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La vague française de 1954:

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15 octobre 1954, Londinière, Seine-Maritime:

Référence pour ce cas: 15-oct-54-Londinière.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Rapports:

[Ref. lie1:] JOURNAL HEBDOMADAIRE "LIBERTE DIMANCHE":

Scan.

LA REGION DIEPPOISE ATTEINTE A SON TOUR

SOUCOUPE, CIGARE
et "être étrange"

sont apparus à un habitant de Londinières

L'actualité fait une consommation courante de soucoupes et autres engins volants, et rares sont les régions qui n'ont pas encore trouvé en ces apparitions matière à dissertation.

Avouons cependant que la Normandie n'a pas été jusqu'ici très gâtée et l'on est fondé de se demander si la sagesse du Normand, lequel ne se laisse guère influencer et prendre aux "on dits", ne joue pas en l'occurrence un rôle prépondérant.

Si nous entendons, bien sûr, que les visions de soucoupes volantes tombent dans le domaine d'une imagination trop fertile, d'une hallucination individuelle ou collective...

Mais voici que vient de Londinières une information qui peut permettre à notre province (laquelle montrerait ainsi son désir de n'être point rétrograde) de se hisser au niveau des autres régions qui "ont vu".

Et d'un seul coup, voilà qu'on nous sort quatre soucoupes, un cigare et un être étrange (de 1 m. 20, comme il se doit, pour ne point rompre le charme) accompagnée de phénomènes qui, eux non plus, n'ont rien de tellement inédit.

M. Henri Robert circulait en auto sur la R.N. 214, à la nuit tombante, entre Mesnières et Londinières - où il habite - quand, à Bagnolet, il aperçut quatre engins superposés, de couleur orange "semblant être des soucoupes volantes", qui évoluaient à 300 mètres de hauteur. L'une d'elles se détacha, descendit et vint zigzaguer devant sa voiture avant de disparaître. Dans le même temps, M. Robert avait ressenti comme une forte commotion électrique et les commandes de son véhicule avaient été momentanément annihilées.

A peine était-il remis de sa surprise, qu'à 3 kms de là, M. Robert aperçut dans ses phares, au milieu de la chaussée, un être étrange de 1 m. 20 environ. Cette fois ce furent ses phares qui s'éteignirent, puis se rallumèrent aussitôt. L'automobiliste remarqua alors, au bord du talus, un engin long de trois mètres, pointu à ses deux bouts et de forme cylindrique.

Le fameux cigare dans toute l'acception du terme auquel il ne fallut "qu'une seconde" pour disparaître, tous feux éteints, dans la direction du Nord.

C'est à une heure du matin, samedi, que M. Robert est venu faire, à la gendarmerie de Londinières, le récit de ce qu'il avait vu et ressenti. Mais ses propos étaient incohérents, ses paroles sans suite.

Effet de la commotion dont il se disait avoir été la victime quelques heures plus tôt, ou réaction causée par l'amoncellement de soucoupes d'un autre genre, et d'un modèle plus courant, sur quelque guéridon.

Les gendarmes se rendirent à Baillolet où ils ne constatèrent rien d'anormal, ceci étant confirmé par un nouveau déplacement, samedi matin, de jour. Aucune trace, aucun autre témoin du phénomène...

Ce qui n'empêcha pas M. Robert, à 9 heures, de confirmer son récit.

Attentat manqué contre un faux "Martien"

LILLE. 16 octobre (A.F.P.). -- M. Maurice Ruant, cultivateur à Sinceny (Aisne), était occupé à dépanner sa voiture, dans un pré, quand deux coups de fusil de chasse furent tirés dans sa direction. Les plombs s'écrasèrent sur la carrosserie du véhicule, non loin de sa tête. L'enquête permit de retrouver rapidement l'auteur des deux coups de feu, un voisin, M. Faisant.

J'ai cru, a-t-il dit, en voyant une silhouette évoluant dans la lumière de deux phares, être en présence d'un martien en train de réparer sa soucoupe volante. Je suis allé chercher mon fisil et j'ai tiré.

Malgré sa bonne foi, M. Faisan sera poursuivi.

[Ref. lid1:] JOURNAL "LES INFORMATIONS DIEPPOISES":

Scan.

FAITS LOCAUX

Non, la région Dieppoise n'est pas déshéritée!

Un Habitant de Londinières
en a vu - non pas "une" -
mais quatre

Soucoupes par ci, cigares par là.

Et chaque jour apporte de nouvelles apparitions dans le ciel de France et d'ailleurs.

Notre région n'avait pas jusqu'alors été favorisée par ces engins dont on fait actuellement une grosse consommation et sur lesquels on épilogue à qui mieux mieux.

Produits d'imaginations fertiles, hallucinations, phénomène de condensation? On s'y perd et il ne semble pas que l'on soit à la veille d'une explication qui pourrait confirmer les dires de ceux qui "ont vu" ou confondre les autres "qui ont cru voir" ou lancé des "canulars".

Notre région, avons-nous dit, n'avait pas été particulièrement recherchée par ces engins mystérieux, n'avait pas été hantée par des êtres qui ne le sont pas moins. Mais aujourd'hui il n'en est plus de même et ceci grâce (!) au récit qu'est venu faire, dans la nuit de vendredi à samedi, à la gendarmerie de Londinières, M. Henri robert, qui habite cette dernière commune. A lui seul, et en un laps de temps très réduit, il déclare avoir vu quatre soucoupes, un cigare, et un être étrange.

Très beau butin, n'est-il pas vrai?

Mais venons-en aux conditions dans lesquelles toute cette armada d'un autre monde est venue défiler sous les yeux de M. Robert.

Celui-ci, en voiture, circulait vendredi, à la nuit tombante, sur la Route Nationale 414 entre Mesnière-en-Bray et Londinières, quand à Baillolet son attention fut attirée par la présence, au-dessus de lui, d'un groupe de "quatre engins superposés, de couleur orange, semblant être des soucoupes volantes, qui évoluaient à quelques trois cent mètres de hauteur."

Soudain, il vit l'un des engins se détacher et venir zigzaguer devant son automobile, dont les commandes se trouvèrent momentanément annihilées. Dans le même temps, il ressentait comme une forte commotion électrique, tandis que la "soucoupe" disparaissait.

Le temps de se remettre, et M. Robert poursuivit sa route. Mais, trois kilomètres après la première apparition, l'automobiliste apercevait dans la lueur de ses phares un être étrange, d'environ 1 m. 20, qui traversait la chaussée. "A ce moment, mes phares s'éteignirent brusquement, puis se rallumèrent", déclara M. Robert, qui ajouta avoir alors observé au bord du talus un engin long de trois mètres, de forme cylindrique et pointu à ses deux extrémités.

Après les soucoupes et l'être étrange, le cigare, auquel "il ne fallut qu'une seconde pour disparaître tout feux éteints en direction du Nord."

Ceci, nous l'avons dit plus haut, se passait à la nuit tombante, mais ce n'est qu'à une heure du matin, samedi, que le témoin de ces apparitions successives se présenta à la gendarmerie de Londinières. On ne peut pas dire qu'à ce moment le récit qu'il en fit fut très net.

Effet de la forte commotion qu'il dit avoir ressentie?

En tout cas, malgré l'absence de traces laissées en bordure de la route par l'engin "interplanétaire" et bien qu'aucune autre personne de la région ne soit venue révéler les mêmes faits, M. Henri Robert confirmait son récit samedi matin.

Une nouvelle histoire à ajouter à des centaines d'autres, toutes plus mystérieuses les unes que les autres...

[Ref. nll1:] JOURNAL "NORD LITTORAL":

Scan.

UN VETERINAIRE,
DES EMPLOYES
de l'aéroport d'Orly
AFFIRMENT AVOIR VU
des "SOUCOUPES"

Toulon, 18 Oct.

DEPUIS 48 heures, deux Toulonnais, MM. Rappelien [sic], tenancier de bar, et Ottaviani, mécanicien de la marine marchande affirment avoir vu jeudi soir une soucoupe se poser au quartier du Chemin Long, à proximité d'Hyères, et en donnent une description absolument identique.

La brigade de l'air des renseignements généraux s'est rendue à Toulon et a longuement entendu les deux témoins qui ont tracé un croquis longuement détaillé du mystérieux engin.

Ce matin, les inspecteurs des renseignements généraux se sont rendus sur les lieux où les deux témoins déclarent avoir vu la soucoupe se poser, ils y ont relevé une grande trace circulaire où l'herbe est brûlée.

***

Dieppe, 17 oct.

A la nuit tombante, alors qu'il traversait en automobile la commune de Baillolet, sur la R.N. 311, M. Henri Robert, docteur-vétérinaire à Londinières, a vu quatre engins qui évoluaient les uns au dessus des autres, à environ 300 mètres d'altitude. M. Robert affirme que l'un d'eux vint zigzaguer devant son automobile, qu'il ressentit une forte commotion électrique, et que le moteur de sa voiture s'arrêta. Le vétérinaire aperçut alors sur la route un étrange personnage haut de un mètre vingt environ. Les phares de sa voiture s'éteignirent, quand ils se rallumèrent un cylindre long d'environ trois mètres décollait du talus et prenait la direction du nord.

M. Robert a conté son aventure aux gendarmes de Londinières.

***

Paris, 17 oct.

Deux employés de l'Aéroport d'Orly, MM. Raymond Castel et Charles Sirest ont affirmé au service de la police de l'air qu'ils avaient vu, dans la nuit de samedi à dimanche, vers 21 heure 30 une soucoupe volante traverser le ciel d'Orly d'est en ouest, "à l'allure d'un avion à réaction".

Parvenu au-dessus de la commune de Paray-Vieille-Poste, c'est à dire en bordure de la piste Ouest-est, le mystérieux engin, qui, selon les témoins se déplaçait à l'altitude de 300 mètres, s'immobilisa pendant une dizaine de secondes en tournant sur lui-même et émettant des rayons qui se reflétaient intensément au sol.

[Ref. nnm1:] JOURNAL "LE NOUVEAU NORD MARITIME":

Scan.

LES SOUCOUPES VOLANTES

Un vétérinaire rencontre un "Martien"

Dieppe, 18. -- A la nuit tombée, alors qu'il traversait, en automobile la commune de Baillolet, par la R. N. 316, M. Henri Robert, docteur-vétérinaire à Londinières, a vu quatre engins qui évoluaient les uns au-dessus des autres, à environ [???] mètres d'altitude. M. Robert affirme que l'un d'eux vient évoluer devant son automobile, qu'il ressentit une forte commotion électrique, et que le moteur de sa voiture s'arrêta.

