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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

10 SEPTEMBRE 1978, LAS SALINAS, TUCUMAN, ARGENTINE, MIGUEL ANGEL CARBAJAL, MIGUEL LEDESMA:

Bref résumé de l'événement et des suites:

Cet incident allégué s'est produit à Las Salinas, sur l'ancien tracé de la route provinciale 305, aux abords de San Miguel de Tucuman, province de Tucuman, Argentine, le 10 septembre 1978, approximativement à 16:40. Il a été rapporté dans le journal national Cronica, de Buenos Aires, le 12 septembre 1978, et enquêté par l'ufologue Jorge Eduardo Catoja qui a déclaré qu'il s'est rendu sur les lieux et a parlé aux témoins. Son rapport ou un résumé de son rapport est rapidement apparu dans des bulletins d'ufologies. Le résumé qui suit provient de ce rapport, avec des informations additionnelles du journal CrOnica.

Catoja indiquait que le premier témoin était Miguel Angel Carbajal, âgé de presque 16 ans, né le 20 octobre 1962. L'adolescent était célibataire, Argentin, avait suivi l'école primaire complète, puis une année dans le le secondaire. Il ne lisait que le quotidien La GaCeta. Il travaillait dans le magasin de son père Manuel V. Carbajal.

Le second témoin était Miguel Ledesma, 23 ans, célibataire, argentin, illettré, également employé au magasin, dont le propriétaire et Meur [sic] .

Une troisième personne était avec eux, un infirme, de la famille Carbajal, qu'il n'a pas pu interroger.

Miguel Angel Carbajal et les deux autres se trouvaient seuls, dans la salle à manger. Les parents de Miguel étaient absent, partis à San Miguel de Tucuman pour visiter de la famille.

Ils regardaient à la télévision le film "Le sport dans le sang", ayant pour vedette Ben Johnson, quand l'image a commencé à "rétrécir", et ils ont donc éteint le téléviseur.

Catoja cite Carbajal: "Nous allumâmes l'électrophone et le disque placé se mit à tourner comme s'il était en 16 tours. Nous avons pensé qu'il y avait une baisse de tension électrique." "Nous choisîmes un radio transistor portatif, pour écouter le match de football; mais il y avait une interférence."

Dans la version de son rapport publié par la FSR, il est ajouté que finalement, ils ont essayé d'écouter une radio à transistor portative pour écouter un match de football local, mais y ont aussi renoncer, à cause d'interférences. Ils ont attribué tout ceci à une baisse de la tension du secteur, ce qui me parait tout à fait sensé, encore qu'on aurait du nous préciser si la radio protable fonctionnait sur piles ou non.

Ils ont alors entendu un bruit dans le magasin. Ils ont tout de suite sorti leur parent infirme de la maison, pensant que des voleurs avaient pénétré dans le magasin. Puis ils sont entrés, par une porte reliant la salle à monger où ils se trouvaient au magasin.

Dans le magasin, ils ont vu des morceaux de verre d'une bouteille de vin sur le plancher, et des pots de mayonnaise dans le même état.

Catoja cite Carbajal: "Mon attention fut attirée par une balance tombée à terre, la vitre cassée, mais qui ne présentait aucun coup. La calculatrice électronique se trouvait loin de sa position habituelle".

Alors, à 6 mètres d'eux ils ont constaté avec stupéfaction et crainte, qu'il y avait dans le magasin deux personnages d'apect à peu près humain mais d'une taille de seulement 1 mètre.

Carbajal a dit: "J'avais peur... parce que je les ai vus tout d'un coup; je ne pouvais parler... Je pensais que c'étaient des Martiens. J'avais lu dans La Gaceta qu'il y avait eu des apparitions d'OVNIS".

Ils étaient "vêtus d'une combinaison couleur bleu brillant comme celle qu'utilisent les hommes-grenouilles," a dit Carbajal.

Un casque de couleur bleu foncé couvrait leur tête.

Leurs visages présentait des taches de rousseur - le journal avait dit "comme endommagés par la variole" - et était de couleur brune, ou sombre. Les yeux étaient droits, horizontaux, leurs bouches étaient normales, ils n'ont pas pu décrire précisément leurs nez mais ont dit qu'ils avaient l'air d'être "épatés".

Les mains, les bras, les jambes étaient normaux. Ils n'étaient pas certain de pouvoir dire de quel sexe étaient les entités.

A gauche: Ce dessin des entités accompagnait la version LDLN du rapport de Catoja.

L'une des entités tenait ce qui a été interprété comme une "arme", puisqu'elle la pointait sur les témoins de façon menaçante. Carbajal l'a comparée à un séchoir à cheveux pour femme.

"Ne criez pas ou bien nous vous amènerons à la soucoupe".

Les deux témoins ont entendu "Ne criez pas ou bien nous vous amènerons à la soucoupe" - ceci n'est pas forément mot pout mot, peut-être est-ce la version journalistique. Mais ils n'ont pas vu bouger les bouches des entités, l'enquêteur a donc suggéré qu'ils avaient probablement reçu ce message par télépathie. Il propose aussi qu'ils auraient détourné ces mots de leur "sens naturel, ceci à cause de l'impact psychologique et émotionnel que durent subir les témoins."

Carbajal a continué: "L'un des êtres leva la main, portant son index au nez et ils disparurent. Les portes du magasin se trouvaient fermées."

Il en a profité pour prendre les clés qui se trouvaient dans la caisse enregistreuse et sortir de l'établissement. Les personnages ont surgit soudainement au même endroit. Les clés à la main, Carbajal s'est dirigé vers la porte, accompagné de M. Ledesma, qui a pris une barre de fer et un couteau, afin d'affronter les êtres.

Les entités ont de nouveau disparu, et réapparus dans la cambuse, ou dépôt de marchandises (comme montré sur le plan dans [ld1] plus bas).

Ledesma a dit: "Je m'approchais lentement, regardais vers l'intérieur, les êtres me lancèrent une caisse de cigarettes". La caisse l'a raté, passant devant lui. Il a dit: "Immédiatement je me mis à courir vers la porte de sortie, que Carbajal était parvenu à ouvrir".

