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Référence pour ce cas: 3-oct-54-Nivelle.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.
Selon les sources ufologiques, le cas serait apparu dans la presse, dans les journaux de la région Nord-Matin et La Croix du Nord du 6 octobre 1954.
Le 3 octobre 1954, vers 1 heure du matin, Mr. Marcel Sénéchal, 20 ans, ouvrier métallurgiste, rentre chez lui à Saint-Amand-les-Eaux à bicyclette par le chemin de halage longeant la rivière la Scarpe. Il se trouve à la sortie de Nivelle, à la hauteur du lieu-dit "la pâture Vandeville", quand il entend une conversation dans un langage inconnu.
En tournant la tête, il voit en contrebas du chemin sur sa droite ce qu'il a comparé à une meule lumineuse d'où sortait un rayon lumineux, et à côté deux formes humaines d'environ 1.20 mètres, revêtues d'un vêtement brillant.
D'après Garreau et Lavier, il avait raconté:
"J'ai tourné la tête et en contrebas du chemin, dans un pâturage, j'ai aperçu à la faible clarté de la lune, une boule d'environ 3 mètres de diamètre. Auprès d'elle, il y avait deux petits êtres, dont la taille n'excédait pas 1 mètre, ils discutaient. Ils avaient de grosses têtes. Leurs vêtements étaient lumineux."
Affolé, il s'est enfui à toutes pédales et est allé raconter son aventure au commissariat de Saint-Amand-les-Eaux. Le commissaire, Mr. Gravet, et deux inspecteurs de la Police de l'Air, se sont rendus sur les lieux, mais n'ont relevé aucune trace.
En 1979, les ufologues "sceptiques" Gérard Barthel et Jacques Brucker assuraient avoir enquêté sur le cas auprès des autorités à Saint-Amand-les-Eaux, et annoncent que tout cela était une invention du témoin.
A leur suite en 1979, l'ufologue "sceptique" Dominique Caudron en a pris note, ajoute que Marcel Sénéchal était un célibataire de 20 abs et que rien n'est venu démentir la possibilité qu'il ait monté une farce. Il ajoute encore avec bon sens qu'à cette époque, deux "atterrissages" venaient d'être largement diffusé s dans la pesse de la région, celui près de Harponville, où on a décrit la forme de l'engin comme celle d'une meule, justement, et celui de Quarouble, où l'on a décrit les êtres tout à fait comme ceux décrits par Marcel Sénéchal, sans parler du "rayon"; en somme, s'il avait voulu inventer une histoire qui puisse sembler "crédible" dans ce contexte de l'époque, il aurait raconté exactement ce qu'il a raconté.
[Ref. nmn1:] JOURNAL "NORD-MATIN":
On continue à signaler de partout des apparitions d'engins mystérieux qui affectent tantôt la forme de soucoupes, de boules lumineuses, de disques incandescents. Mais tous ces témoignages n'apportent rien de neuf sur la question. Par contre, un savant vient de prendre la parole pour faire connaître le résultat d'une observation personnelle.
M. G. Duncan Fletcher, vice-président de l'Association Astronomique du Kenya, a lui-même observé dernièrement, un objet survolant Nairobi. Il était dans son observatoire (qui est très bien équipé), en compagnie de quatre amis. Il était 19 h. 40 quand, très bas à l'Est, apparut une grande lueur qui n'avait rien à voir avec l'astronomie, ni avec les avions qui venaient de se poser sur l'aéroport. L'objet était à environ 700 mètres d'altitude et était immobile. Quand M. Fletcher et ses quatre amis l'aperçurent, il émettait une vive lueur orangée. Cette lueur s'intensifia jusqu'au jaune clair et l'objet s'éleva, redescendit et reprit de la hauteur pour disparaître finalement dans les nuages.
M. Fletcher fait connaître que des soucoupes ont été signalées par des observateurs très expérimentés de tous les points du globe et d'après lui "des visiteurs d'un autre monde observent la terre et en dressent probablement la carte géographique".
Citant à l'appui de sa thèse l'opinion du Dr. P. Foyle, professeur d'astrophysique à Cambridge et celle de Sir James Jean, le Dr. Fletcher déclare que des raisons innombrables militent en faveur de l'existence de nombreuses planètes capables d'abriter la vie, mais les formes de vie sur les autres planètes pourraient être très différentes de tout ce que nous pouvons imaginer".
Il ajoute que c'est peut-être une simple coïncidence, mais il fait remarquer que ces êtres d'autres mondes s'intéressent aux activités terrestres depuis la première explosion atomique, il y a environ sept ans.
"Il semble ne faire aucun doute, poursuit M. Fletcher, que ces êtres sont extrêmement en avance sur nous. Je pense qu'ils nous abordent comme nous ferions si nous étions à leur place".
En attendant, d'autres engins mystérieux ont été signalés au-dessus de notre région.
Dimanche soir, à 21 h., M. Ferdinand Millecamps, 21 ans, maçon, demeurant à Haubourdin, 22 rue Victor Loridan, se trouvant sur le pont de Sequedin, vit, à environ 500 mètres, entre Sequedin et Hallennes, et sur la voie ferrée, une boule de feu, de la taille d'un tramway. Elle se trouvait à 4 ou 5 mètres du sol et, après être demeurée un moment immobile, elle partit à la verticale. Effrayé par cette apparition fantastique, M. Millecamps quitta précipitamment les lieux, et plus tard, encore très ému, raconta son aventure en arrivant à Haubourdin.
Samedi, M. Marcel Sénéchal, 20 ans, demeurant à St-Amand, au lieu di "La Pannerie", avait comme à son habitude, passé la soirée à Hauteville-Nivelle chez sa fiancée. Il s'en revenait à bicyclette vers St-Amand en longeant le canal de la Scarpe, vers 1 h. du matin.
Arrivé à la hauteur de la pâture Vandeville à Nivelle, il entendit soudain une conversation tenue en un langage inconnu et semblant parvenir de sa droite. Il tourna la tête de ce côté et à son grand émoi aperçut alors une masse lumineuse en forme de meule ainsi que deux formes humaines de 1 m. 20 de hauteur environ, revêtues d'un vêtement brillant. Un rayon lumineux sortait de l'engin.
Les personnages mystérieux n'avaient sans doute pu voir l'approche du jeune cycliste qui roulait dans l'obscurité, une panne ayant immobilisé son éclairage.
Le jeune homme effrayé, s'éloigna à toutes pédales et regagna son domicile ému à l'extrême et rapporta ces faits à sa famille et à des voisins.
Informé par la rumeur publique, le commissaire de St-Amand, M. Gravet et deux inspecteurs chargés de la Police de l'Air attachés à l'aérodrome de Lesquin se sont rendus sur les lieux et ont procédé à des recherches; mais ils ne purent relever aucune trace.
Des habitants de Boves dans la Somme ont été dimanche soir, les témoins d'un étrange phénomène.
Il était 20 h. 50, M. et Mme Dheilly qui étaient allés chez des amis, rentraient chez eux. Alors que M. Dheilly cherchait dans l'obscurité à ouvrir sa porte, Mme Dheilly remarqua soudain un demi-disque orange, à faible hauteur dans le ciel, en direction de l'extrémité de la rue. Elle alerta son mari et tous deux purent voir le disque se déplacer lentement vers une crête boisée.
