L'auteur Jean-Paul Ronecker indiquait sans son livre de 2001 sur les extraterrestres e que parmi les rencontres rapprochées du troisième type, il y en a également avec des êtres invisibles, telle celle de la région de Nyons en 1978.
Il dit qu'au soir du 30 juillet 1978, vers 23 h-23 h 30, trois adolescents de 16 à 17 ans, deux garçons et une fille, participaient à un camp d'astronomie dans la montagne à proximité de Nyons, dans la Drôme. Le groupe, dont les autres membres étaient restés à Nyons pour la nuit et ne devaient arriver que le lendemain matin, était hébergé dans une ferme à une quinzaine de kilomètres environ de la ville. Les trois jeunes gens étaient seuls à ce moment et la famille qui les accueillait étant déjà couchée.
Ils sont sortis pour observer le ciel et ont remarqué un curieux objet lumineux dont la forme en losange était visible aux jumelles, qui est passé à plusieurs reprises au-dessus d'eux, pour finalement stationner au dessus de bois proches. Les jeunes ont décidé d'aller voir de plus près, mais quand ils ont été à une cinquantaine de mètres environ des bois, l'objet a subitement disparu sans qu'ils ne le voient se déplacer, il n'était simplement soudainement plus là.
Les jeunes ont pensé qu'il s'était peut-être posé derrière une clairière et ont continué à avancer, mais ils ne connaissaient pas encore les lieux et n'ont pas pu trouver de sentier pour pénétrer dans le bois, leur seule source de lumière étant une lampe-torche.
Après avoir bataillé quelques minutes avec le sous-bois touffu, ils ont abandonné, mais le lendemain, ils sont retournés sur place, ont trouvé qu'il y avait bien un sentier devant lequel ils étaient passés sans le voir dans la nuit.
Ils l'ont emprunté et sont arrivés à une clairière au bout de quelques minutes. Ils sont cités comme disant:
"Dès que nous avons débouché dans la clairière, nous avons remarqué un grand cercle d'herbe jaunie et racornie, qui semblait brûlée. Il faisait environ cinq mètres de diamètre, peut-être un peu plus. Par la suite, Monsieur X, qui nous hébergeait, nous montra dans la montagne des zones circulaires d'herbe paraissant jaunie de loin, mais qui était en fait de l'herbe broutée par ses moutons. Mais le cercle de la clairière était différent. L'herbe y était desséchée et non broutée, et les racines étaient comme brûlées, sèches et friables. Et, de toute façon, Monsieur X nous confirma qu'il n'emmenait jamais ses moutons paître dans le bois."
Le lendemain, les trois jeunes gens sont retournés à la clairière, mais n'ont rien trouvé de plus.
L'un d'eux a cru voir dans les arbres une silhouette de petite taille, comme couverte d'un vêtement argenté, mais il n'était sûr de rien et a concédé facilement que cela pouvait n'être qu'une simple illusion.
Ils ont alors décidé de traverser le bois car, derrière, se trouvait une sorte de carrière où il y avait de nombreux fossiles. Plus tard, après avoir récolté quelques ammonites, ils redescendirent vers la ferme en empruntant un chemin caillouteux longé par le bois, d'un côté, et par un champ de lavande, de l'autre. Ils sont cités comme disant:
"Nous étions en haut du chemin et nous discutions, nous arrêtant fréquemment. C'est là que nous avons entendu un bruit venant du bois. Nous n'y avons tout d'abord pas pris garde, pensant qu'un membre de notre groupe se promenait dans le bois, tout comme nous l'avions nous-mêmes fait peu de temps auparavant. Nous avons donc continué à discuter tranquillement. Le bruit persistait et se rapprochait. C'était exactement le son produit par quelqu'un marchant dans le bois, brisant des branches et faisant bruisser les buissons du sous-bois. Comme le bruit était proche à présent, nous avons machinalement tourné la tête dans sa direction. (Comme je l'ai dit, nous nous attendions à voir un de nos camarades du camp. Seulement, on ne voyait rien, rien du tout. A ce moment, nous n'avions pas peur du tout, nous étions simplement intrigués. C'était tout de même curieux, ce bruit de pas qui paraissait provenir à ce moment de trois ou quatre mètres au maximum sans que nous en voyions la source."
"Le sous-bois était certes un peu touffu, mais les arbres étaient plutôt clairsemés. Il faisait grand jour, notre vision portait tout de même assez loin dans le bois. Pourtant, on ne voyait rien du tout, nous ne faisions qu'entendre ce bruit de pas qui se rapprochait de plus en plus. Cela ne pouvait pas être quelqu'un cherchait à nous faire peur en progressant d'arbre en arbre ou en se dissimulant derrière les buissons. D'abord le bruit ne correspondait pas à cela mais bien à quelqu'un marchant tranquillement, ensuite, si ça avait été le cas, nous l'aurions tout de même vu."
