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Référence pour ce cas: 30-sep-54-Marcilly-sur-Vienne.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
[Ref. nrc1:] JOURNAL "LA NOUVELLE REPUBLIQUE DU CENTRE OUEST":
Les sept témoignages concordants des ouvriers d'une carrière de Marcilly-sur-Vienne qui, jeudi, vers 16h30, ont vu tout près d'eux un engin mystérieux et son passager, ont intrigué les gens de la région.
Nous avons pu interroger M. Georges Gatey, chef du chantier et principal témoin de l'événement, ainsi que ses six camarades.
Nous en rapportons l'impression que ces hommes sont sincères et dignes de foi. Leurs déclarations, ils les ont confirmées vendredi et samedi à des enquêteurs professionnels qui n'ont pas manqué, à leur tour d'être impressionnés par l'accent de sincérité des témoins.
M. Gatey et ses cinq ouvriers étaient occupés à tirer du sable et du gravier dans une carrière en bordure de la route près de Marcilly. Chacun était à son poste, les uns à la pelle mécanique, les autres au monte-charge. M. Gatey se trouvait à l'écart, plus près de la sortie de la carrière. C'est lui qui, le premier, vit l'engin, un appareil de forme circulaire surmonté d'un dôme, équipé, semble t-il, de pales semblables à celles d'un hélicoptère.
L'engin se tenait en vol immobile à un mètre du sol, les pales tournant très rapidement. Il ne s'est d'ailleurs pas posé sur le terrain.
Coiffé d'un casque en matière opaque, ressemblant à du verre brouillé, vêtu d'une combinaison de ton neutre, chaussé de bottillons, se trouvait à côté. Il avait à la main une sorte de gros revolver ou un tuyau et sur la poitrine un disque très brillant, émettant un jet d'une lumière intense.
Personne, dans la carrière, qui se trouve en contrebas de plusieurs mètres par rapport à la route et aux terrains environnants, n'avait vu arriver l'appareil et ne l'avait entendu. Chacun était occupé d'ailleurs à son travail et les machines qui fonctionnaient en même temps étaient très bruyantes.
M. Gatey est formel: l'engin est resté une demi minute, temps largement suffisant pour pouvoir l'examiner. Le chef de chantier est un excellent dessinateur. Son premier réflexe, après son ébahissement, fut de courir à la tente du chantier pour prendre un papier, un crayon et tracer le croquis de
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l'extraordinaire machine et de son occupant.
"Mais j'avais les jambes coupées, nous a-t-il dit, et je ne pouvais pas faire un pas, cloué au sol certainement par les effets du rayon lumineux émis par l'homme.
M. Gatey se trouvait à ce moment-là à une quinzaine de mètres de l'engin et à deux mètres en contrebas. Il le voyait donc du dessous. L'engin, précisons-le, était à l'entrée de la carrière, sur le bord de l'excavation, à 3 mètres de la route. Sur cette route arrivait un camion qui venait charger à la carrière, conduit par M. Amirault, qui vit les carriers regarder vers l'entrée du chantier et il a regardé à son tour. Il a vu "quelque chose de gris" qui ne se trouvait pas là habituellement. Ce quelque chose s'est élevé dans l'air.
M. Gatey nous a encore dit: "L'homme est remonté dans son engin sans que je puisse dire par où, puis l'appareil a prit de la hauteur, à la verticale, par saccades en sifflant comme le font les moteurs à réaction des avions de chasse. A 200 mètres d'altitude, à peu près, il a émis un brouillard qui l'a dissimulé complètement et a disparu à nos regards."
"C'est bien ça", ont opiné les autres témoins de la scène.
Emus jusqu'au voisinage de la peur, les hommes ont tacitement tu leur aventure de l'après-midi quand le soir ils se sont retrouvés au petit restaurant de Parçay-aux-Vienne où ils prennent leur repas.
Ce n'est que bien plus tard, vers 19 h. 30 ou 20 h., qu'ils se sont décidé à parler.
"J'aurais été seul, je n'aurais jamais rien dit de tout cela, nous disait M. Gatey, de peur d'être la risée du pays."
Le chef de chantier était allé sur le rebord de la carrière voir si l'engin avait laissé des traces. Il espérait trouver de l'herbe brûlée mais il n'y avait rien de semblable, que de l'herbe salie et foulée par les camions.
Les 7 hommes, dont 6 au moins de 30 ans, sont sympathiquement connus dans la région où ils travaillent déjà depuis quelque temps et rien ne permet de supposer qu'ils aient cherché à monter une énorme plaisanterie. M. Gatey a dessiné de mémoire la silhouette de l'engin et de son passager.
Ses camarades, MM. René Rougier, André Beurrois, André Sèche, Georges Lubanowich et Maurice Dubrocs, en présence du croquis, ont affirmé: "C'est bien cette forme qu'avait l'appareil en question". L'engin pouvait mesurer 4 m. 50 de diamètre et 2 mètres d'épaisseur. Il était de couleur grise.
[Partie manquante]
[en]treprise Goursault de Melle, revenait de mettre en marche leur compresseur d'air.
Châteauroux, 3. -- Mme veuve Janiki, demeurant au bourg du Cerisier, commune de Levroux (Indre), à déclaré à la Gendarmerie qu'elle avait aperçu dans le ciel un engin lumineux d'un diamètre d'environ 3 mètres et qui se trouvait à la hauteur des bâtiments.
Mme veuve Lacotte a été témoin du même phénomène.
Mme Baron de Vatan (Indre), a déclaré avoir aperçu, hier soir, une boule lumineuse dans le ciel.
Elle alerta son mari, ainsi qu'une quinzaine de personnes de son voisinage qui, toutes, ont vu évoluer à une très haute altitude, l'engin de couleur jaune-verdâtre, qui montait et descendait dans le ciel.
Nevers, 3. -- Un représentant d'une compagnie d'assurances de Clamecy ainsi que plusieurs habitants de Corbigny, ont déclaré avoir aperçu un disque lumineux de couleur orange qui se déplaçait dans le ciel.
SAINT-BRIEUC
Plusieurs personnes ont affirmé avoir vu, à 300 ou 400 mètres d'elles, hier soir, vers 20 h. 45, un "cigare volant", à une altitude de 50 mètres environ.
LILLE
M. Anicet Corneille, ouvrier agricole, a déclaré avoir aperçu hier soir, à Comines, un engin ayant la forme d'un cigare, de 8 à 10 mètres de longueur sur 3 m. de largeur, qui évoluait à une quarantaine de mètres de hauteur et dégageait une vive lueur violette.
MONTCEAU-LES-MINES
Deux ouvriers maçons, MM. Romain Sébastiani et Buratto, tous deux coureurs cyclistes, ont déclaré avoir aperçu, en bordure de la route de Blanzy à Montceau, un engin décoller avec un sifflement strident.
Dans une question écrite, M. Jean Nocher, député de la Loire, a fait part au secrétaire de l'Air de l'émotion suscitée dans le public par les nombreux et divers témoignages concernant les "soucoupes volantes".
Il lui demande "si ses prédécesseurs au secrétariat d'Etat à l'Air s'étaient préoccupés, comme aux Etats-Unis et en U.R.S.S., d'ouvrir une enquête sur la présence dans notre atmosphère d'objets volants non identifiés?
"Si oui, il lui demande les résultats publiables de ces investigations. Sinon, il lui demande de constituer une commission largement étendue à toutes les branches scientifiques intéressées afin d'étudier objectivement ce phénomène".
[Ref. fde1:] JOURNAL "FRANCE DIMANCHE":
A 400 kilomètres de distance, c'est la même soucoupe qu'ont vue, semble-t-il, M. Cyprien Bacquet (ci-dessus à gauche) et M. Georges Gatay, ci-contre à droite en médaillon). Les dessins qu'ils ont fait l'un et l'autre du phénomène qu'ils ont observé (ci-dessus au centre) se ressemblent, en effet, étonnamment. M. Bacqué, ingénieur architecte a vu l'engin mystérieux au-dessus de Pau, à dix mille mètres d'altitude, en même temps que des milliers de Palois. M. Gatay, chef de chantier, l'a vu à un mètre au-dessus du sol et à quinze mètres de distance au bord d'une carrière à Marcilly-sur-Vienne, en même temps que les six ouvriers qui travaillaient avec lui. Pour M. Bacqué, qui l'aperçu à onze heure, le 30 septembre, il s'agissait d'une sphère évoluant dans les stratus, de couleur rouge, d'où sortaient quatre tubes. L'ingénieur l'observa au téléscope pendant trois quarts d'heure avant qu'elle ne disparaisse vers l'ouest. C'est il y a huit jours à 15 h 30, que M. Gatey vit soudain l'engin arrêté. Devant la soucoupe se tenait un petit homme de 1 m 50 avec un casque de cuir et des bottes (ci-dessus à droite). Un rayon cloua le témoin sur place. L'homme regagna l'engin qui s'éleva par petites saccades et disparut. M. Bacqué et M. Gatey ne se connaissent pas.
[Ref. rdr1:] MAGAZINE "RADAR":
[Légende de la photo de gauche:] Gatey à l'endroit de l'apparition.
[Légende de la photo de droite:] La soucoupe aurait atterri là où est le camion.
Chef de chantier d'une carrière de Marcilly-sur-Vienne (Indre-et-Loire), M. Gatey est formel; "Je tire du sable avec mes six ouvriers quand tout à coup, je vois l'engin. Un appareil de forme circulaire, surmonté d'un dôme, équipé de pales semblables à celles d'un hélicoptère. Près de lui, un petit homme (environ 1 m. 50) vêtu d'une combinaison, coiffé d'un casque en matière opaque, chaussé de bottillons. Il tient à la main une sorte de tuyau. J'ai pu regarder pendant 30 secondes, avec mes camarades, cette scène troublante. Brusquement l'individu remonta dans sa coupole, et l'appareil prit de la hauteur à la verticale dans un bruit d'avion à réaction, puis disparût dans une espèce de brouillard que sa machine infernale émettait."
[Ref. cot1:] JOURNAL "LE COURRIER DE L'OUEST":
Le Martien les regardait en silence et lorsque Georges Gatay, le chef de chantier qui se sentait envahir d'une étrange torpeur leva les yeux vers le bord de la carrière, la plus fantastique apparition qu'il eut pu imaginer le cloua sur place. Cela se passait voici deux semaines à peine, et depuis l'étrange visite, ce solide garçon d'une trentaine d'années ne mange presque plus et ne dort guère.
Il était à peu près 16 h 30 et les cinq compagnons extrayaient de la carrière de Marcilly-sur-Vienne des graviers et des pierres pour les Ponts-et-Chaussées à l'aide d'une pelleteuse mécanique et d'un certain nombre de machines bruyantes. Creusée au bord de la route de Nouatre, cette carrière est la seule excavation au milieu d'une vaste plaine dégarnie d'arbres. Ces cinq ouvriers, MM. Rougier, Séché, Berois, Lubanevic et Villeneuve, en attendaient un sixième, M. Amirault, le chauffeur d'un lourd camion qui venait faire le plein. L'air ensoleillé de cette fin d'après-midi était limpide et sans le moindre nuage. C'est alors que la chose arriva...
"Je n'ai pas la berlue, pensas Georges Gatay en se passant la main sur les cheveux, c'est bien une soucoupe volante et un Martien." Successivement, ses camarades de travail regardèrent dans sa direction et firent la même réflexion. Un objet circulaire, surmonté d'un dôme d'un gris métallique, se tenait immobile à environ un mètre du sol. Il semblait que des pales tournant à très grande vitesse y étaient attachées. L'ensemble avait l'apparence d'un bol renversé. Mais le plus étrange de tout était ce petit être d'un mètre cinquante-cinq environ, qui se tenait immobile devant. Vêtu d'une sorte de combinaison plastique, chaussé de bottillons de même matière, il portait sur la tête un casque opaque qui lui couvrait le visage.
"Une sorte de projecteur émettant une lueur très douce était fixé sur sa poitrine et attirait nos regards", racontèrent les témoins par la suite. "A la main l'être d'un autre monde tenait une espèce de revolver ou de tube de métal. L'apparition ne dura qu'une minute et demie peut-être, puis l'individu disparut peu à peu comme une image qui s'efface sur un écran et l'appareil remonta par saccades brusques vers le ciel. Arrivé à une centaine de mètres du sol, il s'entoura d'un nuage circulaire, rappelant une fumée blanche artificielle et disparut." C'est à ce moment-là qu'arrivait M. Amirault. De la cabine de son camion il n'eut que le temps d'apercevoir l'étrange machine avant qu'elle ne disparaisse dans le nuage.
Aux enquêteurs qui les pressaient de questions, les témoins de cette visite astrale ont répondu catégoriquement: "nous ne sommes pas des illuminés, nous sommes sûrs de ce que nous avons vu."
Aujourd'hui, ces témoins sont beaucoup moins catégoriques. Leur petite histoire a fait son chemin et devant la population narquoise et sceptique, ils ont adopté l'attitude la plus prudente: celle du silence.
D'autres personnes en France ont vu ou touché ces êtres mystérieux. Un enfant de Morez qui n'avait jamais entendu parlé de soucoupes volantes a dit avoir été embrassé par un être "haut comme une porte et brillant comme une armoire à glace", et les fessées n'ont pas pu faire taire ce gamin de 12 ans. Enfin voici la bombe à retardement. Un Anglais se déclare le premier terrien à être entré en contact avec un Martien.
"Il avait un charmant sourire comme peu de terriens en ont." Et Cedric Allingham qui va faire paraître à Londres le récit de cette brève rencontre leva le bras pour saluer le Martien qui lui répondit courtoisement. Cet Anglais, féru d'astronomie et ornithologue professionnel, n'a pas eu la berlue lui non plus et a fourni à l'appui de ses dires plusieurs photographies et le témoignage juré d'un paysan témoin de la scène.
L'ouvrage de C. Allingham sera d'ici peu traduit en français et les curieux auront alors tout le loisir d'en faire la critique. Retenons-en seulement la séduisante description du visiteur de l'espace. Il était grand, bien proportionné et sa voix évoquait un bruit de source vive. Les seuls détails insolites dans cette silhouette étaient deux petits tubes reliés par un fil engagé dans les narines de l'inconnu et lorsqu'il se retourna une étrange patte de bretelle dont l'utilité n'a pas été découverte. Attendons que la chose d'un autre monde veuille bien atterrir à nouveau pour nous l'expliquer.
"Les soucoupes volantes ont atterri". Sous ce titre, le grand champion des relations diplomatiques interplanétaires Georges Adamski lança aux U.S.A. le récit de ses conversations passionnantes avec les Vénusiens. L'ouvrage fut un best-seller aussitôt traduit et plusieurs fois réédité, mais les déclarations de l'auteur trop impressionné, semble-t-il, par les récits d'anticipations n'ont pas encore reçu de confirmation et n'en recevront peut-être jamais. Comme Cédric Allingham, Adamski étaie son récit d'empreintes de pas vénusiens moulées en plâtre de Paris et de photographies de leur merveilleux appareil volant. Il eut même, paraît-il, le grand honneur de se promener pendant vingt minutes dans l'un de ces engins et put s'entretenir longuement avec les Vénusiens sans ouvrir la bouche... par transmission de pensée. H. G. Wells est très nettement battu par Adamski et l'auteur de la "Guerre des Mondes" n'avait guère d'imagination.
