A une date donnée dans les premières sources comme le 17 octobre 1954, puis en 1970 par des familiers du témoin comme début octobre 1954, Maxime Pignatelli est allé à la chasse avec son chien sur les bords de la Durance, au lieu dit Les Iscles ou Les Isoles, à proximité immédiate de Corbières, village situé sur la Route Nationale 96, près de Cabasson, dans le Var, en France.
Vers 14:00, ou 19:00 ou 19:30, en visant une grive qui s'envolait d'un fourré, en même temps qu'il entendait un bruit de branches écrasées, il a aperçu la partie supérieure d'un objet ovale (diamètre 3 ou 4 mètres ?), de couleur noire et sans reflets lumineux.
Sur le bord supérieur de l'étrange engin, il a vu deux têtes de deux petits êtres de taille enfants.
Il n'a observé cela que durant quelques secondes; pris de panique, il s'est sauvé si vite qu'il était tombé dans un fossé rempli d'eau et a été trempé jusqu'au cou.
A ce moment-là, il a vu arriver son chien. Le pauvre animal criait et traînait les deux pattes arrières comme si celles-ci avaient été blessées ou paralysées.
A l'époque, personne n'avait voulu le croire; mais un fait étrange qui a intrigué ses proches était qu'à son retour, il avait senti une "torpeur" s'emparer de lui. Sa famille a confirmé à des enquêteurs en 1970 que "le choc se répercuta sur son coeur", et il est décédé d'une façon ou d'une autre en début septembre 1955.
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[Ref. jv1:] JACQUES VALLEE:
Jacques Vallée indique que le 17 octobre 1954 à 14:30, à Cabasson, près de Corbières, en France, un homme de 65 ans chassait avec son chien près du confluent du canal de Brillance et de la Durance, quand il s'est trouvé soudain face à face avec un objet de couleur grise, d'environ 4 mètres de long sur 1 mètre de haut, posé sur le sol à 40 mètres de lui. La machine était surmontée d'un dôme, et il a vu deux êtres casqués en sortir. Le témoin s'est enfui, mais son chien a foncé vers l'objet; puis a vite reculé, et a marché pendant quelque temps maladroitement comme s'il avait été partiellement paralysé.
[Ref. jv2:] JACQUES VALLEE:
279 17 Octobre 1954, 14h30. Cabasson (France): Un homme (65 ans) chassait, accompagné de son chien, près du confluent de la Durance et du canal de Brillance, lorsqu'il vit sur le sol à 40 mètres de lui, un objet gris d'environ 4 mètres de long et 1 mètre de haut, surmonté d'un dôme d'ou sortaient deux silhouettes casquées. Le témoin s'enfuit, son chien courut vers l'objet mais bientôt battit en retraite, marchant difficilement, comme partiellement paralysé. (Personnel). |
[Ref. lo1:] CORAL ET JIM LORENZEN:
Les auteurs indiquent que deux êtres casqués ont émergé d'un objet gris en forme de disque d'approximativement 40 pouces de hauteur et 15 pieds de diamètre le 17 octobre 1954, à Cabasson près de Corbières. Un homme de 65 ans, sorti chasser avec son chien près de la jonction d'un canal et d'un fleuve, est soudainement arrivé sur cet objet reposant sur la terre à moins de 150 pieds devant lui. Effrayé alors par ses occupants casqués, il a tourné talons et a couru, mais le chien a approché l'objet. Il a bientôt fait retraite, cependant, et son maître a noté qu'il a marché d'une manière particulière pendant un certain temps, comme partiellement paralysé.
[Ref. gl1:] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER:
Les deux auteurs reprennent les informations dans le catalogue de Jacques Vallée.
