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La vague française de 1954:

La page d'accueil concernant les cas de la vague française de 1954 se trouve ici.

Eté 1954, La Montagne des Alouettes, Yonne:

Référence pour ce cas: Eté-54-Montagne-des-Alouettes.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Résumé:

Les enquêteurs J.-P. et E. Hocquet, dans le magazine d'ufologie Lumières Dans la Nuit (LDLN), France, N° 200, pp 29-32, de décembre 1980, indiquent que dans le département de l'Yonne, à la Montagne des Alouettes, un plateau à 367 mètres d'altitude dans la Puisaye, région de plateaux argileux, à 4 km à vol d'oiseau au nord-est de Sainpuits, la plus proche commune et à 6 km environ au nord-est du château de Flassy, pli 14 sur carte Michelin N° 65, par ciel clair étoilé avec lune non observée, a eu lieu le cas qui suit.

Le témoin en est René S., interrogé à l'âge de 33 ans 1/2, et âgé de huit ans au moment des faits. Son identité et adresse son connues des enquêteurs, mais non publiées.

Dans sa jeunesse il avait été envoyé plusieurs années de suite par la Caisse d'Allocations Familiales de Douai dans une colonie de vacances située au Château de Flassy à la limite des départements de l'Yonne et de la Nièvre.

L'observation a lieu au cours de l'un de ces séjours, qu'il situe en 1953 ou 1954, pensant aujourd'hui qu'il s'agissait plutôt de l'été 1954, ce qui paraît confirmé par le fait qu'il se souvient de la projection d'un film documentaire, à la colonie de vacances, relatif à la conquête du Mont Everest, laquelle a eu lieu fin mai 1953. Les enquêteurs estiment qu'un délai de quelques trois mois entre la réalisation de l'exploit et la diffusion en France de films retraçant cette conquête, est un peu court.

Il a fait l'observation avec une bonne dizaine de compagnons, et elle est restée gravée dans son esprit de telle sorte qu'il la relate près de 26 années plus tard, il donne le maximum de détails que l'on puisse espérer trouver dans un récit concernant des faits aussi éloignés dans le temps.

Sa déclaration est donnée comme suit:

"Ce soir-là, sur une soixantaine d'enfants formant la colonie, nous étions 10 ou 15 encore debout; il devait être assez tard, entre 22 et 23 heures. De notre camp, composé de 3 grandes tentes collectives, on aperçut tout à coup une lueur orangée à une petite centaine de mètres."

"Comme tous les gosses de notre âge, nous ne pensions qu'à une chose: jouer et retarder le plus possible l'heure du coucher, et voilà que l'occasion s'en présentait! Il devait s'agir d'un feu de camp allumé par un autre groupe d'enfants, et l'on décidait d'aller les surprendre, de les attaquer à la façon des indiens, en approchant furtivement. C'est ce que nous fîmes en nous faufilant derrière les buissons qui parsemaient le terrain."

"Mais il ne s'agissait pas d'un feu de camp: le premier d'entre nous arrivé à proximité de la lueur fit signe au suivant de ne pas faire de bruit, et la consigne se répéta ainsi à tous les membres du groupe."

"Caché derrière des buissons, voici ce que je vis:"

"La lueur orangée qui nous avait attirés émanait d'un objet apparemment métallique que j'ai identifié bien plus tard comme étant une "soucoupe volante" classique, qui avait la forme de deux assiettes plaquées l'une contre l'autre, avec un cône tronqué d'où partait cette lumière qui éclairait le paysage un peu comme un éclairage public en ville. Au milieu de l'objet, entre le dôme et la couronne, il y avait des lumières tournantes, également oranges, comme on en voit sur le pourtour des enseignes lumineuses, c'est ce qu'on appelle en langage technique le système "chenillard"."

"La "soucoupe" n'était pas posée au sol mais en suspension à 50 ou 60 cm peut-être; on n'a pas vu de pieds, de roues, ni quoi que ce soit pour la maintenir ainsi en hauteur."

A la question de l'enquêteur: "Quelles étaient les dimensions approximatives de l'objet?" il a répondu:

"Notre moniteur qui était avec nous, en prenant comme repère les buissons environnants, a estimé par la suite le diamètre entre 3 et 5 m et la hauteur à 2 m/2,50 m."

A la question de l'enquêteur: "Quelle était la couleur de l'objet?" il a répondu:

"Tout était du même métal, couleur aluminium, un peu satiné."

A la question de l'enquêteur: "Y avait-il un flou, un halo autour de l'objet?" il a répondu:

"Non, les contours étaient parfaitement nets."

A la question de l'enquêteur: "A quelle distance étiez-vous de l'objet?" il a répondu:

"A quelques mètres, pas plus de 10 en tout cas. Et il y avait des petits êtres, à peu près de notre taille, entre 1,20 m et 1,40 m. Il y en avait un debout sur la couronne de l'objet; il me semble en avoir vu un en haut du dôme, qui peut-être allait sortir ou qui observait du bord de l'ouverture. Et il y en avait deux autres au sol: l'un tenait une espèce de binette avec laquelle il grattait au pied d'un buisson, et il donnait quelque chose à l'autre à côté de lui qui tenait un sac. Ils étaient donc de petite taille revêtus d'une espèce de combinaison d'une seule pièce, que je compare avec le recul à une tenue d'homme grenouille. La couleur était marron foncé, presque noir, un peu comme la couleur du caoutchouc naturel. On ne voyait pas leurs yeux ni aucun trait du visage, mais ils avaient un genre de groin comme en ont certaines sortes de singes: j'ai fait ensuite le rapprochement avec le masque que mon père, qui travaille dans une cimenterie, applique sur son visage pour se protéger de la poussière. Leur corps était à peu près bien proportionné, de même que les bras et les jambes mais, ce qui m'a frappé, c'est qu'elles se terminaient par des pieds plutôt longs et palmés, vraiment comme nos hommes-grenouilles actuels. C'est alors qu'un retardataire de notre groupe est arrivé et a poussé un cri de surprise: immédiatement, ça a été instantané, les deux êtres qui étaient au sol ont plaqué leurs bras le long du corps, ils se sont élevés à la verticale et ont, après avoir décrit une courbe dont la trajectoire semblait bien calculée, réintégré l'objet tête première. Aussitôt, la lumière orangée au sommet de l'objet s'est occultée, je pense qu'il devait y avoir un couvercle mais il n'était pas apparent. L'objet a alors pivoté sur son axe, il a décollé et il a disparu à une vitesse prodigieuse de l'ordre de 4 à 5 secondes peut-être."

