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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

La vague française de 1954 dans la presse:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Courrier de Saône-et-Loire, France, page 8, le 30 octobre 1954.

Scan.

Pendant un match

15.000 Florentins suivent les évolutions d'une "escadrille de soucoupes"

PENDANT UN MATCH 15.000 FLORENTINS SUIVENT LES EVOLUTIONS D'UNE "ESCADRILLE DE SOUCOUPES"

FLORENCE. -- Une escadrille de soucoupe a fait son apparition, interrompant pendant une demi-heure un match de football. Si hallucination collective il y a, elle est de taille, car 15.000 spectateurs sont rentrés chez eux convaincus de l'existence des mystérieux engins.

Selon les témoins, les objets étaient brillants et volaient à assez haute altitude. Ils laissaient derrière eux une sorte de traînée de toile d'araignée, dont une partie est tombée à terre et a été recueillie par des passants.

Certains experts pensent que la substance en question pourrait effectivement être de la toile d'araignée, car il arrive, paraît-il, que ces toiles soit balayées par le vent et entraînés à de grandes altitude.

La mystérieuse substance a été analysée par le professeur Giovanni Canneri, directeur de l'Institut de chimie de l'Université de Milan.

Dans son rapport, le professeur constate que la substance à une structure fibreuse ayant une résistance considérable à la traction et à la torsion.

A la chaleur, la substance est devenue marron et a laissé des cendres transparentes. Après les avoir analysées, le professeur Canneri a précisé qu'elle contenait surtout du bore, du silicium, du calcium et du magnésium, ce qui l'apparente aux borosilicate.

Voilà qui est bien différent des substances recueillies dans les mêmes circonstances à Oloron, à Gaillac et plus récemment dans l'Isère.

Là, il s'agissait, en effet, de substances de semblable apparence, mais elles se diluaient et disparaissaient très rapidement sans laisser la moindre trace.

POUR FAIRE PARLER D'EUX DEUX OUVRIERS PRETENDAIENT AVOIR TOUCHE UNE SOUCOUPE

Deux ouvriers de Mitry-le-Neuf, MM. Chritian Porcher et Jacques Trow, avaient décidé, pour faire parler d'eux, qu'ils avaient vu, le 25 octobre, une soucoupe volante, près de Villepinte. Ils prétendaient même que le pilote les avait invités à toucher l'engin et qu'il leur avait par signe, annoncé qu'il reviendrait.

Malheureusement pour ces trois astucieux "témoins" le commissaire de Villeparsis, à qui ils écrivirent pour signaler leur vision est perspicace. Les plaisantins, invités par les policiers à s'expliquer hier matin, ont avoué qu'ils avaient tout inventé. Ils seront poursuivis pour outrage à magistrat.

POUR LA SECONDE FOIS UNE SOUCOUPE SE POSE DANS LES VOSGES

EPINAL. -- Pour la seconde fois en huit jours, un mystérieux engin a été vu dans les Vosges. Le témoin est, cette fois, le jeune Guy Cuvillier, de Moussey, dans la région de Saint-Dié. Mercredi, dans la soirée, il promenait son chien à proximité du domicile paternel. Soudain, le chien, aboyant furieusement, se lança en direction d'un pré voisin. Le garçonnet le rejoignit. A quelques dizaines de mètres de là, le chien était tombé en arrêt devant un appareil de forme circulaire posé sur la prairie. Il n'en sortait ni son ni lumière.

L'enfant a plus donner par la suite, une description assez précise de l'appareil, haut de 1 m. 60 et d'un diamètre de 4 à 5 mètres.

Mais, sur le moment, il s'était empressé d'alerter sa mère qui, d'abord sceptique, finit par le prendre au sérieux. Alors qu'ils se dirigeaient ensemble dans la prairie, une lueur rougeâtre s'éleva brusquement à la verticale. Effrayés, la mère et l'enfant prirent la fuite et à leur conter aux gendarmes leur étrange rencontre.

UN SCOOTER STOPPE PAR LE PASSAGE D'UN ENGIN LUMINEUX

CLERMONT-FERRAND. -- M. Jean Lasse, de Vichy, s'est rendu au commissariat de police de la ville et a fait le récit suivant:

- Je revenais à scooter de Clermont-Ferrand lorsque mon moteur eut des ratés inexplicables. Je rétrogradais alors, pensant à une mauvaise carburation. Mais le moteur s'arrêta net. A ce moment, une lueur jaune partit des arbres de la forêt toute proche, puis de feu rouge et un engin ovoïde s'éleva silencieusement laissera derrière lui trois. Vers ; et tous disparu. Sans aucune intervention mon moteur redémarra.

Le jeune homme, qui est bien équilibré, affirme ne pas avoir été victime d'une hallucination. On se demande toutefois comment son moteur a pu se remettre en marche, sans qu'il ait actionné

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Cette page a été mise à jour le 17 mai 2025.