Deux de leurs voisins, M. et Mme Quin, à leur tour avertis, purent eux aussi voir le mystérieux demi-disque qui, toujours lentement, s'éloigna et disparut derrière les arbres du marais proche.
Confirmation, en quelque sorte indirecte, de cette "apparition" a été donnée par des habitants de Demuin, M. et Mme Deslarides, ouvriers agricoles, qui affirment eux, avoir vu vers 21 h. 15, une sorte "d'abat-jour volant" phosphorescent qui se déplaçait sans bruit et paraissait vouloir atterrir.
Un habitant de St-Souplet, dans le Cambrésis, a reçu une curieuse visite dans la nuit de dimanche à lundi.
Réveillé par un claquement sec, le témoin dit: "J'ai cru tout d'abord à un incendie de l'immeuble en face, mais il s'agissait en fait d'une boule lumineuse, qui montait vers le ciel. Une vitre de porte fut soufflée et le verre réduit en centaines de petits morceaux était dispersé dans la pièce attenante. A l'endroit d'où venait de repartir l'engin, les légumes du jardin étaient tous couchés dans le même sens, quelques-uns étant déracinés, juste à l'endroit où s'était posée la boule. A part la vitre brisée que l'on peut expliquer par le déplacement d'air de l'appareil, aucun autre dégât n'a été fait à la propriété".
[Ref. lcd1:] JOURNAL "LA CROIX DU NORD":
Les biens fâcheux concours de circonstances qui avaient jusqu'à présent privé les journalistes d'accrocher, eux aussi, "leur" soucoupe ou "leur" cigare au registre des faits divers et des souvenirs personnels viennent d'être balayés comme fétu par le vent. J'ai vu un cigare volant qui, la nuit, accuse la fameuse lueur rouge... Je l'ai palpé sous toutes les coutures et même participé au gonflement d'un de ces engins que d'aucuns assurent venir d'une autre planète. Ce n'est ni une histoire de fous, ni même une débauche de l'imagination après la lecture de quelque roman d'anticipation. Point n'est besoin de se pincer pour se convaincre de la réalité de la chose. La clarté des évidences aurait frappé les esprits les plus sceptiques et les plus réticents à l'hypothèse d'une exploration de la terre par certains voyageurs de l'espace.
C'est une longue, une fort longue histoire dont le point de départ se situe au Portugal au début de ce siècle. H. C. [sic, G.] Wells, l'auteur de "La Guerre des Mondes" n'avait encore la moindre conscience de son avance sur le Futur... En fait de machines volantes, Clément Ader et les frères Wright tentaient seulement de donner une application pratique aux théories du "plus lourd que l'air"...
Dans un petit village portugais, quand le vent léger venant de la mer s'apaisait, un jeune garçon Victor Oliveira fabriquait des "Montgolfières" qu'il gonflait ensuite à l'air chaud... Le principe bien connu du plus léger que l'air faisait s'envoler ces gracieuses enveloppes, qui dérivaient suivant les caprices du vent.
Arrivé en France peu avant la guerre de 1914, M. Oliveira combattit bravement ai pris part aux engagements de La Couture. Après un court séjour au Portugal, il s'installait en 1922, à Beuvry-les-Béthune. Il occupa jusqu'à sa retraite, en décembre dernier, le poste de conducteur de brûleur à la Centrale Electrique de Beuvry.
Cependant, le passe-temps favori de ses jeunes années ne subit pas le phénomène bien connu de désaffection dont souffrent les collections de timbres, par exemple, quand vient l'adolescence. Marié, entouré
Lire la suite en dernière page, sous le titre: "CIGARES"
M. Antoine Bonte, ingénieur I.D.N., professeur de Géologie appliquée à la Faculté des Sciences de Lille, a bien voulu nous fournir une explication scientifique du phénomène observé par des dizaines de personnes, dimanche soir, dans notre région. Il nous écrit: "J'attendais avec impatience le journal de ce matin et j'ai éprouvé un vif plaisir à la lecture des récits de vos correspondants; car, dimanche soir, j'ai vu aussi "la soucoupe volante".
"Les descriptions qui en sont données concordent en tout point avec mes observations personnelles. Seulement je ne suis pas d'accord sur leur interprétation car, en l'occurrence, il s'agissait tout simplement d'un coucher de lune.
"Dimanche, à la tombée de la nuit, la lune brillait par temps clair sous forme d'abord de croissant. Plus tard, elle disparaissait dans la zone brumeuse qui surmontait l'horizon, pour réapparaître quelques instants, rougeâtre et déformée - ce qui est normal à ce niveau - et barrée d'un trait en passant derrière un stratus. Enfin elle s'estompait définitivement en rentrant à nouveau dans les nuages.
"Il s'agit donc, dans ce cas particulier, d'un phénomène tout à fait banal et auquel nos pères n'auraient même pas prêté attention.
"D'ailleurs, dans la plupart des autres cas, il s'agit de phénomènes analogues ainsi que j'ai pu le constater à plusieurs reprises. La psychose des soucoupes volantes est un phénomène d'hallucination collective qui répond à un besoin naturel de merveilleux entretenu par une presse à gros tirage et alimenté par toute une catégorie d'illustrés pour enfants ou... adultes. Les descriptions des soi-disant Martiens sont tellement proches des scaphandres à la Tintin qu'on ne peut s'empêcher d'en sourire.
Suite en dernière page,
en sixième colonne, sous le titre
"SOUCOUPES"
"Si vraiment les Martiens - à supposer qu'ils existent - devaient nous rendre visite, croyez-vous qu'ils auraient exactement notre constitution physique, qu'ils utiliseraient des appareils et des vêtements analogues à ceux qui ont été conçus par nos ingénieurs ou qui n'ont vu le jour que dans l'imagination débordante des auteurs de romans d'anticipation: croyez-vous surtout que la nature et le degré de leur évolution scientifique puissent être analogues aux nôtres. Que de coïncidences et d'invraisemblances!
"Heureux journalistes qui n'avez pas vu votre soucoupe volante! Consolez-vous en pensant que, pour les lecteurs sérieux, c'est une garantie d'honnêteté et d'objectivité. Mais faites plus, en n'accueillant qu'avec un scepticisme non déguisé les témoignages des correspondants en-qui-on-peut-avoir-confiance, de bonne-foi ou qui préfèrent garder l'anonymat. Il est même de votre devoir de lutter contre cet affaiblissement de l'esprit critique qui caractérise notre époque de culture universelle mais par trop superficielle".
Dans une étude qu'il a eu l'amabilité de nous communiquer, M. Bonte examine également plusieurs cas de phénomènes célestes signalés ces dernières années et donne pour chacun une explication dont on appréciera la solidité. Il démontre que la majorité des prétendues soucoupes volantes sont des phénomènes naturels qui se produisent à haute altitude. Il a notamment observé et photographiée, dans la région de Lons-le-Saulnier, "une traînée lumineuse rouge orange et se détachant nettement sur le fond sombre du ciel. Cette traînée était issue d'un point qui se déplaçait lentement du sud vers le nord dans la partie du ciel situé à l'ouest de Lons-le-Saulnier.
