URECAT -> AccueilCliquez!
This page in EnglishClick!

URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

PRINTEMPS 1955, CHANTILLY, OISE, FRANCE, SUZANNE L.:

Bref résumé de l'événement et des suites:

L'ufologue français Joël Mesnard rapporte une affaire de "blondes gracieuses" dont il se demande s'il faut vraiment la rattacher à la question des "hommes en noir." Il explique avoir receuilli trois affaires de ce genre qu'il a publié dans le numéro 332 de Lumières Dans La Nuit, en 1995, et que s'il est bien difficile de se faire une opinion sur les témoignages sur des "Hommes en Noir", ce genre de témoignages, ne serait-ce qu'à cause de leur rareté et encore plus difficile à juger puisque les éléments d'appréciation sont de toute évidence insuffisants.

Il rapporte que vers 13 heures un samedi de 1959, peut-être au printemps, Suzanne L. a pris un train à la gare de Creil, dans l'Oise, pour se rendre à Paris. Le train était bondé, mais une banquette était restée inoccupée bien que de nombreux voyageurs étaient entassés debout; elle est allé s'y asseoir, et il y avait sur la banquette en face d'elle deux jolies jeunes femmes blondes qui se ressemblaient comme deux soeurs jumelles.

L'attention de Suzanne a été très vite accaparée par ces deux jeunes femmes dont le visage qui exprimait une grande sérénité était de de type européen, avec les pommettes assez hautes, des yeux bleus assez nettement étirés vers les tempes, un teint normal bronzé, des cheveux descendant jusqu'aux épaules. Elles portaient des tailleurs vert pâle et des corsages blancs et n'avaient pas de sacs.

Suzanne a affirmé à Joël Mesnard en 1990 qu'à aucun moment son regard n'avait croisé celui de l'une d'elles, car elles regardaient légèrement au-dessus des têtes des voyageurs, et plutôt vers l'extérieur du train. Elles ont seulement échangé entre elles quelques vagues murmures, assises là "comme si elles avaient été dans un salon", et la place à côté de celle de Suzanne est restée libre jusqu'à Paris.

Lorsque le train est arrivé à la Gare du Nord, Suzanne s'est préparée à descendre, et un bref instant, elle a perdu les deux jeunes femmes de vue, elle les a cherché en vain du regard: elles n'étaient plus ni dans le wagon, ni sur le quai.

Le lendemain, Suzanne est allé à la messe de 8 heures, où il n'y avait pas grand monde. Elle allait vers sa place habituelle, quand elle a vu que les deux jeunes femmes de la veille étaient là, déjà assises. Elle s'est assise derrière elles, et s'est de nouveau sentie "comme sur un autre plan", au point d'avoir beaucoup de mal à suivre la messe. Elle a déclaré: "Ce qui émanait d'elles était tellement puissant que j'avais l'impression de ne plus être moi-même." Cette fois encore il lui a semblé que les deux jeunes femmes avaient disparu sur place, sans qu'elle puisse expliquer comment.

Trois ans plus tard, à Châtel, dans le Bourbonnais, elle a observé une boule lumineuse qui a émit des faisceaux intermittents, "comme des signaux", et a disparu en prenant de l'altitude. Plus tard encore, elle a vu en pleine nuit à son domicile un personnage apparaître qui a disparu comme par enchantement.

