurs pilotes dans la campagne française, cet hebdomadaire a envoyé deux "Martiens" en expédition dans le sud-ouest de la France.

Les accessoires du parfait "Martien"

Affublés de l'uniforme du parfait "Martien" tel que l'ont imaginé les auteurs de certains livres et films de science fiction scientifique [sic], deux reporters, revêtus de scaphandres en caoutchouc, coiffés d'énormes casques de cuivre percés de hublots, sont allés à bord d'une "soucoupe" qui n'était autre qu'une honnête automobile, apparaître aux paisibles cultivateurs de la région de Toulouse.

Les deux "Uranides" avaient emporté dans leurs bagages un attirail complet d'artificiers: des feux de bengale rouges, verts et blancs, des "chandelles romaines" - pistolets lançant à quinze mètres de petites boules de feu vertes ou rouges - des fusées volantes, montant jusqu'à cinquante mètres. Armés de ces accessoires de feu d'artifice, les deux reporters se présentèrent, de nuit naturellement, devant diverses fermes isolées. Le premier feu de bengale faisait s'éteindre les lumières de la ferme. Au second, une porte grinçait, quelqu'un sortait prudemment sur le seuil, tandis que le chien hurlait à la mort. C'est le moment que choisissaient les faux "Martiens" pour lancer une fusée et regagner promptement leur voiture qu'ils avaient dissimulée, tous feux éteints, derrière une haie. Devant une des fermes visitées, les deux farceurs rencontrèrent une "terrienne" poussant sa bicyclette. "Elle jeta son vélo dans le fossé et se rua vers la ferme, ont-ils raconté."

"L'un de nous lui barra le chemin. Elle dit: "Jésus, Marie, Joseph!"! Nous n'étions pas des "Martiens" méchants. Nous l'avons laissée là, un peu tristes au fond de ne pas l'avoir aisé à ramasser sa bicyclette."

Où les "terriens" se font menaçants

Mais l'aventure des reporters manqua mal tourner dans un hameau proche de Montauban, en l'honneur duquel huit fusées avaient été tirées. Un fermier furieux s'avança au-devant des "Martiens", brandissant une pioche au-dessus de sa tête. Ce terrien n'avait peur de rien, ni du rayon "paralysant" des lampes de poche des envahisseurs, ni des bulles incandescentes. D'autres fermiers se joignirent à lui, prêts à organiser une battue. Les deux reporters n'eurent que le temps de s'envoler à bord de leur "soucoupe" à quatre roues, la fusée verte simulant le départ de "l'astronef".

Des géants ou des pygmées?

Pour compléter l'expérience, les deux journalistes ont refait, de jour, et sans déguisement, la tournée qu'ils avaient faite en visiteurs d'un autre monde.

Naturellement, les personnes interrogées ont fait des réponses souvent déroutantes. Dans la même ferme, certains avaient "vu" les "Martiens", d'autres la "soucoupe" seulement. Les uns ont vu des "géants," d'autres de petits hommes d'un mètre vingt! Les sceptiques affirmaient qu'ils "n'y croyaient pas", parlaient d'étoiles filantes, de fusée ou d'objets bizarres sur lesquels ils évitaient de se prononcer. Les journaux se sont emparés de ces divers témoignages, les présentant, il est vrai, le plus souvent avec force points d'interrogation!

L'hebdomadaire souligne que son expérience n'avait aucunement pour but de tourner en dérision les témoins de phénomènes étranges, ni de mettre en doute leur bonne foi, mais seulement d'expliquer la fragilité des témoignages "terriens".

[Ref. rdr1:] MAGAZINE "RADAR":

TOULOUSE

OLIVIER: - Voilà mon Martien!

Avec l'accent du pays de Clémence Isaure, Olivier raconte sa grande aventure. "Je n'allais pas courir le risque d'oublier les traits du Martien. Ceux qui ont eu le privilège d'en rencontrer ne sont pas si nombreux. Tout de suite, sur la porte des waters, j'ai dessiné le mien à la craie. Dans le quartier de la Croix-Daurade, non loin du chemin de Lanusse, un léger sifflement attira mon attention. Laissant derrière elle une intense traînée lumineuse, une sorte de fusée géante atterrissait dans un champ masqué par un hangar voisin. J'ai couru et, là, j'ai vu, de mes yeux vu, un scaphandre d'environ 1 20. Il irradiait un léger brouillard et quand j'ai voulu m'approcher davantage, j'ai été comme paralysé".

[Légende de la photo du bas:] Panero [sic] (à g.) et Olivier ont vu le Martien de la rue [...]

[Ref. ssr1:] "SAMEDI-SOIR" MAGAZINE:

Scan.

THE MARTIANS
of Cahors
Montauban
Toulouse
IT WAS US

By denouncing last week "the great farce of the Martians", we especially wanted to show the part of the individual or collective hallucination in the too many appearances of "extraterrestrial" craft with their pilots on the good ground of France.

[illegible]

[Ref. ous1:] MAGAZINE D'UFOLOGIE "OURANOS":

Dans ce magazine d'ufologie du 4ème trimestre de 1954, figure une bilbiographie d'articles concernant les récentes soucoupes volantes, dont:

Radar, 24 Octobre: Observation de S.V., d' "Ouraniens" (Tous1ouse), [...]

[Ref. jgu1:] JIMMY GUIEU:

Jimmy Guieu indique que le 13 octobre 1954 un atterrissage de disque volant a eu lieu sur un terrain vague situé dans un faubourg de Toulouse, et que la police de l'Air a interrogé les trois témoins oculaires, dont un industriel, ancien pilote d'avion, et qu'ils ont fermement maintenu leurs déclarations.

A 19:35 ils ont aperçu au sol un astronef discoïdal de 3.50 à 4 mètres de diamètre environ, avec un être de 1.20 mètres environ, vêtu d'un scaphandre, qui se tenait debout à côté de l'engin, sa tête dépassant la hauteur maximum de l'appareil, le pilote devant donc se courber pour y entrer.

La soucoupe était entourée de reflets irisés et engendrait autour d'elle un léger brouillard.

Un des témoins avait voulu approcher, mais a été arrêté et paralysé à une vingtaine de mètres de l'engin, et lorsque celui-ci a décollé à la verticale, il a été violemment jeté à terre.

