L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Parisien Libéré, France, le 13 janvier 1976.
"Il existe bien dans notre ciel de mystérieux objets volants non identifiés pilotés par des êtres vivants d'une intelligence supérieure et qui possèdent une technique encore inimaginable pour nous"... c'était une des conclusions de l'interview exclusive de Maurice Chatelain, un des responsables des vols spatiaux américains, publiées ici même samedi dernier.
Et les faits, une fois de plus, viennent de lui donner raison, semble-t-il: des dizaines de témoignages émanant de témoins dignes de foi vienne relancer ce qui reste la grande énigme de notre temps: la présence des extra-terrestres sur la terre.
Et cette fois, il ne s'agit pas seulement d'observations concernant des disques lumineux passant dans le ciel, ce qu'il est convenu d'appeler une "soucoupe volante" a bel et bien atterri. Et cela à 2 reprises dans la même région du sud-est de la France, dans l'Isère d'abord, puis dans la Drôme.
D'abord personne n'a voulu y croire. Cela paraissait tellement énorme... Et puis, il a bien fallu songer à faire une enquête plus sérieuse une fois que de toute part les témoignages ont commencé à affluer dans les gendarmeries de la région.
Le premier à avoir vu le mystérieux engin est un jeune garçon de 10 ans, Jean-Claude Silvente, de Domène, dans l'Isère.
Le petit garçon en allant chercher du lait dans une ferme, proche de la maison de ses parents, s'est trouvée pratiquement nez-à-nez avec une sorte de géant blond, vêtu d'une combinaison brillante comme si elle avait la propriété de réfléchir la lumière.
"L'inconnu portaient des cheveux blonds, long. Il s'est approché de moi en tendant les bras. Derrière lui, à terre, il y avait un engin illuminé de plusieurs couleurs. Une sorte "d'obus" conique avec une base ronde, d'une vingtaine de mètres de diamètre. J'ai cru rêver tout éveillé... En rentrant, je n'ai rien osé raconter..." explique aujourd'hui Jean-Claude. Mais le lendemain, à la même heure, l'objet était encore là.
Et ce n'est plus seulement l'enfant qui l'a vu, mais aussi sa mère, sa soeur, un ami et une quinzaine d'autres personnes: de l'endroit où se trouvait la "soucoupe" une aveuglante lumière rouge surgit tout à coup, semblant foncer droit sur le groupe. Tout le monde s'éparpilla en hurlant de peur.
D'autres témoignages encore recoupent parfaitement ceux déjà recueillis par les gendarmes de Domène. Tel celui de M. Taillefer, le maire de Claix, une petite ville proche qui dit avoir aperçu vers 17h une boule lumineuse qui se déplaçait de manière bizarre, bas dans le ciel; tel aussi celui d'un jeune homme de 17 ans qui a vu la "soucoupe" se poser au lieu-dit "La Morte" à l'endroit même où Jean-Claude et les autres témoins ont rencontré la chose et l'être vivant qui en était descendu.
Dans la Drôme, non loin de là, c'est un automobiliste, M. Jean Dolecki, 41 ans, qui a 19 h 30, a assisté entre Saint-Nazaire en Royans et Saint-Romans, à l'atterrissage d'un "engin de 12 à 14 mètres de haut d'où sont sortis 3 êtres qui ressemblaient à des gnomes revêtus de scaphandres, avec des jambes très courtes... Lorsqu'ils ont vu la voiture, ils ont regagné leur soucoupe qui a disparu à une vitesse fantastique."
Les gendarmes là encore ont commencé une enquête. Ils ont fait venir sur les lieux un spécialiste de la défense nationale qui n'a constaté aucune trace de radio-activité. Mais il semble bien que, pour une fois, toutes leurs constatations n'aient pas été révélées.
Et c'est bien peut-être le plus troublant, car on pa eine à imaginer qu'il puisse s'agir d'un simple "canular" d'écolier à l'imagination trop fertile. Trop de témoignages dignes de foi ont surgi. Et ils concordent. Alors?
C'est une affaire à suivre. Une affaire digne d'intérêt... qui a déjà eu un précédent célèbre dans la même région, à Valensole dans la Drôme nous a confirmé M. René Fouéré qui est sans doute le meilleur et le plus sérieux des chercheurs français en matière de "phénomènes aériens non expliqués".
Le 1er juillet 1966, à Valensole, c'est un cultivateur qui en se rendant au champs, tôt le matin, vit à quelques mètres de lui, un autre engin d'où 5 ou 6 petits hommes vêtus de combinaisons brillantes étaient descendus. Cloué sur place par une sorte de rayon projetés par l'un d'eux, le brave homme eut le temps de voir disparaître l'objet. Depuis, la lavande n'a jamais repoussé à l'endroit de l'atterrissage..."
Quant à Maurice Chatelain, qui, dans son dernier livre, "Nos ancêtres venus du Cosmos", a étudié la périodicité des grandes "vagues" d'observation d'extra-terrestres descendus sur notre sol, il peut aujourd'hui triompher: le milieu du mois de janvier 1976 coïncide justement avec ce qu'il avait prévu: selon lui, les "pilotes" des engins extra-terrestres venant de civilisation de systèmes stellaires très éloignées profitent de la conjonction des quatre grosses planètes du système solaire: Neptune, Uranus, Saturne et Jupiter pour ralentir leur vitesse grâce à l'attraction gravitationnelle énorme des quatre planètes. D'abord en orbite autour de l'un des satellites de Jupiter, les engins venus d'ailleurs se mettrait ensuite en orbite d'attente autour de Mars avant d'atteindre, 800 jours plus tard, la proximité de la Terre.
Or la dernière grande "vague" d'observation terrestre sur les "soucoupes" date de la fin octobre 1973... et depuis plusieurs mois déjà, Maurice Chatelain avait annoncé qu'elle se renouvellerait au milieu du mois de janvier de cette année...
Etrange tout de même! Mais les scientifiques du monde entier vont bien être obligé de commencer à prendre au sérieux, tous ces mystères.... même si les gendarmes locaux demeurent dans le cas présent sceptique.