Quand Catoja a demandé si durant la matérialisation et la dématérialisation, ils avaient entendu quelque son, Carbajal a répondu: "Oui. Ils faisaient TIN... TIN... TIN... Seulement lorsqu'ils disparaissaient."

L'incident avait duré approximativement 5 à 10 minutes, selon les témoins.

Une fois dehors, ils ont cadenassé la porte et son partis vers Tucuman dans une camionjette di magasin, pour retrouver le père de Carbajal: "Papa... papa... des voleurs attaquent ton magasin".

Catoja résume la suite en disant que les tes témoins sont revenus avec Manuel Carbajal, et que ce dernier a déclara au commissariat du village El Timbo que son commerce faisait l'objet d'une attaque. L'officier de police Miranda, le commissaire, les témoins, ainsi que Carbajal père, arrivèrent sur les lieux. En entrant, ils n'ont rencontré personne à l'intérieur du magasin et ont trouvé qu'il ne manquait pas d'argent dans la caisse. La direction de la police de Tucuman aurait demandé un rapport sur ces faits.

Le Cronica a appremment dit que l'événement avait attiré l'attention de la population locale qui s'est alors réunie pour venir pour voir les conséquences du phénomène. Le journal disait que la famille entière a été très bien appréciée dans le pays.

Le Cronica racontait qu'après avoir été alerté, Manuel Carbajal a embarqué sa famille dans sa voiture et a rapidement franchi la distance qui le séparait de Las Salinas. Il est passé en face de chez lui, s'est rednu directement au commissariat, où il déclara qu'il était pillé. Le Commissaire, l'Adjudant Miranda, pistolet en main, l'a accompagné, et, ensemble, avec précaution, ils ont ouvert la porte fermée à clef et un cadenas. A l'intérieur, mis à part les affaires qui étaient tombées, il n'y avait personne. Dans le coffre-fort que Manuel Carbajal ouvrit en présence du policier, il ne manquait rien. Pas de trace ni de vol, ni d'étrangers. Les emplacements des rayonnages d'où tombèrent la bouteille et le pot coïncident avec deux espaces où il y a des plaques en plastique de couleur verte pour faire passer la lumière. Le toit est en zinc. "Peut-être cherchaient-ils à sortir, avança le patron du magasin".

Ce qui semble suggéré, sans être formellement rapporté, est que les entités n'auraioent pas pu quitter le magasin fermé par des moyens normaux. toutfois le Cronica précise que certaine sportes du magasin se fermaient de l'intérieur avec des barres, or, rien ne dit si la police avait trouvé l'une de ces portes ouverte ou non.

Carvajal a apparemment fait le tour du secteur pour rechercher d'autres témoignages. Il n'y a eu personne pour confirmer l'incident lui-même, mais il a dit que dans cette zone, avant l'observation, "des lumières étranges furent perçues deux semaines auparavant, à l'emplacement de l'établissement salin" à 200 mètres du magasin.

Les témoins de la rencontre lui ont dit: "Dans une maison que me montrèrent les témoins, ils me racontèrent que celle-ci faisait l'objet de jets de pierres, dont l'origine du fait leur était inconnue." Cette remarque a mené plus tard l'ufologue Britannique Gordon Creighton, épris de "Djinns" et de "phénomènes psychiques", à considérer que le cas était "poltergeistique", tout en suggérant que les parapsychologue devaient maintenant prendre en compte que l'origine de ces poltergeist avait été vue, pour une fois, et semblait bien plus provenir d'une "intelligence extérieure" plutôt que du psychisme deleurs témoins.

Catoja, ou les témoins, on aussi rapporté: "Certains rapportèrent qu'il y a trois ans, dans la 'Ramadeda de Abajo', dans le même département, mais plus à l'est, des soucoupes volantes descendirent".

Pour le Cronica, les événement annexes sont: "Quelques personnes se sont souvenues qu'il y a trois ans, à Ramada de Abajo, dans le même département, mais plus à l'est, on disait que des soucoupes volantes descendaient. Il y a deux semaines, dans un établissement de sel, juste en face du magasin, il y eut un étrange événement: une lampe qui s'éteignait et, bien que rallumée à plusieurs reprises, finit par laisser les lieux dans l'obscurité. Dans une maison abandonnée, d'autres personnes signalèrent que l'on disait qu'il y avait des bruits comme si l'on jetait des pierres."

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-001148
Date d'observation: 10 septembre 1978
Premier rapport: 12 septembre 1978
Délai de rapport: Heure, 1 jour?
Témoignage apporté via: Ont alerté leur père.
Premier enregistrement allégué par: Journal national Cronica.
Premier enregistrement certain par: Jane Thomas dand bulletin d'ufologie MUFON.
Type premier enregistrement allégué: Journal national.
Type premier enregistrement certain: Correspondant de bulletin d'ufologie étranger.
Ce dossier créé le: 26 janvier 2012
Sa plus récente mise à jour: 26 janvier 2012
Pays de l'événement: Argentine
Etat/Département: Tucuman
Type de lieu: Intérieur de magasin.
Conditions d'éclairage: Non rapporté.
OVNI observé: Non
Arrivée OVNI observée: Non
Départ OVNI observé: Non
Relation OVNI/entité: Incertaine
Nombre de témoins: 1
Ages des témoins: 23, 15
Types de témoins: 1) Adolescent célibataire Argentin, études primaires complètes, 1 année de secondaire, lit seulement La Gaceta, employé de magasin de son père. 2) Homme célibataire argentin, illettré, employé du magasin du premier.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Peut-être.
Nombre d'entités: 2
Type d'entités: Humanoïde
Taille d'entités: 1.0 mètres
Tenues d'entités: Une pièce moulant genre tenue de plongeur, gantelets noirs brillants montant au-dessus du coude, hautes bottes bleu clair, casque bleu sombre.
Couleur des tenues d'entités: Bleu clair.
Couleur de peau d'entités: Brune ou sombre, taches de rousseur.
Corps des entités: Comme humain excepté la hauteur de 1 mètre.
Têtes des entités: Dans casques bleu foncés.
Yeux des entités: Deux, horizontaux.
Bouches des entités: Non rapporté.
Nez des entités: Mal vu, apparemment épaté.
Pieds des entités: Dans bottes hautes bleu clair.
Bras des entités: Normaux. Avec hauts gants noirs brillants.
Doigts des entités: Oui.
Nb de doigts des entités: Non rapporté. Apparemment 5.
Pilosité des entités: Non rapporté ou non visible.
Voix des entités: Message entendu mais lèvres ne bougent pas comme si utilisation de télépathie.
Actions des entités: Sont dans le magasin, message télépathique de ne pas crier sinon enlèvement dans OVNI, disparaissent, réapparaissent, jettent objet vers témoin.
Interactions entités/témoins: Message télépathique de ne pas crier sinon enlèvement dans OVNI, disparaissent, réapparaissent, jettent objet vers témoin.
Réactions des témoins: Observation, fuite.
Sentiments des témoins: Effrayés.
Interprétations des témoins: Martiens.
Catégorie explicative: Visiteurs extraterrestres ou invention.
Certitude de l'explication: Haute.