[Ref. jve5:] JACQUES VALLEE:

323 001.40121 43.59600 13 10 1954 TOULOUSE HTE-GAR. F 0113 2G
326 13 10 1954 19 33 1 BOURRASOLE F 161 A

[Ref. cln2:] CORAL ET JIM LORENZEN:

M. Olivier, un ex-pilote, et deux autres personnes, ont vu un disque rougeâtre d'environ 12 pieds de diamètre avec un petit être tout près. Cet incident a eu lieu le 13 octobre 1954, à Bourasole, près de Toulouse, France. Les trois hommes n'étaient pas ensemble mais tous ont vu la même chose. Ils ont rapporté que le petit être, d'environ quatre pieds de haut, portait un costume lumineux "comme le verre", avec une grande tête et deux énormes yeux, et qu'il était près de l'engin qui était entouré d'une lueur. Un des hommes a approché l'objet, mais a été paralysé. L'objet a alors décollé, jetant l'homme à terre.

[Ref. jve1:] JACQUES VALLEE:

Scan.

249 13 Octobre 1954, 19h35. Bourrasole (France):

MM. Olivier et Perano et un troisième homme virent un disque rougeâtre d'environ 4 mètres de diamètre avec, tout près, un petit être d'environ 1,20 m de haut, portant une tenue de scaphandrier. Il avait une grosse tête, par rapport au reste du corps, et deux yeux énormes. Le vêtement brillait et luisait comme du verre. L'engin était entouré par une sorte de brillance brumeuse. L'un des hommes s'approcha à 20 mètres et se trouva paralysé. L'engin décolla, le jetant au sol, et s'éleva très rapidement. (Paris-Presse, Libération, 15 oct. 1954, La Croix, 16 oct. 1954) (62, 63) (Personnel)

[Ref. jve8:] JACQUES VALLEE:

Scan.

<13 Oct., 1954/td> Toulouse France M. Olivier "tenue de plongeur" avec reflets métalliques 1

[Ref. hdl1:] "HISTOIRE DE L'INSOLTE":

Scan.

A Toulouse, M. Olivier, ancien pilote, assista à l'atterrissage d'une sphère rougeâtre: "Il en est sorti une sorte de scaphandrier, de petite taille avec une tête très grosse et des yeux énormes qui brillaient comme du verre..."

[Ref. cac1:] FRANCOIS CARADEC ET NOEL ARNAUD:

Ces auteurs citent texto le propos de Michel Carrouges [mcs1] sur ce cas.

[Ref. gqy1:] GUY QUINCY:

Scan.

13 octobre [1954]

[... autres cas...]

19 h 35: Toulouse(faubourg de) (Hte-Garonne): disque diamètre 4 m au sol + brouillard + être 1,20 m haut + "souffle" au décollage (date et lieu non encore précisés avec certitude)

[... autres cas...]

[Ref. gqy2:] GUY QUINCY:

Scan.

[... autres cas...]

13 octobre 1954: Toulouse (faubourg de--Haute-Garonne): 3 hommes (disque diamètre 4 m au sol/brouillard/pilote en scapphandre [sic] 1,20 m haut/"souffle" au décollage) (date et lieu non encore précisés avec certitude/ possibilité d'ientification avec "Lardenne" (hameau de la cne. de Toulouse, daté en principe de la nuit du 7-10-54?)

[... autres cas...]

[Ref. mcs1:] MICHEL CARROUGES:

L'auteur indique que l'incident "O. et P." était le plus nettement revendiqué par les journalistes farceurs de Samedi-Soir, et paraît nettement dater du 13 octobre, aux environs de 19:35.

Il indique qu'il y a eu deux dépêches de l'A.F.P. les 13 et 14 octobre.

Le coucher du soleil a lieu là à 17:05 et les farceurs indiquent qu'à leur passage dans les faubourgs de Toulouse le soleil devait être couché depuis près d'une heure, ce qui coïncidence assez bien.

Les journalistes sont venus en voiture, l'ont arrêtée et au moins l'un d'eux est descendu en scaphandre faire un rapide petit tour, près du véhicule et est reparti après avoir lâché deux ou trois fusées.

Selon les témoins, un engin sphérique rougeâtre s'est posé non loin d'eux, dans un terrain vague, et ils ont vu ensuite "un scaphandrier de petite taille avec une tête grosse par rapport au corps, deux yeux énormes... un scaphandre qui brillait comme du verre", selon l'A.F.P. du 13 octobre, dont la dépêche indique:

"Après un temps très court, environ une minute, le scaphandre regagna la sphère lumineuse qui s'envola à la verticale sans bruit et disparut dans le ciel à une vitesse prodigieuse en laissant un sillage de feu."

Michel Carrouges cite la dépêche A.F.P, du 14 comme indiquant:

"Le mystérieux individu (le scaphandrier) mesurant environ 1 m 20, dépassait l'engin de la tête et devait, par conséquent, se courber pour y pénétrer" et la soucoupe "émettait autour d'elle un léger brouillard".

Ayant voulu s'approcher, un des témoins fut "retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante" et ajoute même que "lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été violemment jeté à terre."

[Ref. jve2:] JACQUES VALLEE:

L'auteur indique que le 13 octobre 1954, à Bourrassole, près de Toulouse, Mr. Olivier, ancien pilote, Mr. Perano et un troisième témoin, ont vu un disque rougeâtre d'environ 4 mètres de diamètre avec un petit être près de lui. L'individu avait à peu près 1 m 20 de hauteur et portait un vêtement de plongée.

L'auteur cite:

"Sa tête était grosse par rapport au reste du corps, et il avait des yeux énormes. Le vêtement était brillant et luisant comme du verre."

L'appareil était entouré d'une sorte de lueur. Un des hommes approcha à moins de 20 mètres, mais fut paralysé. L'appareil s'envola, en le rejetant au sol, puis s'éleva très vite.

[Ref. amn1:] AUGUSTE MEESSEN:

Trois témoins, parmi lesquels il y avait un ancien pilote, virent un disque de 4 m de diamètre et un être humanoïde de petite taille. Un de ces hommes s’approcha jusqu’à 20 m de l’engin, où il fut paralysé, tandis que l’appareil décolla à grande vitesse en le projetant à terre (13.10.1954, France: 21, 45).

La source "21" est détaillée dans les références comme "Ch. Bowen: The Humanoids, a survey of world-wide reports, Regnery, 1969.

[Ref. gal1:] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER:

Toulouse, le 13 octobre 1954, vers 19 h 35. Références: coupure de presse, dossiers personnels.

