La page d'accueil concernant les cas de la vague française de 1954 se trouve ici.
Référence pour ce cas: 15-oct-54-Issoire-le-Broc.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
[Ref. lpl1:] JOURNAL "LE PROVENCAL":
Un ouvrier agricole a également vu l'objet
Entraigues (C.P.).
M. Louis Ollier, cultivateur à Entraigues, travaillait, jeudi après midi, dans son champ, au quartier de Malgouverte, avec un tracteur, lorsque, entre 17 et 18 heures, il vit apparaître un engin qui lui parut avoir la forme d'un fuseau allongé, "dont, dit-il, les couleurs étaient nettement celles de l'arc-en-ciel". L'engin, qui semblait long de 8 mètres environs, s'immobilisa à une centaine de mètres de lui et à moins de deux mètres du sol.
M. Ollier appela un voisin, domestique chez M. Poutrot, qui travaillait non loin de là et qui vit lui aussi l'appareil s'élever rapidement et se diriger vers le Ventoux. Ils s'aperçurent alors que ce qu'ils avaient pris pour un fuseau allongé était un objet sensiblement circulaire. L'objet d'ailleurs disparut rapidement.
Paris (A.C.P.)
Les soucoupes volantes ont une fois de plus honoré de leur présence les régions les plus diverses de France: à Metz, à Saint-Malo, à Issoire, les engins mystérieux ont été aperçus.
* * *
A Metz, M. Hellers a affirmé avoir vu samedi soir vers 21 heures 25, un engin lumineux de forme oblongue traverser le ciel d'Est en Ouest à une vitesse vertigineuse. L'objet, de couleur orange et de la grosseur d'un oeuf de poule, glissait silencieusement dans l'espace en laissant derrière lui une traînée incandescente. Le témoin a évalué la vitesse de cet engin à environ dix fois celle d'un avion à réaction.
Ce témoignage a été confirmé par une sentinelle du poste de police aérienne en faction sur la hauteur de Plappeville dans les faubourgs de Metz.
* * *
Dans l'Ille-et-Vilaine, à Paramé, un ouvrier platrier a déclaré avoir vu samedi soir, vers 19 heures 45, deux disques lumineux qui montaient et descendaient dans le ciel à une vitesse extraordinaire. Un troisième disque lumineux semblait suivre une ligne parallèle à l'horizon, à une allure beaucoup moins rapide que les deux autres. Les disques, en s'éloignant, laissaient derrière eux une queue semblable à celle d'une comète.
* * *
Enfin, le personnel du terrain d'aviation d'Issoire-le-Broc et le chef pilote Hebaut, qui était en vol, ont observé un engin brillant de forme circulaire qui plana pendant près de deux heures à très haute altitude avant de se diriger très lentement vers l'Ouest.
[Ref. lon1:] JOURNAL "L'OISE-MATIN":
Contrairement à ce qui s'est passé la semaine dernière, les "soucoupes volantes" n'ont pas respecté le repos dominical et se sont montrées un peu partout, disent de nombreux témoignages, en Italie, en France où un automobiliste, pris pour un Martien, a évité de peu une décharge de chevrotine. C'est un cultivateur de Sinceny, près de Chauny, dans l'Aisne, M. Maurice Ruant, qui a failli être la victime de cette fâcheuse méprise.
Il était occupé, tard dans la soirée, a dépanner sa voiture dans un pré proche de chez lui quand deux coups de fusil de chasse furent tirés dans sa direction. Les plombs s'écrasèrent sur la carrosserie du véhicule, non loin de la tête de M. Ruant, qui porta plainte.
L'enquête a établi que l'auteur de ces coups de feu était un voisin, M. Faisan, qui a déclaré en protestant de sa bonne foi: "J'ai cru, en voyant une silhouette évoluant dans la lumière de deux phares, être en présence d'un Martien en train de réparer sa soucoupe volante. Je suis allé chercher mon fusil, et, j'ai tiré".
A cet incident, qui illustre fâcheusement la psychose de peur créée dans certains départements par les "soucoupes", il faut ajouter les nombreux rapports signalant celles-ci à: Rome, où, dit-on, un cigare volant a été aperçu par de nombreux habitants du quartier St Jean de Latran; Metz, où un témoin a vu ses déclarations confirmées par une sentinelle du poste de la police aérienne, à Paramé, dans l'Ile-et-Vilaine [sic], à l'observatoire du mont Ventoux, au terrain d'aviation d'Issoire-le-Broc où l'observation d'une soucoupe a été faite, précise-t-on pendant près de deux heures par le personnel au sol et le chef pilote Habau [sic], qui était en vol.
