ACUFO:

Soucoupes sur Hanford, Washington

CENTRALE NUCLEAIRE
TOP-SECRETE
assiégé par des OVNIs

Par Rufus Drake

Quand on lui a demandé si des soucoupes espionnaient l'une de nos installations de recherche nucléaire, un haut responsable du gouvernement a répondu: «Nous avons une politique qui décourage les commentaires du public sur tout ce qui se passe ici dans les installations de Hanford - et c'est doublement vrai quand on parle d'OVNIs...

Hanford, Washington. En mars 1944, alors qu'il volait le long du fleuve Columbia près de Yakima, Washington, l'aspirant militaire de l'Air James E. Emery a repéré quelque chose de bizarre et d'inexplicable. Emery, âgé de seulement 20 ans, n'y pensait pas beaucoup à l'époque, car il se déroulait dans le monde deux événements monumentaux dont il ne savait absolument rien. Cependant, plus tard, Emery sera hanté par l'idée qu'il est le premier être humain à être témoin de la convergence de ces deux événements: la domestication de l'atome et l'arrivée des soucoupes volantes.

«Je ne savais évidemment pas, à l'époque, que je volais près de l'usine top secrète de Hanford Works, qui traitait le plutonium pour la bombe A que nous allions larguer sur Nagasaki l'année suivante. Je ne savais pas non plus que les avions alliés et ennemis commençaient à repérer des objets volants étranges et non identifiés appelés «foofighters» à proximité des zones industrielles au-dessus de l'Allemagne nazie et du Japon.

Il m'est encore moins venu à l'esprit que l'énergie atomique

et les OVNIs pourraient être connectés d'une manière ou d'une autre...»

Maintenant colonel à la retraite au début de la cinquantaine, Jim Emery sourit et hausse les épaules, se rappelant ce qui aurait pu être la première véritable rencontre d'OVNI sur la zone continentale des Etats-Unis.

«Je n'étais alors qu'un jeune fou, gagnant mes ailes et partant en cross-country dans un avion d'entraînement primaire PT-19. Vous connaissez l'avion, une petite terreur de longerons et de toile enroulés autour d'un puissant moteur de 450 chevaux. Je planais à environ 5 000 pieds, m'amusant, pensant à la façon dont j'allais bientôt piloter des avions de chasse au combat. Soudain, j'ai regardé en arrière et j'ai réalisé que j'étais traqué par une demi-douzaine de personnes se déplaçant rapidement, de très brillantes lumières...»

Les OVNIs étaient «en forme de galet», se souvient Emery, et «relativement petits, pas plus de 3 mètres de diamètre». Il en compta sept, disposés en forme en «V» en forme de coin, traversant le fleuve Columbia à sa droite.

«La curiosité m'a saisi et j'ai tourné pour les poursuivre. A ce stade, leur vitesse a augmenté rapidement...

Jim Emery s'est approché à moins de 1 000 pieds des objets en forme de disque avant qu'ils ne commencent à s'éloigner de lui. Il venait de terminer un cours de formation sur les astuces qui peuvent tromper les yeux d'un pilote de chasse: les sundogs, les reflets de lumière sur un cockpit en plexiglas, les nuages aux formes étranges, etc. Son virage soudain lui a permis d'observer les OVNIs en retraite sous plusieurs angles, le convainquant qu'il ne s'agissait pas d'une illusion d'optique. Il était certain qu'il s'agissait d'objets métalliques, se déplaçant dans un but délibéré.

«A l'époque, je pensais qu'il s'agissait peut-être d'armes secrètes. Ce n'est plus le cas. Au fil des ans, je suis devenu convaincu qu'il s'agissait de drones sans pilote, lancés depuis un vaisseau mère quelque part près de la Terre, qui représentaient une civilisation extraterrestre.

«Et, bien sûr, ils espionnaient Hanford...»

Les OVNIs d'Emery ont disparu rapidement, le laissant seul dans son avions d'entraînement en toile et en fil de fer - mais l'intérêt des OVNIs pour l'installation nucléaire top secrète de Hanford, Washington, est quelque chose qui ne disparaîtra pas.

William H. Turner, Jr., un résident local, reflète le point de vue de nombreux habitants de Hanford lorsqu'il insiste: «Les OVNIS reviennent sans cesse. Ils sont attirés par nous. Nous avons une attrait particulier pour eux.»

