L'article ci-dessous a été publié dans le journal The Albuquerque Journal, Nouveau Mexique, USA, page 2, le 2 juillet 1947.
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Les salutations "Comment allez-vous?" Et "Como esta usted?" deviennent rapidement obsolètes en faveur de "Avez-vous déjà vu un disque aujourd'hui?"
C'est-à-dire, au moins au Nouveau-Mexique.
A partir des grands espaces autour de White Sands, où les gens sont habitués à des choses telles que les essais de bombes atomiques qui blanchissent leur bétail et les fusées V-2 qui traversent le ciel, arrive un rapport d'encore d'autres gens sur les soucoupes volantes. Mais pas les soucoupes que les épouses jettent avant de retourner chez leur mère.
Hollis O. Cummins de Capitan écrit: "Aujourd'hui (27 juin), ma mère a remarqué un objet brillant filant dans le ciel vers 10 heures du matin... Plus tard dans la journée, un voisin, Erv Dill, a mentionné avoir vu un objet similaire, à la même heure et allant dans la même direction... Il a dit qu'il croyait qu'il avait atterri sur le C sur Wilson Hill ici."
La zone est la même que celle où d'autres auraient été vus. En fait, Engle, Capitan et Silver City sont en ligne droite, bien que les heures de déplacement des disques ne se recoupent pas.
Une autre mère et sa fille se sont rendues expressément à Albuquerque à partir de Hot Springs pour informer le Journal que, le 20 juin, elles ont vu trois groupes de trois disques, neuf au total, passant du sud au nord-est. Les disques, qu'elles ont d'abord pensé être des ballons énormes, "semblaient être attachés ensemble par des cordes invisibles" et "tournaient dans un cercle de roue tout au même rythme d'évolution."
La femme, Mme Annabel Moley, accompagnée de sa fille Luanne, a pensé que les disques pourraient être des globules de gaz ou de métal retournant sur terre juste après avoir été créés par une explosion atomique.
Et, portant le nombre d'observateurs à environ une douzaine dans l'état, il y a une Mlle B. A. Tillery de Gallup, qui dit qu'elle et sa mère, le 25 juin, ont vu ce qu'elles ont d'abord pensé être "une étoile en plein jour."
De plus, Art Roberts, un barbier, a dit à ses clients avoir vu un disque.
En plus de ces observations, au moins un résident d'Albuquerque note que le gouvernement achète de plus en plus de terres dans la zone de l'Etat surveillée par le disques, que certains stocks de compagnies aériennes ont baissé d'un demi-point depuis que le premier disque a été découvert (la concurrence a-t-elle été redoutée?) Et que tous les barbiers essayant de voler les affaires de Mr. Roberts devraient se contenter d'observer le ciel aux heures d'après le rasage.
