L'article ci-dessous est paru dans le quotidien Le Provençal, édition Corse, France, le 21 mars 1980.
Un journal de Dijon (Côte-d'Or), le "Bien public", fait état de curieux observations faites autant au sol qu'aux commandes de leurs appareils par des pilotes de "Mirage III" de la base aérienne de Dijon.
Toutefois, ces pilotes sont restés anonymes mais leur témoignage a été autorisé par le commandement des forces aériennes tactiques. Le témoignage le plus précis est celui d'un capitaine également instructeur qui a aperçu un étrange objet volant le samedi 8 décembre à 9 h. 45 devant la maison où il demeure dans la banlieue de la ville à Varois, un étrange objet. Celui-ci se trouvait à 250 m de là, mesurant 7 m de long environ, il se balançait doucement, sans bruit et sans lueur, se dressant parfois verticalement. L'une des faces avait un reflet métallique, l'autre était bleu foncé. La forme générale de l'objet représentait un triangle étroit plutôt aplati. L'épouse du capitaine qui avait ailleurs aperçu l'objet de la première, a fait les mêmes constatations et à vu, comme son mari, l'objet pendant au moins deux minutes avant qu'il ne disparaisse, toujours sans bruit, mais à très grande vitesse, tout en semblant en équilibre instable.
On devait apprendre à la suite de ce témoignage qui a été recueilli par la gendarmerie de l'air, que deux gendarmes de Dijon avait également aperçu dernièrement au-dessus de la ville, un curieux engins dont une face était bleu foncé et dont la forme rappelle celle décrite par l'officier de la base. On apprenait également que deux autres pilotes de "Mirage III" qui se trouvaient la semaine dernière en vol de nuit à haute altitude, avaient vu leur attention attirée par une sorte de grand rectangle dont l'axe central comporte des points lumineux s'allumant et s'éteignant alternativement dans une sorte de va-et-vient. Ils ont appelé cet objet un "sucre volant" mais ils n'ont pu donner aucune explication complémentaire.