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La vague française de 1954:

La page d'accueil concernant les cas de la vague française de 1954 se trouve ici.

Pourquoi ce catalogue est sans précédent?

J'ai dû signaler dans l'un ou l'autre page de mon catalogue sur les observations en France en 1954 que ce catalogue est "sans prcédent ni de près ni de loin."

Je dis cela non seulement par référence à d'autres catalogue sur les oservations de 1954 en France, mais par comparasin avec tous les catalogues d'observations réalisés auparavant.

Voici brièvement pouquoi.

Complétude sur 1954 en France.

A ce jour (2019), il existe des catalogues couvrant partiellement 1954 en France, mais aucun ne prend en compte toutes les observations.

Vallée, par exemple, n'a catalogué que les "atterrisages" (ou atterrissages allégués par lui, comprenant par exemple des météorea passant derrière l'horizon). Il est vai qu'il avait réalisé une liste de tous les cas, mais cette liste ne comprend que la date et l'heure et le lieu; on conviendra qu'en comparasion des éléments que je donne, ce n'est pas comparable.

Gérard Barthel et Jacques Brucker ont publié sur bien des cas, mais en ont occulté un grand nombre, en publiant essentiellement sur les cas qu'ils avaient pu ou cru expliquer "expliquer" de manière prosaïque (canulars et mérpises).

Michel Figuet et Jean-Louis Ruchon, par exemple, avaient publié un catalogue en 1979. Mais il ne traitait réellement que des "rencontres rapprochées", les autres cas étaient seulement mentionner sous rubrique "Ce même jour" mais nullement détaillés. Pour les rencontres rapprochées, les données nouvelles et souvent importantes que l'on a pu récolter après 1979 n'y figurent évidamment pas.

Le britannique Peter Rogerson, par exemple, n'avait catalogué que les cas dits de "type I", soit les observations rapprochées (ou crues rapprochées). Les observations dites "non rapprochées" y manquent. Et ce catalogue publié dans les années 1970 et encore dns les années 2000 par son auteur devenu "sceptique", est incomplet, beaucoup de cas manquent. Cinaissant mon catalogue, il en "pioche" cerains cas, en omet d'autres, et présente trop souvent comme s'il s'agissait de son évaluation, l'explication qu'il a trouvée dans mon catalogue. C'est également un catalogue bien pauvre, puisque seuls date, heure, lieu, bref résumé, et sources très incomplètes et de seconde main, y étaient donnés.

Se limiter à un certain "type" de cas est une mauvaise pratique dans mon opinion: un cas cru "rapproché" peut se révéler ne pas l'être réellement, la "distance d'obvservation" est certainement l'objet de controverses et de désaccords qu'il s'agit de ne pas occulter. Un cas "expliqué" peut ne pas l'être réellement, et inversement. Un cas cru de type "Lumière nocturne" peut se révéler ensuite avoir eu lieu de jour, et un cas dit "Disque Diurne" peut se révéler s'être produit la nuit.

Je peux comprendre un "catalogue des RR3" puisque ce txpe de rapport est assez bien "discernable": on a rapporté des "occupnats" ou on n'en a pas rapporté. Je peux le comprendre si cela est fait avec les exigences que je m'impose. Je ne paux pas l'apprécier si cela est fait de manière sélective, en omettant les explications, en bâclant un résumé, en copiant simplement le travail d'autres, sans valeur ajoutée.

J'ai encore plus de mal à comprendre un catalogue de "rencontres rapprochées". Des témoisn de météores les sitiuent parfois "à 100 mètres", par exemple. Il n'y a pas lieu à les blâmer ou s'en offusquer, il faut juste savoir que cela peut se produite. Mais lorsqu'un catalogue ufologique présente un tel cas comme "rencontre rapprochée" sans évoquer ce problème, ce n'est pas, dans mon opinion, de la bonne ufologie.

Certains catalogues ou publications proche d'un catalogue" sont manifestement motivés par l'opinion que leurs auteurs se sont faite sur la question objet de leur catalogue ou sur la "question OVNI" en général.

