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La vague française de 1954:

La page d'accueil concernant les cas de la vague française de 1954 se trouve ici.

19 ou 26 septembre 1954, Wulverdinghe, Nord:

Référence pour ce cas: 19 ou 26-oct-54-Wulverdinghe.
Merci de citer cette référence dans toute correspondance avec moi en rapport avec ce cas.

Résumé:

En 1978, le bulletin ufologique du GNEOVNI Recherches Ufologiques, N° 4, indique en se référant à leurs propres archives qu'en septembre 1954 vers 22:30 à Wulverdinghe dans le Nord, Mme Decalf a aperçu une sorte de structure métallique grésillant comme un essaim d'abeilles et émettant des lueurs intermittentes; elle a pris peur et s'est enfuie. Elle est revenue dans la journée mais il n'y avait plus rien à voir.

La même année dans le N° 6 du belltin du GNEOVNI, on apprend que le rapport est en fait consititué d'une lettre du témoin, dont le GNEOVNI ne donne pas la date de rédaction, signée de Mme Decald-Eustace, du 259 rue Montgolfier à Roubaix. Elle écrivait:

"J'étais dans l'enseignement primaire depuis deux ans et je venais d'être nommée dans un poste à la campagne, à Wulverdinghe exactement, un petit village de 500 habitants, dont la ville la plus proche est Watten qui possède une petite gare. C'est à cette gare que j'arrivais un dimanche soir la veille de la rentrée scolaire vers 21 h. Ne trouvant ni autobus, ni taxi pour me conduire, je prends donc le parti de me rendre à Wulverdinghe à pied, ayant environ 4km à faire dans la nuit. Je me retrouve à la sortie de Watten sur une route départementale, et devant un embranchement, je me renseigne sur la route à suivre. Il me faut continuer ma route jusqu'à un nouvel embranchement puis prendre un chemin de terre assez large, carrossable. Je me retrouve en pleine campagne. La nuit est noire, mais avec un ciel dégagé, sans lune, sans brume ni brouillard. J'arrive à l'embranchement en question où se trouve sur la gauche un estaminet. Je m'engage sur ce chemin de terre désert, traversant des champs. A mi-chemin entre l'estaminet et Wulverdinghe il me reste environ 1 km à parcourir, sur la droite en plein champs, je distingue une sorte de pylone proche de la route, se détachant sur la nuit dégageant un halo, émettant un drôle de bruit et des drôles de lueurs intermittentes. Ne connaissant pas le pays, je pense voir une espèce de petite centrale électrique. M'approchant de plus en plus et arrivant à une distance de 30 à 40 mètres de l'objet (il doit être environ 22 h 30), je m'arrête, interdite. Le pylone a plutôt l'air d'une tour ou d'un pain de sucre anguleux, une sorte d'échafaudage de poutrelles, il émet un son ne ressemblant ni à un bruit de moteur, ni à un ronflement, plutôt au grésillement d'un essaim d'abeilles (d'intensité régulièrement inégale) se rapprochant et s'éloignant tour à tour. Le pylone crachote des étincelles, ses contours restant imprécis dans la nuit noire. A la base de ce pylone il y a des masses sombres que je prends pour de hauts buissons. Je commence à ressentir un profond malaise et une certaine peur grandissante. J'essaie de mieux voir je m'approche davantage. Mais la peur devant cet engin insolite me fait faire demi-tour et je me retrouve à l'estaminet, fermé à cette heure tardive, où j'essaie cependant de trouver de l'aide en tapant à la porte longtemps et bruyamment, mais en vain. Je finis par reprendre la route, avançant avec prudence. Il doit être 23 h passées. J'arrive au lieu suspect: il n'y a plus rien, c'est un champ sans arbres et sans lumières. Par la suite étant dans le pays, je vérifiais ce champs de jour; je ne verrais alors que des champs moissonnés ou des champs de betteraves, pas de pylones ni d'arbres alentour."

