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La vague française de 1954:

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16 octobre 1954, Maubeuge, Nord:

Référence pour ce cas: 16-oct-54-Maubeuge.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Rapports:

[Ref. lib1:] JOURNAL "LIBERTE":

Scan.

La ronde des soucoupes
évolue maintenant
dans le ciel du Bassin
de la Sambre

Des soucoupes et autres cigares volants jusqu'alors avaient semblé ignorer le ciel souvnt obscurci du Bassin de la Sambre.

Ont-ils profité de beaux jours que ce début d'automne nous a procuré? On ne saurai l'affirmer, mais plusieurs dizaines de personnes assurent à leur tour avoir vu évoluer des engins. Le récit le plus curieux nous a été fait par M. Gilbert Mozin, boucher à Louvroil, qui est connu dans toute la région.

Une soucoupe
sur la route d'Avesnes

"Je revenais d'Avesnes, samedi dernier, vers 23h., nous dit le populaire boucher quand, un peu au-delà du café tenu par M. Rina, ma femme, qui m'accompagnait, me fit remarquer que quelque chose d'anormal se déroulait au loin devant nous. C'est un accident, lui répondis-je, et je ralentis. J'allais à allure très réduite, continue M. Mozin. A une dizaine de mètres du lieu où il se passait effectivement quelque chose, mes phares baissèrent sérieusement. Au passage, ma femme et moi eûmes le temps de détailler ce quelque chose: en l'occurrence, un engin bizarre posé sur l'herbe entre le fossé et la route. Cet appareil était démuni de roues et n'avait pas de phares. A l'intérieur régnait une carté éblouissante. Devant cet engin, nous a-t-il semblé, se trouvait un homme pas très haut, mais large. Mes phares se sont rallumés normalement "Au Violon". M. Mozin précisa encore: "Dimanche dernier, accompagné d'un supporter de l'équipe de football, et de passage sur cette même route, je me suis arrêté à cet endroit. Nous avons remarqué plusieurs petits trous formant un cercle à l'intérieur duquel l'herbe était aplatie. Je crois, conclut le boucher, aux engins secrets."

Samedi, un peu partout

Une personne digne de foi, habitant rue Anatole-France, à Boussois, vit, samedi, vers 21 h., de son jardin, un engin silencieux évoluer à une vitesse très rapide et accompagné d'étincelles. Plusieurs personnes de la région, notamment de Ferrière-la-Grande, de Louvroil, virent une soucoupe, le même soir et à la même heure.

Lundi soir, à Ferrière

Lundi soir, entre 20 h. 30 et 21 h., plusieurs personnes de Ferrière furent témoins d'un spectacle rare et éblouissant pouvant s'apparenter à une phénomène atmosphérique. M. Maxime Liénard, un garde-appariteur, accompagné de deux voisins, MM. Decruck père et fils, vit, en sortant de chez lui, une grosse boule lumineuse évoluer au-dessus de la ville. Peu de temps après, plusieurs personnes passant à la Digue: M. Roneid Maufry, qui était accompagné de ses belles-soeurs, Solange et Gisèle Sauvage; de son beau-frère, Pierre Sauvage, et d'une voisine, Mme Mireille Buivestre, furent éblouis par une boule qui leur donna l'impression qu'elle éclatait, provoquant une lueur rougeâtre aperçue par d'autres personnes circulant à la même heure dans les rues de la localité.

Tout cela, évidemment, ne peut nous empêcher de penser au problème plus terre à terre qui nous assaille et qu'il nous appartient de régler pour obtenir une vie meilleure. Soucoupe ou pas soucoupe, il y a les salaires à faire augmenter et le réarmement de l'Allemagne à ne pas accepter.

[Ref. jbe1:] JEAN-MARIE BIGORNE:

Scan.

Le dessin est légendé ainsi:

7) 1,20 m (11-54) Maubeuge: Nord (livre à paraître).

[Ref. fle1:] FRANCOIS LAGARDE:

L'auteur indique que le fait s'est déroulé aux environs de Maubeuge, sur la R.N. 2 (Paris-Bruxelles), entre Avesne et Louvroil (Maubeuge), carte Michelin n° 53, pli 6, et à fait l'objet d'une enquête des ufologues Bigorne et Mathieu.

Un samedi de novembre 1954, les époux Mozin avaient visité un malade chez des parents à Dourlers. Vers minuit, ils se trouvaient sur la route du retour en direction de Maubeuge. La route était déserte, le temps sec, plutôt à la gelée et il faisait clair. Ils roulaient à bonne allure, quand M. Mozin a dit à son épouse: "Tiens, regarde les lueurs là-bas! Qu'est-ce que c'est? On dirait un accident grave!" La lueur était en haut d'une petite côte à environ 800 mètres de leur voiture.

En roulant à 120 km/h, ils ont rapidement franchi cette distance et sont arrivés au sommet de la petite côte et de là ils ont vu à 100 mètres sur le bord droit de la R.N. 2, un engin posé avec une porte ouverte, et à l'intérieur de l'engin un "bonhomme Michelin" paraissant se déplacer lentement sur le seuil de cette porte.

L'engin avait la forme d'une sorte de gros obus et reposait sur des pieds. Il avait un aspect blanc métallique, du genre tôle galvanisée, et sur les parois des lignes verticales visibles, distantes entre elles de 10 cm.

L'être était haut de 1 m. 20 environ, très gros, avec des boudins autour des bras et des jambes. Chaussé de grosses bottes, il portait un casque volumineux, presque aussi large que ses épaules, qui lui faisait une grosse tête.

La lumière aperçue provenait de la porte ouverte, et se diffusait sur la route. L'intérieur était d'un blanc intense non éblouissant. Les deux témoins y ont aperçu ce qu'ils ont supposer être des tuyaux, ou des gros câbles, qui descendaient dans l'engin, avec des sortes de poignées ou de commutateurs.

Les époux Mozin ont pu commencer leur observation une centaine de mètres avant d'arriver près de l'objet, où ils sont passés à proximité immédiate, c'est-à-dire à 4 ou 5 mètres.

Les phares de la voiture ont cessé de fonctionner dès qu'ils se sont trouvés à une centaine de mètres, au moment où les témoins ont aperçu l'objet. Le moteur ne s'est pas arrêté. Le conducteur a alors freiné, et c'est plus lentement qu'il a croisé l'engin: à 70 km/h environ. Cent mètres après, les phares se sont soudainement rallumés sans son intervention. M. Mozin a stoppé dans l'intention d'aller voir de plus près l'objet insolite, mais devant l'insistance de son épouse effrayée, il a poursuivi sa route vers Louvroil et regagna son domicile de Maubeuge.

Le lendemain, un dimanche, se rendant à Reims pour assister à un match de football avec son ami M. Houssières (décédé, [en date de parution]), il s'arrêta à l'endroit de l'atterrissage pour rechercher des traces, et prouver à son ami incrédule qu'il n'avait pas rêvé. Trois empreintes étaient visibles, et au centre du triangle qu'elles formaient se voyait un rond carbonisé de 15 à 20 cm. de diamètre dégageant une odeur indéfinissable, rappelant la benzine. Les trois traces étaient disposées sur un cercle de plus ou moins 1 m. 40 de diamètre, étaient en forme de demi-cercle, profondes de 8 à 10 cm. L'écartement des traces semblait plus petit que le diamètre de l'engin évalué à 2 mètres. L'engin était posé sur un espace étroit entre le fossé et la route.

Tous les amis de M. Mozin ont bien ri de ce qu'ils pensaient être une farce énorme, et la gendarmerie n'est pas intervenue.

Les témoins n'ont jamais oublié cette nuit-là, elle est restée gravée pour toujours dans leur mémoire. Mme Mozin a souffert d'insomnie pendant huit jours, et elle revoyait toujours "le bibendum Michelin" au pied de son lit. Chaque fois qu'elle croise une station-service affichant la réclame Michelin elle rappelle à son mari leur étrange rencontre.