Le livre de 1958 d'Aimé Michel était motivé par une découverte qu'il a cru faire: les observations seraient temporellemnt et géographiquement réparties autrement que ne le voudrait le seule hasard. Il avait bien eu conscience que beaucoup d'observations avaient été très succinstement rapportées par la presse, mais du fait de cette idée, il a pensé, à tort, que ce n'était pas un grand dommage qu'il ne puisse les vérifier toutes puique leur répartition elles-même semblaient manifester que ces observations étaient causées par les activités d'une "intelligence", qu'il y avait là une intentionalité qui prouvait que le tout de povait pas être entièrement consitité de canluars et de méprises. De ce fait, son ouvrage a présenté beaucoup trop de cas sous la seule forme de leur date et de leur lieu. D'autres avant moi, en abordant de manière plus approfonides lesdits cas, y ont trouvé moultes météores et autres canulars, ainsi que des erreurs de dates, ceci en nombre significatif de cas, ce qui a rendu sa trouvaille "d'alignements journaliers impossibles par le seul hasard" ("othoténie") caduque jusqu'à preuve du contraire.

Le livre de 1979 de Gérard Barthel et Jacques Brucker se veut clairement une "démystification" de toutes les affaires d'OVNIS et plus particuliürement celles de 1954 en France. De ce fait, il n'écrivent que sur les cas qu'ils ont expliqué, ou cru expliquer. L'ouvrage n'est certainement pas sans intérêt, leurs écrits sont dans mon catalogue, mais leur travail est seulement partiel. Affirmant que tous les cas sont résolus, qu'il n'y a "rien", ils ne présentaient en fait pas du tout l'ensemble des cas, mais un sous-ensemble.

On pourrait m'objecter que la raison est que la tâche d'aborder tous les cas est insurmontable. Mais alors, qu'on m'explique pourquoi mon catalogue des cas français de 1954 a pu aborder tellement plus de cas qu'eux, représentant une masse d'information tout à fait sans aucune commune mesure avec leur unique volume, tout en donnant toutes les sources que je connais, les références complètes, etc. etc. Pour préciser: leur livre résume 242 cas, mon catalogue présente avec incroaablement plus de détails en 2019, 1807 cas.

Le livre de 1997 par Jean Sider qui porte sur l'année 1954 en France, a un mérite, celui de faire connaître des affaires restées inédites auparavant, trouvées par lui ou Michel Jeantheau dans la presse de l'époque, dont il donne bien les sources. Malheureusement, l'ensemble est guidé par l'idée de "dénoncer" les explications de Barthel et Bruker, et Jean Sider commet trop d'erreurs.

Pour en donner une idée, je dois d'abord expliquer que la théorie que défend Jean Sider est que les OVNIS ne sont pas "juste" des engins extraterrestres en visite, mais des "illusions" d'engins extraterrestres en visite, des "leurres" créées à notre intention par... une intelligence extraterrestre. De ce fait, un récit "ridicule" ou "absurde" du type "l'extraterrestre qui arrache le pantalon du témoin" ou "l'extraterrestre parlant Russe et muni d'un revolver" sont des cas "valides" pour lui: ils paraissent absurdes car ce seraient de faux extraterrestres mis en scène par de vrais extraterrestres - ce qui est pour moi un bel exemple de raisonnement circulaire et de théorie non-falsifiable.

Un autre exemple concerne des cas dans lesquels le témoin aurait perdu connaissance, pour lesquels Jean Sider semble savoir ce qui se passe pendant que le témoin est inconscient: il est alors "possible" pour lui que le témoins ait été "abducté". Possible? Oui. Interprétation défendable? Non. Et enfin, il est clair que Jean Sider ne cherchait aucunement les explications prosaïques, et qu'il en a manqué un bon nombre, souvent évidentes.

Du côté "sceptique", je constate que la démarche la plus généralement adoptée est de ne documenter un cas qu'une fois que sa "solution" prosaïque est trouvée. Il n'y a pratiqement aucun catalogue complet, on trouvera plutôt des catalogues de tel ou tel type spécifique de méprise. Un tel catalogue n'est ni inutile ni illégitime, mais ce que je fais est différent: je ne me contente aucunement de présenter des cas "expliqués", je présente les cas, expliqués ou non. Je considérerais moi-même mon travail comme "biaisé" si je ne présentais soit que les cas "expliqués", soit que les cas "inexpliqués". Et pourtant, cette pratique là, qui me semble la bonne, est vraiment peu répandue dans les catalogues ufologiques, qu'ils soient "convaincus" ou "sceptiques".