Le vétérinaire aperçut alors sur la route, un étrange personnage, de un mètre 20 environ. Les phares de sa voiture s'éteignirent. Quand ils se rallumèrent, un cylindre, long d'environ trois mètres, décollait du talus et prenait la direction du Nord.

M. Robert a conté son aventure aux gendarmes de Londinières.

Chatellerault, 18. -- Samedi soir, vers 20 heures 30, trois sapeurs-pompiers, le capitaine Huguet, le lieutenant Doussineau et l'adjudant Berreau, ont vu évoluer dans le ciel, en direction du château de Targe, un large disque projetant des étincelles, et suivi d'une très longue traînée lumineuse. Ils arrêtèrent leur voiture. Le disque, disent-ils, passa au-dessus d'eux et ils entendirent un sifflement.

L'herbe est brûlée...

Toulon, 18. -- Deux Toulonnais, M. Rappelini, tenancier de bar, et Ottaviani, mécanicien de la Marine Marchande, affirment avoir vu jeudi soir une soucoupe se poser au quartier du Chemin Long, à proximité d'Hyères, et en donnent une description absolument identique.

La brigade de l'Air des Renseignements Généraux s'est rendue à Toulon et a longuement entendu les deux témoins, qui ont tracé un croquis détaillé du mystérieux engin.

Dimanche matin, les inspecteurs des Renseignements Généraux se sont rendus sur les lieux où les deux témoins déclarent avoir vu la soucoupe se poser. Ils y ont relevé une grande trace circulaire où l'herbe est brûlée.

Dans le ciel d'Orly

Paris, 18. -- Deux employés de l'aéroport d'Orly, MM. Raymond Castelle et Charles Sirest, ont affirmé aux services de la police de l'air qu'ils avaient vu, dans la nuit de Samedi à Dimanche, vers 21 heures 30, une soucoupe volante traverser le ciel d'Orly d'est en ouest, "à l'allure d'un avion à réaction". Parvenu au-dessus de la commune de Paray-Vieille-Poste, c'est-à-dire en bordure de la piste ouest-est le mystérieux engin qui, selon les témoins, se déplaçait à l'altitude de 300 mètres, s'immobilisa pendant une dizaine de secondes en tournant sur lui-même et émettant des rayons qui se reflétaient intensément au sol.

L'AVIS D'UN SAVANT ITALIEN
SUR LES
"SOUCOUPES VOLANTES"

Rome, 17. -- De nombreux italiens ayant observé des "disques", "soucoupes", "cigares" etc... volant dans le ciel de la péninsule, le "Giornale d'Italia" a interviewé le professeur Antonio Eula, titulaire de la chaire d'aérodynamique, à l'Université de Rome.

Cet éminent savant à propos de l'éventuelle provenance des dits engins d'autres planètes, a notamment déclaré: "Nous ne connaissons pas à fond les mystères de notre système solaire. L'astronautique, lorsqu'elle pourra être mise en pratique, nous permettra peut-être de les pénétrer. Mais nous savons dès à présent que des êtres semblables à nous ne peuvent exister sur les planètes actuellement connues. S'il y en a, ils ne peuvent qu'être profondément différents. Aussi est-il absurde de parler de Martiens capables d'activité de caractère humain".

En réponse à une autre question, le professeur Eula a dit ne pas se croire autorisé à exclure, de manière absolue, qu'il puisse s'agir "d'engins expérimentaux destinés à une usage militaire, et protégés par un secret impénétrable". En conclusion, le professeur a déclaré; "Si cette dernière hypothèse correspond à la réalité, le moment viendra où leur secret sera dévoilé, car aucun secret de nature technique ne peut être indéfiniment préservé".

Pour excuser son retard un cantonnier invente une histoire de soucoupe

Dijon, 18. -- Il y a dix jours, M. André Narcy, 47 ans, cantonnier à Mertrud, arrivait son travail tout essoufflé: "J'ai vu une soucoupe volante", affirma-t-il. Et de donner force détails: un engin de couleur orange arrêté dans un champ, un petit être vêtu d'une houppelande à poils. Un beau démarrage à la verticale du mystérieux engin. Avec deux de ses camarades, MM. Riel et Henry, il y retourna. Tous trois déclarent qu'en effet la rosée avait séché sur une certaine surface, que l'herbe avait pris "une teinte légèrement laiteuse", qu'on apercevait des traces de "pieds ronds", etc...

Bref, interrogé à nouveau par la gendarmerie, M. Narcy vient d'avouer qu'il avait monté cette histoire de toutes pièces pour excuser son arrivée tardive au travail.

[Ref. ppe1:] JOURNAL "PARIS-PRESSE":

Scan.

"Ne tirez pas sur les Martiens...!"

DEMANDE UN THÉOLOGIEN ALLEMAND

Un théologien allemand, le professeur Philippe Dessauer, nous invite, dans le magazine catholique "Wort und Warheit", à ne pas tirer sur les pilotes de soucoupes volantes s'il nous arrive d'en rencontrer.

L'avertissement vient à son heure. Samedi, un cultivateur de l'Aisne, en panne sur la route, a essuyé deux coups de feu: en voyant les phares de la voiture un villageois l'avait prise pour une soucoupe volante et le conducteur pour un Martien. Il s'était muni d'un fusil de chasse et avait tiré...

Les soucoupes continuent leurs évolutions. Deux Toulonnais assurent qu'ils ont vu, près d'Hyères, un mystérieux engin dont ils ont dessiné un croquis. Des inspecteurs des Renseignements généraux se sont rendus sur le lieu de l'atterrissage et ont remarqué une circonférence à l'intérieur de laquelle l'herbe était brûlée.

Couvert de poils marron

Deux employés de l'aéroport d'Orly, MM. Raymond Castelle et Charles Sirets, ont affirmé aux services de police de l'Air, qu'ils avaient vu, dans la nuit de samedi à dimanche, vers 21 h. 30, une soucoupe volante traverser le ciel d'Orly d'est en ouest, "à l'allure d'un avion à réaction". Parvenu au-dessus de la commune de Paray-Vieille-Poste, c'est-à-dire en bordure de la piste ouest-est, le mystérieux engin, qui selon les témoins, se déplaçait à l'altitude de 300 mètres, s'immobilisa pendant une dizaine de secondes en tournant sur lui-même et émettant des rayons qui se reflétaient intensément au sol.

Notre collaborateur Paul Gérin a vu le même phénomène, à la même heure, à Moret-sur-Loing, soit à 40 kilomètres au sud d'Orly. C'était, nous dit-il, une vulgaire "étoile filante" d'un éclat exceptionnel, qui a traversé le ciel d'est en ouest, à une hauteur apparemment considérable, et qui a disparu à l'horizon.

Ce phénomène rare, mais non sans précédent a duré quelques secondes, a dû être vu de toute la région parisienne.

Quant aux Martiens, on en signale trois depuis quarante-huit heures. Deux femmes assurent qu'elles en ont rencontré un en Seine-et-Marne; mais d'après leur description (il était couvert de poils marron), il n'est pas impossible qu'il s'agisse d'un banal orang-outang échappé d'une ménagerie. Un vétérinaire de la Seine-Inférieure, M. Robert, déclare qu'il en a vu un autre près de Dieppe.

[Ref. ler1:] JOURNAL "L'EST REPUBLICAIN":

Soucoupes et cigares dans le ciel

Un vétérinaire, trois pompiers et deux employés d'Orly ajoutent leur nom à la liste de "ceux qui ont vu"

Paris. -- Un vétérinaire, deux employés à l'aéroport d'Orly et trois sapeurs-pompiers s'inscrivent à leur tour sur la longue liste des témoins de phénomènes célestes.

A la nuit tombante, alors qu'il traversait en automobile, la commune de Baillolet (Seine- Inférieure) sur la R.N. 314, M. Henri Robert, docteur-vétérinaire à Londinières, a vu quatre engins qui évoluaient les uns au-dessus des autres, à environ 300 mètres d'altitude.

M. Robert affirme que l'un deux vint zigzaguer devant son automobile, qu'il ressentit une forte commotion électrique et que le moteur de sa voiture s'arrêta. Le vétérinaire aperçut alors sur la route un étrange personnage haut de un mètre vingt environ, les phares de sa voiture s'éteignirent et quand ils se rallumèrent, un cylindre long environ trois mètres décolla du talus et prit de la hauteur à une vitesse vertigineuse.

La soucoupe n'a pas voulu atterrir à Orly

Les deux employés de l'aéroport d'Orly sont MM. Raymond Castelle et Charles Birest qui ont affirmé à leurs supérieurs avoir vu dimanche soir une soucoupe volante traverser le ciel d'Orly "d'Est en Ouest" à la vitesse d'un avion à réaction. Parvenu au-dessus de la commune de Paray-Vieille-Poste, c'est-à-dire en bordure de la piste Ouest-Est, le mystérieux engin, qui, selon les témoins, se déplaçait à l'altitude de 300 mètres, s'immobilisa pendant une dizaine de secondes en tournant sur lui-même et en émettant des rayons qui se reflétaient intensément au sol. Quant aux trois sapeurs-pompiers, le capitaine Doussineau et l'adjudant Serreau, ils étaient en voiture sur une route près de Chatellerault (Haute-Vienne) lorsqu'ils ont vu s'élever dans le ciel en direction du château de Targe, un large disque lumineux. Ils s'arrêtèrent et observèrent longuement le phénomène. "Le disque, dirent-ils, est passé au-dessus de nous à quelques mètres à peine en émettant un sifflement aigu".

Une question écrite d'un député de l'Ariège

Il était inévitable et souhaitable qu'à la suite des nombreuses apparitions d'engins volants qui sillonnent le ciel de France sans interruption depuis des semaines, un député adresse une question écrite au président du Conseil.

C'est M. René Dejean, député socialiste de l'Ariège qui a pris cette initiative demandant notamment "s'il a été crée ou nom un service chargé de rassembler la documentation existant à ce sujet et d'étudier la nature et l'origine de dits engins.

"Si les renseignements actuellement recueillis et rassemblés permettent d'exclure absolument l'hypothèse d'engins pilotés ou commandés par des êtres vivants d'espèce et d'origine inconnues. "Si le gouvernement a, au contraire, suffisamment d'informations pour attribuer, la production de ces engins à l'industrie d'un état étranger.

"Si dans ce dernier cas les accords internationaux signés par la France ont déjà permis des consultations relatives à l'utilisation de tels engins dans un conflit éventuel".