Les auteurs précisent que le crédit à accorder à ce récit paraît total. Les époux Mozin sont connus dans le voisinage pour "leur gentillesse et leur bonne tenue morale et intellectuelle. Ce sont des gens simples pour qui une vache est une vache; et une S.V. une S.V. Ils jouissent d'une très bonne vue et n'ont jamais eu de maladie grave.

Seize ans après, jour pour jour, les témoins ont revécu leur aventure pour les enquêteurs, qui indiquent que leur récit a des accents de sincérité qui seraient bien difficiles à imiter. Ils redeviennent étonnés, curieux ou craintifs et, à l'opposé, de son mari, son épouse affirme qu'elle ne voudrait plus revoir cela, tellement elle en fut effrayée.

[Ref. fir1:] RADIO FRANCE INTER:

M. et Mme Mozin ont été interviewés par André Darcheville pour une émission de radio diffusée sur la radio nationale France Inter en 1974.

[Voix] - "Nous allons commencer l'approche des humanoïdes, grâce à des témoins retrouvés, qui ont bien voulu confier leur fantastique aventure an micro de France-lnter. Ainsi, M. et Mme Mozin qui racontent à l'un de nos reporters, André Darcheville, ce qu'ils ont vu en novembre 1954..."

[M. Mozin] - "Je revenais de Montournère. Arrivé à la "Belle Hôtesse", en haut de la côte, j'ai vu des lumières très vives sur le bord de la route. Pour moi, c'était un accident. J'étais à deux kilomètres environ de ces immenses lumières: j'ai donc accéléré. J'ai descendu la côte très vite, pour voir l'accident. A une centaine de mètres, soudain, mes phares s'éteignent! Je roulais à 120 km/h. C'est alors que j'ai vu le bonhomme."

[A. Darcheville] - Comment était-il?"

[M. Mozin] - "Il ressemblait au bibendum de la publicité Michelin. Un grand casque, de grands gants, des bottes, un homme moyen de taille. Sa silhouette se découpait dans une porte qui faisait à peu près un mètre quatre vingt de haut. Derrière le bonhomme j'ai vu comme des commandes, des sortes de tiges et des fils électriques. Il faut dire que tout était parfaitement éclairé, très blanc. On y voyait comme en plein jour. Je suis donc passé devant l'engin. Cinquante mètres plus loin, la lumière est revenue dans la voiture. Les phares ont à nouveau fonctionné normalement. Un peu plus loin, je me suis arrêté car je voulais faire demi-tour. A cette époque, j'avais un revolver à bord. Je me suis dit: "On verra bien." Ma femme a commencé à crier: "Non, je ne veux pas y aller!" Alors, j'ai continué. Le lendemain, je devais aller l'assister à une rencontre ne football, à Reims. J'étais président de l'U.S.M., ici à Maubeuge. Je devais m'y rendre avec un ami buraliste. Il est mort depuis, sinon il témoignerait. Avant de partir je lui dis: "Hier soir, j'ai vu une soucoupe!" Il me répond: "C'est pas vrai!" "Bon, puisque tu ne me crois pas, je vais te montrer en allant à Reims." On prend la route, et arrivé à l'endroit dans la cuvette, nous descendons. Je lui montre le sol. Effectivement, il y avait des traces. "Regarde: il y a trois pieds nus, un là et un autre là et au milieu c'est brûlé!" Mon ami n'en revenait pas. "C'est vrai, c'est moi qui ai perdu!" m'a-t-il répondu."

[A. Darcheville] - "Vous aviez fait un pari avec lui?"

[M. Mozin] - "J'avais parié une bouteille de champagne et un dîner. Et j'ai gagné."

[A. Darcheville] - "Revenons à cette fameuse nuit. L'engin que vous avez vu avait quelle forme?"

[M. Mozin] - "Cela avait la forme d'un cigare de trois mètres de diamètre. La porte dans laquelle se découpait le bonhomme faisait à peu près un mètre quatre-vingts de hauteur. Il restait un espace d'environ cinquante centimètres entre le sommet de la porte et la tête du bonhomme. Ce bonhomme, je l'ai vu marcher. Il allait sortir au moment où j'arrivais. Il marchait comme ça. Il éprouvait de la peine à se déplacer. Pour moi, les objets qu'il avait sur lui étaient très lourds."

[A. Darcheville] - "L'intérieur était fortement éclairé je crois, et vous l'avez bien vu?"

[M. Mozin] - "L'intérieur était éclairé avec une force exceptionnelle. Blanc, très blanc, comme les chaises là-bas."

[A. Darcheville] - "Pendant combien de temps l'avez-vous vu?"

[M. Mozin] - "Ça s'est passé très vite, environ cinquante secondes."

[A. Darcheville] - "Mme Mozin, quelle impression avez-vous retirée?"

[Mme Mozin] - "J'ai eu peur! Tout ce que je puis dire, c'est que j'ai eu peur! Au début, j'ai cru à un accident, un terrible accident tellement les lumières étaient fortes. Mais quand j'ai vu le bonhomme, j'ai eu peur! Je n'en ai pas dormi!"

[A. Darcheville] - "Et c'est vous qui avez vu le bonhomme avec le maximum de détails puisque vous étiez du côté droit de la voiture, c'est-à-dire de l'OVNI?"

[Mme Mozin] - "Oh! oui je l'ai bien vu. Je le vois encore en fermant les yeux!"

[A. Darcheville] - "Mais, au début de votre vision, lorsque vous vous êtes rendu compte qu'il ne s'agissait pas d'un accident, à quoi avez-vous pensé?"

[Mme Mozin] - "J'ai pensé à une soucoupe volante! On en parlait à l'époque. Un garde-barrière de la S.N.C.F. avait vu atterrir une soucoupe sur une voie de chemin de fer [Voir Quarouble 10 sept.]. J'ai donc pensé à une soucoupe."

[A. Darcheville] - Pourquoi n'avez-vous pas voulu que votre mari fasse demi-tour?"

[Mme Mozin] - "Oh! non, je n'ai pas voulu! Je ne savais pas ce qui allait se passer. Surtout que les lumières de la voiture s'étaient brusquement éteintes! Après, quand les lumières de la voiture sont revenues, j'ai dit: "Non, non! Pas question de faire demi-tour!"

[A. Darcheville] - M. Mozin, votre moteur s'est remis à tourner à quel moment?"

[M. Mozin] - "- Il ne s'est jamais arrêté de tourner!"

[Mme Mozin] - "- Non, seuls les phares se sont éteints."

[A. Darcheville] - Pendant combien de temps?"

[M. Mozin] - "C'est difficile à dire. Pendant soixante-dix à quatre-vingts mètres. J'avais une nouvelle Aronde. Elle roulait vite!"

[A. Darcheville] - Sans vos phares, l'éclairage était suffisant?"

[M. Mozin] - "Oh! Bien plus fort que si j'avais eu mes phares!"

[A. Darcheville] - Etiez-vous seuls sur la route? Pas d'autres voitures?"

[M. Mozin] - "Non. J'étais seul à ce moment-là. A minuit, il n'y avait pas beaucoup de voitures qui roulaient, surtout à cette époque, où il y avait beaucoup moins d'autos que maintenant. C'était il y a vingt ans! Mais on aurait aimé rencontrer un autre véhicule, croyez-moi!"

[A. Darcheville] - Que faisiez-vous, à l'époque, M. Mozin?"

[M. Mozin] - "J'étais boucher."

[A. Darcheville] - Que faisiez-vous si tard sur une route déserte?"

[M. Mozin] - J'étais allé rendre visite à une parente qui venait d'accoucher. Nous étions partis de Maubeuge après mon travail, vers 10 heures du soir. Nous sommes revenus vers 11 heures et demie, minuit. C'est au retour que nous avons vu la "chose"."

