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OVNI Chili, octobre 1967

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s'il avait un champ gravitationnel propre comme selon les théories de Plantier sur le système de propulsion des disques volants.

Vers onze heures du soir, un "blizzard" commencé à commencé à souffler sur l'Antarctique, un vent capable d'atteindre une vitesse de 300 kilomètres par heure, et le ciel a été couvert de nuages. Vers deux heures du matin, au milieu d'un temps de calme, il a été vérifié que la radioactivité a diminué, la tension psychologique s'est assoupli chez les hommes, même avant qu'ils puissent le vérifier visuellement, ils étaient certain que les objets avaient disparu. Le lendemain reprit la radio-activité avait retrouvé son niveau normal. Dans l'après-midi, pendant une pause temporaire, le ciel s'est dégagé de presque quarante pour cent, les objets n'étaient plus là.

Le 20 janvier, l'hélicoptère a sauvé les quatre hommes. Bien qu'ils n'aient pas osé raconter leur aventure, par peur du ridicule, ils ont décidé de s'en ouvrir à un haut fonctionnaire de la marine chilienne, qui n'a pas été dérangé par l'histoire. L'officier connaissait de nombreuses observations d'objets volants non identifiés, enregistrés sur presque toutes les expéditions en Antarctique, bien que rien d'aussi long ou d'aussi précis que celle de Barros et Tagle. L'ATIC (Air Technical Intelligence Center des États-Unis) leur a également envoyé un questionnaire très complet, que Barros et Tagle ont rempli et renvoyé.

A L'APPUI DES ORTOTHENIES

Les études de Jacques Vallée sur les alignements ou "ortothénies" sembleraient leur avoir soustrait une bonne partie de leur singularité; cependant, en dépit de la plupart des critiques de Vallée sur l'exactitude des orthoténies, je pense que le point le plus intéressant est dans l'observation d'Aimé Michel que certaines d'entre elles semblent être répétées à différentes occasions, ne se limitant pas aux observations faites le même jour.

Je vais essayer de renforcer ici le contexte présenté dans notre premier numéro à l'appui de cette hypothèse, en considérant de nouveaux exemples.

En marquant sur une carte en même temps les nombreuses ortothénies trouvées pour la France en la période Septembre - Octobre 1954, vous pouvez voir que de nombreuses observations de différents moments tombent sur l'une des ortothénies tracées, ce qui n'est pas surprenant compte tenu du grand nombre d'alignements trouvés (plus d'une centaine dans cette période). Cependant, quand un alignement donné pour un jour pas deux ou plusieurs observations, et qu'il est complété d'autres jours, le fait commence à être important, comme dans le cas de l'alignement AUPER décrit dans l'article précédent (nous utilisons l'abréviation indiquée par Vallée dans son livre).

L'alignement "BAMOP", dans un excellent exemple

La comparaison de l'alignement est produite les 2 et 7 octobre 1954, précisément des jours plus denses que les jours des alignements de la période, a révélé une coïncidence remarquable entre la ligne Vannes Châteaumeillant - Morestel du jour 2 et Plozevet - Montlevic - Beauvoir ("BAMOP") du jour 7. En effectuant le calcul du cercle terrestre maximum qui traverse Vannes et Morestel, il s'avère que

UFO Chile, Octubre de 1967

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que contase con un campo gravitación al propio¡ conforme a las teorías de Plantier sobre el sistema de propulsión de los discos voladores.

A eso de las once de la noche empezó a soplar el "blizzard», viento antártico capaz de alcanzar velocidades de 300 kilómetros por hora, y el cielo se cubrió de nubes. Como a las dos de la madrugada, en medio de un temporal desatado, se verificó que la radiactividad había disminuido, Paralelamente se aflojó la tensión sicológica en los hombres. Aún antes de poder comprobarlo visualmente, tuvieron la certeza de que los objetos se habían marchado. Al día siguiente la radiactividad retomó su nivel normal. En la tarde, durante una pausa del temporal) el cielo se despejó casi en un cuarenta por ciento, los objetos ya no estaban allí.

El 20 de enero el helicóptero rescató a los cuatro hombres. Aunque no se atrevían a narrar su aventura, por temor al ridículo, se decidieron a sincerarse con un alto oficial de la armada chilena, quien no se alteró con la historia. El oficial conocía muchas observaciones de objetos voladores no identificados, registradas en casi todas las expediciones a la Antártida, aunque ninguna tan prolongada ni precisa como las de Barros y Tagle. El ATIC (Air Technical lntelligence Center de U.S.A.), les envió, asimismo, un extensísimo cuestionario, que Barros y Tagle llenaron y devolvieron.

EN APOYO DE LAS ORTOTENIAS

Los estudios de Jacques Vallée sobre las alineaciones u 'ortotenias parecerían haber restado a éstas buena parte de su singularidad; sin embargo, a pesar de encontrar muy acertadas la mayoría de las críticas de Vallée a la exactitud de las ortotenias, creo que el punto más interesante está en la observación de Aimé Michel de que algunas de éstas parecen repetirse en ocasiones distintas, sin limitarse a observaciones efectuadas en un mismo día.

Intentaré reforzar aquí los antecedentes expuestos en nuestro primer número en apoyo de esta hipótesis, considerando nuevos ejemplos.

Al dibujar en una mapa simultáneamente las numerosas ortotenia encontradas para Francia en el período septiembre - octubre de 1954, puede ver que muchas observaciones de distinta s épocas caen sobre alguna de las ortotenias dibujadas, lo cual no es extraño en vista de la gran cantidad de ortotenias encontrada s (más de cien en ese período). Sin embargo, cuando sobre una ortotenia determinada para cierto día se reúnen dos o más observaciones de otro día bien de terminado, el hecho empieza a ser significativo, como sucede en el caso de la alineación AUPER descrito en el artículo anterior (usamos la sigla indicada por Vallée en su libro).

La alineación «BAMOP», en ejemplo excelente

Comparando las alineación es producidas los días 2 y 7 de octubre de 1954, precisamente los días más densos en alineaciones de ese periodo, descubrimos una notable coincidencia entre la línea Vannes Chateaumeillant - Morestel del día 2 y Plozevet - Montlevic - Beauvoir («BAMOP») del día 7. Efectuando el cálculo del círculo máximo terrestre que pasa por Vannes y Morestel, resulta que