[Ref. sd1:] PIERRE SCHAEFFER ET PIERRE DELVAL:
UN RECIT D'ATTERRISSAGE INEDIT à CORBIERES ("04"-Basses-Alpes)Octobre 1954 Enquête effectuée par Francis Schaefer (GEOCNI) et Pierre Delval (GEMOC), le 28 juillet 1970 - (Extrait du dossier CFRS 04 - E.A.). Introduction:A l'occasion d'une contre-enquête effectuée dans le secteur de Valensole et grâce à des coordonnées qui nous furent fournies ce dont nous remercions ici les auteurs il nous fut possible de procéder, l'été dernier à une petite enquête sur un cas d'atterrissage survenu en 1954, dans ce même secteur de Valensole. Plusieurs entrevues furent nécessaires à 04-CORBIERES (non loin de Ste TULLE et de MANOSQUE) avant de savoir que le témoin principal de cette affaire fut M. Maxime PIGNATELLI, aujourd'hui décédé. Ce furent donc des membres de sa famille qui furent longuement interrogés, (et "pris par surprise"), nous pouvons établir le rapport suivant dont l'intérêt, d'ailleurs, n'a rien à envier à celui de VALENSOLE qui fit l'objet, par la même occasion, d'une nouvelle visite de notre part afin de vérifier d'anciens témoignages. 1) LES FAITS.Au début du mois d'octobre 1954 (les membres de la famille ne se souviennent plus du jour exact), M. Maxime PIGNATELLI partit à la chasse avec son chien sur les bords de la Durance (Les "Iscles"), à proximité immédiate de CORBIERES, village situé sur la N 96. Vers 19 heures (ou 19 h. 30), en visant une grive qui s'envolait d'un fourré, M. Maxime PIGNATELLI (en même temps qu'il entendait un bruit de branches écrasées) aperçut... la partie supérieure d'un objet ovale (diamètre 3 ou 4 mètres ?), de couleur noire et sans reflets lumineux. Sur le bord supérieur de l'insolite appareil apparaissaient deux têtes de deux petits êtres grands "comme des enfants" (sic). Le témoin n'observa ce spectacle ahurissant que durant quelques secondes: une indicible panique s'empara du chasseur qui prit la fuite si rapidement qu'il chuta malencontreusement dans un fossé rempli d'eau, fossé auquel il n'avait pu prendre garde dans sa course effrénée. "Trempé jusqu'au cou", il s'extirpa de sa mauvaise position. A ce moment-là M. M. PIGNATELLI vit arriver son chien: le pauvre animal criait et traînait les deux pattes arrières comme si celles-ci venaient d'être touchées par une douloureuse décharge! Une chose apparaît comme incontestable: la bête était blessée sérieusement et l'origine de son mal ne pouvait provenir que des occupants de l'objet stationné dans la clairière. A l'époque, personne (bien entendu) ne voulut admettre l'authenticité de cette dramatique partie de chasse; mais un fait intéressant (quoique regrettable pour le témoin) ne manqua pas d'intriguer les proches de M. M. PIGNATELLI: en effet, ce dernier, à son retour, sentit une "torpeur" (comparable à la fatigue ou à la somnolence) s'emparer de lui. Sa famille confirma même que "le choc se répercuta sur son coeur". Quel que soit le degré du cas, l'atterrissage de CORBIERES se caractérise par un (ou des) effet(s) physiologique(s). Le témoin principal devait décéder en début septembre 1955 et il est désormais impossible d'établir une éventuelle relation de cause à effet. Il convient, de toute façon, d'enregistrer l'état de somnolence directement après l'incident de la clairière. |
[Page manquante.] |
Dans l'affaire de CORBIERES, nous sommes particulièrement frappés, voire marqués, par la peur intense du témoin; celui-ci abandonna si rapidement les lieux qu'il lui fut impossible de fournir le moindre renseignement quant à l'aspect extérieur des êtres (têtes, menton, yeux, oreilles, système pileux ou habillement) ou de l'UFO (porte, béquilles, coupole...) pour lequel, curieusement les personnes interrogées employèrent le mot..."ballon de rugby", comme à VALENSOLE. Sa fuite, hélas, ne lui permit point d'assister à l'envol de l'appareil. Quoiqu'il en soit, si les détails ne sont pas aussi nombreux qu'ils le furent pour QUAROUBLE ou VALENSOLE (par exemple), l'incident, en lui-même est très important. Un des aspects les plus mystérieux de cet atterrissage reste l'origine exacte du bruit (craquement ou écrasement) car, selon ce que nous savons, l'UFO était DEJA posé dans la clairière et même, à ce qu'il semble, enfoui dans la végétation. Il y a donc deux hypothèses:
a): Comment un engin ayant déjà atterri peut-il encore produire un craquement, (Nous supposons, en formulant cette question, que la végétation avait déjà subi les conséquences d'un atterrissage; elle devait, normalement, déjà être écrasée. b): Selon la description de M. Maxime PIGNATELLI, les petits êtres apparaissaient sur la partie supérieure de l'UFO, donc:
Même en supposant que les êtres aient remué quelques branches jusqu'à les briser, cela ne justifie toujours pas le bruit de branches écrasées. 2) DES RESSEMBLANCES.Après examen de l'atterrissage de CORBIERES, l'on ne peut s'empêcher d'établir de solides parallèles avec celui, plus connu, de VALENSOLE...