[Ref. jpc1:] JOURNAL "LE JOURNAL DU PAS-DE-CALAIS ET DE LA SOMME":

Scan.

Le cantonnier était arrivé
en retard à son travail...
parce qu'il [a] vu
Une "soucoupe volante"

Dijon, 18. -- il y a 10 jours, M. André Narcy, 47 ans, cantonnier à Mertrud, arrivait à son travail tout essoufflé:

"J'ai vu une soucoupe volante", affirme a-t-il. Et de donner force détails: un engin de couleur orange arrêté dans un champ, un petit être vêtu d'une houppelande à poils. Un beau démarrage à la verticale du mystérieux appareil.

D'ailleurs M. Narcy pouvait montrer l'endroit. Avec deux de ses camarades, MM. Riel et Henry, il y retourna. Tous trois déclarèrent qu'en effet la rosée avait séché sur une certaine surface, que l'herbe avaient pris "une teinte légèrement laiteuse", qu'on apercevait des traces de pieds ronds, etc...

Bref, interrogé à nouveau par la gendarmerie, M. Narcy et vient d'avouer qu'il avait monté cette histoire de toutes pièces pour excuser son arrivée tardive au travail.

Et la ronde
continue...

Un vétérinaire dans la Seine-Inférieure, trois sapeurs-pompiers dans la Vienne, deux employés de l'aéroport, à Orly, ont vu diverses soucoupes volantes. Le vétérinaire a, en outre, aperçu "un étrange personnage haut de 1 m. 20.

LA SUITE EN PAGE 8

Scan.

Les soucoupes

(Suite de la première page)

Dieppe. --- La nuit tombante, alors qu'il traversait en automobile, la commune de Baillolet, sur la R. N. 314, M. Henri Robert, docteur - vétérinaire à Londinières, a vu quatre engins qui évoluaient les uns au-dessus des autres, à environ 300 mètres d'altitude.

M. Robert affirme que l'un d'eux vint le zigzaguer devant son automobile, qu'il ressentit une forte commotion électrique, et que le moteur de sa voiture s'arrêta.

Le vétérinaire aperçut alors sur la route un étrange personnage haut de 1 m. 20 environ. Les phares de sa voiture s'éteignirent. Quand ils se rallumèrent, un cylindre long d'environ trois mètres décollaient du talus et prenait la direction du Nord.

M. Robert a raconté son aventure aux gendarmes de Londinières.

Trois sapeurs-pompiers, le capitaine Huguet, le lieutenant Doussineau et l'adjudant Serreau ont vu s'élever dans le ciel, en direction du château de Targe, un large disque projetant des étincelles et suivie d'une très longue traînée lumineuse. Ils arrêtèrent leur voiture. Le disque, disent-ils, passa au-dessus d'eux et il entendirent un sifflement.

Paris. -- Deux employés de l'aéroport d'Orly, MM. Raymond Castel et Charles Sirest ont affirmé au service de la police de l'Air qu'il avait vu une soucoupe volante traversé le ciel d'Orly d'Est en Ouest, "à l'allure d'un avion à réaction".

Parvenu au-dessus de la commune de Paray-Vieille-Poste, c'est-à-dire en bordure de la piste ouest-est, le mystérieux engin qui, selon les témoins, se déplaçait à l'altitude de 300 mètres, s'immobilisa pendant une dizaine de secondes en tournant sur lui-même et émettant des rayons qui se reflétaient intensément au sol.

UN DEPUTE POSE
UNE QUESTION ECRITE

Paris, 18. -- A la suite de nombreuses apparitions d'engins volants de type inconnu, signalé actuellement dans toutes les régions de France, M. René Dejean, député de l'Ariège (socialiste) a adressé au président du Conseil une question écrite lui demandant notamment:

- "S'il a été créé ou non un service chargé de rassembler la documentation existant à ce sujet et étudié la nature et l'origine desdits engins.

- "Si les renseignements actuellement recueilli est rassemblée permettent d'exclure absolument l'hypothèse d'engins pilotés ou commandés par des êtres vivants d'espèce est d'origine inconnue.

- "Si le gouvernement a, au contraire, suffisamment d'informations pour attribuer la production de ces engins à l'industrie d'un Etat étranger.

- "Si dans ce dernier cas les accords internationaux signés par la France ont déjà permis des consultations relatives à l'utilisation de tels engins dans un conflit éventuel".

[Ref. lcx1:] JOURNAL "LA CROIX":

Scan.

SOUCOUPES, CIGARES, ETC.

Un "cylindre"
s'était posé sur une route
de Seine-Inférieure

Les soucoupes-cigares etc. peuplent toujours le ciel de France...

Certains de ces engins auraient même, une fois de plus, pris contact avec notre terre.

Alors qu'il traversait en automobile la commune de Baillolet sur la R. N. 314, M. Henri Robert, vétérinaire à Londinières (S.I.), a vu quatre engins qui évoluaient les uns au-dessus des autres, à environ 300 mètres d'altitude.

M. Robert affirme que l'un d'eux vint zigzaguer devant son automobile, qu'il ressentit une forte commotion électrique et que le moteur de sa voiture s'arrêta.

Le vétérinaire aperçut alors sur la route un étrange personnage haut de 1 m. 20 environ. Les phares de sa voiture s'éteignirent; quant il se rallumèrent, un cylindre long d'environ trois mètres décollait du talus et prenait la direction du Nord.

M. Robert a raconté son aventure aux gendarmes de Londinières.

Deux toulonnais, MM. Rappelini et Ottaviani ont affirmé avoir vu, jeudi soir, une soucoupe se poser au quartier du Chemin long à proximité d'Hyères.

La brigade de l'air des renseignements généraux s'est rendue à Toulon et a longuement entendu les deux témoins, qui ont tracé un croquis détaillé du mystérieux engin.

Les inspecteurs se sont ensuite rendus sur les lieux où les deux témoins déclarent avoir vu la soucoupe se poser. Ils y ont relevé une grande trace circulaire où l'herbe est brûlée.

Un cultivateur
tire sur un "faux Martien"

M. Maurice Ruant, cultivateur à Sinceny, près de Chauny (Aisne) a bien failli être victime de la panique que cause à certains l'apparition des soucoupes ou autres objets volants. Samedi soir, il était occupé à dépanner sa voiture, dans un pré proche de chez lui, quand deux coups de fusil de chasse furent tirés dans sa direction. Les plombs s'écrasèrent sur la carrosserie du véhicule, non loin de sa tête.

M. Maurice Ruant porta plainte et l'enquête aussitôt ouverte permis de retrouver rapidement l'auteur des deux coups de feu, qui était un voisin de M. Ruant, M. Faisan.

Ce dernier a déclaré à la police:

"J'ai cru, en voyant une silhouette évoluant dans la lumière de deux phares, être en présence d'un martien en train de réparer sa soucoupe volante. Je suis allé chercher mon fusil et j’ai tiré."

Question écrite à propos
des "soucoupes"

A la suite de nombreuses apparitions d'engins volants de type inconnu, signalée actuellement dans toutes les régions de France, M. René Dejean, député de l'Ariège (socialiste) a adressé au président du Conseil une question écrite lui demandant notamment:

"S'il a été créé ou non un service chargé de rassembler la documentation existant à ce sujet et d'étudier la nature et l'origine desdits engins.

- Si les renseignements actuellement recueillis et rassemblés permettent d'exclure absolument l'hypothèse d'engins pilotés ou commandés par des êtres vivants d'espèce et d'origine inconnue.

- Si le gouvernement a, au contraire, suffisamment d'informations pour attribuer la production de ces engins à l'industrie d'un Etat étranger.

- Si, dans ce dernier cas, les accords internationaux signés par la France ont déjà permis des consultations relatives à l'utilisation de tels engins dans un conflit éventuel."

[Ref. bvl1;] JOURNAL "BRESLE ET VIMEU LIBRE":

Scan.

La Soucoupe de Londinières

"Depuis des semaines qu'elles ont fait leur apparition dans tous les ciels de France, les soucoupes volantes semblaient manifester un incompréhensible dédain pour le Pays de Bray. Cette lacune est enfin comblée: le week-end a été, en effet, marqué par un afflux soudain d'engins non identifiables.

"Vendredi soir, M. Henri Robert, docteur-vétérinaire, à Londinières, rentrait chez lui quand il aperçut à faible hauteur dans le ciel quatre disques superposés.

Après avoir noté un faiblesse étonnante du moteur de sa voiture soudainement arrêtée, il continua son chemin; quelques kilomètres plus loin, il vit sur la route un être étrange qui, à son approche - et après qu'une nuvelle fois la voiture fut immobilisée - s'engouffra dans un objet en forme de cigare et disparut à une vitesse vertigineuse.

"Samedi soir, M. Miche [sic] Gosselin, commerçant à Neufchâtel, et président du Football-Club, s'en allait à Aumale chercher le gardien de but de son club venant en permission. Il était accompagné de son cousin, M. Jean Leullier. Soudain - il était 21 h. 25 très exactement - dans le ciel qu'éclairait lentement la lune, il aperçut un disque sombre traînant derrière lui à une folle allure une longue lueur orange".

M. Henri Robert demeura stupéfait à cette vision inattendue. Il prévint la gendarmerie. On avait, d'ailleurs, recueilli d'autres téoignages, celui, en partculier, d'un gendarme même, M. Pelfresne.

[Ref. jgu1:] JIMMY GUIEU:

Jimmy Guieu indique que le 16 octobre 1954 près de Dieppe à la nuit tombante sur la route nationale 314 dans la commune de Baillollet, le docteur Henri R., vétérinaire, a vu quatre engins qui évoluaient les uns au-dessus des autres à environ 300 mètres d'altitude.

L'un de ces appareils s'est détaché de l'escadrille, a piqué vers le sol, a zigzagué devant la voiture du témoin, qui a alors ressenti une commotion électrique, et le moteur de sa voiture s'est arrêté.

Il a ensuite aperçu sur la route un personnage étrange de 1.20 mètres de haut environ, et aussitôt, les phares de sa voiture se sont éteints.

Quand ils se sont rallumés d'eux-même sans intervention du témoin, le petit être avait disparu mais un engin cylindrique d'environ trois mètres de long décollait du talus bordant la route, et prenait la direction du Nord.

Les déclarations du témoin ont été receuillies par la gendarmerie de Londinières.

[Ref. aml1:] AIME MICHEL:

Aimé Michel indique que le 16 octobre 1954, à la tombée de la nuit, le docteur vétérinaire Henri Robert de Londinières en Normandie roulait sur la Route Nationale 314 au sud-est de Dieppe.