Il n'existe aucun catalogue pour les observations françaises de 1954 qui ait eu pour ambition de documenter tous les cas, qu'ils soient "expliqués" ou pas, qu'ils soient de tel ou tel "type". Les cas "négatifs" - expliqués prosaïquement de suite sans intervention d'ufologues - sont toujours occultés; des "catégories" de cas ("parebrisite" par exemple) que d'aucun "associent" pourant aux cas ufologiques ne sont jamais inclus; les cas "expliqués prosaïquement" sont occultés dans bien des catalogues et seules retenus dans d'autres, etc.

Je n'ai jamais trouvé un catalogue ufologique complet au sens ou le mien se veut complet, ce qui comprend la complétude des cas et également les points qui suivent.

Contours de cas.

Une grande difficulté dans la mise en forme d'un catalogue est de déterminer les contours d'un cas. Je m'explique:

Si Mr. Schmitt voit passer un "cigare volant" le 16 octobre 1954 vers 21:30 depuis Mulhouse et que Mr. Meyer voit passer une "soucoupe volante" le 16 octobre 1954 vers 21:30 depuis Strasbourg, et que de par leurs descriptions et indications, et / ou par d'autres témoignages correspondant, on en conclut qu'il s'agissait probablement ou de façon quasi-certaine du même météore, on peut considérer que:

C'est cette dernière approche que je pratique, à quelues exceptions près.

Mais, en procédant ainsi, je m'efforce également d'assurer que:

La page d'un des cas est reliée par commentaire et lien avec la page de l'autre cas, afin qu'il ne puisse échapper au lecteur que le cas à Mulhouse n'est pas unique, qu'il y a également le cas de Strabourg.

L'explication fasse bien état du fait qu'elle est la même pour les deux cas.

Pour moi, l'intérêt de procéder ainsi est celui du lecteur. Je subodore qu'un personne interessé par une affaire en France en 1954 aura lu ou vu quelques chose à ce sujet quelque part, du type "Cas de Mulhouse, 16 octobre 1954", et utilisera peut-être ma liste des cas pour aller consulter mon dossier sur le cas. Dans cette liste, si l'explication est la m'eme que pour d'autres cas, cela sautera aux yeux, sous une forme du type "Le météore du 16 octobre 1954 à 21:30" pour tous les cas qui se rattachent cette explication.

Avec l'avancement de mon catalogue, je tends à donner pour des cas du type "une des observations parmi xelles ayant la même cause", dans le dossier de chaque cas, la liste des autres cas concernés par la même explication.

Les exceptions auxquelles j'ai fait allusion tiennent au fait que dans le cours du travail de documentation, il peut m'échapper, comme cela a pu échapper à d'autres auparavant, que l'explication est bien la même. D'une part je n'ai pas encore fait le travail d'explications de tous les cas - on ne saurait exiger de moi que je termine un tel catalogue "intantanément"; d'autre part, ce sont parfois des informations inédites qui permettent de découvrir que la cause de plsuieurs as est la même, et enfin, je trouve au fil du temps d'autres cas, inédits ou inconnus de moi précédamment, qui on la même explication que des cas déjà publiés.

Complétude des sources.

Il est évidamment impossible d'exiger de l'auteur d'un catalogue qu'il ne lui manque jamais une seule source.

Mais ce que je constate est que la quasi-totalité, sinon tous, des catalogues ufologiques n'ont pas eu l'ambition de prendre en compte toutes les sources. Souvent, une seule source est traitée. Parfois, plusieurs sources sont traitées. Mais je n'ai pas encore vu un seul catalogue ou tous les critères que j'évoque sont réunis, y compris la publication de toutes les informations provenant de toutes les sources d'un cas.

J'ai l'ambition de faire cela. Je veux citer toutes les sources de chaque cas, y compris celles de moindre importance. Je vois des raisons de le faire, par exemple, donner une bonne idée de l'importance ou manque d'importance qu'un cas a pris dans la littérature ufologique.

