L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Nouvelle République, France, le 27 janvier 1982.
En patrouille sur l'autoroute où il circulait dans le sens Paris-province, deux gendarmes du peloton autoroutier ont observé longuement un curieux phénomène samedi vers 4 h. Alors que la nuit était encore parfaitement noire, ils ont aperçu un objet qu'il qualifient "d'indéterminée" de forme "indéfinie" mais plutôt longue de couleur gris blanchâtre mais qui n'émettait aucun éclat. Pourtant, le sol paraissait éclairer dans l'axe de son déplacement plus ou moins dans le sens de l'autoroute du nord vers le sud. Les témoignages des deux gendarmes qui divergent sur des points de détail (forme exacte du phénomènes, vitesse de déplacement, distance du sol) sont identiques à cet égard. Ils ont d'ailleurs fini par s'arrêter sur le bas-côté pour observer plus sérieusement ce qui, de toute évidence, ne pouvait guère être un mirage. Peu à peu, elle s'est estompée pour disparaître vers l'est tandis qu'il regagnait le poste afin de transmettre leur "visions" au groupe d'étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés à Toulouse.
Outre le fait que l'observation ait été faite par deux témoins parfaitement dignes de foi. Il y a dans cette affaire une troublante coïncidence: le 17 janvier dernier, une habitante d'Ingré aurait, Elle aussi, aperçu un objets bizarres évoluant dans le ciel. Or, c'est également à Ingré que les gendarmes se trouvaient lorsqu'ils ont constaté le fait. Celui qui pourra l'expliquer sera sans doute le bienvenu au peloton autoroutier.