En rentrant chez lui, un industriel, M. Olivier, voit une boule lumineuse atterrir près d'un terrain de football, à une centaine de mètres de lui. Auprès de celle-ci, il distingue bientôt un être de petite taille qui lui semble vêtu d'un scaphandre. M. Olivier appelle l'un de ses voisins, M. Perano. Les deux hommes voient alors le "scaphandrier" pénétrer dans l'engin en se courbant. A ce moment arrive un troisième témoin, qui veut s'approcher de la chose. Il est arrêté par une "force paralysante" quand il en arrive à une vingtaine de mètres. L'engin décolle sans bruit et disparaît dans le ciel en traînant un sillage de feu. Le plus proche des trois hommes est jeté à terre violemment au moment où l'engin quitte le sol.

[Ref. prn1:] PETER ROGERSON - "INTCAT":

424 13 octobre 1954 19 h 35

BOURRASOLES (FRANCE) Messieurs Olivier et Perano et un troisième homme ont vu un disque rougeâtre d'environ 4 m de diamètre avec un petit être à proximité environ 1,2 m de haut, vêtu d’une combinaison de plongée. "Il avait la tête large par rapport au reste de sa corps et il avait deux yeux énormes. Le costume était clair et brillant comme du verre. "L'engin était entouré d'une sorte de lueur embrumée. L'un des hommes est allé à moins de 20m et a été paralysé. L'engin a décollé, l'a jeté à terre et s'est élevé très vite. (M249: La Croix, 16 oct 54: Paris-Press, Libération, 15 oct 54)

[Ref. hia1:] MAGAZINE "HISTORIA":

SCAPHANDRIERS ET FEUX DE BENGALE

Un des canulars les plus significatifs eut pour auteurs deux journalistes qui contèrent leur plaisanterie dans Samedi-Soir.

Une nuit d'octobre 1954, vêtus de scaphandres et armés de feux de Bengale et autres artifices, ils "atterrirent" à cinq reprises près de la route le long d'un itinéraire Brive-Cahors-Montauban-Toulouse-Graulhet.

Plusieurs personnes témoignèrent avoir vu des "êtres" armés de rayons. "J'ai parfaitement vu une soucoupe comme une grosse boule rouge, dit un témoin. Il en est sorti deux êtres hauts de 90 centimètres. Les Martiens ont couru vers la soucoupe qui nous a décollé sous le nez comme une grande fusée."

Le même mois de la même année (on était en période de grande vague de soucoupes), un cheminot de Creil se fabriqua un masque avec un faux bidon et peignit l'ampoule de sa lampe électrique en vert.

Un soir, après son service, il apparut dans la gare et alluma son "rayon vert". Ses camarades furent pétrifiés. Le lendemain, ils lui racontèrent l'effrayante apparition.

Or, nul doute que si on avait enquêté sur les observateurs des journalistes-scaphandriers ou du cheminot au rayon vert, on aurait conclu à la sincérité et au parfait équilibre des témoins.

[Ref. cln1:] CORAL ET JIM LORENZEN:

Les auteurs indiquent que le 13 octobre 1954, à Bourasole, près de Toulouse, France, Mr. Olivier, un ex-pilote, et deux autres personnes, ont vu séparément un disque rougeâtre d'environ 12 pieds de diamètre avec un petit être tout près. Les trois hommes ont rapporté que l'être était aux environs de 4 pieds de haut, portant une tenue lumineuse "comme le verre", il avait une grande tête et deux énormes yeux. L'engin était entouré par une lueur. Un des hommes s'est approché mais a été paralysé, et l'objet a alors décollé, jetant l'homme à terre.

[Ref. mbd1:] MICHEL BOUGARD:

L'auteur indique que le 13 octobre 1954, à Bourasole, près de Toulouse, France, Mr. Olivier, un ex-pilote, et deux autres personnes, ont vu séparément un disque rougeâtre d'environ 12 pieds de diamètre avec un petit être tout près. Les trois hommes ont rapporté que l'être était aux environs de 4 pieds de haut, portant une tenue lumineuse "comme le verre", il avait une grande tête et deux énormes yeux. L'engin était entouré par une lueur. Un des hommes s'est approché mais a été paralysé, et l'objet a alors décollé, jetant l'homme à terre.

[Ref. agd1:] ALAIN GAMARD:

Scan.

N° de cas Date Heure Localisation Département Nom témoin(s)
053 13/10/1954 19.35 Bourrasole. 31 Olivier et Perano

[Ref. hjn1:] HENRI JULIEN:

L'auteur indique que M. Olivier, un ancien pilote d'avion, à Bourrasole, près de Toulouse, s'est heurté à un petit bonhomme de 1,20 m portant un vêtement semblable à un scaphandre. Deux autres témoins ont confirmé ses déclarations: "Sa tête était grosse par rapport au reste du corps, et il avait des yeux énormes."

[Ref. lsd1:] LEONARD STRINGFIELD:

L'ufologue Américain indique que le 13 octobre 1954, en France, à Bourrasole, messieurs Olivier et Perano, et un troisième homme non identifié, ont vu un disque rougeâtre d'environ quatre mètres de diamètre avec un petit être d'environ un mètre vingt et porte un "vêtement de plongée" se tenant à côté.

Un des témoins a dit que "sa tête était grosse par rapport au reste du corps, et il avait des yeux énormes. Le vêtement était brillant et étincelant comme du verre".

L'engin était entouré d'une lumière vaporeuse. Un des témoins s'en est approché à une vingtaine de mètres et est reste paralysé. L'engin est parti en le jetant à terre.

L'auteur indique que cet exemple de cas de rencontre du troisième type provient du catalogue de Jacques Vallée qui l'a extrait du livre d'Aimé Michel.

[Ref. gab1:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":

13/10/1954 Toulouse Bourrasole (Haute Garonne)

Vers 19h35, trois témoins, dont MM Olier [sic] et Pérano, assistèrent à l'atterrissage d'un appareil discoïdal de 3,50 à 4m de diamètre. Arrivés sur les lieux, ils découvrirent se tenant debout devant l'engin un être de 1,20m de haut revêtu d'un scaphandre. L'être avait une tête très grosse par rapport au reste du corps et ses yeux étaient énormes. (J. Giraud; «Centre Matin» du 15/10/54)

[Ref. tbw1:] TED BLOECHER ET DAVID WEBB:

Scan.

54-70 13 oct. 1954 1935 Bourrasole, France Type C

MM. Olivier et Perano et un 3e homme ont vu un disque rougeâtre d'environ 12 pieds de diamètre, avec un être de 4 pieds à proximité, portant un "scaphandre". "Sa tête était grosse par rapport au corps et il avait 2 yeux énormes. Le costume était clair et brillant comme du verre." L'engin était entouré d'une sorte de lueur brumeuse. L'un des hommes s'est approché à moins de 20 mètres de lui & s'est retrouvé paralysé. L'engin a décollé, le jetant au sol, et s'est élevé très vite.

