L'ufologue italien Antonio Chiumiento a raporté le cas de Giorgio Filiputti, né en 1931, cheminot aujourd'hui décédé, qui a eu lieu le 18 septembre 1978 vers 15:30 heure légale, à Melaria di Porto Nogaro, sur le territoire de la commune de San Giorgio di Nogaro, dans la province d'Udine en Italie.
Il pêchait sur les berges du Corna, au lieu où ce cours d'eau rejoint le canal Zumiel, à environ deux kilomètres et demi de la mer à vol d'oiseau, alors que la journée était belle et ensoleillée et les lieux calmes.
Il a entendu une espèce de sifflement soudain, continu, léger et aigu, comme celui des pales d'un hélicoptère après extinction du moteur, ou comme celui d'un objet qui "faucherait" l'air. Il y a eu immédiatement une sorte de mouvement d'air tourbillonnant en provenance de la zone située derrière.
Après environ 3 minutes, il a commencé à penser que le bruit et le souffle ne pouvait pas provenir de quelque machinerie d'une aciérie voisine, parce qu'un vent assez fort et soutenu s'est levé, qui rendait la pêche impossible parce que l'eau était entièrement striée de vaguelettes. Les roseaux remuaient en un seul endroit.
Pour voir ce qui se passait, il a laissé sa canne à pêche et a escaladé le talus. Arrivé au sommet, il est resté abasourdi en voyant sur un méplat de boue et de sable recouvert de plantes basses un objet insolite posé à guère plus de 25 mètres de lui.
A ce moment, le vent a cessé, alors que le bruit continuait mais avec un son beaucoup moins sourd et beaucoup moins continu.
L'objet avait à peu près la forme d'un disque de 4 ou 5 mètres de diamètre, 3 ou 4 mètres de haut, surmonté d'une coupole, il était posé sur trois gros dispositifs d'atterrissage gris foncé d'environ 1.50 mètres de haut et d'un diamètre de 80 à 90 cm, légèrement plus étroit vers les extrémités, et qui semblaient constitués de deux tubes coulissants terminés par un disque plat. L'objet était complètement lisse sans aucune fenêtre ni trappe, avec seulement une sorte de "hublot saillant en forme de demi-lune juste à l'endroit où commençait le renflement de la coupole." L'épaisseur maximale de l'engin sans compter les pieds d'atterrissage était d'environ 1.50 mètres. Il semblait fait d'un métal dit "cuivré", puis plus tard "or-argent", qui brillait au soleil.
Presque tout de suite, un être est sorti de derrière la coupole et a marché sur le bord de la soucoupe.
Il avait une taille d'environ 1.30 mètres, il portait une combinaison très moulante, d'une teinte et brillance semblables à ceux de la soucoupe, qui ne laissait voir que son visage du front au menton.
La tenue d'un seul tenant était entièrement recouverte d'écailles de poisson "dessinées", de tailles variées, plus grandes vers le haut et diminuant vers les extrémités.
Le visage a été d'abord rapporté comme "jaune", puis plus tard "olivâtre tirant sur le bronze", avec des yeux en amande, étirés vers l'emplacement où il y aurait eu des oreilles, celles-ci non visibles à cause de la combinaison. La bouche et le nez étaient tout à fait normaux. Les pupilles semblaient plus grandes et ressortaient encore mieux que celles de certains peuples orientaux.
Il avait à la taille deux "récipients" de même couleur que les chaussures, gris foncé ou brun, qui avaient l'air d'être en relief et "...tenus probablement par une espèce de ceinture..."
Il portait des gants blancs qui paraissaient avoir été confectionnés dans une matière ressemblant à du cuir brillant.
Quand l'occupant a vu le témoin, il a paru hésiter, comme s'il était effrayé et surpris de sa présence. Le témoin a d'abord songé à fuir en se jetant à l'eau mais le comportement de l'être le fit renoncer.
Après s'être immobilisé quelques instants, l'être s'est de nouveau déplacé sur "l'aile de la soucoupe" d'une démarche souple et agile, puis s'est arrêté pour toucher la partie saillante en forme de croissant. Pendant ce "travail", "peut-être une réparation", fait en actionnant un levier à proximité de la coupole, ou "un gadget en forme de demi-lune ou de fer à cheval", l'occupant de la soucoupe observait fréquemment le témoin. Il a ensuite "disparu" de nouveau derrière la coupole.