"Les témoins de ce spectacle auraient volontiers vu dans ce météore une manifestation de soucoupe volante; ils se sont ralliés sans hésitation à mon explication.
"Il s'agissait en l'occurrence du sillage d'un avion à réaction se déplaçant à grande altitude et à grande distance, d'où la lenteur apparente de la traînée lumineuse et l'absence du vrombissement caractéristique. La couleur rouge du sillage était due simplement à l'altitude de l'avion qui était encore éclairé par le soleil, alors que celui-ci était pour nous couché depuis longtemps. Tout le monde a vu des stratus colorés en rouge au-dessus de l'horizon après la disparition du soleil, ce qui correspond évidemment au même phénomène".
"... Il y a d'ailleurs d'autres phénomènes qui, ignorés des non initiés ou même des spécialistes, ont accrédité la légende des soucoupes volantes... Le Directeur de la station météorologique d'Alger a révélé que les prétendues soucoupes observées dans cette région n'étaient autre que des ballons sondes munis d'un dispositif lumineux; les courants régnant dans la haute atmosphère faisait évoluer ces engins de façon apparemment déconcertante.
"L'éclairement des nuages par des sources lumineuses puissantes peut donner lieu aussi à des évolutions ahurissantes d'objets brillants. L'intersection du faisceau lumineux avec la surface d'un nuage peut donner des images de toutes formes depuis le cercle jusqu'à des ellipses plus ou moins allongées, les images pouvant être uniformément brillante ou, au contraire, sombres au centre, et vivement éclairées sur les bords. Ce phénomène pourrait expliquer la rapidité extraordinaire de certaines "soucoupes" et leurs changements instantanés de direction, caractères rapportés par certains observateurs.
"Dernièrement, un physicien américain, M. W, Scott, a démontré qu'il était possible de produire artificiellement en laboratoire des météores analogues aux soucoupes volantes, sous l'aspect de sphères entourées d'anneaux brillants. Ce phénomène n'est pas sans analogie avec les anneaux qui se produisent lorsqu'on fait passer des bouffées de fumée à travers un orifice circulaire, et tous les fumeurs se sont amusés à "faire des ronds" avec la bouche. Les expériences atomiques ne sont peut-être pas étrangères à la formation de météores jusqu'ici inconnus.
"L'expérience de Scott a été critiquée par le professeur G. Ray Watt, de l'institut Carnégie [sic, Carnegy] de Washington, qui prétend que les conditions nécessaires à la formation de ces anneaux n'existent pas dans la haute atmosphère. La météorologie est cependant une science bien jeune pour autoriser de telles assertions: l'atmosphère normale n'est déjà pas si bien connue, à plus forte raison la haute atmosphère.
"L'argument le plus important pour démontrer l'inanité des soucoupes volantes est certainement cette information qui nous vient d'Amérique. Une formation de soucoupes volantes ayant été signalée dans le ciel de Washington, les bases aériennes d'Andrews et de Ballingfields reçoivent l'ordre de les intercepter à tout prix. Courageusement, les avions à réaction foncent à 1.000 à l'heure, on peut dire "dans le brouillard", et traversent sans subir le moindre dégât, leur prétendu adversaire qui n'était autre que des sortes de nuages.
"Que penser alors de certains témoignages troublants émanant d'observateurs avertis tels que les pilotes d'avions, professeur d'institutions scientifiques, etc.? Rappelons tout d'abord que les phénomènes qui se passent dans l'atmosphère sont loin d'être tous connus, même des spécialistes. D'autre part, l'esprit critique fait parfois défaut même à des savants respectables. Enfin pour qui connaît l'ambiance de certains cercles militaires, la mystification est pas exclue vis-à-vis de certains camarades plus naïfs.
"Des météores ont été observés de tout temps, mais on n'y prêtait pas la même attention qu'aujourd'hui où tout le monde veut avoir vu sa soucoupe volante. Il s'agit là d'un cas banal d'illusions collectives dont les milieux scientifiques eux-mêmes ne sont pas exempts.
"Il est possible néanmoins que des engins nouveaux sillonnent parfois le ciel. Il est hors de doute que les américains et les russes, chacun de leur côté, cherchent à mettre au point des armes nouvelles et quelques-unes des soucoupes volantes sont peut-être une réalité. Mais les uns et les autres ont intérêt à ce que leurs recherches soient ignorées de l'adversaire, d'où le flot de nouvelles contradictoires.
"On annonce, par exemple, en Amérique, que les soucoupes volantes sont un mythe; le lendemain un engin répondant au même nom est découvert au Spitzberg et ses appareils de mesures portent des inscriptions en langue russe. Comme par hasard, le point de chute se trouve dans une région inhabitée.
"Suivant les circonstances, on feint l'ignorance ou, au contraire, on se vante d'une supériorité imbattable. Nous connaissons trop, pour en avoir souffert, les méfaits de la propagande pour nous laisser influencer par des informations qui manquent d'impartialité. Si vraiment il existe des engins nouveaux, il sera toujours temps de s'en inquiéter lorsqu'ils seront utilisés, s'ils le sont un jour. Il est absolument inutile de se faire du souci à l'avance.
"En conclusion, on peut dire que 90%, sinon 99%, des prétendues soucoupes volantes ne sont dues qu'à des observations incomplètes de phénomènes naturels et relèvent de la pure imagination. Quelques-uns sont sans doute attribuables à des météores d'origine connue ou nouvelle. Enfin, dans quelques cas particuliers, il s'agirait peut-être d'engins nouveaux en cours d'essai.
"Quant à l'origine extra-terrestre des soucoupes volantes, elle ne repose sur rien de positif et nous pourrions dormir sur nos deux oreilles si nous n'avions que cette appréhension. Nous avons, hélas, plus à craindre de nos semblables que des Martiens."
de ses enfants, M. Oliveira continuait à coller du papier et à gonfler ses montgolfières. Quelque peu surpris au début, ses voisins ne tardèrent pas à ranger cette peu dangereuse distraction dans le domaine des choses normales. M. Oliveira? Ah! oui, celui qui fabrique des montgolfières? "Certains élèvent des pigeons, assure M. Oliveira, d'autres entraînent des coqs pour les combats. Moi, je fais ça..."
De taille moyenne, l'oeil malicieux derrière les lunettes à grosses montures, le teint hâlé, vêtu d'une veste grise et d'un pantalon rapiécé aux genoux, vif malgré ses soixante ans (il en paraît quarante à peine), M. Oliveira semble complètement surpris par cette brusque accession à l'actualité. Il a parfois envie d'envoyer journalistes et photographes au diable et de se barricader dans le hangar encombré de papiers de caisses d'emballage, qui lui sert d'atelier de fabrication.
Il habite en effet chez ses enfants, M. et Mme Lenfant, qui tiennent une maison d'alimentation, route de Béthune, à Beuvry.
Etendue sur quelques caisses, la carcasse d'un des engins attend le gonflage. De quoi inspirer l'imagination de quelques personnes en mal de soucoupes volantes et de contact - à distance - avec les Martiens ou autres voisins de notre planète, puisqu'il paraît dorénavant admis que les "visiteurs du soir" puissent provenir d'un autre système que celui où la Terre poursuit son éternel gravitation.
