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UFO Chile N° 3 - janvier 1968

Voici le bulletin d'ufologie du Chili UFO Chile N° 3, page 2, paru au Chili en janvier 1968. Largement introuvable jusqu'ici en dehors de cercles ufologiques chiliens, le bulletin m'a été envoyé parmi bien d'autres trésors par un ufologue chilien vétéran âgé de 87 ans en 2018, et est présenté ici pour la première fois en reproduction des pages originales, avec mes transcriptions textuelles en espagnol, en français, et en anglais.

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UFO Chile N° 3, page 2, janvier 1968

Transcription traduite en français:

OVNI Chili, janvier 1968

Page 2

LES CAS CHILIENS DE 1967

(Suite du cas n ° 7)

Une commotion provoquée par la chute possible d'un avion ou un autre phénomène étrange s'est produite à l'intérieur de Baquedano, mobilisant le FACH [Armée de l'Air], les Carabiniers et les journalistes. Les radios de la capitale ont commencé, peu après midi, à annoncer la chute d'un engin inconnu qui était en flammes, à l'intérieur d'Antofagasta, dans la région près de Lomas Bayas.

Une rumeur grandissante s'est formée dans la gare de Baquedano et a eu comme point de départ: le conducteur du train numéro deux et le gérant d'entrpôt Juan Pira, des voyageurs de Calera à Iquique, qui ont déclaré qu'ils ont vu à l'aube un avion en feu qui tombait vers la zone de Lomas Bayas. Alberto López, le machiniste, a donné cette information qui a provoqué l'alarme nationale au sujet de l'affaire.

La FACH - l'armée de l'air chilienne - a commencé un vol de reconnaissance à 15h00 sur des avions B-26, qui ont survolé la région de Baquedano à Lomas Bayas de manière intensive et à basse altitude, sans grand résultat. Peu de temps après, les Carabiniers ont ordonné une patrouille, qui était dirigée par Eleodoro Concha Barrienros.

Les reporters de "El Norte" racontent dans leurs moindres détails la recherche prolongée de quelque chose qui n'est pas encore clair.

Au poste de contrôle de police, on a déclaré qu'était partie ily a 20 minutes pour Lomas Bayas, 45 kilomètres à l'est de Baquedano, une jeep avec une patrouille sous le commandement du commissaire, le majr Eleodoro Concha. Des journalistes sont également arrivés dans la nuit à Lomas Bayas avec les Carabiniers. Lomas Bayas est un camp minier et sa population est d'environ soixante personnes. Le major Concha a interrogé plusieurs mineurs et certains d'entre eux, craignant d'être impliqués dans quelque chose d'illégal, ont nié avoir vu quoi que ce soit. Il y avait un chauffeur, Honorare Bautista, qui, le matin, avait parlé avec un enfant et lui avait dit qu'il avait vu tomber comme un avion à cinq heures du matin.

De retour au point de contrôle de Baquedano, l'enfant Ruperto Larrondo Ramirez, 12 ans, a dit, "Le chauffeur du camion, M. Honorato, m'a demandé le matin s'il savait quoi que ce soit de l'avion qui était tombé en feu et je l'ai dit non, mais il a dit qu'à 5 heures et demie du matin, il l'avait vu et qu'il n'en parlait à personne, il a dit la même chose à Mlle Irène Gomez, quand elle a quitté l'école, il m'a emmené dans le camion jusqu'à la maison."

Il avait terminé d'interrogé le petit Ruperto Larrondo, quand un policier est venu avec l'assistant machiniste, Juan Segundo Pereira Chayle, la réponse à l'interrogation était "Effectivement, j'ai vu à 5 heures 15 du matin quand j'étais dans le train 9007, une grande lueur, un feu vert au centre et rouge sur les côtés. Il a fait un long voyage jusqu'à ce qu'il soit perdu au milieu des collines. Je ne pouvais pas dire si c'était une météorite. Il était trop grand pour en être un. Il faisait l'effet d'une tempête électrique. Je voyage beaucoup pour Socompa et je suis habitué à voir ce genre de phénomène. Ce fut quelque chose de différent, étrange, je ne sais pas si c'était un avion en flammes qui chutait, ou une soucoupe volante".

