L'incident a deux principales sources, offrant de l'information qui n'est pas en contradictoire, mais qui n'est pas non plus la même information.
La première a été communiquée par l'enquêteur, le Dr. Walter Buhler du groupe d'ufologie S.B.D.E.V. Buhler n'a pas fourni son rapport d'enquête mais un article de Vakdir Pacheco dans le journal Ultima Hora de Sao Paulo paru le 2 mars 1979, qu'il a dit être totalement basé sur son enquête préliminaire.
Il indique qu'il a interviewé le témoin, mais que son enquête n'est pas terminée. L'article de journal disait:
"L'histoire au sujet de l'OVNI qui a atterri le 6 décembre 1978, à l'intérieur de la zone de sécurité de la centrale hydro-électrique de Marimbonda près de la ville de Fronteira, (1) sur la frontière entre les plateaux du Minas Gerais et Sao Paulo, a déjà été pratiquement oubliée par tout le monde excepté, c.-à-d., pour Dr. Walter Karl Buhler, un médecin et Directeur de la Société Brésilienne pour l'Etude des Soucoupes Volantes.
"L'événement a reçu quelques mentions, au moment où il s'est produit, dans des journaux à Rio et à Sao Paulo, mais après le passage de quelques jours personne ne lui a plus prêté la moindre attention et on l'a oublié. Cependant, pour le Dr. Buhler, qui pendant trente-cinq ans avait étudié ces apparitions d'OVNIS et les contacts des humains avec les êtres extraterrestres, il y avait toute une série de points remarquables d'accord entre l'histoire telle que racontée par le gardien, Jésus Antunes Moreira, et plusieurs autres de ses archives volumineuses.
"Le Dr. Buhler a en conséquence pris la route pour Fronteira, avec l'intention d'interviewer Moreira. Mais il est d'abord tombé sur toute une série d'obstacles, provenant principalement des amis et des connaissances de Moreira, qui ont simplement refusé de discuter l'affaire ou de fournir n'importe quelle information concernant la localisation témoin.
"Les seules information que le Dr. Buhler a pu établir étaient que Moreira - décrit comme un employé fiable, assidu et consciencieux - avait donné sa démission à l'Installation de Production d'Electricité et avait déménagé à Barretos. Mais le médecin, le Dr. Sergio Bandeira, qui s'était occupé de Moreira au poste de premiers secours de l'usine, s'est rappelé qu'après sa rencontre avec l'équipage d'un OVNI, le garde avait souffrait de puissantes attaques de nausée, et était dans un état de forte stupéfaction. Durant plus d'une heure après il ne pouvait supporter la moindre sorte de lumière, et son rétablissement a été très lent et graduel.”
"Encouragé par les compte-rendus favorables qu'il avait reçu au sujet du caractère et de la nature de Moreira, un homme décrit comme modéré dans ses habitudes et dont la parole pouvait être crue, le Dr. Buhler a continué sa recherche, et il est finalement parvenu à retrouver l'ancien gardien à sa nouvelle résidence au numéro 0855, Trente-cinquième avenue, à Barretos.
"Moreira travaillait maintenant comme conducteur pour un grand magasin de Barretos, et était complètement intégré dans son nouveau travail. Cependant, il n'a montré aucune objection à discuter le contact qu'il avait eu avec les êtres d'une soucoupe volante à la centrale hydro-électrique de Marimbonda la nuit du 6 décembre 1978.
L'article continue par le récit du gardien:
"Oui, c'était vrai. J'ai vraiment vu une soucoupe volante et j'ai parlé avec son équipage", a-t-il dit.
"C'était un peu après 20:30, peut-être autour de 20:45, et j'étais en haut dans la maison de surveillance, juste sur le sommet du barrage, parce qu'il pleuvait à ce moment, et j'étais impatient de me mettre au sec. Soudain j'ai remarqué que quelque chose éclairait la surface de l'eau dans le barrage. Ma curiosité éveillée, je suis sorti du poste de garde et suis allé voir ce que cela pourrait être, et je me suis retrouvé en train de regarder un objet qui était légèrement au-dessus du niveau de l'horizon, à environ 200 mètres de moi, et traversant le Rio Grande. (2)
"Il venait dans ma direction, et quand il est arrivé plus près, j'ai pu voir que c'était un vaisseau spatial d'environ cinq mètres de large et trois mètres de haut, de couleur blanche, et qui émettait une certaine quantité de luminosité. Il semblait être sur le point de se poser sur le barrage, peut-être juste vers la centrale électrique.
"Pour commencer j'ai pensé que ce n'était certainement pas un avion. J'ai pensé que ce devait être quelque nouvelle sorte d'hélicoptère, parce que je sais que les directeurs de l'usine utilisent fréquemment des hélicoptères pour effectuer leurs inspections du barrage. Mais ensuite j'ai vu que ce n'était pas du tout un hélicoptère non plus, car il ne faisait pas le plus moindre bruit en volant.