"Ce qui nous a frappés, c'est cette façon de réintégrer l'objet en "piquant une tête", et le départ fulgurant : l'objet a basculé donc sur environ 45° et s'est élevé à toute vitesse; on l'a bien vu disparaître car le ciel était clair, sans nuages. Imaginez notre étonnement: à l'époque, il n'y avait pas de feuilletons télévisés ni même de bandes dessinées de science-fiction. Maintenant, je compare cet objet à la soucoupe qu'on a pu voir dans le feuilleton "les envahisseurs"; c'était la même chose excepté que dans notre observation, l'ouverture était pardessus et non par-dessous."

A la question de l'enquêteur: "Est-ce qu'il y a eu un bruit quelconque?" il a répondu:

"Non; tout était silencieux aussi bien lors du décollage qu'avant: pas de sifflement, pas de bourdonnement."

A la question de l'enquêteur: "L'objet au-dessus du sol avait-il un mouvement oscillant ou autre?" il a répondu:

"Non; il ne tanguait pas, il était absolument immobile, stable."

A la question de l'enquêteur: "Pouvez-vous évaluer la durée de votre observation?" il a répondu:

"C'est très difficile: quand on est enfant, on n'a pas tellement la notion du temps, et je n'avais pas de montre. Mais ça a duré sans doute quelques minutes puisque l'on a pu détailler l'objet, voir qu'il n'y avait rien au-dessous pour le maintenir en suspension, et bien voir les petits êtres. L'observation aurait sans doute pu durer plus longtemps si le retardataire n'était arrivé, en pleine lumière, en poussant un cri. C'est ce cri qui a motivé le "décollage" des êtres et de l'objet."

A la question de l'enquêteur: "Avez-vous durant l'observation éprouvé des sensations particulières, telles que brûlure, picotements, paralysie?" il a répondu:

"Non, absolument pas, ça ne dégageait aucune chaleur, on n'a rien ressenti physiquement, on n'a eu aucun trouble."

A la question de l'enquêteur: "La lumière émise par l'objet était-elle éblouissante?" il a répondu:

"Non, elle n'aveuglait pas du tout; c'était une clarté comparable, comme je vous le disais tout à l'heure, à la lumière d'un éclairage public, et moins forte que la lumière d'un néon."

A la question de l'enquêteur: "Avez-vous eu peur durant l'observation?" il a répondu:

"Non, nous n'avions aucune raison d'avoir peur, pour nous c'était plutôt un jeu car la notion de jeu était toujours présente à notre esprit. Ces petits "bonshommes" qui étaient de notre taille, on les aurait bien abordés si leur départ n'avait été ainsi précipité par l'arrivée du retardataire."

A la question de l'enquêteur: "Avez-vous vu si les humanoïdes avaient des mains semblables aux nôtres?" il a répondu:

"Nous n'avons pas pu les voir nettement puisque leur vêtement, d'une pièce, couvrait tout, mais ils en avaient: il y avait un des êtres qui tenait cette espèce d'outil avec lequel il raclait le sol, et l'autre à côté tenait un sac."

A la question de l'enquêteur: "Vous ont-ils semblé faire des gestes normaux dans l'accomplissement de cette "besogne", c'est-à-dire semblables à ceux que nous-mêmes faisons?" il a répondu:

"Oui, leurs gestes étaient comparables à ceux que ferait l'un de nous. On ne les a pas vu marcher mais, seulement s'élever de cette façon bizarre, sans moyen de propulsion apparent. Si on ne les avait pas vu se déplacer ainsi, on aurait pu les prendre pour des mannequins en caoutchouc."

A la question de l'enquêteur: "Vous souvenez-vous de la nature du sol à cet endroit?" il a répondu:

"C'était plutôt caillouteux, c'est un endroit aride, un plateau désertique parsemé de petits buissons rabougris; j'ai retrouvé ce genre de paysage dans le département du Gard où j'ai habité pendant quelques temps."

A la question de l'enquêteur: "Il n'y avait rien de particulier dans l'environnement dont vous puissiez vous souvenir, un point d'eau par exemple?" il a répondu:

"Non, rien du tout: il y a bien une rivière le Loing, mais qui passe à plusieurs dizaines de kilomètres de là. Il n'y avait pas .de ligne H.T., ni de château d'eau. Seulement un moulin à vent un peu avant notre campement sur la droite, et une maison désaffectée, en ruines."

A la question de l'enquêteur: "Il n'y avait pas d'animaux dans les parages, qui aient pu manifester une réaction au phénomène?" il a répondu:

"Non."

A la question de l'enquêteur: "Après le départ de l'objet, avez-vous remarqué des traces là où il avait stationné?" il a répondu:

"Non, on est allé voir "s'ils n'avaient rien oublié" mais on n'a rien remarqué, rien ne nous a frappés. Nous avons fait demi-tour et sommes allés nous coucher. Nous n'en avons pas parlé aux autres gosses de la colonie le lendemain, nous avions sans doute décidé que ce serait notre secret."

A la question de l'enquêteur: "Est-ce que vous êtes retourné sur les lieux le lendemain?" il a répondu:

"C'est possible, je ne me le rappelle pas. On est peut-être passé à cet endroit mais sans y prêter une attention particulière; nous avions un programme de loisirs bien établi: jouer aux indiens, rechercher des coquillages fossiles, etc..."

"Je ne me souviens pas qu'il y ait eu une enquête par la suite; même le moniteur n'a pas dû parler de cette affaire."