[Ref. nos1:] MAGAZINE "NOSTRA":

[... Autres cas ...]

C'est un être petit et gros que les époux Mozin virent à l'intérieur d'un obus gigantesque, en novembre 1954. "- Il ressemblait au bonhomme Michelin", devaient-ils préciser.

[... Autres cas ...]

Crédit: Les articles de Nostra magazine de 1974 ont été scannés et publiés sur le net par l'ufologue Patrice Seray en 2011.

[Ref. ufa1:] BULLETIN D'UFOLOGIE "UFOLOGIA":

Scan.

? novembre 1954 MONTOURNERE

Monsieur et Madame MOZIN, en voiture, descendent une côte et voient des lumières très vives sur le bord de la chaussée; à une centaine de mètres, les phares s'éteignent. Les témoins précités aperçoivent une silhouette bizarre se découpant devant une "porte" qui faisait env. 1,80 m de haut. Cinqüante mètres plus loin, au-delà du lieu de l'incident, les phares fonctionnent à nouveau normalement...

(réf. JC. BOURRET "La nouvelle vague de soucoupes volantes")

[Ref. agd1:] ALAIN GAMARD:

Scan.

N° de cas Date Heure Localisation Département Nom témoin(s)
069 11/1954 23.30 Maubeuge. 59 Mozin (+).

[Ref. hjn1:] HENRI JULIEN:

L'auteur indique qu'il y a des cas avec "Bibendum", l'exacte réplique du personnage qui symbolisait une marque de pneumatiques, vu notamment le 18 octobre 1954 à Fontenay-Torcy (Oise) et en novembre 1954 entre Avesne et Louvroie (Maubeuge). Cet humanoïde a des boudins autour des bras. Il est petit (moins d'un mètre), massif, porte un casque aussi large que ses épaules. Il a été observé à une distance de quatre mètres.

[Ref. tbw1:] TED BLOECHER ET DAVID WEBB:

Scan.

Addenda 1954

Novembre 1954 2400 Maubeuge (Nord), France Type A

M. & Mme. Mozin se rendaient à Maubeuge en voiture lorsqu'ils ont vu une lumière sur la route devant eux. En s'approchant, ils ont vu qu'elle venait de l'intérieur d'un objet en forme de gros obus [ou coquille]. Cet objet mesurait environ 6 pieds de diamètre et 7,5 pieds de haut, et reposait sur 3 pattes de 1 pied. Il était d'une couleur métallique blanchâtre. Une large ouverture y béait du côté de la route; à l'intérieur, on pouvait voir des câbles épais et un être très trapu en combinaison spatiale mesurant environ 4 pieds de haut, apparemment sur le point de sortir. Il était enfermé dans des "rouleaux" comme "l'homme des pneus Michelin" et portait des bottes & un casque très large. (La source a un croquis.) Son visage n'a pas été vu. Les Mozin sont passés à moins de 15 pieds de l'objet. Les phares de la voiture se sont éteints lorsqu'elle s'est approchée à moins de 300 pieds de l'objet, et se sont rallumés à 300 pieds après lui.

Le lendemain, sur le site, M. Mozin a trouvé une tache carbonisée de 8" "donnant une odeur rappelant la benzine" et entourée de 3 empreintes de 4" de profondeur, sur un cercle d'environ 4,5 pieds de diamètre.

Enquêteurs : MM. Bigorne & Mathieu.

Source: Fernand Legarde, Mystérieuses Soucoupes Volantes (Albatros, 1973), pp. 110-122.

[Ref. fru1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:

Les deux auteurs indiquent qu'à une date inconnue de novembre 1954, à minuit au lieu-dit "Belle Hôtesse", près de Beaufort, M. et Mme Mozin revenaient de visiter un malade chez des parents à Dourlers et circulaient sur la N2 en direction de Maubeuge. La route est déserte, et M. Mozin a dit à son épouse: "Tiens regarde les lueurs là-bas! on dirait un accident grave."

Roulant à 120 km/h, ils ont rapidement franchi la distance qui les séparait de l'engin posé entre la route et le fossé. L'engin était un objet cylindrique terminé par un cône de faible hauteur d'un diamètre qui devait être de deux mètres environ, et d'une hauteur de 2 m 30 à 2 m 40. Il reposait sur trois pieds de 30 cm de haut et comportait une ouverture béante en son centre. Sa couleur était blanc métallisé. Ils ont observé un être de 1 m 20 à 1 m 40, genre bibendum Michelin, et portant un casque, qui était visible, se dessinant dans l'ouverture. L'intérieur était lumineux et cette lumière se diffusait sur la route.

Ils ont aperçu ce qu'ils supposent être des conduits ou de gros câbles qui descendaient dans l'appareil avec des sortes de poignées ou de commutateurs.

Les phares de leur voiture, une Simca Aronde, ont cessé de fonctionner à 100 mètres de l'objet. Le moteur ne s'est pas arrêté.

Le conducteur a freiné près de l'engin et c'est assez lentement, à 70 km/h environ, qu'ils l'observent. Les phares se sont rallumés sans intervention après. M. Mozin s'est arrêté dans l'intention d'aller voir l'objet insolite de plus près, mais devant l'insistance de son épouse il a poursuivi sa route vers son domicile à Maubeuge.

Les auteurs notent que J.-C. Bourret cite dans le reportage d'André Darcheville que les témoins seraient revenus de Montournère mais en fait ils revenaient de Mont-Dourlers.

Les auteurs citent le livre de François Lagarde et celui de Jean-Claude Bourret comme sources.

[Ref. jsx1:] JACQUES SCORNAUX:

L'auteur sceptique suggère que l'humanoïde au scaphandre boudiné est une spécialité française inspirée par le bonhomme Michelin.

[Ref. gni1:] GNEOVNI:

Scan.

Novembre 1954 - MAUBEUGE type I

Les époux Mozin revenaient en voiture chez eux, vers minuit. Apercevant au loin une lueur Mr Mozin pense à un accident. Arrivés au sommet d'une petite côte, ils découvrent à 100 métres de la, sur le bord de la route un engin posé, et par une sorte de porte ils apercoivent à l'intérieur un "bonhomme Michelin" paraisant se déplacer lentement sur le seuil de cette porte. L'engin en forme d'obus reposait sur des pieds et avait un aspect métallique blanc avec des lignes verticales visibles sur les parois. L'être, haut d'environ 1 m 20, ressemblait au "bibendum" il était très gros, avait de grosses bottes et portait un casque volumineux. La lumière à l'intérieur était d'un blanc intense non éblouissant. Arrivé à 4 ou 5 mètres de l'engin les phares de la voiture se sont éteints; le moteur ne s'est pas arrêté. Les phares se sont rallumés une centaine de mètres après avoir dépassé l'engin.

Le lendemain de retour sur les lieux avec un ami Mr Mozin a trouvé 3 empreintes et au centre du triangle qu'elles formaient se voyait un rond carbonisé de 15 à 20 centimètres dégageant une odeur indéfinissable.

(Mystérieuses S.V. - LDLN page 119)

[Ref. ldl1:] JEAN-MARIE BIGORNE - LDLN:

Scan.

Beaufort - Nord -

Les enquêteurs téléphoniques:

16 octobre 1954

Une affirmation erronée court et s'imprime, concernant le cas cité en titre. Ce dernier serait "bidon" et à sortir de la vague de 1954, comme tous ses frères! Objection! L'erreur change de camp!

Cette observation de M. et Mme Mozin, d'un humanoïde dans un objet inconnu, et la découverte de traces au sol le lendemain, restent solides...

Deux contre-enquêteurs, qui ont la réputation d'être téléphoniques, ont interrogé à tort un journaliste, le prenant pour l'enquêteur qui avait observé avec moi en 1970. Fatale erreur, ils eurent une simple opinion négative, mais purement gratuite, qu'ils transformèrent en certitude. J'étais le principal intéressé, voyant les témoins de très près depuis 10 ans, pour trouver une éventuelle faille: ils omirent de me consulter. J'aurais pourtant facilité leur travail de contre enquête en les amenant sur les lieux et chez les témoins...