"Devenant de plus en plus curieux, j'ai commencé à marcher le long du sommet en béton du barrage, mais l'engin est allé au-delà d'où j'étais et ensuite s'est déplacé vers la partie de terre du barrage, il était à au sujet 1.5 mètres de pied du barrage.
"Je pouvais maintenant voir que sa couleur n'était pas blanche, mais un gris clair. Il avait une porte d'environ deux mètres de haut, avec une petite fenêtre dans sa partie supérieure, et il avait une sorte de plate-forme qui courait autour de lui.
"A ce moment il était seulement à environ sept mètres de moi. Puis la petite fenêtre s'est ouverte, et dans elle est apparu un visage à bien des égards très semblable à un visage humain. Puis la porte principale s'est ouverte, et d'elle sont venus trois êtres habillés de combinaisons bleues avec un éclat métallique. Ils étaient tous très grands peut-être deux mètres et avec de cheveux vraiment longs, noirs, lisses.
"D'une façon totalement normale, ils m'ont parlé, dans une certaine langue inconnue. J'ai répondu, dans ma confusion, que j'allais chercher quelqu'un qui pourrait parler leur langue. Vous voyez, je pensais toujours que peut-être, qui sait? ils pourraient être quelques ingénieurs étrangers. Quand j'ai dit j'irais à un des téléphones qui sont accrochés le long du dessus large de 300 mètres du barrage, l'un d'eux a fait des gestes vers pour que je recule.
"A ce stade, j'ai commencé à devenir effrayé, et j'ai tenté de prendre mon revolver, que je portais au-dessus de mon imperméable, avec l'idée de tirer un coup de feu de semonce si nécessaire. Et en effet j'ai essayé de tirer, mais le revolver a bloqué, et le coup n'est pas parti. (3)
"A ce point, l'un d'eux est rentré à l'intérieur de la machine et est sorti avec une boîte noire, à peu près de la taille d'une boîte à chaussures, et l'a remise à un des autres, qui était celui qui avait les cheveux les plus longs. J'ai remarqué que tous portaient des gants de couleur rose, qui étaient lumineux, comme leurs combinaisons bleues.
"Dès lors, je pouvais parfaitement comprendre (4) ce qu'ils me disaient, en portugais. Ils m'ont demandé si j'étais effrayé, et m'ont dit de garder le calme, parce qu'ils ont dit qu'ils n'avaient aucune intention de me faire le moindre mal. Quand je leur ai demandé de ce qu'ils voulaient, et d'où ils venaient, ils ont dit qu'ils étaient en mission de Recherche et d'Etude, et que, si je restais calme, je saurais bientôt tout à ce sujet.
"Ma rencontre avec eux a été interrompue quand l'un d'eux, en utilisant une corde avec un excavateur au bout, a commencé à extraire quelques pierres à partir de l'endroit, (5) sur quoi j'ai protesté. Cela a suffi pour qu'ils rangent la boîte et, sans le plus léger signe de mécontentement ou de déplaisir, réintègrent leur engin.
L'article dit qu' après que le gardien avait été vu par le Dr. Sergio Bandeira à la centrale hydro-électrique, l'ingénieur en chef, Silvio Pirolli, l'a envoyé à la ville de Sao Jose do Rio Preto, où il a été examiné par une équipe médicale. Il a passé tous les tests avec succès y compris des électro-encéphalogrammes et aucune anomalie n'a été trouvée dans lui.
La deuxième source intéressante, signant "CIPEX", un groupe d'ufologie brésilien, s'est trouvée sur le web, et il n'est pas précisé qui en est l'auteur et de quand date la rédaction. Outre les données générales, il y est dit:
"Vers les 20h40 quelque chose a attiré l'attention du garde. Il a regardé vers le nord et a observé un objet lumineux à 200 mètres de lui, et à un 30 degrés au-dessus de l'horizon."
"L'appareil lumineux s'approchait du garde en même temps qu'il diminuait sa luminosité. Quand l'objet a été à 50 mètres Jesus a réussi à mieux définir sa forme: un cône arrondi d'approximativement 3 mètres de diamètre. L'OVNI a alors changé de direction en se déplaçant parallèlement à la crête du barrage sur une longueur de 300 ou 400 mètres à la droite de la guérite, ce qui a duré près de 2 à 3 minutes."
"Il n'y avait pas du tout de bruit perceptible, néanmoins Jesus a pensé qu'il s'agissait d'un hélicoptère de la société Furnas avec des ingénieurs ou des directeurs qui devaient vérifier quelque chose dans le barrage. L'objet néanmoins s'est approché tellement près du garde qu'il s'est arrêté à approximativement 7 mètres de lui."