Récits:

[Ref. jt1:] JANE THOMAS:

(Les rapports suivants sont racontés comme question d'intérêt public. Ils doivent être considérés comme non vérifiés jusqu'à ce qu'elles soient sujettes d'une certaine recherche de première main. Soumis par Jane Thomas.)

San Miguel de Tucuman, Argentine. -— Investiguant des bruits dans un magasin dans cette ville de sucre et de citron, un employé et des amis ont trouvé deux petits humanoïdes habillés dans des costumes bien ajustés bleus brillants. Ils tenaient une "arme" ressemblant à un sèche-cheveux. Des messages télépathiques ont été prétendument reçu que les êtres voulaient pour prendre l'un d'eux à bord de leur engin. Les êtres avaient des visages vérolés, "désagréables" et ils "portaient un genre d'objet brillant" au niveau des oreilles, et apparaissaient et disparaissaient d'un endroit à l'autre à l'intérieur du magasin. Les témoins sont devenus effrayés et se sont sauvés! (Cronica; Buenos Aires, 29/9/78.)'

[Ref. ni1:] SOURCE NON IDENTIFIEE DE 1979:

Quelques cas d'apparitions d'humanoïdes relevées récemment

Cas du type CA1

Cette première [première dans l'article] observation d'humanoïdes s'est passée le 10 septembre 1978, à quelque 22 km au nord de Tucuman, en Argentine, et eut pour témoins deux jeunes garçons. Fait particulier qui mérite d'être souligné, ce sont deux êtres de petites tailles (moins d'un mètre) qui se trouvaient à l'intérieur d'un magasin dans des circonstances assez particulières où nous reconnaissons bien nos "chapardeurs". Nous nous contenterons d'en rappeler les faits tels qu'ils furent rapportés dans la presse, et notamment dans "La Razon" du 12 septembre 1978:

"Deux jeunes garçons; Michel CARBAJAL 15 ans et Michel LEDESMA 23 ans, ont déclaré avoir vécu une expérience étrange à l'intérieur du magasin de Manuel Carbajal, le père du premier jeune homme. L'événement mobilisa l'attention de la population locale qui vint ensuite faire la queue pour venir voir les conséquences du phénomène. Il s'agit de l'apparition de deux êtres d'un aspect curieux et de petite taille. Selon les données recueillies sur les lieux, les deux jeunes se trouvaient seuls dans la salle à manger qui est contiguë au commerce, pendant que toute la famille, très bien appréciée dans le pays, était partie à San Miguel de Tucuman pour rendre visite à des parents. Les deux garçons virent que le téléviseur avait des problèmes et, simultanément, un appareil stéréophonique

qu'ils étaient en train d'écouter commençait à patiner. Ensuite, ils entendirent des bruits dans le magasin, qui est en réalité un mini service où l'on vend de tout. Immédiatement, ils sortirent par une porte latérale et, après l'avoir refermée, ils se dirigèrent résolument vers le local commercial qui est contigu à la salle à manger. Ce qu'ils virent en y entrant est que la balance était posée par terre, une bouteille de vin, un sachet de caramel et un pot de mayonnaise jonchaient le sol, tandis que la calculatrice était renversée.

Tout jusqu'ici était banal, sauf la vision qu'ils eurent alors: devant la porte d'un dépôt qui donne dans la boutique, porte qui était fermée, ils virent deux créatures d'apparence humaine, d'une stature d'un mètre, vêtues de vêtements de couleur bleu sombre comme ceux qu'utilisent les hommes-grenouilles, dirent-ils, les couvrant jusqu'à la tête, ne laissant voir que le visage d'un aspect "laid et comme piqué par la variole". Ils tenaient à la main un pistolet ressemblant à un sèche-cheveux pour femme. L'un d'eux se frottait le nez. La surprise fut grande, plus encore en constatant que les deux humanoïdes apparaissaient et disparaissaient au même endroit. Par trois fois, les témoins observèrent ce détail.

Les étrangers leur demandèrent sans ouvrir la bouche, "qu'ils ne disent rien, sinon ils les emporteraient dans la soucoupe". Les deux jeunes ignorent comment ils reçurent ces paroles. Immédiatement, Michel Ledesma, l'aîné des deux, prit une barre et un couteau, il était résolu à les affronter, mais les intrus entrèrent dans le dépôt qui était obscur. De là, ils lui jetèrent une boîte de cigarettes; aussitôt Michel Ledesma en profita pour s'enfuir avec le fils du patron. Cette rencontre se passait à 16 h 40 dimanche et dura seulement 5 minutes. Ledesma et Carbajal partirent dans une camionnette qui était dans les environs de la maison, propriété du magasin, et se dirigèrent en hâte vers la capitale pour chercher le patron du commerce. Ils arrivèrent en criant "papa, ils sont en train de te piller, allons-y vite". Manuel Carbajal chargea sa famille dans sa voiture et franchit rapidement la distance qui le séparait de Las Salinas, dans le département de Burruyacu. Il passa en face de chez lui pour se rendre directement au commissariat, où il déclara qu'il était pillé. Le Commissaire, l'Adjudant Miranda, pistolet en main, accompagna le commerçant. Et, ensemble, avec précaution, ils ouvrirent la porte fermée à clef et un cadenas. A l'intérieur, mis à part les affaires qui étaient tombées, il n'y avait personne. Dans le coffre-fort que M. Carbajal ouvrit en présence du policier, il ne manquait rien. Pas de trace ni de vol, ni d'étrangers. Les emplacements des rayonnages d'où tombèrent la bouteille et le pot coïncident avec deux espaces où il y a des plaques en plastique de couleur verte pour faire passer la lumière. Le toit est en zinc. "Peut-être cherchaient-ils à sortir, avança le patron du magasin".