A la question de l'enquêteur: "Etes-vous resté en contact avec un ou plusieurs des témoins, ou avec le moniteur?" il a répondu:

"Non, nous nous sommes perdus de vue; je ne saurais retrouver ni les enfants de l'époque, ni le moniteur qui avait alors une vingtaine d'années."

A la question de l'enquêteur: "Vous n'êtes pas opposé à ce que nous fassions publier votre récit dans la revue LDLN dont nous parlions tout à l'heure?" il a répondu:

"Non, pas du tout et, qui sait, peut-être que l'un des témoins de cette observation lira l'article..."

A la question de l'enquêteur: "Vous ne voyez rien à ajouter à votre récit?" il a répondu:

"Je vous ai rapporté tout ce dont je me souviens et croyez bien qu'il ne s'agit pas d'un fantasme de l'esprit. Nous sommes une dizaine à avoir fait cette observation et ce n'était pas une hallucination collective puisque nous sommes arrivés sur les lieux pratiquement un par un. Comme je vous l'ai déjà dit, nous ne pouvions être influencés par la TV ou la littérature de science-fiction que l'on ne connaissait pas à l'époque. On nous projetait parfois des films à la colonie, les jours de pluie, comme par exemple un documentaire dont je me souviens qui retraçait la conquête de l'Everest: ça n'avait rien à voir avec les "soucoupes volantes". Depuis, il m'est arrivé de parler de mon observation à quelques amis proches mais, si nous n'avions justement été des amis, ils m'auraient facilement traité de fou."

Les enquêteurs estiment que l'authenticité des faits rapportés ne fait pour eux aucun doute en raison de ses qualités morales, notamment probité et absence de recherche de sensationnel. Ils notent que le témoin est doté d'un esprit d'observation et d'une capacité de mémoire remarquables qu'ils ont pu constater au cours de leur entretien qui a porté sur différents sujets indépendamment de celui les ayant amenés à le rencontrer.

Ils ont remarqué que l'étrange façon de se déplacer des humanoïdes, le fait que l'un ait gratté le sol, et la forme de leurs pieds, sont à rapprocher de l'observation faite à Cussac en 1967.

Ils ajoutent que courant août 1980 ils ont pu se rendre sur les lieux de l'observation qu'ils ont facilement localisés grâce aux détails fournis par le témoin et n'y ont rien trouvé qui puisse donner une explication triviale au récit.

Le rapport d'enquête comprenait un plan schématique des lieux, sans échelle, et le schéma de la soucoupe. Il n'y avait pas de dessin des humanoïdes allégués:

Rapports:

[Ref. hoc1:] J.P. ET E. HOCQUET:

Ces enquêteurs indiquent que dans le département de l'Yonne, à la Montagne des Alouettes, un plateau à 367 mètres d'altitude dans la Puisaye, région de plateaux argileux, à 4 km à vol d'oiseau au nord-est de Sainpuits, la plus proche commune et à 6 km environ au nord-est du château de Flassy, pli 14 sur carte Michelin N.65, par ciel clair étoilé avec lune non observée, a eu lieu le cas qui suit.

Le témoin en est René S., interrogé à l'âge de 33 ans 1/2, et âgé de huit ans au moment des faits. Son identité et adresse son connues des enquêteurs, mais non publiées.

Dans sa jeunesse il avait été envoyé plusieurs années de suite par la Caisse d'Allocations Familiales de Douai dans une colonie de vacances située au Château de Flassy à la limite des départements de l'Yonne et de la Nièvre.

L'observation a lieu au cours de l'un de ces séjours, qu'il situe en 1953 ou 1954, pensant aujourd'hui qu'il s'agissait plutôt de l'été 1954, ce qui paraît confirmé par le fait qu'il se souvient de la projection d'un film documentaire, à la colonie de vacances, relatif à la conquête du Mont Everest, laquelle a eu lieu fin mai 1953. Les enquêteurs estiment qu'un délai de quelques trois mois entre la réalisation de l'exploit et la diffusion en France de films retraçant cette conquête, est un peu court.

Il a fait l'observation avec une bonne dizaine de compagnons, et elle est restée gravée dans son esprit de telle sorte qu'il la relate près de 26 années plus tard, il donne le maximum de détails que l'on puisse espérer trouver dans un récit concernant des faits aussi éloignés dans le temps.

Sa déclaration est donnée comme suit:

"Ce soir-là, sur une soixantaine d'enfants formant la colonie, nous étions 10 ou 15 encore debout; il devait être assez tard, entre 22 et 23 heures. De notre camp, composé de 3 grandes tentes collectives, on aperçut tout à coup une lueur orangée à une petite centaine de mètres."

"Comme tous les gosses de notre âge, nous ne pensions qu'à une chose: jouer et retarder le plus possible l'heure du coucher, et voilà que l'occasion s'en présentait! Il devait s'agir d'un feu de camp allumé par un autre groupe d'enfants, et l'on décidait d'aller les surprendre, de les attaquer à la façon des indiens, en approchant furtivement. C'est ce que nous fîmes en nous faufilant derrière les buissons qui parsemaient le terrain."

"Mais il ne s'agissait pas d'un feu de camp: le premier d'entre nous arrivé à proximité de la lueur fit signe au suivant de ne pas faire de bruit, et la consigne se répéta ainsi à tous les membres du groupe."

"Caché derrière des buissons, voici ce que je vis:"

"La lueur orangée qui nous avait attirés émanait d'un objet apparemment métallique que j'ai identifié bien plus tard comme étant une "soucoupe volante" classique, qui avait la forme de deux assiettes plaquées l'une contre l'autre, avec un cône tronqué d'où partait cette lumière qui éclairait le paysage un peu comme un éclairage public en ville. Au milieu de l'objet, entre le dôme et la couronne, il y avait des lumières tournantes, également oranges, comme on en voit sur le pourtour des enseignes lumineuses, c'est ce qu'on appelle en langage technique le système "chenillard"."

