L'article ci-dessous est paru dans le quotidien La Croix, France, page 1, le 29 septembre 1954.
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Des visiteurs venus d'un autre monde ont atterri, le 24 septembre, à 10 heures du matin, dans les montagnes de Gardunha, à la frontière hispano-portugaise."
Cette nouvelle sensationnelle a été rapportée à notre confrère Duario [sic] de Lisboa, par un paysan portugais qui, avec trois autres cultivateurs, travaillait dans un champ proche du terrain d'atterrissage.
"Une sphère apparut dans le ciel, raconte le paysan. Elle volait à une vitesse vertigineuse et lançait des éclairs multicolores. Et, sans bruit, l'engin vint se poser à 200 mètres de nous. Et trois silhouettes - on aurait dit des hommes en aluminium - en descendirent. Ces visiteurs, d'une hauteur de plus de 2 mètres, se mirent à cueillir des fleurs et ramasser des pierres qu'ils déposèrent dans une boîte étincelante.
Nous apercevant, les trois hommes vinrent vers nous et émirent quelques sons... Voyant que nous ne comprenions pas leur idiome, il nous invitèrent par gestes à monter dans leur engin."
Le paysan ajoute "qu'ils refusèrent poliment". Sans insister, les mystérieux visiteurs remontèrent dans leur machine qui s'éleva verticalement, à une vitesse foudroyante, en lâchant une pluie d'étincelles.
Les témoins précisèrent qu'au moment du décollage, seuls, les "pĂ´les" de la sphère tournai et que la "équatoriale" transparente laissait voir à l'intérieur des ombres mouvantes...
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On annonce de Lisbonne qu' "une très large concentration de lumière, extraordinairement brillante" a été aperçue en plein Atlantique, par 37° de longitude Ouest et 38° de latitude Nord, par le capitaine Freeman, de la "Pan American Airways" qui pilotait un avion de la ligne New-York - Afrique du sud.
Le capitaine, à son escale dans la capitale portugaise, a rapporté qu'alors qu'il naviguait au large des Açores et en direction de Lisbonne, il avait été frappé par la présence de plusieurs lumière étincelante sur l'océan. L'avion volait alors à une altitude de 6.400 mètres, il n'y avait pas de nuages et l'atmosphère était claire, a ajouté le capitaine Freeman, qui a précisé encore que cette lumière ne pouvait être confondue, ni par son éclat, ni par la très large surface qu'elle occupait, avec celle projetée par un navire.