Alors qu'il traversait le village de Baillolet, il a remarqué quatre engins circulaires qui étaient l'un au-dessus de l'autre et évoluaient à vitesse modérée dans le ciel à une hauteur qu'il a estimé être de 300 mètres, et dans le prolongement de la route devant lui.

Dès qu'il les avait aperçus, l'un des quatre engins a quitté la formation et est descendu vers le sol en zigzaguant, se retrouvant devant lui sur la route, avec sa voiture et cet engin se trouvant alors maintenant sur un cours de collision.

Alors que sa voiture et l'engin ne se trouvait plus éloigné que d'un centaine de mètres, le docteur Robert a ressenti comme une commotion électrique, et en même temps, le moteur de sa voiture a calé et ses phares se sont éteints. La voiture s'est arrêtée sur son élan au moment où l'objet atterrissait sur la route.

Le docteur Robert se trouvait incapable de bouger, et aperçut un petit être d'environ 1 m 20 de haut dans la lueur dégagée par l'objet sur la route.

Ensuite tout s'est éteint et il n'a plus rien vu. L'obscurité a duré quelques minutes, puis les phares de sa voitures se sont rallumés soudainement, et que le docteur Robert a pu voir dans leur faisceau que l'engin qui avait été posé sur la route s'éloignait en rase-motte vers le nord le long du talus qui bordait la route, cette route étant orientée nord-sud en ce point.

Le docteur Robert est rentré à Londinières et a établi un rapport qu'il a remis à la gendarmerie.

[Ref. gqy1:] GUY QUINCY:

Scan.

16 octobre [1954]

[... autres cas...]

tombée nuit: Baillolet (5 km SSE.Londinières (Seine-Maritime): 4 obj. circ. évoluant à b.alt., dont un atterrit, 3m long.,+ nain 1,20 m haut., arrêt moteur +extinction phares + commotion électrique

[... autres cas...]

[Ref. mcs1:] "MICHEL CARROUGES":

L'auteur Michel Carrouges indique que le 16 octobre 1954, en Seine Maritime, M. Robert, en automobile, a vu l'atterrissage d'une soucoupe volante lumineuse à 100 m, avec apparition de petits pilotes. Le témoin a ressenti une commotion électrique, le moteur a calé, les phares se sont éteints.

Carrouges note ce cas dans son listing des cas avec effets physiques, et indique Aimé Michel comme source.

[Ref. jve8:] JACQUES VALLEE:

Scan.

16 oct., 1954 Londinière France Dr. Robert un individu de 1 mètre 20 1

[Ref. lcp1:] LEONARD G. CRAMP:

("Fig 48. Tableau de quelques effets typiques d'OVNIS sur voitures et personnes à diverses distances.")

LIEU. DATE. EFFETS. DISTANCE APPROX. DE L'OVNI.
Seine-Inferieure France. Octobre 1954 'Choc électrique', moteur de voiture & phares s'éteignent en même temps. 300 pieds.

[Ref. jve5:] JACQUES VALLEE:

362 -001.43721 49.79340 16 10 1954 21 00 2 BAILLOLET SEINE-MAR F 014133 G

[Ref. cln1:] CORAL ET JIM LORENZEN:

Les auteurs écrivent que le Dr. Henri Robert a observé la silhouette plutôt indistincte d'une entité de forme humaine le 16 octobre 1954, dans le village de Baillolet en France. Robert a vu quatre objets voler à l'altitude d'environ mille pieds, l'un au-dessus de l'autre. Soudainement un des engins s'est laissé tomber vers la terre tout comme une feuille morte flottant vers le sol, environ 350 pieds devant la voiture de Robert. Alors Robert a senti une sorte de "décharge électrique," son moteur a calé, et les phares se sont éteints. La voiture s'est arrêtée juste quand l'objet touchait le sol.

Le docteur, incapable de mouvement comme s'il était paralysé, a observé un personnage qui a semblé être d'environ quatre pieds de haut se déplaçant à la lumière de l'objet, puis de tout s'est éteint. Un certain temps plus tard les lumières de la voiture se sont rallumées et le témoin a vu l'objet décollant vers le nord, au-dessus de la route. Le docteur a appelé les autorités quand il est arrivé à Londinieres, et a rapporté l'incident.

Les auteurs commentent que le mouvement de "feuille morte" d'un atterrissage ou d'un disque se déplaçant lentement a été décrit dans beaucoup de rapports d'OVNIS fiables et bien documentés, dans le monde entier, et a été remarqué pour la première fois comme une des caractéristiques exceptionnelles des engins en forme de soucoupe au-dessus des Etats-Unis dans les premières années du mystère.

[Ref. obr1:] OTTO BINDER:

16 octobre 1954, sud-est de Dieppe, France. Le Dr. Henri Robert conduisait quand il a remarqué quatre disques volant en formation dans le ciel. L'un d'eux s'est écarté et est venu filer bas au-dessus de sa voiture. Le Dr. Robert dit qu'il a senti une sorte de "décharge électrique," et en même temps son moteur est mort et ses phares se sont étaints. Le Dr. Robert est alors devenu paralysé et ne pouvait pas se déplacer, tandis que l'OVNI a atterri sur la route et une petite créature de 3 pieds de haut a envoyé une lumière sur lui. Quand l'homme minuscule et l'OVNI sont partis quelques instants plus tard, Le Dr. Robert a pu bouger et mettre en marche sa voiture.

[Ref. jve1:] JACQUES VALLEE:

Scan.

274 16 Octobre 1954, à la nuit tombante. Baillolet (France):

Le Dr. Robert, qui traversait ce village en voiture, vit 4 objets à environ 300 mètres d'altitude, volant lentement en formation. Soudain, l'un d'eux tomba au sol avec un mouvement de feuille morte à 10 mètres du témoin qui ressentit un choc électrique alors que son moteur s'arrêtait, ses phares s'éteignirent et la voiture stoppa alors que l'objet touchait le sol. Incapable de se mouvoir, le Dr Robert vit une silhouette d'environ 1,20 m de haut se mouvoir dans la lumière de l'objet, puis tout devint noir. Quelque temps plus tard les phares se rallumèrent d'eux-mêmes et le Dr Robert vit l'engin s'envoler vers le nord. (Paris-Presse, 19 oct 1954).

[Ref. mft1:] FRANCAT, MICHEL FIGUET:

Michel Figuet note dans son listing de cas douteux:

15.10.1954

Londinière
Bailleul-Neuville

Témoin considéré à l'époque comme étant un alcoolique notoire. B.B. p. 71

("Barthel et Brucker" se réfère au livre de Barthel et Brucker, voir les références.)

[Ref. mft2:] MICHEL FIGUET:

CAS Nr CLASSIFICATION DATE HEURE LIEU CODE POSTAL CREDIBILITE SOURCE
215 CE3 15 10 1954 19.45 Bailleur-Neuville 76660 B6 TD-"T", B-B p. 71, OVNI

[Ref. mft3:] MICHEL FIGUET - "FRANCAT":

Scan.

DATE LIEU CREDIBILITE SOURCES
15.10.1954 Londinière Bailleul-Neuville T considéré à l'époque comme étant un alcoolique notoire. B.B. p. 71 [=[bbr1]]

[Ref. pls1:] PIER LUIGI SANI:

Cet ufologue italien a écrit un article pour réfuter les allégations par les ufologues Gérard Barthel et Jacques Brucker dans leur livre "La Grande Peur Martienne" sur la vague française de 1954, et fournit des exemples de ce qu'il dénonce comme explications frauduleuses ou injustifiées qu'ils ont donné à des cas, comme:

3. Le cas à Claix

Un vétérinaire déclare qu'a vu un OVNI et un humanoïde. Interférence par l'OVNI avec l'électricité dans sa voiture. Ré-investigation par B. et B. (en attendant le vétérinaire est mort en 1956 de la cirrhose du foie dû à l'alcoolisme.) Conclusion de messieurs B. et B.:

La prétendue observation était une hallucination d'un alcoolique.

[Ref. lgs1:] LOREN GROSS:

16 octobre. Baillolet, France, (coucher du soleil) Missing time?

Un autre automobiliste, cette fois un vétérinaire du nom de Dr Henri Robert, a accéléré le long de la route N314, passant le village de Baillolet, et à ce moment-là, le médecin a aperçu une formation échelonnée d'objets étranges se déplaçant à une vitesse lente à travers Le ciel. L'un des objets a soudainement quitté la formation et a perdu de l'altitude, plongeant vers le sol à la manière d'une "feuille morte", s'immobilisant à environ 100 mètres de la voiture du Dr Robert. Le chirurgien a ressenti un "choc électrique" et le moteur de sa voiture a commencé à faire des siennes. Les phares se sont éteints et le moteur s'est complètement éteint. Alors que le véhicule s'arrêtait, le Dr Robert, qui ne pouvait pas bouger à ce moment-là, a remarqué une petite silhouette d'environ trois pieds de hauteur se déplaçant à proximité de l'objet qui avait atterri. Après cela, il s'est senti étrange et "tout est devenu noir." La chose suivante dont il s'est souvenu, c'est que les phares de sa voiture s'allumaient d'eux-mêmes et qu'il avait vu l'OVNI décoller et s'éloigner à grande vitesse en direction du nord. Les sensations dont revenues dans le corps dr Dr. Henri. 135.

Y a-t-il eu un "temps manquant" dans ce cas? Il est intéressant de noter que cet incident n'a pas été "rappelé à une date ultérieure". L'histoire du Dr Robert a été publiée dans le journal Paris-Presse le 19 octobre 1954.

[Ref. krs1:] KEVIN RANDLE ET RUSS ESTES:

Les auteurs indiquent que le 16 octobre 1954, à Baillolet, France, le Dr. Henri Robert regardait quatre objets en forme de disque volant au-dessus de sa voiture. L'un d'eux est tombé de la formation, et alors qu'il approchait le sol, la voiture de Robert a calé et dses phares se sont afaiblis. Robert s'est senti paralysé tandis qu'il était assis dans la voiture durant toute l'observation. Une petite créature est apparue et s'est déplacée, illuminée par la lueur de l'engin. Quand la lumière s'est éteinte, il n'a plus rien vu. Quand l'engin a finalement décollé, Robert a pu de nouveau bouger, et il a été capable de démarrer sa voiture.