"Alors là, nous avons commencé à être inquiets, même si nous ne voulions pas nous l'avouer. Instinctivement, nous avons reculé de deux ou trois pas, je pense. Puis, nous nous sommes de nouveau immobilisés, aux aguets. Le bruit de pas s'était arrêté lui aussi, pendant peut-être une ou deux secondes, puis il a repris. Il était tout proche à présent et il n'y avait toujours rien de visible. Une seconde fois, nous entendions le pas sur le chemin, faisant crisser le gravier. Nous étions peut-être à un mètre cinquante du bord du chemin. Là, nous avons vraiment eu la trouille et nous avons couru comme des dératés jusqu'à la ferme sans nous retourner."
"Nous n'avons rien dit aux autres, parce qu'ils étaient très sceptiques sur ce que nous avions vu la première nuit, a aussi, sans doute, parce que nous n'étions pas très fiers de nous, d'avoir cédé ainsi à la panique."
"Le lendemain ou le surlendemain, je ne suis plus très sûr du jour, j'ai revécu, seul cette fois, la même expérience sur ce même chemin. J'étais assis sur un talus au bord du champ de lavande, le dos au bois, donc, quand j'ai de nouveau entendu des pas venant du sous-bois, échaudé par l'aventure précédente, j'ai aussitôt bondi sur mes pieds et je me suis retourné. Il n'y avait toujours rien de visible. Tout de suite, les bruits de pas sont arrivés sur le chemin et sont venus vers moi. Je n'ai pas demandé mon reste et j'ai détalé comme un lapin... Décidément, je ne suis pas très courageux."
|
|
[Ref. jr1:] JEAN-PAUL RONECKER:
L'auteur indique que parmi les rencontres rapprochées du troisième type, il y en a également avec des êtres invisibles, telle celle de la région de Nyons en 1978.
Il dit qu'au soir du 30 juillet 1978, vers 23 h-23 h 30, trois adolescents de 16 à 17 ans, deux garçons et une fille, participaient à un camp d'astronomie dans la montagne à proximité de Nyons, dans la Drôme. Le groupe, dont les autres membres étaient restés à Nyons pour la nuit et ne devaient arriver que le lendemain matin, était hébergé dans une ferme à une quinzaine de kilomètres environ de la ville. Les trois jeunes gens étaient seuls à ce moment et la famille qui les accueillait étant déjà couchée.
Ils sont sortis pour observer le ciel et ont remarqué un curieux objet lumineux dont la forme en losange était visible aux jumelles, qui est passé à plusieurs reprises au-dessus d'eux, pour finalement stationner au dessus de bois proches. Les jeunes ont décidé d'aller voir de plus près, mais quand ils ont été à une cinquantaine de mètres environ des bois, l'objet a subitement disparu sans qu'ils ne le voient se déplacer, il n'était simplement soudainement plus là.
Les jeunes ont pensé qu'il s'était peut-être posé derrière une clairière et ont continué à avancer, mais ils ne connaissaient pas encore les lieux et n'ont pas pu trouver de sentier pour pénétrer dans le bois, leur seule source de lumière étant une lampe-torche.
Après avoir bataillé quelques minutes avec le sous-bois touffu, ils ont abandonné, mais le lendemain, ils sont retournés sur place, ont trouvé qu'il y avait bien un sentier devant lequel ils étaient passés sans le voir dans la nuit.
Ils l'ont emprunté et sont arrivés à une clairière au bout de quelques minutes. Ils sont cités comme disant:
"Dès que nous avons débouché dans la clairière, nous avons remarqué un grand cercle d'herbe jaunie et racornie, qui semblait brûlée. Il faisait environ cinq mètres de diamètre, peut-être un peu plus. Par la suite, Monsieur X, qui nous hébergeait, nous montra dans la montagne des zones circulaires d'herbe paraissant jaunie de loin, mais qui était en fait de l'herbe broutée par ses moutons. Mais le cercle de la clairière était différent. L'herbe y était desséchée et non broutée, et les racines étaient comme brûlées, sèches et friables. Et, de toute façon, Monsieur X nous confirma qu'il n'emmenait jamais ses moutons paître dans le bois."
Le lendemain, les trois jeunes gens sont retournés à la clairière, mais n'ont rien trouvé de plus.
L'un d'eux a cru voir dans les arbres une silhouette de petite taille, comme couverte d'un vêtement argenté, mais il n'était sûr de rien et a concédé facilement que cela pouvait n'être qu'une simple illusion.