Enquêteur:

Sources: Vallee, Magonia, p. 227; Life, 1/11/54 (dessin).

[Ref. bbr1:] GERARD BARTHEL ET JACQUES BRUCKER:

Les auteurs indiquent que l'observation suivante a eu lieu en 1954 dans les faubourgs de Toulouse:

"Un scaphandrier aux yeux énormes descendu d'un engin mystérieux apparaît à trois Toulousains."

"Un scaphandrier de petite taille avec une tête trop grosse par rapport au corps, deux yeux énormes, telle est la description qu'a faite avant-hier soir un Toulousain, M. Olivier, d'un mystérieux personnage descendu d'un engin sphérique qui venait de se poser, à 19 h 35, sur un terrain vague situé dans un faubourg de Toulouse."

M. Olivier, propriétaire des établissements Javel Neto, rue des Fontaines, à Toulouse était accompagné d'un employé, M. Pérano et d'un jeune garçon d'une quinzaine d'années. Tous trois virent se poser l'engin lumineux, de forme sphérique et de couleur rougeâtre. Puis ils virent venir vers eux le personnage dont le scaphandre, aux dires des témoins, brillait comme du verre."

Par la suite M. Olivier ancien pilote d'aviation, dessina à la craie, d'une manière saisissante, sur une porte, le scaphandrier. 'Je n'y croyais pas, ajouta M. Pérano, mais je l'ai vu comme je vous vois. Cela fait un sacré choc'. Après un temps très court, environ une minute, le scaphandrier regagna la sphère lumineuse, qui s'envola à la verticale, sans bruit et disparut dans le ciel à une vitesse prodigieuse, en laissant un sillage de feu."

Des traces huileuses ont été relevées hier matin en plusieurs endroits du terrain où l'engin s'est posé."

Les trois personnes qui ont vu ce phénomène, interrogées par la police de l'air, ont maintenu leurs déclarations. Elles ont précisées que le mystérieux individu, mesurant 1,20 m, dépassait l'engin de la tête et devait par conséquent se courber pour y pénétrer."

L'un des témoins a assuré que la soucoupe était entourée de reflets irisés et émettait autour d'elle un léger brouillard, il a ajouté qu'ayant voulu s'approcher, il avait été retenu à une vingtaine de mètres par une force paralysante et que, lorsque l'engin s'est élevé dans le ciel, il a été jeté violemment à terre."

Les auteurs déplorent que Jacques Vallée fasse des résumés succincts, et qu'il indique que le cas s'est déroulé à Toulouse au lieu de Bourrasol, qu'il écrive "Bourrasole" au lieu de Bourrasol, et que Jacques Vallée a fait cela peut-être pour cacher le lieu réel et que l'on ne puisse pas trouver l'explication.

Les auteurs indique que le cas faisait partie d'une série de mystifications par deux journalistes de l'hebdomadaire "Samedi-Soir", Michel Agnellet et Pierre Laforêt, et que Laforêt le leur a confirmé.

Ils ajoutent que "Samedi-Soir" de la semaine du 21 au 27 octobre, N. 486, avait publié un article "Les Martiens c'était nous" présentant avec photos toute la série de canulars dont celui-ci.

Ceux-ci utilisaient "deux équipements complets de scaphandrier et quelque menu matériel", une panoplie qu'ils ont décrit ainsi:

"Nous avions emporté également dans nos bagages un équipement complet d'artificier: dix-huit feux de Bengale, rouges, verts et blancs, quarante chandelles romaines, véritables pistolets Martiens lançant à quinze mètres à la ronde de petites boules de feu vertes ou rouges... et silencieuses. Nous avions pris aussi une vingtaine de fusées volantes, capable de s'élancer jusqu'à cent ou cent cinquantes mètres, pour exploser en un gigantesque parapluie de feu. Prosaïquement nous avons acheté ce matériel au marché de Brives-la-Gaillarde, où l'artificier local, Monsieur Forêt, nous avait garanti la qualité exceptionnelle de ces engins..."

[Ref. fru1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:

Les deux auteurs indiquent que le mardi 12 octobre 1954 à 4 heures du matin, deux habitants de la banlieue toulousaine purent voir un engin en forme de fusée géante qui s'élevait d'un champ à une centaine de mètres de leur maison. Il disparut rapidement dans le ciel en engendrant une clarté d'une rare intensité.

Les deux témoins se rendirent à l'endroit où ils situaient le point de départ du mystérieux engin. Ils trouvèrent que l'herbe avait été tassée sur une surface circulaire de cinq mètres de diamètre.

Au centre de cette zone ils découvrirent dans le sol quatre empreintes paraissant avoir été laissées par le lourd appareil. L'herbe était recouverte de gouttelettes provenant de la condensation de vapeur grasse et qui dégageait une odeur de pétrole.

Il y eut une enquête de la police de l'air.

Selon Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, des journalistes de "Samedi-Soir" qui avait fait croire à un OVNI plus tôt en lançant une fusée à Graulhet, avaient décider cette fois de ridiculiser les Toulousains. Ils auraient revêtu des scaphandres, utilisé une voiture déguisée en soucoupe et utilisé des feux de Bengale des feux d'artifices.

[Ref. jsc1:] JOHN F. SHUESSLER:

1954/10/13 FRANCE, BOURRASOLE

Source: Official UFO, Feb. 76

Trois personnes virent un OVNI en forme de disque avec un petit être. L'une des personnes approcha l'objet et fut paralysée. Quand l'être entra dans l'objet et s'envola, la personne immobilisée fut jetée au sol.

EFFETS: Paralysie

[Ref. srd1:] SELECTION DU READER'S DIGEST:

La photo est légendée comme "François Parrero et un ami, qui auraient vu des êtres étranges" à Toulouse un mois après "Marius De Wilde".

Le livre indique que la photographie provient de l'agence United Press International.

[Ref. mft1:] MICHEL FIGUET:

N° de la liste de J. C. Fumoux N° du listing Francat Localisation Date Classe Crédibilité Sources Nombre de T
078 194 Toulouse "Bourrasole" 13/10 CE3 E canular voir 057 2-p. 669, 4 p.94 2 T

[Ref. mft3:] MICHEL FIGUET:

LES ECHOS.