"A la partie supérieure du cône il y avait une espèce de porte. Au sommet de cette porte il y avait un hublot qu'il s'est ouvert. Jesus a pu voir une silhouette humaine regarder directement vers le témoin. Le hublot s'est fermé et le vaisseau s'est approché encore davantage du garde. Bientôt la plus grande porte s'est ouverte et trois personnes en sont sorties et se sont placées sur la plate-forme qui entourait le cône."
"Des trois êtres, l'un était une femme parce qu'elle présentait des seins et avait des cheveux longs. Les deux autres semblaient être des jumeaux. Tous avaient des cheveux noirs, une peau jambon fumé, des sourcils minces. Ils portaient des blouses serrées, d'une couleur bleue métallique. Ils avaient des gants de couleur rose."
"Les êtres communiquaient entre eux dans une langue étrange et ils se sont dirigés vers Jesus. Celui-ci a décidé d'appeler quelqu'un qui puisse communiquer correctement avec les inconnus et il a simplement parlé normalement pour leur dire qu'il allait téléphoner pour demander quelqu'un d'instruit pour qu'il puisse parler avec eux. Un des êtres a gesticulé en demandant qu'il ne téléphone pas et revienne jusqu'où ils étaient. Il y est retourné, mais il s'est senti effrayé. En fonction de cela il a décidé de tirer un coup de feu d'avertissement vers le sol. Quand il a tiré la gâchette rien ne s'est produit, comme si l'arme n'avait pas été chargée."
"Un membre de l'équipage portait un objet rectangulaire de la dimension d'une boîte à chaussures. Il a élevé à boîte jusqu'à la hauteur de l'épaule gauche. Tout de suite un des membres de l'équipage a parlé de nouveau et a été parfaitement compris en Portugais par Jesus. Dans le cours dialogue qui s'est ensuivi ils ont dit à Jésus qu'il ne devrait pas avoir peur parce qu'ils étaient seulement en train de faire des recherches et qu'à l'avenir Jesus pourrait participer à ces recherches s'il le voulait. Peu après les membres de l'équipage sont retournés à l'objet qui a ensuite décollé."
"Peu après Jesus s'est senti mal à l'aise, avec des nausées et a senti ses yeux brûler. Immédiatement il est allé chez ses supérieurs pour les informer de la présence. Plus tard il a été soigné par le docteur Sérgio Tadeu F. Bandeira qui a confirmé que le témoin avait une hypersensibilité visuelle."
Cette source ne fait aucune mention des pierres qu'un des occupants de l'OVNI a prétendument voulu prendre; mais elle comporte une photographie du témoin, et des croquis de la rencontre - disponible plus bas dans ce dossier.
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[Ref. wb1:] WALTER BUHLER:
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CONVERSATION AVEC DES ENTITES A MARIMBONDADr. Walter Buhler Traduction du Portugais [vers la version anglaise] par Gordon Creighton JE DONNE ci-dessous un compte-rendu préliminaire d'un autre cas intéressant dans lequel un OVNI semble avoir pris un vif intérêt pour une usine hydro-électrique brésilienne. A ma connaissance c'est le quatrième, mais naturellement nous n'avons aucune manière de connaître combien d'autres cas semblables et non rapportés il a pu y avoir eu. J'ai interviewé le témoin, mais mes enquêtes dans l'affaire ne sont pas terminées et aucun compte-rendu final n'a été encore préparé pour la publication dans le bulletin de notre société. En attendant j'envoie le texte d'un rapport sur le cas qui a été imprimé dans le journal Ultima Hora de Sao Paulo le 2 mars 1979, sous la signature de Vakdir Pacheco, qui a été basé entièrement sur mon enquête. "L'histoire au sujet de l'OVNI qui a atterri le 6 décembre 1978, à l'intérieur de la zone de sécurité de la centrale hydro-électrique de Marimbonda près de la ville de Fronteira, (1) sur la frontière entre les plateaux du Minas Gerais et Sao Paulo, a déjà été pratiquement oubliée par tout le monde excepté, c.-à-d., pour Dr. Walter Karl Buhler, un médecin et Directeur de la Société Brésilienne pour l'Etude des Soucoupes Volantes. "L'événement a reçu quelques mentions, au moment où il s'est produit, dans des journaux à Rio et à Sao Paulo, mais après le passage de quelques jours personne ne lui a plus prêté la moindre attention et on l'a oublié. Cependant, pour le Dr. Buhler, qui pendant trente-cinq ans avait étudié ces apparitions d'OVNIS et les contacts des humains avec les êtres extraterrestres, il y avait toute une série de points remarquables d'accord entre l'histoire telle que racontée par le gardien, Jésus Antunes Moreira, et plusieurs autres de ses archives volumineuses. "Le Dr. Buhler a en conséquence pris la route pour Fronteira, avec l'intention d'interviewer Moreira. Mais il est d'abord tombé sur toute une