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-000555
Date d'observation: Printemps 1959
Premier rapport: 1990
Délai de rapport: 31 years
Témoignage apporté via: Rapporté à l'ufologue Joël Mesnard.
Premier enregistrement allégué par: N/A.
Premier enregistrement certain par: Magazine d'ufologie LDLN.
Type premier enregistrement allégué: N/A.
Type premier enregistrement certain: Magazine d'ufologie LDLN.
Ce dossier créé le: 22 mars 2008
Sa plus récente mise à jour: 2 avril 2008
Pays de l'événement: France
Etat/Département: Oise
Type de lieu: Dans un train, à la messe.
Conditions d'éclairage: Diverses, correctes.
OVNI observé: Non
Arrivée OVNI observée: N/A.
Départ OVNI observé: N/A.
Relation OVNI/entité: Sans
Nombre de témoins: 1
Ages des témoins: Non rapporté. Agé.
Types de témoins: Femme, mère de 3 enfants, grand-mère, mariée, catholique pratiquante.
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Non.
Nombre d'entités: 1
Type d'entités: Humain
Taille d'entités: Non rapporté.
Tenues d'entités: Normal, tailleur et blouse.
Couleur des tenues d'entités: Tailleur vert pâle, blouse blanche.
Couleur de peau d'entités: Normal, bronzé.
Corps des entités: Belles jeunes femmes comme des jumelles.
Têtes des entités: Non rapporté. Visage comme Patricia Kaas.
Yeux des entités: Bleus, prolongé vers les tempes.
Bouches des entités: Non rapporté.
Nez des entités: Non rapporté.
Pieds des entités: Non rapporté.
Bras des entités: Non rapporté.
Doigts des entités: Non rapporté.
Nb de doigts des entités: Non rapporté.
Pilosité des entités: Cheveux descendant sur les épaules.
Voix des entités: Murmuraient entre elles, trop bas pour être compris.
Actions des entités: Assise dans un train, assise à la messe le lendemain.
Interactions entités/témoins: Aucune.
Réactions des témoins: Observation, départ.
Sentiments des témoins: Etonnement, sensation d'iréalité.
Interprétations des témoins: Non rapporté.
Catégorie explicative: Inexpliqué. Information de fond insuffisante. Pas de lien assuré avec la question OVNI.
Certitude de l'explication: Haute.

Récits:

[Ref. jm2:] JOEL MESNARD:

L'ufologue se demande s'il se pourrait que des personnages dans les lieux publics n'aient d'humain que l'apparence et soient en fait des extraterrestres parmi nous, idée qui excite les imaginations, et qui a inspiré d'innombrables auteurs de science-fiction. Il précise que ce genre de littérature est aux antipodes de ses préoccupations, et qu'il veut s'intéresser à la réalité et à tenter d'explorer certains de ses aspects "cachés".

Il explique qu'il existe quelques témoignages qui sont a priori aussi respectables que les autres, et qui semblent donner une certaine consistance aux rumeurs de présence à nos côtés de personnages radicalement étrangers à notre espèce sous des apparences quasi-humaines.

Il explique que présenter de tels témoignages est aborder les limites de l'ufologie, sans en sortir, et qu'il se gardera de tirer la moindre conclusion qui risquerait d'être prématurée ou excessive, et qu'il ne cherche pas à répandre comme une vérité établie, l'idée selon laquelle nous serions infiltrés par des extraterrestres même si quelques indices semblent aller plus ou moins dans ce sens, qui sont sulement indices fondés sur un tout petit nombre de témoignages, sans aucun commencement de preuve, ne permettant pas sérieusement de fonder une conviction, et encore moins, de la propager. Il veut cependant de pas avoir l'attitude de vouloir les ignorer sous prétexte d'invraisemblance.

Joël Mesnard indique qu'il a recueilli le témoignage de Suzanne il y a cinq ans. C'est une femme qui a eu trois enfants et est maintenant grand-mère, habitant la région de Chantilly dans l'Oise, son mari et elle sont catholiques pratiquants.

En 1959, peut-être au printemps, vers 13 heures, elle a pris un train direct pour aller à la gare du Nord à Paris. Le train était bondé mais personne n'est venu s'asseoir sur une certaine banquette face à deux jolies jeunes femmes blondes qui se ressemblaient comme des jumelles. Suzanne s'y est assise, alors que la place a côté d'elle restrera libre jusqu'à Paris alors que voyageurs qui restiaent debout étaient serrés comme des sardines.

Elle a vite fixé son attention sur les deux femmes, leur visage exprimait une étonnante sérénité. Leurs yeux étaient bleus, assez nettement étirés vers les tempes, elle a a comparé leur visage à celui de Patricia Kaas, parlant de type européen, mais avec les pommettes hautes.

Leur teint était normal, la peau légèrement bronzée, les cheveux descendant jusqu'aux épaules. Elles portaient des tailleurs vert pâle et des corsages blancs et n'avaient pas de sacs.

A aucun moment elles n'ont croisé le regard de Suzanne, regardant légèrement au-dessus des têtes des voyageurs, plutôt vers l'extérieur du train, et elles n'ont échangé entre elles que quelques vagues murmures inintelligibles pour Suzanne. Elles étaient assises là "comme si elles se trouvaient dans un salon".