[Légendes photos:]
Ceux qui "en" ont vu:
Mme GUILLMOTEAU en Vendée
Georges GATAY, chef de chantier en Touraine
Le jeune Henri CLEMENT dans les Deux-Sèvres
[Ref. fde2:] JOURNAL "FRANCE-DIMANCHE":
Ce journal a publié une collection de dessins de troisième main représentant certaines des différentes formes de soucoupes volantes alléguée vues en 1954:
Soucoupe classique avec coupole..., Saturnien. Halo, gaz de propulsions luminescents et rayon paralysants. Elle a été vue au début d'octobre par M. Gatey, chef de chantier, à quinze mètres du sol.
[Ref. hws1:] HAROLD T. WILKINS:
L'auteur indique qu'à Marcilly-sur-Vienne, France centrale occidentale, le chef de chantier d'une carrière a allégué que "une petite entité casquée, portant une sorte de pistolet à rayon, a ouvert le feu sur lui et six de ses compagnons, avec "un rayon lumineux et paralysant."
[Ref. mtn1:] MARC THIROUIN:
Marc Thirouin a rédigé un article dans lequel il expose que les témoins à cette époque s'étaient souvent plaint de la déformation qu'une certaine presse faisait subir à leurs déclarations; qu'ils faisaient l'objet d'insinuations vexatoires de la même presse quant à leur équilibre mental, leur bonne foi ou leur sobrieté, de pressionspour les obliger à dire ce qu'ils n'ont pas vu ou à modidier dans un sens sentationnel ou négatif ce qu'ils affirmaient avoir vécu, de menaces de poursuites pour outrage à magistrat au cas où ils causeraient une enquête inutile et ridicule; et du disrédit qui retombait généralement sur eux lorsqu'ils "ont été ainsi pétris et retournés dans tous les sens", etc.
Il donne plusieurs exemples français de 1954, dont celui-ci:
L'affaire des carriers de Nouâtre. -- Le 30 sept. 1954, en plein jour, 8 carriers se sont trouvés face à face avec un être inconnu et sa S.V., dans laquelle il repartit. Certains enquêteurs les tournèrent en ridicule, après les avoir longuement "cuisinés", et prétendirent que ces hommes avaient bu. Imaginez un peu : sur 8 hommes tous étaient ivres, au même moment, y compris le chef de chantier, dont le témoignage confirme celui de ses hommes!
Quand notre correspondant local, M. Grondeau, voulut tirer l'affaire au clair, le mal était fait. Les témoins étaient "absents", et les gens du pays qui avaient recueilli leurs premières déclarations était muets. Voici d'ailleurs le rapport de notre correspondant, que je reproduis en m'excusant de remplacer les noms de lieux et de personnes par des A et de B, des X et des Y afin de ne pas causer aux témoins de nouvelles inquiétudes:
"Pour commencer, je suis allé à A, chez un commerçant, M. X. Tout en bavardant avec lui je lui ai demandé:
- N'y a-t-il pas eu une histoire de S.V. par ici?
Il me répondit:
- Oui. Un soir, deux ouvriers arrivèrent en se précipitant. L'un d'eux, le contremaître, me fit sur une ardoise le croquis d'un engin. Voici ce croquis.
Mais M. X tout à coup s'interrompit:
- Ah! Oui, lança-t-il; ils avaient bu 1 litre de cognac et 1 litre d'alcool; ils ne savaient plus ce qu'il disaient!
Ensuite M. X bafouilla et dit qu'il ignorait tout. (D'où vient donc ce croquis précieusement conservé?)
Je me rendis ensuite à B, chez Mme Y, autre commerçante, qui connut bien les témoins. Elle se montra fort aimable. Mais au premier mot de S.V. elle eut un air effaré et s'agita, déclarant qu'elle ne savait pas, qu'il fallait voir M. Z, à C.
Celui-ci aurait peut-être parlé, mais sa femme arriva et s'écria:
- Encore! encore une enquête sur cette histoire!
Et M. Z ne dit rien, sinon qu'on pouvait voir l'un des témoins oculaires, M. W, à D.
Je m'y rendis. M. W était absent... Mais je vis son fils. Il prétendit tout ignorer de l'affaire. Cependant il me déclara:
- Pour se débarrasser de la police (six) mon père a dit qu'il avait vu un nuage de fumée s'élever dans le ciel.
Pour juger de sa réaction; je lui demandai le nom des autres témoins, comme prévu, je n'obtint rien de lui. Quant au contremaître, M. Gatey, personne ne consentit à me le nommer...
Aux localités de E, F, G, tout le monde a pareillement la bouche cousue. J'ai écrit à M. W mais il ne m'a pas répondu.
Au cours de mon enquête, j'ai appris que l'un des carriers venait d'être condamné à trois mois de prison. J'ai cru comprendre que c'était à l'occasion de cette affaire (je me garderai toutefois de l'affirmer)."
[Ref. tbr1:] TED BLOECHER:
Le lendemain [25 octobre 1954], à Marcilly-sur-Vienne, en France, cinq ouvriers de carrière ont affirmé avoir vu une soucoupe avec un dôme et observé son occupant, qui avait environ 5 pieds de haut, qui portait un casque opaque, ne sauta pas en arrière dans la soucoupe, mais a simplement disparu de la scène progressivement, comme le chat du Chesire. Quand il avait complètement disparu, l'objet a commencé à monter en courtes poussées de saut; à environ 100 pieds, il a déchargé un nuage dans lequel il a disparu. 41/
41/ France Dimanche, 1O/3/54; Le Courrier de L'Ouest (Angers), 10/19/54
[Ref. jgu1:] JIMMY GUIEU:
L'auteur indique que le 30 septembre 1954 à 16 h. 30, un astronef et son occupant ont été observés par sept carriers de Marcilly-sur-Vienne, et que les noms des témoins ont été publiés dans tous les journaux, mais que lorsque l'enquêteur local de son groupe d'ufologie, M. Grondeau, s'est mis en chasse, le mal était déjà fait, nombre de railleurs s'étaient copieusement moqués des carriers et ceux-ci, vexés et aigris, avaient décidé de ne plus souffler mot de leur incroyable aventure.
Jimmy Guieu indique qu'il peut tout de même reproduire ce que "dit objectivement" le témoin principal au journal La Nouvelle République du 4 octobre 1954:
"Nous avons pu interroger M. Georges Gatey, chef du chantier d'une carrière de Marcilly-sur-Vienne, et principal témoin de l'événement ainsi que ses six camarades. Nous en rapportons l'impression que ces hommes sont sincères et dignes de foi. Leurs déclarations, ils les ont confirmées vendredi et samedi à des enquêteurs professionnels qui n'ont pas manqué, à leur tour, d'être impressionnés par l'accent de sincérité des témoins."
Il ajoute que "M. Gatey et ses ouvriers étaient occupés à tirer du sable et du gravier dans une carrière en bordure de la route près de Marcilly. Chacun était à son poste, les uns à la pelle mécanique, les autres au monte-charge. M. Gatey se trouvait à l'écart, plus près de la sortie de la carrière. C'est lui qui, le premier, vit l'engin, un appareil de forme circulaire surmonté d'un dôme équipé, apparemment, de pales semblables à celles d'un hélicoptère. L'engin se tenait en vol immobile à un mètre du sol, les "pales" tournant très rapidement. Il ne s'est d'ailleurs pas posé sur le terrain.
Un être de petite taille, de 1.50 mètres environ, coiffé d'un casque en forme de cloche en matière opaque ressemblant à du verre brouillé et qui lui retombait sur les épaules, vêtu d'une combinaison de ton neutre, chaussé de courtes bottes, se trouvait à côté de l'appareil. Il tenait à la main une sorte de gros revolver ou instrument dont l'extrémité en forme de canon ou de tuyau le faisait ressembler à une arme à feu. Sur sa poitrine, il arborait un disque très brillant, projetant un faisceau de lumière intense.
Personne, dans la carrière en contrebas de plusieurs mètres par rapport à la route et au terrain environnant, n'avait vu arriver l'engin ni ne l'avait entendu, et que les machines en fonctionnement faisaient un véritable vacarme.
Il indique que Mr. Gatey est formel: l'engin est resté au moins 30 secondes, temps largement suffisant pour qu'il ait pu l'examiner. Comme il était excellent dessinateur son premier réflexe après son ébahissement a été de courir jusqu'à la tente pour y prendre un papier, un crayon et tracer le croquis de l'étrange appareil et de son pilote.
Jimmy Guieu cite "Mais j'avais les jambes coupées, avoua M. Gatey, et je ne pouvais faire un pas, cloué au sol par les effets du rayon émis par 'l'homme'."
Mr. Gatey se trouvait à ce moment là à une quinzaine de mètres de l'engin et à deux mètres en contrebas, le voyant donc du dessous. L'appareil était à l'entrée de la carrière sur le bord de l'excavation, à trois mètres de la route. Sur cette route, un camion arrivait pour venir prendre un chargement, il était conduit par M. Amirault, qui a vu les carriers stupéfaits regarder vers l'entrée du chantier. M. Amirault suivit leurs regards et a aperçu "quelque chose de grisâtre qui ne se trouvait pas là habituellement — s'élever dans les airs."
"L'homme" est remonté dans son engin, a déclaré Gatey, "sans que je puisse dire par où, puis l'appareil a pris de la hauteur, à la verticale, par saccades, en sifflant comme le font les moteurs à réaction des avions de chasse. A 200 mètres d'altitude à peu près, il a émis un brouillard qui l'a dissimulé complètement et a disparu à nos regards."
Gatey a dessiné de mémoire l'astronef et son occupant, et tous les témoins ont confirmé que ce croquis était conforme à ce qu'ils avaient vu.
L'appareil, de couleur grise, mesurait 4.50 mètres de diamètre environ sur 2 mètres de hauteur à son axe, et du fait qu'il a plafonné à un mètre du sol, l'on n'a découvert aucune trace.
[Ref. gqy1:] GUY QUINCY:
30 septembre [1954]
[... Autres cas...]
16 h 30: Marcilly-sur-Vienne (13 km AVDO au SE de l'Ile-Bouchard--Indre-et-Loire): disque à dôme au sol 4,50 m diamètre + être
[... Autres cas...]
[Ref. gqy2:] GUY QUINCY:
30 septembre 1954:
Marcilly-sur-Vienne (13 km AVDO au SE.de L'Ile-Bouchard--Indre-et-Loire): George Gaatey, chef du chantier d'une carrière, et ses 6 ouvriers + M. Amiraut, chauffeur de camion (disque à ockpit bombé, diamètre 4,50 m + 1 "hamanoïde" 1,50 m haut, coiffé d'un casque)
[Ref. mcs1:] MICHEL CARROUGES:
L'auteur note que l'observation Gatay a duré une demi-minute et a été faite à 15 mètres.
Il indique que dans le cas Leboeuf les détails précis fournis sur la topographie des lieux et les emplacements respectifs des témoins et des objets ou des pilotes enforcent l'extrême proximité de la rencontre.
[Ref. jve5:] JACQUES VALLEE:
167 | -000.53730 | 47.04660 | 30 | 09 | 1954 | 16 | 30 | 1 | - MARCILLY / VIENNE | F | 0116 | 2 | I |
[Ref. jsx1:] JACQUES SCORNAUX:
Parmi d'autres cas de ce genre (8) [disparitions sur place], Vallée cite celui survenu en France le 30 septembre 1954 à Nouâtre (Indre et Loire). Monsieur Georges Gatay, contremaître sur un chantier, s'était vers 16 h 30 un peu éloigné de ses ouvriers maçons quand il se sentit envahi par une étrange torpeur. Soudain il aperçut, à moins de 10 m, un objet brillant en forme de dôme qui flotta it à 1 m du sol environ. Devant celui-ci se tenait un "homme" étrangement vêtu, le visage recouvert d'un casque ressemblant à du verre opaque. Cet être disparut brutalement, "comme une image qu'on efface", sans que le témoin, qui ne l'avait pas quitté des yeux, l'ait vu se déplacer... L'OVNI s'éleva ensuite avec un sifflement avant de s'effacer dans une sorte de brume bleue. Pendant toute la durée de l'observation, M. Gatay s'était senti incapable de bouger. Il souffrit d'insomnie et de maux de tête pendant une semaine. Ses ouvriers avaient vu eux aussi l'engin et l'humanoïde.
La source (8) est donné en fin d'article comme:
8. Jacques Vallée, Chroniques des apparitions extraterrestres, J'ai lu pub., 1974, pp. 103-107.
[Ref. cln1:] CORAL ET JIM LORENZEN:
Les auteurs notent que le 30 septembre 1954, huit ouvriers de construction près de Marcilly-sur-Vienne, France, ont vu un objet en forme de disque au sol et un petit être de forme humaine portant un casque se tenant tout près.
[Ref. jve1:] JACQUES VALLEE:
165) 30 Septembre 1954, 16:30, Marcilly-sur-Vienne (France):
Georges Gatay et sept ouvriers en bâtiment ont vu un disque au niveau du sol ainsi qu'un humanoïde qui se tenait tout près. Tous deux disparurent d'une très étrange manière. Effets physiologiques sur tous les témoins. (Ici Paris, 11 Oct. 1954; France-Soir, 3 Oct. 1954) (25; Magonia).
[Ref. jve2:] JACQUES VALLEE:
L'auteur indique que le 30 septembre 1954, près de Marcilly-sur-Vienne en Indre-et-Loire, huit ouvriers du bâtiment ont vu un disque au sol, avec près de lui un petit humanoïde portant un casque.
[Ref. gab1:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":
Les auteurs citent une cas en Amérique en 1965 dans lequel, disent-ils, une créature poursuivie par les témoins a "disparu d'un coup sur place". Ils continuent:
S'était-elle rendue invisible? Si c'est le cas, elle ne fut pas la seule. Des phénomènes semblables se produisirent le 30/09/1954 à Marcilly sur Vienne, le 26/10/1954 à Alleyrat (Creuse), [... autres cas...] La seule solution serait de pouvoir mettre la main sur un de ces fameux scaphandres aux multiples possibilités. Et puis, il faut bien tenir compte de la tendance qu'ont les témoins à en rajouter. Un exemple précis s'impose, mais nous pourrions en citer mille!
[Ref. gab2:] GROUPE D'UFOLOGIE "G.A.B.R.I.E.L.":
Nous avions aussi noté le fait que parfois la transparence du casque était assez imparfaite (flou noté par M. Gatey le 30/09/1954 à Marcilly sur Vienne et par Mme Leboeuf le 26/09/1954 à Chabeuil). Nous avions mis cela sur le compte d'un reflet ou d'une forme particulière de matière pouvant être parfaitement transparente de l'intérieur et semi-opaque à l'extérieur. De tels corps existent d'ailleurs dans notre propre technologie. Puis, nous avions classé l'affaire. A première vue, nous avions résolu le problème, mais un jour l'un d’entre nous eut cette réflexion: "Et si leur vision était différente de la nôtre?".
[Ref. rpt1:] RENE PACAUT:
Après sa contre-enquête en 1971 à Bressuire qui a révélé que le témoin là avait fait une farce, l'ufologue René Pacaut en a profité pour se rendre non loin à Marcilly-sur-Vienne où s'était déroulé à la même époque, une affaire similaire à celle qu'avait inventée le plaisantin de Bressuire.
René Pacaut rappelle les faits allégués: en octobre 1954, Georges G..., chef de chantier, est occupé à extraire du sable avec six ouvriers en bordure d'une route quand surgit, volant à un mètre du sol, "un appareil de forme circulaire, surmonté d'un dôme équipé de pales semblables à celles d'un hélicoptère". L'engin s'immobilise à l'entrée de la carrière et "un Martien de petite taille, coiffé d'un casque en forme de cloche, vêtu d'une combinaison, chaussé de courtes bottes" en descend, armé d'une sorte de gros revolver. Sur sa poitrine, il arbore un disque projetant une lumière intense qui paralyse le chef de chantier.