série d'obstacles, provenant principalement des amis et des connaissances de Moreira, qui ont simplement refusé de discuter l'affaire ou de fournir n'importe quelle information concernant la localisation témoin. "Les seules information que le Dr. Buhler a pu établir étaient que Moreira - décrit comme un employé fiable, assidu et consciencieux - avait donné sa démission à l'Installation de Production d'Electricité et avait déménagé à Barretos. Mais le médecin, le Dr. Sergio Bandeira, qui s'était occupé de Moreira au poste de premiers secours de l'usine, s'est rappelé qu'après sa rencontre avec l'équipage d'un OVNI, le garde avait souffrait de puissantes attaques de nausée, et était dans un état de forte stupéfaction. Durant plus d'une heure après il ne pouvait supporter la moindre sorte de lumière, et son rétablissement a été très lent et graduel.” "Encouragé par les compte-rendus favorables qu'il avait reçu au sujet du caractère et de la nature de Moreira, un homme décrit comme modéré dans ses habitudes et dont la parole pouvait être crue, le Dr. Buhler a continué sa recherche, et il est finalement parvenu à retrouver l'ancien gardien à sa nouvelle résidence au numéro 0855, Trente-cinquième avenue, à Barretos. "Moreira travaillait maintenant comme conducteur pour un grand magasin de Barretos, et était complètement intégré dans son nouveau travail. Cependant, il n'a montré aucune objection à discuter le contact qu'il avait eu avec les êtres d'une soucoupe volante à la centrale hydro-électrique de Marimbonda la nuit du 6 décembre 1978. Le Récit Du Gardien"Oui, c'était vrai. J'ai vraiment vu une soucoupe volante et j'ai parlé avec son équipage", a-t-il dit. |
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"C'était un peu après 20:30, peut-être autour de 20:45, et j'étais en haut dans la maison de surveillance, juste sur le sommet du barrage, parce qu'il pleuvait à ce moment, et j'étais impatient de me mettre au sec. Soudain j'ai remarqué que quelque chose éclairait la surface de l'eau dans le barrage. Ma curiosité éveillée, je suis sorti du poste de garde et suis allé voir ce que cela pourrait être, et je me suis retrouvé en train de regarder un objet qui était légèrement au-dessus du niveau de l'horizon, à environ 200 mètres de moi, et traversant le Rio Grande. (2) "Il venait dans ma direction, et quand il est arrivé plus près, j'ai pu voir que c'était un vaisseau spatial d'environ cinq mètres de large et trois mètres de haut, de couleur blanche, et qui émettait une certaine quantité de luminosité. Il semblait être sur le point de se poser sur le barrage, peut-être juste vers la centrale électrique. "Pour commencer j'ai pensé que ce n'était certainement pas un avion. J'ai pensé que ce devait être quelque nouvelle sorte d'hélicoptère, parce que je sais que les directeurs de l'usine utilisent fréquemment des hélicoptères pour effectuer leurs inspections du barrage. Mais ensuite j'ai vu que ce n'était pas du tout un hélicoptère non plus, car il ne faisait pas le plus moindre bruit en volant. "Devenant de plus en plus curieux, j'ai commencé à marcher le long du sommet en béton du barrage, mais l'engin est allé au-delà d'où j'étais et ensuite s'est déplacé vers la partie de terre du barrage, il était à au sujet 1.5 mètres de pied du barrage. "Je pouvais maintenant voir que sa couleur n'était pas blanche, mais un gris clair. Il avait une porte d'environ deux mètres de haut, avec une petite fenêtre dans sa partie supérieure, et il avait une sorte de plate-forme qui courait autour de lui. "A ce moment il était seulement à environ sept mètres de moi. Puis la petite fenêtre s'est ouverte, et dans elle est apparu un visage à bien des égards très semblable à un visage humain. Puis la porte principale s'est ouverte, et d'elle sont venus trois êtres habillés de combinaisons bleues avec un éclat métallique. Ils étaient tous très grands peut-être deux mètres et avec de cheveux vraiment longs, noirs, lisses. "D'une façon totalement normale, ils m'ont parlé, dans une certaine langue inconnue. J'ai répondu, dans ma confusion, que j'allais chercher quelqu'un qui pourrait parler leur langue. Vous voyez, je pensais toujours que peut-être, qui sait? ils pourraient être quelques ingénieurs étrangers. Quand j'ai dit j'irais à un des téléphones qui sont accrochés le long du dessus large de 300 mètres du barrage, l'un d'eux a fait des gestes vers pour que je recule. "A ce stade, j'ai commencé à devenir effrayé, et j'ai tenté de prendre mon revolver, que je portais au-dessus de mon imperméable, avec l'idée de tirer un coup de feu de semonce si nécessaire. Et en effet j'ai essayé de tirer, mais le