30 - ST-AMBROIX le 13/10/1954
31 - TOULOUSE LEGUEVIN nuit du 12 au 13
.

Blanche-Heige est-elle "Martienne"?

Sept nains d'aspect bizarre s'envolent dans un engin phosphorescent près de Nîmes...

NIMES, 14 -- Plusieurs chasseurs de la commune de Saint-Ambroix (Gard) auraient récemment aperçu sept êtres minuscules dont la forme rappelait vaguement celle d'un corps humain. Lorsqu'ils tentèrent d'approcher, les êtres se précipitèrent vers un engin phosphorescent, qui s'envola aussitôt.

A l'emplacement où se trouvaient les pilotes de ladite soucoupe volante, les chasseurs découvrirent sur le sol un certain nombre de graines d'aspect bizarre, qu'ils firent examiner par des grainetiers. Ceux-ci se trouvèrent dans l'impossibiité de les classer dans une espèce connue.

LES "MARTIENS" S'INTERESSENT AUX QUESTIONS VIETNAMIENNES...

TOULOUSE, 14. -- M. Jean Marty, 42 ans, mécanicien, habitant Leguevin (Haute-Garonne), a déclaré qu'il avait vu, dans la nuit de mardi à mercredi, au milieu d'un champ, un disque lumineux mesurant de 6 à 7 mètres de diamètre et 2 m. 50 de hauteur; le disque était de couleur orange.

M. Marty travaillait, vers 23 h. 30, dns son atelier situé sur la route de Toulouse, en face d'un champ, à 1 km. 500 de Lèguevin. en levant la tête, il aperçut l'objet lumineux. Intrigué, il est sorti, a traversé la route et s'est dirigé vers le disque, qui s'est alors élevé dans les airs, sans bruit, verticalement, et a disparu à une vitesse prodigieuse. M. Marty a gagné le milieu du champ afin d'examiner l'endroit où l'engin avait atterri. Il n'a relevé aucune trace mais a trouvé, posés sur l'herbe, deux feuillets de papier glacé, blanc, couverts de lettre d'imprimerie en caractères indochinois.

L'enquête ouverte par la Sécurité aérienne a fait apparaître qu'il s'agissait simplement de deux feuillets provenant d'une brochure éditée par les services du prince Buu Loc et laissés probablement à Leguevin par des Vietnamiens venus y faire un pisque-nique.

DES TRACES HUILEUSES

Des traces huileuses ont été relevées ce matin en plusieurs endroits d'un terrain vague situé dans un faubourg de Toulouse.

Selon les déclarations de trois témoins, un engin mystérieux, piloté par un personnage revêtu d'un scaphandre, se serait posé sur ce terrain, hier, à 19 h. 35.

La police de l'air a interrogé ces trois personnes, parmi lesquelles figure un industriel, qui ont maintenu

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Francat n° 191 cas 079 4-p.86

[Ref. mft4:] MICHEL FIGUET:

CAS Nr CLASSIFICATION DATE HEURE LIEU CODE POSTAL CREDIBILITE SOURCE
194 CE3 13 10 1954 T9. 50 Toulouse "Bourrasole" 31 000 B6 E (canular) OVNI

[Ref. krs1:] KEVIN RANDLE ET RUSS ESTES:

Les auteurs indiquent que le 13 octobre 1954, à Bourasote [sic], France, trois personnes ont vu un engin rougeâtre en forme de disque d'environ 12 pieds de diamètre. Bien qur les émoins n'aient pas été ensemble, ils ont tous rapporté que l'^tre portait une tenue brillante et avait une grnde tête et des yeux énormes. L'homme le plus proche de l'objet a affiré avoir été paralysé, et quand l'engin a finalement décollé, il a été jeté sur le sol.

[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:

Cet ufologue et auteur français explique ensuite qu'il n'a pas pris pour argent comptant que le cas aurait été un canular de journalistes. Se rapportant aux récits des témoins dans la presse locale, il pose d'abord quelques questions essentielles:

Il note ensuite que l'article dans Le Soir indique que les deux journalistes auraient pratiqué leur art "devant diverses fermes isolées" tandis que le cas en question se déroule en milieu urbain.

Il note que le magazine Radar avait envoyé ses journalistes sur place et que selon eux ce n'est pas Mr. Pérano mais Panero.

Plus loin dans son livre, l'auteur explique:

Venons-en maintenant aux prétendus canulars de deux journalistes de Samedi-Soir. Figuet signale dans son catalogue la "tournée provinciale" de ces deux individus, en mission spéciale hors du commun: jouer aux Extraterrestres pour se gausser de brave gens. Ce qui le conduit à éliminer le cas de St. Alban (p. 667-668), celui de Toulouse (p. 669), et enfin un troisième, Briatexte (LDLN 249-250, p. 26 - lorsqu'il fut atteint par le virus de la socio-psychologie), qu'il avait d'abord jugé crédible dans son livre (p. 138-139). Or, si l'on consulte le livre de Michel Carrouges, Les Apparitions de Martiens, p. 163-167, on s'aperçoit que ces "canulars" n'en sont pas forcément car:

- Les farceurs allégués affirment n'avoir été que deux pour œuvrer. Et dans l'incident de St. Alban, il y a trois personnages remarqués.

- Dans les trois affaires rejetées par Figuet, toutes font état de petits êtres, et non pas d'êtres humains de taille normale pour des adultes comme devaient l'être ces deux journalistes.

- Dans les trois mêmes cas, il y a observation d'un appareil qui se pose, ou bien qui décolle, ou encore qui se pose puis décolle.

Dans le cas de Toulouse, il y a deux effets sur l'un des témoins: paralysie et projection au sol (par un puissant souffle?). Voir D.O. 72.

- Samedi-Soir du 21 au 27 octobre 1954, qui rapporte la "tournée provinciale" de ses deux reporters, ne donne qu'un itinéraire partiel et surtout aucune date. Carrouges signale même dans son livre que puisqu'aucune preuve du passage effectif des deux journalistes dans les localités concernées n'est offerte : "On serait même en droit de se demander si le reportage n'a pas été fabriqué de toutes pièces!".

- Last but not least, Samedi-Soir précise que les prétendues farces ont été montées devant des fermes isolées. Le cas de Toulouse s'est produit en milieu urbain; celui de Briatexte sur une route fréquentée et un disque a été vu effectuant un décollage; quant à l'incident de St. Alban, le plus douteux des trois à la rigueur, il est question de trois petits êtres vêtus d'uniformes gris collants et coiffés de casques d'aviateurs. Or les farceurs n'étaient que deux, d'une taille normale pour des adultes, et avaient revêtu chacun un scaphandre en caoutchouc, et coiffé un énorme casque de cuivre percé de hublots (se reporter à une coupure de presse du cahier iconographique qui reprend le texte de Samedi-Soir - D.O. 73).