Sous les yeux des carriers terrorisés, l'OVNI "stationne" là trente secondes, puis le "Martien" remonte à son bord et l'appareil reprend de la hauteur en sifflant et en émettant un épais brouillard qui le dissimule aux yeux des témoins...
René Pacaut commente que cette observation, rapportée par les journaux de l'époque et reprise par des écrivains spécialisés, lui semblait d'autant plus intéressante qu'elle se rapportait à un engin d'un type original: jamais encore il n'avait entendu parler d'OVNI à pales! Par ailleurs, on précisait que le premier réflexe du chef de chantier avait été de bondir jusqu'à sa tente pour faire un croquis de l'appareil et du pilote.
Arrivé à Marcilly, il a battu la campagne pour retrouver les carriers et leur chef. Mais tous ses efforts sont demeurés vains: ils avaient tous quitté le pays depuis plusieurs années. Il a alors interrogé les habitants qui les avaient connus et à qui ils avaient raconté leur histoire, et il a trouvé assez de personnes qui les avaient connus. Tous sans exception ont eu la même réaction quand il a évoqué devant eux l'affaire de la carrière: ils ont éclaté de rire.
Croyant avoir à faire à des incrédules, Pacaut à décidé de pousser son enquête. Mais partout il a obtenu la même explication: l'affaire avait été inventée par la joyeuse équipe de carriers, à l'instigation de son contremaître qui, pour la rendre plausible, en avait fignolé tous les détails.
Pacaut demandait pourquoi ces faux témoins avaient persévéré si longtemps dans leurs témoignages. Il lui fut répondu que c'était parce qu'ils avaient fini par se laisser prendre à leur propre jeu, et n'osaient plus revenir sur leurs premières déclarations.
Pacaut envisage que leur mystification ait pu être inspirée par la farce de Bressuire juste avant et non loin. Il remarque que malgré les résultats de ses contre-enquêtes, "certains soucoupistes acharnés persistent" à considérer ces deux observations comme authentiques, puisque selon eux, les témoins excédés par les railleries dont ils étaient l'objet auraient fini par dire qu'il s'agissait d'une plaisanterie juste pour avoir la paix.
[Ref. ldl1:] MAGAZINE D'UFOLOGIE "LUMIERES DANS LA NUIT":
Dans une liste de cas que le magazine appelait à enquêteur ou ré-enquêter, on trouvait:
"165 30-9-54 Marcilly-sur-Vienne"
[Ref. jpu1:] JADER U. PEREIRA:
N° | DATE | LIEU DIV. TERRITORIALE, PAYS OU NATION |
TEMOINS | TYPES | SOURCES |
---|---|---|---|---|---|
43 | 30.09.54 | Marcilly-sur-Vienne, I.-et-L., Fr |
Gatey + | 8.V2 | 6,123/16.93/C165 |
[Ref. fle1:] FERNAND LAGARDE:
Dans le magazine d'ufologie LDLN, l'ufologue Fernand Lagarde publiait une liste de cas français de 1954 qui devraient faire l'objet d'une enquête ou ré-enquete; le cas "165 30.09.54 Marcilly-sur-Vienne" fait partie de cette liste.
[Ref. prn1:] PETER ROGERSON:
339. 30 septembre 1954 1630 MARCILLY-SUR-VIENNE (FRANCE)
Georges Gatay, responsable d'une équipe de travailleurs de la construction, somnole et se retrouve paralysé, à moins de 10 mètres de lui, confronté à un homme vêtu d'une combinaison de travail, coiffé d'un casque de verre opaque et de bottes courtes. L'homme avait "un projecteur de lumière" sur la poitrine et avait un objet allongé à la main. L'homme se tenait devant un grand dôme brillant, planant à moins d'un mètre d'altitude, au sommet duquel se trouvaient des objets tels que des pales en rotation. L'homme a disparu "comme une image que l’on efface soudainement", la machine s'élevant verticalement par un mouvement saccadé avant de disparaître elle aussi dans une brume bleue. Gatay a subi divers séquelles physiques et psychologiques. Les sept autres travailleurs, Beurrois, Lubanovic, Sachet, Villeneuve, Rougier et Amiraut, ont confirmé avoir vu l'objet et l'être et avoir ressenti la paralysie.
(M165; Ici Paris, 11 octobre 1954; France-Soir, 3 octobre 1954; Magonia, 63)
[Ref. gal1:] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER:
Dans une partie de leur livre suivant le résumé des observations qu'ils traitent, les auteurs, après avoir signalé qu'ils sont prêt à apprendre de témoins l'existence de cas indédits, expliquent au lecteurs pourquoi certaines affaires connues ne figurent pas dans leur ouvrage. Parmi ces affaires, celle de Marcilly, pour laquelle ils précisent ce qui vaut pour d'autres:
"Canular également que l'atterrissage de Marcilly-sur-Vienne (Indre-et-Loire) le 30 septembre 1954 avec son "Martien" à la "Guy l'Eclair": le "témoin" Georges Gatay a reconnu après coup qu'il avait inventé cette histoire de toutes pièces."
[Ref. jv3:] JACQUES VALLEE:
Le cas a été relaté par l'ufologue Jacques Vallée dans un article pour le magazine ufologique "Lumières dans la Nuit." Il dit qu'à Nouatre, Indre-et-Loire, France, à un chantier de construction, le 30 septembre 1954 à 16:30, George Gatay, qui était chef de chantier d'une équipe de huit ouvriers du bâtiment, a été inopinément attiré loin de son équipe, ressentant une impression de "somnolence étrange."
Il s'est senti marchant sans savoir vers où ni pourquoi. A une distance courte du chantier, Gatay a rencontré un homme qui se tenait sur une pente à environ 10 mètres de lui. L'homme portait un casque de verre opaque avec un grand pare-soleil, une combinaison grise et des bottes courtes. Il tenait un objet dans sa main, que Gatay a décrit comme une certaine sorte d'arme, avec la forme d'une tige. Il y avait une sorte d'afficheur d'instruments électroniques sur sa poitrine. L'homme d'aspect étrange se tenait devant un objet en forme de dôme, qui était stationnaire a environ un mètre au-dessus du sol.
L'engin avait une coupole avec des dispositifs ressemblant à des lames au-dessus de lui. Gatay, fasciné par la vue de l'homme et de son engin, était paralysé sur place. Il a raconté:
"Soudainement, l'homme étrange a disparu, et je ne pouvais pas expliquer comment il l'a fait, puisqu'il n'a pas disparu de mon champ visuel en marchant vers le lointain, mais qu'il disparu comme une image qui s'efface. Alors j'ai entendu un fort bruit de sifflement qui a noyé le bruit de nos excavatrices. Bientôt l'objet est monté par secousses successives, dans une direction verticale, et alors il a été effacé également dans une sorte de brume bleue, comme si par miracle."
Gatay a essayé de s'enfuir dès qu'il a vu l'être et l'objet, mais a été "paralysé" pendant l'observation. Ses sept collègues étaient également dans une sorte de stupéfaction pendant l'incident. Chacun des huit des hommes "ne croyait pas" aux soucoupes volantes avant cet incident étrange.
Dès que Gatay a été libéré de sa paralysie, il a couru de nouveau vers les autres ouvriers, et a crié, "vous avez vu quelque chose?" L'un d'eux, M. Beurrois, a hurlé, "oui, une soucoupe volante!" Un autre des hommes, M. Lubanovic, conducteur d'excavatrice, a ajouté "il y avait un homme habillé comme un scaphandrier devant lui." Tous les autres ouvriers ont ajouté leur confirmation à l'événement étrange.
Vallée indique que Gatay était un homme bien connu et respecté qui avait combattu pendant la guerre avec la résistance française, et a été blessé au Luxembourg. Après l'observation, il a commencé à souffrir d'insomnie, de forts maux de tête, et d'une perte d'appétit. Ces symptômes ont duré environ une semaine. Même après cet observation étrange, les hommes ont collectivement pensé qu'ils avaient probablement été les témoins d'un certain type d'engin expérimental de l'armée française. Cette explication n'a pas été considérée possible étant donné les détails de l'engin stationnaire et de la disparition de l'engin devant les hommes.
Vallée se demande si la soucoupe était un engin venu d'un autre monde, et si l'être était un être vivant ou un robot peut-être télécommandé. Il a dit qu'aucune explication raisonnable n'a été donnée pour répondre à ces questions, et que le cas est encore listé comme non expliqué.
Il se sent désolé de ce que cette étrange observation dont il dit qu'elle n'a jamais été rejetée, n'a pas reçu beaucoup d'écho chez les ufologues américains, mais que les "enquêteurs sérieux" dont il ne donne pas les noms l'ont "reconnue comme authentique."
[Ref. pdl1:] PIERRE DELVAL:
Dans son chapitre sur les cas de paralysie ou de somnolences des témoins d'OVNI lors de leur expérience, Pierre Delval indique 12 cas relevant de la vague française de 1954, dont celui à Marcilly-sur-Vienne dans le département d'Indre-et-Loire le 30 septembre 1954 à 10:30.
Georges Gatey, chef de chantier, venait de quitter ses ouvriers quand soudainement il s'est senti "tout chose", envahi par une espèce de torpeur.
Il s'est même demandé où il allait. C'est alors qu'il a découvert à une dizaine de mètres de lui un petit homme en scaphandre, debout près d'une étrange machine flottant à un mètre du sol. Dès qu'il a vu cela, il s'est rendu compte qu'il était dans l'impossibilité totale de bouger, et est resté cloué au sol durant toute la durée de l'observation.
Il a constaté que le "scaphandrier" tenait un tube assez long à la main, comparable à un revolver ou une barre métallique.
L'être portait sur la poitrine un disque projetant un faisceau lumineux intense. Sans que Gatay puisse voir comment, l'être a disparu et l'appareil s'est envolé à grand bruit.
Les ouvriers Beurrois, Lubanovic, Sechet, Villeneuve, Rougier, Amirault, ainsi qu'un conducteur de camion étaient présent et ont assisté à la scène et ont également été "paralysés."
[Ref. pvy:] PIERRE VIEROUDY:
Défendant une théorie selon laquelle les OVNIS ne dont pas "extraterrestres" mais "parapsychologiques", Pierre Viéroudy argumente que leurs caractéristiques de "forme" dont "absurdes" et leur matérialité douteuse. Il cite parmi des exemples qu'il donne:
- Le cas de Nouâtre (Indre et Loire) (17)
Le 30 Septembre 1954, vers 16 h 30, G.G. contremaitre maçon se trouva tout à coup devant une étrange créature. Sur un talus à dix mètres de lui, se trouvait un "homme" coiffé d'un casque de verre opaque et vêtu d'une combinaison grise portant un projecteur sur la poitrine. Derrière l'être flottait un dôme brillant sur la coupole duquel tournaient des sortes de lames. Brusquement l'"homme" disparut sans que le témoin ne l'ait quitté des yeux, comme une image qu'on efface d'un trait; la soucoupe s'éleva alors par bonds successifs puis elle s'effaça dans une sorte de brume bleue comme par miracle. Quatre autre ouvriers assistèrent à l'apparition et confirmèrent les détails de la scène.
[Ref. jsx2:] JACQUES SCORNAUX:
NOUATRE (Indre et Loire), 30-9-1954: D2 (ou D6?) et Hl
Ce cas est le seul où l'on observe une disparition sur place à la fois d'un OVNI et d'un humanoïde. Vers 16 h 30, M. Georges Gatay, contremaître sur un chantier, s'était un peu éloigné de ses ouvriers maçons quand il se sentit envahi par une étrange torpeur. Il aperçut soudain, à moins de 10 m, un objet brillant en forme de dôme qui flottait à 1 m environ au-dessus du sol. Devant cet objet se tenait un "homme" étrangement vêtu, le visage recouvert d'un casque opaque. Cet être disparut brutalement, "comme une image qu'on efface d'un seul trait", sans que le témoin, qui ne l'avait pas quitté des yeux, l'ait vu se déplacer. L'OVNI s'éleva ensuite avec un sifflement, puis s'effaça dans une sorte de brume bleue. Pendant toute la durée de l'observation, M. Gatay fut incapable de bouger, et il souffrit de maux de tête et d'insomnie pendant une semaine. Ses ouvriers avaient vu eux aussi l'engin et l'humanoïde, et furent également paralysés (13).
La source (13) est donné en fin d'article comme:
Jacques Vallée, Chroniques des Apparitions extraterrestres, Denoël pub., 1972, pp. 109 - 111, J'ai lu pub., 1974 pp. 103 - 105.
"D2" est défini dans l'article comme: "disparition instantanée d'un OVNI qui n'est pas une simple lumière nocturne ("un instant l'objet était là, et l'instant d'après il n'y était plus")."
"D6" est défini dans l'article comme: "estompement, image qui devient de plus en plus floue et se fond dans le ciel."
"H1" est défini dans l'article: "apparition ou disparition instantanée au dehors" d'un humanoïde.
[Ref. fru1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
1 30091954 16 h 30 Nouatre près de Marcilly-sur-Vienne 37800 B4.
TEMOINS. M. Georges Gatay (chef de chantier); MM. Beurrois, Lubanovic, Sechet, Villeneuve, Rougier, Amirault et un conducteur de camion XX.
OBSERVATIONS.
a) Un objet brillant qui "flottait". Sa forme était celle d'une coupole avec, sur cette dernière, des objets en forme d'ailes ou de lames qui tournaient. (Voir Forêt de La Londe le 13/11/1960.)
b) Un petit homme dont la tête était couverte d'un casque fait d'un verre opaque et muni d'une visière qui descendait jusque sur sa poitrine. Il portait une combinaison grise et de petites bottes. Il tenait en main un objet assez long "qu'on aurait pu prendre pour un revolver ou peut-être pour une barre métallique". Sur sa poitrine se voyait comme un petit projecteur.
DEROULEMENT. M. Georges Gatay, contremaître, responsable d'une équipe de huit ouvriers maçons, se sépare de ses ouvriers. Il se sent "tout chose" envahi d'une certaine torpeur, et se demande soudain où il va. Tout à coup, il se trouve face à un petit être devant un engin en forme de coupole brillante. Dès qu'il aperçoit l'engin et l'être, Georges Gatay tente de courir, mais il se trouve comme cloué au sol. Il est comme "paralysé" et tous ses ouvriers le sont aussi. L'être disparaît sur place et l'appareil décolle avec un fort siffiement qui couvre le bruit que font les excavateurs. Il s'élève par bonds successifs, tout droit, puis s'efface dans une sorte de brume bleue, comme par miracle.
Tous les ouvriers virent la scène, et M. Lubanovic ajouta: "Il y avait un homme habillé comme un plongeur."
NOTER. L'objet défensif que tenait l'être. (Voir Quarouble le 10/09/1954, Menton, au printemps 1954, La Roche-en-Brenil le 5/11/1954, Saint-Rémy le 20/10/1954, etc.).
EFFETS. La paralysie des témoins provoquée par la barre métallique que tenait l'être ou par le disque lumineux que l'être portait sur la poitrine et qui projetait un faisceau lumineux intense, ou par la présence de l'engin?
Après l'incident, le témoin principal souffrit d'insomnies, de maux de tête et perdit l'appétit pendant huit jours.