[Ref. gal1:] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER:

Les deux auteurs ufologues rapportent que le 15 octobre 1954 vers 19:45, à Fresnoy-en-Val, le vétérinaire Henri Robert roulait en voiture entre les villages de Fresnoy-en-Val et Chais, venant de Neuchâtel-en-Bray. Venant de traverser les bois de Hillet, il a aperçu sur sa droite à une distance qu'il a évaluée à 300 mètres quatre cercles de couleur orange superposés et "allant en se dégradant."

Les auteurs rapportent les propos de M. Robert:

"Soudain, comme si je venais d'être repéré, le plus petit cercle, celui du haut, s'est détaché du groupe à une vitesse vertigineuse et a foncé dans ma direction. Deux secondes à peine, et il est sur moi. Il se place à quelques mètres devant mon véhicule, en zigzaguant au ras du sol. Je ressens en même temps une commotion électrique. Mon auto ne "m'obéit" plus. Elle est comme folle! Ca dura une quinzaine de secondes. Puis, l'engin repart vers le groupe, qui disparaît aussitôt."

"En arrivant à Bailleul-Neville, au carrefour de La Motte, à 3,500 km de la première apparition, et à 150 mètres devant moi, je vois dans mes phares un être d'environ 1,20 m de haut, assez corpulent, bras et jambes écartés. J'ai à peine le temps de constater que ses vêtements sont de couleur gris-bleuté. Mes phares s'éteignent. Ils se rallument 2 ou 3 secondes plus tard: le petit être a disparu. Instinctivement, j'accélère. Mais j'ai le temps d'apercevoir, sur le bord du talus, entre un pylône et un transformateur, un engin de forme cylindrique, effilé des deux bouts, long de 3 à 4 mètres, tous feux éteints. A ce moment précis, l'engin décolle à la verticale, s'élève rapidement, et disparaît en direction du Nord."

[Ref. lsd1:] LEONARD STRINGFIELD:

L'ufologue Américain indique que le 16 octobre 1954, en France, à Baillolet, le Dr Robert au volant de sa voiture a vu voler quatre objets bas et lents, en formation échelonnée.

Tout à coup, l'un d'eux s'est laissé tomber en feuille morte à cent mètres de là, le docteur a senti un choc électrique, son moteur s'est arrêté, ses phares se sont éteints.

Il a été incapable de bouger et a vu une silhouette d'environ 1.20 mètres se déplacer dans la lumière de l'objet.

Ensuite, tout s'est éteint, puis ses phares se sont rallumés d'eux-mêmes dès que l'engin a quitté l'endroit.

Il indique que cet exemple de cas de rencontre du troisième type provient du catalogue de Jacques Vallée qui l'a extrait du livre d'Aimé Michel.

[Ref. amn1:] AUGUSTE MEESSEN:

Lors de l’atterrissage d’un ovni à une dizaine de mètres devant sa voiture, le docteur Robert ressentit un choc électrique, tandis que le moteur de sa voiture s’arrêta (16.10.1954, France: 14, cas 274).

La source "14" est détaillée dans les références comme "J. Vallée, Chronique des Apparitions Extraterrestres, Denoël, 1972."

[Ref. jgd1:] JEAN GIRAUD:

[Ref. jpr1:] JACQUES POTTIER:

L'auteur indique qu'à la tombée de la nuit du 16 octobre 1954, le docteur vétérinaire Henri Robert roulait sur la Nationale 314 dans la région de Dieppe et se trouvait non loin de Baillolet quand quatre engins circulaires brillants sont apparus dans le ciel, évoluant l'un au-dessus de l'autre à 300 mètres d'altitude juste dans l'axe de la route en face de la voiture.

Dès que le témoin les a vu, l'un des engins est descendu en zigzaguant jusqu'au ras du sol et a continué d'avancer tout droit pendant que le témoin faisait de même, de sorte que sa voiture et l'engin se rapprochaient rapidement.

50 mètres avant la collision, la voiture s'est arrêté, avec le moteur calé, et les phares éteints. Le docteur a été paralysé à son volant par une commotion électrique, et a pu voir dans la lumière dégagée par l'OVNI arrêté, un petit être qui semblait s'affairer autour de l'engin.

Ensuite la lumière a faibli et s'est éteinte, et le silence et la nuit ont régné quelques minutes, puis les phares se sont rallumés et le docteur a vu dans leur faisceau que l'OVNI s'éloignait le long du talus en prenant de l'altitude.

[Ref. ufa1:] BULLETIN D'UFOLOGIE "UFOLOGIA":

Scan.

16 octobre 1954 DIEPPE

Un automobiliste observe 4 engins lumineux dont l'un vient reconnaitre l'auto. Un pilote de 1.20 m est aperçu sur la route. Effet paralysant sur le témoin. Le moteur est bloqué, les phares éteints!

(réf. Maurice SANTOS "Les SV aux frontières de l'impossible".)

[Ref. agd1:] ALAIN GAMARD:

Scan.

N° de cas Date Heure Localisation Département Nom témoin(s)
058 16/10/1954 19.45 Baillolet. 76 Henri Robert

[Ref. pdl1:] PIERRE DELVAL:

Dans son chapitre sur les cas de paralysie ou de somnolences des témoins d'OVNI lors de leur expérience, Pierre Delval indique 12 cas relevant de la vague française de 1954, dont celui à Baillolet dans le département de Seine-Maritime le 16 octobre 1954.

Le docteur Robert, médecin, a observé une formation de "soucoupes volantes" dans le ciel. L'une d'elles s'est posée en zigzaguant sur la route à 100 mètres de sa voiture.

Le médecin a ressenti une espèce de commotion électrique tandis que ses phares se sont éteint et que le moteur de sa voiture a calé et s'est immobilisé.

Incapable de bouger, le médecin a vu un petit être s'agiter près de l'engin qui a bientôt décollé, et tout est redevenu normal.

Ailleurs dans son livre, il indique que le 16 octobre 1954 à la tombée de la nuit, Henri Robert, vétérinaire, roule sur la Nationale 314 et arrive près de Baillolet quand soudain, dans le ciel, quatre engins circulaires brillants, planant l'un au-dessus de l'autre à 300 m d'altitude, apparaissent, juste dans l'axe de la route en face de la voiture.

A peine les a-t-il remarqués que l'un d'eux descend en zigzaguant jusqu'au ras du sol et continue d'avancer tout droit, pendant que M. Robert en fait autant, de sorte que les deux véhicules se rapprochent rapidement l'un de l'autre. 50 mètres avant leur collision probable, la voiture s'arrête net, moteur calé, phares éteints. Tout le circuit électrique de la voiture est bloqué et ne fonctionne plus. Paralysé à son volant. M. Robert aperçoit, dans la lumière dégagée par l'O.V.N.I. qui s'est arrêté, un petit être qui semble s'affairer autour de l'engin.

Puis la lumière de l'engin faiblit et finit par s'éteindre. Alors, les phares de la voiture se rallument car le commutateur est resté sur phares et, dans leur faisceau, M. Robert voit l'O.V.N.I. qui s'éloigne le long du talus en prenant de l'altitude.

[Ref. gab1:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":

LES TECHNIQUES D'ATTERRISSAGE

Il est extrêmement difficile de se faire une idée de la méthode employée tant les témoignages sont avares de détails à ce sujet. Dans certains cas (Baillolet 16/10/1954), l'engin paraît en difficulté en semble se poser spontanément au sol là où il se trouve. Dans d'autres cas, comme nous aurons l'occasion de le voir plus loin, il effectue des manœuvres savantes visant à lui faire prendre contact avec le sol en un point précis. Tous les atterrissages sont précédés d'un survol lent (parfois complexe) du territoire "choisi"...

[Ref. gab2:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":

16/10/l954 Baillolet (Seine Maritime)

Roulant en voiture, le Docteur Robert aperçut vers 22h quatre engins circulaires lumineux évoluant lentement les uns au-dessus des autres. Soudain, l'un d'eux, qui paraissait en difficultés, se mit à descendre en zig-zag et se posa sur la route. Le docteur ressentit une décharge électrique et fut paralysé tandis que son moteur calait et que ses phares s'éteignaient. Il était alors à une centaine de mètres de l'engin. De celui-ci sortit un petit être de 1,20m qui s'affaira dans la lumière émise par la soucoupe. Soudain, tout s'éteignit. Au bout de quelques instants, les phares de la voiture se rallumèrent seuls et dans leur faisceau le docteur, sa paralysie disparue, découvrit l'engin obscur qui s'éloignait rapidement en rasemottes. (J. Giraud; "Centre Matin" du 19/10/1954)

[Ref. tbw1:] TED BLOECHER ET DAVID WEBB:

Scan.

54-79 16 oct. 1954 21.00 Baillolet, France Type C

Le Dr. Henri Robert, un vétérinaire, conduisait lorsqu'il a vu 4 disques dans le ciel, dont l'un est descendu avec un mouvement de "feuille tombante". A moins de 100 mètres de lui, le Dr R. a ressenti une décharge électrique et s'est retrouvé paralysé; son moteur s'est arrêté et ses phares se sont éteints, alors que l'objet atterrissait sur la route. A la lumière de l'objet lumineux, il a pu voir une petite silhouette d'un peu plus de 3 pieds de haut. Après une période d'obscurité de plusieurs minutes, les phares se sont allumés et l'objet a été vu s'éloigner rapidement.

Enquêteur:

Source: Michel, Straight-Line Mystery, pp. 184f.

[Ref. bbr1:] GERARD BARTHEL ET JACQUES BRUCKER:

Les deux ufologues indiquent que le cas est au 15 octobre 1954, à 19:45, à Clais, dans l'arrondissement de Dieppe, commune de Londinières, en Seine-Maritime. Ils le décrivent à partir de la citation qui suit:

"R. H. (45 ans), vétérinaire (de Londinières?), revenait de Neufchâtel en Bray avec sa voiture et avait traversé le bois d'Hellet. Il aperçoit sur sa droite entre le hameau de Fresnoy-en-Val et le Mont de Clais, à 2,5 km de lui et à 300 m d'altitude, 4 cercles de couleur orange superposés et allant en dégradant sans bruit. Durée: 30 secondes."

"A un moment, la dernière (celle du haut), la plus petite, se détache du gros et, à une vitesse vertigineuse, se précipite en direction du témoin. En deux secondes elle est sur lui et zigzague devant le véhicule à ras de la route - Forte commotion électrique; le véhicule n'obéit plus. Cela dure 20 secondes. Le phénomène disparaît sans bruit. Les engins accompagnant la soucoupe qui a manoeuvré ont disparu dès le début de la manoeuvre."

