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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

La vague française de 1954 dans la presse:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Liberté du Morbihan, Lorient, France, page 10, le 17 septembre 1954.

Voir le dossier du cas.

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"Cigare volant" ou avion à réaction?

L'ETRANGE RENCONTRE
du cultivateur corrézien
avec l'homme casqué
n'est pas entièrement fictives

Tulle. -- Il ne s'agit plus cette fois de soucoupe volante, ni d'être bizarre semblant appartenir à un autre monde.

La rencontre faite par M. Mazaud, un solide paysan quinquagénaire de bUGEAT (Corrèze), est tout autre. Il se montre des plus formelS. Il y a dans ses déclarations un indiscutable accent de sincérité. Il n'a pas, tant s'en faut, la réputation d'un farceur ou d'un illuminé, et les enquêteurs n'ont pas relevé la moindre faille ou la moindre contradiction dans ses déclarations.

L'homme qu'il rencontra sur un plateau désert, le 10 septembre, vers 20 h. 30, n'avait rien d'anormal dans son accoutrement ni dans son aspect, si ce n'est la forme assez particulière du casque qu'il portait sur la tête. Quand il se trouva face à face avec le paysan corrézien, il fit plusieurs inclinaison de tête pour le saluer, lui tendit la main, puis lui donna l'accolade. Il ne répondit par autrement au bonsoir de M. Mazaud et n'articula pas une syllabe, à tel point que l'agriculteur le prit pour quelque simple d'esprit et aurait certainement bien vite oublié cette rencontre.

UN "CIGARE VOLANT"

Mais, quelques secondes après la disparition de l'inconnu, M. Mazaud, qui poursuivait sa route, entendit un léger bruissement. Il se retourna et c'est à ce moment qu'il aperçut un engin qui s'élevait du sol en oblique, de la même façon que d'école un avion. La machine avait vaguement la forme d'un cigare (celle d'un avion à réaction vue de profil, à quelque chose près). Elle volait vers l'ouest très rapidement en prenant de la hauteur. Le bruit était très léger. On n'apercevait pas la moindre fumé ni la moindre lueur.

M. Mazaud se garda bien de parler de ce phénomène dans le voisinage, craignant que l'on se moquât de lui. Seule une indiscrétion de sa femme permit aux gendarmes d'être avisés. Il l'entendirent chez lui et se rendirent sur les lieux, mais deux jours s'étaient écoulés et il avait beaucoup plu. On ne releva pas la moindre trace sur le sol.

Le commissaire des renseignements généraux de Tulle, a entendu lui aussi, très longuement, M. Mazaud et s'est rendu avec le fermier sur les lieux de la rencontre. Il a été frappé comme tout le monde du sérieux de celui qui fut le témoin involontaire de cet étrange phénomène.

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Cette page a été mise à jour le 14 avril 2025.