3) QUELQUES PRECISIONS SUR LES LIEUX.- La "Durance" sépare le lieu d'atterrissage d'un aérodrome situé, en face, à deux kilomètres de VINON-sur-VERDON, alt. 279 m. sur la N552 et 554. - Le lieu d'atterrissage est à 3 km du BARRAGE de CADARACHE. |
Nous notons, non loin, la présence d'un Contre d'Etudes Nucléaires pouvant susciter un intérêt "stratégique". Mais existait-il déjà en octobre 1954? 4) CORBIERES ET L'ORTHOTENIE.ou: LE RESEAU ORTHOTENIQUE DU 7 OCTOBRE 1954, MIS EN EVIDENCE PAR AIME MICHEL, EST-IL SUSCEPTIBLE DE FOURNIR LA DATE EXACTE DE L'ATTERRISSAGE DE CORBIERES? L'orthoténie, à priori, peut-être
Janine et Jacques Vallée, en voulant "barrer la mention inutile" furent amenés à conclure par "indéterminé". Ici, nous ne justifierons ni l'un ni l'autre puisqu'il sera uniquement question de constater. Ayant refait, livre en main (1), le travail d'Aimé MICHEL, il m'a été permis de faire une constatation curieuse: L'atterrissage de CORBIERES eut lieu, selon les personnes interrogées, au début du mois d'octobre 1954. Considérons donc la date des 2 et 7 octobre 1954, très importantes en recherches orthoténiques. Il n'apparaît rien de bien surprenant en plaçant CORBIERES sur la carte orthoténique du 2 octobre 1954. Par contre, en complétant le réseau orthoténique du 7 octobre 1954 par l'apport d'une nouvelle punaise sur la carte à l'emplacement de CORBIERES, le résultat est assez stupéfiant: Malgré un très léger écart (2), le lieu de l'atterrissage de CORBIERES occupe une place "cohérente" dans le réseau déjà touffu du 7 octobre 1954. La carte de la p. [illisible] ne reproduit que les lignes dont nous parlerons ci-dessous. Du point de vue des alignements, nous voyons que:
Francis Schaefer (GEOVNI) Notes (mentionnées dans le texte):
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[Ref. lp1:] JOURNAL "LE PROVENCAL":
LE DOSSIERIl y a trente ans
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Note: article complet et scan ici.
[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
Les deux auteurs indiquent qu'à Corbières dans les Alpes de Haute Provence, le 17 octobre 1954 à 14:30, Maxime Pignatelli, 65 ans, est à la chasse avec son chien sur les bords de la Durance au lieu dit Cabasson "les Isoles."
En visant une grive qui s'envole d'un fourré, il entend un bruit de branches écrasées et voit à ce moment un objet ovale d'un diamètre de 3 ou 4 mètres de couleur grise et sans reflets lumineux, avec un dôme, posé au sol.
Deux têtes de petits êtres grands "comme des enfants" apparaissent sur le bord supérieur de l'engin insolite.
Le témoin observe ce spectacle ahurissant durant quelques secondes seulement; une peur panique s'empare de lui. Il prend la fuite si rapidement qu'il chute malencontreusement dans un fossé rempli d'eau. Trempé jusqu'au cou, il parvient à s'extirper de sa mauvaise position.
A ce moment-là, le chasseur voit arriver son chien: le pauvre animal crie et traîne les deux pattes arrière. Son mal ne pouvait provenir que des occupants de l'objet posé dans la clairière.
Le témoin, à son retour à son domicile sentit une torpeur (comparable à la fatigue ou à la somnolence).
Figuet et Ruchon notent que cela s'est passé la nuit si l'on prend l'heure de 19 heures donnée par Schaefer et Delval, et qu'il n'est pas possible de chasser la grive la nuit.
Ils indiquent comme source le cas 279 du catalogue Vallée, la page 164 du livre de Garreau et Lavier "Face aux ET", et l'enquête de Pierre Schaefer et Pierre Delval le 27 juillet 1970 parue dans la revue "Phénomènes Inconnus."