revolver a bloqué, et le coup n'est pas parti. (3) "A ce point, l'un d'eux est rentré à l'intérieur de la machine et est sorti avec une boîte noire, à peu près de la taille d'une boîte à chaussures, et l'a remise à un des autres, qui était celui qui avait les cheveux les plus longs. J'ai remarqué que tous portaient des gants de couleur rose, qui étaient lumineux, comme leurs combinaisons bleues. "Dès lors, je pouvais parfaitement comprendre (4) ce qu'ils me disaient, en portugais. Ils m'ont demandé si j'étais effrayé, et m'ont dit de garder le calme, parce qu'ils ont dit qu'ils n'avaient aucune intention de me faire le moindre mal. Quand je leur ai demandé de ce qu'ils voulaient, et d'où ils venaient, ils ont dit qu'ils étaient en mission de Recherche et d'Etude, et que, si je restais calme, je saurais bientôt tout à ce sujet. "Ma rencontre avec eux a été interrompue quand l'un d'eux, en utilisant une corde avec un excavateur au bout, a commencé à extraire quelques pierres à partir de l'endroit, (5) sur quoi j'ai protesté. Cela a suffi pour qu'ils rangent la boîte et, sans le plus léger signe de mécontentement ou de déplaisir, réintègrent leur engin. "Après que le gardien avait été vu par le Dr. Sergio Bandeira à la centrale hydro-électrique, l'ingénieur en chef, Silvio Pirolli, l'a envoyé à la ville de Sao Jose do Rio Preto, où il a été examiné par une équipe médicale. Il a passé tous les tests avec succès y compris des électro-encéphalogrammes et aucune anomalie n'a été trouvée dans lui." Notes du traducteur1. Fronteira se trouve à la Lat. 20° 00 S, Long. 49° 15 O, sur le Rio Grande, à environ 650 kilomètres au N.O. de Rio de Janeiro. Il n'y a probablement aucune région du Brésil où plus de noms sur la carte sont liés à l'un ou l'autre cas d'OVNI. Non loin, de l'autre côté du Rio Grande, se trouve Sao Francisco de Sales, scène de la célèbre rencontre d' "AVB" [Antonio Villas-Boas] avec une dame d'une autre espèce. Lins, Bebedouro, Botucatu, Bauru, Tres Lagoas Catanduva, sont tous dans le même secteur - tous des endroits où des cas fantastiques se sont produits - des cas qui ont été rapportés en grands détails dans FSR au cours des récentes années. 2. Il y a une grande cataracte sur le Rio Grande, appelé le Cachocira do Marimbonda, et l'usine hydro-électrique est à proximité. 3. Dans la littérature ufologique il y a un certain nombre de cas dans lesquels, prétendument, un témoin a essayé d'ouvrir le feu sur un OVNI ou sur une entité d'OVNI, et son arme s'est bloquée. Voir, par exemple, le cas Numéro 20 dans "Les Humanoïdes en Amérique latine" (section IV de Humanoïdes, publications Futura, Londres, édition brochée. 4. Et ce n'est pas non plus la première allusion, dans la littérature OVNIS, à une "boîte noire" ou une certaine sorte de dispositif de cette sorte. Par exemple, dans le premier de ses compte-rendus de rencontres avec les grands êtres d'un OVNI qu'il a dit avoir atterri dans un cratère mineur éteint du Mont Etna en Sicile la nuit du 30 avril 1962, l'italien Eugenio Siragusa [contacté, a inventé ses histoires] a affirmé qu'ils se sont adressés à lui en italien, mais que ce n'était pas au moyen d'organes vocaux normaux (il a eu l'impression qu'ils n'en avaient pas et étaient purement télépathiques les uns avec les autres, mais au moyen d'une voix artificielle "de timbre métallique", comme un magnétophone dans son effet. 5. Le texte de l'article de presse brésilien est malheureusement très vague à cet endroit. "Um deles... comçou a retirar algunas pedras do lugar..." ("l'un d'eux... a commencé à enlever quelques pierres de l'endroit.") De quel endroit il s'agit n'est pas du tout clair, mais, comme le gardien et les entités étaient en haut sur la promenade de béton le long du dessus du barrage, j'ai supposé que cela signifie qu'un des ufonautes employait une certaine sorte de dispositif, au bout d'une corde, pour attraper des pierres lâches de vers le bas au-dessous, au pied de la partie de terre de l'avant du barrage. Ceci semble assez inoffensif, mais alors pourquoi le gardien aurait-il objecté? Donc, peut-être que ce que le texte veut dire est qu'une entité donnait des coups et essayait d'extraire des pierres à l'avant du mur de barrage. Si oui, alors cela ne semble pas vraiment être un acte très amical envers le peuple brésilien, et il n'est pas étonnant pas que le gardien leur aurait adressé des remontrances! |
[Ref. aj1:] AHMAD JAMALUDIN:
L'ufologue indique qu'en décembre 1978, à Fronteira, Brésil: "... l'un d'eux est allé à l'intérieur de la machine et est ressorti avec une boîte noire... depuis lors j'étais capable de comprendre parfaitement ce qu'ils me disaient."