L'aspect de la montgolfière révèle immédiatement le caractère primaire d'une technique qui remonte déjà à plusieurs siècles. Celle qui servira d'expérience et de témoignage mesure trois à quatre mètres environ. Elle affecte la forme d'un losange très renflé au centre et constitué par du simple papier d'emballage, mince et résistant. Une ouverture circulaire, renforcée d'un mince fil de fer, sert de base. Indépendamment de l'armature proprement dite, M. Oliveira dispose un trépied de fils de fer qui maintient un gros morceau d'étoupe imbibé de pétrole, d'essence ou d'huile. La question du carburant ne pose guère de problème.
Abordons maintenant la partie "lancement" de la montgolfière. Celle-ci est maintenue dans la position verticale. Sous l'ouverture, M. Oliveira dispose quelques journaux dans un baste [sic] pot de terre cuite... Nous voilà loin des rampes de V1, V2 et consorts... Sous l'action de l'air chaud, la carcasse se gonfle rapidement et tend à entreprendre son mouvement ascensionnel. M. Oliveira enquamme [sic] alors le chiffon d'essence, accroche le trépied au fil de fer qui maintient l'ouverture rigide et... L'engin commence sa course qui peut se prolonger fort loin s'il rencontre un courant favorable qui ne lui imprime que très peu de secousses. Au cours d'une expérience faite dans la matinée, la montgolfière s'était couchée et avait pris feu à une dizaine de mètres du sol.
Les esprits acquis à la probabilité des soucoupes volantes souriront. Ceux qui assurent avoir un aperçu un de ces engins dans leur exploration de la croûte terrestre hausseront les épaules dans un geste de généreuse commisération. Il n'en reste pas moins que, dans l'obscurité, la lueur rouge que dégage le chiffon enflammé, jointe aux reflets qu'elle fait danser sur le papier peuvent abuser les plus raisonnables. Il faudrait d'ailleurs posséder un esprit critique et une somme de modestie fort extraordinaire pour ne pas se proclamer le témoin du phénomène qu'on assimile automatiquement à l' "incompréhensible".
Depuis 1922, M. Oliveira a lancé près de 5.800 montgolfières. Personne, dans les environs, ne s'en émeut plus. Mais en dehors de ce cercle, somme toute restreint, certaines personnes sont susceptibles d'être troublées et leur certitude de n'être pas victime d'une hallucination renforce encore leur intransigeance. A telle épreuve qu'une personne de Sailly a rapporté au commissariat de Beuvry une montgolfière tachetée intérieurement de gouttes d'huile et de marques noirâtres. Chacun en rit et la carcasse, aux lambeaux brûlés, ne constitue même pas une pièce à conviction.
Ce qui commence presque comme un conte peut prendre fin comme une fable chère à La Fontaine. Comment démêler l'illusion de la réalité? Les difficultés que rencontrent ce souci de l'exactitude et de la vérité ne font que rendre le problème plus complexe. Mais il sert aussi d'argument rassurant pour ceux qui craignent une invasion interplanétaire.
Nous ne nous croyons pas autorisés, du fait de cette expérience personnelle, pour trancher le débat. Souhaitons seulement que cette relation inspire plus de mesure et de retenue à certains. Les soucoupes et cigares volants deviennent vraiment encombrants. Il est des plaisanteries qu'il convient de ne pas prolonger trop avant.
[Légende photo:] M. OLIVEIRA s'amusa beaucoup à lire, dans un hebdomadaire à sensation, un reportage sur les soucoupes volantes.
Jean MAERTEN
La région de Saint-Amand-Nivelle aurait eu également sa soucoupe volante, tout au moins selon les dires du jeune Marcel Sénéchal, 20 ans, demeurant à Saint-Amand au lieu-dit La Pannerie.
Ce fut dans la nuit de samedi à dimanche, vers 1 heure du matin.
Ce soir-là, Marcel Sénéchal avait, comme d'habitude, passé la soirée chez sa fiancée à Hauterive-Nivelle. Il s'en revenait alors en bicyclette vers Saint-Amand en longeant le cours de la Scarpe.
Arrivé à hauteur de la "pâture Vandeville" il entendit tout à coup une conversation en langue inconnue, qui provenait de sa droite.
Tournant tout naturellement la tête de ce côté il aperçut alors à son grand émoi, une masse lumineuse en forme de meule et deux formes humaines de 1 m. 20 de haut revêtus [sic] d'un vêtement brillant. Un rayon lumineux sortait de l'engin mystérieux.
Le jeune homme effrayé s'éloigna à toute pédales pour regagner son domicile où tout bouleversé il rapporta ces faits à sa famille et ses voisins.
Informé par la rumeur publique, le commissaire de Saint-Amand, M. Gravet et deux inspecteurs chargés de la Police de l'Air, attachés à l'aérodrome de Lesquin, se sont rendus hier sur les lieux et procédèrent à des recherches. Ils ne purent relever aucune trace.
[Ref. nnm1:] JOURNAL "LE NOUVEAU NORD MARITIME":
Du nouveau à l'horizon des soucoupes volantes. Le mystère subsiste, mais certains des cas ont pu être expliqués. Et, pour ceux-là, l'histoire finit en queue de poisson.
On sait maintenant que les engins qui ont été aperçus dans la région de Beuvry-les-Béthune étaient des "Montgolfières" en papier, envoyées par un retraité, M. Oliveira, passionné du "plus léger que l'air". Nous l'avions d'ailleurs annoncé dans notre précédent numéro.
D'autre part, M. Antoine Bonte, ingénieur I.D.N., professeur de géologie appliquée à la faculté des sciences de Lille, a donné une explication scientifique du phénomène observé par des dizaines de personnes, dimanche soir, dans la région lilloise. M. Bonte a vu, lui-même la "soucoupe volante" qui n'était qu'un phénomène lunaire.
Enfin, des fusées avaient été aperçues dimanche soir, au large de Calais. "C'était comme le sillage lumineux de soucoupes volantes", avaient émis certains. En fait, il s'agissait des signaux de détresse lancé par le ballon sphérique de Mme Paulette Weber.
Voilà donc une série de cas tranchés. Restent les autres. Ils sont troublant. On le verra ci-dessous. Et on ne manquera pas de les rapprocher des déclarations faites par M. G. Duncan Fletcher, vice-président de l'Association Astronomique du Kenya.
Cet éminent astronomes pense que "des visiteurs d'un autre monde observent la terre et en dressent probablement la carte géographique".
Mais, ce n'est là qu'une hypothèse. Nous ne sommes pas encore satisfaits!
Quimper, 6. -- Vers 4 heures, hier matin, M. Pierre Lucas, ouvrier - boulanger à Loctudy (Finistère), qui était occupé à puiser de l'eau dans la cour de la boulangerie, aperçut soudain dans la nuit un engin de la forme d'une soucoupe de 2 m. 50 à 3 mètres de diamètre. Il en vit sortir un individu mesurant environ 1 m. 20 qui s'approcha de lui et lui tapa sur l'épaule en articulant des paroles inintelligibles. L'ouvrier boulanger réussit à garder son calme et rentra au fournil où l'inconnu le suivit.