Il a ensuite expliqué que l'ingénieur de la locomotive Diesel, qui l'accompagnait, ne l'avait pas remarqué parce qu'il travaillait du côté droit. "J'ai vu cette lueur vers le côté gauche de la locomotive, c'est-à-dire vers l'ouest, à deux kilomètres au nord de Baquedano, par le chemin de fer."

De retour à la gare de Baquedano, à 11h30, Pereira a exprimé

Transcription originale en espagnol:

UFO Chile, Enero de 1968

Pág. 2

CASOS CHILENOS DE 1967

(Continuación Caso N° 7)

Conmoción causó la posible caída de un avión u otro extraño fenómeno ocurrido al interior de Baquedano, movilizando a la FACH, Carabineros y periodistas. Las radios de la capital comenzaron, poco después de mediodía, a propalar la caída de un aparato desconocido en el interior de Antofagasta, que se vio en llamas en la zona cercana a Lomas Bayas.

Un rumor creciente se formó en la Estación Baquedano y aparecieron los primeros antecedentes: el maquinista del tren número dos y el fogonero Juan Pira, en viaje de Calera a Iquique, dijeron haber visto en la madrugada un avión en llamas que caía hacia la zona de Lomas Bayas. Alberto López, el maquinista, dio esta información que provocó alarma nacional en torno al caso.

FACH - Fuerza Aérea de Chile - inició un vuelo de reconocimiento a las 15 horas en aviones B 26, que sobrevolaron intensamente y a baja altura la zona desde Baquedano a Lomas Bayas, sin mayores resultados. Poco después, Carabineros ordenaba un patrullaje, el que estuvo a cargo del mayor Eleodoro Concha Barrienros.

Los reporteros de «El Norte» les cuentan en sus menores detalles la prolongada búsqueda de algo que aún no está claro.

En el retén de Carabineros se informó que hacían 20 minutos había salido hacia Lomas Bayas, a 45 kilómetros al este de Baquedano, un jeep con una patrulla al mando del Comisario, mayor Eleodoro Concha. Los periodistas llegaron también de noche a Lomas Bayas junto con los Carabineros. Lomas Bayas es un campamento minero y su población es de unas sesenta personas. El mayor Concha interrogó a varios mineros y algunos de ellos, con temor por estimar que podían estar implicados en algo ilícito negaron haber visto nada. Allí se encontraba un chofer, Honorare Bautista, quien, en la mañana había conversado con un niño y le había contado que había visto caer como un avión a las cinco de la mañana.

De vuelta en el retén de Baquedano, el niño Ruperto Larrondo Ramírez, de 12 años declaró: "el chofer del camión, señor Honorato, me preguntó en la mañana si sabía algo del avión que cayó incendiado. Le dije que nó; pero él contó que a las 5.30 de la mañana lo había visto Y que no le dijera a nadie. Lo mismo le dijo a la señorita Irene Gómez, a la salida de la escuela. El me llevaba en el camión a la casa.

Se terminaba de interrogar al pequeño Ruperto Larrondo, cuando un carabinero llegó con el ayudante de maquinista, Juan Segundo Pereira Chayle, La respuesta al interrogatorio fue: "Efecctivamente, yo ví a las 5 y 15 de la madrugada cuando iba en el tren 9007 a Miraje, un resplandor grande, de una luz verde en el centro y rojiza a los lados. Hizo un largo recorrido hasta que se perdió en medio de los cerros. No podía decir si era un aerolito. Era demasiado grande para que lo fuera. Tampoco era efecto de una tempestad eléctrica. Yo viajo mucho para Socompa y estoy acostumbrado a ver este tipo de fenómeno. Esto era algo distinto, extraño, no sé si un avión que caía envuelto en llamas o un platillo volador".

Explicó después que él maquinista de la locomotora Diesel, que lo acompañaba, no lo notó porque iba trabajando hacia él costado derecho. «Ese resplandor lo ví hacia el costado izquierdo de la locomotora, es decir hacia el oeste, a dos kilómetros al norte de Baquedano, por la vía férrea".

Al regresar a la Estación Baquedano, a las 11.30 horas, Pereira expresó

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Cette page a été mise à jour le 19 avril 2018.