Beaucoup de catalogues se contentent de recopier d'autres catalogues. Il existe par exemple un certain nombre de "copies" du catalogue de Jacques Vallée, avec parfois quelques ajouts, très modestes le plus souvent. On y cite alors comme source "Catalogue Vallée". Quel intérêt? Jacques Vallée - ce n'est pas un critique mais un fait - n'a par exemple jamais été la source primaire d'un cas de 1954 en France. Beaucoup de catalogues cons constitués ainsi: on prend trois ou quatre catalogues existant et on les "fusionne". Cela peut certes rendre plus accessibles des catalogues qui soouvent le sont déjé, mais la "valeur ajoutée" d'un tel travail est plutôt faible.

Je constate que bien des catalogues occultent les sources qui ne vont pas dans le sens de l'opinion de l'auteur, même lorsque ces sources leurs sont connues (par exemple parce qu'ils connaissent mon catalogue où elles figurent). Souvent - ce n'est pas systématique, les auteurs de catalogues "convaincus" ne citent pas les sources "sceptiques". Certains "convaincus" l'on fait, mais aucun ne réunit tous les autres "requis" dont je parle ici.

La complétude des sources exige que l'on s'efforce à retrouver la "source primaire" et à en domner la teneur. Beaucoup de catalogues donnent une référence plus ou moins bien constituée de la source primaire, alors que l'auteur du catalogue n'en dispose pas, il a simplement lu que cette source primaire avait été lue par un autre précédamment. Je m'efforce au contraire de retrouver cette source primaire et d'en doner la teneur. Si je n'en dispose pas, j'indique l'existence alléguée de cette source primaire, mais d'une manière ([----]) qui pernette à mon lecteur de clairement comprendre que je n'y ai pas eu accès au moins pour le moment.

Explications.

L'intérêt de la rédaction et publication d'un catalogue se contentant de republier des informations déjà publiées n'est pas nul, si cela permet de mettre à disposition des informations d'origines éparses, que les lecteurs auraient eu du mal à rassembler.

Mais cela n'est alors qu'une partie de ce que le "travail ufologique" est sensé être selon moi.

L'ufologie est l'étude des rapports d'observations d'OVNIS. Cette étude vise à déterminer autant que faire se peut les causes des rapports.

S'il s'agissait de se contenter de cumuler des rapports, il ne s'agiaot pas d'ufologie mais d'une spécialisation du "fortéanisme". Charles Fort

Bilinguisme.

Ce catalogue est un travail énorme. Ce n'est certes pas à moi d'en juger la valeur ou l'absence de valeur, mais j'ai estimé qu'il serait dommage qu'il n'existe qu'en langue française. Touts son contenu est donc également disponible ne langue anglaise.

Je constate qu'un des problèmes en ufologie est justement lié aux barrières linguistiques: on trouvera tel cas "expliqué" dans une langue, mais beaucoup ne le sauront pas faute de comprendre la langue en question.

Il existe d'autres catalogues disponibles en bilingue, mais peu. Et ce ne sont pas nécessairement de "bons" catalogues.

Indications des sources.

En consultant les autres catalogues, je constate que tro souvent, les sources, quand elles sont données, sont mal indiquées. Par exemple:

"Lumières Dans La Nuit" n'est pas une référence de source acceptable pour moi. C'est un magazine ufologique publié durant des décennies déjé, et le minimum est d'indiquer de quel numéros il s'agit. Idéalement, comme je le fais, il convient d'indiquer le numéro, la date de parution, la ou les pages, et la nature de ce que l'on y trouve (copie de coupure de presse? rapport d'enquête?)

"Gross 1954", que j'ai trouvé utilisé pour indiquer une de mes pages comme source, n'est pas correct. Mes pages sont sur le Web, elles ont une adresse qu'il convient de donner, il y a au moins un autre uifologue nommé "Gross" et "1954" peut être pris comme une année de parution!

Tout le monde ou presque comprendra "Catalogue Vallée". Mais cela catalogue a eu plusieurs versions, certaines avec souces et d'autres sans, et il est important de donner, entre autres, l'année de parution.

