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Roswell 1947 - Documents concernant les témoins

Glenn Dennis

(Glenn DENNIS).

S'il vous plait, avant de poser des questions ou d'envoyer critiques ou commentaires, veuillez lire ceci.

Biographie:

Glenn Dennis était en 1947 employé des Pompes Funèbres Ballard à Roswell.

Affidavits:

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AFFIDAVIT

(1) Mon nom est Glenn Dennis

(2) Mon adresse est: [retenu]

(3) Je suis employé à: ____ ( ) à la retraite,

(4) En juillet 1947, j'étais entrepreneur de pompes funèbres, travaille pour la Maison Funèbre Ballard à Roswell, qui avait un contrat pour fournir des services mortuaires au Terrain Aérien de l'Armée de Roswell. Un après-midi, autour de 13:15 ou 13:30, j'ai reçu un appel de l'officier mortuaire de la base qui me demanda quel était le plus petit cercueil fermé hermétiquement que j'avais en stock. Il dit, "Nous avons besoin de savoir çà au cas où quelque chose arrive dans le futur." Il demanda combien de temps cela prendrait d'en avoir un, et je lui assurais que je pourrais lui en avoir un le jour suivant. Il dit qu'il rappellerait s'ils en avaient besoin.

(5) 45 minutes à 1 heure plus tard environ, il rappela et me demanda de décrire la préparation de corps qui étaient restés dehors dans le désert pendant une période de temps. Avant que je puisse répondre, il dit qu'il voulait spécifiquement savoir quel effet les procédures de préparation auraient sur la composition chimique du corps, le sang et les tissus. Je lui expliquais que nos composés chimiques étaient principalement des solutions fortes de formol et d'eau, et que la procédure altèrerait probablement la composition chimique du corps. J'offris de venir à la base pour aider à tout problème qu'ils puissent avoir, mais il réitéra que l'information était pour un usage futur. Je suggérais que s'il avait une telle situation je m'efforcerais de geler le corps dans de la glace pour stockage et transport.

(6) Approximativement 1 h ou 1 h 15 plus tard, je reçus un appel pour transporter un homme en service qui avait une éraflure à la tête et peut-être un nez fracturé. Je lui donnais les premiers soins et le conduisis jusqu'à la base. J'arrivais là-bas vers 17:00.

(7) Bien que je fus un civil, j'avais habituellement un accès libre sur la base parce qu'ils me connaissaient. Je conduisis l'ambulance alentour vers l'arrière de l'infirmerie de la base et la garais à côté d'une autre ambulance. La porte était ouverte et à l'intérieur je vis des débris. Il y avait plusieurs morceaux qui ressemblaient au fond d'un canoe, d'environ 3 pieds de longueur. Cela ressemblait à de l'acier inoxidable avec une teinte pourpre, comme s'il avait été exposé à une haute température. Il y avait des inscriptions à l'apparence étrange sur le matériel ressemblant à des hiéroglyphes égyptiens. Egalement il y avait 2 policiers militaires présents.

(8) J'ai déposé l'aviateur et je suis allé au salon du personnel pour boire un Coca. J'avais eu l'intention de retrouver une infirmière, un 2ème lieutenant, qui avait été commissionnée environ trois mois avant après être sortie de l'université. Elle avait 23 ans alors (j'en avais 22). Je l'ai vue sortir d'une des salles d'examen avec un tissu sur sa bouche. Elle a dit, "mince alors, pars d'ici ou tu va avoir de sacrés ennuis." Elle est partie par une autre porte où un capitaine set tenait. Il m'a demandé qui j'étais et ce que je faisais ici. Je le lui ai dit, et il m'a ordonné de rester là. J'ai dit, "on dirait qu'il y a eu un accident chez vous; voulez-vous que je me tienne prêt?" Il m'a dit de rester exactement là. Alors deux policiers militaires [MPs] sont arrivés et ont commencé à m'escorter hors de l'infirmerie. Ils ont dit qu'ils ont eu des ordres pour me suivre jusqu'en dehors à la maison funèbre.

