L'article ci-dessous est paru dans le quotidien The New York Times, New York City, USA, le 14 août 1966.
Par WALTER SULLIVAN
De toute évidence en réponse à l'inquiétude publique concernant des rapports récents de "soucoupes volantes", l'Armée de l'Air organise une nouvelle approche du problème.
Ils cherchent un contrat avec une université majeure pour entreprendre un programme d'investigations intensives sur un certain nombre de tels rapports.
L'identité de l'université ne sera pas rendue publique jusqu'à ce que l'arrangement soit finalisé, mais les sources de l'Armée de l'Air ont indiqué que c'était un établissement de stature suffisante pour garantir dans l'esprit du public que l'enquête sera impartiale.
Les équipes d'investigation doivent inclure au moins un physicien, tel qu'un astronome ou quelqu'un au courant de la physique atmosphérique. De manière significative, il y aura également un psychologue, de préférence ayant une expérience clinique.
Ceci marque une rupture avec la politique passée de l'Armée de l'Air. Elle n'a pas pris au sérieux les milliers de rapports "d'objets volants non identifiés," ou OVNIS, qui sont arrivés pendant les deux dernières décennies.
Ces investigations étaient dénommées "Projet Blue Book" parce que les résultats sont rapportés en de tels livres. L'attitude de l'Armée de l'Air envers le problème est reflétée par le fait que le personnel du projet a consisté en un officier, un sergent et une secrétaire.
Les analyses de blue-book de 10147 observation de 1947 au début de cette année ont fourni une explication conventionnelle pour toutes sauf 646 d'entre elles. Le reste a été classés en tant que non identifiable par manque d'information suffisante [Inexact].
Les explications se sont étendues des ballons météos aux feux follets. Ces derniers ont été cités pour expliquer les lumières incandescentes étranges rapportées en deux points au Michigan en mars dernier.
Dans les deux cas ils ont été
Suite en Page 70, colonne 3