SOURCES. Catalogue Vallée, cas n° 165. - Michel Carrouges: Les apparitions de Martiens, p. 123 à 125. - Jimmy Guieu: Black out sur les S. V., p. 161-162. - Ici Paris, 11/10/1954. - France-Soir, 3/10/1954.
[Ref. tbw1:] TED BLOECHER ET DAVID WEBB:
64-34 Sept. 30. 1954 1630 Marcilly-sur-Vienne, France Type C
Georges Gatay, a construction worker, encountered a man wearing gray coveralls, whose head was covered with an opaque helmet coming down to his chest, on which was light projector. In his hand was rod-like object. Behind the man was a large shining dome hovering 3 ft above the ground; above its cupola were rotating blades. The man suddenly vanished, end the saucer rose jerkily with a whistle, then disappeared in a blue haze. During the experience G. felt paralyzed. So did his 7 co-workers, who had seen the same thing. G. suffered from headaches & insomnia for a week.
Investigator:
Source: Vallee, Magonia, pp. 68f.
Sept. 30, 1954 1630 Marcilly-sur-Vienne (Vienne), France
The witnesses were working in a quarry (gravel-pit.) The beam of light from the disc on the UFOnaut's chest was responsible for Gatay's paralysis.
Add Source: J. Guieu, black Out, pp. 141f.
[Ref. idb1:] ISABEL DAVIS ET TED BLOECHER:
38. Rencontre à Marcilly-sur-Vienne (Indre et Loire), 30 septembre: Angers La Courier de l'Ouest, 19 octobre; Radar Magazine, 17 octobre; Jacques Vallée, op, cit., pp. 68-69.
[Ref. gep1:] GROUPE D'UFOLOGIE "GEPO":
30.09.54 | (16.30) | Marcilly sur Vienne F | i | 104XV3B 4 |
[Ref. jge1:] JEAN-FRANCOIS GILLES:
L'ufologue français Jean-François Gilles avait établi un catalogue informatisé d'atterrissages sur le sol français entre le 26 septembre et le 18 octobre 1954 afin d'étudier si leur répartition géographique était le fait du hasard ou non.
UFO LANDINGS ON THE CONTINENTAL TERRITORY OF FRANCE FROM SEPTEMBER 26, 1954 TO OCTOBER 18, 1954 |
|||||||
ICOD | Désignation | (57) | Date | JV4 | jve1 | COMMENTS | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
0011 | 0590 | NOUATRE | RF37 | 540930 | 165 | 167 | CE3 |
ICOD est un code interne au listing. (57) est la colonne 57 du catalogue informatique UFOCAT initié par le comité Condon, RF désigne la France et le chiffre est le département. JV4 est le numéro du cas dans le listing de "Chroniques ..." de Jacques Vallée. jve1 est le numéro du cas dans le listing Magonia de Jacques Vallée. CE3 se réfère à la classification Hynek.
V | F | G | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
ICOD | Longitude | Latitude | Longitude | Latitude | Longitude | Latitude |
0590 | -0.537 | 47.047 | -0.536 | 47.049 | -0.549 | 47.052 |
V,F,G sont des codes pour les personnes ayant déterminé les coordonnées: V = Jacques Vallée, ufologue, F = Jean Charles Fumoux, officier de l'Armée de l'Air, G = Jean François Gille, ufologue.
[Ref. mft2:] MICHEL FIGUET - "FRANCAT":
DATE | LIEU | CREDIBILITE SOURCES |
---|---|---|
30.09.1954 | Marcilly sur Vienne | canular confirmé dans Paris-Match de l'époque. Voir le récit dans "OVNIS" p. 96-97. |
[Ref. jve7:] JACQUES VALLEE:
Jacques Vallée indique que parmi les cas qui méritent un examen approfondi, mais "qui ont été passés sous silence par les croyants en les OVNIS eux-mêmes", il y a l'observation à Nouatre, France, le 30 septembre 1954, à environ 16:30 quand Georges Gatay, chef d'une équipe de huit ouvriers de construction, s'est trouvé marcher loin des autres. Il a senti "une somnolence particulière" et s'est soudainement demandé où il allait. Puis, sans avertissement, il a fait face à l'apparition la plus étrange: à moins de trente pieds de distance, au-dessus de lui sur la pente, il y avait un homme. Sa tête était couverte par un casque de verre opaque avec une visière descendant jusqu'à son torse. Il portait une combinaison grise et des bottes courtes. Dans sa main il tenait un objet ovale: "ce pourrait avoir été un pistolet, ou ce pourrait avoir été une tige en métal." Sur son torse il y avait un projecteur léger [ou projecteur de lumière]. L'homme étrange se tenait devant un grand dôme brillant, qui "flottait" à environ trois pieds au-dessus de la terre. Au-dessus de la coupole de la machine il y avait des objets comme des ailes ou les lames tournantes. Puis,
soudainement, l'homme étrange a disparu, et je ne pouvais pas m'expliquer comment, puisqu'il n'a pas disparu de mon champ visuel en s'éloignant, mais disparu comme une image qu'iôn efface soudainement.
Puis j'ai entendu un fort bruit de sifflement qui a noyé le bruit de nos excavatrices; la soucoupe s'est élevée par des secousses successives, dans une direction verticale, et alors elle aussi a été effacée dans une sorte de brume bleue, comme par miracle.
Gatay a essayé de courir, mais il s'est trouvé sans ressource cloué au sol. Il a été ainsi "paralysé" pendant toute l'observation. Ainsi que ses sept collègues, dans un cas unique de la réaction physiologique collective. Aucun d'eux n'avait précédemment cru en réalité des prétendues soucoupes. Dès qu'il a pu se déplacer de nouveau, Gatay s'est précipité de nouveau vers ses hommes et a crié, "vous avez vu quelque chose?"
M. Bourrois lui a dit: "oui, une soucoupe volante!" Et l'homme qui était le conducteur de l'excavatrice, M. Lubanovic, a ajouté: "Il y avait un homme habillé comme un plongeur devant lui." Quatre autres messieurs, Sechet, Villeneuve, Rougier, et Amiraut, un conducteur de camion, ont confirmé les détails de l'observation.
Vallée dit qu'il faut préciser que l'incident a eu lieu dans une région rurale éloignée, alors que la vague des rapports français commençait juste. Mais Gatay, qui a combattu pendant la guerre avec la résistance et a été enrolé au Luxembourg, a déclaré qu'il n'avait pas l'habitude d'inventer des choses. Après l'incident, il a souffert d'insomnie, de forts maux de tête, et de la perte d'appétit pendant une semaine. Ironiquement, les huit hommes ne sont toujours pas convaincus que les soucoupes volants sont extraterrestres. Ils se sentent que sûr qu'elles sont un développement secret par une nation terrestre - probablement la France.
[Ref. ucb1:] SITE INTERNET "UFOCASEBOOK":
Ce cas a été à l'origine mis en évidence par le chercheur renommé Jacques Vallée, et il est effectivement étrange. Se produisant à Nouatre, Indre-et-Loire, France, en 1954, c'est un cas différent de tout autre, mais tous les témoins de l'événement sont considérés dignes de confiance, et leur observation étrange n'a jamais été debunkée. Les étudiants américains d'ufologie ont traité ce cas comme ayant peu de crédibilité, mais les investigateurs sérieux l'ont embrassé comme véritable. Il a commencé à un chantier de construction à 16:30 le 30 septembre 1954.
George Gatay, qui était chef de chantier d'une équipe de construction de huit hommes, a été inopinément attiré loin de son équipe, ressentant un sentiment de "somnolence particulière." Il marchait, mais ne savait pas pourquoi ni pour où. A une courte distance de son chantier de construction, Gatay a été stupéfait de rencontrer un homme se tenant sur une pente, à environ 30 pieds de lui. "L'homme" portait un casque de verre opaque avec un grand pare-soleil. Il portait une combinaison grise, et des bottes courtes. Il tenait également un objet dans sa main, que Gatay a décrit comme une arme d'une certaine sorte, comme une tige. Il y avait une sorte de panneau d'affichage électronique d'instruments sur son poitrail. Cet homme d'aspect étrange se tenait devant un objet en forme de dôme, qui a planait à environ 3 pieds au-dessus du sol.
L'engin avait une coupole avec des dispositifs comme des lames au-dessus de lui. Gatay, fasciné par la vue de l'homme et de son engin, s'est figé sur place.
Gatay a indiqué: "soudainement, l'homme étrange a disparu, et je ne pouvais pas expliquer comment il l'a fait, puisqu'il n'a pas disparu de mon champ visuel en marchant vers le loin, mais disparu comme une image qui s'efface. Alors j'ai entendu un fort bruit de sifflement qui a noyé le bruit de nos excavatrices. Bientôt l'objet est monté par des secousses successives, dans une direction verticale, et alors lui aussi a été effacé dans une sorte de brume bleue, comme par un miracle."
Gatay avait essayé de courir après avoir d'abord vu l'être et l'objet, mais "a été paralysé" pendant l'observation. Etrangement, ses sept collègues étaient également dans une sorte d'une stupéfaction pendant l'incident. Chacun des huit des hommes était "non-croyant" avant leur incident étrange.
Dès que Gatay a été libéré de son étrange rencontre, il a couru de nouveau vers les autres ouvriers, et a crié, "avez-vous vu quelque chose?" Un des hommes, M. Beurrois, a hurlé, "oui -- une soucoupe volante!"
Un autre des hommes, M. Lubanovic, conducteur d'excavatrice, a ajouté, "il y avait un homme habillé comme un plongeur devant elle." Tous les autres ouvriers ont ajouté leur confirmation de l'événement étrange.
Gatay était un homme bien connu et respecté qui avait combattu pendant la guerre au sein de la résistance française, et a été blessé au Luxembourg. Après l'observation, il a commencé à souffrir d'insomnie, de forts maux de tête, et d'une perte d'appétit. Ces symptômes ont durés environ une semaine. Même après cet étrange observation, les hommes collectivement ont pensé qu'ils avaient probablement été des témoins d'un certain type d'engin expérimental, provenant de la France elle-même. Cette explication n'était pas possible étant donnée le détails que l'engin a plané, et la disparaition réelle de l'engin devant les hommes. Quel était cet engin d'un autre monde vu par ces hommes? Et l'être, était-ce une entité vivante, ou un robot télécommandé d'un certain type? A ce jour, aucune explication raisonnable n'a été donnée pour répondre à ces questions, et ce cas est encore listé comme non expliqué.
sources:
Article: Jacques Vallée, dans le magazine d'ufologie Lumières Dans la Nuit (LDLN), France, N.43.
"Passport to Magonia - Section, "100 Years of UFO Landings."
"Chronique des apparitions extra-terrestres", Jacques Vallée, Denoel éditeur, France, page 261, 1972.
Article dans le journal "France-Soir", 3 Octobre 1954.
[Ref. mft3:] MICHEL FIGUET:
N° de la liste de J. C. Fumoux | N° du listing Francat | Localisation | Date | Classe | Crédibilité | Sources | Nombre de T |
---|---|---|---|---|---|---|---|
011 | 89 | Nouatre Marcilly-sur-Vienne |
03/09 | CE3 | E [="Expliqué"] canular | 2-p 96 Paris Match |
8 T |
[Ref. lgs1:] LOREN GROSS:
Une histoire de première page.
3 octobre. Sunday Dispatch de Londres.
Tant de choses se passaient en France que la presse anglaise fut forcée d'en prendre note. En fait, l'histoire était trop grande. Le London Sunday Dispatch ne pouvait imprimer qu'un résumé sur sa première page. La situation étant peu claire, les erreurs et le manque de détails étaient inévitables dans les rapports. Le Dispatch a informé ses lecteurs:
"Près de Grenoble, le fermier Joseph Habrat a vu un moteur [mauvaise traduction de "engin"] lumineux se déplacer à grande vitesse.
"Sa fille, Yvette, a dit qu'il est venu à moins de 600 mètres avec un "ronflement doux".
Un peu plus tard, deux mille personnes ont vu une douzaine d'entre eux "danser un ballet" dans le ciel.
"Deux personnes à Rixheim, près de Mulhouse, ont observé un moteur [mauvaise traduction de "engin"] lumineux en forme de cigare entouré de douze cigares satellites plus petits.
"Trois vacanciers de la plage de Carry-le-Rouet ont vu un demi-cigare sur le port, trois femmes qui l'ont vu le décrivent comme laissant une trace de fumée.
Un champignon volant a été signalé par un camionneur et son ami à Faremontiers. C'était dans un champ et avait trois jambes en forme de trépied.
- J'ai essayé de l'approcher, dit-il, mais à environ quatre cents pieds je fus arrêté par un rayon, je sentis de petits picotements, ma tête était embrumée, j'avais une sueur froide, je ne pouvais pas bouger.
"Le champignon s'éleva alors lentement et s'envola.
"Le Dr. Martinet, spécialiste de la maladie de la peau à Chambéry, a observé une soucoupe volante manoeuvrer dans le ciel pendant quatre minutes.
"Dans le golfe de Gascogne, un mousse et les deux matelots d'un bateau de marchandises virent un disque en mouvement avec une lueur verdâtre.
"L'actrice Michele Morgan a vu un disque lumineux sur le terminal aérien des Invalides à Paris.
"Il y a eu trois rapports d'hommes d'une autre planète débarquant en France.
"A Vienne, un fermier a dit que le visiteur, qui portait une sorte de costume de plongée, lui caressait le bras.
"Une femme de Drome a vu 'un être de la taille d'un enfant et au visage humain, il semblait être enveloppé dans un sac transparent'".
"Les deux visiteurs en France sont retournés à leurs soucoupes et ont décollé verticalement.
"Un contre-maître d'une carrière à Marcilly-sur-Vienne et six de ses ouvriers venaient de voir un petit homme harnaché et botté avec un revolver tirant des 'rayons lumineux et paralysants'".
"Un sifflement attira l'attention de deux hommes de Blanzy sur une machine en forme de cigare dans un champ fraîchement labouré.
"Les hommes ont dit que la machine avait environ six pieds de longueur. Le bout pointu était jaune, le reste du cigare brun.
"Quand ils se sont approchés de la machine, elle s'est élevée verticalement.
Un policier, un épicier et huit autres personnes ont vu un "cigare" incandescent à Agen.
"Une 'boule brillante' apparut à un gardien d'étable à Belesta. Il a dit qu'elle a laissé une traînée de fumée grise tandis qu'elle filait à travers le ciel".
L'auteur du compte rendu mentionné ci-dessus a noté qu'à l'heure juste ce jour-là (3 octobre 1954) à 40 miles, un incroyable "spectacle céleste" se déroulait au-dessus d'une zone boisée près du village de Marcoign, en France, devant 20 témoins. Que tant de personnes au même moment à différents endroits aient eu une hallucination semblable troublait l'esprit de l'auteur, à tel point qu'il a consulté un psychiatre affecté aux tribunaux de la Seine, un Dr Gouriou.
"L'illusion de masse est-elle possible à cette échelle?
La question ci-dessus a été posée à l'expert en santé mentale qui a répondu qu'il n'avait jamais connu une soucoupe volante jouant un rôle dans les hallucinations de ses patients, et que les hallucinations étaient généralement des sons plutôt que des images visuelles. De plus, lorsque rarement des troubles visuels se produisaient, ces problèmes étaient presque toujours dus à une toxémie ou à des lésions cérébrales, ce qui contribuerait certainement à exclure la possibilité d'une "illusion visuelle de masse".
