Une femme de 53 ans a rapporté à des ufologues que le 16 août 1974 à 03:40 du matin, à Malesherbes, et s'est levée pour se rafraîchir parce qu'il faisait chaud, puis s'est recouchée. Elle aurait alors vu par la fenêtre ouverte un faisceau lumineux puissant éclairant la maison de voisins. En baissant les yeux elle aurait vu devant elle à une dizaine de mètres et au niveau des hautes herbes devant la maison éclairée, deux disques lumineux dont il est dit qu'ils qui avaient "la dimension apparente et l'écartement de verres de lunettes", "ternes comme de l'acier".
La femme a eu "l'impression que quelque chose la regarde", a pris peur et s'est recouchée mais ne s'est pas endormie. L'observation a duré quelques minutes, il n'y a pas eu de sons, et aucune trace n'a été trouvée le lendemain. Dans les mois qui ont suivi, elle aurait ressenti et observé de "nombreuses choses inexplicables autour d'elle." Elle aurait ressenti une grande fatigue et une envie de dormir sans motif apparent alors qu'elle venait de prendre des vacances et était en bonne santé.
Elle rapporte qu'en se rendant à son travail elle s'est sentie poussée par une force invisible et est tombée, se blessant et ressentant "un fort souffle" au-dessus d'elle comme si quelque chose passait. Elle rapport entendre des bruits sourds au premier étage de sa maison, un fort bruit inexplicable dans sa cheminée suivi d'une odeur de brûlé "sans cause apparente."
Le 27 février 1975 vers 18:00, elle a vu "à trois ou quatre reprises" une "ombre de forme humaine" s'approcher de sa maison, puis "un grand oiseau sans tête", ces "ombres" lui donnant l'impression de "sortir d'elle". Un verre de lampe à pétrole a disparu de la table de sa cuisine puis a réapparu, les dimensions de la pièce et la lumière "semblaient s'être modifiée; coiffé d'un papier d'aluminium." La couverture de son lit ondule comme un serpent, le lit vibre, un crayon se déplace tout seul. Tout ceci se déroule uniquement lorsqu'elle est seule. Elle pense que cela a un rapport avec des masques africains qui décorent son mure, les enlève et tout ces phénomènes cessent.
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[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
Ces auteurs indiquent que le 16 août 1974 à 03:40 du matin à Malesherbes, 45330, une femme de 53 ans restée anonyme, Mme G., s'est levée dans la nuit pour se rafraîchir car il faisait une forte chaleur. Quand elle s'est recouchée, elle a vu par la fenêtre ouverte un fort faisceau lumineux éclairant la façade de la maison voisine située à l'ouest, qui semblait provenir d'une source située derrière un petit bâtiment à gauche de la fenêtre et monter obliquement. Elle a baissé les yeux et a vu alors juste devant elle à une dizaine de mètres et au niveau des hautes herbes devant la maison éclairée, deux disques lumineux "qui avaient la dimension apparente et l'écartement de verres de lunettes", "ternes comme de l'acier", selon l'expression utilisée par les auteurs. La femme a eu "l'impression que quelque chose la regarde", a pris peur et s'est recouchée mais toutefois sans se rendormir. Cette observation a duré quelques minutes, sans qu'aucun bruit n'a été perçu, et aucune trace n'a été trouvée le lendemain.
Depuis son observation, cette femme est dite avoir ressenti et observé "de nombreuses choses inexplicables autour d'elle." Elle a dans les mois qui ont suivi son observation, ressenti une grande fatigue et a eu envie de dormir sans motif apparent, alors qu'elle venait d'avoir ses vacances et était en bonne santé.
En décembre 1974, tandis qu'elle se rendait à son travail, elle s'est sentie "poussée comme par une force invisible" et est tombée et s'est blessée au genou et a ressenti un fort souffle au-dessus d'elle comme si quelque chose passait. En février 1975, elle a entendu des bruits sourds au premier étage alors qu'elle était seule dans la maison. Le 26 février 1975, elle a entendu un "fort bruit inexplicable dans sa cheminée", suivi d'une odeur de brûlé "sans cause apparente." Le 27 février 1975 vers 18:00, elle a vu "à trois ou quatre reprises" une "ombre de forme humaine" s'approcher de sa maison, et ensuite "un grand oiseau sans tête". Elle a ressenti la curieuse impression que ces ombres "sortaient d'elle" et qu'un "déclic avait lieu dans sa tête comme si une partie d'elle s'en allait ailleurs." Des nombreux "phénomènes de poltergeist" se déroulent dans sa maison, "un verre de lampe à pétrole disparaît sur la table de sa cuisine" et réapparaît après que la femme "ait observé que les dimensions de la pièce et la lumière semblaient s'être modifiée; coiffé d'un papier d'aluminium." La couverture de son lit ondule comme un serpent, le lit vibre, un crayon se déplace tout seul.
Les auteurs notent que personne d'autre n'a observé ces phénomènes qui se déroulent quand elle est seule, et qu'un jour elle a soudain pensé que "les responsables de ces phénomènes" pourraient être deux masques africains qui décoraient sa chambre. Elle les a enlevé, "et tous les phénomènes cessèrent."
Les auteurs indiquent qu'une enquête de messieurs Garnier et Berthaux se trouve dans L.D.L.N. N.149, pages 19-20 et une enquête de M. et Mme Berthault se trouve dans L.D.L.N.. N.153, pages 16-17.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales a dans son catalogue le cas du 16 août 1974, à Malesherbes, France: à 03:40 heure du matin, plusieurs observateurs ont vu un énorme engin stationnaire en forme de cigare au-dessus du secteur. Ensuite, deux objets en forme de petits soucoupes avec dômes ont été vus descendre vers le sol, et plus tard les témoins ont rapporté avoir vu des personnages étranges et avoir entendu de forts bruits dans le secteur près de leurs habitations. Rosales indique le livre par Figuet et Ruchon comme source.
Il est très apparent que le résumé de l'affaire par Albert Rosales n'a pratiquement rien à voir avec le rapport par Figuet et Ruchon.
Un ufologue français a également indiqué une "tentative d'abduction en chambre" d'une Mme Garnier le 9 juillet 1975, dont la source serait LDLN N.317; il est possible qu'il s'agisse encore de la même affaire en une version encore différente. Ce numéro du magazine recenserait des "cas qui évoquent un possible enlèvement par des extraterrestres."
Cette histoire d'une personne ayant des frayeurs nocturnes, un sentiment d'une présence puis rapportant des "phénomènes paranormaux" et de la sorcellerie qui ne se produisent que lorsqu'elle est seule semble et disparaissent lorsqu'elle décroche des masques africains de son mur n'offre guère de raisons d'y voir autre chose qu'un vécu d'illusions d'une personne quelque peu portée sur toutes sortes de croyances.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Moyen | 1 septembre 2006 | Patrick Gross | Patrick Gross | Manque sources primaires LDLN 149. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
1 | Données | Moyen | 1 septembre 2006 | Patrick Gross | Patrick Gross | Manque sources primaires LDLN 153. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
1 | Données | Moyen | 1 septembre 2006 | Patrick Gross | Patrick Gross | Manque sources primaires LDLN 314. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Illusions et fantasmes.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1a | Patrick Gross | 26 août 2006 | Création, [fr1], [ar1]. |
0.1b | Patrick Gross | 1 septembre 2006 | Rédaction, points à considérer, résumé. |
0.2 | Patrick Gross | 2 septembre 2006 | Première publication. |