"La "soucoupe" n'était pas posée au sol mais en suspension à 50 ou 60 cm peut-être; on n'a pas vu de pieds, de roues, ni quoi que ce soit pour la maintenir ainsi en hauteur."

A la question de l'enquêteur: "Quelles étaient les dimensions approximatives de l'objet?" il a répondu:

"Notre moniteur qui était avec nous, en prenant comme repère les buissons environnants, a estimé par la suite le diamètre entre 3 et 5 m et la hauteur à 2 m/2,50 m.""

A la question de l'enquêteur: "Quelle était la couleur de l'objet?" il a répondu:

"Tout était du même métal, couleur aluminium, un peu satiné."

A la question de l'enquêteur: "Y avait-il un flou, un halo autour de l'objet?" il a répondu:

"Non, les contours étaient parfaitement nets."

A la question de l'enquêteur: "A quelle distance étiez-vous de l'objet?" il a répondu:

"A quelques mètres, pas plus de 10 en tout cas. Et il y avait des petits êtres, à peu près de notre taille, entre 1,20 m et 1,40 m. Il y en avait un debout sur la couronne de l'objet; il me semble en avoir vu un en haut du dôme, qui peut-être allait sortir ou qui observait du bord de l'ouverture. Et il y en avait deux autres au sol: l'un tenait une espèce de binette avec laquelle il grattait au pied d'un buisson, et il donnait quelque chose à l'autre à côté de lui qui tenait un sac. Ils étaient donc de petite taille revêtus d'une espèce de combinaison d'une seule pièce, que je compare avec le recul à une tenue d'homme grenouille. La couleur était marron foncé, presque noir, un peu comme la couleur du caoutchouc naturel. On ne voyait pas leurs yeux ni aucun trait du visage, mais ils avaient un genre de groin comme en ont certaines sortes de singes: j'ai fait ensuite le rapprochement avec le masque que mon père, qui travaille dans une cimenterie, applique sur son visage pour se protéger de la poussière. Leur corps était à peu près bien proportionné, de même que les bras et les jambes mais, ce qui m'a frappé, c'est qu'elles se terminaient par des pieds plutôt longs et palmés, vraiment comme nos hommes-grenouilles actuels. C'est alors qu'un retardataire de notre groupe est arrivé et a poussé un cri de surprise: immédiatement, ça a été instantané, les deux êtres qui étaient au sol ont plaqué leurs bras le long du corps, ils se sont élevés à la verticale et ont, après avoir décrit une courbe dont la trajectoire semblait bien calculée, réintégré l'objet tête première. Aussitôt, la lumière orangée au sommet de l'objet s'est occultée, je pense qu'il devait y avoir un couvercle mais il n'était pas apparent. L'objet a alors pivoté sur son axe, il a décollé et il a disparu à une vitesse prodigieuse de l'ordre de 4 à 5 secondes peut-être."

"Ce qui nous a frappés, c'est cette façon de réintégrer l'objet en "piquant une tête", et le départ fulgurant : l'objet a basculé donc sur environ 45° et s'est élevé à toute vitesse; on l'a bien vu disparaître car le ciel était clair, sans nuages. Imaginez notre étonnement: à l'époque, il n'y avait pas de feuilletons télévisés ni même de bandes dessinées de science-fiction. Maintenant, je compare cet objet à la soucoupe qu'on a pu voir dans le feuilleton "les envahisseurs"; c'était la même chose excepté que dans notre observation, l'ouverture était pardessus et non par-dessous."

A la question de l'enquêteur: "Est-ce qu'il y a eu un bruit quelconque?" il a répondu:

"Non; tout était silencieux aussi bien lors du décollage qu'avant: pas de sifflement, pas de bourdonnement."

A la question de l'enquêteur: "L'objet au-dessus du sol avait-il un mouvement oscillant ou autre?" il a répondu:

"Non; il ne tanguait pas, il était absolument immobile, stable."

A la question de l'enquêteur: "Pouvez-vous évaluer la durée de votre observation?" il a répondu:

"C'est très difficile: quand on est enfant, on n'a pas tellement la notion du temps, et je n'avais pas de montre. Mais ça a duré sans doute quelques minutes puisque l'on a pu détailler l'objet, voir qu'il n'y avait rien au-dessous pour le maintenir en suspension, et bien voir les petits êtres. L'observation aurait sans doute pu durer plus longtemps si le retardataire n'était arrivé, en pleine lumière, en poussant un cri. C'est ce cri qui a motivé le "décollage" des êtres et de l'objet."

A la question de l'enquêteur: "Avez-vous durant l'observation éprouvé des sensations particulières, telles que brûlure, picotements, paralysie?" il a répondu:

"Non, absolument pas, ça ne dégageait aucune chaleur, on n'a rien ressenti physiquement, on n'a eu aucun trouble."

A la question de l'enquêteur: "La lumière émise par l'objet était-elle éblouissante?" il a répondu:

"Non, elle n'aveuglait pas du tout; c'était une clarté comparable, comme je vous le disais tout à l'heure, à la lumière d'un éclairage public, et moins forte que la lumière d'un néon."

A la question de l'enquêteur: "Avez-vous eu peur durant l'observation?" il a répondu:

"Non, nous n'avions aucune raison d'avoir peur, pour nous c'était plutôt un jeu car la notion de jeu était toujours présente à notre esprit. Ces petits "bonshommes" qui étaient de notre taille, on les aurait bien abordés si leur départ n'avait été ainsi précipité par l'arrivée du retardataire."

A la question de l'enquêteur: "Avez-vous vu si les humanoïdes avaient des mains semblables aux nôtres?" il a répondu:

"Nous n'avons pas pu les voir nettement puisque leur vêtement, d'une pièce, couvrait tout, mais ils en avaient: il y avait un des êtres qui tenait cette espèce d'outil avec lequel il raclait le sol, et l'autre à côté tenait un sac."