Le Dr Gouriou a alors sagement terminé l'entretien avec: "... Je pense que ceux qui prétendent avoir vu des soucoupes le font de bonne foi, à moins bien sûr qu'ils essaient de nous tromper. Un être humain normal voit, il interprète dans une large mesure, et ce fait seul rend tous les faits humains faillibles.
[Ref. lgs3:] LOREN GROSS:
"Hélicoptère OVNI?"
Un article de presse était si incroyable que même l'ufologue Aimé Michel doutait qu'il doive être republié. Des années plus tard, lors d'une discussion sur la vague française de 1954 avec son collègue ufologue français Jacques Vallée, Michel a exprimé son opinion que si un tel rapport voyait le jour dans un livre sur les ovnis, les scientifiques seraient convaincus que les personnes qui signalaient des ovnis étaient des malades mentaux. Vallée, cependant, était profondément fasciné par le rapport pour ses propres raisons.
Bref, selon les sources disponibles, vers 16h30 le 30 septembre 1954 à Nouatre, en France, un groupe de carriers a été témoin d'une étonnante rencontre. Le contremaître de l'équipe de travail, George [sic] Gatey, a fait la majeure partie de la conversation lorsque l'histoire a été racontée aux autorités. Gatey a dit qu'il avait d'abord pris conscience de quelque chose d'étrange lorsqu'une torpeur l'envahit. Immédiatement après, il a pris conscience d'une machine en forme de dôme d'environ quatre pieds de diamètre à une courte distance. Le "navire" ne reposait pas sur le sol, mais était plutôt suspendu dans les airs à quelques pieds au-dessus de la surface rocheuse de la carrière. Au sommet du dôme se trouvait un mécanisme semblable aux pales d'un hélicoptère.
A côté du vaisseau se trouvait son supposé pilote, un "petit homme" d'un peu moins d'un mètre quatre-vingt vêtu d'un costume gris d'une seule pièce et de bottes basses. Sur la tête de l'être se trouvait un casque de verre opaque. Ce que M. Gatey croyait être un "projecteur de lumière" se trouvait sur la poitrine du pilote de la soucoupe.
M. Gatey a déclaré que ses sentiments de somnolence se sont transformés en un état de paralysie, contrecarrant toute tentative de fuite. Le pilote de la soucoupe avait dans sa main une sorte d'appareil allongé qui, selon Gatey, était soit une arme, soit juste une tige de métal.
Les autres travailleurs étaient censés avoir vu toute la rencontre. Un M. Beurrois a confirmé l'histoire, disant que l'engin devait être une soucoupe volante. Un autre travailleur, M. Lubonovis, a également témoigné au nom de Gatey, jurant qu'un "homme en costume de plongeur" avait confronté son patron.
Gatey et Lubonovis étaient soutenus par le reste de l'équipe de travail: MM. Villeneuve, Rougier, Sechet et Amirant. 156.
La théorie de Vallée.
L'attention de Jacques Vallée a été attirée sur les derniers instants de l'incident de la soucoupe tels que décrit par Gatey. Le pilote, a déclaré Gatey, a soudainement disparu. La créature n'a pas quitté la zone par des moyens ordinaires. Il a simplement disparu comme s'il avait été "effacé". Le sort du navire était similaire. L'engin coiffé d'une coupole a émis un sifflement et a décollé, prenant de l'altitude en une série de saccades. Alors qu'il était en vue, le vaisseau a également disparu soudainement, une disparition brutale dans une brume bleue. Tout comme un miracle, a fait remarquer Gatey! 157.
L'histoire susmentionnée était bizarre mais elle a aidé à jeter les bases du livre de Vallée: Dimensions/The Alien Chronicles.
"Homme de la planète X ?"
Malheureusement, les suites du reportage de Gatey telles que diffusées dans le Paris Match n'ont pas obtenu la diffusion qu'elles méritaient. Comme le souligne l'ufologue français Michel Figuet, l'incident avait provoqué une telle sensation locale que les ouvriers de la carrière se sont retrouvés interrogés par un juge.
Gatey et les autres ont admis que l'histoire de l'homme de l'espace/soucoupe était une blague. 158.
Un Américain pourrait se demander si les Français se sont encore inspirés d'Hollywood. Outre La Guerre des Mondes de Paramount, un autre film yankee diffusé était Man From Planet X de la United Artists, sorti en 1952. Il y a quelques similitudes entre le film et la blague de Gatey.
Les sources sont données comme: "156: Vallee, Jacques. Passport to Magonia. ppl 68-69." 157: "Ibid." et "158: Figuet, Michel et Jean-Louis Ruchon, OVNI: le Premier Dossier Complet des Rencontres Rapprochees en France. pp 656-657".
[Ref. krs1:] KEVIN RANDLE ET RUSS ESTES:
Les auteurs indiquent que le 30 septembre 1954, à Marcilly-sur-Vienne, France, huit ouvriers de la construction ont rapporté voir un objet en forme de disque posé sur le sol. Ils on vu un petit humanoïde portant un casque à côté de lui.
[Ref. jsc1:] JOHN SCHUESSLER:
1954/09/30 FRANCE, MARCILLY-SUR-VIENNE
Source: Official UFO, Feb. 76
Un ouvrier de construction et sept collègues ont été paralysés quand près d'un objet en forme de disque. Un être a été vu tenant un appareil comme une tige et portant un projecteur léger sur son torse. L'ouvrier a souffert d'insomnie, de forts maux de tête, et de perte d'appétit pendant une semaine après l'incident.
EFFETS:
Paralysie
Insomnie
Perte d'appetit
[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:
Jean Sider indique que le cas du 30 septembre 1954 à 16:30 à Nouatre, Marcilly-sur-Vienne, Indre-et-Loire, a eu comme témoins Georges Gatey, René Rougier, André Beurrois, André Séché, Georges Lubanovic, Maurice Dubroca, Villeneuve et Amirault, travaillant pour l'entreprise Albert Cochery, de Joué-les-Tours.
Georges Gatey, contremaître carrier s'est senti envahi par une torpeur et déboussolé. Soudain, il a aperçu un petit être de 1m50 et un engin en forme de coupole brillante qui "flottait", sur la coupole duquel se trouvent des lames qui tournent, type pales d'hélicoptère selon une des sources.
L'être avait un casque en matière plastique opaque à visière et était vêtu d'une combinaison grise, comme un plongeur, selon Mr. Lubanovic.
Puis, tous les témoins se sont sentis paralysés. L'être a disparu sur place et l'appareil a décollé avec un fort sifflement, et a disparu dans une brume bleue.
Jean Sider indique que la source est Figuet, p. 96; et le fichier Alain Gamard pour le nom de tous les témoins.
Il note que Figuet, dans LDLN 249-250, parlait d'un "canular confirmé par Paris-Match de l'époque", mais qu'il a vérifié tous les numéros de ce magazine pour 1954 et qu'aucun ne fait mention de cela.
Il indique qu'une enquête locale parue dans La Nouvelle République du Centre-Ouest du 4 octobre 1954, a établi d'ailleurs la bonne foi des témoins, mais que le reporter précisait qu'à la suite des moqueries dont ils furent l'objet, ceux-ci sont de plus en plus réticents à répondre aux questions.
Il indique que cela est confirmé par Le Courrier de L'Ouest du 19 octobre, p. 9: "ce n'est plus de la réticence, c'est du mutisme complet. Corroboration de cette situation est donnée par une enquête faite probablement au début de 1955 par le groupe Ouranos, en la personne de Mr. Grondeau, qui a appris que certains enquêteurs avaient tourné les témoins en ridicule, et prétendu qu'ils étaient ivres.
Il indique que l'on trouve d'ailleurs trace de cette allergie journalistique dans L'Echo de Touraine du 15 octobre, en page 2, disant "C'était une farce d'après boire".
Mr. Grondeau n'a pas pu retrouver un seul des huit témoins, qui étaient déjà "absents" quelques semaines ou mois après l'incident. Mais il a pu rencontrer le fils de l'un d'eux, resté anonyme, qui lui dit: "Pour se débarrasser de la police (sic) mon père a dit qu'il avait vu un nuage de fumée s'élever dans le ciel".
Jean Sider pense que c'est probablement cette version, sans compter celles des journalistes, qui a largement contribué à dévaloriser le cas, sans oublier les rumeurs de prison pour outrage à magistrat qui ont couru à propos d'un seul des témoins.
René Pacaud, dans (Ils ont rencontré des Extraterrestres, éditions A. Lefeuvre, 1978, p. 179), dans les années 1970, n'as pas pu retrouver un seul des huit carriers, et qu'il a pu constater que la version du canular était définitivement ancrée dans la mémoire collective locale.
Alain Gamard, peu de temps après René Pacaud, malgré des recherches poussées sans un dossier qu'il a fait parveniren photocopie à Jean Sider, n'a pas pu retrouver de témoin non plus.
Jean Sider en conclut que même si l'on veut se convaincre que les éléments négatifs fallacieux de cette affaire peuvent réhabiliter l'authenticité de cette RR3, il restera toujours un doute dans l'esprit, "les ravages commis par des imbéciles étant irréparables."
[Ref. goe1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
L'ufologue Belge indique qu'en 1954, le 30 septembre, en France, à Marcilly sur Vienne "16 h 30 - Georges Gatay et sept ouvriers en bâtiment ont vu un disque au niveau du sol ainsi qu'un humanoïde qui se tenait tout près. Tous deux disparurent d'une très étrange manière. Effets physiologiques sur tous les témoins".
Les sources sont notées: "Ici-Pais, 11 Oct. 1954; France-Soir, 3 Oct. 1954" avec un remerciement à Wim van Utrecht.
Elle indique qu'une autre version est: "A 16 h 30 Georges Gatay et 7 ouvriers en bâtiment ont vu un disque au niveau du sol ainsi qu'un humanoïde qui se tenait tout près. Effets physiologiques sur tous les témoins."
Elle indique que la source est "Jacques Vallée: 'Chronique des apparitions ET' - DENOEL 1972 - COLL. J'AI LU - p. 262".
Et qu'il y a encore autre version "DU MEME AUTEUR: Soudain l'homme étrange disparut, je ne m'explique pas comment, car je ne l'ai pas vu se déplacer alors que je ne l'avais pas quitté des yeux. Il s'est évanoui comme une image qu'on efface d'un seul trait."
Elle indique que la source est "Jacques VALLEE: 'Autres dimensions' - trad. Robert Laffont 1989 - p. 111, 112".
Il y a encore cette autre version: "Cet engin a bien la forme classique des soucoupes : il est circulaire et surmonté d'un dôme ; le fait anormal est que ce dôme soit équipé, semble-t-il, 'de pales semblables à celles d'un hélicoptère et qui tournent rapidement'. (...) Juste à côté de l'engin, le témoin voit le pilote. Celui-ci est descendu à terre. Il paraît de petite taille : 1m50 ou 55. Il est coiffé 'd'un casque dont la matière ressemble à du verre brouillé, vêtu d'une combinaison de ton neutre, chausé de botillons'. Cette apparition ne dure que quelques instants, puis le pilote remonte à bord. Aussitôt l'engin s'élève verticalement, par saccades et en sifflant comme 'les avions à réaction'."
Elle indique que la source est "Michel Carrouges : 'Les Apparitions de Martiens', éd. Fayard 1963, p. 123-124".
Elle indique qu'en réalité: "il s'agit d'un canular du reporter journalistique Nouatre. Larry Hatch, déc. 2003".
[Ref. fbn1:] FABRICE BONVIN:
Fabrice Bonvin note:
Cas n014: 30/09/1954, p. 96 (Marcilly-sur-Vienne)
[Ref. fbn3:] FABRICE BONVIN:
En un tableau, Fabrice Bonvin note des cas sélectionnés de la vague française de 1954 dont celui-ci:
Cas | Nbre témoins | Heures | Type objets |
---|---|---|---|
Marcilly-sur-Vienne | 8 | 3 | 2 |
[Ref. tie1:] SITE WEB "TOURAINE INSOLITE":
L'auteur indique que le jeudi 30 septembre 1954 est née "une des plus belles observations de cette année 1954", qui va défrayer la chronique avec un nombre énorme de journaux et d'articles de toutes sortes parlant de la "fameuse" observation de Marcilly-Sur-Vienne, dans le sud-ouest du département.
Il assure que "Nous allons revivre l'aventure décrit par les témoins de l'époque, afin de mettre un terme une fois pour toutes aux rumeurs de canular qui ont circulées à propos de cette affaire, et pour satisfaire la curiosité des personnes ayant vaguement attendu parler de cette aventure digne d'un roman de science-fiction."
Il indique que plusieurs ouvriers sont occupés dans une carrière de sable et de cailloux en bordure de la route départementale, sur la rive gauche de la Vienne, entre Parcay et Marcilly en face du camp militaire de Nouâtres, le camp du Ruchard, le jeudi 30 septembre à 16:30, quand ils ont vu un "engin" de forme circulaire et son passager se poser sur les bords de l'excavation. Il cite le chef de chantier George Gatey, ancien résistant pendant la seconde guerre mondiale, blessé au Luxembourg disant:
"Nos pelles et nos monte-charge fonctionnaient et faisaient beaucoup de bruit, j'étais prés de la trémie, quand mon regard fut attiré par un engin qui se trouvait à une bonne dizaines de mètres moi, sur le bord de la carrière. A côté un homme de petite taille, environ 1 m 50 à 1 m 55, revêtu d'une combinaison de couleur neutre, coiffé d'un casque lui retombant sur les épaule et chaussé de petites bottes, qui regardait dans notre direction. J'étais ébloui, ma première émotion passée j'ai voulu courir à la tente prendre du papier pour en faire un croquis, mais je n'ai pu bouger."
"Un appareil posé sur la poitrine de l'individu, émettait un rayon lumineux violant qui me paralysa, il tenait à la main un objet qui ressemblait à un tuyau ou à un gros revolver, l'engin n'était pas posé sur le sol, mais il se trouvait à environ un mètre au dessus et tournoyait, il m'a semblé que la coupole qui le surmontait était armée de pâles comme celles d'un hélicoptère, longue d'a peu près 1 m 50 à 2 mètres."
"Le casque que portait "L'homme" ressemblait à un scaphandre en verre brouillé, on ne voyait pas à l'intérieur, puis il est remonté dans son engin, sans que je puisse préciser comment, puis l'appareil s'est élevé à la verticale par saccades, en émettant un bruit comparable à ceux des moteurs à réaction."
"A 200 mètres environ, il a dégagé un brouillard épais et a disparu, l'engin pouvait mesurer à peu près 4 m 50 de diamètre et 2 mètres d'épaisseur. Après son départ, j'ai été voir s'il avait laissé des traces, je pensais trouvé l'herbe brûlée, mais je n'ai vu aucune trace de ce genre. Si j'avais été seul, je n'en aurais jamais rien dit de crainte d'être moqué".
(Dessin de Mr Gatey de la soucoupe et de son passager, parue dans la "NR" du 4.10.1954)
L'auteur du site dit que les six compagnons de travail ont confirmé point par point les déclarations de leur chef de chantier, et ont rajouté que "L'engin était de couleur grise et émettait un sifflement continu et la scène a durée 30 secondes environ."
Les nomes des ouvriers témoins sont données comme René Rougier, André Berrois, André Seche, George Lubanowich, Maurice Dubroca et monsieur Amirault, chauffeur de camion.
