N° 1 1 2 3 4 5 6 7 8 > N° 3 N° 4
Transcription traduite en français:
OVNI Chili, octobre 1967
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était poli, compact, lisse, de surfaces métalliques, qui mettait en évidence une origine artificielle.
Les professeurs ont décidé de ne pas réveiller leurs compagnons, de leur laisser découvrir le phénomène "par eux-mêmes" étant donnée la possibilité, bien qu'improbable, que les deux scientifiques aient éLté en proie à une hallucination, qui aurait pu se communiquer à leur compagnons s'ils les prévenaient. Ils sont ensuite partis à une centaine de mètres du camp. Vers sept heures, est apparu le sergeant infirmier, qui avait l'habitude de quitter l'abri en chemise pour s'exercer et conserver ses qualités athlétiques. Presque immédiatement, les deux scientifiques l'ont entendu crier: "Professeur, professeur! Des disques volants!"
L'assistant s'est aussi levé, et bientôt les quatre hommes contemplèrent le phénomène, maintenant convaincu que ce n'était pas un mirage. Les deux objets restaient immobiles, comme s'ils faisaient partie du ciel depuis des temps immémoriaux.
Vers neuf heures du matin, l'objet Un, c'est-à-dire le plus proche du méridien, prit soudainement une position horizontale et se dirigea vers l'ouest à la vitesse de l'éclair. Il a perdu son éclat métallique, devenant une lumière qui traversait toutes les plages du spectre visible, de l'infrarouge à l'ultraviolet. Il a changé de direction à un angle aigu, sans s'arrêter, et a parcouru un autre bout du ciel à la même vitesse, pour reprendre une nouvelle direction. Il a poursuivi ses manoeuvres vertigineuses, zigzaguant, freinage fortement, accélérant vers une vitesse instantanée, se déplacement au-dessus de la tête des observateurs, toujours en suivant des trajectoires tangentielles par rapport à la Terre, le tout dans un silence absolu. Après environ cinq minutes de cette démonstration de puissance, il s'est stationné à côtà de son partenaire, presque dans sa position d'origine, mais maintenant séparé de l'autre d'environ 50 degrés, les deux restant immobile pendant que celui qui avait fait sa danse, rompait son immobilité et commençait à tourner tranquillement vers l'est. Il a fait une douzaine de vols erratiques, avec des changements brusques de vitesse, offrant les mêmes changements de couleurs en accélérant ou en s'arrêtant. Environ trois minutes plus tard, il est allé s'arrêter à côté de son partenaire, et a récupéré son apparence de matière métallique.
L'expédition avait deux détecteurs Geiger-Miller de haute sensibilité l'un de l'audio et l'autre de la scintillation. Lorsque des objets étaient retournés à leur positions d'origine, quelqu'un a découvert que le détecteur de scintillation a révélé que la radioactivité ambiante a augmenté de 40 fois, à savoir, pourrait produire la mort d'un organisme soumis à cela pendant une période prolongée. Cette découverte a accentuée les craintes des expéditionnaires.
La température a été maintenue à environ 15 à 20 degrés centigrades sous zéro, sans qu'aucune vapeur n'altère la pureté du ciel. Personne ne pouvait rien faire pendant ce jour-là, sauf observer les objets. La sensation d'avoir été transformé en micro-organismes, placés sur la platine du microscope, froidement examinée par des yeux indescriptibles, ne permettait pas aux hommes de se concentrer sur leurs tâches habituelles. Bien qu'ils n'aient pas eu de téléobjectif, ils ont pris de nombreuses photos en couleur et en noir et blanc.
Transcription originale en espagnol:
UFO Chile, Octubre de 1967
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to bruñido, compacto, de lisas superficies metálicas, evidenciaba un origen artificial.
Los profesores decidieron no despertar a sus compañeros, para dejarlos que se enterasen del fenómeno "per se" cabía la posibilidad, aunque remota, de que ambos científicos fuesen presa de una alucinación, la que habrían podido comunicar a sus acompañantes al prevenirlos. Se alejaron entonces uno cien metros del campamento. A eso de las siete de la mañana apareció el sargento enfermero, que acostumbraba abandonar el refugio en camiseta para hacer ejercicios y conservar su estado atlético. Casi de inmediato ambos científicos le oyeron gritar: «Profesor, profesor! ¡Discos voladores!"
Se levantó también el ayudante, y pronto los cuatro hombres contemplaban el fenómeno convencidos ahora de que no se trataba de un espejismo. Los dos objetos seguían inmóviles, como si hubiesen formado parte del cielo desde tiempos inmemoriales.
A eso de las nueve de la mañana el objeto Uno o sea, el más próximo al meridiano, tomó bruscamente una posición horizontal y se desplazó hacia el oeste con la velocidad de una centella. Perdió su brillo metálico, convirtiendo en una luz que recorría todas las gamas del espectro visible, desde el infrarrojo al ultravioleta. Cambió de rumbo en un ángulo agudo, sin detenerse, y recorrió otro trecho del cielo a la misma velocidad, para volver a tomar una nueva dirección. Prosiguió sus vertiginosas maniobras zigzagueando, frenando bruscamente, acelerando con instantánea velocidad, trasladándose sobre la cabeza de los observadores, siguiendo siempre trayectorias tangenciales con respecto a la Tierra, todo en el más absoluto silencio, Al cabo de unos cinco minutos de aquel despliegue de energía, fue a estacionarse junto a su compañero, casi en su posición primitiva, aunque ahora separado del otro por unos 50 grados, El Dos, que permaneciera inmóvil mientras el Uno realizaba su danza, rompió a su vez ta quietud y dirigiéndose hacia el este, efectuó una decena de vuelos quebrados, con bruscos cambios de rumbo, ofreciendo las mismas mutaciones de colorido cuando aceleraba o se detenía. Unos tres minutos después fue a detenerse junto a su compañero, y recuperó su material apariencia metálica.
La expedición poseía dos detectores Geiger-Miller de alta sensibilidad uno de audio y otro de centelleo. Cuando los objetos hubieron retornado su posición primitiva, alguien descubrió que el detector de centelleo revelaba que la radiactividad ambiente había aumentado 40 veces, es decir, podía producir la muerte a un organismo sometido a ella por un período prolongado. Este des ubrimiento acentuó los temores de los expedicionarios.
La temperatura se mantenía en unos 15 a 20 grados centígrados bajo cero, sin que un vapor alteras e la pureza del firmamento. Nadie pudo hacer nada durante ese día, excepto observar los objetos. La sensación de haberse convertido en microorganismos, colocados en la platina de un microscopio, fríamente examinados por indecibles ojos, no permitía a los hombres concentrarse en sus labores habituales. Aunque carecían de teleobjetivo, tornaron numerosas fotos tanto en color como en blanco y negro.