Tous les éléments rassemblés ici indiquent que les cas de Briatexte, Toulouse, et St. Alban, ne sont pas (et loin s'en faut) des canulars montés par ces deux messieurs qui se croyaient très intelligents... Et Figuet, une fois de plus, n'a pas vérifié aux sources car il émet un jugement totalement inapproprié.

[*] Le document de Samedi-Soir mentionné n'est en fait pas publié dans le cahier iconographique.

63 - 13 octobre, 19h35, Toulouse, Haute-Garonne.

MM. Olivier, Pérano, et un enfant de 15 ans anonyme.

Les témoins voient se poser un engin sphérique émettant une luminosité rougeâtre, sur un terrain vague du quartier de La Croix Daurade. Puis, un petit scaphandrier d'environ 1m20 est remarqué se dirigeant vers eux. Sa tête est grosse par rapport au corps et ses yeux sont énormes. Sa tenue brille comme du verre. L'appareil est entouré de reflets irisés et d'un léger brouillard. Un des témoins veut s'en approcher mais il se sent comme para¬lysé. L'être réintègre alors l'engin et doit même se courber pour rentrer à l'intérieur. Puis, l'objet décolle sans bruit à la verticale dans un sillage de feu et après avoir projeté le témoin paralysé au sol. Le lendemain, des traces huileuses furent découvertes en divers endroits du terrain vague où se déroula l'incident.

Source locale: Centre-Matin, Montluçon, 15 octobre 1954, p. 8 (D.O. 72).

Nota: Comme pour les cas de Briatexte et de St. Alban, celui-ci est classé par Figuet comme l'un des canulars qu'auraient monté deux journalistes parisiens. Le lecteur est invité à se reporter à ma mise au point figurant en fin de ce chapitre, qui donne un tout autre éclairage sur une situation qui a dû abuser bien des chercheurs, à commencer par Figuet ! Je signale enfin que Radar du 24 octobre 1954, p. 3, qui a envoyé un reporter pour interro¬ger les témoins, parle d'un Mr. Panero, et non Pérano...

[Ref. goe1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:

L'ufologue belge indique que le 13 octobre 1954 en France à Toulouse, à Bourrassole, à 19 h 35, trois témoins, MM Olivier, Pérano et un autre témoin, virent un disque de 4 m de diamètre et un être humanoïde de petite taille en scaphandrier. Par rapport au corps il avait une grosse tête et deux yeux énormes. Le vêtement brillait et luisait comme du verre. L'engin était entouré d'une sorte de brillance brumeuse. Un des témoins s'approcha jusqu'à 20 m de l'engin où il fut paralysé, tandis que l'appareil décollait à grande vitesse en le jetant à terre.

Les sources sont indiquées comme Paris-Presse, Libération, 15 oct 1954, La Croix, 16 oct 1954; et Jacques Vallée: "Chronique des apparitions ET" - Denoël 1972 - Coll. J'Ai Lu - p. 279; et Michel Bougard: "Des S.V. aux OVNI" SOBEPS 1976 - p. 211.

Godelieve van Overmire indique que l'autre version est qu'en réalité, revenant de Graulhet, les journalistes de "Samedi-Soir" décidèrent de s'amuser aux dépens des Toulousains. Revêtus de leurs tenues de scaphandriers ils manœuvrèrent devant un feu de Bengale rouge et tirèrent une fusée de feux d'artifices.

La source de cette autre version est indiquée comme M. Figuet/ J.L. Ruchon: "Ovni, premier dossier complet..." - éd. Alain Lefeuvre 1979, p. 669.

[Ref. kbd1:] KEITH BASTERFIELD:

Keith Basterfield indique que le 13 octobre 1954 à Bourrasole, en France, 3 personnes, Perano, Olivier et un autres, ont vu un OVNI en forme de disque d'un diamètre de 4m avec un petit être. Cet être était de 1.2m de haut, portait une tenue de plongée. Une personne a approché l'objet à moins de 20m et a été paralysée. Quand l'être est entré dans l'objet et a volé loin, la personne immobilisée a été jetée à à terre, et l'engin est parti.

La source est indiquée comme: Bowen, C. 1969. The Humanoids. Neville Spearman. Londres. pp44-45.

[Ref. lhh1:] LARRY HATCH:

1954/10/13 BOURRASOLE/TOULOUSE, FR: Disque
et humanoïde. Un farce journalistique.

[Ref. sdn1:] STEVEN DUNN:

Bourasote, FR
13 Oct 54

Trois personnes (pas ensemble) ont vu un engin en forme de disque rougeâtre d'environ 12 pieds de diamètre. Ils ont tous rapporté un être dans un costume argenté brillant avec une grande & et des yeux énormes.

CE-3-102 Randle/Estes, FOV pg 268
Toulouse, FR
15 Oct 54

Un témoin a signalé qu'il a vu une petite créature avec de grands yeux près d'un petit engin en forme de disque.

CE-3-102 Randle/Estes, FOV pg 268

[Ref. djn1:] DONALD JOHNSON:

Donald Johnson indique que le 13 octobre 1954, messieurs Olivier et Perano et un troisième homme à Bourrasole, France, ont vu un disque rougeâtre d'environ 4 mètres de diamètre avec une petite humanoïde à côté. L'être faisait environ 1,2 mètres (5 pieds) de haut, portant une tenue de plongée. "Sa tête était grande par rapport au reste du corps et il avait deux énormes yeux. Le costume était lumineux et brillant comme le verre." Le disque était entouré par une sorte de lueur brumeuse. Un des témoins a approché à 20 mètres de lui et s'est trouvé paralysé. L'engin a décollé, jetant l'homme qui se tenait le plus près à terre, et est monté dans le ciel très rapidement.

Les sources sont indiquées comme La Croix, 16 octobre 1954; Jacques Vallee, Passport to Magonia, p. 227.

[Ref. ars1:] ALBERT ROSALES:

157.

Lieu. Bourrasole France

Date: 13 octobre 1954

Heure: 1935

M. Olivier et Perano et un 3ème homme ont vu un disque rougeâtre d'environ 12 pieds de diamètre, avec un être de 4 pieds à côté, portant une "tenue de plongée." Sa tête était grande par rapport au corps et il avait 2 énormes yeux. Le costume était lumineux et brillant comme du verre. Une sorte de lueur brumeuse a entouré l'engin. Un des hommes est allé à 20 mètres de lui et s'est retrouvé paralysé. L'engin a décollé, le jetant à terre, et est monté très rapidement.