La direction de la police ouvrit une enquête. Quelques personnes se sont souvenues qu'il y a trois ans, à Ramada de Abajo, dans le même département, mais plus à l'est, on disait que des soucoupes volantes descendaient. Il y a deux semaines, dans un établissement de sel, juste en face du magasin, il y eut un étrange événement: une lampe qui s'éteignait et, bien que rallumée à plusieurs reprises, finit par laisser les lieux dans l'obscurité. Dans une maison abandonnée, d'autres personnes signalèrent que l'on disait qu'il y avait des bruits comme si l'on jetait des pierres.

Dans le magasin, la seule trace qui demeura fut celle du vin répandu et la balance avec !'une de ses vitres cassée, mais, étrangement, elle n'a aucune bosselure. Toutes les portes se ferment de l'intérieur avec des barres, à l'exception d'une qui a un cadenas et qui se ferme de l'extérieur."

[Légende du dessin:] Type d'être de la catégorie A 1 et ressemblant fort à ceux observés par les deux jeunes garçons argentins, Michel CARBAJAL et Michel LEDESMA.

("La Razon" du 12.09.78, traduit par J. Mathon).

[Ref. ld1:] JORGE EDUARDO CATOJA:

Enquêteur: Jorge Eduardo Catoja

Traduction: M. Bollich J.F.

Deux humanoïdes à Las Salinas (Argentine)

LOCALISATION DANS L'ESPACE:

VILLE: San Miguel de Tucuman. CHEF-LIEU: Burruyaco, situé à quelques 65 km au Nord-Est de Tucuman.

LIEU DU CAS: "Las Salinas" sur l'ancien tracé de la route provinciale 305, aux abords de S.M. de Tucuman.

DATE: Dimanche 10 septembre 1978 à 16 h 40. L'incident dura approximativement 5 à 10 minutes selon les témoins. La direction de la police de Tucuman a demandé un rapport des faits. (quotidien "La Raison", de Buenos Aires).

IDENTIFICATION DES TEMOINS:

MIGUEL ANGEL CARBAJAL: né le 20-10-62. Célibataire. Argentin, études primaires complètes, 1 année dans le secondaire. Ne lit que le quotidien "La Gazette". Travaille actuellement dans le magasin de son père.

MIGUEL LEDESMA: 23 ans, célibataire, argentin, illettré, est employé du magasin, dont le propriétaire et Meur [sic] Manuel V. Carbajal.

- et un infirme (que je n'ai pu interroger).

INTRODUCTION DE L'INCIDENT

M. Carbajal et ses amis se trouvaient seuls, dans la salle à manger. Les parents de Miguel étant partis à S. Miguel de Tucuman rendre visite à des parents.

Alors qu'ils regardaient à la télévision le film "Le sport dans le sang" ayant pour vedette Ben Johnson, l'image commença à rétrécir, et ils éteignirent le téléviseur.

"Nous allumâmes l'électrophone et le disque placé se mit à tourner comme s'il était en 16 tours. Nous avons pensé qu'il y avait une baisse de tension électrique" déclara M. Carbajal.

"Nous choisîmes un radio transistor portatif, pour écouter la partie de football; mais il y avait une interférence" dit M. Carbajal.

Selon leurs déclarations, ils entendirent un bruit dans le magasin. Ce bruit se communiqua à la salle à manger.

Ils sortirent immédiatement l'infirme hors de la maison pensant que des voleurs avaient pénétré dans le magasin. Puis ils y entrèrent.

DEROULEMENT DES FAITS:

Une fois entrés, ils remarquèrent sur le sol des morceaux de verre d'une bouteille de vin, et des pots de mayonnaise dans le même état.

"Mon attention fut attirée par une balance tombée à terre, la vitre cassée, mais qui ne présentait aucun coup. La calculatrice électronique se trouvait loin de sa position habituelle".

Plus avant, à 6 mètres des témoins, ils observèrent, stupéfaits avec des signes évidents de crainte, ce qu'ils ne reconnaissaient pas:

Deux formes aux conformations anthropomorphiques semblables aux humains.

DESCRIPTION DES ENTITES:

M. Carbajal dit: "J'avais peur... parce que je les vis tout d'un coup; je ne pouvais parler... Je pensais que c'étaient des martiens. J'avais lu dans -"La Gazette" qu'il y avait des apparitions d'OVNIS".

Les deux entités mesuraient approximativement un mètre de haut. "Vêtus d'une combinaison couleur bleu brillant comme celle qu'utilisent les hommes-grenouilles" déclara Carbajal.

De plus, un casque de couleur bleu foncé couvrait leur tête.

LEUR VISAGE:

Il présentait des taches de rousseur et était de couleur brune.

LES YEUX: droits

LA BOUCHE: Normale

LE NEZ: Ils ne peuvent préciser avec exactitude; ils le décrivent comme "épaté".

MAINS: normales

BRAS ET JAMBES: normales.

HABILLEMENT DES ENTITES (voir dessin)

SEXE: Indéfini

Vêtement ajusté, près du corps, un casque (déjà mentionné).

Ils avaient des sortes de bottes, couleur bleu brillant. Des gants noir brillant. L'une des entités tenait une "ARME" qu'il pointait sur nous de façon menaçante. M. Carbajal la compara à un séchoir à cheveux.

CONTACT VIOLENT:

"Ne criez pas ou bien nous vous amènerons à la soucoupe".

Ainsi du moins crurent-ils entendre, puisqu'ils ne virent pas bouger la bouche des entités. Ils reçurent probablement le message par télépathie. On suppose qu'ils le détournèrent de son sens naturel, ceci à cause de l'impact psychologique et émotionnel que durent subir les témoins.

