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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

RR3 ou méprise, France, 1994:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien L'Est Républicain, Nancy, France, le 5 janvier 1994.

Scan.

[Titre manquant]

Tout commence à 00 h 05 précisément, au moment où M. et Mme Michel Lopez, demeurant rue des Coquelicots, dans le quartier des "Comblés" à Tronville-en-Barrois, s'apprêtent à aller se coucher après la fin d'un film télévisé.

"Au moment où je fermais les volets," évoque Michel Lopez, "une lumière extraordinairement dense provenant d'un terrain vague proche, inonde la chambre."

Michèle, son épouse, et leur fille Priscillia, âgée de sept ans, qui se trouvent à ses côtés, éprouvent la peur de leur vie.

"Nous avons littéralement été éblouis," souligne Michel Lopez, "mais la lumière ne nous faisait pas mal aux yeux."

Puis la lumière s'est apaisée, laissant la place à un ballet formé d'une multitude d'éclairs "fluorescents".

Trois "extra-terrestres"

"Au bout d'un instant, de la fenêtre, nous avons fort bien distingué un engin étrange," poursuit le père de famille. "Comme une sorte de soucoupe couverte d'un dôme transparent, à l'intérieur duquel se trouvaient, debout, trois silhouettes de haute stature et tout de blanc vêtues."

Delphine, 17 ans, l'autre fille du couple, est tirée de sa chambre pour participer au spectacle qui se joue à cinquante mètres du pavillon familial à peine, ainsi que le voisin - qui dormait à poings fermés - de la maison la plus proche.

"Je ne voulais pas qu'on nous prenne pour des fous ou des illuminés," ajoute Michel Lopez. "On a vu des gens terminer en centre de psychiatrie pour moins que ça..."

Puis, toute la famille Lopez décide de quitter l'appartement afin d'apprécier le phénomène de plus près. Un camarade de Delphine, David Dupont, les rejoint.

"Je suis absolument certain qu'il ne s'agit ni d'un quelconque véhicule terrestre, ni d'un avion et encore moins d'un hélicoptère..." soutient ce dernier.

"On n'a pas rêvé!"

Poussé par la curiosité, le groupe se dirige vers l'engin, tout en gardant une "sécurité" de trente mètres.

"Nous avons pu distinguer les moindres détails de la chose," ajoute Mme Lopez. "C'était un engin très brillant de forme circulaire qui émettait un sifflement bizarre. C'était beau. Et les êtres qui se trouvaient à l'intérieur semblaient ne pas nous vouloir de mal. Ainsi a-t-on souhaité s'approcher encore de plus près..."

A ce moment, l'engin s'éclaire vivement, puis s'évanouit définitivement dans la nuit.

"On aurait dit que nous venions de nous réveiller dehors, au beau milieu de la nuit..."

Mais persuadés qu'ils n'ont pas rêvé, les Lopez se rendent dèS le lever du jour à l'endroit précis où la soucoupe fit escale: et remarquèrent de singulières "marques d'écrasement" sur le sol meuble.

Les gendarmes de la brigade de Ligny-en-Barrois, qui ne négligent en rien ce type dâffaire, ont ouvert une enquête dont le rapport pourrait fort bien intéresser le SEPRA (Service d'expertise des phénomènes de rentrée atmosphérique), basé à Toulouse.

Jean-Mary CHRISTIANO

DERNIERE HEURE

Le phénomène expliqué?

Dans la soirée d'hier, on apprenait qu'un dernier témoin, lui aussi appelé par la famille Lopez, aurait apporté un élément déterminant pour l'enquête. Celui-ci, M. Fontaine, aurait observé à la jumelle, depuis sa fenêtre, l'endroit signalé. Pour y constater la présence, tous feux allumés, d'un véhicule automobile à bord duquel se trouvait une personne seule. Le conducteur se serait alors sorti, aurait fait le tour du véhicule en allumant une torche électrique, puis serait remonté à bord pour emprunter la route de Salmagne-Tronville.

Comment expliquer, dès lors, une telle distorsion entre la scène observée par ce dernier témoin et ce qu'ont cru voir d'autres personnes? Le brouillard aurait-il amplifié certains effets lumineux? Voilà bien des phares qui auraient provoqué un bien singulier effet... d'optique.

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