Le récit ci-dessous a été communiqué par l'ufologue brésilien bien connu A.J. Gevaerd au début de décembre 2006:
Le samedi, 25 novembre, A. J. Gevaerd, rédacteur du magazine brésilien UFO Magazine, a reçu un appel de Bahia avec une histoire intrigante. La personne qui appelait était Francisco Baqueiro, un psychologue et thérapeute, consultant du magazine en matière d'enlèvements par des extraterrestres, qui a indiqué avoir photographié avec son téléphone mobile un objet bolant étrange et parfaitement en forme de disque transporté sur un camion non identifié sur une route dans l'état brésilien de Bahia. La photo a été prise mardi, le 21 novembre, à 07:16 du matin.
Baqueiro a indiqué qu'il a entendu parler de ce transport la veille quand un informateur d'un service se renseignement l'a appelé en disant qu'un objet artificiel inconnu s'est écrasé et a été récupéré dans un secteur de l'état de Bahia connu sous le nom de Recôncavo Baiano, au sud de la capitale [de l'état], Salvador. L'informateur a également dit que l'objet devait être transporté de cet endroit à la ville de Feira de Santana, à presque 110 km de Salvador, par la BR-324, une route à deux voies avec une circulation dense liant Salvador à cette municipalité. Malgré le fait que Baqueiro était sévèrement malade, avec une maladie des reins, il a décidé de vérifier ce qui se passe.
Ce mardi 21, peu après 06:30 du matin, ce consultant et son épouse ont repéré le camion portant l'objet et l'ont suivi. Le véhicule s'est arrêté au Posto Phoenix, une station essence le long de cette route, à 60 km de distance d'Aalvador et proche de l'entrée des municipalités de Maracangalha et de São Félix. Baqueiro a poursuivi le camion pendant 15 minutes et a signalé qu'il était escorté de quatre voitures de la Police Fédérales, deux devant et deux derrière le camion, qui retardaient le trafic routier.
"J'ai essayé d'entrer dans la station-service afin d'améliorer ma vérification de ce qui se passait, mais j'en ai été empêché par les agents fédéraux", déClare le thérapeute. Il dit également que le camion était très lent et l'objet tramsporté dessus était si grand que le véhicule devait circuler au centre de la route. Malgré cela, les parties de ce fuselage qui dépassaient du camion touchaient les arbres sur le côté de la route. "C'était certainement très lourd, pour rendre un camion si lent".
En dépit de l'étrangeté de cette scène, l'objet était découvert et totalement exposé. "Même avec tant de voitures venant sur la voie opposée (allant à Salvador) et d'autres derrière le camion, très peu de gens ont semblé s'inquiéter de cette scène", a indiqué Baqueiro. Après que la police fédérale l'ait empêché d'entrer, il s'est arrêté pendant quelques moments près du Posto Phoenix et, feignant de parler au téléphone, il a pris un cliché unique de l'objet. "Je n'ai pas essayé d'en prendre d'autres autres parce que je n'ai pas voulu attirer leur attention".
Baqueiro a envoyé l'image à UFO Magazine par l'intermédiaire du téléphone mobile, où elle a été télécharge sur ordinateur et agrandie. Le rédacteur Gevaerd et les corédacteurs Marco Petit, Rafaël Cury et Claudeir Covo, avec les consultants Fernando Ramalho, Wallace Albino et Wendell Stein ont fait un premier examen de la photo. Tous ont été étonnés par l'image. Un des co-rédacteurs du magazine et un de ses conseillers étaient sceptiques et ont rapproché cette image d'une semblable trouvée sur l'Internet quelques mois avant. Mais une comparaison soigneuse a prouvé que l'objet photographié à Bahia est une chose totalement différente (ci-dessous). Quant à l'image précédente, rien n'en est sorti et il n'y a aucune information au sujet de la vérification de son authenticité.
Francisco Baqueiro, un conseiller pour le magazine brésilien UFO Magazine depuis trois ans, est spécialisé dans les enlèvements par des extraterrestres et continue sa recherche de plus d'information sur le fait. Suivant le conseil de son rédacteur, il est revenu à cette station-service deux fois de plus, mais les employés ont semblé avoir peur de parler de l'affaire. Maintenant, Baqueiro essaye de découvrir exactement où l'accident allégué pourrait s'être produit et où l'objet a été emmené. "Tout ce que je sais est que l'accident était dans une plantation de canne à sucre, mais que l'objet était presque intact."
La région est le siège de raffineries de pétrole, mais Baqueiro nie la possibilité de confondre un couvercle pour des réservoirs d'eau ou de carburant avec un OVNI possible. Après avoir travaillé pour Petrobras, la compagnie pétrolière principale au Brésil, il est sûr de trèS bien reconnaître de telles pièces et qu'elles n'atteignent jamais la taille de l'objet vu sur le camion. Il rejette également la possibilité que l'objet soit une attraction d'un parc à thème, puisqu'il est également au courant d'une grande partie de la technologie d'un des plus grands parcs de Bahia.
Dès que la polémique a atteint l'Internet, plusieurs ufologues ont proposé que l'objet en forme de disque pourrait être un couvercle pour quelque réservoir de liquide qui ne pourrait pas être transporté en entier, et a dû être transporté en plusieurs pièces. Cela, selon certains enquêteurs, expliquerait pourquoi l'objet était transporté en plein jour sans camouflage ni même la moindre couverture. L'ingénieur nucléaire Luiz Carlos C. Pires a envoyé un e-mail identifiant franchement l'objet en forme de disque comme un couvercle pour une machine à distiller, mais la discussion est encore ouverte. Et l'information est donnée à nos collègues d'outre-mer en vue d'obtenir davantage d'informations qui pourraient expliquer le cas.
L'histoire était accompagnée de l'image suivante; laquelle peut montrer n'importe quoi, d'une pièce industrielle quelconque à une soucoupe volante extraterrestre:
L'histoire a été bientôt publiée sur un certain nombre de site sur l'Internet, des images différentes montrant un objet avec une forme différente que celle ci-dessus ont été souvent jointes:
Il doit être noté qu'A.J. Gevaerd a indiqué que la première de ces trois images est la bonne et les deux autres sont des images jamais vérifiées.