Selon M. Carbajal:

"L'un des êtres leva la main, portant son index au nez et ils disparurent. Les portes du magasin se trouvaient fermées."

Carbajal profita de l'opportunité pour prendre les clés qui se trouvaient dans la caisse enregistreuse et sortir de l'établissement. Les étrangers surgirent soudainement au même endroit. Les clés à la main M. Carbajal se dirigea vers la porte, accompagné de M. Ledesma. Celui-ci prit une barre de fer et un couteau, afin d'affronter les êtres mystérieux.

Les entités disparurent à nouveaux, pour réapparaître dans la cambuse, ou dépôt de marchandises (voir graphique).

"Je m'approchais lentement, regardais vers l'intérieur, les êtres me lancèrent une caisse de cigarettes". Déclaration de M. Ledesma. La caisse ne fit pas mouche, passant devant M. Ledesma. "Immédiatement je me mis à courir vers la porte de sortie, que Carbajal était parvenu à ouvrir".

Durant la matérialisation et la dématérialisation, avez-vous perçu quelque son ou bruit?

Oui, répondit Carbajol. Ils faisaient TIN... TIN... TIN... Seulement lorsqu'ils disparaissaient.

SUITE EN BREF DE L'INCIDENT:

Une fois dehors, ils fermèrent la porte avec un cadenas; s'éloignant des lieux dans une camionnette (propriété du commerce), destination Tucuman.

Dès qu'ils arrivèrent, M. Carbajol se dirigea vers son père:

"Papa... papa... des voleurs attaquent ton magasin". Les témoins revinrent accompagnés de monsieur Manuel Carbajol.

Celui-ci déclara au commissariat du village El Timbo, que son commerce faisait l'objet d'une attaque.

L'officier de police Miranda, le commissaire, les témoins, ainsi que monsieur Carbajal arrivèrent sur les lieux. En entrant, ils ne rencontrèrent personne à l'intérieur du magasin. Ils constatèrent qu'il ne manquait pas d'argent dans la caisse.

NATURE DU LIEU:

TYPE ET NATURE DU LIEU:

Campagne, terrain plat accidenté.

SURFACE: pierres, sable.

RIVIERE: Las Salinas à 200 mètres de l'incident.

LIGNES: haute tension.

INDUSTRIE: du sel à 50 mètres du magasin.

ROUTE: sur l'ancien tracé de la route provinciale 305.

PHENOMENES ANNEXES DANS LA PERIODE PRECEDANT L'INCIDENT:

Dans la zone, avant l'observation, des lumières étranges furent perçues deux semaines auparavant, à l'emplacement de l'établissement salin.

Selon les témoins

Dans une maison que me montrèrent les témoins, ils me racontèrent que celle-ci faisait l'objet de jets de pierres, dont l'origine du fait leur était inconnue.

"Certains rapportèrent qu'il y a trois ans, dans la "Ramadeda de Abajo", dans le même département, mais plus à l'est descendirent des soucoupes volantes".

(La Raison 12-9-78 En référence au cas de Las Salinas)

TUCUMAN:

Se trouve à 1312 km de la capitale de la république Argentine, dans la région nord-est du pays entre les parallèles 26 et 28 de latitude sud et les méridiens 64°30' et 66°30'.

C'est la plus petite des provinces avec 22 524 km2 et elle possède la population la plus dense avec plus de 900 000 habitants.

[Ref. jc1:] JORGE EDUARDO CATOJA:

ENTITES RAPPORTEES A L'INTERIEUR D'UN MAGASIN EN ARGENTINE

Jorge Eduardo Catoja

Nous sommes redevables au comité de rédaction de notre journal-compagnon français Lumières Dans La Nuit, dont nous avons traduit le curieux article du numéro 198 (octobre 1980). Bien que beaucoup trouvent le rapport dur à avaler nous pensons qu'il vaut la peine d'^tre enregistré, parce qu'il semble sentir très fortement - comme tellement d'autres "histoires d'OVNIS" - les phénomènes classiques de poltergeist familiers à nous de par les annales de la recherche psychique.

Il est évidemment difficile de rappeler n'importe quel bon "cas de poltergeist" dans lequel les témoins ont prétendu avoir réellement vu l'agent causatif. En conséquence, la plupart des investigateurs de la parapsychologie tendent de nos jours à rejeter l'idée que n'importe quel facteur intelligent externe (c.-à-d. autre que le sujet humain ou les sujets présents dans le cas) peut être impliqué dans les poltergeists, et ils préfèrent chercher d'autres explications moins bizarres. A noter, cependant, que dans le cas actuel les deux entités causatives ont prétendument disparu temporairement de la vue une caractéristique qui semble extrêmement "poltergeistique."

L'auteur, l'ufologue argentin Jorge Eduardo Catoja, déclare qu'il a visité la scène des phénomènes et a personnellement interrogé les témoins.

L'EDITEUR

Approximativement à 16:40 dimanche, 10 septembre 1978, à Las Salinas, une petite ville près de San Miguel De Tucuman en Argentine nordique, Miguel Angel Carbajal, âge 18, et son ami Miguel Ledesma, âge 23, étaient assis dans la maison du premier nommé, regardant la télévision, quand l'image sur l'écran a commencé à se rétrécir, ainsi ils ont éteint le téléviseur.

Ils ont alors mis un disque sur le tourne-disque et l'ont allumé, mais ont trouvé que le disque tournait très lentement comme à 16 tours par minute. De par cela ils ont compris qu'il y avait clairement une baisse marquée dans le courant électrique. 1

Finalement, ils ont essayé d'utiliser une radio à transistor portative pour écouter un match de football local, mais ont été obligés d'abandonner ceci également, à cause d'interférences.

Les parents de Miguel Carbajal, absents de la maison alors, après être allé passer l'après-midi avec des parents à San Miguel De Tucuman, sont les propriétaires d'un magasin, et le magasin touche la maison. Les deux jeunes hommes sont employés dans le magasin. Miguel Carbajal a eu trois ans d'éducation d'école primaire, et un an de secondaire. L'ampleur de sa lecture quotidienne ne dépasse pas le journal local, La Gaceta, et il n'est pas un fana d'OVNIS ou un fanatique de Science-Fiction. Quant à son compagnon, Miguel Ledesma, de dernier est tout à fait illettré. Il n'y avait personne d'autre dans la maison à part un membre de la famille handicapé.