"En arrivant à Bailleul-Neuville, au carrefour de la Motte, à 3,500 km de la première apparition, à 150 m environ, dans les phares, le témoin voit un être de 1,20 m à 1,30 m de haut, assez large, bras et jambes écartés, regardant devant lui - couleur gris bleuté. Les phares de la voiture se sont éteints, puis rallumés; l'être a disparu. En forçant l'allure, le témoin a le temps d'apercevoir, sur le bord du talus herbeux bordant la route, en direction du hameau de Neuville, côté gauche, entre un pylone et le transformateur, un engin de forme cylindrique, effilé des deux bouts, long de 3 m, tous feux éteints. Dans les phares, il a vu l'engin s'élever à la verticale et, à allure rapide, prendre la direction du Nord."

Ils indiquent que ceci est en substance la nature des déclarations faites par le vétérinaire normand à la gendarmerie, et que l'observation "figure bien sûr dans de nombreux ouvrages où elle se trouve située dans des localités différentes: A Fresnoy-en-Val, à Baillolet entre autres."

Ils indiquent donc que certains ufologues n'apportent pas de rigueur à leur travail, et que, plus grave encore, les faits "s'expliquent beaucoup plus difficilement". Ils indiquent que le livre "Face aux extra-terrestres" de Garreau et Lavier, citent ce cas, exposé pratiquement mot pour mot comme ci-dessus.

Ils ajoutent: "Nous pensons, qu'étant donnée son origine, il constitue l'essence même du témoignage", mais que dans son catalogue, Jacques Vallée prend également cette affaire en considération, mais par étourderie ou consciemment, il semble étroitement lier les deux phases d'observations, qu'il n'y est donc plus question de la distance de 3.500 km franchie par le vétérinaire entre les deux scènes qu'il a observées. Il se demandent si c'est une omission, ou "une facilité de démonstration", et laissent le lecteur juge de cela.

Ils expliquent ensuite qu'aux ont "considéré cette affaire comme ayant de sérieux critères de crédibilité": "Docteur vétérinaire dans une petite bourgade, rapport à la gendarmerie, précisions dans la description de l'observation, tout était réuni pour faire de cette histoire un solide objet d'étude."

Ils ont donc tenté de retrouver la trace du témoin, mais il n'était plus abonné au téléphone. Son successeur devrait leur dire si on peut encore le contacter, mais le témoin était décédé deux ans après ces événements. Face à leur déception, leur correspondant s'est enquit de leur démarche, ils ont expliqué la nature exacte de leur recherche.

Les auteurs indiquent que dès lors, la "sainte crédibilité" a vu sa vertu sérieusement compromise, car ils ont appris alors que le témoin, malgré sa profession, avait de fâcheuses habitudes, "il buvait souvent!"

Ils ont alors poursuivi l'investigation auprès du maire de la ville qui a dit: "il était bien gentil mais toujours entre deux verres", et son médecin a ajouté qu'il avait succombé à une cirrhose du foie deux ans après l'observation.

[Ref. fru1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:

Les deux auteurs indiquent que le 16 octobre 1954 à 19:45 à Baillolet en Seine-Maritime, le témoin vient de traverser la forêt du Hellet en voiture, lorsqu'il a soudainement aperçu à une altitude de 300 mètres, quatre cercles de couleur orange superposés. Il rapportera:

"Soudain, comme si j'avais été repéré, le plus petit cercle, celui du haut, fonce dans ma direction; deux secondes à peine et il est sur moi. Il se place à quelques mètres devant mon véhicule, en zigzaguant au ras du sol. Je ressens, en même temps, une très forte commotion électrique. Mon auto ne m'obéit plus. Elle est comme folle! Cela dura une quinzaine de secondes, puis l'engin repart vers le groupe qui disparaît aussitôt. En arrivant à Bailleul-Neville, au carrefour de La Motte, à 3 km 500 de la première apparition, et à 150 mètres devant moi, je vois dans mes phares un être d'environ 1 m 20 de haut assez corpulent, bras et jambes écartés. J'ai à peine le temps de constater que ses vêtements sont de couleur gris-bleuté: mes phares s'éteignirent. Ils se rallument 2 ou 3 secondes plus tard: le petit être a disparu. Instinctivement j'accélère. Mais j'ai le temps d'apercevoir sur le bord du talus, entre un pylône et un transformateur, un engin de forme cylindrique, effilé des deux bouts, long de trois à quatre mètres, tous feux éteints. A ce moment précis, l'engin décolle à la verticale, s'élève rapidement et disparaît en direction du nord."

[Ref. jsc1:] JOHN SCHUESSLER:

16/10/1954 FRANCE, BAILLOLET

Nuit

Source: UFO Reports Involving Vehicle Interference. CUFOS
October Scenario
Official UFO, Fév. 76

Le vétérinaire Henri Robert a vu quatre OVNIS circulaires à une altitude de moins de 1.000 pieds. L'un est parti de la formation et a attarri. Quand l'objet a été à 100 pieds de distance, le Dr. Robert a senti une décharge électrique, et le moteur et les lumières de la voiture sont sombés en panne. Quand l'objet a atterri, il a été paralysé. Il a vu un petit être. Tout est revenu à la normale quand l'objet est parti.

EFFETS: Paralysie
Choc électrique
Effets électromagnétiques sur voiture

[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:

28 - Cas de Baillolet et de Bailly-en-Campagne, Seine-Maritime.

Le 15 octobre, à la nuit tombante, sur la RN. 31420 où il roulait en voiture, le docteur-vétérinaire Henri Robert fit deux observations sortant de l'ordinaire. Tout d'abord, peu après Baillolet, il aperçut "un groupe de quatre engins superposés de couleur orange, paraissant être des soucoupes volantes, qui évo-luaient à environ trois cents mètres d'altitude". L'un d'eux se détacha pour venir zigzaguer devant son véhicule dont les commandes se trouvèrent momentanément bloquées. Dans le même temps, le témoin ressentait comme une forte commotion électrique, tandis que la soucoupe disparaissait. Puis, à 3,5 km après Londinières, peu avant Bailly-en-Campagne, il vit dans la lueur de ses phares un être étrange d'environ 1,20 m qui traversait la chaussée. À ce moment-là les phares s'éteignirent brusquement puis se rallumèrent. Au bord du talus, il remarqua un engin de trois mètres de long, de forme cylindrique et pointu à ses deux extrémités. Le "cigare" disparut tous feux éteints en direction du nord.

Pages 69 à 71, B & B [Barthel et Brucker, [bbr1]]s'évertuent à nous démontrer que Mr. Henri Robert était connu pour être un gros buveur, qu'il était d'ailleurs mort d'une cirrhose du foie, et que tous les gens contactés à Londinières, où était établi le vétérinaire, leur assurèrent que cet homme n'était qu'un alcoolique impénitent.*

Tous les gens? Quels gens? Aucun nom n'est donné! De plus, un peu plus loin on apprend que c'est le successeur du Dr. Robert qui leur aurait confié les principales informations sur son penchant pour la dive bouteille. Autrement dit : "tous les gens" est une formule outrancière qui dissimule un prétendu médecin-vétérinaire, le remplaçant du Dr. Robert. Et là, je ne suis pas d'accord. En effet, ce n'est pas dans les habitudes de cette corporation de diffamer un collègue, leur code déontologique les conduit, bien au contraire, à ne pas divulguer ce type de renseignement, et surtout pas à des inconnus au téléphone!

Voyons ce que l'on trouve dans la première version de cette affaire, parue dans Les Informations Dieppoises, du 19 octobre, page 3. Dans ce journal local apparaissent plusieurs éléments non signalés par B & B, les voici:

1 - L'observation se situa à la tombée de la nuit, donc entre 18h00 et 18h30, puisque le soleil du 15 octobre 1954 se coucha à 17h53, heure civile de Paris.

2 - Le témoin signala ce qu'il avait vu à la Gendarmerie le samedi 16 à 01h00. Ma source signale que le récit qu'il fit "n'était pas très net'' (ce qui peut vouloir dire, compte tenu de l'heure tardive, qu'il revenait d'une soirée quelque peu arrosée).

3 - Le témoin revient à la Gendarmerie le samedi 16 à 09h00 pour confirmer l'incident.

En admettant que le Dr. Robert ait eu réellement l'habitude de sacrifier à Bacchus, chose tout à fait possible je l'admets, il lui aurait alors fallu être sous l'emprise de l'alcool à trois reprises lors des trois moments décrits plus tôt. Et là, je regrette, mais je ne marche pas. Je crois davantage que l'on peut reconstituer l'affaire comme ci-dessous indiqué:

1 - Le 15, entre 18h00 et 18h30, le témoin est à jeun: il fait une RR0 et une RR3.

2 - Le 16, à 01h00, rentrant d'une soirée arrosée, il vient déposer à la Gendarmerie où l'on note sa pénible élocution. "Revenez plus tard", lui dit-on.

3 - Le 16, à 09h00, le témoin est à jeun: il confirme ce qu'il a vu la veille.

A noter qu'une version identique sur cet incident apparut dans l'hebdomadaire Liberté-Dimanche, de Rouen, le 17 octobre 1954, page 1. Le rédacteur se posait la question de savoir si les propos incohérents du médecin étaient dus "à la commotion et à l'émotion ressenties ou à l'amoncellement de soucoupes d'un autre genre et d'un modèle plus courant sur quelque guéridon". Comme c'est la première divulgation publique de l'histoire, mes autres sources étant toutes postérieures au 17 octobre, je me demande si ce n'est pas cette relation qui relève plus de la boutade faite par un journaliste sceptique, qui a contribué à coller une étiquette dans le dos du témoin. Cela n'aurait rien d'étonnant. L'éthylisme a souvent été utilisé par les rationalistes et les socio-psychologues comme échappatoire ultime pour "expliquer" des observations indéboulonnables par d'autres explications...

Comme le témoin était décédé, B & B en ont profité pour l'enfoncer davantage. Toutefois, afin d'éviter d'être traînés en justice pour diffamation par la famille du Dr. Robert, ils le désignent seulement par ses initiales: R. H .. Pas fous nos censeurs!

Cependant, comme je tiens particulièrement à les dégringoler en flammes, j'ai accentué mes recherches et découvert un élément qui enterrera définitivement la version de l'alcoolisme. Dans Bresle et Vimeu Libres, de Gamarches, du 24 octobre 1954, page 2, on peut lire ce qui suit (partie finale du texte) : "Mr. Henri Robert demeura stupéfait à cette vision inattendue. Il prévint la Gendarmerie. On y avait d'ailleurs déjà recueilli d'autres témoignages, celui, en particulier, d'un gendarme, Mr. Pelfresne".