(9) Nous avions marché environ 10 ou 15 pieds quand j'ai entendu une voix dire, "nous n'en avons pas fini avec ce fils de p.... Ramenez-le." Il y avait un autre capitaine, un rouquin avec un regard mauvais que je n'avais jamais vu, qui a dit, "vous n'avez rien vu, il n'y a aucun accident ici, et si vous dites quoi que ce soit vous pourriez avoir des tas d'ennuis." J'ai dit, "hé monsieur, je suis un civil et vous ne pouvez rien me faire du tout." Il a dit, "si nous le pouvons; quelqu'un retrouvera vos os dans le désert." Il y avait un sergent noir avec un carnet dans sa main qui a dit, "il ferait de la bonne paté pour nos chiens." Le capitaine a dit, "jetez-moi ce fils de p... dehors." Les MPs m'ont suivi jusqu'à la maison funéraire.

(10) Le lendemain, j'ai essayé d'appeler l'infirmière pour voir ce qui se passait. A environ 11:00 du matin, elle a appelé la maison funéraire et a dit, "je dois vous parler." Nous étions d'accord pour nous retrouver au mess des officiers. Elle était très bouleversée. Elle a dit, "avant que je te parle, tu dois me jurer sur ce que tu as de plus sacré que tu ne mentionnera jamais mon nom, parce que je pourrais avoir beaucoup d'ennuis." J'ai été d'accord.

(11) Elle a dit qu'elle était allée chercher des approvisionnements dans une pièce où deux médecins exécutaient une autopsie préliminaire. Les médecins ont dit qu'ils avaient besoin d'elle pour prendre des notes pendant le processus. Elle a dit qu'elle n'avait jamais senti quoi que ce soit de si horrible dans sa vie, et que ce qu'elle a vu était le plus horrible qu'elle avait jamais vu. Elle a dit, "c'était quelque chose que personne n'a jamais vue." Pendant qu'elle parlait, j'ai été inquiet de ce qu'elle pourrait tomber en syncope.

(12) Elle m'a dessiné un schéma des corps, y compris un bras avec une main qui avait seulement quatre doigts; les médecins ont noté que sur l'extrémité des doigts il y avait de petits tampons ressemblant à des ventouses. Elle a dit que la tête était d'une façon disproportionnée trop grande pour le corps; les yeux étaient placés profondément; les crânes étaient mous; le nez était concave avec seulement deux orifices; la bouche était une fente fine, et les médecins ont dit qu'il y avait là un cartilage épais au lieu de dents. Les oreilles étaient seulement de petits orifices avec des ailerons. Ils n'avaient aucun poil, et la peau était noire -- peut-être en raison de l'exposition au soleil. Elle m'a donné les dessins.

(13) Il y avait trois corps; deux étaient très abimés et démembrés, comme détruits par des prédateurs; l'un était assez intact. Ils avaient trois et demi à quatre pieds de haut. Elle m'a dit que les médecins ont dit: "ce n'est pas quelque chose que nous avons jamais pu voir avant; il n'y a rien de pareil dans les manuels médicaux." Elle a dit qu'elle et les médecins sont devenus malades. Ils ont dû arrêter la climatisation et avaient peur que l'odeur traverse par l'hôpital. Ils ont dû déplacer l'opération vers un hangar d'avion.

(14) Je l'ai ramenée aux casernes des officiers. Le jour suivant j'ai appelé l'hôpital pour voir comment elle allait, et ils ont dit qu'elle n'était pas disponible. J'ai essayé de la joindre pendant plusieurs jours, et un finalement j'au eu une des infirmières qui a dit le lieutenant avait été transféré ailleurs dans une autre unité. Environ 10 jours à deux semaines plus tard, j'ai reçu une lettre d'elle avec un numéro de boîte postale. Elle a indiqué que nous pourrions discuter de l'incident par courrier à l'avenir. J'ai répondu par lettre et environ pendant deux semaines plus tard la lettre est revenue marquée "retour à l'expéditeur -- DECEDE." Plus tard, une des infirmières à la base a indiqué que la rumeur disait qu'elle et cinq autres infirmières avaient été en mission d'entraînement et avaient été tuées dans un accident d'avion.