A la lumière, M. Lucas put dévisager le visiteur: il avait le visage ovale, tout couvert de poils et des yeux de la grosseur d'un oeuf de corbeau. Le jeune homme appela son patron mais, avant que celui-ci ait eu le temps de descendre, l'inconnu avait disparu ainsi que sa soucoupe dont on ne retrouva aucune trace.
Un marchand de bière de Concarneau a, de son côté, déclaré avoir vu dans le ciel deux disk lumineux de la forme de tables rondes prolongées d'une sorte de queue. L'un des disques était immobile tandis que l'autre évoluait proximité. Les deux disques disparurent au bout de dix minutes après avoir lancé une fusée.
Lezignan, 6. -- Deux habitants de Lezignan, MM. André Gardia et André Darzens, qui roulaient en camion sur la route départementale D-3, ont affirmé avoir aperçu un engin en forme de disque se poser dans un champ entre le village de Lagrasse et le hameau de Villemagne (Aude).
L'appareil, ont-ils déclaré, mesurait environ dic mètres de diamètre. Avant qu'ils aient pu s'en approcher, il les enveloppa d'une lueur éclatante et disparut.
Bergerac, 6. -- M. Jean Defix, pompier à Bergerac, et M. Jean Labonne ont affirmé avoir vu se poser dans le jardin du second un disque lumineux d'environ trois mètres de diamètre, soutenu par trois béquilles.
Dinan, 6. -- A Mégrit (Côtes-du-Nord), un jeune cultivateur, M. Henri Lehérisse a affirmé avoir vu dans la cour de sa ferme un appareil d'un diamètre de 1 mètre environ a l'intérieur duquel apparaissaient deux formes humaines, immobile et de la taille d'un enfant.
La Rochelle, 6. -- M. et Mme Guillemoteau se trouvaient devant leur ferme lorsqu'ils ont aperçu, à un mètre environ du sol, une soucoupe sphérique pouvant mesurer 2 à 3 mètres de hauteur et d'un diamètre de 5 mètres. L'engin, qui ne produisait aucun bruit, s'arrêta quelques minutes, puis monta à la verticale. M. Guillemoteau, le lendemain, se rendit à l'endroit où il avait vu l'engin est put relever des traces huileuses sur l'herbe.
Valenciennes, 6. -- M. Marcel Sénéchal, 20 ans, de Saint-Amand-les-Eaux, longeait le canal de la Scarpe, dans la nuit de Samedi à Dimanche. Il arrivait à hauteur d'une pâture lorsqu'il entendit soudain une conversation tenue en un langage inconnu et semblant parvenir de sa droite. Il tourna la tête de ce côté et à son grand émoi aperçut alors une masse lumineuse en forme de meule ainsi que deux formes humaines de 1 m. 20 de hauteur environ, revêtues d'un vêtement brillant. Un rayon lumineux sortait de l'engin".
M. Sénéchal s'éloigna à toute pédales.
Amiens, 6. Une épicière amiénoise, Mme Nelly Mansart regagnait Amiens dimanche soir, vers 21 heures, venant de Hérissart en compagnie de ses voisins. Elle aperçut, dans le ciel, une boule éclatante à laquelle pendaient des sortes de câbles et laissant échapper des flammes. La "soucoupe" vola en rase-mottes, à environ 150 mètres du sol, et suivi la voiture sur 10 kilomètres.
"Lorsque nous traversions un village, a déclaré Mme Mansart, l'engin contournait celui-ci et réapparaissait à la sortie.
Il n'émettait aucun bruit et sans aucun doute il nous observait. A la sortie de Pierregot je me suis arrêté aux dernières maisons. La "Soucoupe", qui avait contourné le village nous attendait et faisait du sur-place puis elle s'éloigna comme je redémarrais. Elle se mit à tourner en spirale pendant trois ou quatre cent mètres et changea de forme pour prendre celle d'un croissant allongé et renversé avec une boule en fusion à la corne supérieure. A Rainneville la "Soucoupe" accentua sa giration puis s'éloigna en direction de l'oust d'Amiens, pour se perdre dans l'infini, en espace de quelques secondes, à une vitesse incomparable".
Mantoue. -- Le trafic a été interrompu pendant plus d'une heure au centre de Mantoue par des groupes de personnes rassemblées pour observer un étrange "objet blanc" qui, à une forte hauteur, se détachait nettement sur le fond du ciel bleu.
Après avoir effectué des évolutions extrêmement rapides, l'engin, de forme sphérique - et qui, d'après certains témoins, faisait partie "d'une formation de soucoupes volantes" - est resté pendant quelques temps immobile dans le ciel, avant de disparaître à l'horizon.
D'autre part, les "Martiens" semblent vouloir visiter aussi l'Italie. Un pêcheur de Roverbella, en province de Mantoue, a déclaré avoir été approché, la nuit dernière, par un "mystérieux individu", vêtu de rouge, qui lui aurait adressé "des mots inintelligibles" et qui se serait rapidement éloigné, avant que le pêcheur ait eu le temps d'appeler sa femme.
[Ref. gal1:] CHARLES GARREAU ET OLIVIER LAVIER:
Charles Garreau et Olivier Lavier écrivent dans leur ouvrage que le 3 octobre 1954, à 0:15, à Nivelles [sic], Marcel Sénéchal de Saint Amant-les-Eaux [sic] était en train de rentrer chez lui à vélo en suivant le chemin de halage du canal qui longe la Scarpe. En atteignant la sortie de Nivelles, il a entendu des voix s'exprimant dans un langage qui lui était inconnu.
Il raconte:
"J'ai tourné la tête et en contrebas du chemin, dans un pâturage, j'ai aperçu à la faible clarté de la lune, une boule d'environ 3 mètres de diamètre. Auprès d'elle, il y avait deux petits êtres, dont la taille n'excédait pas 1 mètre, ils discutaient. Ils avaient de grosses têtes. Leurs vêtements étaient lumineux."
Il a pris la fuite, très effrayé, et a fait une déposition auprès de la gendarmerie le lendemain.
[Ref. agd1:] ALAIN GAMARD:
N° de cas | Date | Heure | Localisation | Département | Nom témoin(s) |
---|---|---|---|---|---|
031 | 03/10/1954 | 00.15 | Nivelles | 59 | Marcel Sénéchal |
[Ref. dcn6:] DOMINIQUE CAUDRON:
Le week-end du 2-3 octobre apparait sur tous les graphiques comme le maximum-maximorum de la vague de 1954. Bien que le travail de dépouillement de la presse de l'époque ne soit pas encore terminé, les 118 éditions diverses de journaux et revues que j'ai pu dépouillées pour cette période nous donne un aperçu à peu près complet, en tous cas très largement représentatif des observations régionales qui ont été rapportées dans la presse pour le dimanche 3 octobre. J'ai inclus les observations de la Somme qui me paraissaient indissociables de celles du Nord-Pas-de-Calais et qui figurent d'ailleurs dans le chapitre intitulé "Zigzag sur le pays minier" du livre d'A. Michel: "Mystérieux Objets Célestes".
Je compte, pour un cas, chaque observation faite par un groupe indépendant de témoins. L'étonnante quantité d'observations rapportées ci-après, montre encore une fois l'intérêt de fouiller à fond les archives de journaux.