Très peu de secondes après, il y a eu un grondement, "un roulement aussi assourdissant que le tonnerre", un sifflement, et l'engin s'est élevé verticalement en rétractant très vite son dispositif d'atterrissage. Il est monté lentement d'une dizaine de mètres, et à ce moment-là le témoin a remarqué la présence d'une grille de losanges, ou en forme de losange, sur la base de l'OVNI, foncée ou presque noire, d'où sortait une flamme bleue, longue d'environ 50 ou 60 centimètres. Ensuite, l'objet s'est rapidement mit "de chant" et s'est éloigné à une vitesse très élevée vers le sud-ouest, prenant l'aspect "d'une boule de feu couleur d'or".
Après cette observation de 6 à 8 minutes, le témoin a essayé de trouver quelqu'un à qui raconter ce qui lui était arrivé et il est tombé sur un pêcheur des environs qu'il a invité à examiner les traces laissées sur le sol par les trois pieds de l'OVNI. Les traces avaient à peu près 2 centimètres de profondeur et un bord "dentelé". Il n'y avait aucune surface brûlée, peut-être parce que le terrain, une zone marécageuse, était majoritairement couvert de sable et de boue.
Le pêcheur n'a pas cru l'histoire et a supposé que les empreintes étaient probablement dues à des fûts d'essence. Ensuite, voyant que le témoin était encore visiblement troublé, le pêcheur l'a convaincu de l'accompagner dans un bar près de la voie rapide voisine d'Aussa-Corno pour boire quelque chose.
Dans le bar, ils ont entendu un inconnu raconter aux personnes présentes qu'il venait repérer une "chose" lumineuse très insolite qui s'était déplacéE dans le ciel à une vitesse incroyable, et le pêcheur s'est alors exclamé "Mais alors c'est vrai?"
Le témoin n'a parlé à personne de ce qui lui était arrivé, pas même à sa famille au début, par crainte de moqueries. Il était resté bouleversé et s'est abstenu d'aller à la pêche, ne sortant de chez lui que pour se rendre à son travail pendant quelques semaines. Il avait cherché dans les journaux locaux une confirmation de ce qui lui était arrivé mais n'a rien trouvé, ce qui l'a encore persuadé de se taire.
Il en a parlé au mois de février suivant après à son frère. En repensant à l'expérience, et parce que l'occupant pour lui était un "oriental", il a spéculé que c'était un engin militaire d'un type nouveau appartenant à une grande puissance, et cela l'a terrifié parce que les fabricants voudraient certainement pas que les gens sachent ce qu'ils étaient en train de réaliser.
|
|
[Ref. gc1:] GORDON CREIGHTON:
CARTE ET POST-SCRIPTUM AU CAS DU "PETIT AVIATEUR ORIENTAL"PAR inadvertance, comme il nous l'a été maintenant précisé par l'auteur Antonio Chiumiento, nous avons utilisé, pour notre illustration du visage de cette entité (FSR vol. 28, No.5, page 8) un des croquis préliminaires d'Ugo Furlan, qui cependant n'est maintenant plus considéré aussi précis que les dessins finaux faits par cet artiste après des discussions plus prolongées avec le témoin oculaire Signor Giorgio Filiputti. Nous offrons ici l'image corrigée. Il devrait également être noté que le nom du hameau où cette rencontre a eu lieu est Melaria, et pas Malaria comme donné dans le rapport original. (L'endroit plus grand le plus proche de Melaria est San Giorgio di Nogaro.) |
[Ref. tg1:] TIMOTHY GOOD:
L'auteur indique que le 18 septembre 1978 vers 3 heures de l'après-midi, Giorgio Filiputti, 47 ans, employé des chemins de fer dans la province d'Udine au nord-est de l'Italie était occupé à pêcher à Melaria lorsqu'il a entendu un sifflement strident.
Quelques minutes plus tard, il est remonté sur la rive et a vu à une vingtaine de mètres de distance un objet étrange en forme de disque, posé sur la boue.
L'auteur cite ce que le témoin a déclaré à Antonio Chiumiento:
"L'engin mesurait 4 ou 5 mètres de diamètre. Il était posé sur trois pieds et était surmonté d'une coupole. Les pieds, hauts d'environ 1,50 mètres, allaient en s'élargissant vers le haut. Ils semblaient constitués de deux tubes coulissants terminés par un disque plat. L'engin ne comportait ni hublot, ni ouverture. Il était fait d'un métal cuivré qui brillait au soleil."
"Ensuite j'ai vu quelqu'un surgir de derrière la coupole et marcher vers le bord du disque. Il ressemblait à un Asiatique, mais il mesurait à peine 1,30 mètre. En voyant ce pygmée à la peau jaune, je fus à la fois stupéfait et effrayé. Lui aussi semblait surpris de me voir, et je crois qu'il avait aussi peur que moi."
