L'auteur français d'une livre sur les RR3 Julien Gonzalez y écrivait en 2014 un récit qu'il a eu par une communication personnelle de l'ufologue Jean-Marc Gillot:
A Portel, Pas-de-Calais, un dimanche après-midi en 1932, Mr. A., une dizaine d'années à l'époque, venait d'assister à la projection d'un film au patronage, et rentrait chez lui le soir.
La rue, éclairée comme en plein jour par la lune, paraissait déserte, l'été était déjà loin mais il n'avait pas froid.
Il vivait chez sa soeur, mais ce soir-là, elle était absente et il a dû faire demi-tour pour se rendre chez sa tante. Il marchait tranquillement au milieu de la rue pavée quand soudain, il a cru voir devant lui, sur le trottoir de gauche, un bébé qui se trouvait dehors.
"L'enfant" allait lentement et Mr. A a pensé qu'il commençait à apprendre à marcher. De par sa taille, de loin, il lui aurait donné de 18 mois à 2 ans. Ses mouvements étaient un peu patauds.
Plus il s'avançait vers lui, plus les questions lui venaient à l'esprit: "Comment a-t-il descendu les marches de sa maison?" "Un enfant ne peut être habillé comme cela?". (Autrefois, les enfants étaient habillés de chemises de nuit).
Le jeune témoin a fini par monter sur le trottoir, déjà à 3 ou 4 m du "bébé", avançant dans sa direction, et il a bientôt compris que cela ne pouvait pas être un enfant. Il lui faisait maintenant penser à une sorte de "petit scaphandrier" dont il ne voyait pas le cou ni la collerette caractéristique. Aucune pliure n'était visible. Il marchait d'une manière non saccadée, plutôt souple. Il lui semblait trapu, d'un gris argenté clair non brillant.
Arrivé à 2 ou 3 pas de lui, il a été étonné de voir le petit personnage commencer à se pencher tout en présentant sa tête. Le jeune témoin a tendu les mains vers l'avant pour l'arrêter. Finalement, ses mains touchèrent la tête qui faisait penser à un casque opaque au travers duquel il ne distinguait rien.
Sous ses mains, pendant quelques secondes, il a senti un relief qu'il n'a pas pu distinguer. Il y avait une surface rigide, plusieurs aspérités, pas très grandes mais non visibles.
Il n'a rien remarqué derrière le dos de l'étrange petit personnage.
Soudain, le jeune garçon a hurlé, et aujourd'hui encore il n'a pas d'explication à sa peur soudaine. "Cette peur était-elle naturelle ou lui fut-elle insufflée? Il ne le saura jamais. Il préféra s'enfuir en contournant le personnage, sans se retourner..."
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[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
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6. Portel, Boulogne-sur-Mer, France en 1932 de nuit, Le jeune témoin rentrait chez lui tard dans la nuit le long d'une allée lorsqu'il a remarqué que marchait dans sa direction à environ 3 ou 4 mètres une très courte silhouette humanoïde. Pensant que c'était un enfant perdu, il tenta de s'en approcher mais fut stupéfait de se rendre compte que c'était une sorte d'humanoïde portant une combinaison moulante de couleur claire et un casque opaque qui couvrait ses traits de cisage. La silhouette était extrêmement mince, et ses bras étaient plus longs que la normale, à 3 pieds du témoin, il s'arrêta brusquement et baissa la tête en même temps, baissant ses bras et ses épaules vers le sol. Le personnage était complètement sans relief et mesurait environ 3 pieds. Terrifié le témoin a crié et s'est enfui de la zone. Il n'a pas vu l'humanoïde partir. Albert Rosales indique que les sources sont "M Figuet et J L Ruchon, Raoul Robe". |
[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":
1932 - Portel, Boulogne-sur-Mer, France1932 21:00 Portel, Boulogne-sur-Mer, France Le jeune témoin rentrait chez lui tard dans la nuit le long d'une allée lorsqu'il a remarqué que marchait dans sa direction à environ 3 ou 4 mètres une très courte silhouette humanoïde. Pensant que c'était un enfant perdu, il tenta de s'en approcher mais fut stupéfait de se rendre compte que c'était une sorte d'humanoïde portant une combinaison moulante de couleur claire et un casque opaque qui couvrait ses traits de cisage. La silhouette était extrêmement mince, et ses bras étaient plus longs que la normale, à 3 pieds du témoin, il s'arrêta brusquement et baissa la tête en même temps, baissant ses bras et ses épaules vers le sol. Le personnage était complètement sans relief et mesurait environ 3 pieds. Terrifié le témoin a crié et s'est enfui de la zone. Il n'a pas vu l'humanoïde partir. Classification Hynek: RR3 |
La source est indiquée comme: "Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database".