S'il y eut d'autres observateurs ce soir-là, il n'y a donc plus lieu de mettre le témoignage du Dr. Robert en doute. Si B & B avaient fait le travail de vérification que j'ai effectué, cela leur aurait évité de porter atteindre à la dignité d'un homme bien incapable de se défendre puisqu'il est mort. (D.O. 20).

* Se reporter à la contre-enquête de Joël Mesnard, publiée ci-après dans un encadré.

BAILLOLET-BAILLY CONTRE-ENQUETE DE JOEL MESNARD (LDLN)

Joël Mesnard m'a fait parvenir tardivement les résultats d'une contre-enquête faite le 18 septembre 1993, dont voici les principaux éléments:

- Deux personnes ayant fort bien connu le Dr. Henri Robert ont été rencontrées, l'une d'elles se nommant d'ailleurs Louis Robert, sans aucun lien de parenté avec le vétérinaire témoin de la RR3. Elles résident à Baillolet.

- Selon ces deux personnes, le Dr. Robert était un homme sérieux et intelligent doublé d'un excellent vétérinaire. Il buvait comme tout le monde. Il est effectivement décédé d'une cirrhose du foie. J. Mesnard précise à ce propos que le grand-père de son épouse Hélène est mort également d'une cirrhose du foie, alors qu'il ne buvait pas d'alcool. Je connais aussi un cas identique dont a été victime l'un de mes collègues de travail.

- C'est Joël Mesnard qui a pu constater, grâce à ces deux personnes, que le site de la RR3 n'était pas celui allégué par la presse. En fait, l'incident s'est produit à quelques centaines de mètres de Bailly-en-Campagne, sur ce qui est maintenant la D. 1314 (ex-RN 314), après le lieu-dit "Les Fosses".

- B & B parlent de Fresnoy-en-Val, localité qui n'existe pas. Il s'agit en réalité de Fresnoy-au-Val, qui se trouve à 45,7 km du site de la RR3, et à 44,6 km du site de la première observation, peu après Baillolet. Ceci prouve une fois encore le manque total de sérieux de ces deux debunkens, .dont certains "socio-psychologues" ont chanté les louanges...

- Le Dr. Henri Robert se rendait à Fresnoy-Folny (et non à Fresnoy-au-Val - transformé en Fresnoy-en-Val par B & B), ce qui explique qu'il avait dépassé Londinières, ville où il résidait.

Joël Mesnard me fait également remarquer que d'autres chercheurs se sont fourvoyés à propos de cette affaire, tel Jacques V allée qui, en plus, se trompe de date; Charles Garreau, ... et bien évidemment B & B qui ne sont jamais allés sur place, car fidèles à leurs habitudes, ils ont œuvré de même que tous les armchair researchers, comme disent les anglo-saxons!

Enfin, Joël Mesnard me dit que le "travail" de Barthel & Brucker a même fait de terribles dégâts hors de France, puisque le sociologue espagnol Balester-Olmos, a lui aussi porté nos tristes duettistes au pinacle! Je crois savoir aussi que quelques anglais se sont laissés éblouir par nos deux charlatans, protégés de l'Union Rationaliste! Affligeant...

Plus loin dans son livre, Jean Sider écrit:

69 - 15 octobre, 19h45, Bailly-en-Campagne, Seine-Maritime.

Dr. Henri Robert, vétérinaire.

Le témoin traverse en voiture la forêt du Hellet. Peu après Baillolet, il note les manœuvres de quatre disques superposés dont l'un est venu zigzaguer devant son véhicule, son moteur cale, ses phares s'éteignent, et il ressent, une commotion élec¬trique. Plus tard, juste avant d'entrer dans Bailly-en-Campagne, il entrevoit un petit être étrange d'environ 1,20m qui rejoint un engin fusiforme sur l'accotement, puis soudain tout disparaît.

Source: Contre-enquête de Joël Mesnard, éditeur de LDLN.

Source locale: Les Informations Dieppoises, Dieppe, 19 octobre 1954, p. 3 (D.O. 20).

Nota: Voir surtout ma mise au point, chapitre 2, cas n°28, qui réhabilite le témoin lâchement diffamé après son décès par Barthel & Brucker.

[Ref. jca1:] JACQUES COSTAGLIOLA:

L'auteur indique que le 16 octobre 1954, vers 19 heures, le vétérinaire Henri Robert vu arriver de face à 300 mètres d'altitude quatre disques brillants l'un au-dessus de l'autre. L'un est descendu sur la route à 50 mètres et l'a arrêté moteur calé, phares éteints. Un hominien est sorti et s'est affairé, la lumière s'est affaiblie, le moteur et les phares se sont rallumés, l'engin a survolé le talus et s'est éloigné.

La source est notée "Pottier, 1974".

[Ref. goe1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:

1954, 16 octobre

FRANCE, Baillolet

Le vétérinaire Henri Robert qui traversait le village en voiture, vit à la nuit tombante, 4 objets à environ 300 m d'altitude, volant lentement en formation. Soudain, l'un d'eux tomba au sol avec un mouvement de feuille morte, à 10 m du témoin qui ressentit un choc électrique alors que son moteur s'arrêtait, ses phares s'éteignirent et la voiture stoppa alors que l'objet touchait le sol. Incapable de se mouvoir, le Dr Robert vit une silhouette d'environ 1,20 m de haut se mouvoir dans la lumière de l'objet, puis tout devint noir. Quelque temps plus tard les phares se rallumèrent d'eux-mêmes et le Dr Robert vit l'engin s'envoler vers le nord. (Jacques Vallée: "Chronique des apparitions ET" - DENoeL 1972 - COLL. J'AI LU - p. 283-284) Il aperçoit à une distance de 2,5 km et à 300 m d'altitude 4 cercles superposés de couleur orange. Celui du haut s'est détaché du groupe à vitesse vertigineuse et a foncé sur moi, en deux secondes à peine il se plaça à quelques mètres devant le véhicule en zigzaguant à ras du sol." En même temps je ressens une très forte commotion électrique. Mon auto ne m'obéit pas, elle est comme folle. Cela dura une quinzaine de secondes, puis l'engin repartit vers le groupe qui disparut aussitôt." Mais les émotions du témoin ne sont pas terminées. Il raconte: "En arrivant à Bailleur-Neville, au carrefour de La motte, à 3,5 km de la première apparition, à 150 m devant moi, dans mes phares, je vois un être d'environ 1,20m de hauteur, assez corpulent, bras et jambes écartées. J'ai à peine le temps de constater que ses vêtements sont de couleur gris bleuté, car les phares s'éteignent. Ils se rallument 2 à 3 secondes plus tard, mais le petit être a disparu. Instinctivement j'accélère et ai le temps d'apercevoir sur le bord du talus, un engin de forme cylindrique qui décolla à ce moment et s'éleva rapidement en direction du nord." (Pierre DELVAL: "Contacts du 4e type" - De Vecchi 1979, p. 195, 196) EN REALITE: Selon Claude MAUGE, Ce cas serait plus que douteux. Il ferait partie des cas où l'on sait que le témoin est soit alcoolique, soit drogué ou bien encore malade mental. Ce cas serait donc à prendre avec la plus grande méfiance..

[Ref. fbn1:] FABRICE BONVIN:

Fabrice Bonvin note:

Cas n005: 16/10/1954, p. 172 (Baillolet)

[Ref. fbn2:] FABRICE BONVIN:

En un tableau, Fabrice Bonvin note des cas sélectionnés de la vague française de 1954 dont celui-ci:

Cas Nbre témoins Heures Type objets
Baillolet 1 4 3

[Ref. lhh1:] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":

4143: 1954/10/15 19:50 20 1:25:00 E 49:52:00 N 3333 WEU FRN SMR A:8

BAILLY-en-CAMPAGNE,FR:4 SCPS:1 ^:VOITURE EMES:CHOCS:OID?:MST?:>>N:/r144p94+/r8

RefN°217 Jean SIDER: Le DOSSIER 1954 (2 vol.) Page No. 203 : PAYS DE FERMES

Note: "Bailly-en-Campagne" est une ancienne commune de la Seine-Maritime.

[Ref. kbd1:] KEITH BASTERFIELD:

L'ufologue australien indique que le 16 octobre 1954 la nuit à Baillolet, France, le dr Henri Robert conduisaitde nuit quand il a vu quatre objets dans le ciel et l'un a approché sa voiture. Quand il était à environ 100m de distance, il a senti "un chock électrique". Le moteur de voiture est mort, les phares se sont étaints, et il a été paralysé. Une créature de 1m de haut était visible dans la lumière de l'objet. Après plusieurs minutes les phares se sont allumés et la paralysie a cessé. La voiture a pu alors être remise en marche.

Il dit que c'est l'un des 15 cas en France en 1954 où il y avait une paralysie rapportée du témoin ou des témoins quand ils étaient à une certaine distance d'un OVNI de basse altitude, distances qui sont 6m (1 cas), 20m (2), 50m (2) 100m (1) et 150m (1). Il ajoute qu'il semble y avoir peu doute au sujet d'un rapport entre l'OVNI et la paralysie, puisque la paralysie a débuté lors de l'observation de l'OVNI et a ensuite cessée quand l'OVNI est parti.

La source est notée "Michel A 1958 Flying Saucers and the Straight Line Mystery. New York Criterion Books.pp184-185."

[Ref. ars1:] ALBERT ROSALES:

171.

Lieu. Baillolet France

Date: 16 octobre 1954

Heure: 2100

Le Dr Henri Robert, un vétérinaire, conduisait quand il a vu 4 disques dans le ciel, dont l'un est descendu avec un mouvement en "feuille morte." Quand il a été à moins de 100 yards de lui, le Dr Robert a senti une décharge électrique et s'est senti paralysé; son moteur est mort et ses phares se sont éteints, tandis que l'objet a atterri sur la route. A la lumière de l'objet brillant, il a pu voir un petit personnage de légèrement plus de 3 pieds de haut. Après une période d'obscurité durant plusieurs minutes, les phares se sont rallumés et l'objet a été vu s'éloignant rapidement.

Humcat 1954-101

Source: Aime Michel

Type: C

[Ref. sdn1:] STEVEN DUNN:

Baillot, FR
16 Oct 54

Le Dr. Robert a observé 4 objets en forme de disque voler au-dessus de sa voiture. L'un est tobé de la formation, Robert s'est senti paralysé. Une petite créature est apparue & s'est déplacée illuminée par la lueur de l'engin.

