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Numéro: | FR0360 |
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Rédigé le: | 6 juillet 2010 |
Reçu le: | 6 juillet 2010 |
Publié le: | 4 août 2010 |
Date d'observation: | Hiver 1990 |
Lieu d'observation: | France, Cahors |
Langage original: | Français |
Rapporté au moyen de: | Courier électronique |
Informations retirées: | Nom, prénom, adresse électronique, informations permettant identification du témoin |
Enquête, informations additionnelles: | Non |
Explication: | Non recherchée. Rentrée atmosphérique Gorizont 21 5 novembre 1990. |
Sujet: Bonjour, Obersavtion d'un ou de plsuieurs objets volants non identifiés. Alors que nous nous trouvions à bord de notre véhicule à proximité du pont Cabessut à Cahors, notre attention a été attirée par un étange objet volant. Nous avons stoppé la voiture et sommes sortis à l'extérieur. Une masse indéterminée se dirigeait à faible vitesse en suivant une trajectoire rectiligne qui semblait voler à environ 200 ou 300 mètres. Je me rappelle avoir été interpellé par la taille de cette "masse" volante. Je n'ai pas pu déterminer sa taille mais j'en garde le souvenir que j'ai pensé à la grandeur d'un terrain de football. Nombres de lumières étaient apparentes sur la totalité de la périphérie de cette masse, telles des spots aux multiples couleurs. Pilote privé et fan d'aviation je sais qu'il ne s'agissait pas de feux de position. Emanait de cette masse volante un leger bruit feutré et continu mais qui ne ressemblait aucunement à celui d'un réacteur, d'une moteur à piston ou à turbine, ni même à celui généré par des pales d'hélicoptère. Explication envisagée : compte tenu que les faits sont concomittants à la première guerre du golfe, j'ai pensé dans un premier temps qu'il pourrait s'agir du vol en foramtion (trés serrée) de plusieurs chasseurs furtifs F117. Mais pourquoi auraient-ils volé si bas, tout feux allumés, et à si faible vitesse. Par ailleurs, quelques jours plus tards, le GEPAN faisait paraître dans le dépêche un appel à témoin concernant des faits similaires ayant été observés sur une grande partie de la métropole. Je n'ai pas répondu à cette démarche pour deux raisons. La première est que je venais d'être libéré du [POays étranger] ([Supprimé] durant 56 jours), qu'à ce titre j'avais fait l'objet de la "une" du journal local et que je ne désirais pas que l'on pense que je recherchais une "occasion" pour faire à nouveau parler de moi... La deuxième raison est que [Supprimé] occupait une place importante au C.N.E.S. de Toulouse et qu'il connaissait personnellement Mr VELASCO, ancien responsable du GEPAN. Je ne voulais pas que mon témoignage puisse d'une façon ou d'une autre "interférer" dans sa carrière professionnelle. Ancien militaire (sous-officier) sous contrat, puis chargé de la sécurité en milieu diplomatique ([3 pays étrangers]), je n'ai pas pour habitude de me laisser impressionner par une situation inhabituelle. Tout au contraire, je tâche d'appréhender ce genre de situation dnas le calme et avec un esprit d'analyse. Cependant, force est de constater que ce jour là, je ne sais pas ce que j'ai vu... |