(15) Le shériff George Wilcox et mon père étaient des amis très proches. Le shériff est allé à la maison de ma famille le matin après les événements à la base et a dit à mon père, "Je ne sais pas dans quel genre de problèmes s'est mis Glenn, mais tu diras à ton fils qu'il ne sait rien et n'a rien vu à la base." Il ajouta, "Ils veulent ton nom et celui de ta femme, et ils veulent vos adresses et celles de vos enfants." Mon père se rendit immédiatement en voiture à la maison funéraire et me demanda dans quel genre d'ennuis je m'étais mis. Il relata la conversation au shériff Wilcox, et ainsi je lui ai parlé au sujet des événements de la veille. Il est la seule personne à qui j'ai raconté cette histoire jusque récemment.

(16) J'avais rangé à l'abri les croquis que l'infirmière m'a donné ce jour. Récemment, sur demande d'un chercheur, j'ai essayé de localiser mes dossiers personnels à la maison funéraire, mais ils avaient tous été détruits.

(17) Je n'ai pas été payé et l'on ne m'a rien promis pour faire cette déclaration, qui est la vérité au mieux de mes souvenirs.

Signé: Glenn Dennis

Date: 8-7-91

Témoin de la signature: Walter G. Haut

Au moment de la rédaction de la déclaration sous serment qui précède, l'artiste Walter Henn a dessiné les croquis suivants sous la direction de Glenn Dennis. Les croquis sont supposés dépeindre les dessins prétendument faits pour Glenn Dennis par l'infirmière:

Interviews et déclarations publiques::

1er juillet 2003, "Larry King Live" interview télévisée en direct:

Larry King:

Nous commençons à Roswell, au Nouveau Mexique avec deux gars qui étaient là, Walter Haut, qui était l'officier de l'information publique de l'Armée de l'Air des Etats-Unis à la base de l'armée de Roswell, et Glenn Dennis, qui travaillait aux pompes funèbres Ballard à Roswell, Nouveau Mexique."

[Hors propos]

Larry King:

"Quel appel avez-vous eu, Glenn?"

Glenn Dennis:

"J'ai reçu un appel de l'officier mortuaire, informant que..."

[Larry King interrompt pour parler d'autre chose.]

Larry King:

"Glenn, quel appel téléphonique avez-vous eu?"

Glenn Dennis:

"J'ai reçu un appel de l'officier mortuaire de la base, me demandant combien de cercueils à fermeture hermétique pour de jeunes enfants de trois pieds et demi à quatre pieds nous avions en stock. Et je lui ai dit que, j'ai dit..."

Larry King:

"Qu'est-ce que vous en avez pensé?"

Glenn Dennis:

"Nous en avions seulement un. Pas militaire. Mais j'ai dit, je puis appeler Amarillo, au Texas, la compagnie des cercueils à 15:00 cette après-midi et avoir tous ce dont vous avez besoin pour demain midi [Inintelligible] j'ai dit, "qu'est ce qui se passe chez vous?" Et il a dit, "ce n'est pas important." Ensuite il me rappelle plus tard et il veut savoir comment le produit chimique d'embaumement altérerait les tissus, le contenu de l'estomac, et quelle était notre préparation [Inintelligible] pour des corps exposés aux éléments pendant des jours. J'ai dit, monsieur, nous devons - l'officier mortuaire doit nous dire ce qu'il veut et comment il le veut et quel procédé il veut que nous suivions. Et s'est un petit énervé. Mais en tout cas, c'était comme ça que tout à commencé pour moi à ce moment là."

[Larry King interviewe un autre invité et introduit d'autres invités.]

Larry King:

"Glenn, c'est à vous de nouveau. Quel a été la suite? Quel était le résultat? Ont-ils jamais commandé le moindre de ces cercueils? Glenn?"

Glenn Dennis:

"Oui?"

Larry King:

"Ont-ils commandé, est-ce que l'Armée de l'Air a-t-elle jamais commandé quelque chose de la maison funèbre?"