Ahmad Jamaludin indique le cas comme exemple d'entités utilisant des instruments pour permettre de converser avec des auditeurs qui ne possèdent probablement pas de pouvoirs télépathiques conscients, ayant la connaissance des langues de la terre mais incapable de les parler.
Il indique que la source est Buhler, W: "Conversation with Entities at Marimbonda," dans FSR 25, 3. pp. 18-19.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Marimbonda, près de Fronteira, Brésil, le 6 décembre 1978, à 20:30, un garde de sécurité à l'usine hydro-électrique locale était à son corps de garde sur le barrage quand il a remarqué quelques lumières briller vers le bas sur la surface de l'eau, il est sorti pour aller voir et a remarqué un objet circulaire lumineux l'approcher de l'autre côté du fleuve. L'objet a approché le témoin et a commencé à planer près du sol de la centrale électrique. Le témoin a pu voir une porte et une petite fenêtre sur l'objet. La petite fenêtre s'est ouverte et un visage très humain a regardé dehors vers le témoin. La porte de l'engin s'est ouverte et trois hommes très grands sont sortis. Ces hommes avaient des combinaisons bleues métalliques brillantes et tous avaient de très longs cheveux noirs lisses. Les êtres ont approché le témoin et lui ont parlé dans une langue inconnue. Le témoin a paniqué et a essayé de tirer un coup de feu de semonce en l'air avec son revolver mais il a été bloqué. Un des hommes est alors allé à l'intérieur de l'objet et est revenu dehors tenant une boîte noire et l'a remise à un des autres. Ensuite le témoin pouvait comprendre les êtres et il lui a été dit qu'ils étaient ici sur une "mission de recherche et d'étude." A un moment un des hommes a commencé à rassembler des pierres du sol et le témoin a protesté. Les hommes ont alors éloigné la boîte et ont calmement marché de nouveau dans leur engin, qui est parti silencieusement et à haute vitesse.
Albert Rosales indique que la source est "Dr. Walter Buhler, FSR 25 Vol. N.3.
[Ref. af1:] ANTONIO FALEIRO:
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30-Fronteiras-Marimbondo-MG-06-décembre-1979- Machine à traduire Jesus Antunes Moreira, garde de sécurité à l'usine hydro-électrique locale était à son corps de garde sur le barrage quand il a remarqué quelques lumières briller vers le bas sur la surface de l'eau, il est sorti pour aller voir et a remarqué un objet circulaire lumineux l'approcher de l'autre côté du fleuve. L'objet a approché le témoin et a commencé à planer près du sol de la centrale électrique. Le témoin a pu voir une porte et une petite fenêtre sur l'objet. La petite fenêtre s'est ouverte et un visage très humain a regardé dehors vers le témoin. La porte de l'engin s'est ouverte et trois hommes très grands sont sortis. Ces hommes avaient des combinaisons bleues métalliques brillantes et tous avaient de très longs cheveux noirs lisses. Les êtres ont approché le témoin et lui ont parlé dans une langue inconnue. Le témoin a paniqué et a essayé de tirer un coup de feu de semonce en l'air avec son revolver mais il a été bloqué. Un des hommes est alors allé à l'intérieur de l'objet et est revenu dehors tenant une boîte noire et l'a remise à un des autres. Ensuite le témoin pouvait comprendre les êtres et il lui a été dit qu'ils étaient ici sur une "mission de recherche et d'étude." A un moment un des hommes a commencé à rassembler des pierres du sol et le témoin a protesté. Les hommes ont alors éloigné la boîte et ont calmement marché de nouveau dans leur engin, qui est parti silencieusement et à haute vitesse. (Dr. Décio Estrêla Maia / Walter C.Buhler) |
[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:
Rencontres avec des Extraterrestres ce Jour-Là6 décembre 1978 - Un garde de sécurité à l'usine hydro-électrique locale dans Marimbonda près de Fronteira, Brésil était à son poste de garde sur le barrage à 22:30 quand il a remarqué quelques lumières briller vers le bas sur la surface de l'eau. Il est sorti pour enquêter et a noté un objet circulaire lumineux approchant à travers le fleuve. L'objet est venu plus près et a commencé à planer près du sol près de la centrale électrique. Le garde a pu voir une porte et une petite fenêtre sur l'OVNI. La fenêtre s'est ouverte et un visage humain a regardé dehors le témoin. La porte de l'engin s'est alors ouverte et trois grands hommes sont sortis. Ces hommes portaient des combinaisons bleues métalliques brillantes et tous avaient les cheveux noirs très longs et lisses. Les êtres ont approché le garde et lui ont parlé dans une langue inintelligible. Il a paniqué et a essayé d'ouvrir le feu en l'air avec son revolver comme avertissement, mais il s'est bloqué. Un des hommes est alors allé à l'intérieur de l'OVNI et est revenu dehors en tenant une boîte noire et l'a remise à un des autres. Ensuite le témoin pouvait comprendre les êtres et il lui a été dit qu'ils étaient ici sur une "mission de recherche et d'étude." A un moment un des hommes a commencé à ramasser des pierres à partir de la terre et le témoin a protesté. Les hommes ont alors rangé la boîte et ont calmement marché de nouveau dans leur engin, qui est parti silencieusement et à grande vitesse. (Source: Dr. Walter Buhler, FSR, Vol. 25 N 3). |
[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 6 décembre 1978 à 20:40 à Marimbondo [sic], au Brésil, "Disque de 5 m de diamètre plane près barrage. Trois grands homme, 2m de taille sortent et prennent échantillons de pierres. Garde paralysé. On a observé un objet. Des effets physiologiques ont été notés. Un disque, d'environ 20 pieds de large, a été observé par un témoin à une montagne pendant dix minutes (Moreira). Trois grands êtres ont été vus."
Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Lumieres dans la Nuit, Lumieres dans la Nuit; Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002; Smith, Willy, UNICAT computer database.
[Ref. ci1:] "CIPEX":
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Equipe CIPEX ( contato@fenomenum.com.br ) Un des plus intéressants cas de contact rapproché qui s'est produit au Brésil a impliqué un garde de l'Usine Hydro-électrique de Marimbonda, à Sao José do Rio Preto (SP), le 6 décembre 1972 [sic, 1978]. Données Générales Lieu Usine de Marimbonda, Sao Jose do Rio Preto, São Paulo Date et Heure commencement de la nuit du 6 décembre 1978 Nombre de témoins 1 Type Contact avec des membres de l'équipage d'un OVNI
Introduction Le Barrage Hydro-électrique de Marimbonda se trouve à 50 kilomètres de Barretos et à 50 kilomètres de Sao José do Rio Preto, à la frontière nord de l'Etat de Sao Paulo. C'est en ce lieu que s'est produit un contact rapproché entre Jésus Antunes Moreira et les membres de l'équipage d'un disque volant. Le protagoniste avait dîné dans le campement de Furnas pour revenir à 17 heures le 6 décembre 1978. Aux alentours de 18 heures il a pris son arme, un revolver Taurus, calibre 38, et a relevé le garde Cristiano Marin d'Araújo pour la surveillance du barrage. Ce dernier a dit qu'il pleuvait et Jesus s'est couvert avec une couche de matière plastique et en restant dans la guérite sur la crête de béton armé du barrage. Ce point permettait une vision suffisante du secteur du barrage des deux côtés du barrage. Observations Vers les 20h40 quelque chose a attiré l'attention du garde. Il a regardé vers le nord et a observé un objet lumineux à 200 mètres de lui, et à un 30 degrés au-dessus de l'horizon. L'appareil lumineux s'approchait du garde en même temps qu'il diminuait sa luminosité. Quand l'objet a été à 50 mètres Jesus a réussi à mieux définir sa forme: un cône arrondi d'approximativement 3 mètres de diamètre. L'OVNI a alors changé de direction en se déplaçant parallèlement à la crête du barrage sur une longueur de 300 ou 400 mètres à la droite de la guérite, ce qui a duré près de 2 à 3 minutes. Il n'y avait pas du tout de bruit perceptible, néanmoins Jesus a pensé qu'il s'agissait d'un hélicoptère de la société Furnas avec des ingénieurs ou des directeurs qui devaient vérifier quelque chose dans le barrage. L'objet néanmoins s'est approché tellement près du garde qu'il s'est arrêté à approximativement 7 mètres de lui. A la partie supérieure du cône il y avait une espèce de porte. Au sommet de cette porte il y avait un hublot qu'il s'est ouvert. Jesus a pu voir une silhouette humaine regarder directement vers le témoin. Le hublot s'est fermé et le vaisseau s'est approché encore davantage du garde. Bientôt la plus grande porte s'est ouverte et trois personnes en sont sorties et se sont placées sur la plate-forme qui entourait le cône. Des trois êtres, l'un était une femme parce qu'elle présentait des seins et avait des cheveux longs. Les deux autres semblaient être des jumeaux. Tous avaient des cheveux noirs, une peau jambon fumé, des sourcils minces. Ils portaient des blouses serrées, d'une couleur bleue métallique. Ils avaient des gants de couleur rose. Les êtres communiquaient entre eux dans une langue étrange et ils se sont dirigés vers Jesus. Celui-ci a décidé d'appeler quelqu'un qui puisse communiquer correctement avec les inconnus et il a simplement parlé normalement pour leur dire qu'il allait téléphoner pour demander quelqu'un d'instruit pour qu'il puisse parler avec eux. Un des êtres a gesticulé en demandant qu'il ne téléphone pas et revienne jusqu'où ils étaient. Il y est retourné, mais il s'est senti effrayé. En fonction de cela il a décidé de tirer un coup de feu d'avertissement vers le sol. Quand il a tiré la gâchette rien ne s'est produit, comme si l'arme n'avait pas été chargée. Un membre de l'équipage portait un objet rectangulaire de la dimension d'une boîte à chaussures. Il a élevé à boîte jusqu'à la hauteur de l'épaule gauche. Tout de suite un des membres de l'équipage a parlé de nouveau et a été parfaitement compris en Portugais par Jesus. Dans le cours dialogue qui s'est ensuivi ils ont dit à Jésus qu'il ne devrait pas avoir peur parce qu'ils étaient seulement en train de faire des recherches et qu'à l'avenir Jesus pourrait participer à ces recherches s'il le voulait. Peu après les membres de l'équipage sont retournés à l'objet qui a ensuite décollé. Peu après Jesus s'est senti mal à l'aise, avec des nausées et a senti ses yeux brûler. Immédiatement il est allé chez ses supérieurs pour les informer de la présence. Plus tard il a été soigné par le docteur Sérgio Tadeu F. Bandeira qui a confirmé que le témoin avait une hypersensibilité visuelle.