CE-3-302 Randle/Estes, FOV pg 269

[Ref. djn1:] DONALD JOHNSON:

Rencontre avec des Extraterrestres ce Jour-Là

16 octobre

1954 – Le Dr. Robert, conduisant par Baillolet, France à la tombée de la nuit, a vu quatre objets voler lentement en formation en échelon à environ 300 mètres d'altitude. Un des OVNIS s'est laissé tomber soudainement à la terre avec un mouvement en chute de feuille, atterrissant à seulement 100 mètres de distance. Le témoin a senti une décharge électrique pendant que le moteur et les phares de sa voiture mouraient, et sa voiture s'est arrêté au moment où l'objet a touché la terre. Incapable de se déplacer, Dr. Robert a observé un personnage d'environ 1,2 mètres (4 pieds) de haut se déplacér autour à la lumière de l'objet, puis disparaître dans l'obscurité. Une certaine heure plus tard les phares se sont rallumés par eux-mêmes, et le Dr. Robert a vu l'engin décoller vers le nord. Sources: Aime Michel, Flying Saucers and the Straight Line Mystery, p. 185; Jacques Vallee, Passport to Magonia: A Century of Landings, pp. 231-232).

[Ref. rhl1] RICHARD HALL:

TABLE 1. OBSERVATIONS D'OCCUPANTS D'OVNIS, 1954-1963

[...]

16 octobre 1954 Dr. Henri Robert, Baillolet (Seine-Inferieure), France tombée de la nuit

Un être de 3 pieds de haut; un de quatre objets circulaires a zigzagué vers le bas devant la voiture, choc ressenti par le témoin, le moteur et les lumières tombent en panne; être visible dans la lumière de l'OVNI.

[...]

[Ref. unt1:] SITE WEB "UFO NORTHWEST":

Le site web indique que le Dr. Jacques Vallee a écrit un livre intitulé "Passport to Magnolia" [sic] qui a mis en évidence des incidents français d'humanoïdes associés à des OVNIS en 1954, qui ont été également décrits dans le livre plus récent "Situation Red - The UFO Siege" (1977) par Leonard H. Stringfield, incluant ce qui suit:

Le 16 octobre à Baillolet, le Dr. Robert, "tout en conduisant, a vu quatre objets volant à basse altitude lentement en une formation en échelon. Soudainement l'un est tombé à terre avec un mouvement de feuille morte, à cent mètres de distance. Le docteur a senti une décharge électrique pendant que le moteur et les phares de sa voiture mouraient. Incapable de se déplacer, Dr. Robert a vu un personnage à peu près grand de .2 mètres se déplacer dans la lumière de l'objet; ensuite tout s'est éteint. Plus tard, les phares ont repris leur fonctionnementpar eux-mêmes, quand l'objet est parti du secteur."

[Ref. prn1:] PETER ROGERSON:

16 octobre 1954. Tombée de la nuit

BAILLOLET (SEINE-MARITIME : FRANCE)

Le vétérinaire Dr Henri Robert conduisait dans ce village sur la route N-314 quand il a vu quatre objets à 300m d'altitude volant lentement en une formation d'échelon. Soudain, l'un d'entre eux a chuté sur le sol dans un mouvement de feuille morte, à 100m. Robert a senti une décharge électrique tandis que ses phares et le moteur sont morts, et la voiture s'est arrêtée, lorsque l'objet a heurté le sol. Incapable de bouger, Robert vit une silhouette d'environ 1,2 m de haut, se déplaçant dans la lumière de l'objet, puis tout est devenu sombre. Quelque temps plus tard, ses phares se sont remis à fonctionner d'eux-mêmes et Robert a vu l'engin froler?le sol, décollant vers le nord. Il a ensuite été en mesure de se déplacer et de redémarrer sa voiture.

Vallee cas 274, citant Paris-Presse 19 octobre 1954.
Michel 1958, p.185.

[Ref. nip1:] "THE NICAP WEBSITE":

(140) Le Dr Robert, en passant par Baillolet, France à la nuit tombée, a vu quatre objets volants lentement dans une formation d'échelon à environ 300 mètres d'altitude. L'un des ovnis a chuté brusquement au sol avec un mouvement de chute de feuille morte, atterrissant à seulement 100 mètres. Le témoin a senti une décharge électrique tandis que le moteur et les phares de sa voiture sont morts, et sa voiture s'est arrêtée au moment où l'objet a touché le sol. Incapable de se déplacer, le Dr Robert regardait tandis qu'un personnage d'environ 1,2 mètres (4 pieds) de hauteur se déplaçait à la lumière de l'objet, puis tout est devenu noir. Quelque temps plus tard, les phares revinrent d'eux-mêmes, et le Dr Robert a vu l'engin décoller vers le nord. (Sources: Aime Michel, Flying Saucers and the Straight Line Mystery, p. 185; Jacques Vallee, Passport to Magonia: A Century of Landings, pp. 231-232).

[Ref. tai1:] "THINK ABOUT IT" WEBSITE:

Lieu: Baillolet France

Date: 16 octobre 1954

Heure: 2100

Le Dr Henri Robert, un vétérinaire, conduisait quand il a vu quatre disques dans le ciel, dont l'un est descendu avec un mouvement de "feuille morte". Lorsqu'à moins de 100 mètres de celui-ci le Dr Robert a senti une décharge électrique et s'est trouvé paralysé; son moteur est mort et ses phares se sont éteints, tandis que l'objet a atterri sur la route. À la lumière de l'objet lumineux, il pouvait voir un petit personnage d'un peu plus de 3 pieds de haut. Après une période d'obscurité durant plusieurs minutes, les phares se sont allumés, et l'objet a été vu s'éloigner rapidement.

Source: Aime Michel 194: Jacques Vallee, Passport to Magonia 274

[Ref. ubk1:] "UFO-DATENBANK":

Cette base de données a enregistré ce même cas 21 fois au lieu d'une!

N° de cas Nouveau N° de cas Enquêteur Date d'observation CP Lieu d'observation Pays d'observation Heure d'observation Classification Commentaires Identification
19541016 16.10.1954 Baillolet France 20.00 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France 21.00 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France Nuit CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France Tombée de la nuit CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France 19.45 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France 20.00 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France 20.00 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France 19.45 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France Tombée de la nuit CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France 21.00 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France 20.00 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France 20.00 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France 20.00 CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France Tombée de la nuit CE III
19541016 16.10.1954 Baillolet France Tombée de la nuit CE III
19541016 16.10.1954 Londinieres France 19.00
19541016 16.10.1954 Londinieres France Tombée de la nuit
19541016 16.10.1954 Baillolet France Nuit NL
19541016 16.10.1954 Baillolet France Nuit CE III
19541016 16.10.1954 N 314 France
19541016 16.10.1954 N-314 France

[Ref. prn2:] PETER ROGERSON - "INTCAT":

16 octobre 1954. Tombée de la nuit.

BAILLOLET (SEINE-MARITIME : FRANCE)

Le chirurgien vétérinaire Dr Henri Robert conduisait à travers ce village sur la Route N-314 quand il a vu quatre objets à 300m d'altitude volant lentement en une formation en échelon. Soudainement l'un d'eux est tombé au sol en un mouvement de feuille morte, à 100m de distance. Robert a senti un choc électrique tandis que ses phares et son moteur s'éteignaient, et la voiture s'arrêta, quand l'objet a frappé le sol. Incapable de bouger, Robert a vu un personnage d'environ 1.2m de haut, se dépla9ant dans la lumière de l'objet, puis tout s'est assombri. Quelaues temps plus tard ses phares se sont rallumés d'eux-mêmes et Robert a vu l'engin glisser le long du sol, décollant vers le nord. Il a alors été capable de bouger et de redémarrer sa voiture.

Vallée cas 274 citant Paris-Presse 19 octobre 1954.

Michel 1958b p185)

[Ref. acu1:] SITE WEB "ACTU.FR":

De Londinières à Aumale en 1954

En 1954, partout en France, les témoignages affluent sur la présence de phénomènes inexpliqués. Le phénomène n’échappe pas au Pays de Bray avec des témoins à Londinières et Aumale. Un homme, notamment, aurait observé « quatre soucoupes volantes et un être étrange de petite taille et de couleur gris acier ». Le Réveil recueille plusieurs témoignages cette année-là. L’enquête de gendarmerie, toutefois, ne donnera rien.

Explications:

Carte.

Probable alcoolisme.

Les rapports disent que c'est "à la nuit tombante", sans préciser d'heure. La tombée de la nuit était emtre 19 heures et 19:30.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Londinière, Seine-Maritime, Robert, voiture, panne, arrêt, occupants, atterrissage, engin, objet, lumineux, route, effets

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 7 avril 2004 Première publication.
1.0 Patrick Gross 24 avril 2009 Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée.
1.1 Patrick Gross 11 février 2010 Addition [jca1].
1.2 Patrick Gross 13 mars 2010 Addition [jgu1].
1.3 Patrick Gross 22 juin 2010 Addition [bvl1].
1.4 Patrick Gross 30 juin 2010 Addition [jve5].
1.5 Patrick Gross 3 juillet 2010 Additions [jsc1], [fbn2], [lcp2].
1.6 Patrick Gross 16 août 2010 Addition [unt1].
1.7 Patrick Gross 21 octobre 2011 Additions [cln1], [bbr1], [lid1].
1.8 Patrick Gross 14 août 2013 Addition [prn1].
1.9 Patrick Gross 23 septembre 2014 Additions [lie1], [nip1], [tai1].
2.0 Patrick Gross 7 octobre 2016 Addition [pls1].
2.1 Patrick Gross 25 novembre 2016 Additions [ler1], [ubk1].
2.2 Patrick Gross 2 mars 2020 Additions [nnm1], [ppe1], [jgd1], [mft1], [krs1], [lhh1], [acu1].
2.3 Patrick Gross 10 juin 2020 Addition [nll1].
2.4 Patrick Gross 27 juin 2020 Addition [jpc1].
2.5 Patrick Gross 11 janvier 2021 Addition [lcx1].
2.6 Patrick Gross 29 septembre 2021 Additions [ufa1], [tbw1].
2.7 Patrick Gross 12 mai 2022 Additions [gqy1], [lgs1].
2.8 Patrick Gross 9 juin 2022 Addition [agd1].
2.9 Patrick Gross 5 juillet 2022 Additions [jve8], [amn1], [gab1], [gab2], [mft3], [jsr1], [goe1].

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Cette page a été mise à jour le 5 juillet 2022.