A la question de l'enquêteur: "Vous ont-ils semblé faire des gestes normaux dans l'accomplissement de cette "besogne", c'est-à-dire semblables à ceux que nous-mêmes faisons?" il a répondu:

"Oui, leurs gestes étaient comparables à ceux que ferait l'un de nous. On ne les a pas vu marcher mais, seulement s'élever de cette façon bizarre, sans moyen de propulsion apparent. Si on ne les avait pas vu se déplacer ainsi, on aurait pu les prendre pour des mannequins en caoutchouc."

A la question de l'enquêteur: "Vous souvenez-vous de la nature du sol à cet endroit?" il a répondu:

"C'était plutôt caillouteux, c'est un endroit aride, un plateau désertique parsemé de petits buissons rabougris; j'ai retrouvé ce genre de paysage dans le département du Gard où j'ai habité pendant quelques temps."

A la question de l'enquêteur: "Il n'y avait rien de particulier dans l'environnement dont vous puissiez vous souvenir, un point d'eau par exemple?" il a répondu:

"Non, rien du tout: il y a bien une rivière le Loing, mais qui passe à plusieurs dizaines de kilomètres de là. Il n'y avait pas .de ligne H.T., ni de château d'eau. Seulement un moulin à vent un peu avant notre campement sur la droite, et une maison désaffectée, en ruines."

A la question de l'enquêteur: "Il n'y avait pas d'animaux dans les parages, qui aient pu manifester une réaction au phénomène?" il a répondu:

"Non."

A la question de l'enquêteur: "Après le départ de l'objet, avez-vous remarqué des traces là où il avait stationné?" il a répondu:

"Non, on est allé voir "s'ils n'avaient rien oublié" mais on n'a rien remarqué, rien ne nous a frappés. Nous avons fait demi-tour et sommes allés nous coucher. Nous n'en avons pas parlé aux autres gosses de la colonie le lendemain, nous avions sans doute décidé que ce serait notre secret."

A la question de l'enquêteur: "Est-ce que vous êtes retourné sur les lieux le lendemain?" il a répondu:

"C'est possible, je ne me le rappelle pas. On est peut-être passé à cet endroit mais sans y prêter une attention particulière; nous avions un programme de loisirs bien établi: jouer aux indiens, rechercher des coquillages fossiles, etc..."

"Je ne me souviens pas qu'il y ait eu une enquête par la suite; même le moniteur n'a pas dû parler de cette affaire."

A la question de l'enquêteur: "Etes-vous resté en contact avec un ou plusieurs des témoins, ou avec le moniteur?" il a répondu:

"Non, nous nous sommes perdus de vue; je ne saurais retrouver ni les enfants de l'époque, ni le moniteur qui avait alors une vingtaine d'années."

A la question de l'enquêteur: "Vous n'êtes pas opposé à ce que nous fassions publier votre récit dans la revue LDLN dont nous parlions tout à l'heure?" il a répondu:

"Non, pas du tout et, qui sait, peut-être que l'un des témoins de cette observation lira l'article..."

A la question de l'enquêteur: "Vous ne voyez rien à ajouter à votre récit?" il a répondu:

"Je vous ai rapporté tout ce dont je me souviens et croyez bien qu'il ne s'agit pas d'un fantasme de l'esprit. Nous sommes une dizaine à avoir fait cette observation et ce n'était pas une hallucination collective puisque nous sommes arrivés sur les lieux pratiquement un par un. Comme je vous l'ai déjà dit, nous ne pouvions être influencés par la TV ou la littérature de science-fiction que l'on ne connaissait pas à l'époque. On nous projetait parfois des films à la colonie, les jours de pluie, comme par exemple un documentaire dont je me souviens qui retraçait la conquête de l'Everest: ça n'avait rien à voir avec les "soucoupes volantes". Depuis, il m'est arrivé de parler de mon observation à quelques amis proches mais, si nous n'avions justement été des amis, ils m'auraient facilement traité de fou."

Les enquêteurs estiment que l'authenticité des faits rapportés ne fait pour eux aucun doute en raison de ses qualités morales, notamment probité et absence de recherche de sensationnel. Ils notent que le témoin est doté d'un esprit d'observation et d'une capacité de mémoire remarquables qu'ils ont pu constater au cours de leur entretien qui a porté sur différents sujets indépendamment de celui les ayant amenés à le rencontrer.

Ils ont remarqué que l'étrange façon de se déplacer des humanoïdes, le fait que l'un ait gratté le sol, et la forme de leurs pieds, sont à rapprocher de l'observation faite à Cussac en 1967.

Ils ajoutent que courant août 1980 ils ont pu se rendre sur les lieux de l'observation qu'ils ont facilement localisés grâce aux détails fournis par le témoin et n'y ont rien trouvé qui puisse donner une explication triviale au récit.

Le rapport d'enquête comprend un plan schématique des lieux, sans échelle, et le schéma de la soucoupe. Il n'y a pas de dessin des humanoïdes allégués:

[Ref. mft1:] MICHEL FIGUET:

Cet ufologue a noté:

CAS Nr CLASSIFICATION DATE HEURE LIEU CODE POSTAL CREDIBILITE SOURCE
57 CE3 08 1954 20.30 Montagne des Alouettes 89 NI [= non identifié], LDLN n° 200

[Ref. tpc1:] THIERRY PINDIVIC:

L'auteur note que "L'observation de la Montagne des Alouettes se serait produite en août 1954 mais ne serait connue que 26 ans plus tard."

[Ref. vcv1:] VERONIQUE CAMPION-VINCENT ET JEAN-BRUNO RENARD:

Les auteurs notent que "L'observation de la Montagne des Alouettes se serait produite en août 1954 mais ne serait connue que 26 ans plus tard."

[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:

Jean Sider résume l'enquête de J.P. et E. Hocquet parue dans le magazine "Lumières Dans La Nuit" N° 200, concernant le cas à une date non connue d'août 1954 entre 22:00 et 23:00 à la Montagne des Alouettes, Saintpuits [sic], dans l'Yonne.