Humcat 1954-93

Source: Jacques Vallee, Passport to Magonia

Type: C

[Ref. jbu1:] JEROME BEAU:

Jérôme Beau indique que le 13 octobre 1954 à 19:35 à Bourrasole (France), MM. Olivier et Perano et un 3ème homme voient un disque rougeâtre d'environ 4 m de diamètre avec, tout près, 1 petit être d'environ 1,20 m de haut, portant une tenue de scaphandrier. Il a une grosse tête, par rapport au reste du corps, et 2 yeux énormes. Le vêtement brille et luit comme du verre. L'engin est entouré par une sorte de brillance brumeuse. L'un des hommes s'approcha à 20 m et se trouve paralysé. L'engin décolle, le jetant au sol, et s'élève très rapidement.

Les sources sont indiquées comme Paris-Presse, Libération, 15 octobre 1954, La Croix, 16 octobre 1954.

[Ref. mps1:] MICHEL PADRINES:

Michel Padrines indique que le 13 octobre 1954, à 19:35 à Bourrasole, MM. Olivier et Perano et un 3ème homme voient un disque rougeâtre d'environ 4 m de diamètre avec, tout près, 1 petit être d'environ 1,20 m de haut, portant une tenue de scaphandrier. Il a une grosse tête, par rapport au reste du corps, et 2 yeux énormes. Le vêtement brille et luit comme du verre. L'engin est entouré par une sorte de brillance brumeuse. L'un des hommes s'approcha à 20 m et se trouve paralysé. L'engin décolle, le jetant au sol, et s'élève très rapidement.

Les sources sont indiquées comme Paris-Presse, Libération, 15 octobre 1954, La Croix, 16 octobre 1954.

[Note: l'auteur a purement et simplement copié/collé la page de [jbu1] pour le 13 octobre, sans en donner crédit.]

[Ref. uda1:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 13 octobre 1954 à 19:35 à Bourrasole, France, il y a eu une rencontre étroite avec un engin non identifié et ses occupants. L'explication est: Canular.

"Trois témoins militaires expérimentés masculins ont observé un disque lumineux, d'environ 20 pieds de large, dans une ville brièvement. Un nain de 4 pieds de haut, portant un costume de plongeur, a été vu."

Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Lorenzen, Coral E., Flying Saucer Occupants, Signet T3205, New York, 1967; Lorenzen, Coral E., Encounters with UFO Occupants, Berkley Medallion, New York, 1976, ISBN:425-03093-8; Bowen, Charles, The Humanoids: FSR Special Edition No. 1, FSR, Londres, 1966; Pereira, Jader U., Les Extra-Terrestres, Phenomenes Spatiaux, Paris, 1974; Vallee, Jacques, Computerized Catalog (N = 3073); Vallee, Jacques, Challenge to Science: The UFO Enigma, Henry Regnery, Chicago, 1966; Vallee, Jacques, Preliminary Catalog (N = 500), (dans JVallee01); Vallee, Jacques, A Century of Landings (N = 923), (dans JVallee04), Chicago, 1969; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173); Carrouges, Michel, Les Apparitions de Martiens, Fayard, Paris, 1963; Delaire, J. Bernard, UFO Register Volume 7 (1976), Data Research, Oxford, 1976; Coupures de Journaux; Civilian Saucer Intelligence-New York; Hatch, Larry, données internet; Stringfield, L

[Ref. uda2:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 13 octobre 1954 à 19:35 à Bourrasole, France, messieurs Olivier et Perano et un troisième homme ont vu un disque rougeâtre d'environ quatre mètres de diamètre avec un petit être à côté, d'environ 1,2 mètres de haut, portant un costume de plongée: "Sa tête était grande par rapport au reste du corps et il avait deux énormes yeux. Le costume était lumineux et brillant comme du verre." L'engin était entouré par une sorte de lueur brumeuse. Un des hommes s'est approché à 20 mètres de lui et s'est trouvé paralysé. L'engin a décollé, le jetant à la terre, et est monté très rapidement.

Le site commente que "on a observés un disque volant. Des effets physiologiques ont été notés. Témoins indépendants multiples. Une soucoupe rouge, d'environ 20 pieds de large, a été observée par trois témoins militaires expérimentés masculins dans une ville brièvement (Olivier; Ott [non]). Un nain de 4 pieds de haut, portant un costume de plongeur, a été vu."

Le site ajoute encore que "M. Olivier et Perano et un 3ème homme ont vu un disque rougeâtre d'environ 12 pieds de diamètre, avec un être de 4 pieds à côté, portant "une tenue de plongée." Sa tête était grande par rapport au corps et il avait 2 énormes yeux. Le costume était lumineux et brillant comme le verre. Une sorte de lueur brumeuse entourait l'engin. Un des hommes 'est approché à 20 yards de lui et s'est trouvé paralysé. L'engin a décollé, le jetant à terre, et est monté très rapidement."

Les sources sont indiquées comme Guieu, Jimmy, Flying Saucers Come from Another World, Citadel, New York, 1956; Vallee, Jacques, Challenge to Science: The UFO Enigma, Henry Regnery, Chicago, 1966; Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database.

[Ref. prn2:] PETER ROGERSON:

Octobre 13 1954. 1935hrs

BOURRASOLE (HAUTE-GARONDE: FRANCE)

Messes Olivier et Perano, avec un troisième homme, ont vu un disque rougeâtre d'environ 4m de diamètre. A proximité il y avait un petit être, d'environ 1,2 m de haut, portant une combinaison de plongée brillant, claire, comme du verre. Sa tête était grande par rapport au reste de son corps et il avait deux énormes yeux. L'objet était entouré par une sorte de lueur brumeuse. Un des hommes s'est approché à moins de 20m et a été paralysé. L'objet a décollé, le jetant au sol, et s'est élevé très rapidement. Certains chercheurs ont étiqueté le cas comme un canular de la presse, d'autres n'étaient pas d'accord.

Vallee cas 249 citant La Croix 16 octobre 1954 + Paris Presse + Liberation 15 octobre 1954.
Samedi Soir 27 octobre 1954.
Alain Gamard.