Le petit homme s'est arrêté quelques secondes quand il a vu le pêcheur, puis a repris sa marche, s'est penché sans quitter le témoin du regard, a actionné un levier à proximité de la coupole, un gadget "en forme de demi-lune ou de fer à cheval", essayant de réparer une quelconque avarie. Il s'est relevé et est reparti brusquement en disparaissant derrière la coupole.
"De l'endroit où j'étais, je ne pouvais rien voir à l'intérieur. A peine quelques secondes plus tard, j'entendis un bruit assourdissant, et l'engin s'éleva à la verticale. J'aperçus le dessous de l'engin, au milieu duquel se trouvait une grille en losange. Le train d'atterrissage était déjà rentré. Je vis s'échapper une courte flamme bleue de 60 centimètres, comme celle d'une cuisinière à gaz."
L'engin a prit de la vitesse et a disparu.
Les traces des trois pieds, de 3 centimètres de profondeur et 50 centimètres de largeur, étaient clairement visibles à l'endroit où l'engin s'était posé.
Le témoin s'est refusé à croire qu'il avait rencontré des extraterrestres et est resté persuadé que l'engin était un appareil expérimental secret d'une puissance étrangère.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Melaria, Porto Nogaro, Italie, le 18 septembre 1978, à 1530, le témoin était parti pêcher au fleuve Corno quand il a soudainement entendu un sifflement aigu trouvé suivi d'un certain mouvement en spirale d'air derrière lui causant des ondulations sur l'eau et faisant bruisser les broussailles environnantes. Le vent est devenu plus fort ainsi le témoin a décidé de monter vers le haut d'un remblai voisin pour jeter un coup d'oeil aux alentours. Tandis qu'il a atteint le dessus du remblai il a eu la vue d'un objet en forme de disque métallique reposant sur un terrain voisin de boue sèche. L'objet reposait sur trois jambes épaisses qui se sont terminées par des plaques plates au sol. L'objet était totalement lisse et le métal a semblé être d'un aspect comme le laiton. un personnage a alors semblé marcher sur le rebord du disque. Il a été décrit comme étant petit et oriental d'aspect portant une combinaison bien ajustée argentée qui a miroité à la lumière du soleil. Il portait également des bottes sombres. Son visage était de bronze foncé de teint et il avait de grands yeux en forme d'amande. L'humanoïde a semblé étonné en voyant le témoin puis a marché vivement autour du rebord, se pliant brièvement vers le bas et touchant quelque chose sur le dôme puis a disparu derrière le dôme. Quelques instants plus tard le témoin a entendu un bruit fort de secousses et a vu l'objet monter lentement directement vers le haut, émettant une flamme bleuâtre du fond, il s'est alors penché sur son bord et a filé au loin à grande vitesse. Des marques au sol ont été trouvées sur les lieux.
Albert Rosales indique que la source est "Antonio Chiumento, FSR Vol. 28 N.5."
[Ref. ac1] ANTONIO CHIUMIENTO:
L'auteur indique que le cas de Giorgio Filiputti, né en 1931, cheminot aujourd'hui décédé, a eu lieu le 18 septembre 1978 vers 15:30, heure légale, dans la localité de Melaria di Porto Nogaro, sur le territoire de la commune de San Giorgio di Nogaro, dans la province d'Udine.
Il pêchait sur les berges du Corna, au lieu où ce cours d'eau rejoint le canal Zumiel, à environ deux kilomètres et demi de la mer à vol d'oiseau, alors que la journée était belle et ensoleillée et les lieux calmes.
Il a entendu une espèce de sifflement soudain, continu, léger et aigu, comme celui des pales d'un hélicoptère après extinction du moteur, ou comme celui d'un objet qui "faucherait" l'air. Il y a eu immédiatement une sorte de mouvement d'air tourbillonnant en provenance de la zone située derrière.
Après environ 3 minutes, il a commencé à penser que le bruit et le souffle ne pouvait pas provenir de quelque machinerie d'une aciérie voisine, parce qu'un vent assez fort et soutenu s'est levé, qui rendait la pêche impossible parce que l'eau était entièrement striée de vaguelettes. Les roseaux remuaient en un seul endroit.
Pour voir ce qui se passait, il a laissé sa canne à pêche et a escaladé le talus. Arrivé au sommet, il est resté abasourdi en voyant sur un méplat de boue et de sable recouvert de plantes basses un objet insolite posé à guère plus de 25 mètres de lui.
A ce moment, le vent a cessé, alors que le bruit continuait mais avec un son beaucoup moins sourd et beaucoup moins continu.
