Voici le texte intégral du communiqué de presse de la SENASA qui attribue les mutilations d'animaux en Argentine dans les deux trois derniers mois à un petit rongeur s'attaquant à des animauy qui seraient précédemment décédé de causes naturelles. Le document a été traduit de l'Espagnol vers l'Anglais par Alejandro Agostinelli et publié par Scott Corrales de l'Intitute of Hispanic Ufology.
Le Service National de la Santé et de la Qualité de l'Agroalimentaire (SENASA) a fait connaître aujourd'hui son rapport confié à à l'Universidad Nacional del Centro (UNICEN) à Tandil, qui conclut que les études réalisées sur les animaux morts et mutilés ont établi que les décès étaient le résultat de causes normales et que les dommages ont été provoqués par des prédateurs, parmi eux un rongeur du genre Oxymcterus connu sous le nom de "rojizo de hocicudo" (museau rouge) dont la population a récemment augmenté et dont les habitudes alimentaires ont changé.
Le rapport précise que les décès de 20 animaux étudiés, pris parmi des installations bétaillères dans les zones de la région de Buenos Aires de Olavarría, de Tandil, de Tres Arroyos, de Coronel Pringles, de Coronel Dorrego et de Balcarce sont dues "à des causes naturelles et peuvent être attribuées à des maladies métaboliques ou infectieuses qui se produisent fréquemment à cette période de l'année," selon le chancelier de l'UNICEN, le Dr. Nestor Auza.
Auza a participé à une conférence de presse aux sièges sociaux de la SENASA, dirigés par son président, Bernardo Cané, avec Alejandro Soraci, doyen de l'école des sciences vétérinaires de l'UNICEN, Ofelia Tapia, un toxicologue de l'école des sciences vétérinaires de l'UNICEN, et Ernesto Odriozola, un technicien du département de productions animales de l'INTA-Balcarce.
Les conclusions atteintes par ces études écartent la possibilité de rayonnements, aussi bien que de narcotiques, aux endroits où les animaux étudiés ont été trouvés, selon des rapports techniques des écoles des mathématiques et des sciences naturelles et de pharmacie et biochimie de l'université de Buenos Aires (UBA), qui a également participé aux analyses.
Le rapport précise que "on s'est assuré par le biais de l'observation directe, et sous une loupe stéréoscopique, de ce que les lésions sur la peau des animaux et leurs organes ont été produites par des prédateurs" comme des rongeurs et des renards.
L'absence d'éléments spéciaux dans les incisions (cautérisation) a été encore démontrée au moyen de tests histologiques.
Les observations sur le terrain ont confirmé "la présence de rongeurs autour des carcasses, à l'intérieur des carcasses, et au moment ou des tissus animaux ont été ingérés." Certains de ces rongeurs ont été capturés et soumis à des tests en laboratoire, où ils ont montré "en particulier une voracité pour les organes fournis" dans l'expérience.
Les caractéristiques des rongeurs correspondent à une espèce qui est peu développée dans notre environnement, appartenant au genre Oxymcterus, mais qui a proliféré dernièrement, aussi bien que de renards, selon l'information enregistrée dans des études précédentes par le groupe de la faune et de la biologie de l'UNICEN.
Le rapport conclut que "il ne peut y avoir aucun doute qu'une série de facteurs environnementaux, de gestion et de production ont été présent, et qu'ils ont affecté l'écosystème de différentes manières, causant des déséquilibres évidents parmi des espèces, aussi bien que dans leurs habitudes."
Les observations faites par des techniciens ont permis de voir que les animaux étudiés ont présenté, d'une façon générale, des dommages suivaient un modèle commun: association forte entre la présence des lésions et les cavités naturelles telles que bouches, oreilles, glandes mammaires, rectums, vulves et dans des cas exceptionnels - si l'animal avait été mort pendant une plus longue période - l'abdomen.
Afin de fixer de l'information additionnelle, des animaux récemments tués et non mutilés ont été placées à des endroits choisis pour étudier l'action prédatrice, confirmant que les lésions produites étaient exactement identiques à celles trouvées sur le reste des animaux qui ont été étudiées et qui avaient été trouvés morts.
Cané a noté que "au début de l'étude, nous n'avons pas rejeté la possibilité de participation humaine, mais on a montré qu'il n'y en avait eu aucune en raison de l'absence d'éléments narcotiques. On a également prouvé chez les animaux récemment massacrés que les incisions ne sont pas aussi précises mais sont dentelées, et les études nous indiquent que les animaux sont morts de causes naturelles et non en raison d'attaques provoquées," ajoutant en même temps que "toutes les agences publiques sont d'accord avec cette évaluation."
Le fonctionnaire a ajouté que "les cas d'animaux morts et mutilées les plus récents ont été traités avec la plus grande rigueur. C'est la preuve définitive. Ceci est ce qui a été prouvé."
De plus, le Dr. Tapia a noté que "le régime des rongeurs est normalement basé sur des vers et des insectes, mais il y a évidemment eu un changement de cette habitude du au manque d'insectes et de vers. Nous pensons qu'il y a une modification dans les populations normales de la faune des "museaux rouges," mais l'explication quant au raisons qui ont fait changer leurs habitudes diététiques à ces rongeurs, elle font partie d'une étude beaucoup plus vaste."
Les études et les analyses qui ont contribué à la rédaction du rapport final ont été gérées par une équipe interdisciplinaire composée de chercheurs de divers établissements scientifiques et publics spécialisés au niveau national, et ont reçu la coopération de professionnels dans le secteur privé.
Les écoles de médecine vétérinaire et de mathématiques de l'UNICEN, de l'INTA-Balcarce, les écoles de mathématiques et de sciences naturelles et de pharmacie et biochimie de l'université de Buenos Aires ont également participé aux études. Il y avait également un échange d'information avec les écoles des sciences vétérinaires des universités de Río Cuarto, de Cordoba et de Général Pico, La Pampa.
Buenos Aires, le 1er Juillet 2002.
Traduction Espagnol-Anglais © 2002 Institute of Hispanic Ufology.