Vous trouverez la page principale consacrée au Projet Grudge ici.
Ceci est un mémo confidentiel écrit par un agent du FBI à l'attention du directeur du FBI, le 22 mars 1949.
1. C'est l'un des nombreux document officiels au sujet des nombreuses observations des "aérolithes verts" au Nouveau Mexique principalement, ces observations ayant duré au moins 18 mois en 1949 - 1950.
2. Il indique que pour l'auteur, les "aérolithes verts" appartiennent à la catégorie des engins volants non identifiés et non pas des météores.
3. Il indique que la totalité du sujet des objets volants non identifié est soumis au secret.
4. Il indique que les "aérolithes verts" ne sont pas des météores selon un témoin, qui n'est nul autre que le Dr. La Paz. Le Dr. Lincoln La Paz. est à ce moment-là le directeur de l'Institut des Météorites et le chef du département des mathématiques et d'astronomie de l'université du Nouveau Mexique. Il avait été mathématicien dans la recherche aux zones d'essais du Nouveau Mexique sous contrat OSRD en 1943 et 1944, et directeur technique de la section des analyses opérationnelles, aux quartiers généraux de la deuxième Armée de l'Air, 1944-45. Depuis 1948, le Dr. La Paz a servi sur une base de volontariat comme conseiller pour le Projet Grudge en liaison avec les enquêtes sur les aérolithes verts. Les descriptions ci-dessus de la qualification et de l'implication du Dr. La Paz sont extraites mots pour mot du deuxième document officiel du Projet Grudge que j'ai édité sur ce site. En bref, le Dr. Lincoln La Paz était le spécialiste mondial des météores. Après sa propre observation, il a commencé une recherche scientifique complète sur le phénomène pour l'Armée de l'Air, et a conclu que les aérolithes verts sont des engins volants artificiels commandés par une intelligence qui n'est pas de notre planète.
5. Il mentionne la "célèbre" conférence secrète de Los Alamos sur les aérolithes verts. Les participants et les conclusions sont dans le document suivant en rapport avec Grudge que j'ai publié sur mon site.
6. Il mentionne que toute l'affaire à quelque chose à voir avec la protection d'installation vitales.
A: DIRECTEUR DU FBI DE: SAC. SAN ANTONIO SUJECT: PROTECTION D'INSTALLATONS VITALES FICHIER FBI 65-58300
Date: 22 mars 1949
CONFIDENTIEL
Réponse à la lettre de San Antonio au directeur datée du 31 janvier 1949, qui a décrit la discussion ayant eu lieu à la conférence hebdomadaire récente du renseignement du G-2, de l'OWI, de l'OSI et du FBI dans la quatrième région de l'armée au sujet des "engins volants non identifiés" ou des "phénomènes aériens non identifiés" autrement connus sous le nom de "disques volants", de "soucoupes volantes" et de "boules de feu." On répète que cette question est considérée comme secrète par les officiers de renseignement à la fois de l'Armée et de l'Armée de l'Air.
Le G-2, 4ème Armée, a maintenant déclaré que le sujet ci-dessus se nomme maintenant "engins volants non conventionnels" et les investigations au sujet de tels sujets ont reçu le nom de "projet Grudge" (rancune).
Le G-2, 4ème armée, informe que le 16 Février 1949, une conférence a été tenue à Los Alamos, Nouveau Mexique, pour considérer les phénomènes dénommés "boules de feu vertes," qui a débutée aux environs du 5 Décembre 1948. Il a été rapporté que cette question a été classée "secrète" et que cette investigation est maintenant la responsabilité primaire de l'Armée de l'Air des États-Unis, Air Material Command, T2.
Le Dr. LINCOLN LA PAZ de l'Université du Nouveau Mexique, a discuté une observation qu'il avait faite lui-même qui est sésgnée comme "l'incident de Starvation Peak" et a décrit les caractéristiques suivantes qui ont montré que le phénomène ne pouvait pas être classé comme une chute de météorite normale.
JEJ:md 2 cc: El Paso (100-4562) 2 cc: Dallas " " , Houston
L'original de ce document est aux Archives Nationales du gouvernement Américain (National Archives and Records Administration, NARA) à Washington DC. Referez vous au site de la NARA sur www.nara.gov pour visiter les Archives Nationales.
Certain des debunkers des OVNIS prétendent que si les OVNIS étaient réels, il y aurait les documents militaires l'indiquant. Vous avez ici l'un des nombreux documents militaires indiquant que les OVNIS sont réels.
Certain des debunkers des OVNIS affirment que les témoins sont sans éducation et ne peuvent pas différencier un météore et un objet volant non identifié qui ne seraient pas un météore. Ce document indique qu'une des observation des "aérolithes verts" a eu pour témoin un scientifique qui par coïncidence était un des meilleurs experts mondiaux en matière de météores.
Certain des debunkers des OVNIS prétendent que si les OVNIS étaient réels, il y aurait des documents militaires l'indiquant. Vous avez là un des nombreux documents militaires indiquant que les OVNIS sont réels.
Certain des debunkers des OVNIS prétendent que le gouvernement des USA n'a pas caché d'informations sur les OVNIS. Ce document indique qu'en 1950, les OVNIS étaient classés secret par les militaires américains.
Certain des debunkers des OVNIS produisent des communiqués de presse militaires US indiquant que les OVNIS sont seulement des phénomènes triviaux allant des canulars, erreurs interprétations de phénomènes naturels, confusions et hystérie collective. Je produis ici un document militaire anciennement secret des USA indiquant que pour le Strategic Air Command, le phénomène des "aérolithe verts" appartient à la catégorie "engins volants non identifié."
Certain des debunkers des OVNIS racontent que, excepté le rapport Condon, il n'y a jamais eu une étude scientifique du phénomène des OVNIS parce que les scientifiques "savent" que les OVNIS n'existent pas. Ce document indique qu'il y avait eu une convention scientifique à Los Alamos le 16 février 1949, dans le but d'identifier la nature du phénomène des "aérolithes verts." Ses conclusions sont également disponibles sur mon site.
Le problème n'était pas abordé par un modeste service isolé, mais par la quasi totalité des services militaires et gouvernementaux, comprendant le Strategic Air Command, l'Air Material Command, l'U.S Air Force, le T2, le G-2, l'OSI, l'OWI, le FBI, avant que la responsabilité de l'affaire soit confiée à la seule Air Force.
Les militaires étaient soucieux de ce que les objets volants non identifiés puissent être une menace pour la protection d'installations vitales.