Juste au moment où les deux jeunes hommes abandonnaient leur tentative de faire fonctionner la radio portative, ils ont entendu des bruits venant du magasin contigu. Pensant que des voleurs étaient entrés par effraction dans les lieux, les garçons ont d'abord fait sortir le parent handicapé de la maison, et ensuite ils ont ouvert la porte reliant directement le magasin, où les premières choses qu'ils ont vu étaient une bouteille de vin cassée et quelques fioles cassées de mayonnaise répandues aux alentours sur le plancher.

Avançant plus loin dans le magasin, ils sont tombés sur une paire de balances jetées à bas sur le plancher, avec le verre cassé, et ils ont remarqué que la calculatrice électronique était décalée à une certaine distance de sa position normale.

Rencontres avec Entités

A ce moment ils se sont rendu compte de la présence dans le magasin, se tenant à une distance d'environ six mètres d'eux, de deux êtres ressemblant à des humains dans leur aspect général.

Dans les mots de Miguel Carbajal, comme reproduit dans l'article publié par le journal de Buenos Aires La Razon (12 septembre 1978): "j'ai été complètement effrayé... parce que je les ai vus soudainement. Je ne pouvais pas parler... J'ai pensé qu'ils devaient être des Martiens, parce que j'avais lu dans La Gaceta qu'il y avait eu des observations d'OVNIS dans la zone."

Les deux entités étaient d'environ un mètre de hauteur, et "habillées dans des tenues d'une seule pièce bleues claires comme en utilisent les hommes-grenouilles." Sur leurs têtes ils avaient des casques bleu-foncé. Leurs visages étaient bruns, et le teint avait des taches de rousseur. Les yeux des entités étaient droits et de niveau. Leurs nez, bien que les deux témoins ne pouvaient pas décrire ces derniers tout à fait précisément, ont semblé être "aplatis." Leurs mains, bras, et jambes ont tous semblés "normaux" selon les normes humaines. En ce qui concerne leur sexe, les témoins ne pouvaient pas en juger pour sûr.

L'habillement des entités (voir le croquis) était, comme déjà décrit, un vêtement d'une seule pièce, ajusté, et un casque. Sur leurs pieds ils avaient ce qui a semblé être de hautes bottes, bleues lumineuse de couleurs. Sur leurs bras ils avaient des gantelets noirs brillants jusqu'à au-dessus du coude.

Un des entités tenait une arme d'une certaine sorte, qu'il dirigeait vers eux de façon menaçante, et dont Carbajal dit qu'elle était comme un sèche-cheveux.

Les Entités Communiquent

"Ne criez pas, ou nous vous porterons à la soucoupe!"

Cet avertissement, entendu par les deux témoins, a semblé venir des entités, bien qu'ils n'aient vu aucun mouvement des lèvres de l'un ou l'autre des deux êtres, de sorte que le message ait été probablement donné par télépathie.

Le compte-rendu de Carbajal continue en indiquant qu'à ce moment un des êtres a levé une main et a mis le doigt d'index à son nez, sur quoi ils ont tous les deux promptement disparu de la vue (les portes externes du magasin étaient verrouillées).

Miguel Carbajal a couru au jusqu'au ciffre pour sortir les clefs des portes du magasin, et alors qu'il le faisait les entités réapparaissaient, avec précisément la même position qu'avant. Ledesma a saisi un couteau et une barre de fer et lui et Carbajal, ce dernier avec les clefs de magasin dans sa main, sont allés vers la porte.

Violent Contact

Encore une fois les entités ont disparu, Ledesma a dit aux journalistes: "j'ai fait des pas légers vers la réserve et ils étaient à nouveau là, dedans. Et ils ont jeté une caisse de cigarettes vers moi. Elle m'a manqué, passant devant moi. Immédiatement j'ai filé vers la sortie, que Carbajal était parvenu à ouvrir dans l'intervalle."

Les journalistes ont demandé aux deux hommes s'ils avaient entendu n'importe quelle sorte de bruit quand les entités se matérialisaient et se dématérialisaient. "Oui", a dit Carbajal. "Il y avait une sorte de bruit comme TIN... TIN... TIN... mais seulement quand ils disparaissaient."

Une fois hors du magasin, ils ont fermé la porte avec un cadenas et une chaîne et ont filé au loin dans Tucuman dans le fourgon de l'entreprise pour trouver Manuel Carbajal senior et lui indiquer que des voleurs avaient pénétré par effraction dans le magasin. Ensuite tous trois sont revenus au magasin et ont rapporté l'affaire au commissariat de police local, à EL Timbo. Le commissaire de police Miranda les a immédiatement suivis au magasin, mais quand ils y sont arrivés, les entités ne devaient plus être vues. Ils ont vérifié le contenu de la caisse, et ont constaté qu'aucun argent n'a semblé manquer. Les témoins ont estimé que l'épisode avait duré environ 5-10 minutes.

Visite de l'Ufologue

L'investigateur Jorge Eduardo Catoja, d'Argentine, qui a préparé ce rapport après avoir fait une inspection personnelle de la scène et après avoir interviewé les deux témoins, a fait un certain nombre de découvertes intéressantes en interrogeant des personnes vivant dans le voisinage.

Par exemple, il a constaté que, deux semaines avant, deux lumières étranges avaient été vues au-dessus d'une mine de sel voisine (la seule industrie locale.) Et les occupants d'une maison près de là lui ont dit qu'ils avaient récemment été les victimes d'une nuisance mystérieuse de jets de pierres. D'autres que l'investigateur a interrogé se sont rappelés qu'il y a trois ans il y a bien eu là des atterrissages d'OVNIS à un endroit connu sous le nom de Ramadeda de Abajo, situé à l'est de Las Salinas.

Notes

1. Le 'rétrécissement' de l'image de TV aurait également été un résultat typique d'une telle baisse dans le courant - G.C.

2. Et ici nous avons la plus caractéristique et typique de toutes les caractéristiques trouvés dans les cas des infestations poltergeistiques - notamment "le lancer de cailloux!" - G.C.