En 1979, Alain Gamard liste dans une publication ufologique britannique un cas de "rencontre d'humanoïdes", qui viendrait d'un article dans le journal Nord-Matin de 1954. Le témoin serait nommé Mme Decalf, le lieu serait Watten, et cela aurait eu lieu à Watten à 20:30 en septembre 1954.

En 2003, sur le Web, l'ufologue Jean-Pierre D'Hondt, du groupe d'ufologie GERU dans le nord en dit plus: le GERU avait reçu une lettre de madame Decalf-Eustace, 259, rue Montgolfier à Roubaix, datée du 18 novembre 1969, qui rapportait son observation du dimanche 19 ou 26 septembre 1954 à Wulverdinghe dans le département du Nord.

Elle disait qu'elle était alors dans l'enseignement primaire depuis deux ans et venait d'être nommée à un poste à la campagne à Wulverdinghe, 400 à 500 habitants, un village près de Watten.

La veille de la rentrée scolaire, un dimanche soir de septembre 1954, elle est arrivée à la gare de Watten vers 20:30 ou 21:00 et n'a plus trouvé ni autobus, ni taxi. Elle a alors décidé de rentrer à Wulverdinghe à pied, une distance de 4 ou 5 km, et s'est retrouvée à la sortie de Watten sur une petite départementale et devant un embranchement, où elle se renseigne sur la route à suivre.

Il lui fallait continuer sa route jusqu'à un nouvel embranchement puis prendre là un chemin de terre, assez large, carrossable, sur la gauche.

Elle se retrouvait en pleine campagne sous une nuit noire mais avec un ciel dégagé, sans lune, sans brume ni brouillard, est arrivée à l'embranchement en question, où se trouvait, sur la gauche, un estaminet.

Elle s'est engagée sur ce chemin de terre désert, traversant les champs, et à mi-chemin entre l'estaminet et Wulverdinghe, alors qu'il lui restait environ un kilomètre à parcourir, elle a distingué sur la droite, en pleins champs, une sorte de pylône, proche de la route, se détachant sur la nuit, dégageant un halo, et émettant un drôle de bruit et de drôles de lueurs intermittentes.

Comme elle ne connait pas le pays, elle a pensé voir une espèce de petite centrale électrique. S'approchant de plus en plus et arrivant à une distance de 30 à 40 mètres de l'objet, alors qu'il doit être près de 22:30, elle s'est arrêté étonnée, car le pylône avait plutôt l'air d'une tour, ou d'un "pain de sucre" anguleux, une sorte d'échafaudage de poutrelles, et il émettait un son ne ressemblant ni à un bruit de moteur, ni à un ronflement, plutôt au grésillement d'un essaim d'abeilles d'intensité régulièrement inégale se rapprochant et s'éloignant tour à tour.

Ce pylône crachotait des étincelles, ses contours restaient imprécis, et à la base de ce pylône, il y avait des masses sombres qu'elle a pensé être des buissons.

Elle a commencé à ressentir un profond malaise et une peur grandissante. Elle s'est approché davantage pour mieux voir, "mais la peur, devant cet engin insolite, me fait faire demi-tour, et je retourne à l'estaminet, fermé à cette heure tardive, où j'essaie cependant de trouver de l'aide en frappant à la porte longtemps et bruyamment."

Personne ne répondant à son appel, elle a fini par reprendre la route, avançant avec prudence, vers 23 heures passées, et est arrivé au lieu suspect où il n'y avait plus rien.

Elle a ensuite vérifié ce champ de jour et a constaté qu'il n'y a que des champs moissonnés ou des champs de betteraves, mais pas de maison, de ferme, ou d'arbre alentour.

Rapports:

[Ref. gni1:] GNEOVNI:

Scan.

Septembre 1954 - WULVERDINGHE 59 type I

Vers 22 h 30 Mme Decalf aperçut une sorte de structure métallique grésillant comme un essaim d'abeilles et émettant des lueurs intermittentes, le témoin prend peur et s'enfuit. Revenue dans la journée plus rien de semblable ne subsistait.

(Archives GNEOVNI)

[Ref. gni1:] GNEOVNI:

Scan.