3 OCTOBRE 1954:
1) 01 h. NIVELLES - 59. Mr. Marcel Sénéchal, 20 ans, longeait le canal de la Scarpe lorsqu'arrivé au niveau de la "pature Vandeville" il entendit une conversation dans un langage inconnu. Tournant la tête à droite, il aperçut une meule lumineuse d'où sortait un rayon lumineux et deux formes humaines de 1,20 m. revêtues d'un vêtement brillant. Le témoin s'enfuit à toutes pédales. Mr. Gravet, commissaire de St. Amand et deux inspecteurs de la police de l'air vinrent sur les lieux mais ne purent relever de traces. (Nord-Matin, p.10, Croix du Nord, p.8)
[... autres cas...]
[Ref. bbr1:] JACQUES BARTHEL ET GERARD BRUCKER:
Les auteurs indiquent que dans la région de Nivelles monsieur Sénéchal a entendu des bribes de conversations d'entités à grosses têtes lumineuses alors qu'il roulait à vélo.
[Ref. dcn7:] DOMINIQUE CAUDRON:
Cas n° 1) 01 H NIVELLES -59-
Deux ufologues parisiens ont déjà procédé à une réenquête auprès des autorités de St Amand. Leur conclusion est qu'il s'agit d'un canular.
A ce sujet il faut remarquer:
- que rien de ce que nous savons ne permet d'affirmer que le témoin soit incapable de faire une blague: le témoin est un célibataire agé de 20 ans.
- que la description du phénomène correspond exactement à ce que le public connaissait à l'époque des atterrissages de soucoupes volantes dans la région du Nord et qui se réduit à deux cas largement diffusés dans la presse: le quâsi-attérissage [sic] de [illisible] du 7 Septembre, et l'attérissage [sic] de QUAROUBLE le 10 Septembre. Dans le premier cas, le détail caractéristique est la forme de l'engin: comme une meule. Dans le deuxième cas, la forme a été mal perçue, mais on y a vu deux petits êtres sur lesquels le faisceau d'une lampe s'est reflété comme sur du verre et un rayon lumineux qui est parti de l'engin. Et que nous décrit le témoin de NIVELLES? Un engin en forme de meule, deux petits êtres de 1.20 m revêtus de vêtements brillants et un rayon lumineux qui partait de l'engin. Autrement dit si le témoin avait monté un canular, il n'aurait pas dit autre chose. Mais bien sûr, on peut toujours dire que la soucoupe volante était bien là, mais qu'elle était invisible, et que par induction dans le cerveau du témoin, elle lui a suggéré de monter un canular!
[Ref. tbw1:] TED BLOECHER ET DAVID WEBB:
HumCat # 1889
3 octobre 1954 0015 Nr Saint Amand-les-Eaux (Nord), France Type C
Environ 15 minutes après minuit, un ouvrier métallurgiste, Marcel Sénéchal, faisait du vélo sur un chemin de halage d'un canal lorsqu'il a entendu des voix; dans une prairie voisine, il a vu un objet sphérique d'environ 3 mètres de diamètre près duquel se trouvaient deux êtres, d'un mètre de haut, qui se parlaient. Leurs têtes étaient très grosses et leurs tenues lumineuses. Le témoin a pris la fuite. Le lendemain matin, il l'a signalé aux gendarmes qui n'ont pu trouver aucune trace à leur retour sur les lieux.
Enquêteur:
Source: Mesnard et Bigorne, "Les Humanoides en France" (ms. non publié), p, 135, citant Face aux Extraterrestres, par Chas. Garreau et Raymond Lavier.
[Ref. fru1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
Les auteurs indique que le 3 octobre 1954 à 0:15 à Nivelles, Marcel Sénéchal, ouvrier métallurgiste, 20 ans, regagne Saint-Amand-les-Eaux à bicyclette en suivant le chemin de halage qui longe la Scarpe.
Au niveau de la "pâture Vandeville" à la sortie de Nivelles, il entend parler dans un langage inconnu, et en contrebas du chemin, sur sa droite, il voit une meule lumineuse de 3 mètres de diamètres d'où sort un rayon lumineux, et deux formes humaines de 1.20 mètres de haut, à grosses têtes, vêtues d'un vêtement brillant.
Il est épouvanté, fuit, et va raconter cela au commissariat de Saint-Amand. Mr. Gravet, le commissaire, et deux inspecteurs se rendent sur les lieux mais ne peuvent pas relever pas de traces.
Les auteurs indiquent que les sources sont "Face aux Extraterrestres" de C. Garreau et R. Lavier en page 128; Nord Matin et La Croix du Nord; bulletin du GNEOVNI N.5 "Chronologie d'un Dimanche fantastique" de M. Dominique Caudron.
[Ref. mft1:] MICHEL FIGUET:
N° de la liste de J. C. Fumoux | N° du listing Francat | Localisation | Date | Classe | Crédibilité | Sources | Nombre de T |
---|---|---|---|---|---|---|---|
022 | 118a | Nivelles | 03/10 | CE3 | NI | 2-p. 111 | 1 T |
[Ref. mft2:] MICHEL FIGUET:
N° CAS | CLASSIFICATION | DATE | HEURE | LIEU | CODE POSTAL | CREDIBILITE SOURCE |
---|---|---|---|---|---|---|
119a | CE3 | 03 10 1954 | 00.15 | Nivelles | 59230 D5 | OVNI: p. 111 |
[Ref. jsr1:] JEAN SIDER:
L'ufologue et auteur Jean Sider indique que le 3 octobre 1954, à 0:15, Mr. Marcel Sénéchal rejoignait St-Amand-les-Eaux à bicyclette, par un chemin de halage longeant la rivière Scarpe.
A la sortie de Nivelles, à la hauteur du lieu-dit Pâture Vandeville, il a perçu des paroles dans une langue inconnue.
En contre-bas, sur sa droite, il a remarqué un appareil lumineux en forme de meule qui dispensait un rayon de lumière. Deux silhouettes d'environ 1m20 en sont sorties, revêtues d'un brillant scaphandre.
Saisi par l'épouvante, le témoin a pris la fuite et est allé raconter sa mésaventure à Mr. Gravet, commissaire de police à St-Amand.
Jean Sider indique que sa source est "Figuet, p.110-111."
[Ref. lhh1:] LARRY HATCH - "*U* COMPUTER DATABASE":
3929: 1954/10/03 00:20 3 3:27:40 E 50:28:00 N 3333 WEU FRN NRD 8:6
NIVELLES,FR:LUM DISQUE/BORD DE ROUTE:2 1M OIDES TALK!:PAS DE TRACES:/r30p111+/r138N°9
RefN°217 Jean SIDER: Le DOSSIER 1954 (2 vol.) Page No. 181 : ROUTE+RAILS
[Ref. goe1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
Godelieve van Overmeire indique qu'en 1954, le 3 octobre, en France, Nivelles (Nord), à 0 h 15 Marcel Sénéchal regagne St Amand les Eaux à vélo. Il suit le chemin de halage du canal qui longe la Scarpe. A la sortie de Nivelles il entend parler dans un langage qui lui est inconnu. "J'ai tourné la tête et en contrebas du chemin, dans un pâturage, j'ai aperçu à la faible clarté de la lune, une boule d'environ 3 m de diamètre. Auprès d'elle il y avait deux petits êtres, dont la taille n'excédait pas 1 mètre, ils discutaient. Ils avaient de grosses têtes. Leurs vêtements étaient lumineux." Epouvanté il prend la fuite. Le lendemain il fait sa déposition à la gendarmerie.