[Ref. js1:] JEAN SIDER:
Jean Sider indique que le 17 octobre 1954 à 14:30 à Cabasson près de Corbières dans les Alpes de Haute-Provence, Maxime Pignatelli chassait sur les bords de la Durance en compagnie de son chien.
Près du lieu-dit Les Iscles, il a soudain entendu un bruit de branches cassées. En cherchant ce qui avait causé ce bruit, il a aperçu un objet ovale posé au sol.
En regardant avec attention, il a remarqué deux têtes de petits êtres sur la partie supérieure de l'engin. Ce constat ne lui a pris que quelques secondes, "mais voilà déjà que la peur le saisit". Epouvanté, il s'est enfuit avec tant de hâte qu'il est tombé dans un fossé rempli d'eau.
Il s'est redressé trempé mais indemne, et à ce moment-là il a vu que son chien qui avait surgi en hurlant traînait ses deux pattes postérieures. A son retour à la maison, il a senti une torpeur le gagner.
Jean Sider reprend là le rapport de Michel Figuet en le citant comme source, et ajoute l'information qu'une contre-enquête faite en 1970 par Francis Schaefer et Pierre Delval, du Groupe Ouranos, a montré que le choc émotionnel enregistré par le témoin s'était répercuté sur son coeur.
[Ref. jc1:] JOHN F. SHUESSLER:
1954/10/17 FRANCE, CABASSON Source: Un chasseur, avec son chien, a vu un objet en forme de disque atterrir et deux êtres en émerger. Le chasseur s'est sauvé, mais son chien s'est approché et a fait retraite, marchant maladroitement pendant un certain temps comme si il était partiellement paralysé. EFFETS: |
[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
L'ufologue belge indique qu'en 1954, le 17 octobre, en France, à "Villeneuve (Cabasson ?)", Alpes de Haute Provence, "Maxime Pignatelli veut chasser la grive avec son chien, près du confluent de la Durance et du Canal de Brillance, vit à 14 h 30 à 40 m de lui sur le sol, un objet gris d'environ 4 m de long pour 1 m de haut, surmonté d'un dôme d'où sortaient deux silhouettes casquées. Le témoin s'enfuit, le chien courut vers l'objet mais battit bientôt en retraite, marchant difficilement, comme partiellement paralysé."
La source est notée comme "Jacques Vallée: 'Chronique des apparitions ET' - DENOEL 1972 - COLL. J'AI LU - p. 284".
[Ref. mc1:] MARK CASHMAN:
Cabasson (France). 17/10/1954 Un homme de 65 ans chassait, accompagné de son chien, près du confluent du canal de Brillance et de la Durance, lorsqu'il vit sur le sol à 40 mètres de lui, un objet gris d'environ 4 mètres de long et 1 mètre de haut. Il présentait un dôme d'où émergeaient deux silhouettes casquées. Le témoin s'enfuit, mais son chien courut vers l'objet. Le chien battit bientôt en retraite, marchant difficilement, comme partiellement paralysé. |
[Ref. fb1:] FABRICE BONVIN:
Fabrice Bonvin note:
Cas n006: 17/10/1954, p. 178 (Cabasson) |
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
174. Lieu. Cabasson France Date: 17 octobre 1954 Heure: 1430 Maxime Pignatelli était en chasse avec son chien quand il a vu un objet gris, d'environ 4 mètres de long et 1 mètre de haut, sur la terre à 40 mètres de là. Il avait un dôme, dont 2 personnages casqués ont émergé. Le témoin s'est sauvé, mais son chien est allé vers l'objet; mais il a bientôt fait retraite, marchant maladroitement comme s'il était partiellement paralysé. Humcat 1954-102 Source: Jacques Vallee, Passport to Magonia Type: B |
[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:
Rencontres svec des Extraterrestres ce Jour-Là 17 octobre [...] 1954 - A Cabasson, France un homme de 65 ans chassait avec son chien à 14:30 près de la jonction du canal de Brillance et du fleuve Durance. Il a vu un objet gris, d'environ quatre mètres de long et d'un mètre de haut sur la terre et à 40 mètres de distance. Il avait un dôme dont deux personnages casqués ont émergé. Le témoin s'est sauvé, mais son chien a couru vers l'objet. Le chien a bientôt fait retraite, marchant maladroitement comme si partiellement paralysé. (Source: Jacques Vallee, Passport to Magonia: A Century of Landings, p. 232). |
[Ref. kb1:] KEITH BASTERFIELD:
L'ufologue australien indique que le 17 octobre 1954, à 14:30, à Cabasson, en France, un chasseur masculin, avec un chien, a vu atterrir un objet en forme de disque et deux êtres casqués en émerger. Le chasseur s'est sauvé mais son chien s'est approché et a ensuite fait retraite, marchant maladroitement pendant un certain temps comme paralysé partiellement.