[Ref. jb1:] JEROME BEAU:

L'auteur indique que le 10 septembre 1978 , dans la banlieue de San Miguel de Tucuman (Argentine), dans un magasin polyvalent (et aussi entrepôt de grande taille) vide, Miguel Angel Carbajal, le fils du gérant, son ami Ledesma et un autre ami infirme suivent dans la salle à manger de la maison une émission télévisée. Quelques mois auparavant, une maison proche du magasin a été bombardée par des pierres d'une manière inexplicable. Petit à petit, l'image se rétrécit jusqu'à devenir irregardable. Ils éteignent la télévision et branchent un électrophone mais celui-ci tourne au ralenti sans raison. Convaincus que le réseau électrique souffre d'une baisse de tension ils allument un petit poste radio portatif: les émissions sont inaudibles. Ils entendent des bruits d'objets tombant dans le magasin. Pensant à des voleurs, Carbajal et Ledesma mettent leur ami infirme en sécurité hors de la maison, puis ouvrent la porte du magasin. Des pots de mayonnaise et une bouteille de vin sont brisés sur le sol. Une balance est elle aussi tombée, vitre cassée. A 6 m d'eux se trouvent 2 êtres d'aspect humanoïde mais de petite taille, vêtus de combinaisons moulantes, les observant avec une attitude menaçante. 1 des 2 êtres saisi sur un comptoir une caisse remplie de cartouches de cigarettes et la jette vers les témoins. Puis 1 être lève une main vers son visage: lorsque son index entre en contact avec son nez, les 2 entités s'évanouissent dans l'air (6).

La source, "(6)", est indiquée comme "Lecomte, Michael."

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Las Salinas San Miguel de Tucuman, Argentine, le 10 septembre 1978, à 1640, deux hommes étaient assis dans leur maison quand ils ont commencé à éprouver de l'interférence de TV, ils ont essayé d'employer un tourne-disque stéréo, et une radio, mais ceux-ci n'ont pas fonctionné correctement non plus. Ils ont alors entendu quelques bruits venir d'un magasin contigu qui était relié à leur maison. Ils sont allés voir et ont trouvé quelques bouteilles cassées sur le plancher et quelques autres dommages. Quelques instants plus tard ils se sont rendu compte de la présence de deux petits êtres se tenant tout près. Ceux-ci étaient habillés dans des tenues d'une seule pièce bleues lumineuses, des casques bleu-foncés, et de hautes bottes de couleurs bleues lumineuses et sur leurs gantelets noirs brillants de bras qui montaient haut au-dessus du coude. Leurs visages étaient bruns et leur teint vérolé, leurs yeux normaux et leurs nez à plat. Un des personnages tenait un objet ressemblant à un "sèche"-cheveux; et le dirigeait vers les témoins. Les deux hommes ont alors entendu un message d'avertissement télépathique de ne pas crier. A ce moment un des témoins a couru à la porte et les deux personnages ont été vus mettre leurs doigts vers le haut de leurs nez et disparaître immédiatement et apparaissant à un endroit différent dans le magasin, ce qu'ils ont fait plusieurs fois alors que les témoins, l'un armé avec un couteau ont couru autour en essayant de sortir les lieux. Quelques caisses vides ont été jetées aux témoins pendant le processus. Les témoins sont finalement parvenus à sortir et ont appelé la police qui a perquisitionné les lieux mais n'a rien trouvé. Les voisins avaient vu des lumières étranges dans le secteur.

Albert Rosales indique que la source est "Jorge Eduardo Catoja, FSR Vol. 28 N.4."

[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:

Rencontre avec des Extraterrestres ce Jour-Là

10 septembre

1978 - A 16:40 deux hommes étaient à la maison regardant la télévision à Las, Salinas, San Miguel De Tucuman, Argentine, quand ils ont commencé à éprouver l'interférence de TV. Ils ont également essayé d'employer un lecteur stéréo, et ensuite une radio, mais ces appareils électriques n'ont également pas fonctionné correctement. Après ils ont entendu un certain bruit venant d'un magasin contigu relié à leur maison, ainsi ils sont allés voir et ont trouvé quelques bouteilles cassées et quelques autres dommages sur le plancher. Quelques instants plus tard ils se sont rendus compte de la présence de deux petits êtres. Ils étaient habillés de costumes bleus et d'une seule pièce lumineux avec des casques bleu-foncé, et des bottes bleues lumineuses montant à hauteur de genoux. Sur leurs bras ils portaient des gantelets noirs brillants qui montaient au-dessus du coude. Leurs visages étaient bruns et leur teint vérolé, leurs yeux ont semblé normaux et leurs nez étaient plats. Un des personnages tenait quelque chose qui ressemblait à un "sèche-cheveux," et le dirigeait vers les témoins. Les deux hommes ont alors reçu un avertissement de message télépathique de ne pas crier. A ce moment un des témoins a couru vers la porte et les deux personnages ont été vus par l'autre mettant leurs doigts contre leurs nez et disparaissant, réapparaissant alors dans un endroit différent dans le magasin. Ils ont fait ceci plusieurs fois pendant que le premier témoin, armé d'un couteau, courait autour pour essayer de sortir du magasin. Quelques caisses vides ont été jetées aux témoins pendant la mêlée. Les hommes sont finalement parvenus à sortir, et ils ont appelé la police qui a fouillé les lieux mais n'a rien trouvé. Les voisins avaient vu des lumières étranges dans le secteur. (Source: Albert S. Rosales, Humanoid Contact Database 1978, cas N.825, citant Jorge Eduardo Catoja, FSR, Vol. 28, N. 4).

[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 10 septembre 1978 à 16:40 à Las Salinas, Argentine, il n'y avait un "rapport de petit homme, aucun OVNI."