L'auteur du sitedit qu'après l'incident, Gatey souffrira d'insomnies, de forts maux de tête et perdra l'appétit pendant une semaine et que les huits hommes ne seront cependant pas convaincus que les soucoupes volantes viennent d'un autre monde, sûrs au contraire qu'elles font partie d'expériences secrètes d'une nation bien terrestre, probablement la France.
Il assure que "cette incroyable aventure arrivée a nos ouvriers fut longtemps dénigrée comme un simple canular de l'époque", mais qu'une "enquête plus sérieuse de Jean Sider à permit de démontrer que cette histoire n'était pas un canular. "S'il c'est bien passé quelque chose dans cette carrière, d'autres explications peuvent-être envisager, en particulier, la théorie intéressante de monsieur Leclet Renaud concernant une confusion possible avec un hélicoptère de l'armée (Voir en annexe 02)."
Les sources sont données comme "Nouvelle république du centre-ouest" du 02.10 et du 4.10.1954"; "OVNI le Premier dossier complet des rencontres en France" Edition A.Lefeuvre 1979 de Michel Figuet & J.L Ruchon P.96"; "Chronique des apparition E.T" Edition J'ai Lu A308 1977 de Jacques Vallée (Cas No 165)"; "black-out sur les S.V" Edition Omnium littéraire 1972 de Jimmy Guieu P.161"; "LDLN No 165 P.8"; "'Le Dossier 1954 et l'imposture rationaliste' de Jean Sider, Edition Ramuel - Juin 1997 - P174"
[Ref. jbu1:] JEROME BEAU:
Ancien résistant pendant la seconde guerre mondiale, blessé au Luxembourg.
Le 30 septembre 1954 à 16 h 30, à Nouatre (Indre-et-Loire) dans une région rurale assez à l'écart, Georges Gatay, contremaître responsable d'une équipe de 8 maçons, se sépare de ses ouvriers. Il se sent envahi d'une certaine torpeur et soudain se demande où il allait. Et puis, tout à coup, il se trouve en face de la plus étrange apparition séparé de lui de moins d'une dizaine de mètres, un peu au-dessus de lui, sur le talus, se trouve un homme dont la tête est couverte d'un casque fait d'un verre opaque, et muni d'une visière qui descend jusque sur sa poitrine. Il porte une combinaison grise et des petites bottes. Il tient à la main un objet alongé qu'on aurait pu prendre pour un revolver ou peut-être une barre métallique. Sur sa poitrine se trouve un projecteur. Cet homme étrange est debout devant un grand dôme brillant, qui "flotte" à peu près à 90 cm au-dessus du sol. Sur la coupole de la machine se trouvent des objets en forme d'ailes ou de lames qui tournent. Puis:
Soudain l'homme étrange disparut, je ne m'explique pas comment, car je ne l'ai pas vu se déplacer alors que je ne l'avais pas quitté des yeux; il s'est évanoui comme une image qu'on efface d'un seul trait. J'entendis alors une sorte de sifflement, si fort qu'il couvrait le bruit de nos excavateurs; la soucoupe s'éleva par bonds successifs, verticalement, puis, elle aussi, s'effaça dans une sorte de brume bleue, comme par miracle.
Gatay essaye de s'enfuir mais est comme cloué au sol. Il est "paralysé" pendant toute la scène. Ses ouvriers le sont aussi. Aucun d'eux ne croyait auparavant à la réalités des "soucoupes". Dès qu'il peut de nouveau bouger, Gatay se précipite vers ses ouvriers en criant: Avez-vous vu quelque chose? M. Beurrois lui répond Oui, une soucoupe volante! Et l'homme qui conduisait l'excavateur, M. Lubanovic, ajoute: Il y avait un homme habillé comme un plongeur. 4 autres ouvriers: MM. Sechet, Villeneuve, Rougier et Amiraut, un conducteur de camion, confirmeront tous les détails de la scène.
Après l'incident, Gatay souffrira d'insomnies, de forts maux de tête et perdra l'appetit pendant une semaine. Les huits hommes ne seront cependant pas convaincus que les soucoupes volantes viennent d'un autre monde. Ils sont sûrs au contraire qu'elles font partie d'expériences secrètes d'une nation bien terrestre, probablement la France.
[Ref. ugp1:] SITE INTERNET "UFOGENESIS", BRESIL:
(13/12/2004 Um dos mais notáveis casos da onda de aparições ufológicas que varreu a França, em 1954, ocorreu na localidade de Nouatre, no mês de setembro. Por volta das 16hs, o senhor Georges Gatay, trabalhador de uma construção, sentiu-se estranhamente cansado e resolveu se afastar do grupo de operários.)
13/12/2004 Un des plus remarquables cas de la vague d'apparitions ufololiques qui a balayée la France, en 1954, s'est produit dans la localité de Nouatre, au mois de septembre. Aux alentours des 16 heures, Monsieur Georges Gatay, travailleur sur un chantier de construction, s'est senti étrangement fatigué et a décidé de s'éloigner du groupe d'ouvriers.
(Sozinho, subitamente se viu frente a frente com um vulto que lembra um homem vestindo uma capa longa e cinzenta, botas escuras e uma viseira, aparentemente feita de vidro opaco, que lhe cobria o rosto.)
Seul, il a soudainement vu devant lui, une silhouette qui lui a rappellé celui d'un homme habillé d'une combinaison longue et grise, de bottes foncés et d'une visière, apparemment faite de verre opaque, qui lui couvrait le visage.
(Gatay notou um objeto metálico em uma das mãos do ser e uma luz que parecia ser projetada de seu peito. Através da figura, flutuava um grande e brilhante objeto, cujo formato lembrava um osso. De repente, o homem misterioso desapareceu. O objeto, então, subiu verticalmente e também desapareceu.)
Gatay a remarqué un objet métallique dans une des mains de l'être et une lumière qui semblait être projeté de sa poitrine. A travers du personnage, flottait un grand et brillant objet, dont la forme rappelait un os. Soudain, l'homme mystérieux a disparu. L'objet, alors, est monté verticalement et a aussi disparu.
(Gatay relatou que permanecera paralisado durante toda a aparição e um pouco depois do desaparecimento do ser e do ÓVNI. Voltando à construção, ele ficou surpreso quando seu colegas lhe contaram que também tinham sofrido uma singular paralisia, estando todos muito assustados.)
Gatay a dit qu'il est resté paralysé pendant toute l'apparition et un peu après la disparition de l'être et de l'OVNI. En retournant à la construction, il a été surpris quand son collègue lui a raconté qu'eux aussi avaient souffert d'un singulière paralysie, tous étant très effrayés.
(Entretanto, não podiam confirmar o contato imediato de Gatay, pois nada tinham visto. Não houve indícios de Missing Time (Sensação de tempo perdido) nem de que Gatay tenha sido levado a bordo de uma nave. Porém, o ufólogo John Spencer, pesquisador do caso, salienta que em muitos episódios de abdução, a paralisia em massa é um fator comum, e que impede que outras pessoas presentes ou próximas, interfiram no processo abdutivo.)
Néanmoins, ils ne pouvaient confirmer le contact immédiat de Gatay, dont ils n'avaient rien vu. Il n'y a pas eu d'indications de Missing Time (Sensation de temps perdu) ni de ce que Gatay ait été pris à bord d'un vaisseau. Néanmoins, l'ufologue John Spencer, l'enquêteur sur ce cas, fait remarquer que dans beaucoup d'épisodes d'abduction, de la paralysie en masse est un facteur courant, et qui empêche que les autres personnes présentes ou proches n'interviennent dans le processus d'abduction.
Grupo de Pesquisas Ufologicas de Americana
[Ref. acy1:] SITE INTERNET "ALIEN CONSPIRACY":
La rencontre Gatay
30 SEPTEMBRE 1954 - MARCILLY-SUR-VIENNE, FRANCE
L'agent de maîtrise d'un chantier de construction près de Marcilly-sur-Vienne, Georges Gatay, a rapporté avoir senti venir sur lui en sentiment de fatigue. Il a alors commencé à marcher loin de l'emplacement sans s'en rendre compte et vers un OVNI en forme de dôme avec un petit extraterrestre habillé en tenue de plongée. Une projection de laser a semblé venir de sa taille. L'extraterrestre a alors disparu et un bruit aigu a été entendu. L'OVNI est monté vers le ciel et a été entouré par une lueur bleue avant de disparaitre.
Gatay est retourné au chantier de construction. Ses camarades ouvriers s'étaient également sentis fatigués et avaient été témoin de la rencontre. Les témoins ont soufferts de distraction, insomnie, et ne pouvaient pas manger pendant plusieurs des jours suivants. L'état des témoins après l'événement suggère une possible abduction. Ceci est également suggéré par les deux lacunes quand la scène a soudainement changé.
[Ref. sdn1:] STEVEN DUNN:
DATE | DESCRIPTION | MICAP_CLAS | REF |
---|---|---|---|
30.09.1954 |
Marcilly-sur-Vienne, FR 30 Sep 54 Huits ouvriers du bâtiment ont rapporté voir un objet en forme de disque au sol. Près de là était un petit humanoïde portant un casque. (FOV) Tous deux se sont évanouis d'une manière étrange. Effets physiologiques sur tous les témoins. L'évenement s'est produit aux alentours de 16:30. (Cashman) |
CE-3-102 | Randle/Estes, FOV pg 266 ; M. Cashman email 7/25/98 |
[Ref. gdn1:] GEOFF DITTMANN:
Témoins: Huit ouvriers en bâtiment, incluant Georges Gatay
Lieu: Marcilly sur Vienne, France
Date: 30 septembre 1954
Heure: 16:30
Les témoins observent un disque posé, avec un occupant humanoïde tout près. Tous les témoins ont souffert d'effets physiologiques, tels que des maux de tête graves, perte d'appétit, et insomnie. (Vallee, Passport to Magonia #165 et Schuessler, UFO Related...)
[Ref. ars1:] ALBERT ROSALES:
84.
Lieu: Marcilly-sur-Vienne France
Date: 30 septembre 1954
Heure: 1630
Georges Gatay, un ouvrier du bâtiment, alors qu'il travaillait dans une carrière de gravier, a rencontré un homme portant une combinaison grise, dont la tête était couverte d'un casque opaque descendant jusqu'à sa poitrine, sur lequel se trouvait un projecteur de lumière. Dans sa main il y avait un objet semblable à une tige. Derrière l'homme il y avait un grand dôme brillant planant à 3 pieds au-dessus de la terre; au-dessus de la coupole tournaient des lames. L'homme a soudainement disparu, et la soucoupe s'est élevée de façon saccadée un sifflement, et alors disparu dans une brume bleue. Pendant l'expérience, Gatay se sentait paralysé. Il en était de même pour ses 7 collègues, qui avaient vu la même chose. Gatay a souffert de maux de tête et d'insomnie pendant une semaine.
Humcat 1954-61
Source: Jacques Vallée, Passport to Magonia
Type: C
[Ref. djn1:] DONALD JOHNSON:
1954 - A 4:30 dans l'après-midi, Georges Gatay, surveillant de construction, et sept ouvriers du bâtiment dans Marcilly-sur-Vienne, France, ont vu un disque au niveau du sol, avec un humanoïde se tenant à côté de lui. Tous les deux ont disparu d'une façon très étrange. Effets physiologiques sur tous les témoins. (Sources: Michel Carrouges, Les apparitions de Martiens, pp. 123 et 125; France Soir, 3 Octobre 1954; Jacques Vallée, Passport to Magonia, p. 213; Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, OVNI: Le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France, pp. 96).
[Ref. lgs2:] LOREN GROSS:
Le témoignage de Bacque et Gartey se trouve à la page 80 de la monographie UFOs - A History 1954 September.
Ces deux cas ont été considérés ensemble parce qu'ils semblaient avoir des éléments similaires. Cependant, Gartey a avoué avoir inventé son histoire ainsi une traduction de son compte-rendu est omise. Le rapport Bacque pourrait avoir de la valeur et sa traduction est donnée ici. M. Bacque, architecte-ingénieur, a vu un engin étonnant au-dessus de Pau, à 10 000 mètres d'altitude... M. Bacque le vit à 11 heures du matin le 30 septembre et le décrivit comme une sphère rouge, d'où sortaient quatre tubes, manoeuvrant entre les nuages stratus. Il l'a observé à travers un télescope pendant 45 minutes avant qu'il ne disparaisse vers l'ouest.
[Ref. lhh1:] LARRY HATCH:
Dans U-Database, le cas de Marcilly-sur-Vienne est noté comme un cas discrédité: "une farce qui est allé trop loin."
[Ref. lhh2:] LARRY HATCH:
30/09/1954 MARCILLY-sur-VIENNE, FR aka Nouatre, FR: FARCE qui est allée trop loin. Non-événement sorti de la liste.
[Ref. fbn2:] FABRICE BONVIN:
L'auteur indique que comme les "Men-in-Black", les OVNIs sont également capables d'apparitions et de disparitions instantanées ou graduelles.
Il indique en exemple que le 30 septembre 1954, à Nouatre en France à 16:30, Georges Gatay, contremaître de chantier, a observé un objet brillant en forme de dôme flottant à un mètre au-dessus du sol.
Un humanoïde coiffé d'un casque opaque se tient devant, et cet être disparaît brutalement, "comme une image qu'on efface d'un seul trait," alors que le témoin qui ne l'a pas quitté des yeux, ne l'a pas vu se déplacer.
L'OVNI s'est ensuite élevé avec un sifflement puis s'est effacé dans une sorte de brume bleue.
Pendant l'observation, Gatay et ses ouvriers ont été paralysés et lui souffrira de maux de tête et d'insomnie durant une semaine.
L'auteur indique comme source "Essai de classification des apparitions et disparitions sur place" par Jacques Scornaux dans le magazine "Lumières Dans la Nuit" numéro 170, page 6 en décembre 1977.
[Ref. edr1:] EMMANUEL DEHLINGER:
L'auteur (qui pense que les OVNIS sont des mises en scènes de militaires pour que les gens croient aux extraterrestres) mentionne des observations en Indre et Loire, dont une le 30 septembre 1954 à Marcilly-Sur-Vienne.
[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:
Luc Chastan indique qu'en Indre et Loire à Marcilly sur Vienne le 30 septembre 1954 à 16:30 heures "Au lieu dit Nouatre, M. Georges Gatay, contremaître, responsable d'une équipe de huit ouvriers maçons, se sépare de ses ouvriers. Il se sent 'tout chose' envahi d'une certaine torpeur, et se demande soudain où il va. Tout à coup, il se trouve face à un petit être devant un engin en forme de coupole brillante. Dès qu'il aperçoit l'engin et l'être, Georges Gatay tente de courir, mais il se trouve comme cloué au sol. Il est comme 'paralysé' et tous ses ouvriers le sont aussi. L'être disparaît sur place et l'appareil décolle avec un fort sifflement qui couvre le bruit que font les excavateurs. Il s'élève par bonds successifs, tout droit, puis s'efface dans une sorte de brume bleue, comme par miracle. Tous les ouvriers virent la scène, et M. Lubanovic ajouta: 'II y avait un homme habillé comme un plongeur.'"
Luc Chastan commente: "Ce cas est écarté car : Invention du Témoin".
Luc Chastan indique que la source est "Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M./ Ruchon J.L. ** éd. Alain Lefeuvre 1979".
[Ref. tie4:] SITE WEB "TOURAINE INSOLITE":
"Mykerinos" dit que le cas a fait couler beaucoup d'encre et que "quelques décennies après, il semblerait qu'il déchaîne toujours autant les passions. Canular pur et simple pour les uns, véritable cas ufologique pour les autres, méprise pour certain."