La source est indiquée comme Bowen, C. 1969, The Humanoids, Neville Spearman, Londre, page 48.
[Ref. jb1:] JEROME BEAU:
Jérôme Beau indique que le dimanche 17 octobre 1954 à 14:30, à Cabasson, près de Corbières, en France, un homme de 65 ans chassait avec son chien près du confluent du canal de Brillance et de la Durance, quand il s'est trouvé soudain face à face avec un objet de couleur grise, d'environ 4 mètres de long sur 1 mètre de haut, posé sur le sol à 40 mètres de lui. La machine était surmontée d'un dôme, et il a vu deux êtres casqués en sortir. Le témoin s'est enfui, mais son chien a foncé vers l'objet; puis a vite reculé, et a marché pendant quelque temps maladroitement comme s'il avait été partiellement paralysé.
[Ref. lc1:] LUC CHASTAN:
Luc Chastan indique qu'à Corbières le 17 octobre 1954 à 14:30 heures, "Le témoin est à la chasse avec son chien sur les bords de la Durance au lieu dit Cabasson "les Isoles". En visant une grive qui s'envole d'un fourré il entend un bruit de branches écrasées et voit à ce moment un objet ovale avec un dôme(diamètre 3 ou 4 mètres) de couleur grise et sans reflets lumineux, posé au sol. Sur le bord supérieur de l'insolite appareil apparaissent deux têtes de petits êtres grands 'comme des enfants'.""
"Le témoin observe ce spectacle ahurissant durant quelques secondes seulement; une peur panique s'empare de lui. Il prend la fuite si rapidement qu'il chute malencontreusement dans un fossé rempli d'eau. Trempé jusqu'au cou il peut s'extirper de sa mauvaise position."
"A ce moment-là, le chasseur voit arriver son chien : le pauvre animal crie et traîne les deux pattes arrière. Son mal ne pouvait provenir que des occupants de l'objet posé dans la clairière."
"Le témoin, à son retour à son domicile sentit une torpeur (comparable à la fatigue ou à la somnolence)."
Les sources sont indiquées comme "Ovni, Premier dossier complet... par Figuet M./ Ruchon J.L. ** éd. Alain Lefeuvre 1979" et "Chroniques des apparitions E.T. par Vallée Jacques ** DENOEL 1972 - coll. J'AI L".
[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 17 octobre 1954 à 14:30 à Cabasson, France, "Incident de chasseur." Et: "Chasseur et chien près de Canal Brillance/F Durance, ont vu objet gris 4m de long, 40 m de distance. deux figures avec des casques ont émergé. Chien partiellement paralysé quand il s'est approché."
Et: "On a observé un objet. Des effets physiologiques ont été notés."
Et: "Un disque a dôme gris, environ 20 pieds de large, autour de 100 pieds de distance, a été observé par un témoin de 65 ans masculin sur un fleuve brièvement. Deux êtres, chacun portant un casque, ont été vus."
Et: "Maxime Pignatelli était en chasse avec son chien quand il a vu un objet gris, d'environ 4 mètres de long et 1 mètre de haut, sur la terre à 40 mètres de là. Il avait un dôme, dont 2 personnages casqués ont émergé. Le témoin s'est sauvé, mais son chien est allé vers l'objet; mais il a bientôt fait retraite, marchant maladroitement comme s'il était partiellement paralysé."