Enfin, encore en Italie, les rapports parlant de soucoupes sont parvenus de Varèse, près de Milan, Turin et Messine.
Pour le professeur Antonio Eula, titulaire de la gère d'aérodynamique a l'université de Rome les "soucoupes" ne peuvent être pilotés par des Martiens.
"Nous ne connaissons pas à fond a-t-il dit au "Giornale d'Italia" les mystères de notre système solaire. L'astronautique lorsqu'elle pourra être mis en pratique, nous permettra peut-être de les pénétrer. Mais nous savons dès à présent que des êtres semblables à nous ne peuvent exister sur les planètes actuellement connues. S'il y en a, ils ne peuvent qu'être profondément différents. Aussi est-il absurde de parler de Martiens capables d'activité de caractère humain".
En réponse à une autre question, le professeur Eula a dit, ne pas se croire autorisés à exclure, de manière absolue, qu'il puisse s'agir "d'engins expérimentaux destinés à un usage militaire, et protégé par un secret impénétrable". En conclusion le professeur a déclaré: "Si cette dernière hypothèse correspond à la réalité, le moment viendra où le secret sera dévoilée, car aucun secret de nature technique ne peut être indéfiniment préservé".
[Ref. ler1] JOURNAL "L'EST REPUBLICAIN":
Paris. -- Les soucoupes volantes continuent leur ronde infernale, mais il semble que les français ne soient plus seuls au sujet de "visions célestes". La plupart des nouvelles relatives aux engins mystérieux émanaient en effet d'Italie au cours du week-end.
C'est le témoignage de deux cultivateurs de Livry-sur-Seine (Seine-et-Marne) qui doit cependant retenir d'abord l'attention. Il est intéressant en ce sens qu'elles ont vu un "Martien", mais pas d'engin...
Elles se promenaient dans les bois d'Uzelles, samedi après-midi, lorsqu'elles aperçurent un être étrange allongé en travers d'un sentier. Malgré leur frayeur, elles prirent le temps de le regarder d'assez près pour en donner le signalement.
Il avait la taille d'un homme, mais son corps était recouvert de poils abondants et de couleur marron. Il avait une tête ronde et velue, mais pas d'oreilles et des yeux excessivement perçants.
"Il nous a fait signe avec son bras à deux reprises, ont-elles ajouté, mais comme nous n'étions pas rassurées, nous n'avons pas osé passer devant lui et nous avons fait un crochet de près de deux kilomètres pour l'éviter."
Deux enfants qui se trouvaient avec les cultivatrices ont également apporté un témoignage et un signalement très précis.
Alertés, les cultivateurs s'armèrent de leurs fusils de chasse et firent une battue, mais en vain.
Dans l'Ille-et-Vilaine, à Paramé, un ouvrier plâtrier a déclaré avoir vu, samedi soir, vers 19 h. 45, deux disques lumineux qui montaient dans le ciel à une vitesse extraordinaire. Un troisième disque lumineux semblait suivre une ligne parallèle à l'horizon, à une allure beaucoup moins rapide que les deux autres. Les disques, en s'éloignant, laissèrent derrière eux une queue semblable à celle d'une comète.
Enfin, le personnel du terrain d'aviation d'Issoire-le-Broc et le chef pilote Hébaut, qui était en vol, ont observé un engin brillant de forme circulaire qui plana pendant près de deux heures à très haute altitude, avant de se diriger lentement vers l'ouest.
Près de Varèse, plusieurs automobilistes ont vu un disque de couleur bleue, se détachant nettement sur le fond du ciel étoilé. Après s'être arrêté durant quelques minutes, il reprit sa course vertigineuse vers le nord, disparaissant avec un ronflement "caractéristique". au cours de la nuit, l'étrange objet lumineux est apparu une seconde fois dans le même espace céleste.