Quand le train est arrivé en gare, Suzanne s'est préparée à descendre, et a totalement perdu de vue les deux jeunes femmes un instant, et quand elle a cherché à le voir de nouveau, elles avaient disparu, et n'ont été trouvées ni dans le wagon ni sur le quai.

Le lendemain, un dimanche, Suzanne est allé à la messe de 8 heures, peu fréquentés, elle s'est dirigé vers sa place habituelle et s'est aperçu que les deux jeunes femmes étaient là et déjà assises, et elle s'est assise derrière elles.

Elle s'est de nouveau sentie "comme sur un autre plan" et a eu beaucoup de mal à suivre la messe, parce que "ce qui émanait d'elles était tellement puissant, que j'avais l'impression de ne plus être moi-même". Il lui a semblé que les deux jeunes femmes ont de nouveau disparu "sur place", et elle n'a pas pu préciser comment.

Joël Mesnard indique d'autres expériences rapportées par Suzanne: un soir, vers 1962, à Châtel dans le Bourbonnais, elle a vu une boule lumineuse qui était tout d'abord immobile et a émi des faisceaux intermittents comme des signaux, avant de disparaître en prenant de l'altitude.

Dans la nuit du 6 au 7 mars 1975, Suzanne s'est réveillée avec l'impression qu'il y avait quelqu'un dans la maison, alors que son mari dormait. Elle a été inquiète et s'est mise à prier.

Soudain, il y a eu un bruit assourdissant de vaisselle cassée, et elle et son mari se son levés précipitamment, sûrs que le vacarme venait du vaisselier dans le salon, mais ce n'était pas le cas, puisqu'ils ont cherché partout mais n'ont pas trouvé le moindre verre brisé.

Le mari s'est rendormi assez vite, mais Suzanne ne trouvait pas le sommeil, et au bout d'un moment, elle a distingua une lueur dans le couloir, s'est levée silencieusement, est sortie de la chambre, et a découvert un homme très beau dans le couloir, aux cheveux blonds ondulés, vêtu d'une longue robe jaune et d'une écharpe blanche, flottante, et qui marchait avec précaution mais sans que ses pieds touchent le sol.

Elle a croisé son regard, il a paru surpris, et a semblé disparaître dans le mur presque immédiatement. Le lendemain matin, elle a trouvé la maison baignée d'une lumière inhabituelle, et ses enfants l'ont aussi constataté. Il est arrivé quantité de bonnes choses dans les jours suivants.

Vers l'âge de 10 ou 12 ans, il lui est arrivé d'être réveillée par des douleurs dans les doigts, "comme si on lui tirait les nerfs", il lui est arrivé d'éprouver cette sensation pénible de jour mais cela arrivait surtout la nuit, ce qui rappelle à Joël Mesnard les cas de Rose et de Catherine exposés dans le N. 314 du magazine en pages 25 et 30, et un autre cas inédit d'annulaire droit présentant une longueur anormale, qu'il évoquera prochainement.

Mesnard explique que tout ceci peut sembler incroyable au lecteur mais que de connaître la personalité du témoin le rend plus crédible.

[Ref. jm1:] JOEL MESNARD:

Joël Mesnard rapporte une affaire de "blondes gracieuses" dont il se demande s'il faut vraiment la rattacher à la question des "hommes en noir." Il explique avoir receuilli trois affaires de ce genre qu'il a publié dans le numéro 332 de Lumières Dans La Nuit, en 1995, et que s'il est bien difficile de se faire une opinion sur les témoignages sur des "Hommes en Noir", ce genre de témoignages, ne serait-ce qu'à cause de leur rareté et encore plus difficile à juger puisque les éléments d'appréciation sont de toute évidence insuffisants.

Il rapporte que vers 13 heures un samedi de 1959, peut-être au printemps, Suzanne L. a pris un train à la gare de Creil, dans l'Oise, pour se rendre à Paris. Le train était bondé, mais une banquette était restée inoccupée bien que de nombreux voyageurs étaient entassés debout; elle est allé s'y asseoir, et il y avait sur la banquette en face d'elle deux jolies jeunes femmes blondes qui se ressemblaient comme deux soeurs jumelles.