LES ENQUETES DU GENOVNI

RAPPORT D'OBSERVATION

DATE: Dimanche septembre I954

LIEU: WULVERDINGHE NORD

TYPE I

REFERENCES: Archives GNEOVNI n° 3

CIRCONSTANCES DE L'OBSERVATION: Rapport écrit du témoin.

J'étais dans l'enseignement primaire depuis deux ans et je venais d'être nommée dans un poste à la campagne, à Wulverdinghe exactement, un petit village de 500 habitants, dont la ville la plus proche est Watten qui possède une petite gare. C'est à cette gare que j'arrivais un dimanche soir la veille de la rentrée scolaire vers 21 h. Ne trouvant ni autobus, ni taxi pour me conduire, je prends donc le parti de me rendre à Wulverdinghe à pied, ayant environ 4km à faire dans la nuit. Je me retrouve à la sortie de Watten sur une route départementale, et devant un embranchement, je me renseigne sur la route à suivre. Il me faut continuer ma route jusqu'à un nouvel embranchement puis prendre un chemin de terre assez large, carrossable. Je me retrouve en pleine campagne. La nuit est noire, mais avec un ciel dégagé, sans lune, sans brume ni brouillard. J'arrive à l'embranchement en question où se trouve sur la gauche un estaminet. Je m'engage sur ce chemin de terre désert, traversant des champs. A mi-chemin entre l'estaminet et Wulverdinghe il me reste environ 1 km à parcourir, sur la droite en plein champs, je distingue une sorte de pylone proche de la route, se détachant sur la nuit dégageant un halo, émettant un drôle de bruit et des drôles de lueurs intermittentes. Ne connaissant pas le pays, je pense voir une espèce de petite centrale électrique. M'approchant de plus en plus et arrivant à une distance de 30 à 40 mètres de l'objet (il doit être environ 22 h 30), je m'arrête, interdite. Le pylone a plutôt l'air d'une tour ou d'un pain de sucre anguleux, une sorte d'échafaudage de poutrelles, il émet un son ne ressemblant ni à un bruit de moteur, ni à un ronflement, plutôt au grésillement d'un essaim d'abeilles (d'intensité régulièrement inégale) se rapprochant et s'éloignant tour à tour. Le pylone crachote des étincelles, ses contours restant imprécis dans la nuit noire. A la base de ce pylone il y a des masses sombres que je prends pour de hauts buissons. Je commence à ressentir un profond malaise et une certaine peur grandissante. J'essaie de mieux voir je m'approche davantage. Mais la peur devant cet engin insolite me fait faire demi-tour et je me retrouve à l'estaminet, fermé à cette heure tardive, où j'essaie cependant de trouver de l'aide en tapant à la porte longtemps et bruyamment, mais en vain. Je finis par reprendre la route, avançant avec prudence. Il doit être 23 h passées. J'arrive au lieu suspect: il n'y a plus rien, c'est un champ sans arbres et sans lumières. Par la suite étant dans le pays, je vérifiais ce champs de jour; je ne verrais alors que des champs moissonnés ou des champs de betteraves, pas de pylones ni d'arbres alentour.

Signé Madame DECALF-EUSTACE 259 rue Montgolfier Roubaix 59.

[Ref. agd1:] ALAIN GAMARD:

Scan.

Septembre 1954: 20.30 heures. Watten (Nord).

Témoin: Melle Decalf.

Réfs: Nord-Matin, ?.?.1970.

[Ref. ger1:] G.E.R.U:

L'ufologue Jean-Pierre D'Hondt du GERU a reçu une lettre de madame Decalf-Eustace 259, rue Montgolfier à Roubaix, datée du 18 novembre 1969, qui rapporte son observation du dimanche 19 ou 26 septembre 1954 à Wulverdinghe dans le département du Nord.

Mme Decalf-Eustace rapporte qu'elle était alors dans l'enseignement primaire depuis deux ans et venait d'être nommée à un poste à la campagne à Wulverdinghe, 400 à 500 habitants, un village près de Watten.