La source est indiquée comme "Face aux extra-terrestres" - Delarge 1975 - J'ai Lu, p. 132.
[Ref. lgs1:] LOREN GROSS:
3 octobre. Près de Saint Amand-les-Eaux, France. (12:15 a.m.)
Grande tête, tenues lumineuses.
Notre source déclare:
"Environ 15 minutes après minuit, un travailleur de la métallurgie, Marcel Senechal, roulait à bicyclette sur un chemin de halage du canal quand il entendit des voix; dans un pré voisin, il a vu un objet sphérique d'environ trois mètres de diamètre auprès duquel il y avait deux êtres, d'un mètre de haut, qui parlaient entre eux. Leurs têtes étaient très grandes et leurs tenues lumineuses. Le témoin a fui. Le lendemain matin, il l'a signalé à la gendarmerie qui a été incapable de trouver des traces lors de leur retour sur le site." (xx.)
(xx.) HumCat. N°1889. Aussi: Mesnard et Bigorne, "Les Humanoides en France." (ms. non publié), p.135, citant Face aux Extraterrestres, par Chas. Garreau et Raymond Lavier.
[Ref. ars1:] ALBERT ROSALES:
99.
Lieu. Près de Saint Amand-les-Eaux Nord France
Date: 3 octobre 1954
Heure: 0015A
Environ 15 minutes après minuit, un ouvrier de la métallurgie, Marcel Sénéchal, roulait en bicyclette sur le chemin de halage d'un canal quand il a entendu des voix; dans un pré voisin il a vu un objet sphérique d'environ 3 mètres de diamètre près duquel il y avait deux êtres, d'un mètre de taille, qui se parlaient l'un à l'autre. Leurs têtes étaient très grandes et leurs tenues lumineuses. Le témoin s'est sauvé. Le matin suivant il l'a rapporté aux gendarmes qui n'ont pas pu trouver la moindre trace quand ils se sont rendus sur le site.
Humcat 1954-20
Source: Joel Mesnard et Jean Marie Bigorne
Type: C
[Ref. jdt1:] JEAN-PIERRE D'HONDT:
L'ufologue indique que le 3 octobre 1954 vers 1 h du matin, Mr. Marcel Sénéchal, 20 ans, ouvrier métallurgiste rejoint la ville de St Amand les Eaux à bicyclette par le chemin de halage longeant la rivière la Scarpe. A la sortie de Nivelles 59, à la hauteur du lieu-dit "la pâture Vandeville", il a entendu une conversation dans un langage inconnu. En tournant la tête il a aperçu en contrebas du chemin sur sa droite ce qu'il a comparé à une meule lumineuse d'où sortait un rayon lumineux et à côté deux formes humaines d'environ 1 m 20, revêtues d'un vêtement brillant.
Affolé, il s'est enfui à toutes pédales et est allé raconter son aventure au commissariat de St Amand. Le commissaire, Mr Gravet, et deux inspecteurs, se sont rendus sur les lieux, mais n'ont relevé aucune trace.
Les références données sont les journaux "Nord Matin" et "La Croix du Nord", et le Bulletin du GNEOVNI N° 5.
[Ref. jdt2:] JEAN-PIERRE D'HONDT - GERU:
DATE: 3 octobre 1954 LIEU: Nivelles nord TYPE: RR3 REF: livre « Rencontres rapprochées » de M. Figuet page 110 CIRCONSTANCES DE L’OBSERVATION: Mr. Marcel Sénéchal, le témoin: rejoint St-Amand-les-Eaux à bicyclette, par un chemin de halage longeant la rivière la Scarpe. A la sortie de Nivelles, à la hauteur du lieu-dit Pâture Vandeville, il perçoit des paroles dans une langue inconnue. En contrebas, sur sa droite, il remarque un appareil lumineux en forme de meule qui dispense un rayon de lumière. Deux silhouettes d'environ l m 20 en sortent. Elles sont revêtues d'un brillant scaphandre. Saisi par l'épouvante, le témoin prend la fuite et va raconter sa mésaventure à Mr. Gravet, commissaire de police à St. Amand. |
[Ref. lcn1:] LUC CHASTAN:
Luc Chastan indique que dans le Nord à Nivelle le 3 octobre 1954 à 00:15 heures le témoin regagne St Amand les Eaux à vélo. Il suit le chemin de halage du canal qui longe la Scarpe. A la sortie de Nivelle il entend parler dans un langage qui lui est inconnu. "J'ai tourné la tête et en contrebas du chemin, dans un pâturage, j'ai aperçu à la faible clarté de la lune, une boule d'environ 3 m de diamètre. Auprès d'elle il y avait deux petits êtres, dont la taille n'excédait pas 1 mètre, ils discutaient. Ils avaient de grosses têtes. Leurs vêtements étaient lumineux." Epouvanté, il prend la fuite. Le lendemain il fait sa déposition à la gendarmerie.
Luc Chastan indique que la source est "Face aux Extra terrestres par Garreau et Lavier ** DELARGE 1975,"
[Ref. djn2:] DONALD JONHSON:
Donald Johnson indique que la première RR3 du 3 octobre 1954, s'est produite à 12:15 heure du matin à Nivelles, Nord, France. Un métallurgiste de 20 ans, Marcel Senechal, a été témoin d'un objet sphérique de trois mètres de diamètre au sol dans un pré près d'un canal. Deux êtres d'un mètre de haut ont été vus parlant entre eux. Leurs têtes étaient très grandes, et ils ont porté des costumes lumineux.
Les sources sont notées: "Sider, Jean, Dossier 1954 et l'Imposture Rationaliste, p. 181; Michel Figuet & Jean-Louis Ruchon, OVNI: Le Premier Dossier Complet des Rencontres Rapprochees en France, pp. 110-111."
[Ref. jgz1:] JULIEN GONZALEZ:
L'auteur dit qu'un rencontre rapprochée du troisième type a eu lieu à Nivelles, dans le Nord, le 3 octobre 1954, avec comme témoin Marcel Sénéchal, 20 ans, ouvrier métallurgiste.
Il regagnait son domicile de Saint-Amand-les-Eaux à bicyclette en suivant le chemin de halage qui longe la Scapre, et au niveau de la "Pâture Vandeville", à la sortie de Nivelles, il a entendu parler dans une langue inconnue.
En contrebas du chemin, sur sa droite, il a aperçu une meule lumineuse d'environ trois mètres de diamètre d'où sortait un rayon lumineux et deux formes humaines de 1.20 mètres revêtues d'un vêtement brillant.
Il a été épouvanté, a pris la fuite et a raconté son aventure au commissariat de Saint-Amand.
Il indique que M. Gravet, commissaire de Saint-Amand, et deux inspecteurs, sont venus sur les lieux mais n'ont relevé aucune trace.