L'attention de Suzanne a été très vite accaparée par ces deux jeunes femmes dont le visage qui exprimait une grande sérénité était de de type européen, avec les pommettes assez hautes, des yeux bleus assez nettement étirés vers les tempes, un teint normal bronzé, des cheveux descendant jusqu'aux épaules. Elles portaient des tailleurs vert pâle et des corsages blancs et n'avaient pas de sacs.

Suzanne a affirmé à Joël Mesnard en 1990 qu'à aucun moment son regard n'avait croisé celui de l'une d'elles, car elles regardaient légèrement au-dessus des têtes des voyageurs, et plutôt vers l'extérieur du train. Elles ont seulement échangé entre elles quelques vagues murmures, assises là "comme si elles avaient été dans un salon", et la place à côté de celle de Suzanne est restée libre jusqu'à Paris.

Lorsque le train est arrivé à la Gare du Nord, Suzanne s'est préparée à descendre, et un bref instant, elle a perdu les deux jeunes femmes de vue, elle les a cherché en vain du regard: elles n'étaient plus ni dans le wagon, ni sur le quai.

Le lendemain, Suzanne est allé à la messe de 8 heures, où il n'y avait pas grand monde. Elle allait vers sa place habituelle, quand elle a vu que les deux jeunes femmes de la veille étaient là, déjà assises. Elle s'est assise derrière elles, et s'est de nouveau sentie "comme sur un autre plan", au point d'avoir beaucoup de mal à suivre la messe. Elle a déclaré: "Ce qui émanait d'elles était tellement puissant que j'avais l'impression de ne plus être moi-même." Cette fois encore il lui a semblé que les deux jeunes femmes avaient disparu sur place, sans qu'elle puisse expliquer comment.

Trois ans plus tard, à Châtel, dans le Bourbonnais, elle a observé une boule lumineuse qui a émit des faisceaux intermittents, "comme des signaux", et a disparu en prenant de l'altitude. Plus tard encore, elle a vu en pleine nuit à son domicile un personnage apparaître qui a disparu comme par enchantement.

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Chantilly, Oise, France, au printemps de 1959, à 13:00, le témoin, Suzanne, est monté à bord d'un train direct, qui se dirigé vers le nord vers Paris. Dans ce train bondé elle a rencontré deux jolies jeunes femmes blondes, identiques entre eux comme des jumeaux. Comme elle les a approchés, elles ont soudainement disparu sous sa vue. Le lendemain dimanche, elle est allée à la masse catholique à 08:00 du matin, et a encore rencontré les mêmes deux femmes blondes identiques. De nouveau quand elle a essayé de les approcher elles ont encore disparu sous ses yeux.

Albert Rosales indique que la source est Joel Mesnard, LDLN #332.

Points à considérer:

Je ne vois rien à ajouter au commentaire de Joël Mesnard: le rattachement de l'affaire des "blondes gracieuses" à la question des "hommes en noir" est problématique, son rattachement à la question des OVNIS l'est naturellement encore plus, et ce genre de témoignages est encore plus difficile à juger puisque les éléments d'appréciation sont de toute évidence insuffisants.

A gauche: Suzanne a comparé le visage des deux femmes à celui de la chanteuse française Patricia Kaas, qui a atteint la célébrité populaire à partir de 1987.

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
1 Ufologie Grave 22 mars 2008 Patrick Gross Patrick Gross Sans lien évident avec la question des occupants d'OVNIS. Aide nécessaire. Ouvert.
2 Ufologie Grave 22 mars 2008 Patrick Gross Patrick Gross Eléments d'appréciation sont de toute évidence insuffisants. Aide nécessaire. Ouvert.

Evaluation:

Inexpliqué. Information de fond insuffisante. Pas de lien assuré avec la question OVNI.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Un lecteur contribuant à la documentation au 1 avril 2008.
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 22 mars 2008 Création, [jm1], [ar1].
1.0 Patrick Gross 22 mars 2008 Première publication.
1.1 Patrick Gross 2 avril 2008 Addition, [jm2]. Additions correspondantes dans le tableau des Informations de Base. Ajout de la photographie de Patricia Kaas et sa légende en Points à Considérer.

Valid XHTML 1.0 Strict



 eMail  |  Début  |  Retour  |  Avance  |  Plan  |  Liste |  Accueil
Cette page a été mise à jour le 2 avril 2008