Ils ont alors décidé de traverser le bois car, derrière, se trouvait une sorte de carrière où il y avait de nombreux fossiles. Plus tard, après avoir récolté quelques ammonites, ils redescendirent vers la ferme en empruntant un chemin caillouteux longé par le bois, d'un côté, et par un champ de lavande, de l'autre. Ils sont cités comme disant:
"Nous étions en haut du chemin et nous discutions, nous arrêtant fréquemment. C'est là que nous avons entendu un bruit venant du bois. Nous n'y avons tout d'abord pas pris garde, pensant qu'un membre de notre groupe se promenait dans le bois, tout comme nous l'avions nous-mêmes fait peu de temps auparavant. Nous avons donc continué à discuter tranquillement. Le bruit persistait et se rapprochait. C'était exactement le son produit par quelqu'un marchant dans le bois, brisant des branches et faisant bruisser les buissons du sous-bois. Comme le bruit était proche à présent, nous avons machinalement tourné la tête dans sa direction. (Comme je l'ai dit, nous nous attendions à voir un de nos camarades du camp. Seulement, on ne voyait rien, rien du tout. A ce moment, nous n'avions pas peur du tout, nous étions simplement intrigués. C'était tout de même curieux, ce bruit de pas qui paraissait provenir à ce moment de trois ou quatre mètres au maximum sans que nous en voyions la source."
"Le sous-bois était certes un peu touffu, mais les arbres étaient plutôt clairsemés. Il faisait grand jour, notre vision portait tout de même assez loin dans le bois. Pourtant, on ne voyait rien du tout, nous ne faisions qu'entendre ce bruit de pas qui se rapprochait de plus en plus. Cela ne pouvait pas être quelqu'un cherchait à nous faire peur en progressant d'arbre en arbre ou en se dissimulant derrière les buissons. D'abord le bruit ne correspondait pas à cela mais bien à quelqu'un marchant tranquillement, ensuite, si ça avait été le cas, nous l'aurions tout de même vu."
"Alors là, nous avons commencé à être inquiets, même si nous ne voulions pas nous l'avouer. Instinctivement, nous avons reculé de deux ou trois pas, je pense. Puis, nous nous sommes de nouveau immobilisés, aux aguets. Le bruit de pas s'était arrêté lui aussi, pendant peut-être une ou deux secondes, puis il a repris. Il était tout proche à présent et il n'y avait toujours rien de visible. Une seconde fois, nous entendions le pas sur le chemin, faisant crisser le gravier. Nous étions peut-être à un mètre cinquante du bord du chemin. Là, nous avons vraiment eu la trouille et nous avons couru comme des dératés jusqu'à la ferme sans nous retourner."
"Nous n'avons rien dit aux autres, parce qu'ils étaient très sceptiques sur ce que nous avions vu la première nuit, a aussi, sans doute, parce que nous n'étions pas très fiers de nous, d'avoir cédé ainsi à la panique."
"Le lendemain ou le surlendemain, je ne suis plus très sûr du jour, j'ai revécu, seul cette fois, la même expérience sur ce même chemin. J'étais assis sur un talus au bord du champ de lavande, le dos au bois, donc, quand j'ai de nouveau entendu des pas venant du sous-bois, échaudé par l'aventure précédente, j'ai aussitôt bondi sur mes pieds et je me suis retourné. Il n'y avait toujours rien de visible. Tout de suite, les bruits de pas sont arrivés sur le chemin et sont venus vers moi. Je n'ai pas demandé mon reste et j'ai détalé comme un lapin... Décidément, je ne suis pas très courageux."
J'ai trouvé que dans le "Bulletin de la Société Astronomique de France", volume 92, de 1978, figure une annonce au sujet de membres du club d'astronomie du lycée Henri Poincaré de Nancy allant en camp d'été à Nyons du 1er au 15 août 1978.
Pour le reste, je suis bien en peine d'évaluer le récit: simplement des adolescent qui se sont fait peur pour rien, ou quelque chose de réellement étrange? Une enquête aurait été bienvenue, notemment au sujet de la trace alléguée, mais je n'en ai pas trouvé le moindre rapport, ni plus d'informations.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | Ufologie | Grave | 22 mai 2010 | Patrick Gross | Patrick Gross | Trois personnes impliquées mais il semble qu'une seule ait été interviewée. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
3 | Ufologie | Grave | 22 mai 2010 | Patrick Gross | Patrick Gross | Pas de rapport d'enquête trouvé. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Possibles confusions, adolescents de faisant peur.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
---|---|
Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
---|---|---|---|
0.1 | Patrick Gross | 22 mai 2010 | Création, [jr1]. |
1.0 | Patrick Gross | 22 mai 2010 | Première publication. |