Glenn Dennis:

"Non, monsieur, ils ne l'ont pas fait."

Larry King:

"Comment savez-vous que c'était l'Armée de l'Air qui vous appelait?"

Glenn Dennis:

"Et bien, parce que je connaissais très bien leur officier mortuaire. Nous étions de proches amis."

Larry King:

"Oh."

Glenn Dennis:

"Et je connaissais tout le monde là-bas. Nous avions travaillé à leur hôpital. Nous étions la seule affaire qui avait une ambulance, et nous étions plutôt impliqués, avec la base. En outre, nous avions un contrat avec l'armée. C'est pourquoi je les connaissais tous."

[Larry King interviewe d'autres invités, et demande leur opinion sur les motifs d'une dissimulation.]

Larry King:

"Glenn, pourquoi pensez-vous qu'ils ne lâchent pas le morceau?"

Glenn Dennis:

"Et bien, d'après ce qu'on m'a dit, et puisque vous me demandez, le problème est que ceux qui ont cette énergie pourraient contrôler le monde entier et si nous n'avons pas les éléments sur notre planète ou ce qu'il faut pour reproduire ces derniers, ce pourrait être un problème. J'ai entendu ceci de trois ou quatre sources différentes et peut-être que c'est vrai. Je ne sais pas. Si vous vous rappelez, pensez à l'affaire d'Orson Welles."

Larry King:

"La Guerre des Mondes."

Glenn Dennis:

"Oui."

Larry King:

"Oui."

Glenn Dennis:

"Et ils ne savaient pas si cela se produirait au Nouveau Mexique ailleurs dans le monde, ou autre chose, si nous étions envahis par des extraterrestres."

[Larry King interviewe d'autres invités.]

Larry King:

"Bon, Glenn, vous vivez toujours... vous habitez à Roswell. Vous croyez qu'il y en a..."

Glenn Dennis:

"Oui c'est vrai..."

[Tout le monde parle en même temps]

Larry King:

"Est-ce que vous croyez qu'il y a encore de ces trucs là-bas?"

Glenn Dennis:

"Et bien, ils y vont tous les ans, chaque année après la neige et l'hiver. Ces personnes du gouvernement sortent avec les compteurs Geiger et tout le reste, et ils ont tout marqué là haut. Et je ne sais pas s'ils ont encore trouvé quelque chose parce qu'ils ne nous consultent plus du tout. Mais je connais les propriétaires de ranch et je connais des gens là parce que notre morgue a été impliquée jusque là avec presque tout ça, je veux dire, avec les gens là, et nous ne parlons de ça que très rarement. De temps à autre, nous nous asseyons et en disons quelque chose, mais pas très souvent."

[Larry King interviewe d'autres invités.]

Larry King:

"Avez-vous jamais vu quelque chose dans un cercueil, Glenn?"

Glenn Dennis:

"Non, je n'ai pas vu. Je ne l'ai pas vu. Ils ont tous été embarqués dans ce que nous appelons des sacs funéraires et mis dans un container hermétiquement scellé et ont été envoyé par avion directement à Wright-Patterson."

Larry King:
"Glenn, vous pensez qu'on connaîtra un jour toute l'histoire?"
Glenn Dennis:

"Et bien, pas au train où vont les choses maintenant. Il y a eu quelques observations tout récemment en Australie et en Nouvelle Zélande et également j'ai des gens l'autre jour qui m'ont appelé d'Egypte ils visitaient les pyramides et elles étaient fermées pour trois ou quatre jours et aucuns touristes ne pouvait aller là à cause d'observations."

Larry King:

"Continuez, Glenn."

Glenn Dennis:

"Je ne sais pas. Je pense que plus le public comprend ceci, plus il est au courant, meilleur sera le monde."

[Larry King interviewe d'autres invités.]

Larry King:

"Nous remercions Glenn Dennis pour avoir passé tout ce temps avec nous. Il travaillait aux pompes funèbres Ballard à Roswell quand tout ceci s'est produit."

Source:

Commentaires et notes d'enquêteurs:

En construction.

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Cette page a été mise à jour le 8 juillet 2003.