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Les OVNIS dans la presse quotidienne:

Les soucoupes volantes dans la presse française de 1954:

L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Rouergue Républicain, France, page 4, le 18 septembre 1954.

Scan.

Les Etats-Unis gardent-ils en fourrière une "soucoupe" dont le pilote s'est enfui dans un "cigare" de secours?

Depuis l'extraordinaire offensive de ces derniers mois d'engins volants non identifiés, l'opinion publique se passionne de plus en plus pour l'énigme des "soucoupes".

Si aucune réponse vraiment convaincante n'a encore été apportée, il n'en reste pas moins que le problème des "soucoupes" est abordé désormais avec sérieux, par des gens sérieux.

Jusqu'au journal "La Croix" dont on ne saurait suspecter le sérieux qui vient de verser au dossier des soucoupes un document qui est bien la relation la plus précise et la plus troublante que nous ayons pu lire jusqu'à ce jour.

Ce document "émane d'un technicien américain, témoin et acteur d'événements qui se sont passés, il y a plusieurs semaines, quelque part aux Etats-Unis".

L'auteur a gardé le plus strict anonymat "Le journal" ne voulant pas "compromettre ses informations intimement mêlées au déroulement des faits. Voici le récit:

Je travaille à proximité d'une base d'hélicoptères. Un jour, alors que je vaquais à mes occupations, je vis au loin un engin de forme inconnue se poser à la limite du terrain. Je saisis une longue vue et remarquai un appareil dont le signalement correspondait à la soucoupe classique. Un être d'apparence humaine en descendit, ramassa des cailloux, de la terre, de l'herbe, et prit un nid dans un buisson. Puis l'étrange personnage remonta dans son véhicule qui disparut en quelques secondes.

Le personnel de la base n'avait pu intervenir, car tout s'était passé très rapidement. Ces faits provoquèrent une profonde émotion chez tous ceux qui en furent les témoins.

Quelques jours plus tard, une soucoupe se posa au milieu du terrain. Son pilote, comme la première fois, mit pied à terre et se pencha sur son engin comme s'il voulait en vérifier le fonctionnement.

PALALYSES PAR UN MYSTERIEUX FLUIDE

Décidés à faire la lumière sur cet étrange atterrissage, nous nous sommes précipités en direction de la soucoupe.

Nous étions à quelques dizaines de mètres de l'inconnu, lorsqu'il se redressa, nous vit, et nous immobilisa par je ne sais quel fluide. Puis, après nous avoir un instant regardés. Il contourna la soucoupe, grimpa dans une sorte de "cigare" posé à côté de l'appareil et décolla à la verticale Nous n'étions pas revenus de notre surprise, si nous avions recouvré la liberté de nos mouvements.

UN PETIT ETRE TRAPU...

La soucoupe était restée au sol. Nous ne savions que faire, ayant encore présente à l'esprit l'image de l'être qui venait de fuir. Il était de petite taille, très trapu, et avait une apparence quasi simiesque. son corps ou ses vêtements étaient couverts de longs poils De son visage nous n'avons remarqué que des yeux extrêmement aigus et brillants.

Mais, la soucoupe se trouvait devant nous. Que contenait-elle? Nos ingénieurs décidèrent d'en entreprendre l'étude sur-le-champ.

UNE PORTE FUT DECOUPEE AU CHALUMEAU

On constata tout d'abord qu'elle était hermétiquement close. Pas la moindre trace d'ouverture praticable. Il y avait une coupole et des hublots mais aucun réacteur visible. Elle reposait sur trois tiges creuses posées chacune sur des petits skis.

Il nous fallut découper une porte au chalumeau oxydrique. Nous eûmes beaucoup de mal. Le métal - inconnu - qui formait la carapace extérieure de la soucoupe était extrêmement lisse, résistant, et ne révélait ni emboutissage, ni ajustage.

Nos chimistes en ont analysé un fragment. Ils ont constaté qu'ils se trouvaient en présence d'un alliage très lourd, d'or, de plomb et de fer, mais à partir de ces éléments et en respectant les proportions observées, ils furent dans l'incapacité de le reconstituer.

PAS DE MOTEUR!

L'intérieur de la soucoupe était entièrement tapissé d'une sorte de fibre s'apparentant au caoutchouc. Un gaz assez lourd emplissait les deux tiers de l'engin: atmosphère artificielle? Carburant?

Quelques manettes étaient disposées autour des hublots, mais nous n'avons rien pu en tirer. De même, nous n'avons trouvé aucun moteur.

Il semble que le pilote conduisait "à quatre pattes" à même le sol. Nous avons retrouvé des sortes de "ventouses" correspondant à la place des "mains" et des "genoux". Mais pour chacune de celles-ci nous avons relevé six empreintes...

Voilà ce que j'ai vu avec plusieurs de mes camarades. Nous en avons été les seuls témoins. Les autorités américaines ont fait le "black-out" sur cette affaire qui n'avait encore filtré dans les journaux de l'Union...

Faut-il dire que nous avons été bouleversés par tout ce que nous avons vu et que nous ne pouvons l'oublier?...

Note: que je présente cet article de journal n'implique absolument pas que je considère le récit véridique. Au contraire, il s'agit pour moi d'évidence d'une pure invention, d'un texte rédigé en fait par un français, et je subodore qu'il s'agit en fait d'un auteur de SF passionné de soucoupes volantes.

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Cette page a été mise à jour le 17 juin 2010.