Les sources sont notées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Lorenzen, Coral E., Flying Saucer Occupants, Signet T3205, New York, 1967; Lorenzen, Coral E., Encounters with UFO Occupants, Berkley Medallion, New York, 1976, ISBN:425-03093-8; FSR, FSR (formerly Flying Saucer Review), FSR, Londres, 1966; Bowen, Charles, The Humanoids: FSR Special Edition No. 1, FSR, Londres, 1966; Pereira, Jader U., Les Extra-Terrestres, Phenomenes Spatiaux, Paris, 1974; Vallee, Jacques, A Century of Landings (N = 923), (dans JVallee04), Chicago, 1969; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173); Delaire, J. Bernard, UFO Register Volume 7 (1976), Data Research, Oxford, 1976; Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002; Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database.
[Ref. ud2:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 17 octobre 1954 à 20:30 à Cabasson, France, "Objet gris, environ quatre mètres de long et un mètre de haut sur la terre; deux personnages casqués ont émergé."
Et: "A Cabasson, France un homme de 65 ans chassait avec son chien à 14:30 près de la jonction du canal de Brillance et du fleuve Durance. Il a vu un objet gris, d'environ quatre mètres de long et un mètre de haut sur la terre et à 40 mètres de distance. Il avait dôme dont deux personnages casqués ont émergé. Le témoin s'est sauvé, mais son chien a couru vers l'objet. Le chien a bientôt fait retraite, marchant maladroitement comme si partiellement paralysé."
Et: "Un homme de 65 ans chassait avec son chien près de la jonction du canal de Brillance et du fleuve Durance. Il a vu un objet gris, d'environ quatre mètres de long et un mètre de haut sur la terre et à 40 mètres de distance. Il avait dôme dont deux personnages casqués ont émergé. Le témoin s'est sauvé, mais son chien a couru vers l'objet. Le chien a bientôt fait retraite, marchant maladroitement comme si partiellement paralysé."
Et: "Une boule a été observée."
La source est dite être "Vallee Magonia Database".
[Ref. cr1:] CRUN:
Le blog du CRUN mentionne qu'en "1954, il y aurait également eu un cas avec observation d’humanoïdes à Cabassou, près de Corbières".
Il n'y a pas beaucoup de commentaire possible sur l'observation elle-même. La durée avait été de seulement quelques secondes, la distance d'observation n'est pas connue, seule les têtes des êtres sont apparemment vues, elles ne sont pas décrites, l'OVNI était apparemment dans quelques broussailles et n'est pratiquement pas décrit non plus, il n'est pas vu voler mais seulement au sol. Le comportement du chien et la torpeur du témoin donnent un certaine étrangeté à l'affaire, mais cela n'est pas vraiment assuré, il n'y a eu aucun examen.
Concernant la date: Il semble que les enquêteurs Schaefer et Delval aient pensé qu'ils présentaient un cas inédit, probablement parce qu'ils ont l'ont traité comme de Corbières tandis que le cas était mentionné comme de Cabasson par Vallée précédemment. Il est ainsi possible que la date correcte ait été en effet le 17 octobre 1954, comme indiqué par Vallée, et que la mémoire de la famille en 1970 n'était pas aussi précis que cette première information. Cependant, Vallée malheureusement ne nous indique pas comment il a entendu parler du cas, "personnel" ayant peu de signification puisque dans d'autres cas, "personnel" a été employé pour des cas pour lesquels Vallée ne pouvait pas avoir été la source primaire.
Concernant les alignements (Orthoténie): Utilisant les emplacements indiqués par Shaefer et Delval, il n'y a pas réellement de véritables lignes droites remarquables lorsque les lieux sont mis en graphe:
En plus de ce problème évident, il doit être noté que tandis que Schaefer et Delval utilisent 10 cas pour le 7 octobre 1954, il y en a en réalité au moins 47 cas ce jour-là!
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Ufologie | Grave | 22 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Premier rapport de l'affaire de nature inconnue. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 22 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Témoin unique. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
3 | Ufologie | Grave | 22 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Conditions d'observation pauvres: bref, pas de distance, pas de description. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
4 | Ufologie | Grave | 22 décembre 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Témoin décédé, aucune enquête connue de son vivant. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Visiteurs extraterrestres ou confusion.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 22 décembre 2007 | Création, [jv1], [jv2], [lo1], [sd1], [gl1], [lp1], [fr1], [js1], [jc1], [mc1], [fb1], [ar1], [kb1], [jb1]. |
1.0 | Patrick Gross | 22 décembre 2007 | Première publication. |
1.1 | Patrick Gross | 18 mars 2010 | Additions [go1], [dj1], [ud1], [ud2], [cr1]. |