[Ref. jg1:] JULIEN GONZALEZ:
L'auteur indique qu'à Portel, Pas-de-Calais, un dimanche après-midi en 1932, Mr. A., une dizaine d'années à l'époque, venait d'assister à la projection d'un film au patronage, et rentrait chez lui le soir.
La rue, éclairée comme en plein jour par la lune, paraissait déserte, l'été était déjà loin mais il n'avait pas froid.
Il vivait chez sa soeur, mais ce soir-là, elle était absente et il a dû faire demi-tour pour se rendre chez sa tante. Il marchait tranquillement au milieu de la rue pavée quand soudain, il a cru voir devant lui, sur le trottoir de gauche, un bébé qui se trouvait dehors.
"L'enfant" allait lentement et Mr. A a pensé qu'il commençait à apprendre à marcher. De par sa taille, de loin, il lui aurait donné de 18 mois à 2 ans. Ses mouvements étaient un peu patauds.
Plus il s'avançait vers lui, plus les questions lui venaient à l'esprit: "Comment a-t-il descendu les marches de sa maison?" "Un enfant ne peut être habillé comme cela?". (Autrefois, les enfants étaient habillés de chemises de nuit).
Le jeune témoin a fini par monter sur le trottoir, déjà à 3 ou 4 m du "bébé", avançant dans sa direction, et il a bientôt compris que cela ne pouvait pas être un enfant. Il lui faisait maintenant penser à une sorte de "petit scaphandrier" dont il ne voyait pas le cou ni la collerette caractéristique. Aucune pliure n'était visible. Il marchait d'une manière non saccadée, plutôt souple. Il lui semblait trapu, d'un gris argenté clair non brillant.
Arrivé à 2 ou 3 pas de lui, il a été étonné de voir le petit personnage commencer à se pencher tout en présentant sa tête. Le jeune témoin a tendu les mains vers l'avant pour l'arrêter. Finalement, ses mains touchèrent la tête qui faisait penser à un casque opaque au travers duquel il ne distinguait rien.
Sous ses mains, pendant quelques secondes, il a senti un relief qu'il n'a pas pu distinguer. Il y avait une surface rigide, plusieurs aspérités, pas très grandes mais non visibles.
Il n'a rien remarqué derrière le dos de l'étrange petit personnage.
Soudain, le jeune garçon a hurlé, et aujourd'hui encore il n'a pas d'explication à sa peur soudaine. "Cette peur était-elle naturelle ou lui fut-elle insufflée? Il ne le saura jamais. Il préféra s'enfuir en contournant le personnage, sans se retourner..."
Julien Gonzalez indique que sa source est une communication personnelle de Mr. Jean-Marc Gillot du SCEAU.
[Ref. pr1:] PETER ROGERSON:
1932 nuitLE PORTEL (PAS DE CALAIS: FRANCE) Un jeune rentrait chez lui le long d’une allée quand il a vu une petite silhouette devant lui. Pensant que c’était un enfant perdu, il l’a rattrapé, mais il s’est aperçu qu’il était très mince et mesurait 1 m de long et avait de longs bras. une combinaison ajustée et un casque opaque. Lorsque les deux se trouvaient à environ 1 m de distance, la silhouette se baissa. Cela semblait être sans relief. Le garçon s'est enfui avec terreur. Rosales citant Figuet et Ruchon 1979 citant le catalogue de Raoul Robe |
L'association SCEAU a été créée en 1990 et vise à préserver à long terme les doxuments de l'ufologie, sans prendre position sur les observations d'OVNIS.
Il est regrettable que la publication de cette histoire soit un peu incomplète, par exemple:
Cela dit, je trouve le rapport vraiment fascinant. C'est vraiment le genre de singularité que j'attendrais d'une rencontre extraterrestre. Les bosses sur le casque de l'être que le témoin peut sentir avec la main, mais qu'il ne peut pas voir, me rappellent les mots d’Arthur C. Clarke, quand il a dit:
"Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie."
Tout comme les natifs de Papouasie-Nouvelle-Guinée pensaient que les Land Rover des premiers explorateurs occidentaux devaient être de gros animaux encore inconnus d'eux, le témoin pense d'abord avoir affaire à un bébé.
Bien sûr, je garde aussi à l’esprit qu’il n’y a aucune preuve à l’appui de ce rapport.
| Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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| 1 | Ufologie | Grave | 8 août 2018 | Patrick Gross | Patrick Gross | Aucune information de contexte sur le recueil du récit. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Visiteurs extraterrestres.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
| Auteur principal: | Patrick Gross |
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| Contributeurs: | Aucun |
| Reviewers: | Aucun |
| Editeur: | Patrick Gross |
| Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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| 0.1 | Patrick Gross | 8 août 2018 | Création, [ar1], [jg1]. |
| 1.0 | Patrick Gross | 8 août 2018 | Première publication. |
| 1.1 | Patrick Gross | 15 août 2018 | Additions [ud1], [pr1]. |
