L'article ci-dessous est paru dans le quotidien El Comercio, de Lima, Pérou, le 27 juillet 1968.
Buenos Aires, 26 juillet (EFE). -- Des membres de la police provinciale ont tiré des coups de mitraillette contre les trois membres d'équipage d'une soucoupe volante qui s'est posée tôt ce matin aux abords d'un aéroport, selon un rapport de l'édition d'aujourd'hui du journal El Popular de la ville d'Olavarria.
Il était un peu plus de 2 heures du matin. (06h00 GMT) et un large secteur traversant la vallée de la Tapalque s'est éclairé d'une luminosité très vive accompagnée d'un étrange ronflement, chaque fois plus intense. Un chef de police - dont le nom n'est pas divulgué - qui, à ce moment-là, procédait à la relève d'un collègue de service, a constaté avec étonnement l'étrange phénomène. En hâte, et avec quatre autres témoins, il reconnut les lieux. Armés de mitraillettes et dans une jeep découverte, ils se sont rendus sur les lieux de l'événement. Une fois sur place, ils ont constaté avec surprise, à quelques mètres au-dessus d'eux, les manoeuvres d'un objet de forme ovale, plat et avec quelques pattes courtes sur les bords, qui émettait vers eux des rayons multicolores. Immédiatement, avec des mouvements intelligents et à une vitesse vertigineuse, il s'est redressé verticalement puis a atterri près de quelques buissons derrière la piste d'atterrissage utilisée par les militaires en cas d'urgence.
La lumière puissante a semblé diminuer, et à côté du disque volant, maintenant plus silencieux, il y avait trois êtres étranges qui mesuraient plus de 2 mètres de haut et portaient des uniformes argentés. Ceux-ci, à pas lents, donnant l'impression d'être instables sur leurs pieds, faisaient mouvement pour s'avancer vers la garnison militaire. Le chef de la police, surpris et effrayé, a tenté d'arrêter les membres de l'équipage de l'OVNI, tirant sur eux une rafale de mitraillette, malheureusement sans atteindre la cible. Puis, tandis que les inconnus levaient la main au même instant, montrant une petite boule lumineuse, tous les témoins se sentaient envahis par une sensation d'apathie et de [?], qui les a rendu incapables de se servir de leurs armes.
Finalement, ajoute le journal, les occupants du vaisseau remontèrent jusqu'à lui, et s'éloignèrent à grande vitesse en un trajet en zigzag, et les témoins recouvrèrent alors leurs facultés. Immédiatement, l'escouade de police est retournée à Olavarria, où elle a signalé cet événement inhabituel.