René S., resté anonyme, qui avait 8 ans à l'époque, participait avec d'autres enfants à un jeu nocturne de colonie de vacances, quand il a aperçu un objet apparemment métallique de couleur aluminium, en forme de deux assiettes collées bord à bord, surmonté d'un cône tronqué d'où partait une lumière non aveuglante qui a éclairé tout le paysage alentour comme un éclairage public.

L'objet se trouvait en sustentation à 50 ou 60 cm au-dessus du sol et aucun bruit n'en émanait. La distance de l'engin par rapport au témoin était d'environ dix mètres.

Quatre petits êtres ont ensuite été remarqués, deux à terre, deux sur la machine. Leur taille se situait entre 1 m 20 et 1 m 40. L'un des deux à terre grattait le sol avec un outil pendant que l'autre tenait un sac où il mettait ce que l'autre lui tendait.

Ils étaient vêtus d'une combinaison marron comme celle des hommes-grenouilles. Leur visage n'était pas discernables hormis une sorte de groin, peut-être un masque comme celui d'un cimentier (c'était le métier du père du témoin).

Un enfant qui est arrivé s'est mis à crier et aussitôt les deux êtres à terre ont plaqué leurs bras contre leur corps, se sont élevés à la verticale et après avoir accompli une courbe, ont réintégré l'objet la tête la première.

Ensuite l'engin a décollé et a disparu à grande vitesse.

[Ref. lhh1:] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":

3686: 1954/08/00 22:30 5 3:18:00 E 47:33:00 N 3313 WEU FRN YNN 8:6

NE/SANPUITS,FR:12 ENFANTS/CAMP:LUISANT.SCPE/SOL:2 OIDES DEHORS:GO/OBS PRES:/r217p163

RefN°194 LUMIERES dans la NUIT.(LDLN France) Numéro No. 200 : MONTAGNES

[Ref. ars1:] ALBERT ROSALES:

62.
Lieu. Montagne Des Alouette, France
Date: septembre 1954
Heure: soir

Une lumière orange brillante sur un champ voisin a attiré plusieurs enfants qui étaient cachés derrière une haie afin de surprendre quelques autres enfants. Regardant le champ, ils ont vu un objet en forme de disque métallique orange apparemment sur la terre. Il avait un dôme sur le dessus et des lumières orange en rotation à son centre. La couleur de l'objet ressemblé a de l'aluminium brossé. Un être est vu, qui se tenait droit dans le dôme et d'autres sont vus quittant l'objet. Deux autres sont sur la terre, l'un tenant un sac et l'autre un instrument décrit comme une houe. Tous les humanoïdes portaient des combinaisons brunes sombres et noires. Bientôt les êtres sur la terre ont placé leurs bras rapidement aux côtés de leur corps et se sont élevés verticalement suivent alors une trajectoire courbe pour aller dans l'objet, la tête la première. La lumière orange sur l'objet s'est obscurcie et ensuite a augmenté et l'engin a disparu en quelques secondes à une vitesse incroyable.

HC addendum

Source: Michel Figuet, SOS Ovni

Type: B

[Ref. ars2:] ALBERT ROSALES:

78.
Lieu. Lainsecq, Yonne, France
Date: août 1954
Heure: soirée

Une lumière orange brillante sur un champ voisin a attiré plusieurs enfants se cachant derrière une haie afin d'étonner quelques autres enfants. Regardant le champ ils ont vu un objet en forme de disque métallique orange apparemment sur la terre, il avait un dôme sur le dessus et des lumières oranges en rotation à son centre. La couleur de l'objet a ressemblé a de l'aluminium brossé. Un être est vu se tenant debout dans le dôme et d'autres sont vus quittant l'objet. Deux autres sont sur la terre, l'un tenant un sac et l'autre un instrument ressemblant à une "houx". Tous les humanoïdes portaient des costumes bruns foncés et noirs. Bientôt les êtres au sol ont placé leurs bras avec raideur des côtés de leur corps et se sont élevés suivant alors une trajectoire verticalement courbante dans l'objet, tête d'abord. La lumière orange sur l'objet s'est obscurcie et ensuite l'engin a accéléré rapidement à une vitesse incroyable disparaissant en quelques secondes.

HC addendum
Source: Michel Figuet, SOS Ovni
Type: B

[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:

L'auteur de la base de données cite comme source le magazine d'ufologie Lumières Dans La Nuit pour ce cas à Lainsecq dans l'Yonne en août 1954 à 22:30.

Plusieurs enfants d'un camp de colonie de vacances se trouvaient sous trois tentes près du moulin situé au sommet de la montagne aux alouettes. Plusieurs d'entre eux et un moniteur étaient encore réveillés quand ils ont observé une lueur orangée à une centaine de mètres d'eux au milieu de buissons. Pensant à un autre groupe d'enfants ayant allumé un feu, ils ont décidé de s'en approcher furtivement afin de les surprendre. Ils se sont rendus compte en restant caché que la lueur provenait d'un objet métallique ayant la forme de deux assiettes plaquées l'une sur l'autre et surmonté d'un cône tronqué d'où partait la lumière éclairant le paysage. Au milieu de l'objet, entre le dôme et la couronne, se trouvaient des lumières tournantes orange. L'objet n'était pas posé au sol, mais en suspension à 50 ou 60 cm. Diamètre estimé 3 à 5 m, hauteur 2m à 2m50, couleur aluminium satiné. Un être se trouve en haut du dôme et deux se trouvent au sol. Taille 1m20 à 1m40 revêtus d'une combinaison d'une seule pièce marron très foncé presque noire. Ils possédaient un genre de groin, comme un masque de protection. Corps bien proportionné, mais pieds palmés. L'un d'entre eux gratte au pied d'un buisson avec un objet comparé par l'un des témoins à une binette, et donne quelque chose au second tenant un sac. Un des enfants retardataire arrive alors, découvrant le spectacle pousse un cri de surprise. Aussitôt les deux personnages plaquent leur bras le long du corps, s'élèvent à la verticale et après avoir décrit une courbe, réintègrent l'objet par le sommet, la tête la première. Aussitôt la lumière venant du sommet du cône s'occulte. L'objet pivote sur son axe, s'élève et disparait au loin en 4 à 5 secondes.