Historique des changements.

L'auteur d'un catalogue peut, et je le fais, ambitionner d'être exhaustif. Il ne peut pas, et je ne le fais pas, assurer qu'il l'est déjà.

De nouveau cas peuvent surgir de l'oubli. De nouvelles informations peuvent apparaître sur un cas. Des sources précédamment manquantes ou indisponibles peuvent devenir diponibles. Des erreurs peuvent se révéler à l'auteur ou lui être révélées.

Un catalogue se drvait donc d'être évolutif. Le mien l'est.

Mais j'estime que ces évolutions doivent elles-même être documentées.

Je suis informaticien, et codeur. Que dirai-t-on de mon travail si je n'étais pas capable de sitinguer entre une version et une utre d'un logiciel que je déeveloppe?

Mon catalogue comprend en bas de chaque dossier, depuis 2009, un historique de la page où je documente, dans le dossier même donc et pas dans une nouvelle publication qui efface ou s'ajoute à une publication existante, les changements que j'apporte.

Je date et j'indique l'ajout d'une nouvelle source, le changement d'une explication, la correction d'une erreur.

Je n'ai tout simplement jamais pu voir un seul autre catalogue ufologique comprenant ainsi en son sein un historique des changements.

Résumé.

Il n'y a rien de répréhensible à "résumer" quelque chose. Un lecteur pressé apprécie un résumé. Mais ne donner que le résumé d'un cas crée en premier lieu un problème de subjectivité. Ecrire un résumé est risqué, des informations cruciales peuvent être crues secondaires et omises. Le lecteur motivé souhaitera, avec raison, pouvoir prendre connaissance de la totalité de l'information disponible.

Je n'avais initialement, de ce fait, pas publié de résumés de cas, mais publié la totalité de l'information qui m'était disponible. Ce n'est qu'à partir du moment où il m'apparaissait raisonable de penser que l'essentiel de l'information maintenant disponible et que j'avais publiée rendait le dossier d'un cas suffisament étayé pour qu'un résumé puisse être rédigé, que j'ai ajouté au cas de cette sorte, ledit résumé.

Beaucoup de catalogues ne sont constitués que du seul résumé. Il n'en est jamais allé ainsi pour mon catalogue des observations de 1954 en France.

Quelques autres points à préciser.

Décomptes, statistiques.

On peut évidamment laisser à des tiers le soin "d'exploiter" un catalogue pour en tirer d'éventuels enseignements globaux, des "pourcentages" et autres décomptes. Y abait-il en France en 1954 lus d'observation dans tel département que dans tel autre? Quel pourcentage de cas étaient des méprises causés par la Lune? Combien y a-t-il de cas? Y a-t-il vraiment eu une "vague"? Quelle est la taille des extraterrestres? Etc. etc.

On constate qu'en 2019, mon catalogue ne comprend aucune statistique.

Cet état de fait est voulu. J'ai débuté ce catalogue en 2004, à cette date, 2019, j'estime n'avoir pas encore rassemblé suffisamment de données. De plus sur les dossier publiés, 341 ont encore à ce jour une explication notée "Non encore recherchée."

C'est pourquoi je n'ai pas encore entrepris de décomptes ni de statistiques. Chaque chose en son temps!

Copies.

Je n'ai jamais refusé à quiconque de se "servir" dans mon catalogue. Je n'ai jamais protesté lorsque cela a été fait, même lorsque l'orgine de la copie était passé sous silence.

Je voudrais quand même dire ceci à ce sujet:

Je trouve sur l'Internet des copies de certaines des pages de mon catalogue. Fort bien. Mais comme je l'ai expliqué, mon catalogue est en construction permanente, et il serait de ce fait une bonne pratique que ces copies soient clairement accompagnées d'un lien vers ma page d'origine, et / ou mise à jour comme le sont mes pages. Ce n'est pesque jamais le cas.

Il me semble que certaines copies sont faites dans l'irrespect total de ce que j'essaie de défendre ici. Je trouve des copies qui reprennent une partie seulement de mes contenus, souvent, "on" reprend tel article de journal, mais l'explication du cas que je donne en regard du cas rapporté n'est pas reprise. Je peux concevoir qu'on ne soit pas d'accord avec l'explication que je propose, mais alors, qu'on m'explique pourquoi, et qu'on ne la cache pas.

