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Par Donald R. Burleson, Ph.D.
Au MUFON SD, les chercheurs du Nouveau-Mexique au cours des ans, ont produit d'impressionnants témoignages donnant une image remarquablement claire et cohérente des débris de collision maintenant connus de Roswell. Les personnes présentes en 1947 et assez chanceuses pour avoir vu, et dans certains cas, avoir touché les débris, ont décrit (entre autres) des morceaux minces de feuilles résistant à la rupture ou au brûlage. Maintenant, un nouveau témoin s'est proposé d'ajouter quelques détails à ce récit toujours grandissant. Il ne veut pas être identifié, et je me référerai à lui par le nom fictif de Philip Croft...
Ma femme, Mollie Burleson, elle-même membre du MUFON, a d'abord rencontré M. Croft par hasard et réalisé une entrevue préliminaire avec lui. Par la suite, j'ai mené deux entrevues de suivi, et le récit qui en a découlé semble être très important. M. Croft nous a parlé librement et aisément de son expérience, mais a insisté sur le maintien de l'anonymat. En 1951, Croft vivait à Corona, au Nouveau Mexique, et était employé par le département des routes, travaillant sur les routes autour de Vaughn, Corona et Carrizozo. Lui et ses amis avaient l'habitude de chasser le cerf sur les terres près de Corona. Un jour, en novembre 1951, un de ses deux compagnons de chasse était Mack Brazel, que lui et un ami avaient rencontré au bar de Corona.
C'était bien sûr le W.W. Mack Brazel bien connu des ufologues comme contremaître du ranch qui était venu à Roswell le dimanche 6 juillet 1947, avec une boîte de débris étranges pour les montrer au shérif George Wilcox et s'est fait prendre par l'armée en résultat de la peine qu'il s'était donnée. Le compte-rendu de M. Croft ajoute quelques facettes intéressantes à notre compréhension de la participation de Brazel dans l'incident de Roswell. Le jour en question, le groupe de chasseurs était sorti dans la prairie au sud-est de Corona près de l'endroit où Brazel avait garé son camion. Brazel a semblé tout à coup un peu nerveux pour une raison quelconque. Il regarda vers son camion et dit: "Je veux montrer quelque chose à tes gars." En allant au camion et en ouvrant la porte, il a tiré un objet étrange de derrière le siège.
Philip Croft a décrit l'objet comme un morceau de feuille métallique "en argent-aluminium", "mince comme du à tes gars", et de la taille et de la forme d'une assiette. Malheureusement, il n'a pas touché le matériel lui-même, mais il a eu tout le loisir de l'observer, parce que Brazel a placé l'objet sur la base d'un arbre de pinyon et a suggéré qu'ils tirent dessus - ce qu'ils ont fait avec des fusils de chasse au cerf de 30.06 d'une distance d'environ trente pieds, une cible facile pour des chasseurs de cerfs expérimentés.
M. Croft a déclaré que lorsque le film a été touché, il a tournoyé sur une distance considérable dans l'air et est venu flotter "comme un Kleenex." En examinant le matériel, les hommes ont constaté qu'il ne présentait aucun effet d'avoir été touché, pas même une marque, et absolument aucune déchirures ni trous. Gardez à l'esprit que le matériau, qui ressemblait à du papier alu, était assez mince et léger pour flotter dans l'air. Je ne suis pas un chasseur, mais deux experts en armes m'ont assuré qu'un tir d'un fusil de 30.06 de beaucoup plus loin que trente pieds va facilement pénétrer dans une porte de voiture, et que l'arme tuerait naturellement un cerf depuis plus de cent mètres.
Pourtant, ces coups ont laissé l'étrange feuille non rayée. (Cela suggère que les rumeurs de tests balistiques à grande échelle effectués en secret lors des essais sur des matériaux de Roswell qui ne l'ont pas affecté - peuvent bien être vrais.)
Il ressort clairement de ce récit que, malgré tous les efforts officiels pour dire le contraire, et malgré le fait que son fils Bill Brazel ait eu ses propres débris confisqués en 1949, Mack Brazel doit avoir réussi à conserver un débris illicite du crash d'OVNI de Roswell. Tel que décrit, le matériel que Croft a observé en 1951 ne pouvait en aucun cas être conçu sur cette planète, bien que M. Croft lui-même n'ait pas tiré de conclusions particulières sur ses origines. En fait, il a demandé à Brazel à l'époque: "Les gens de l'armée ne vous ont-ils pas ce que ces choses étaient?" Brazel, de sa manière typiquement colorée, a répondu: "Non, et ils ont les jetons à propos de ça." De toute évidence, il était encore bouleversé par toute cette affaire, se sentant floué par ses expériences avec les militaires et se sentant inquiet que les mauvaises personnes apprennent sa possession du matériel. Quand Croft demanda à Brazel exactement où il avait trouvé le papier alu, Brazel a dit: "Je l'ai ramassé là où ils ont aspiré le sol." Il a poursuivi en disant que les militaires avaient apporté du matériel lourd à l'endroit (que nous appelons maintenant le champ des débris) et avaient littéralement aspiré un rayon de terre de cinq cents pieds tellement soigneusement qu'il n'y avait presque plus une herbe ou un caillou restant. (Ce compte-rendu corrobore les autres descriptions de témoins sur le nettoyage par l'armée).
Brazel a déclaré qu'il n'avait pu voir que peu de choses des activités de l'armée, il avait dû regarder à distance, car il n'était pas autorisé à se rapprocher. "Ils menaçaient votre vie", a-t-il dit, selon le souvenir de Croft de la conversation...
J'ai demandé à M. Croft ce qui est arrivé à la feuille de métal après qu'ils aient tiré dessus, et il a dit que Brazel l'a simplement remise dans son camion. Inutile de dire qu'il faut se demander ce qui est arrivé à ce matériel d'un autre monde.
En tout cas, grâce au témoin Philip Croft, nous en savons maintenant plus sur les suites de l'incident de Roswell. M. Croft m'a dit qu'à plusieurs reprises au cours des ans quand il a mentionné cette expérience à des connaissances, ils n'ont fait que rire. En tant qu'ufologue, je l'ai assuré que je ne suis certainement pas enclin à rire. De toute évidence, ce qu'il a vu n'était pas facilement explicable en termes banals.
Quand je lui ai demandé si je pouvais utiliser son vrai nom, il a déclaré: "Non, je pense que tout cela est encore très sensible". Et il a vraiment raison.