[Ref. nip1:] "THE NICAP WEBSITE":

13 oct. 1954 - Cette même nuit-là à 19h35 Messieurs Olivier et Perano et un troisième homme dans Bourrasole, France ont vu un disque rougeâtre d'environ 4 mètres de diamètre avec un petit humanoïde à côté. L'être mesurait environ 1,2 mètre (5 pieds) de hauteur, et portait une combinaison de plongée. "Sa tête était grande par rapport au reste du corps et il avait deux énormes yeux. Le costume était lumineux et brillant comme du verre." Le disque était entouré par une sorte de lueur brumeuse. Un des témoins est venu dans les 20 mètres de celui-ci et s'est retrouvé paralysé. L'engin a décollé, jetant l'homme qui se tenait là au sol, et s'éleva dans le ciel très rapidement. (Sources: La Croix, 16 octobre 1954; Jacques Vallee, Passport to Magonia, p. 227, cas N°249).

[Ref. tai1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT":

Lieu: Bourrasole France

Date: 13 octobre 13 1954

Heure: 1935

Mr. Olivier et Perano et un 3ème homme ont vu un disque rougeâtre der 12 pieds de diamètre, avec un être de 4 pieds étant tout près, vêtu d'un "costume de plongée." Sa tête était grande par rapport au corps et il avait deux yeux énormes. Le costume était lumineux et brillant comme du verre. Une sorte de lueur brumeuse entourait l'engin. Un des hommes est venu dans les 20 mètres de celui-ci et s'est retrouvé paralysé. L'engin a décollé, le jetant au sol, et s'est élevé très rapidement.

Source: Jacques Vallee, Passport to Magonia 249

[Ref. ubk1:] "UFO-DATENBANK":

Cette base de données a enregistré ce cas 16 fois au lieu d'une!

N° de cas Nouveau N° de cas Enquêteur Date d'observation CP Lieu d'observation Pays d'observation Heure d'observation Classification Commentaires Identification
19541013 13.10.1954 Bourrasole France 19.35 RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France 19.35 RR III
19541013 13.10.1954 Toulouse France 19.35 RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France 19.35 RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France Nuit RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France 19.35 RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France 19.35 RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France 19.35 RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France RR III
19541013 13.10.1954 Bourrasole France 19.45 RR III
19541013 13.10.1954 Toulouse France
19541013 13.10.1954 Bourrasole France 19.35 RR III
19541013 13.10.1954 Toulouse France RR III
19541013 13.10.1954 Bourasole France RR III

[Ref. prn3:] PETER ROGERSON - "INTCAT":

13 octobre 1954. 1935hrs.

BOURRASOLE (MIDI-PYRANEES : FRANCE)

Messrs Olivier et Perano, en compagnie d'un troisième homme, ont vu un disque rougeâtre d'environ 4m de diamètre. Près de lui il y avait un petit être, d'environ 1.2m de haut, portant une tenue de plongée brillante; claire, ressemblant à du verre. Sa tête était grande en comparaison du reste de son corps et il avait deux yeux énormes. L'objet était entouré par une sorte de brume luisante. Un des hommes a approché à 20m et a été paralysé. L'objet a décollé, le jetant au sol, et s'est élevé très vite.

Evaluation - Encore un autre canular par les journalistes de Samedi Soir

Photographie:

Cette rare photographie a été prise peu de temps après l'observation. A gauche, Mr. Perano, à droite, son patron Mr. Olivier; le troisième témoin est le jeune homme en retrait derrière Mr. Olivier. Comme il se faisait parfois à cette époque, un dessin a été fait sur une porte à la craie pour le bénéfice du photographe de presse.

La photographie est généralement parue tardivement dans quelques magazines, comme Life [lie1]. J'ai pu en trouver une copie:

Explications:

Carte.

La farce des journalistes de Samedi-Soir.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Bourrasole, Toulouse, Midi-Pyrénées, farce, canular, multiple, Perrano, Olivier, scaphandre, voiture, artifice, feux, feu, fusées

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 24 avril 2003 Première publication.
1.0 Patrick Gross 27 décembre 2008 Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Addition [jbu1].
1.1 Patrick Gross 29 décembre 2008 Additions [cln1], [goe1], [kbd1], [lhh1], [djn1], [mps1], [uda1], [uda2].
1.2 Patrick Gross 23 avril 2009 Addition [bbr1].
1.3 Patrick Gross 13 mars 2010 Addition [jgu1].
1.4 Patrick Gross 18 mars 2010 Addition [hjn1].
1.5 Patrick Gross 13 juin 2010 Addition [lae1].
1.6 Patrick Gross 29 juin 2010 Addition [jve5].
1.7 Patrick Gross 17 août 2010 Addition [vmr1].
1.8 Patrick Gross 21 octobre 2011 Addition [cln2].
1.9 Patrick Gross 14 août 2013 Addition [prn1].
2.0 Patrick Gross 25 septembre 2014 Additions [hia1], [nip1], [tai1].
2.1 Patrick Gross 7 octobre 2016 Addition [rdr1].
2.2 Patrick Gross 6 décembre 2016 Additions [ler1], [ubk1].
2.3 Patrick Gross 7 janvier 2017 Addition [cnd1].
2.4 Patrick Gross 19 janvier 2017 Addition [pce1].
2.5 Patrick Gross 15 janvier 2020 Addition [srd1], [ous1], [prn1], [cac1], [mft1], [mft3], [mtf4], [krs1], [prn3].
2.6 Patrick Gross 24 février 2020 Additions [nnm1], [ppe1].
2.7 Patrick Gross 4 mars 2020 Additions [cpd1], [ner1].
2.8 Patrick Gross 22 avril 2020 Addition [vdn1].
2.9 Patrick Gross 16 mai 2020 Addition [nmn1].
3.0 Patrick Gross 1 novembre 2020 Addition [jps1].
3.1 Patrick Gross 17 janvier 2021 Addition [lcx1].
3.2 Patrick Gross 11 mai 2021 Addition [lon1].
3.3 Patrick Gross 21 septembre 2021 Addition [tbw1].
3.4 Patrick Gross 13 mai 2022 Additions [gqy1], [gqy2].
3.5 Patrick Gross 20 mai 2022 Addition [ssr1].
3.6 Patrick Gross 6 juin 2022 Addition [agd1].
3.7 Patrick Gross 12 juin 2022 Addition [lln1].
3.8 Patrick Gross 2 juillet 2022 Additions [amn1], [jve8].
3.9 Patrick Gross 12 juillet 2022 Additions [hdl1], [jsr1], [gab1].

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Cette page a été mise à jour le 12 juillet 2022.