Il dit que dans le cas d'une méprise "l'hypothèse qui vient à l'esprit, c'est celle de la confusion possible avec un hélicoptère de l'armée" et que cela a été abordé par Michel Carrouges dans son livre "Les Apparitions de Martiens" parut en 1963 qu'il cite comme disant:
"A première vue, il ne peut s'agir que d'un hélicoptère, car aucune soucoupe n'a été signalée avec des pales", "Mais quel hélicoptère aurait pu se poser là, sans que personne ne l'ait vu s'approcher", et un peu plus loin "Quel pilote français, et a fortiori étranger viendrait ainsi folâtrer en plein jour sur une carrière et repartirait sans dire un mot, à toute allure?"
Mykeronos indique ensuite que "Monsieur Renaud Leclet tente une approche dans ce sens, sa théorie (dans les grande ligne) est la suivante:"
Il liste quatre points:
Un hélicoptère de l'armée française de type Sikorsky S-55 serait en cause, la couleur gris métal des appareils français des années 50-60, le sifflement et le bruit entendu qui seraient les pales du rotor et du moteur, "et le brouillard observé qui serait du à l'échappement (qui se trouve à l'avant et pointé vers le bas) et à l'accélération du moteur pour prendre de l'altitude et de la vitesse."
Le pilote casqué correspind à une combinaison de protection des pilotes d'hélicoptère à l'essai dans les années 50, avec cagoule, casque et gilet pare-balles qui pourrait correspondre à la description du témoin principal et la petite taille est peut-être liée à la distance de l'observation, environ 10 mètres, ou ce serait tout simplement un pilote mesurant 1m60. Le faisceau brillant décrit dans le témoignage pourrait provenir soit de l'appareil en lui-même, du vêtement (NBC) porté par le pilote ou d'un appareillage (Radio). "L'arme que tiens celui-ci 'Un tuyau ou à un gros revolver' sert peut-être a éloigné le témoin de l'appareil (Risque lié aux pales, essai secret, etc..)" et la paralysie du témoin "est du à sa peur, devant une situation nouvelle et inconnue de lui."
Une erreur de navigation serait la cause possible de cet atterrissage, une erreur de site, lors de "manoeuvres confidentielles de l'armée mettant en oeuvre de nouvelles tactiques de combat ?, il y a plusieurs structures militaires dans la région (Le camp du ruchard, le camp sanitaire américain de St-Benoit-la Fôret, dépôt militaire de Nouâtre (EMA), ect...)"
L'auteur poursuit avec des renseignements sur l'ALAT et les hélicoptères Sikorsky en France, et un lien vers le présent dossier de mon site.
[Ref. uda1:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 30 septembre 1954 à 16:30 à Marcilly-sur-Vienne, France, "Disque avec dôme a plané 3' au-dessus de la terre. Au-dessus de la coupole tournaient des lames. Homme s'est tenu là, a porté combinaison grise et casque opaque, a soudainement disparu, disque s'est élevé avec sifflement. Paralysie, maux de tête, insomnie. Explication: Farce."
Et: "A 4:30 dans l'après-midi, Georges Gatay, surveillant de construction, et sept ouvriers de construction à Marcilly-sur-Vienne, France, ont vu un disque au niveau du sol, avec un humanoïde se tenant à côté de lui. Tous les deux disparus d'une façon très étrange. Effets physiologiques sur tous les témoins."
Et: "On a observé un objet. Des effets physiologiques ont été notés."
Et: "Un disque couvert d'un dôme, d'environ 5 pieds de large, a été observé par huit témoins masculins expérimentés à une carrière pendant quelques secondes (Gatey, F). Un bruit a été entendu. Un humanoïde, portant une combinaison et un casque gris, a été vu."
Et: "Georges Gatay, un ouvrier de construction, tout en travaillant dans un puits de gravier, a rencontré un homme portant une combinaison grises, dont la tête a été couverte d'un casque opaque descendant à son torse, sur lequel était un projecteur de lumière. Dans sa main était un objet comme une tige. Derrière l'homme était un grand dôme brillant planant 3 pieds au-dessus de la terre; au-dessus de la coupole tournaient des lames. L'homme a soudainement disparu, et la soucoupe s'est élevée de façon saccadée avec sifflement, et alors disparu dans une brume bleue. Pendant l'expérience Gatay s'est senti paralysé. Egalement ses 7 collègues, qui avaient vu la même chose. Gatay a souffert de maux de tête et d'insomnie pendant une semaine."
Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Guieu, Jimmy, Flying Saucers Come from Another World, Citadel, New York, 1956; Sparks, Brad, Computer Catalog of Type 9 Cases (N=150); Lorenzen, Coral E., Flying Saucer Occupants, Signet T3205, New York, 1967; Lorenzen, Coral E., Encounters with UFO Occupants, Berkley Medallion, New York, 1976, ISBN:425-03093-8; Bowen, Charles, The Humanoids: FSR Special Edition No. 1, FSR, London, 1966; Pereira, Jader U., Les Extra-Terrestres, Phenomenes Spatiaux, Paris, 1974; Vallee, Jacques, Computerized Catalog (N = 3073); Vallee, Jacques, Challenge to Science: The UFO Enigma, Henry Regnery, Chicago, 1966; Vallee, Jacques, Preliminary Catalog (N = 500), (dans JVallee01); Vallee, Jacques, A Century of Landings (N = 923), (dans JVallee04), Chicago, 1969; Vallee, Jacques, Passport to Magonia, ; Henry Regnery, Chicago, 1969; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173); Carrouges, Michel, Les Apparitions de Martiens, Fayard, Paris, 1963; Rogerson, Peter, World-Wide Catalog of Type 1 Reports; Bloecher, Ted R., Ted R Bloecher investigation files; Coupures de Journaux; Hatch, Larry, internet data; Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database.
[Ref. uda2:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 30 septembre 1954 à 16:30 Chinon, en France, "Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. On a observé un objet."
La source est indiquée comme Vallee, Jacques, Computerized Catalog (N = 3073).
[Ref. tie2:] SITE WEB "TOURAINE INSOLITE":
L'auteur du site indique qu'à Marcilly-Sur-Vienne, le 30 septembre 1954, à 16:30 plusieurs ouvriers sont occupés dans une carrière de sable et de cailloux en bordure de la route départementale, sur la rive gauche de la Vienne, entre Parcay et Marcilly en face du camp militaire de Nouâtres (Camp du Ruchard), quand ils ont vu un "Engin" de forme circulaire et son passager se poser sur les bords de l'excavation.
Les sources sont indiquées comme: "Nouvelle république du centre-ouest" du 02.10 et du 4.10.1954; "OVNI le Premier dossier complet des rencontres en France" Edition A.Lefeuvre 1979 de Michel Figuet & J.L Ruchon P.96; "Chronique des apparition E.T" Edition J'ai Lu A308 1977 de Jacques Vallée (Cas No 165); "black-out sur les S.V" Edition Omnium littéraire 1972 de Jimmy Guieu P.161; LDLN No 165 P.8
[Ref. tie3:] FORUM "TOURAINE INSOLITE":
Marcilly-Sur-Vienne, le 30 Septembre 1954, 16h30
Plusieurs ouvriers sont occupés dans une carrière de sable et de cailloux en bordure de la route départementale, sur la rive gauche de la Vienne, entre Parcay et Marcilly en face du camp militaire de Nouâtres (Camp du Ruchard), nous sommes le Jeudi 30 septembre et il est 16h.30, quand ils ont vu un "Engin" de forme circulaire et son passager se poser sur les bords de l’excavation Sources : "Nouvelle république du centre-ouest" du 02.10 et du 4.10.1954 "OVNI le Premier dossier complet des rencontres en France" Edition A.Lefeuvre 1979 de Michel Figuet & J.L Ruchon P.96 "Chronique des apparition E.T" Edition J’ai Lu A308 1977 de Jacques Vallée (Cas No 165) "black-out sur les S.V" Edition Omnium littéraire 1972 de Jimmy Guieu P.161 LDLN No 165 P.8
[Ref. ucb1:] UFOS.ABOUT.COM:
B J Booth
Un cas d'OVNI qui est maintenant vieux de 50 ans se tient toujours comme un des événements les plus bizarres de l'Ufologie. L'incident s'est produit à Nouatre, Indre-et-Loire, France en 1954. Cette rencontre peu commune, bien qu'étudiée, n'a été jamais expliquée par aucune cause naturelle ou conventionnelle. Les événements étranges ont commencé sur un emplacement d'excavation à 16:30 le 30 septembre.
L'acteur principal dans cet événement des plus extraordinaire est un certain George Gatay, qui était l'agent de maîtrise d'une équipe de huit hommes. Alors qu'il était au travail, il s'est senti poussé à quitter son poste, ressentant "une somnolence particulière." Il peut se rappeler d'avoir marché, mais il ne décidait pas où il allait, comme s'il était dirigé par une certaine force étrange. Soudainement, il était en vue d'un être d'une certaine sorte portant un casque de verre avec un pare-soleil, se tenant sur la pente d'une colline, à environ 30 pieds de distance de lui.
L'être, engoncé dans une combinaison grise et des bottes courtes, tenait une sorte d'instrument dans sa main. Gatay a pensé que c'était une arme. L'uniforme de l'être avait un certaine sorte de panneau d'affichage là-dessus. Derrière lui se trouvait un objet qui était en forme de dôme. Il ne reposait pas sur la terre - il y avait plusieurs pieds d'espace entre lui et le contact du sol. L'objet avait également un dessus comme une coupole avec ce qui ressemblait à des lames autour d'elle. Gatay était prétrifié là où il se tenait.
Gatay a indiqué: "Soudainement, l'homme étrange a disparu, et je ne pouvais pas expliquer comment il l'a fait, puisqu'il n'a pas disparu de mon champ visuel en marchant au loin, mais disparu comme une image qu'on efface. Alors j'ai entendu un fort bruit de sifflement qui a noyé le bruit de nos excavatrices. Bientôt l'objet est monté par des secousses successives, dans une direction verticale, et alors il s'est aussi effacé dans une sorte de brume bleue, comme par miracle."
Gatay a été presque mort de peur à cause de ce qu'il observait. Essayant de se sauver de la scène, il ne le pouvait pas. Il ne le savait pas à ce moment, son équipe était également dans une sorte de stupéfaction pendant la rencontre de leur agent de maîtrise. Bien que les hommes travaillant n'aient pas été des croyants aux OVNIS avant l'incident, ils l'étaient certainement après. Gatay, après avoir été libéré de sa transe, a courru vers son équipe, leur demandant s'ils avaient vu quelques chose. Un des membres de l'équipe Beurrois a dit: "Oui--une soucoupe volante!" M. Lubanovic conducteur d'excavatrice a indiqué, "il y avait un homme habillé comme un plongeur devant elle."
L'équipe entière avait été témoin de l'événement, et avait été d'accord sur les détails de la rencontre. Gatay, soldat et homme de réputation, a commencé à souffrir d'insomnie, de perte d'appétit, et de maux de tête après l'observation. Après environ une semaine, les symptômes se sont atténués. Aucun des autres membres de l'équipe n'a eu aucun problème médical, étant beaucoup plus loin de l'engin que Gatay.
Bien que les membres d'équipage aient été impliqués dans un événement étrange et bizarre, au début, ils ont tout cru qu'ils avaient vu une sorte d'engin expérimental gouvernemental. Bien que ce soit possible, le fait que l'objet ait disparu sur place éliminerait n'importe quelle production de notre planète. Ils ont également considéré la possibilité que l'être ait été un robot, et non un extraterrestre. Là encore, c'est une possibilité, mais si c'était vrai, quel genre de pouvoir les robots ont-ils pour mettre les hommes en transe pendant un temps? Ce cas est encore non expliqué.
[Ref. ucb2:] UFOS.ABOUT.COM:
France - 1954
Un cas très unique d'un atterrissage d'OVNI, une observation d'extraterrestre, et des puissances d'un autre monde se sont produits à Nouatre, Indre-et-Loire, France, en 1954. Le 30 septembre, à environ 16:30, des événements étranges ont commencé à se dévoiler à un chantier de construction. George Gatay était chef d'une équipe de 8 ouvriers. Il était un homme bien respecté, que pendant l'occupation de l'Allemagne [sic] dans la deuxième guerre mondiale, avait combattu pour la résistance française, et a été blessé au Luxembourg.
En travaillant, Gatay a commencé à se sentir assoupi, et poussé à quitter son lieu de travail. A une courte distance du site, il a été choqué de voir un être se tenant sur une colline, à environ 30 pieds de distance. L'être avait un casque semi-transparent, avec un grand pare-soleil. Il était habillé d'une combinaison grise, et de bottes courtes.
L'être tenait quelque chose dans sa main, dont Gatay a pensé que ce pourrait être une arme. Il avait également ce qui a semblé être une visualisation électronique sur le torse de son uniforme. Derrière l'être reposait un objet en forme de dôme. Gatay a été pétrifié sur place.
Gatay a indiqué: "Soudainement, l'homme étrange a disparu, et je ne pourrais pas expliquer comment il l'a fait, puisqu'il n'a pas disparu de mon champ visuel en marchant au loin, mais disparu comme une image qu'on efface."
"Ensuite j'ai entendu un fort bruit de sifflement qui a noyé le bruit de nos excavatrices. Bientôt l'objet est monté par des secousses successives, dans une direction verticale, et alors lui aussi a été effacé dans une sorte de brume bleue, comme par miracle."
Plusieurs des membres d'équipage sont venus en avant avec des rapports corroborants, confirmant avoir vu la créature extraterrestre, et l'observation de la disparition de l'OVNI. Gatay a souffert quelques maux physiques après la rencontre. Ceux-ci ont duré pendant une semaine, et ont compris de l'insomnie, des mauvais maux de tête, et la perte de l'appétit.
Ses collègues, tous des non-croyants avant l'incident, se sont également sentis stupéfiés pendant la rencontre. Gatay, qui était beaucoup plus près de l'OVNI, a même été brièvement paralysé. Il n'y a jamais eu une explication satisfaisante et terrestre pour ce que Gatay et les membres de son équipe ont vu.
[Ref. prn2:] PETER ROGERSON:
30 septembre 1954, 1630hrs.
MARCILLY-SUR-VIENNE (INDRE ET LOIRE : FRANCE)
Georges Gatay, le chef d'une équipe de huit travailleurs de la construction, s'est retrouvé lui-même en s'éloignant des autres travailleurs dans une sorte de somnolence hébétée. Soudain, il a rencontré, à moins de 10 m au-dessus de lui sur un versant, un homme étrange. Il était vêtu d'une salopette grise, de bottes courtes et d'un casque en verre opaque avec une visière descendant sur sa poitrine. Dans sa main, il tenait un objet qui rappelait à Gatay un pistolet, et sur sa poitrine il y avait un projecteur de lumière. L'inconnu était debout en face d'un grand dôme avec une coupole au sommet de laquelle il y avait des lames rotatives, planant à 1m du sol. Soudain, l'inconnu a juste disparu, et l'objet a décollé avec un bruit de sifflement fort et l'engin est monté verticalement dans une série de secousses, jusqu'à ce que lui aussi ait disparu dans une brume bleue. Au cours de l'épisode Gatay et ses collègues. Messes Beurrois, Lubanovic, Séchet, Villeneuve, Rougier et Amiraut) ont été paralysées. Les autres ont vu l'objet et l'être. Après l'incident Gatay a souffert d'insomnie, de maux de tête et de la perte de l'appétit pendant une semaine. Selon Alain Gamard ce cas comme un canular [sic]
Vallee 1969, p.68 + Vallee cas 165 citant Ici-Paris. 11 Octobre 1954 + France-Soir 3 Octobre 1954.