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Marimbonda n'est pas "Marimbondo" - le nom utilisé par erreur dans certaines sources - la municipalité du nord de l'Etat du Paraná au Brésil mais le nom correct de l'une usine hydro-électrique dans l'Etat de Sao Paulo.
Tandis que certains n'ont aucun problème avec des occupants d'OVNIS qui seraient tout à fait semblable à nous, cela me pose vraiment problème.
En bref: je trouve probable que n'importe quelle forme de vie venant ici depuis une autre planète à bord d'aéronefs de leurs fabrication auraient des bras, des jambes, une tête avec des yeux, une bouche et ainsi de suite. Une petite "coccinelle extraterrestre" par exemple serait trop petite pour manipuler le feu, ne pourrait donc pas maîtriser la métallurgie, par conséquent ne pourrait pas avoir développé quelque chose comme un engin volant. La plupart des formes de vie extraterrestres pourraient certainement ressembler à des "plantes" ou des "bactéries" ou des gelées, mais celles qui développeraient une technologie de voyage spatial auraient peut-être plus ou moins des caractéristiques humanoïdes. Mais ils ne nous ressembleraient certainement pas trait pour trait, ils ne seraient probablement pas presque exactement comme nous. Donc je rejetterais ce cas comme étant une invention du témoin allégué. Et il n'y a aucune preuve matérielle ici pour me donner tort, nous avons seulement un témoin unique.
Souvent, les histoires avec des occupants de soucoupe semblant "comme nous" viennent de la foule des "contactés", la plupart d'entre eux ayant été exposés comme menteurs purs et simples. Je dois admettre que dans ce cas-ci, les "signes" habituels de cette sorte de "témoignage" sont absents. Le gardien de barrage ne semble pas nous servir le fatras "new age" et "spirituel" habituel que la plupart des contactés servent, il ne semble pas avoir organisé de culte OVNI ou écrit de livres concernant ses voyages vers Vénus avec de bienveillants "frères de l'espace", il n'y a pas de "message à l'humanité" au sujet de quelque catastrophe naturelle ou désastre nucléaire à venir.
Mais d'un autre côté, c'est peut-être parce que l'information de l'enquêteur est seulement "préliminaire."
Finalement je reste avec plus de questions que de réponses ici. J'estime qu'une méprise ne peut pas être l'explication, mais ce pourrait probablement être une histoire inventée plutôt que la preuve que des extraterrestres si semblable à nous nous nous rendraient visite.
| Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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| 1 | Données | Moyenne | 30 janvier 2012 | Patrick Gross | Patrick Gross | Source de presse primaire non disponible. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
| 2 | Ufologie | Grave | 30 janvier 2012 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas à témoin unique. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
| 3 | Ufologie | Grave | 30 janvier 2012 | Patrick Gross | Patrick Gross | Seulement une enquête préliminaire, pas de suites connues. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Possible invention.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
| Auteur principal: | Patrick Gross |
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| Contributeurs: | Aucun |
| Reviewers: | Aucun |
| Editeur: | Patrick Gross |
| Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
|---|---|---|---|
| 0.1 | Patrick Gross | 30 janvier 2012 | Création, [wb1], [aj1], [ar1], [dj1], [ud1], [ci1]. |
| 1.0 | Patrick Gross | 30 janvier 2012 | Première publication. |
| 1.1 | Patrick Gross | 11 février 2012 | Addition [af1]. |