On ne passe pas de contrat par téléphone, de même on ne contre-enquête pas téléphoniquement, on se rend sur place, et on tente ainsi de travailler objectivement. Cela n'a pas été fait pour Beaufort. Etant sur place, je peux en témoigner; j'ai à disposition, les témoins, mon ami enquêteur de l'époque, le journaliste interrogé, il ne reste qu'à traduire les "contre-enquêteurs" pour reconstituer l'erreur judiciaire!

N'importe qui peut manier l'erreur et le mensonge.

Ici la conclusion est simple: enquêtez sur place, vous éviterez de vous complaire dans des conclusions préfabriquées, à moins que celà vous arrange! Où est alors l'objectivité?

Beaufort, 16 octobre 1954, reste non identifié à ce jour.

J.M. BIGORNE

(Nota : Texte de l'enquête sur le terrain dans "Mystérieuses Soucoupes Volantes". Editions Albatros, 1973, p 119 à 122).

[Légende photo:] M. MOZIN l'un des témoins principaux de l'atterrissage avec humanoïde de Beaufort (Nord) le 16 octobre 1954, Photo prise en mai 1979 lors d'une nouvelle contre-enquéte de M. BIGORNE.

[Ref. jbe2:] JEAN-MARIE BIGORNE:

Cet ufologue de terrain mènera l'enquête peu après les faits, et ira revoir les témoins 16 ans plus tard pour s'assurer de ce que leur récit n'ait pas changé. Il n'avait pas changé. Il a publié un rapport sur le cas dans la revue ufologique française "Lumières Dans La Nuit." Son rapport donne les informations ci-dessous.

Entre Avesne et Louvroil, aux environs de Maubeuge sur la Route Nationale 2 qui joint Paris à Bruxelles, le 16 octobre 1954, vers minuit, M. et Mme Mozin revenaient en voiture d'une visite chez des parents à Dourlers. La route était vide, le temps était proche de la gelée et sec, le ciel était clair, ils roulent à 120 km/h.

M. Mozin attire l'attention de son épouse sur des lueurs dans la campagne, en haut d'une petite côte, à une distance qu'ils ont estimée à 800 mètres d'eux. M. Mozin indique à son épouse qu'il pense qu'il y a eu un accident.

La distance est rapidement franchie par la voiture et quand ils sont au sommet de la côte, ils découvrent à 100 mètres d'eux sur le côté droit de la route un engin posé au sol, qui a une forme cylindrique faisant dans les deux mètres de diamètre avec un cône de faible hauteur au sommet.

Les témoins en voiture ont pu voir cela quand leur voiture était encore à une centaine de mètres de l'objet, et à ce moment, les phares de la voiture se sont éteints spontanément tandis que le moteur à continué à fonctionner normalement. M. Mozin a toutefois freiné à ce moment et la vitesse de la voiture est ramenée à 70 km/h. En continuant à rouler, ils sont arrivés à quelques quatre ou cinq mètres de l'objet.

De cette distance, ils peuvent voir que l'objet repose sur des pieds. Les pieds semblent avoir une trentaine de centimètres de haut. Il a un aspect blanc comme de la tôle galvanisée et des lignes verticales espacées de 10 centimètres sur sa paroi.

L'engin a une large ouverture, et dans l'encadrure de cette ouverture, qui semble dépourvue de porte, une silhouette qui paraît se déplacer lentement et qui évoquera pour eux la silhouette bien connue du "bonhomme Michelin." Cet être leur semble haut de un mètre vingt, très gros, large de 0m90 à 1 mètre, avec des boudins autour des bras et des jambes, chaussé de grosses bottes et portant un casque volumineux presque aussi large que ses épaules. Son visage n'est pas apparent. Il semble se déplacer légèrement et très lentement, comme pour se préparer à sortir, en traînant ses pieds qui paraissent chaussée de lourdes bottes. Ses mains ne sont pas distinguées.

La luminosité de l'ouverture se diffuse jusque sur la route, l'intérieur de l'engin semble d'un blanc intense non éblouissant. Des sortes de conduits ou de gros câbles descendent dans l'engin en son intérieur et des sortes de poignées ou commutateurs sont vus.

Quand la voiture a dépassé l'objet d'une centaine de mètres, ses phares se rallument spontanément. M. Mozin arrête alors la voiture, décidé à aller voir l'objet de près à pied, mais son épouse apeurée l'en dissuade et ils reprennent la route et gagnent leur domicile à Maubeuge. Ils n'assistent donc pas au départ de l'engin.

Le lendemain, M. Mozin, tout en se rendant à Reims pour assister à un match de football avec son ami M. Houssière, s'arrête à l'endroit où il a vu l'objet la veille pour vérifier s'il y a des traces, espérant prouver à son ami qu'il n'a pas rêvé. Dans un espace étroit entre un fossé de un mètre de large et 50 centimètres de profondeur et la route, trois empreintes en demi cercle et profondes de 8 à 10 centimètres étaient visibles avec au centre du cercle imaginaire de environ un mètre quarante formé par ces trois empreintes, un rond carbonisé de 20 centimètres de diamètre dégageant une odeur que le témoin a rapproché de celle du benzène. La voiture a du nécessairement passer à entre trois et cinq mètres de l'objet.

La gendarmerie n'a pas effectué d'enquête et les amis de M. Mozin se sont moqués de lui, estimant que c'était une farce, mais les témoins n'ont jamais oublié l'incident. Mme Mozin a souffert d'insomnie pendant huit jours et imaginait le "bibendum" Michelin au pied de son lit la nuit.

J.M. Bigorne a revu les témoins 16 ans après les faits. Il note que les témoins avaient tout deux une bonne vue, ne souffraient d'aucune maladie et étaient favorablement connus dans leur voisinage pour leur gentillesse et bonne moralité. M. Mozin reste très maître de lui à propos de cet événement, tandis que Mme Mozin ne voudrait pour rien au monde revivre cette expérience.

Illustration dans "Lumières dans la Nuit."

LDLN

Le "Bonhomme Michelin", Bibendum, personnage publicitaire emblématique de cette marque de pneu.

[Ref. jbe3:] "LUMIERES DANS LA NUIT" - JEAN-MARIE BIGORNE:

Parce que les deux debunkers Gerard Barthel et Jacques Brucker avaient diffusé que "le cas était bidon" d'après un journaliste qu'ils avaient interrogé, Jean-Marie Bigorne qui avait été le premier enquêteur a publié une ferme mise au point dans le magazine d'ufologie Lumières Dans La Nuit.

Il indique que Barthel et Brucker avaient pris à tort ce journaliste pour l'enquêteur qui l'avait accompagné en 1970 lors de la première enquête auprès des témoins. Le journaliste avait simplement donné une opinion négative, mais purement gratuite, que Barthel et Brucker ont transformé en certitude.

Jean-Marie Bigorne rappelle qu'il était le principal intéressé, qu'il a vu les témoins de très près depuis 10 ans, pour trouver une éventuelle faille, et que Barthel et Brucker ne l'ont même pas consulté, alors qu'il aurait facilité leur travail de contre-enquête en les amenant sur les lieux et auprès des témoins.

Jean Marie Bigorne met en cause la pertinence de leurs enquêtes par téléphone, leur reproche de ne pas s'être rendus sur place, de n'avoir pas rencontré les témoins et de ne pas avoir travaillé objectivement. Pour lui, le cas reste non identifié à ce jour.

[Ref. ldl2:] MAGAZINE D'UFOLOGIE "LUMIERES DANS LA NUIT":

Scan.