De Turin, on signale que plusieurs ouvriers d'un établissement de la zone industrielle de Mirafiori ont aperçu un "objet lumineux" ayant la forme d'un cigare, sur le fond du ciel. Le "cigare" est resté immobile dans le ciel pendant une heure, au cours de laquelle, d'après les témoins, il aurait changé de temps à autres de forme et de luminosité. L'engin a ensuite disparu en se dirigeant vertigineusement vers la France.
De Messine, enfin, on apprend que de nombreuses personnes habitant sur les deux rives du détroit séparant la péninsule de la Sicile ont vu un "cercle lumineux" immobile dans le ciel, à 2.000 mètres. L'engin, qui a pu être observé dix minutes, est descendu rapidement vers la mer pour reprendre de l'altitude à trois reprises. Après ces évolutions, le "cercle lumineux" a disparu à forte allure en direction de l'Etna, laissant derrière lui une traînée lumineuse.
Toutes ces apparitions ont fait l'objet d'une déclaration à la presse du professeur Antonio Eula, titulaire de la chaire d'aérodynamique à l'Université de Rome.
Cet éminent savant a notamment affirmé: "Nous ne connaissons pas à fond les mystères de notre système solaire, mais nous savons dès à présent que des êtres semblables à nous ne peuvent exister sur les planètes actuellement connues. S'il y en a, ils ne peuvent qu'être profondément différents. Aussi est-il absurde de parler de Martiens capables d'activités de caractère humain."
Et le professeur a conclu qu'on ne pouvait, de manière absolue conclure qu'il s'agit "d'engins expérimentaux destinés à un usage militaire et protégés par un secret impénétrable".
[Ref. cpd1:] JOURNAL "LE COURRIER PICARD":
LILLE, 17 octobre. -- M. Maurice Ruant, cultivateur à Sinceny, près de Chauny (Aisne), a bien failli être la victime de la panique que cause à certains l'apparition des soucoupes et autres objets volants.
Vendredi soir, il était occupé à dépanner sa voiture, dans un pré proche de chez lui, quand deux coups de fusil de chasse furent tirés dans sa direction. Les plombs s'écrasèrent sur la carrosserie du véhicule, non loin de sa tête.
M. Maurice Ruant porta plainte et l'enquête aussitôt ouverte permit de retrouver rapidement l'auteur des coups de feu, qui était un voisin de M. Ruant, M. Faisan.
Ce dernier a déclaré à la police.
"J'ai cru, en voyant une silhouette évoluant dans la lumière de deux phares, être en présence d'un Martien en train de réparer sa soucoupe volante. Je suis allé chercher mon fusil et j'ai tiré."
Malgré sa bonne foi, M. Ruant sera poursuivi.
Les soucoupes volantes ont une fois de plus honoré de leur présence les régions les plus diverses de France: à Metz, à Saint-Malo, à Issoire, notamment, des engins mystérieux ont été aperçus.
A Metz, M. Hellers a affirmé avoir vu un engin lumineux de forme oblongue traverser le ciel d'Est en Ouest à une vitesse vertigineuse. L'objet, de couleur orange et de la grosseur d'un oeuf de poule, glissait silencieusement dans l'espace en laissant derrière lui une traînée incandescente. Le témoin a évalué la vitesse de cet engin à environ dix fois celle d'un avion à réaction.
Ce témoignage a été confirmé par une sentinelle du poste de la police aérienne en faction sur la hauteur de Plappeville, dans les faubourgs de Metz.
Dans l'Ille-et-Vilaine, à Paramé, un ouvrier plâtrier, a déclaré avoir vu deux disques lumineux qui montaient et descendaient dans le ciel à une vitesse extraordinaire. Un troisième disque lumineux semblait suivre une ligne parallèle à l'horizon, à une allure beaucoup moins rapide que les deux autres. Les disques, en s'éloignant, laissaient derrière eux une queue semblable à celle d'une comète.
Enfin, le personnel du terrain d'aviation d'Issoire-le-Broc et le chef pilote Hébaut, qui était en vol, ont observé un engin brillant de forme circulaire qui plana pendant près de deux heures é très haute altitude avant de se diriger lentement vers l'Ouest.
ROME, 17 octobre. -- De nombreux italiens ayant observé des "disques", "soucoupes", "cigares" etc... volant dans le ciel de la péninsule, le "Giornale d'Italia" a interviewé le professeur Antonio Eula, titulaire de la chaire d'aérodynamique, à l'Université de Rome.