Les journalistes n'ont jamais été autorisés à pénétrer dans Hanford Works, du nom d'une petite ville qui n'existe plus, à 27 kilomètres de Yakima. Mais le site de traitement du plutonium est aussi vieux que l'ère atomique elle-même.

Moins d'un mois après la première réaction nucléaire en chaîne contrôlée de l'homme, le 2 décembre. 1942, le major-général Leslie Groves, chef du « Projet Manhattan » en temps de guerre, ordonna l'ouverture d'une nouvelle installation top secrète pour permettre une double approche du programme d'accident visant à développer la première bombe atomique de ce pays. Des travaux étaient déjà en cours sur une bombe à exploser à l'uranium, l'U-235, destinée à être utilisée à Hiroshima. Groves voulait également une bombe qui pourrait exploser avec du plutonium - le «gros garçon» qui finirait par dévaster Nagasaki.

En mars 1944, le cadet de l'Air Force James E. Emery a observé sept objets ressemblant à des cailloux près de Yakima, une installation secrète d'énergie atomique. est passé par là. Emery, alors âgé de 20 ans, ne savait pas qu'il pilotait son avion devant une usine hautement secrète de Hanford. C'est là qu'a été traité l'IJlutonium destiné à la bombe atomique qui a explosé au-dessus de Naga5aki l'année suivante. Aujourd'hui, le pilote se souvient encore très clairement de l'incident:

«J'étais encore un misérable débutant à l'époque et j'étais sur un vol Uberland dans un avion d'entraînement PT-19.»

«Je volais à environ 5 000 pieds d'altitude et je pensais à combien de temps je serais dans un véritable avion de combat. Alors que je regardais autour de moi, j'ai soudainement vu une demi-douzaine de lumières extrêmement brillantes s'approcher lentement de moi. Les objets étaient assez petits, pas plus de trois mètres de diamètre. Ils ont volé en formation de V en forme de coin, traversant le fleuve Columbia à ma droite. Je suis devenu curieux et j'ai commencé à suivre les choses. Mais immédiatement après, les objets qui n'étaient pas plus loin que 1000 pieds ont accéléré.»

Emery avait suivi quelques jours plus tôt une formation au cours de laquelle les pilotes étaient informés des reflets, des formations nuageuses étranges, etc. Il a donc essayé de cibler les ovnis dans différentes directions grâce à des rotations rapides et des manœuvres de virage. Enfin, il était sûr que les objets ne devaient pas être une illusion d'optique, mais clairement de vrais objets métalliques (Drake 1977).

1944, mars

USA, Hanford

Le jeune pilote Jim Emeri à bord de son PT19 constate que l'avion est poursuivi par des lumières en formation de V. Curieux il s'en laisse rapprocher jusqu'à 300 mètres pour voir que les lumières semblaient être des petits disques d'environ 3 mètres de diamètre. Il en compta sept. Cette information est probablement dûe à la plume de Rufus Drake, ancien officier, ayant fait entendre que ce n'était pas la première fois que des objets étaient vus dans le ciel de Hanford.

Ces affaires étaient traitées avec discrétion, car les autorités suposaient [sic] avoir affaire à des enfins [sic, engins] espions. (Rufus Drake: «Geheime USNuclear-Anlagen von UFOs überwacht; Untertassen über Hanford/Washington», erschien in 'UFO-Report', Spring, USA, S. 38-41, 60-62. - «Geheime Wunderwaffen II» erscheint als Band 2 der Reihe «Obskure Sachbücher» in der Edition Gonzo - Sommer 198 - Haarman) USA, Yakima: Un pilote apercevait 7 objets brillants en forme de galets volant en formation V; (PROJECT ACUFOE, Catalogue 1999, Dominique Weinstein)

493: 1944/03/00 00:00 1 120:31:00 W 46:36:00 N 3311 NAM USA WSH 6:7
YAKIMA,WA:PILOTE:7 OBJETS EN FORME DE GALET 3M OBJs en FORMn-V:/HAINES PILOT FILES
Ref#114 HAINES, Richard: PROJECT DELTA Page No. 178: EN-VOL

Cas 35

Mars 1944

Yakima, Washington, Etats-Unis

Un pilote en vol a observé sept objets en forme de galets (10 pieds de diamètre) volant en formation en V.

Source: Projet Delta, Richard F. Haines p 178