Luc Chastan fournit ce dessin dit avoir été fait par le témoin et avoir été publié dans "Lumières Dans La Nuit" numéro 200:

[Ref. uda1:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique qu'en août 1954 à 22:30 au nord-est de Sanpuits [sic], France, "12 enfants à un camp approchent soucoupe incandescente au sol. Deux humanoïdes en dehors de l'engin. OVNI décolle pendant que les témoins s'approchent."

Et: "Rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. 12 enfants à un camp ont observé un disque lumineux pendant cinq minutes. Deux nains ont été vus."

Les sources sont indiquées comme: "Lumieres dans la Nuit, Lumieres dans la Nuit; Hatch, Larry, *U* computer database, Author, Redwood City, 2002".

[Ref. dcy1:] "OVNI MEDIA NEWS:

42/ L’Yonne Républicaine du 12 février 2015

Référence signalée par Rémy Fauchereau.

Le journal "L'Yonne Républicaine" du 12 février 2015 publie en page 23 un article intitulé "Une soucoupe volante et des petits êtres" à propos d’une observation sur la commune de Sainpuits en 1954.

[Ref. tai1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT"

Lieu: Lainsecq, Yonne, France

Date: Août 1954

Heure: soir

Une lumière orange brillante sur un champ voisin a attiré plusieurs enfants qui étaient cachés derrière une haie afin de surprendre quelques autres enfants. Regardant le champ, ils ont vu un objet en forme de disque métallique orange apparemment sur la terre. Il avait un dôme sur le dessus et des lumières orange en rotation à son centre. La couleur de l'objet ressemblé a de l'aluminium brossé. Un être est vu, qui se tenait droit dans le dôme et d'autres sont vus quittant l'objet. Deux autres sont sur la terre, l'un tenant un sac et l'autre un instrument décrit comme une houe. Tous les humanoïdes portaient des combinaisons brunes sombres et noires. Bientôt les êtres sur la terre ont placé leurs bras rapidement aux côtés de leur corps et se sont élevés verticalement suivent alors une trajectoire courbe pour aller dans l'objet, la tête la première. La lumière orange sur l'objet s'est obscurcie et ensuite a augmenté et l'engin a disparu en quelques secondes à une vitesse incroyable.

Source: Michel Figuet, SOS Ovni

[Ref. jgz1:] JULIEN GONZALEZ:

L'auteur indique qu'il y a eu une rencontre rapprochée du troisième type à Saintpuits [sic], Montagne des Alouettes, dans l'Yonne, en août 1954, entre 22:00 et 23:00, avec comme témoin René S. dont le nom est connu des enquêteurs, qui avait 8 ans à l'époque, et plusieurs enfants anonymes.

Le témoin et d'autres enfants participaient à un jeu nocturne de colonie de vacances.

Il a aperçu un objet apparemment métallique de couleur aluminium, en forme de deux assiettes collées bord à bord, surmonté d'un cône tronqué d'où partait une lumière non aveuglante qui a éclairé tout le paysage alentour comme un éclairage public.

L'objet était en sustentation à 50/60 cm au-dessus du sol et aucun bruit n'en venait. Il était à environ dix mètres du témoin.

Quatre petits êtres ont été remarqués ensuite, deux à terre, deux sur la machine. Ils avaient une taille entre 1,20 m et 1,40 m; l'un des deux à terre grattait le sol avec un outil pendant que l'autre tenait un sac où il mettait ce que l'autre lui tendait.

Ils étaient vêtus d'une combinaison marron comme celle des hommes-grenouilles, leur visage n'était pas discernable à part une sorte de groin, peut-être un masque comme celui d'un cimentier - métier du père du témoin.

Un enfant qui est arrivé s'est mis à crier et aussitôt les deux êtres à terre ont plaqué leurs bras contre leur corps, se sont élevés à la verticale et après avoir accompli une courbe, ont réintégré l'objet la tête la première, puis l'engin a décollé et disparu à grande vitesse.

Julien Gonzalez fait remarquer que cette affaire ressemble beaucoup à celle de Cussac, Cantal, du 19 août 1967, où quatre petits êtres ont rejoint leur "machine volante" de la même manière.

Il indique que la source est: Lumières dans la Nuit, n° 200, page 29 (enquête de J.-P. et E. Hocquet).

[Ref. yre1:] SITE WEB DU JOURNAL "L'YONNE REPUBLICAINE":

Une soucoupe volante et des petits êtres

SAINPUITS

Publié le 12/02/2015

435

[Légende de la photo ci-dessus:] Le château de Flassy est aujourd’hui à l’abandon. C’est dans cet ancien pensionnat de la DDASS que séjournaient, en 1954, les jeunes qui ont raconté avoir vu des extraterrestres.

Xavier Parent, nouveau maire de Sainpuits, s'est amusé à faire des recherches anecdotiques sur la commune de Sainpuits.

Parmi ses découvertes, il en est une particulièrement singulière, qui fait sourire le lecteur d'aujourd'hui. Un rapport d'enquête de J.-P. et E. Hocquet, exploité dans le numéro 200 de la revue Lumières dans la Nuit (décembre 1980), fait état d'une surprenante rencontre aux abords du château de Flassy, ancienne colonie de vacances et foyer d'enfants placés.

Pendant l'été 1954, une dizaine de jeunes gens ont observé « une lueur orangée à quelques centaines de mètres ». Vingt-six ans après les faits, un de ces enfants, désormais trentenaire, explique qu'ils se sont approchés jusqu'à découvrir une soucoupe volante, « qui avait la forme de deux assiettes plaquées l'une contre l'autre, avec un cône tronqué d'où partait cette lumière qui éclairait le paysage un peu comme un éclairage public en ville ». Le témoin poursuit : « Il y avait des petits êtres, à peu près de notre taille, entre 1,20 m et 1,40 m (...) On ne voyait pas leurs yeux ni aucun trait du visage, mais ils avaient un genre de groin comme en ont certaines sortes de singes. »

A propos du témoin, la fin du rapport précise : « Les enquêteurs estiment que l'authenticité des faits rapportés ne fait pour eux aucun doute en raison de ses qualités morales, notamment probité et absence de recherche de sensationnel. »

- Pratique. Le document peut être consulté sur le site de la commune, Sainpuits.fr, dans la rubrique « Histoire de Sainpuits ».