Cet éminent savant à propos de l'éventuelle provenance des dits engins d'autres planètes, a notamment déclaré: "Nous ne connaissons pas à fond les mystères de notre système solaire. L'astronautique, lorsqu'elle pourra être mise en pratique, nous permettra peut-être de les pénétrer. Mais nous savons dès à présent que des êtres semblables à nous ne peuvent exister sur les planètes actuellement connues. S'il y en a, ils ne peuvent qu'être profondément différents. Aussi est-il absurde de parler de Martiens capables d'activité de caractère humain".
En réponse à une autre question, le professeur Eula a dit ne pas se croire autorisé à exclure, de manière absolue, qu'il puisse s'agir "d'engins expérimentaux destinés à une usage militaire, et protégés par un secret impénétrable". En conclusion, le professeur a déclaré; "Si cette dernière hypothèse correspond à la réalité, le moment viendra où leur secret sera dévoilé, car aucun secret de nature technique ne peut être indéfiniment préservé".
[Ref. lap1:] JOURNAL "L'AUVERGNAT DE PARIS":
Depuis plusieurs semaines les journaux quotidiens rendent compte, à longueur de colonnes, de phénomènes demeurés jusqu'ici inexpliqués qui feraient apparaître dans l'atmosphère les objets les plus hétéroclites.
Ces informations sont corroborées par des témoins qui déclarent avoir vu, de leurs yeux "vu", ces objets et même avoir parfois constaté la présence d'étranges êtres vivants descendus de Vénus, d'Uranus ou de Mars. Ces derniers, orsqu'ils auraient atterri se seraient empressés de déguerpir à l'approche des humains; d'autres encore auraient possé la familiarité jusqu'à vouloir embrasser ceux qui les avaient rencontré, ou même leur auraient amicalement tapé sur le ventre.
Phénomènes curieux d'hallucination collective ont dit de graves messieurs, même lorsque l'observation avait été faite par un seul témoin. Engins démoniaques pour la prochaine dernière guerre ont avancé ceux qui s'amusaient sans pitié à effrayer nos pauvres vieilles menettes. Inventions destinées à frapper les imaginations et à détourner l'attention des problèmes politiques de l'heure ont renchéri les sceptiques, qui sont le plus grand nombre. Et nos bons chansonniers d'ajouter leurs désopilantes facéties à toutes ces hypothèses.
Mais tout cela se passait loin de nous et nos compatriotes du Massif Central, comme nos voisins du quartie de la Bastille risquaient de se voir calsser dans une autre catégorie de "phénomènes": la catégorie de "ceux qui ne l'ont pas encore vue!"
Fort heureusement le destin n'a pas permis une telle humiliation et si à Paris notre Génie de la Bastille n'a encore été effleuré par aucune soucoupe, nos compatriotes, eux, ont pu, dans l'après-midi du 15 octobre, contempler à loisir l'objet lumineux qui s'0est manifesté de trèS haut aux regards des habitants de nos sept départements.
Nous avons, en effet, reçu cette semaine, de plus de cent communes, les relations parfois contradictoires de ce phénomène observé de partout. Et malgré tout l'intérêt qu'elles présentient nous n'avons pas pu les publier, faute de place et pour éviter de fastidieuses répéttions.
Etait-ce bien une soucoupe, un cigare, ou tout autre engin propre à garnir ou à bouleverser les imaginations? Des aviateurs, notamment d'Issoire et d'Aurillac sont "montés là-haut" pour tenter d'éclaircir le mystère. Il ne semble pas qu'ils y soient parvenus. D'après certaines informations 11 se serait agi du passage d'un ballon-sonde lancé par l'Institut de physique de Millau pour ses recherches scientifiques, et annoncé la veille par une émission de radio.
Mais voici qu'un chef-pilote de l'aérodrome d'Aurillac, qui a tenté d'approcher le "phénomène", publie dans La Montagne une relation de ses observations dont nous détachons la conclusion suivante:
"Je pensais que l'hypothèse d'un ballon quelconque devait être écartée car il aurait certainement été déjà récupéré, sans tenir compte du fait de son immobilité relative de douze heures. Quel est donc ce phénomène? En feuilletant une revue aéronautique, il paraît qu'en 1904 un phénomène de l'atmosphère avait permis la formation d'une énorme bulle d'ai qui passait alertbativement de la forme sphérique à la forme ovoïde et ce à trèS haute altitude."