5. Beaufort (Nord), le 16 octobre 1954. Version B&B [bbr1]: ... nous avons fait des recherches approfondies .. l'avis d'un enquêteur comme à Beaufort ... il n'y avait rien de sérieux. (p. 100). Version LDLN B&B ont interrogé un journaliste homonyme de l'enquêteur principal de l'époque; celui-ci, qui ne croit pas aux OVNI (c'est bien son droit) et qui ne connaît rien sur le cas de Beaufort, leur a exprimé son scepticisme sur le sujet. Ils n'ont ni interrogé M. Mozin, toujours vivant à l'époque, et qui confirma son observation, ni l'enquêteur J.M. Bigorne, qui lui, prit la peine de rencontrer le témoin. (LDLN 191 Janvier 1980).

M. Mozin, photographié par Jean-Marie Bigorne en mai 1979. Il confirme! Mais ce n'est pas auprès de lui que B&B se sont renseignés, c'est auprès de quelqu'un qui ne connaissait rien à l'affaire!

[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:

Jean Sider indique que la contre-enquête de Barthel et Brucker sur le cas de RR3 de Beaufort, dans le Nord est "imaginaire."

Il indique que le samedi 16 octobre 1954 vers minuit les époux Mozin roulaient en voiture sur la Route Nationale 2 quand leur attention a été attirée par une lueur qui s'est avérée émise par un engin posé sur le bord droit de la route. Il avait une porte ouverte laissant voir un être de type "bonhomme Michelin".

Ils notent qu'en page 100 de leur livre, Barthel et Brucker écrivent qu'ils répètent avoir fait des recherches approfondies pour chaque cas où c'était possible et que toujours, quelque chose est venu troubler leur "conviction" [ils se disent initialement "convaincus"], et que pour le cas de Beaufort c'est "l'avis d'un enquêteur" qui les a convaincu que le cas n'avait rien de sérieux.

Jean Sider indique que l'enquêteur en question est en fait Jean-Marie Bigorne, correspondant du magazine Lumières Dans La Nuit, inspecteur des douanes, et enquêteur "chevronné bien connu pour sa droiture d'esprit". Sider assure que Barthel et Brucker l'ont confondu avec un journaliste ami de Bigorne, qui leur a seulement livré une impression personnelle négative et gratuite que Barthel et Brucker ont "transformé en vérité première", en "preuve irréfutable du manque de crédibilité de l'incident."

Jean Sider estime que Barthel et Brucker n'ont même pas cherché à rencontrer ou à parler par téléphone à Mr. Mozin alors qu'il était encore en vie en 1979. Il ajoute que Jean-Marie Bigorme au contraire l'a rencontré et s'est fait confirmer tous les détails du cas, et qu'une photo de Mr. Mozin ainsi qu'une mise au point est parue dans LDLN N.191 en page 34.

Plus loin dans son livre, il écrit:

72 - 16 octobre, vers minuit, près de Beaufort, Maubeuge.

Epoux Mozin.

Le couple rentre à son domicile en empruntant la RN2, vers Maubeuge. Soudain, Mr. Mozin attire l'attention de son épouse sur des lueurs visibles à 800m en bordure de route, suggérant qu'un accident s'est produit. En se rapprochant, les époux voient qu'il s'agit de tout autre chose: une sorte d'énorme obus reposant sur des pieds, d'un blanc métallique, se tient sur le côté droit de la chaussée. Environ à une centaine de mètres de l"'obus", les phares de la voiture s'éteignent, mais le moteur continue de tourner, ce qui permet à Mr. Mozin de poursuivre son trajet et de passer à quatre ou cinq mètres de la chose avant de la dépasser. En arrivant à la hauteur de l"'obus", Mr. Mozin a noté qu'une ouverture, comme une porte, béait dans l'objet, laissant voir un étrange personnage ressemblant à un bonhomme Michelin. Cent mètres après avoir dépassé l'engin, les phares se sont rallumés tout seuls. Mr. Mozin voulut s'arrêter un moment pour voir le spectacle de plus près, mais la frayeur manifestée par son épouse l'en dissuada. Le lendemain, le témoin revint sur place et découvrit trois trous en triangle au centre duquel se trouvait un rond carbonisé de quinze à vingt centimètres de diamètre.

Source: Mystérieuses soucoupes volantes, Fernand Lagarde, éditions Albatros, Paris 1973, p. 119-122. Voir D.O. 4 à 7.

Nota: Cas réhabilité chapitre 1 n°4, à la suite des inepties de Barthel & Brucker. Un autre bonhomme Michelin a été décrit en juin 1970 à propos d'un incident s'étant déroulé en mai 1955 à Dinan. De plus, le 31 juillet 1968, un troisième "bibendum" était vu par Luce Fontaine dans la plaine des Caffres, sur le haut pla¬teau de l'île de la Réunion. Une description fournie deux fois, donc, avant la publication de l'affaire de Beaufort.

Les enquêteurs de l'affaire de Beaufort sont MM. Mathieu et Jean-Marie Bigorne, ce dernier étant un chercheur reconnu pour son grand sérieux qui collabore à la revue LDLN depuis bon nombre d'années.

[Ref. goe1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:

1954, novembre

FRANCE, Belle Hôtesse près de Beaufort.

Les époux Mozin se trouvaient vers minuit sur la route du retour vers Maubeuge. Au loin il y avait des lueurs en haut d'une petite côte: ils croyaient qu'il y avait eu un accident. Ils franchissent rapidement la distance qui les sépare de cette lumière et ils découvrent, posé à 100 m de là, sur le bord de la R.N.2, un engin, porte ouverte, et à l'intérieur un "bonhomme Michelin" paraissant se déplacer lentement sur le seuil. L'engin, une sorte de gros obus, reposait sur des pieds, était de couleur blanchâtre métallique comme de la tôle galvanisée et sur les parois des lignes verticales distantes de 10 cm. L'être, haut de 1 m 20 environ ressemblait au bibendum Michelin: il était très gros, avec des boudins autour des bras et des jambes. Chaussé de grosses bottes, il portait un volumineux casque presque aussi large que ses épaules, qui lui faisait une grosse tête. La lumière provenait de la porte ouverte et se diffusait sur la route. L'intérieur était d'un blanc non éblouissant. Les témoins y aperçurent des conduits ou des gros câbles qui descendaient dans l'engin avec des sortes de poignées ou commutateurs. Ils ont commencé leur observation depuis une distance de 100 m et sont passés à proximité immédiate, soit à 4 ou 5 m. Les phares de la voiture ont cessé de fonctionner dès qu'ils se sont trouvés à une centaine de mètres, le moteur ne s'est pas arrêté. Le conducteur à légèrement freiné mais n'a pas arrêté. Quand ils eurent dépassé la chose d'une centaine de mètres, les phares se sont rallumés sans l'intervention du conducteur. (L.D.L.N. "Mystérieuses Soucoupes Volantes" - ALBATROS-ETAPES 1973 - p. 119 à 122)

[Ref. lhh1:] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":

4166: 1954/10/16 23:40 3 3:58:20 E 50:14:00 N 3333 WEU FRN NRD 8:7

pr BEAUFORT,FR:2/VOITURE:BALLE DE FUSIL-OVNI ^/3 JAMBES/FOSSE:ECLAIRE:PERS.SORTIES:/r30p206

RefN°194 LUMIERES dans la NUIT.(LDLN France) Numéro No. 191 : PATURAGE

[Ref. ars1:] ALBERT ROSALES:

213.