F. R.

Note: l'article indique que "Le document peut être consulté sur le site de la commune". Il s'agit en fait, sur le site web de la commune de Sainpuits, d'un fichier PDF contenant ma page web sur cette affaire, telle qu'en 2015. Elle est sourcée comme "article de Patrick Gross à propos d'OVNI vu à Flassy en 1954". Cela se trouve à http://www.sainpuits.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=112&Itemid=585

[Ref. prn2:] PETER ROGERSON - "INTCAT":

Eté 1954. 2230hrs.

SANPUITS (YONNE : FRANCE)

Un groupe d'enfants et de jeunes d'un camp de vacances pour mineurs situé au Château de Flassy campait sur la "Montange [sic] des Alouettes" lorsqu'un groupe d'environ une douzaine de ces enfants a vu une lueur orange à quelques centaines de mètres. Ils ont pensé qu'il s'agissait d'un autre groupe d'enfants campeurs et ont entrepris de les attaquer. Quand ils se sont rapprochés, ils ont vu quelque chose comme deux soucoupes collées côte à côte, mesurant environ 3 à 5 m de large et 2 à 2,5 m de haut. La chose était surmontée d'un cône tronqué d'où provenait la lumière orange, éclairant les alentours comme un réverbère. Entre le disque principal et le cône, une rangée de lumières tournantes. Associé à cet objet, un groupe d'entités de 1,2 à 1,4 m de haut. Bien que les traits du visage ne soient pas visibles, les créatures avaient un museau ressemblant à celui d'un singe et étaient vêtues d'une combinaison sombre et avaient des pieds ou des chaussures palmés. Deux de ces êtres étaient au sol et le troisième au sommet de l'objet. Lorsque l'un des garçons a crié, les deux êtres sur le sol ont semblé se relever dans une trajectoire courbe et sont entrés la tête la première dans l'objet. La chose a ensuite pivoté sur son axe, s'est inclinée à 45 degrés et a décollé à une vitesse incroyable.

Evaluation - Cette affaire présumée à témoins multiples est en réalité basée sur le témoignage d'un homme en 1980, qui aurait eu 8 ans à l'époque. Aucune tentative pour obtenir une documentation contemporaine ne semble avoir été tentée

Le cas a été enregistré deux fois au lieu d'une:

Septembre 1954. (Date approx. ) 2230hrs.

SAINPUITTS [sic] (YVONNE : FRANCE)

René S (8) faisait partie d'un groupe de 60 enfants dans un camp de la Montagne des Alouettes à 4 km de Sainpuitts [sic]. Ils jouaient tard lorsque leur attention a été attirée par une lumière orange à quelques centaines de mètres. Un groupe d'environ 12 enfants est allé enquêter, pensant que c'était un feu de camp fait par un autre groupe d'enfants. Se rapprochant, à moins de 10m, René vit que la lueur venait d'un objet métallique en forme de deux assiettes pressées l'une contre l'autre, surmontées d'un cône tronqué, d'où émergeait la lumière. Entre ce cône et le haut de l'objet se trouvait une rangée de lumières orange en rotation. L'objet, qui faisait environ 3 à 5 m de diamètre et 2 à 2,5 m de hauteur, planait à 50-60 cm au-dessus du sol. Autour de cet objet se trouvaient un groupe de petites personnes d'environ 1,2 à 1,4 m de hauteur. L'un était sur la couronne de l'objet, un autre sur la tourelle et deux autres sur le sol, l'un fouillant le sol avec une sorte de houe et remettant des échantillons à son compagnon qui tenait un sac. Ils portaient une combinaison marron foncé, comme celle des hommes-grenouilles, avec des pieds palmés. Il était incapable de voir les yeux ou les traits du visage, mais le visage de la créature semblait se terminer par une sorte de museau. Quand ils ont pris conscience des enfants, les êtres au sol ont placé leurs mains sur leur poitrine et ont volé dans la machine, la tête la première. La lumière orange s’éteignit, la chose s’éteignit, pivota sur son axe puis monta dans le ciel et disparut en quelques secondes. Il n'y avait aucun son de la machine pendant toute l'observation. Aucune trace n'était visible sur le site.

Evaluation - L'enquête a eu lieu en 1980 environ, une fois encore, un quart de siècle s'était écoulé. Aucun autre témoin découvert.

Explications:

Carte.

Visiteurs extraterrestres, ou invention du témoin.

Il n'y a simplement pas de preuve que l'épisode raconté ait réellement eu lieu.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Montagne Des Alouettes, Yonne, Lainsecq, lumière, orange, enfants, champ, objet, métallique, disque, atterrissage, lumières, rotation, aluminium, occupants, humanoïdes, deux, tenues, appareil, combinaison, lévitation, Cussac, sac

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 7 novembre 2004 Première publication.
1.0 Patrick Gross 23 octobre 2009 Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Addition [tpc1].
1.1 Patrick Gross 24 février 2010 Addition [ars2].
1.2 Patrick Gross 20 mars 2010 Addition [uda1].
1.3 Patrick Gross 18 juillet 2010 Additions [hoc1], [vcv1].
1.4 Patrick Gross 23 octobre 2014 Addition [tai1].
1.5 Patrick Gross 8 décembre 2016 Addition [dcy1].
1.6 Patrick Gross 18 janvier 2017 Addition [jgz1].
1.7 Patrick Gross 6 avril 2018 Addition [yre1]. Correction de fautes de frappe.
1.8 Patrick Gross 11 avril 2019 Additions [mft1], [lhh1], [prn2]. Explications changées, étaient "Non encore recherchée."

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Cette page a été mise à jour le 11 avril 2019.