L'objet avait à peu près la forme d'un disque de 4 ou 5 mètres de diamètre, 3 ou 4 mètres de haut, surmonté d'une coupole, il était posé sur trois gros dispositifs d'atterrissage gris foncé d'environ 1.50 mètres de haut et d'un diamètre de 80 à 90 cm, légèrement plus étroit vers les extrémités. Il verra plus tard que ces pieds étaient rétractables. L'objet était complètement lisse sans aucune fenêtre ni trappe, avec seulement une sorte de "hublot saillant en forme de demi-lune juste à l'endroit où commençait le renflement de la coupole." L'épaisseur maximale de l'engin sans compter les pieds d'atterrissage était d'environ 1.50 mètres. Il semblait fait d'un métal or-argent qui brillait au soleil.
Presque tout de suite, un être est sorti de derrière la coupole et a marché sur le bord de la soucoupe.
Il avait une taille d'environ 1.30 mètres, il portait une combinaison très moulante, d'une teinte et brillance semblables à ceux de la soucoupe, qui ne laissait voir que son visage du front au menton.
La tenue d'un seul tenant était entièrement recouverte d'écailles de poisson "dessinées", de tailles variées, plus grandes vers le haut et diminuant vers les extrémités.
Le visage était olivâtre tirant sur le bronze, avec des yeux en amande, étirés vers l'emplacement où il y aurait eu des oreilles, celles-ci non visibles à cause de la combinaison. La bouche et le nez étaient tout à fait normaux. Les pupilles semblaient plus grandes et ressortaient encore mieux que celles de certains peuples orientaux.
Il avait à la taille deux "récipients" de même couleur que les chaussures, gris foncé ou brun, qui avaient l'air d'être en relief et "...tenus probablement par une espèce de ceinture..."
Il portait des gants blancs qui paraissaient avoir été confectionnés dans une matière ressemblant à du cuir brillant.
Quand l'occupant a vu le témoin, il a paru hésiter, comme s'il était effrayé et surpris de sa présence. Le témoin a d'abord songé à fuir en se jetant à l'eau mais le comportement de l'être le fit renoncer.
Après s'être immobilisé quelques instants, l'être s'est de nouveau déplacé sur "l'aile de la soucoupe" d'une démarche souple et agile, puis s'est arrêté pour toucher la partie saillante en forme de croissant. Pendant ce "travail", "peut-être une réparation", il observait fréquemment le témoin. Il a ensuite "disparu" de nouveau derrière la coupole.
Très peu de secondes après, il y a eu un grondement, "un roulement aussi assourdissant que le tonnerre", un sifflement, et l'engin s'est élevé verticalement en rentrant très vite son dispositif d'atterrissage. Il est monté lentement d'une dizaine de mètres, et à ce moment-là le témoin a remarqué la présence d'une grille de losanges sur la base de l'OVNI, foncée ou presque noire, d'où sortait une flamme bleue, longue d'une cinquantaine de centimètres. Ensuite l'objet s'est rapidement mit "de chant" et s'est éloigné à une vitesse très élevée vers le sud-ouest, prenant l'aspect "d'une boule de feu couleur d'or".
Après cette observation de six à huit minutes, le témoin a essayé de trouver quelqu'un à qui raconter ce qui lui était arrivé et il est tombé sur un pêcheur des environs qu'il a invité à examiner les traces laissées sur le sol par les trois pieds de l'OVNI. Les traces avaient à peu près 2 centimètres de profondeur et un bord "dentelé". Il n'y avait aucune surface brûlée, peut-être parce que le terrain, une zone marécageuse, était majoritairement couvert de sable et de boue.
Le pêcheur n'a pas cru l'histoire et a supposé que les empreintes étaient probablement dues à des fûts d'essence. Ensuite, voyant que le témoin était encore visiblement troublé, le pêcheur l'a convaincu de l'accompagner dans un bar près de la voie rapide voisine d'Aussa-Corno pour boire quelque chose.
Dans le bar, ils ont entendu un inconnu raconter aux personnes présentes qu'il venait repérer une "chose" lumineuse très insolite qui s'était déplacéE dans le ciel à une vitesse incroyable, et le pêcheur s'est alors exclamé "Mais alors c'est vrai?"
Le témoin n'a parlé à personne de ce qui lui était arrivé, pas même à sa famille au début, par crainte de moqueries. Il était resté bouleversé et s'est abstenu d'aller à la pêche, ne sortant de chez lui que pour se rendre à son travail pendant quelques semaines. Il avait cherché dans les journaux locaux une confirmation de ce qui lui était arrivé mais n'a rien trouvé, ce qui l'a encore persuadé de se taire.