Lieu. Maubeuge Nord France

Date: Novembre 1954

Heure: 2400

M. et Mme Mozin voyageaient vers Maubeuge en voiture quand ils ont vu une lumière sur la route devant eux. Pendant qu'ils s'approchaient, ils ont vu qu'elle provenait de l'intérieur d'un objet en forme d'obus épais. Cet objet avait environ 6 pieds de diamètre et de 7,5 pieds de haut, et reposait sur 3 jambes de 1 pied. Cela avait une couleur métallique blanchâtre. Une ouverture large baillait sur lui sur le côté faisant face à la route; dans laquelle ont pu être vus des câbles épais et un être d'environ 4 pieds de haut avec une tenue boudinée, qui semblait se préparer à fair un pas dehors. Il a été emballé dans des "boudins" comme "l'homme des pneu Michelin" et portait des bottes et un casque très large. Son visage n'a pas été vu. Les Mozin sont passés à moins de 15 pieds de l'objet. Les phares de la voiture se sont éteints quand ils sont arrivés à 300 pieds de l'objet, et se sont rallumés de nouveau 300 pieds après lui. Le jour suivant, M. Mozin a trouvé une zone carbonisée de huit pouces "dégageant une odeur rappelant le benzène"; entouré par 3 profondes impressions de quatre pouces, sur un cercle d'un diamètre d'environ 4,5 pieds.

Humcat 1954-34

Source: Jean Marie Bigorne & Fernand Legarde

Type: A

[Ref. tps1:] TED PHILLIPS:

11/00/54 2400 France, Maubeuge Nord: M. & Mme Mozin, voyageant en voiture, ont vu une lumière sur la route en avant. Pendant qu'ils s'approchaient, ils ont vu qu'elle venait de l'intérieur d'un objet comme un obus épais qui avait 6 pieds de diamètre et 8 pieds de haut sur 3 jambes.

Il était blanchâtre-métallique, avec une ouverture sur le côté faisant face à la route. A l'intérieur il y avait des câbles épais et un être de 4 pieds. Les témoins sont passés à moins de 15 pieds de l'objet. Les phares de la voiture se sont étaints et se sont rallumés pendant qu'ils le passaient.

Ils ont trouvé une tache carbonisée de 8 pouces dégageant une odeur comme le benzène et entourée par 3 marques de 4 pouces de profondeur sur un cercle de 4,5 pieds de diamètre.

[Ref. jdt1:] JEAN-PIERRE D'HONDT:

16 novembre 1954 Beaufort 59

Le fait s'est déroulé aux environs de Maubeuge sur la R.N. 2 (Paris-Bruxelles), entre Avesnes (59) et Louvroil (59), carte Michelin n° 53, pli 6.

Les époux Mozin s'étaient rendus, ce samedi 16 novembre 1954, visiter un malade chez des parents à Dourlcrs (59). Vers minuit, ils se trouvaient sur la route du retour en direction de Maubeuge. La route était déserte, le temps sec, plutôt à la gelée. Il faisait clair. I1s franchissaient allègrement les kilomètres, quand Mr Mozin dit à son épouse: "Tiens, regarde les lueurs là-bas! Qu'est-ce que c'est? On dirait" un accident grave!" Ils apercevaient cette lueur en haut d'une petite côte, à environ 800 mètres de leur voiture.

Roulant à 120 km./heure, ils franchissent rapidement la distance et arrivés au sommet. de la petite côte, ils découvrent à 100 mètres de là, sur le bord droit de la R.N. 2. un engin posé, une porte ouverte et à l'intérieur de l'engin un "bonhomme Michelin" paraissant se déplacer lentement sur le seuil de la porte.

L'engin, une sorte de gros obus, qui reposait sur des pieds, avait un aspect blanc métallique, du genre tôle galvanisée et sur les parois des lignes verticales visibles, distantes entre elles de 10 cm.. L'être haut de 1 m. 20 environ, ressemblait au "bibendum Michelin".. Il était très gros, avec des boudins autour des bras et des jambes. Chaussé de grosses bottes. il portait un casque volumineux, presque aussi large que ses épaules, qui lui faisait une grosse tête..

La lumière aperçue provenait de la porte ouverte, et se diffusait sur la route. L 'intérieur était d'un blanc intense non éblouissant. Les deux témoins y aperçurent ce qu'ils supposèrent être des.conduits, où des gros cab1es qui descendaient dans l'engin avec des sortes de poignées ou de commutateurs.

Les époux Mozin ont pu commencer leur observation une centaine de mètres avant d'arriver près de l'objet, où ils sont passés à proximité immédiate, c'est-à-dire à 4 ou 5 mètres.

Les phares de la voiture ont cessé de fonctionner dès qu'ils se sont trouvés à une centaine de mètres, au moment où les témoins ont aperçu l'objet. Le moteur lui ne s'est pas arrêté.

Le conducteur a alors freiné, et c'est plus lentement qu'il a croisé 1'engin: à 70 km./h. environ. Cent mètres après, les phares se sont soudainement rallumés sans son intervention. M. Mozin stoppa avec l'intention d'aller voir de plus près l'objet insolite. Devant l'insistance de son épouse apeurée, il poursuivit sa route vers Louvroil et regagna son domicile maubeugeois.

Le lendemain, un dimanche, se rendant à Reims pour assister à un match de football avec son ami M. Houssières ( décédé), il s'arrêta à l'endroit de l'atterrissage pour rechercher des traces, et prouver à son ami incrédule qu'il n'avait pas rêvé. Trois empreintes étaient visibles, et au centre du triangle qu'elles formaient se voyait un rond carbonisé de 15 à 20 cm. de diamètre dégageant une odeur indéfinissable, rappelant la benzine. Les trois traces, disposées sur un cercle de plus ou moins 1 m. 40 de diamètre, étaient en forme de demi-cercle, profondes de 8 à 10 cm. L'écartement des traces semblait plus petit que le diamètre de l'engin évalué à 2 mètres. L'engin était posé sur un espace étroit entre le fossé et la route.

Tous les amis de M. Mozin ont bien ri de ce qu'ils pensaient être une farce énorme et la gendarmerie n'est pas intervenue.

Les témoins. n'ont jamais oublié cette nuit-là, elle est restée gravée pour toujours dans leur mémoire. Mme Mozin "a souffert d'insomnie pendant huit jours et elle revoyait toujours "le biben­dum Michelin" au pied de son lit. Chaque fois qu'elle croise une station-service affichant la réclame Michelin elle rappelle à son mari leur étrange rencontre.

Le crédit à accorder à ce récit paraît total. Les époux Mozin sont connus dans le voisinage pour leur gentillesse et leur bonne tenue morale et intellectuelle. Ce sont des gens simples pour qui une vache est une vache et une s. v. une s. v. Ils jouissent d'une très bonne vue et n'ont jamais eu de maladie grave.

Seize ans après, jour pour jour, les témoins ont revécu pour nous, leur aventure. Leur récit a des accents de sincérité qui seraient bien difficiles à imiter. Ils redeviennent étonnés, curieux ou craintifs et à l'opposé de son mari, son épouse affirme qu'elle ne voudrait plus revoir cela, tellement elle en fut effrayée.

Quelques compléments à l'enquête.

L'engin était sur le bord de la route, entre la route et le fossé de 1 mètre de large et de 50 cm de profondeur. La voiture en est passé entre 3 et 5 mètres.

Sa forme était cylindrique terminée par un cône de faible hauteur. Son diamètre devait être de 2 mètres environ. et sa hauteur cône compris de 2 m. 30 à 2 m. 40. Il paraissait y avoir des ondu­lations ou des nervures verticales distantes d'environ 10 cm. entre elles. Il comportait semble-t-il une ouverture béante, presque aussi grande que l'objet, mais aucune porte n'a été remarquée seulement l'ouverture.

Il ne reposait en apparence que sur deux pieds (il y en avait trois qui en réalité furent observés grâce aux traces relevées). Les traces ont été comparées à celles de pieds de baignoire.

La hauteur des pieds entre le sol et l'engin a été évaluée à 30 cm. La taille de l'occupant devait se situer entre 1 m. 20 et 1 m. 40. Il paraissait très large entre 0 m. 90 et 1 mètre. Les bras étaient collés au corps et au ras du bord de l'ouverture. Grosses bottes pieds larges, aucun souvenir des mains. Gros casque presque aussi large que les épaules, visage non apparent. Il paraissait se déplacer très lentement, en traînant les pieds gêné pour se mouvoir, comme s'il voulait sortir.