[Ref. nip1:] "THE NICAP WEBSITE":
*30 sep. 1954 - A 4:30 dans l'après-midi, Georges Gatay, surveillant de construction, et sept ouvriers du bâtiment dans Marcilly-sur-Vienne, France, ont vu un disque au niveau du sol, avec un humanoïde se tenant à côté de lui. Tous les deux ont disparu d'une façon très étrange. Effets physiologiques sur tous les témoins. (Sources: Michel Carrouges, Les apparitions de Martiens, pp. 123 et 125; France Soir, 3 Octobre 1954; Jacques Vallée, Passport to Magonia, p. 213; Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, OVNI: Le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France, pp. 96).
[Ref. tai1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT"
Lieu: Marcilly-sur-Vienne France
Date: 30 septembre 1954
Heure: 1630
Georges Gatay, travailleur dans la construction, travaillant dans une fosse de gravier, rencontra un homme vêtu d'une combinaison grise dont la tête était couverte d'un casque opaque qui descendait jusqu'à sa poitrine, sur lequel il y avait un projecteur de lumière. Dans sa main il y avait un objet en forme de tige. Derrière l'homme se trouvait un grand dôme brillant qui planait à 3 pieds au-dessus du sol; au-dessus de la coupole il y avait des lames rotatives. L'homme disparut soudain, et la soucoupe s'éleva brusquement avec un sifflement, puis disparut dans une brume bleue. Au cours de l'expérience, Gatay s'est senti paralysé. Ses 7 collègues de travail avaient vu la même chose. Gatay a souffert de maux de tête & d'insomnie pendant une semaine.
Source: Jacques Vallee, Passport to Magonia 165
[Ref. jgz1:] JULIEN GONZALEZ:
L'auteur évoque ce cas comme une fausse rencontre rapprochée du troisième type ayant eu prétendument lieu à Marcilly-sur-Vienne, en Indre-et-Loire, le 30 septembre 1954 à 16h30:
Travaillant dans une carrière, M. Georges Gatey, contremaître, s'était éloigné un moment de ses ouvriers, et s'est senti soudain envahi par une torpeur, et déboussolé. Il a alors vu à 1 mètre du sol un objet de forme circulaire surmonté d'un dôme équipé de pales semblables à celles d'un hélicoptère. A côté de l'appareil, il a pu voir un petit homme de 1,50 m, vêtu d'une combinaison grise et dont la tête était couverte d'un casque en matière plastique opaque à visière. M. Gatey et ses sept ouvriers, également témoins de la scène, se sont alors sentis paralysés. L'être a disparu sur place et l'appareil a décollé avec un fort sifflement, pour disparaître dans une brume bleue.
Après l'incident, M. Gatey a souffert d'insomnies, de maux de tête et a perdu l'appétit pendant huit jours.
Julien Gonzalez indique comme sources de ce récit, Jimmy Guieu, "Black-Out sur les Soucoupes Volantes", pages 141- 142; Michel Carrouges, "Les apparitions de Martiens", pages 123-124; Jacques Vallée, "Chroniques des Apparitions extraterrestres", pages 103-104; Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, "OVNI: le premier dossier complet des rencontres rapprochées en France", page 96; Jean Sider, "Le dossier 1954 et l'imposture rationaliste", pages 174-175; Ici Paris du 11 octobre 1954; La Nouvelle République du Centre-Ouest du 4 octobre 1954.
Il indique ensuite qu'en réalité, une contre-enquête réalisée en 1980 par Messieurs Gouzien et Gaudeau a permis de retrouver l'un des "témoins" qui leur expliqua que la joyeuse équipe de M. Gatey avait inventé toute l'affaire. En rentrant du travail le soir dans le café du restaurateur de Nouâtre qui les avait en pension, ils ont raconté avoir vu "une soucoupe volante". Un correspondant du journal local, qui était présent, a pris cela pour argent comptant et a prévenu sa rédaction, et à partir du lendemain, les journalistes ont afflué et les témoins n'ont pas osé revenir sur les premières déclarations qu'ils avaient faites aux enquêteurs. Toutefois, les gendarmes de Chinon se sont vite aperçus de la supercherie. C'est seulement plusieurs mois après, qu'un court article paru dans La Nouvelle République du Centre-Ouest a révélé que l'affaire Gatey était une mystification.
Julien Gonzalez indique comme source de l'explication une communication personnelle de M. Claude Gaudeau en septembre 2013.
[Ref. ubk1:] "UFO-DATENBANK":
Cette base de données a enregistré ce cas 21 fois:
N° de cas | Nouveau N° de cas | Enquêteur | Date d'observation | CP | Lieu d'observation | Pays d'observation | Heure d'observation | Classification | Commentaires | Identification |
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19540000 | 00.00.1954 | Marcilly | France | CE II | ||||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Nouatre | France | CE II | ||||||
19540930 | 30.09.1954 | Nouatre | France | CE II | ||||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly | France | RR III | ||||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | RR III | ||||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | |||||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | RR III | ||||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | RR III | ||||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Marcilly Vienne | France | 16.30 | RR III | |||||
19540930 | 30.09.1954 | Novatre | France | |||||||
19540930 | 30.09.1954 | Nouätre | France | |||||||
19540930 | 30.09.1954 | Chinon | France | 16.30 | RR III |
[Ref. prn3:] PETER ROGERSON - "INTCAT":
30 septembre 1954. 1630hrs.
MARCILLY-SUR-VIENNE (INDRE ET LOIRE : FRANCE)
Georges Gatay, le chef d'une équippe de huit ouvriers de lq construction, s'est trouvé en train de s'éloigner des autres ouvriers dans une sorte d'état de somnolence. Soudainement il a rencontré, à moins de 10m au-dessus de lui dans une pente, un homme étrange. Il était vêtu d'une tenue intégrale grise, de courtes bottes et un casque de verre opaque avec une visière descendant jusqu'à sa poitrine. Dans sa main il tenait un objet aui a rappelé un pistolet à Gatay, et sur sa potrine il y avait un projector de lumière. L'étranger se tenait devant un grand dôme avec une coupole, au sommet de laquelle il y avait des lames rotatives, planant audessus du sol. Soudainement l'étranger s'est juste évanoui, et l'objet q décollé avec un fort bruit de sifflement et l'engin est monté verticalement, en une série de bonds, jusqu'à ce que lui aussi disparaisse dans une brume bleue. Pendqnt l'épisode Gatay et ses collègues Messrs Beurrois, Lubanovic, Sechet, Villeneuve, Rougier et Amiraut) étaient paralysés. Les autres ont vu l'objet et l'être. A la suite de l'incident Gatay a souffert d'insomnie, de maux de tête et perte de l'appétit pendant une semaine
Vallee 1969 p68 + Vallée cas 165 citant Ici-Paris 11 octobre 1954. + France-Soir 3 octobre 1954.
Evaluation - Un probable canular Selon Garreau et Lavier. Gatay a plus tard admis que la chose était un canular. CF Paquet 1978 p178
[Ref. jqy1:] JEAN DE QUERCY:
Ce cas illustre parfaitement la difficulté à cerner le sérieux, ou pas, des cas de cette vague. Cette dernière ne peut être réduite uniquement aux canulars au prétexte qu’il en existe comme semblerait le prouver cet exemple:
Il est 16h30 lorsqu'un astronef et son occupant furent observés par sept carriers de cette localité. Les noms des témoins furent publiés dans tous les journaux. Mais quand l'enquêteur local du groupe Ouranos, Monsieur Grondeau, se mit « en chasse », le mal était déjà fait. Nombre de railleurs s'étaient copieusement moqués des carriers et ceux-ci, vexés, aigris, avaient décidé de ne plus souffler mot de leur incroyable aventure. Voici cependant ce que dit objectivement du témoin principal La La Nouvelle République du 04 octobre 1954: Nous avons pu interroger Monsieur Georges G., chef du chantier d'une carrière de Marcilly-sur-Vienne, et principal témoin de l'événement, ainsi que ses six camarades. Nous en rapportons l'impression que ces hommes sont sincères et dignes de foi. Leurs déclarations, ils les ont confirmées vendredi et samedi à des enquêteurs professionnels qui n'ont pas manqué, à leur tour, d'être impressionnés par l'accent de sincérité des témoins.
Monsieur G. et ses ouvriers étaient occupés à tirer du sable et du gravier dans une carrière en bordure de la route près de Marcilly. Chacun était à son poste, les uns à la pelle mécanique, les autres au monte-charge. Monsieur G. se trouvait à l'écart, plus près de la sortie de la carrière. C'est lui qui, le premier, vit l'engin, un appareil de forme circulaire surmonté d'un dôme équipé, apparemment, de pales semblables à celles d'un hélicoptère. L'engin se trouvait en vol immobile à un mètre du sol. Les « pales » tournant très rapidement. Il ne s'est d'ailleurs pas posé sur le terrain.
Un petit être, 1,50 mètre environ, coiffé d'un casque en matière opaque, ressemblant à du verre brouillé et qui lui retombait sur les épaules (casque en forme de cloche), vêtu d'une combinaison de ton neutre, chaussé de courtes bottes, se trouvait à coté de l'appareil. Il tenait à la main une sorte de gros révolver ou un instrument dont l'extrémité en forme de canon - ou de tuyau - le faisait ressembler à une arme à feu. Sur sa poitrine, l'être arborait un disque très brillant, projetant un faisceau de lumière intense. Personne, dans la carrière (en contrebas de plusieurs mètres par rapport à la route et au terrain environnant) n'avait vu arriver l'engin, ni ne l'avait entendu. Il faut d'ailleurs préciser que les machines en fonctionnement faisaient un véritable vacarme.
Monsieur G. est formel: l'engin est resté au moins 30 secondes, temps largement suffisant pour qu'il puisse l'examiner.
L'histoire ne s'arrête pas là. Le témoin principal donne d'autres détails sur cette étrange rencontre. « J'avais les jambes coupées et je ne pouvais faire un pas, cloué au sol par les effets du rayon émis par l'"homme". "Monsieur G. ne pouvait inventer ce point particulier. En effet Monsieur Dewilde fut lui-même paralysée par un mystérieux rayon provenant d'un engin posé non loin de lui.
Un autre témoin, Monsieur A. se trouvait dans son camion et arrivait alors à la carrière. Il vit les carriers stupéfaits regarder vers l'entrée du chantier et suivit leurs regards. Il aperçut alors "quelque chose de grisâtre" qui ne se trouvait pas là habituellement, s'élever dans les airs.
"L'homme est remonté dans son engin", déclara Monsieur G. sans que je puisse dire par où, puis l'appareil a pris de la hauteur, à la verticale, par saccades, en sifflant, comme le font les moteurs à réactions des avions de chasse. A 200 mètres d'altitude à peu près, il a émis un brouillard qui l'a dissimulé complètement et a disparu à nos regards."
Note personnelle: A la lecture du témoignage la description de l'engin ne correspond en rien à ce qui est alors décrit dans toute la France. Le canular serait dès lors probable et c'est ce même journal qui dénonça la supercherie quelques mois plus tard.
En fait il s'agissait donc d'une plaisanterie de la part de Monsieur G. destinée au restaurateur de Nouâtre qui avait le chef de chantier et ses ouvriers en pension. Un correspondant du journal étant présent, l'affaire "était pliée" et se trouva de facto dans le journal. Si cette information est exacte pourquoi avoir inventé ce détail "des pales comme sur un hélicoptère"? Durant cette grande vague de 1954, aucun autre témoignage ne mentionne ce fait! Je crois plus volontiers qu'afin d'être tranquille, Monsieur Gatey et ses camarades préférèrent avouer un canular plutôt que de maintenir leur observation et pour cause! ... Les nombreux détails, concernant la présence d'êtres de petite taille sur le sol de France sont bien identiques à de multiples autres descriptions faites durant cette vague 1954.
Sources : La Nouvelle République du 04 octobre 195 – In "RR3 - le dossier des rencontres du troisième type en France" de J. Gonsalez p. 432 - "Dossier 1954" pp. 174-175 de Jean Sider - "black-out sur les S.V" éd. Fleuve Noir 1956 de J. Guieu p. 141 et "LDLN" n° 165 p.8)
[Ref. wia1:] SITE WEB "WIKIPEDIA FR":
Dans sa page sur la vague de 1954 en France, Wikipedia FR évoque 21 observations de la "vague", dont:
[... autres cas...]
30 septembre [1954]: près de Marcilly-sur-Vienne, dans le département d'Indre-et-Loire, Georges Gatay, chef d'un chantier de construction, et sept ouvriers voient un disque au niveau du sol et un petit humanoïde portant un casque. Le disque et l'humanoïde disparaissent d'une très étrange manière2.
7 octobre [1954]: des ovnis sont observés près de Saint-Jean-d'Assé, sur la nationale 138, à La Ferté-Macé, Lavenay, Ballon, Montlevicq, Cassis, Corbigny, Puymoyen, Marcillac; vingt-huit localités au total sont touchées par le phénomène.
[... autres cas...]
Aucune source n'est donnée. Les liens dans la page renvoient sur des pages d'infomations générales sur les villes concernées.
La source "2" est notée comme "(en) UFO Vanishes in France [archive]." Un lien renvoie à la page du site UFO Casebook ([uck1])
Canular.
Jacques Vallée emploie ce cas qui est noté comme canular pour affirmer que les OVNIS ne sont pas des véhicules extraterrestres mais les illusions créés par une intelligence non spécifiée. Il argue du fait que les OVNIS ne sont pas des objets parce qu'ils peuvent se dématerialiser et qu'ils produisent des effets psychiques sur les témoins. Ici nous avons un des 5 cas seulement dans Passport to Magonia qui - cela peut aisément être réfuté - semblent appuyer une telle vue, et il semble n'être rien d'autre qu'une farce que Paris Match a rapporté comme telle à l'époque.
On pourrait cependant admettre que la notion d'un canular est elle-même douteuse, et se demander quel genre d'engin a au-dessus de son "dôme" des lames qui tournent, et un moteur capable de faire assez de bruit pour couvrir celui des excavatrices, si ce n'est un hélicoptère.
Mais en définitive, la chose importante danc cette affaire est qu'elle semble n'avoir comme source de l'information que la seule presse, et manquer de toute enquête réelle d'ufologues ayant véritablement interrogé les témoins. On pourra donc spéculer à loisir sur l'explication de l'affaire, farce, hélcioptère, engin extraterrestre, ou illusion ultradimensionelle manipulatrice, mais je crains que ces spéculations n'aient que peu d'intérêt.
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Marcilly-sur-Vienne, Indre-et-Loire, Georges Gatay, multiple, disque, occupant, humanoïde, effets, canular, invention
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
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1.3 | Patrick Gross | 3 juillet 2010 | Additions [jve7], [fbn3], [lcn1], [tie2]. |
1.4 | Patrick Gross | 11 juillet 2010 | Additions [jgu1], [gdn1]. |
1.5 | Patrick Gross | 19 octobre 2011 | Addition [tie3]. |
1.6 | Patrick Gross | 13 août 2013 | Addition [pr1]. |
1.7 | Patrick Gross | 15 novembre 2014 | Addition [nip1]. |
1.8 | Patrick Gross | 25 octobre 2016 | Additions [ucb1], [ucb2]. |
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2.0 | Patrick Gross | 20 février 2017 | Additions [jgz1]. |
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