Il en a parlé au mois de février suivant après à son frère. En repensant à l'expérience, et parce que l'occupant pour lui était un "oriental", il a spéculé que c'était un engin militaire d'un type nouveau appartenant à une grande puissance, et cela l'a terrifié parce que les fabricants voudraient certainement pas que les gens sachent ce qu'ils étaient en train de réaliser.
[Ref. ni1:] "THE NICAP WEBSITE":
Le site web indique que le 18 septembre 1978, à Melaria, district de Porto Nogaro, Italie il y a eu un bruit de sifflement, un objet en forme de disque avec un dôme sur une étendue de boue. Un petit humanoïde a émergé, a travaillé à un dépannage, et a décollé avec un bruit explosif fort.
The source is indicated as "The UFO Evidence" section XII.
[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":
Le site web indique que le 18 septembre 1978, à 15:30, à Melaria, au fleuve Corna, Italie, un pêcheur a entendu un bruit de sifflement, il y avait un déplacement d'air au-dessus de l'eau, il a vu atterrir un disque avec dôme sur un trépied. Il y avait un être de 1.4 m de haut, en combinaisons argentées serrées, bottes, avec un visage de bronzé foncé avec des yeux en amande. L'objet est parti en volant rapidement directement vers le haut jusqu'à être perdu de vue. Des traces au sol ont été trouvées.
Le témoin masculin avait 47 ans et s'appelait Giorgio Filiputti. L'observation a duré plus de six minutes.
Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Lumieres dans la Nuit, Lumieres dans la Nuit; Hall, Richard H., The UFO Evidence, Volume II: A Thirty-Year Report, Scarecrow Press, Lanham, 2000, ISBN:0-8103-3881-8; Hatch, Larry, *U* computer database, l'Auteur, Redwood City, 2002; Smith, Willy, UNICAT computer database.
[Ref. al1:] "ALESSANDRO":
J'ai vérifié dans mon dossier ITACAT, [...] [...] des cas de RR3 très significatifs [...]. Il vaut la peine rappeler donc le cas de George Filipputti qui s'est produit à S. Georgio di Nogaro (Udine), qui s'est produit le 18 septembre 1978. Un autre cas important [...] |
Les illustrations ci-dessous ont été publiées dans la Flying Saucer Review et d'autres sources comme étant l'occupant tel que décrit Giorgio Filiputti à Ugo Furlan d'après ses entretiens avec le témoin:
Le témoin a semblé décider que l'engin devait être un engin secret de quelque pays probablement asiatique; interprétation qui pourrait donner à penser qu'il serait crédible "puisque" ne croyant pas aux visiteurs extraterrestres, toutefois un fabulateur rusé pourrait tenir un tel discours pour justement créer une telle impression. Clairement aucune puissance étrangère, asiatique ou non, n'a jamais fait voler de telles soucoupes ni ne les a fait se poser en Italie.
L'apparente absence de publicité et volonté de ne rien dire pourrait suggérer une authenticité de l'expérience, mais le témoin a forcément parlé à un moment ou un autre, amenant un ufologue à s'intéresser au cas; on aurait aimé savoir comment l'ufologue a appris l'affaire.
Le cas à témoin unique semble avoir eu le traitement ufologique le plus typique, c'est-à-dire que l'enquête est en fait un recueil des circonstances et détails observés, mais sans trace de recherches concernant la personnalité, la crédibilité du témoin, sans trace d'efforts pour vérifier d'éventuelles contradictions ou incohérences dans le récit, et sans tentative apparente de retrouver l'autre pêcheur ou le témoin additionnel du bar. On ne sait pas non plus si le dessin de l'occupant a été approuvé par le témoin, ou s'il a seulement été fait d'après ses indications orales. L'OVNI est une "soucoupe" correspondant totalement au clichés.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Données | Grave | 24 novembre 2009 | Patrick Gross | Patrick Gross | Source primaire non disponible. | Trouvé, [ac2], [gc1] | Clot 30 janvier 2012. |
2 | Ufologie | Grave | 24 novembre 2009 | Patrick Gross | Patrick Gross | Pas de rapport d'enquête au sens propre, récits seulement. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
3 | Ufologie | Grave | 24 novembre 2009 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas à témoin unique, crédibilité apparemment non évaluée. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Visiteurs extraterrestres ou invention.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
---|---|
Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
---|---|---|---|
0.1 | Patrick Gross | 24 novembre 2009 | Création, [tg1], [ar1], [ac1], [ni1], [ud1], [al1]. |
1.0 | Patrick Gross | 24 novembre 2009 | Première publication. |
1.1 | Patrick Gross | 30 janvier 2012 | Additions [ac2], [gc1]. |