Et: "A 16:40 deux hommes étaient assis dans leur maison quand ils ont commencé à éprouver de l'interférence de TV, ils ont essayé d'employer un tourne-disque stéréo, et une radio, mais ceux-ci n'ont pas fonctionné correctement non plus. Ils ont alors entendu quelques bruits venir d'un magasin contigu qui était relié à leur maison. Ils sont allés voir et ont trouvé quelques bouteilles cassées sur le plancher et quelques autres dommages. Quelques instants plus tard ils se sont rendu compte de la présence de deux petits êtres se tenant tout près. Ceux-ci étaient habillés dans des tenues d'une seule pièce bleues lumineuses, des casques bleu-foncés, et de hautes bottes de couleurs bleues lumineuses et sur leurs gantelets noirs brillants de bras qui montaient haut au-dessus du coude. Leurs visages étaient bruns et leur teint vérolé, leurs yeux normaux et leurs nez à plat. Un des personnages tenait un objet ressemblant à un "sèche"-cheveux; et le dirigeait vers les témoins. Les deux hommes ont alors entendu un message d'avertissement télépathique de ne pas crier. A ce moment un des témoins a couru à la porte et les deux personnages ont été vus mettre leurs doigts vers le haut de leurs nez et disparaître immédiatement et apparaissant à un endroit différent dans le magasin, ce qu'ils ont fait plusieurs fois alors que les témoins, l'un armé avec un couteau ont couru autour en essayant de sortir les lieux. Quelques caisses vides ont été jetées aux témoins pendant le processus. Les témoins sont finalement parvenus à sortir et ont appelé la police qui a perquisitionné les lieux mais n'a rien trouvé. Les voisins avaient vu des lumières étranges dans le secteur."

Et: "Petits hommes observés. Un objet non identifié a été observé à courte distance et ses occupants par deux témoins à un magasin (Carbajal). Un nain a été vu."

Et: "Deux hommes étaient assis dans leur maison quand ils ont commencé à éprouver de l'interférence de TV, ils ont essayé d'employer un tourne-disque stéréo, et une radio, mais ceux-ci n'ont pas fonctionné correctement non plus. Ils ont alors entendu quelques bruits venir d'un magasin contigu qui était relié à leur maison. Ils sont allés voir et ont trouvé quelques bouteilles cassées sur le plancher et quelques autres dommages. Quelques instants plus tard ils se sont rendu compte de la présence de deux petits êtres se tenant tout près. Ceux-ci étaient habillés dans des tenues d'une seule pièce bleues lumineuses, des casques bleu-foncés, et de hautes bottes de couleurs bleues lumineuses et sur leurs gantelets noirs brillants de bras qui montaient haut au-dessus du coude. Leurs visages étaient bruns et leur teint vérolé, leurs yeux normaux et leurs nez à plat. Un des personnages tenait un objet ressemblant à un "sèche"-cheveux; et le dirigeait vers les témoins. Les deux hommes ont alors entendu un message d'avertissement télépathique de ne pas crier. A ce moment un des témoins a couru à la porte et les deux personnages ont été vus mettre leurs doigts vers le haut de leurs nez et disparaître immédiatement et apparaissant à un endroit différent dans le magasin, ce qu'ils ont fait plusieurs fois alors que les témoins, l'un armé avec un couteau ont couru autour en essayant de sortir les lieux. Quelques caisses vides ont été jetées aux témoins pendant le processus. Les témoins sont finalement parvenus à sortir et ont appelé la police qui a perquisitionné les lieux mais n'a rien trouvé. Les voisins avaient vu des lumières étranges dans le secteur."

Les sources sont listées comme "Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports"; "Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002"; "Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database".

[Ref. ud2:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 15 août 1978 à 16:40 à Las Salinas, Argentine, "Entendu le bruit du magasin, rencontré deux hommes courts, porté des tenues bien ajustés bleus brillants, "visages désagréables". Télépathie: "porter vous à la soucoupe, rien ne vous arrivera." Disparu, réapparu. Enfermé à l'intérieur."

Et: "Petits hommes observés. Un objet non identifié a été observé à courte distance et ses occupants par trois témoins masculins, d'âge typique 23, dans une ville (Carbajal; Ledesma). Deux nains, chacun portant une costume de plongeur bleu lumineux, ont été vus."

Les sources sont listées comme "Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports"; "Farish, Lucius, UFO Newsclipping Service, UFO Newspaper Clipping Service, Plumerville".

Points à considérer:

Cela se serait passé à 16:40, il fait donc jour dehors, mais les événements allégués ont lieu à l'intérieur et personne ne semble rien avoir dit des conditions d'éclairage. Puisque les témoins auraient vu les objets tombés au sol il ne pouvait pas régner une obscurité totale, mais cela aurait été la moindre des choses de préciser si la pièce était sombre ou éclairée. toutefois la description des couleurs de peau et vêtements des entités suggère que la visibilité ne pouvait pas être trop mauvaise.

On aurait aimé savoir d'où sort le dessin des entités. Du journal Cronica? Du rapport d'enquête? Ce dessin a-t-il été approuvé par le ou les témoins ou non?

Un autre aspect manqué est la source d'énergie de la radio portative. Certains incidents d'OVNIS sont bien connus pour être prétendument accompagnés par quelques effets électriques. Nous avons quelques effets ici, mais soit ils étaient ordinaires, une banale baisse de tension du secteur, soit ils étaient moins ordinaires, une baisse inexpliquée affectant n'importe quelle source d'énergie. Ainsi, quand nous lisons que la radio portative avait eu des problèmes, nous devrions également apprendre si elle fonctionnent sur piles ou était branché sur le secteur. D'un autre côté, on ne nous dit pas exactement que la radio a manqué de courant, nous sommes plutôt invités à penser qu'il y avait des interférences. Y avait-il eu d'autres signalement d'interférence dans le secteur? On ne nous le dit pas, comme si cet aspect du cas n'avait pas été étudié non plus.

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
1 Données Moyenne 26 janvier 2012 Patrick Gross Patrick Gross Source primaire Cronica disponible seulement de seconde main. Aide nécessaire. Ouvert.
2 Ufologie Grave 26 janvier 2012 Patrick Gross Patrick Gross Certains points de l'enquête non menés, comme la question de la fermeture des portes. Aide nécessaire. Ouvert.

Evaluation:

Visiteurs extraterrestres ou invention.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 26 janvier 2012 Création, [jt1], [ni1], [ld1], [jc1], [jb1], [ar1], [dj1], [ud1], [ud2].
1.0 Patrick Gross 26 janvier 2012 Première publication.

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Cette page a été mise à jour le 26 janvier 2012