Alors? Encore une désillusion pour les pauvres humains que nous sommes? De tant de bruit fait depuis plsuieurs semaines autour des mystérieux engins il ne resterait qu'une simple grosse bulle d'air? Et les Martiens, Marsonins et autres Vénusiens que d'aucun auraient vus et presque touchés?
Tant que nous aurons les pieds sur le macadam du boulebard Bueamarchais et que nous évoluerons entre les bolides terrestres que sont les interminables files d'auto qui sillonnent nos rues, tant que du haut de sa glorieuse colonne, le Génie de la Bastille nous protégera, nous ne partagerons ni l'étonnement ni les craintes de celles et de ceux qui ont ou qui croient avoir "vu".
Nous sommes un peu omme saint Thomas qui voulait toucher du doigt pour être convaincu.
HENRI ALRIQ.
[Ref. gqy1:] GUY QUINCY:
vers le 16 octobre [1954]
[... autres cas...]
? [=heure inconnue]: Issoire-le-Broc (Puy-de-Dôme)
[... autres cas...]
[Ref. jve5:] JACQUES VALLEE:
359 | -003.24540 | 45.50040 | 16 | 10 | 1954 | ISSOIRE-LE-BROC | F | 301 | A |
[Ref. ldl1:] MAGAZINE "LUMIERES DANS LA NUIT:"
Ce magazine indique que à Issoire-le-Broc dans le Puy-de-Dôme, le personnel du terrain d'aviation, et le chef pilote Hébault, en vol, ont observé un engin de forme circulaire qui plana près de deux heures avant de se diriger lentement vers l'Ouest.
[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:
Luc Chastan indique que dans le Puy de Dômes à Issoire le 16 octobre 1954 à une heure non connue "Le personnel du terrain d'aviation et un chef pilote à ce moment là en vol ont observé un objet brillant de forme circulaire qui plana pendant près de deux heures à très haute altitude avant de se diriger lentement vers l'ouest."
Il indique que la source est: "Le Provençal"
[Ref. ubk1:] "UFO-DATENBANK":
Cette base de données a enregistré ce cas 3 fois:
N° de cas | Nouveau N° de cas | Enquêteur | Date d'observation | CP | Lieu d'observation | Pays d'observation | Heure d'observation | Classification | Commentaires | Identification |
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19541016 | 16.10.1954 | Issoire Broc | France | LN | ||||||
19541016 | 16.10.1954 | Issoire Broc | France | LN | ||||||
19541016 | 16.10.1954 | Issoire | France |
L'aérodrome d'Aurillac à Issoire-le-Broc est en N453100 E0031600.
Comme par hasard, il est désigné comme "Aéroclub Pierre Herbaud", il y a peut-être un rapport avec le témoin "chef pilote Hébault."
Quant à "l'engin", il s'agissait effectivement d'un ballon, un gros ballon stratosphérique d'étude des rayons cosmiques lancé par l'Université de Padoue en Italie.
Voir également ce qu'en dit l'ufologue Aimé Michel en 1958 et la note de l'ufologue Raymond Veillith de 1968 à ce sujet.
La photo du ballon par l'observatoire de Haute-Provence:
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Issoire-le-Broc, Puy-de-Dôme, aéroport, aérodrome, multiple, aérien, sol, objet, rond, vol, pilote, Hébault, stationnaire, lent, durée
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 1 mars 2006 | Première publication. |
1.0 | Patrick Gross | 1 mars 2010 | Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Addition [lcn1]. |
1.1 | Patrick Gross | 30 mai 2010 | Addition [ler1]. |
1.2 | Patrick Gross | 30 juin 2010 | Addition [jve5]. |
1.3 | Patrick Gross | 29 février 2017 | Addition [ubk1]. |
1.4 | Patrick Gross | 14 janvier 2020 | Addition [lap1]. Date du cas changée, était 16 octobre 1954. Explications changées, étaient "Non encore recherchée." |
1.5 | Patrick Gross | 7 février 2020 | Addition [cpd1]. |
1.6 | Patrick Gross | 16 mai 2021 | Addition [lon1]. |
1.7 | Patrick Gross | 12 mai 2022 | Addition [gqy1]. |