Il ajoute que dans les années 1970, le témoin a confirmé son récit initial à l'enquêteur Jean-Marie Bigorne du groupement Lumières Dans La Nuit.
Julien Gonzalez indique que les sources sont "Face aux Extraterrestres" de C. Garreau et R. Lavier en page 128; Nord-Matin et Croix du Nord; le bulletin N° 5 du GNEOVNI, investigations de Dominique Caudron; Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon dans "OVNI: le Premier Dossier des Rencontres Rapprochées en France", pages 110-111, et Jean Sider, "Le Dossier 1954 et l'Imposture Rationaliste", page 181.
[Ref. tai1:] SITE WEB "THINK ABOUT IT":
Lieu: Près de Saint Amand-les-Eaux Nord France
Date: 3 octobre 1954
Heure: 0015A
Environ 15 minutes après minuit, un travailleur de la métallurgie, Marcel Senechal, roulait à bicyclette sur un chemin de halage du canal quand il entendit des voix; dans un pré voisin, il a vu un objet sphérique d'environ 3 mètres de diamètre qui était près de deux êtres, d'un mètre de haut, qui parlaient entre eux. Leurs têtes étaient très grandes et leurs tenues lumineuses. Le témoin a fui. Le lendemain matin, il l'a signalé à la gendarmerie qui a été incapable de trouver des traces quand ils sont retournés sur le site.
Source: Joel Mesnard & Jean Marie Bigorne
[Ref. ubk1:] "UFO-DATENBANK":
N° de cas | Nouveau N° de cas | Enquêteur | Date d'observation | CP | Lieu d'observation | Pays d'observation | Heure d'observation | Classification | Commentaires | Identification |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
19541003 | 03.10.1954 | Nivelles | France | 00.15 | RR III | |||||
19541003 | 03.10.1954 | St. Armand Eaux | France | 00.15 | RR III |
[Ref. prn2:] PETER ROGERSON - "INTCAT":
3 octobre 1954. 0015hrs.
NIVELLE (NORD : FRANCE)
Marcel Senechal, un ouvrier métallurgiste, rentrait chez lui à vélo à Saint Amand-les-Eaux le long du chemin de hâlage vers le fleuve Scarpe quand il entendit d'étrange voix. Il a alors vu, dans un champ appelé Vandeville, il a vu quelque chose qui ressemblait à une borne lumineuse de 3m de diamètre. Il en est venu un faisceau de lumière et à côté il y avait deux êtres semblables à des humains, de 1.2m de haut et avec de grandes têtes, habillés de tenues lumineuses. Marcel a fui ver le poste de police à Saint Amand mais quand la police a enquêté il n'y avait pas trace de la chose.
Evaluation - Je donne le récit utilisé sur Wikipedia et d'autres sources pour ce lieu plutôt que Nivelles
[Ref. dcn1:] DOMINIQUE CAUDRON:
Dominique Caudron a dressé un inventaire d'observations dans le Nord au 3 octobre 1954, comprenant 51 rapports, dont celui-ci:
[...]
Chronologie des observations du 3 octobre.
Nous ne donnons ici qu'un résumé de ce qui est paru dans la presse de l'époque, pour la région du nord, sans tenir compte de qu'ont pu raconter ensuite les ufologues. Nous avons numéroté toutes ces observations, dont les premières n'ont rien à voir avec le coucher de la lune, afin de pouvoir les étudier globalement dans un tableau. Certaines font déjà l'objet d'un dossier spécial.
[... autres cas...]
01) Vers 01 h, NIVELLE (59)
- M. Marcel Sénéchal, 20 ans, roulait à bicyclette sur le chemin de halage longeant le canal de la Scarpe, lorsqu'arrivé au niveau de la "pâture Vandeville", il entendit une conversation dans un langage inconnu. Tournant la tête à droite, il aperçut une sorte de meule lumineuse d'où sortait un rayon lumineux et deux formes humaines de 1,20 m, revêtues d'un vêtement brillant. Le témoin s'enfuit à toutes pédales. M. Gravet, commissaire de police de St. Amand et deux inspecteurs de la police de l'air vinrent sur les lieux mais ne purent relever de traces.
(Nord-Matin, 6/10 page 10, La Croix du Nord, 6/10 page 8)
(cette observation n'a rien à voir avec celles de la soirée, mais concerne un véhicule bien terrestre)
[... autres cas...]
Tout ceci n'est qu'une compilation des renseignements donnés par l'ensemble des journaux de l'époque, éditions locales comprises, et dont les ufologues n'ont jamais utilisé qu'une partie.
Nous verrons que l'analyse de ces renseignements permet d'éliminer l'hypothèse d'une soucoupe volante, au profit de celles de multiples observations de la lune, dont l'image était rougie et déformée par des nuages, qui lui donnaient aussi un mouvement apparent illusoire.
Certaines sources ont écrit "Nivelles", mais Nivelles est en Belgique. Le nom correct est Nivelle, dans le département du Nord. On obtient aussi "Saint-Amant" ou "Saint-Amant-les-Eaux", c'est Saint-Amand-les-Eaux, également dans le département du Nord.
Le témoin rentre à Saint-Amand-les-Eaux dans le Nord depuis Nivelles qui est à 3 km en ligne droite au Nord-Est.
Une méprise causée par un véhicule bien terrestre telle que suggérée par Dominique Caudron est bien possible, mais il ne semble pas que cela soit un fait avéré.
J'ai alors trouvé la version antérieure "Requiem pour un zigzag" de Dominique Caudron, avec une explication qui me semble bien plus plausible, celle de l'invention pure.
(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)
Nivelle, Nord, Marcel Sénéchal, langage, voix, sphère, atterrissage, occupants, humanoïdes, vêtements
[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
---|---|---|---|
0.1 | Patrick Gross | 21 juin 2004 | Première publication. |
1.0 | Patrick Gross | 9 janvier 2009 | Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée. Additions [fru1], [goe1], [lcn1]. |
1.1 | Patrick Gross | 23 avril 2009 | Addition [bbr1]. |
1.2 | Patrick Gross | 28 février 2010 | Addition [djn2]. |
1.3 | Patrick Gross | 15 mars 2010 | Addition [jdt1]. |
1.4 | Patrick Gross | 13 septembre 2014 | Addition [lgs1]. |
1.5 | Patrick Gross | 4 octobre 2014 | Additions [jsr1], [tai1]. |
1.6 | Patrick Gross | 14 octobre 2016 | Addition [jgz1], [ubk1]. |
1.7 | Patrick Gross | 12 juillet 2019 | Additions [lhh1], [prn2], [dcn1]. |
1.8 | Patrick Gross | 23 janvier 2020 | Additions [agd1], [dcn6], [dcn7], [jdt2], [mft1], [mft2]. Dans le Résumé, addition des paragraphes "Barthel et Brucker" et "Dominique Caudron". Dans les explications addition de la partie "MàJ 23 janvier 2020". |
1.9 | Patrick Gross | 29 avril 2020 | Additions [nmn1]. |
2.0 | Patrick Gross | 23 février 2021 | Addition [lcd1]. |
2.1 | Patrick Gross | 27 août 2021 | Addition [tbw1]. |
2.2 | Patrick Gross | 13 mars 2022 | Addition [nnm1]. |