La veille de la rentrée scolaire, un dimanche soir de septembre 1954, elle est arrivée à la gare de Watten vers 20:30 ou 21:00 et n'a plus trouvé ni autobus, ni taxi. Elle a alors décidé de rentrer à Wulverdinghe à pied, une distance de 4 ou 5 km, et s'est retrouvée à la sortie de Watten sur une petite départementale et devant un embranchement, où elle se renseigne sur la route à suivre.

Il lui fallait continuer sa route jusqu'à un nouvel embranchement puis prendre là un chemin de terre, assez large, carrossable, sur la gauche.

Elle se retrouvait en pleine campagne sous une nuit noire mais avec un ciel dégagé, sans lune, sans brume ni brouillard, est arrivée à l'embranchement en question, où se trouvait, sur la gauche, un estaminet.

Elle s'est engagée sur ce chemin de terre désert, traversant les champs, et à mi-chemin entre l'estaminet et Wulverdinghe, alors qu'il lui restait environ un kilomètre à parcourir, elle a distingué sur la droite, en pleins champs, une sorte de pylône, proche de la route, se détachant sur la nuit, dégageant un halo, et émettant un drôle de bruit et de drôles de lueurs intermittentes.

Comme elle ne connait pas le pays, elle a pensé voir une espèce de petite centrale électrique. S'approchant de plus en plus et arrivant à une distance de 30 à 40 mètres de l'objet, alors qu'il doit être près de 22:30, elle s'est arrêté étonnée, car le pylône avait plutôt l'air d'une tour, ou d'un "pain de sucre" anguleux, une sorte d'échafaudage de poutrelles, et il émettait un son ne ressemblant ni à un bruit de moteur, ni à un ronflement, plutôt au grésillement d'un essaim d'abeilles d'intensité régulièrement inégale se rapprochant et s'éloignant tour à tour.

Ce pylône crachotait des étincelles, ses contours restaient imprécis, et à la base de ce pylône, il y avait des masses sombres qu'elle a pensé être des buissons.

Elle a commencé à ressentir un profond malaise et une peur grandissante. Elle s'est approché davantage pour mieux voir, "mais la peur, devant cet engin insolite, me fait faire demi-tour, et je retourne à l'estaminet, fermé à cette heure tardive, où j'essaie cependant de trouver de l'aide en frappant à la porte longtemps et bruyamment."

Personne ne répondant à son appel, elle a fini par reprendre la route, avançant avec prudence, vers 23 heures passées, et est arrivé au lieu suspect où il n'y avait plus rien.

Elle a ensuite vérifié ce champ de jour et a constaté qu'il n'y a que des champs moissonnés ou des champs de betteraves, mais pas de maison, de ferme, ou d'arbre alentour.

[Ref. prn1:] PETER ROGERSON:

Septembre 1954, 2030hrs.

WATTEN (NORD : FRANCE)

Un ancien professeur de 20 ans, Mme Decalf, a vu un objet émettant des lumières et des étincelles. Plusieurs petits personnages ont été vus près de lui. Aucune trace n'a été trouvée

Alain Gamard, citant un numéro non daté de Nord Matin.

[Ref. prn2:] PETER ROGERSON - "INTCAT":

19 ou 26 septembre 54. 2045hrs.

WULVERDINGHE (NORD : FRANCE)

Mme Decalf, une institutrice, rentrait dans ce village depuis la gare de Watten, en descendant une piste de campagne, lorsqu'elle rencontra un appareil étrange ressemblant à un pylône électrique, où il ne devrait pas y en avoir aucun, environ 1 km avant le village. Il émettait des bruits étranges, des éclairs de lumière et un son semblable au bourdonnement des abeilles. Ses bases étaient des masses noires qu'elle pensait être des buissons. La chose ressemblait à une sorte de pain de sucre avec une superstructure de lumières. Elle a couru vers le café de Watten, effrayée, mais il était fermée. Elle a donc repris sa promenade avec précaution vers 23 h 00. Quand elle est arrivée sur les lieux, il n'y avait plus rien. Quand elle a vérifié le lendemain, tout ce qui restait était un champ de betteraves, sans aucun bâtiment dans les environs.