Les témoins n'ont pas assisté au départ de l'engin.

L'engin se situait à quelques mètres près à proximité d'un point géodésique indiqué sur une carte d'Etat-Major anglaise de 1918 au 1/40.000 sous la dénomination de "conspicuous point trigono­métrical". L'endroit était désert à l'époque et au croisement de deux routes.

Référence: Enquête de MM. BIGORNE et MATHIEU L.D.L.N.
Livre: "Mystérieuses soucoupes volantes" par LDLN éditions Albatros 1973

[Ref. jbu1:] JEROME BEAU:

Samedi 16 octobre 1954

24:00 Entre Avesne et Louvroil, aux environs de Maubeuge (Nord) sur la Route Nationale 2 qui joint Paris à Bruxelles, M. et Mme Mozin reviennent en voiture d'une visite chez des parents à Dourlers. La route est vide, le temps est proche du gel et sec, le ciel était clair, ils roulent à 120 km/h. M. Mozin attire l'attention de son épouse sur des lueurs dans la campagne, en haut d'une petite côte, à une distance qu'ils ont estimée à 800 m d'eux, et dit qu'il pense qu'il y a eu un accident. La distance est rapidement franchie par la voiture et quand ils sont au sommet de la côte, ils découvrent à 100 m d'eux sur le côté droit de la route un engin posé au sol, qui a une forme cylindrique faisant dans les 2 m de diamètre avec un cône de faible hauteur au sommet. A ce moment, les phares de la voiture se sont éteints spontanément tandis que le moteur à continué à fonctionner normalement. M. Mozin a toutefois freiné à ce moment et la vitesse de la voiture est ramenée à 70 km/h. En continuant à rouler, ils sont arrivés à quelques 4 ou 5 m de l'objet. De cette distance, ils peuvent voir que l'objet repose sur des pieds. Les pieds semblent avoir 30 cm de haut environ. Il a un aspect blanc comme de la tôle galvanisée et des lignes verticales espacées de 10 cm sur sa paroi. L'engin a une large ouverture, et dans l'encadrement de cette ouverture, qui semble dépourvue de porte, une silhouette qui paraît se déplacer lentement et qui évoquera pour eux la silhouette du bonhomme Michelin. Cet être leur semble haut de 1,20 m, très gros, large de 0,90 m à 1 m, avec des boudins autour des bras et des jambes, chaussé de grosses bottes et portant un casque volumineux presque aussi large que ses épaules. Son visage n'est pas apparent. Il semble se déplacer légèrement et très lentement, comme pour se préparer à sortir, en traînant ses pieds qui paraissent chaussée de lourdes bottes. Ses mains ne sont pas distinguées. La luminosité de l'ouverture se diffuse jusque sur la route, l'intérieur de l'engin semble d'un blanc intense non éblouissant. Des sortes de conduits ou de gros câbles descendent dans l'engin en son intérieur et des sortes de poignées ou commutateurs sont vus. Quand la voiture a dépassée l'objet d'une centaine de mètres, ses phares se rallument spontanément. M. Mozin arrête alors la voiture, décidé à aller voir l'objet de près à pied, mais son épouse apeurée l'en dissuade et ils reprennent la route et gagnent leur domicile à Maubeuge. Ils n'assistent donc pas au départ de l'engin.

La source est indiquée comme "LDLN n° 191, p.34".

[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:

Luc Chastan indique que dans le Nord à Maubeuge le 16 octobre 1954 à 23:55 heures "Entre Avesne et Louvroil, aux environs de Maubeuge sur la Route Nationale 2 qui joint Paris à Bruxelles, le 16 octobre 1954, vers minuit, un couple revenaient en voiture d'une visite chez des parents à Dourlers. La route était vide, le temps était proche de la gelée et sec, le ciel était clair, ils roulent à 120 kmh. L'homme attire l'attention de son épouse sur des lueurs dans la campagne, en haut d'une petite côte, à une distance qu'ils ont estimée à 800 mètres d'eux. Le témoin indique à son épouse qu'il pense qu'il y a eu un accident."

"La distance est rapidement franchie par la voiture et quand ils sont au sommet de la côte, ils découvrent à 100 mètres d'eux sur le côté droit de la route un engin posé au sol, qui a une forme cylindrique faisant dans les deux mètres de diamètre avec un cône de faible hauteur au sommet."

"Les témoins en voiture ont pu voir cela quand leur voiture était encore à une centaine de mètres de l'objet, et à ce moment, les phares de la voiture se sont éteints spontanément tandis que le moteur a continué à fonctionner normalement. Le conducteur a toutefois freiné à ce moment et la vitesse de la voiture est ramenée à 70 kmh. En continuant à rouler, ils sont arrivés à quelques quatre ou cinq mètres de l'objet. De cette distance, ils peuvent voir que l'objet repose sur des pieds. Les pieds semblent avoir une trentaine de centimètres de haut. Il a un aspect blanc comme de la tôle galvanisée et des lignes verticales espacées de 10 centimètres sur sa paroi. L'engin a une large ouverture, et dans l'encadrement de celle-ci qui semble dépourvue de porte, une silhouette paraît se déplacer lentement et qui évoquera pour eux la silhouette du "bonhomme Michelin." Cet être leur semble haut de un mètre vingt, très gros, large de 0m90 à 1 mètre, avec des boudins autour des bras et des jambes, chaussé de grosses bottes et portant un casque volumineux presque aussi large que ses épaules. Son visage n'est pas apparent. Il semble se déplacer légèrement et très lentement, comme pour se préparer à sortir, en traînant ses pieds qui paraissent chaussée de lourdes bottes. Ses mains ne sont pas distinguées."

"La luminosité de l'ouverture se diffuse jusque sur la route, l'intérieur de l'engin semble d'un blanc intense non éblouissant. Des sortes de conduits ou de gros câbles descendent dans l'engin en son intérieur et des sortes de poignées ou commutateurs sont vus."

"Quand la voiture a dépassée l'objet d'une centaine de mètres, ses phares se rallument spontanément. Le chauffeur arrête alors la voiture, décidé à aller voir l'objet de près à pied, mais son épouse apeurée l'en dissuade et ils reprennent la route et gagnent leur domicile à Maubeuge. Ils n'assistent donc pas au départ de l'engin. Le lendemain, le témoin, tout en se rendant à Reims pour assister à un match de football avec un ami, s'arrête à l'endroit où il a vu l'objet la veille pour vérifier s'il y a des traces, espérant prouver à son ami qu'il n'a pas rêvé Dans un espace étroit entre un fossé de un mètre de large et 50 centimètres de profondeur et la route, trois empreintes en demi cercle et profondes de 8 à 10 centimètres étaient visibles avec au centre du cercle imaginaire de environ un mètre quarante formé par ces trois empreintes, un rond carbonisé de 20 centimètres de diamètre dégageant une odeur que le témoin a rapproché de celle du benzène."

La source est notée "Les OVNI vus de près par Gross Patrick ** http://ufologie.net".

[Ref. lcn2:] LUC CHASTAN:

Luc Chastan indique que dans le Nord à Beaufort en novembre 1954 à 00:00, "Un couple circule sur la N2 venant de Dourlers et allant vers Maubeuge. Un peu avant le lieu dit "Belle Hôtesse", l'homme observe une lueur, pensant à un accident. La voiture roule à 120 km/h, ils arrivent au niveau de la lueur et observent alors un objet cylindrique terminé par un cône de faible hauteur d'un diamètre estimé à 2 mètres et une hauteur de 2m30 à 2m40. Il repose sur trois pieds de 30 cm de haut. Une ouverture béante est visible en son centre. L'objet estd e couleur blanc métallisé. Au milieu de l'ouverture éclairée par une lumière provenant de l'intérieur, ils observent un être de 1m20 à 1m40 ressemblant à un bibendum Michelin et portant un casque. Des conduits ou des gos câbles sont visibles avec des sortes de poignées ou commutateurs. A cent mètres de l'objet les phares du véhicule s'arrêtent. Le conducteur freine, la voiture passe l'objet, les phares se rallument. Le conducteur s'arrête, voulant aller voir de plus prêt, mais son épouse l'en empêche, et ils reprennent leur route."