Le pire exemple que j'ai pu constater est le fait d'un ufologue (je devrais écrire "ufologue" entre guillemets) de ma région qui, publiait un livre sur les OVNIS, y copie des portions entière de mon site (et d'un autre, fautes d'otographes compris), sans aucune référence à ses sources. Pour un cas, l'auteur copiait même un "mon enquête à permis de trouver que...", comme s'il s'agissait de son enquête. Pire encore, ce "mon enquête a révélé que..." ne concernait même pas le cas qu'il copiait là.

Je ne demande aucun "monopole" ou "copyright", je suis pour le partage de l'information, mais dans mon opinion, de telles pratiques paricipent au discrédit de l'ufologie.

Autres catalogues.

Je mène de front la ralisation de deux autres catalogues aux même ambitions.

J'ai assez bon espoir d'avancer ALSACAT assez loin pour couvrir au moins un grande partie sinon tous les cas de ma région dans les prchains 10 ans. J'ai débuté ALSACAT en 2014, ily a cinq ans maintenant, 692 dossiers de cas alsaciens y sont publiés sur les qeulques 850 qui me sont connus à ce jour. Bien entendu je vais certainement en découvrir plus, et de nouvelles observations sont faites chaque année, mais je doute que des milliers de cas m'échappent. Et les dossiers sur la plupart des cas non encore publiés sont déjà commencés.

URECAT est une autre affaire. Il est évident que je serais décédé avant que ce catalogue ne présente largement ces cas. J'ai connaissance à c emoment de 2019 de quelques 14.000 (quatorze-mille) affaires, et n'ai des dossiers que pour 1398 affaires. Nous sommes en 2019, j'ai 55 ans, et URECAT a été commencé en 2006; s'il n'y avait aucun nouveau cas à partir d'aujourd'hui, ce n'est pas loin de 2 siècles de vue supplémentaire qui me seraient nécessaire pour approcher une cerrtaine complétude... Mais peut-être (je n'y crois pas trop) d'autres reprendont-ils là où je serais arrêté? Je pense en tout cas avoir au moins pu montrer qu'il est possible de documenter de telles affaires, et pu montrer que puisque là plupart apparaissent comme le résultat d'une "mauvaise ufologie", des canulars et des méprises, il est vraiment nécessaire de ne pas "croire tout ce qu'on raconte."

Enfin, je veux préciser que la réalisation de ces trois catalogues n'est ni la totalité de ce que je vais dans la vie, ni même la totalité de mon activité liée à l'ufologie.

Motivations.

Je n'ai jamais caché que dans mon opinion, nous avions des visiteurs extraterrestres.

Je suis donc considéré comme un "croyant" par les "sceptiques". Inversement, lesdits "croyants", souvent mais pas toujours, me considèrent comme un "sceptique" voire un "vil scpetique" et autres appelation de cette sorte.

Peu me chaud!

Ma motivation initiale était de réaliser une page Web pour montrer qu'une "photo d'OVNIS" alléguée était un faux. C'est en réalisant que j'étais devant un vaste sujet, puis en lisant une nouvelle télévisée sur une observation d'OVNI, et encontinuant alors à lire des articles aussi bien "sceptiques" que "convaincus" sur le sujet des OVNIS, que je suis "entré en ufologie".

Je n'ai jamais pris un sou de par mes activités ufologiques (le site Web, des enquêtes, des discussions...). Je rejette presque toujours les demandes d'apparitons dans les médias, je n'en ai accepté que queleues-une parce qu'elle étaient dans les conditions du "direct".

La question des rapports d'observations d'OVNIS m'intéresse au plus haut point, essentiellement parce qu'elle touche à la question "sommes-nous seuls?" et à son corollaire énoncé par le physicien Enrico Fermi "Où sont-ils donc tous?"

Historique du document:

Version: Créé/changé par: Date: Description:
1.0 Patrick Gross 20 novembre 2019 Première publication.

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Cette page a été mise à jour le 20 novembre 2019.