Evaluation - Gross suggère qu'elle a pu s'être perdu sur le chemin, elle a ensuite poursuivi et a trouvé un pylône

Explications:

Une vérification sur carte des lignes électriques est le moyen de déterminer si le témoin a pu se perdre sur le mauvais chemin dans la nuit près d'un pylone électrique.

Carte.

Mme Decalf est partie à pied de la gare de Watten pour rejoindre l'école de Wulverdinghe:

Carte.

Elle indique avoir 4 km de trajet; ce qui est rigoureusement exact. A la sortie de Watten sur une route départementale, et devant un embranchement, elle se renseigne sur la route à suivre, et on lui dit de continuer jusqu'à un nouvel embranchement et prendre un chemin de terre carrossable assez large.

Elle arrive à l'embranchement en question, et il s'y trouve sur la gauche un estaminet; le lieu est facilement localisable.

Carte.

Après l'estaminet, elle s'engage sur un chemin carossable qui traverse des champs, et c'est à mi-chemin entre l'estaminet et Wulverdinghe, alors qu'il lui reste environ 1 km à parcourir, qu'elle voit le phénomène, sur sa droite, en plein champs.

Le trajet est alors ambigü: soit, au deuxième embranchement, elle a pris à sa gauche la rue de la Montagne, soit elle a pris à droite la route de Cassel. La route de Cassel serait plus logique, elle mène à la rue Principale de Wulverdinghe. Si elle a pris la rue de la Montagne, elle a dû alors prendre ce qui apparaît de nos jours comme l'un ou autre de plusieurs chemins carrossable sur sa droite, traversant des champs et rejoignant Wulverdinghe.

Peu importe après tout: si mon idée est juste, elle s'est perdue, c'est-à-dire que par la suite elle n'a pas pu retrouver de pylône parce que de jour lors de sa vérification, elle n'a pas pris le chemon qu'elle avait pris au moment de l'observation en pleine nuit. Il s'agit donc de vérifier s'il reste en 2020 quelque chose comme un pylone dans un champ près d'une des routes possibles de Watten vers Wulverdinghe et à un ou deux km de l'arrivée.

Et j'ai bien trouvé un pylone de ligne à haute tension, sur la D226 alias "rue de la Montagne", côté droit de la rue et dans un champ:

Pylone

Pylones.

Il est possible que dans la nuit elle soit passée près de ce pylone, et en cherchant les lieux par la suite, elle ait pris la route de Cassel. Je dois noter que depuis la route de Cassel, on peut voir de jour ce pylone est deux autres dans le lointain (traits rouges ci-dessous); mais ils sont non seulement lointains mais aussi sur la gauche, et il n'y en a pas sur la droite, côté où elle aurait cherché ce qu'elle avait vu.

Pylones.

Mots clés:

(Ces mots clés sont uniquement destinés à aider les recherches et ne préjugent pas des faits.)

Wulverdinghe, Nord, Decalf, Decalf-Eustace, nuit, unique, pylone, bourdonnement, étincelles

Sources:

[----] indique des sources que je n'ai pas encore pu consulter.

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
0.1 Patrick Gross 8 avril 2007 Première publication.
1.0 Patrick Gross 16 juin 2009 Conversion de HTML vers XHTML Strict. Première version formalisée.
1.1 Patrick Gross 13 août 2013 Addition [prn1].
1.2 Patrick Gross 26 septembre 2019 Additions [agd1], [prn2], Résumé.
1.3 Patrick Gross 19 janvier 2020 Additions [gni1], [gni2]. Dans le Résumé, addition des paragraphes "En 1978,..." et "La même année..." et la citation de la lettre. Explications changées, étaient "Une vérification sur carte des lignes électriques est le moyen de déterminer si le témoin a pu se perdre sur le mauvais chemin dans la nuit près d'un pylone électrique."

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Cette page a été mise à jour le 19 janvier 2020.