La source est notée "Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M./ Ruchon J.L. ** éd. Alain Lefeuvre 1979".

[Ref. uda1:] SITE WEB "UFODNA":

L'auteur indique que le 16 octobre 1954 à 23:40 dans Beaufort, France, "Un OVNI en forme de balle de fusil sur trois jambes a atterri dans fossé. Des lumières sont arrêtées. Personnage sort." Et: "Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. Un objet en forme de balle de fusil a été observé par deux témoins dans un pâturage pendant plus de trois minutes."

Les sources sont notées comme Vallee, Jacques, Computerized Catalog (N = 3073); Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002.

[Ref. uda2:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique qu'en novembre 1954 à 24:00 à Maubeuge, Nord, France, "M et Mme Mozin voyageaient à Maubeuge en voiture quand ils ont vu une lumière par la route en avant. Pendant qu'ils s'approchaient, ils ont vu qu'elle venait de l'intérieur d'un objet formé comme un obus épais. Cet objet était d'environ 6 pieds de diamètre et 7,5 pieds de haut, et reposait sur 3 jambes de 1 pied de long. C'était d'une couleur métallique blanchâtre. Une ouverture large a baillé dans lui sur les revêtements latéraux la route; dedans pouvaient être vu des câbles épais et un être très trapu en tenue spatiale d'environ 4 pieds de haut, apparemment prêt à faire une pas dehors. Il était emballé dans des "rouleaux" comme "l'homme de pneu Michelin" et portait des bottes et un casque très large. Son visage n'a pas été vu. Les Mozin sont passéa à moins de 15 pieds de l'objet. Les phares de la voiture se sont éteints quand ils sont arrivésà 300 pieds de l'objet, et se sont rallumés 300 pieds après lui. Le lendemain, M. Mozin a trouvé 8 "taches carbonisées" dégageant une odeur réminiscente du benzène et entouré par 3 marques de 4" de profondeur, sur un cercle d'un diamètre d'environ 4,5 pieds."

La source est un lien brisé.

[Ref. uda3:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 6 janvier 1954 à Eauforte, France, il y a eu une "Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. Un objet non identifié à courte distance et ses occupants ont été observés par deux témoins sur une route (Mozin)."

La source est notée comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports.

[Ref. djn2:] DONALD JONHSON:

Donald Johnson indique qu'en 1954, il y avait eu un rapport d'un uniforme de "bonhomme Michelin" qui se produirait dans des années suivantes.

[Ref. prn1:] PETER ROGERSON:

Novembre 1954. 0005hrs.

MAUBEUGE (NORD : FRANCE)

M. et Mme Mozin rentraient en voiture à Maubeuge de Montourners, lorsque, comme ils arrivaient à l'auberge "Belle Hotesse", ils ont vu des lumières très vives sur le bord de la route, à environ 2 km. Pensant qu'il s'agissait d'un accident, ils se précipitèrent sur les lieux à 120 km/h. Soudain, à une distance de 100 m ou plus de l'endroit, les phares de la voiture se sont éteints. Silhouetté dans une porte dans une machine en forme de cigare, de 3m de long, était un petit homme, de 1.3m de hauteur. Il était vêtu d'un très gros casque, avec de gros gants et des bottes, et un costume "Homme Michelin". L'être a marché vers eux, avec une démarche maladroite, comme celle d'un plongeur. De la porte grande de 1,8 m est venue une lumière qui éclairait la campagne. Grâce à l'ouverture ils ont vu plusieurs commandes et des câbles. Le couple a conduit rapidement loin, et à ?50m, leurs phares se sont rallumés??. L'observation n'a duré peut-être que 10 secondes.

Bourret 1977, p.81, citant Andre Darchville.

[Ref. tai1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT"

Lieu: Maubeuge Nord France

Date: novembre 1954

Heure: 2400

M & Mme Mozin se rendait à Maubeuge en voiture quand ils ont vu une lumière sur la route devant eux. En s'approchant, ils virent qu'elle venait de l'intérieur d'un objet en forme de gros obus. Cet objet avait environ 6 pi de diamètre et 7,5 pi de haut et reposait sur 3 jambes de 1 pied. Il était d'une couleur métallique blanchâtre. Une large ouverture s'ouvrait sur le côté tourné vers la route; à l'intérieur pouvaient être vus des câbles épais et un être très robuste est tenue spatiale d'environ 4 pieds de haut, apparemment sur le point de sortir. Il était engoncé dans des "rouleaux" comme le "bonhomme pneu Michelin" et portait des bottes & un casque très large. Son visage n'était pas vu. Les Mozins sont passés à 15 pieds de l'objet. Les phares de la voiture s'éteignirent quand il se sont trouvés à moins de 300 pieds de l'objet, et se rallumèrent 300 pieds après lui. Le lendemain, Mr. Mozin a trouvé une "tache carbonisée" produisant une odeur qui rappellait le benzène & entouréw de 3 empreintes de 4 " de profondeur, sur un cercle d'environ 4,5 pieds de diamètre.

Source: Jean Marie Bigorne & Fernand Legarde

[Ref. ubk1:] "UFO-DATENBANK":

Cette base de données a enregistré ce cas 5 fois:

N° de cas Nouveau N° de cas Enquêteur Date d'observation CP Lieu d'observation Pays d'observation Heure d'observation Classification Commentaires Identification
19540000 00.00.1954 Manbeuge [sic] France
19541100 00.11.1954 Maubeuge France Nuit RR III
19541100 00.11.1954 Maubeuge France 23.30 RR III
19541100 00.11.1954 Maubeuge France Nuit RR III
19540106 06.01.1954 Eauforte France RR III

[Ref. prn2:] PETER ROGERSON - "INTCAT":

16 octobre 1954. 0005hrs.

MAUBEUGE (NORD : FRANCE)

Mr et Mrs Mozin conduisaient revenant à Maubeuge de Doulers, après avoir visité des parents malades, quand, alors qu'ils ont atteint l'auberge "Belle Hotesse", ils ont vu des lumières très brillantes vers le bord la route, à environ 2km de distance. Pensant que c'était un accident, ils se sont hâtés vers les lieux at 120kph. Soudainement, at une distance de 100m ou à peu près de l'endroit, les lumières de la voiture se sont éteintes. Silhouetté dans une porte dans une machine en forme de cigare, de 3m long, se trouvait un petit homme, de 1.3m de haut. Il portait un très gros casque, avec de gros gants et bottes, et une tenue "d'Homme Michelin". L'être a marché vers eux, d'une démarche maladroite, comme celle d'un ploger. De la porte de 1.8m de haut venait une lumière qui a illuminé la campagne. A travers l'ouverture ils ont vu divers contrôles et câbles. Le couple a rapidemment conduit au loin, et 50m plus loin, leurs lumières se sont rallumées. L'observation a peut-être duré seulement 10 secondes.

Photographie:

L'enquêteur Jean-Marie Bigorne a photographié M. Mozin en mai 1979 alors qu'il avait de nouveau interviewé les témoins.

Explications:

Carte.

Possible visiteurs extraterrestres.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Maubeuge, Nord, Beaufort, Avesne, Louvroil, Mozin, occupant, humanoïde, bonhomme Michelin, Bibendum, cylindre, pied, trace, multiple, voiture, électromagnétisme, métallique, peur

Sources:

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0.1 Patrick Gross 17 avril 2006 Première publication.
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2.2 Patrick Gross 30 mars 2020 Addition [lib1].
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2.6 Patrick Gross 2 juillet 2022 Additions [ldl1], [goe1].

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Cette page a été mise à jour le 2 juillet 2022.