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URECAT - UFO Related Entities Catalog - VF:

URECAT est un catalogue formel des rapports d'observation d'entités dans un contexte OVNI avec l'objectif de fournir des informations de qualité pour des études précises de ce sujet. Les informations additionnelles, corrections et revues sont bienvenues à patrick.gross@inbox.com, précisez svp si vous souhaitez être crédités pour votre contribution ou non. La page principale du catalogue URECAT est ici.

20 MARS 1978, MONT BERNARDIA, UDINE, ITALIE, GIANFRANCO MAROCCHI:

Bref résumé de l'événement et des suites:

L'ufologue italien Antonio Chiumienti indique qu'en 2003, il a recueilli le récit de Gianfranco Marocchi dont le surnom de cibiste était "CB Phantom", né en 1941 et à l'époque fonctionnaire dans une grande entreprise. Il est ditr qu'il se rappelle les faits "avec une extrême lucidité et force détails" mais avec une plus grande tranquillité et moins d'appréhension, y repensant encore de temps en temps tout au fond de lui-même, surtout à cause d'un message télépathique qu'il a reçu annonçant une prochaine visite.

Gianfranco Marocchi rapportait qu'entre la fin mars 1978 et le début d'avril 1978, par une soirée dégagée, vers 22:30 - 23:00, il roulait sur la route qui va de Tarcento dans la Province d'Udine vers le mont Bernadia. Il était avec son fils de 14 ans et voulait rejoindre un endroit haut pour mieux transmettre avec sa CB.

Alors qu'ils traversaient Cesariis di Lusevera, ils parlaient justement d'apparitions de lumières étranges ou de foudres globulaires survenues à cet endroit quelques jours avant lorsqu'en abordant un virage serré, ils ont vu quelque chose de lumineux dans le ciel, une lumière de type globulaire, initialement d'un blanc intense qui est devenue graduellement orangée, puis rougeâtre et plus brillante. En se rapprochant, elle a grandi et est descendue jusqu'à disparaître derrière une colline, comme si elle s'était posée à environ 400 mètres d'eux.

Stupéfait et probablement curieux, Mr. Marocchi a arrêté sa voiture sur le bas-côté, est descendu avec son fils; et s'est apprêté à gravir seul la pente qui menait au sommet de la colline où s'étendait un plateau.

En marchant, il a vu devant lui quelque chose ou quelqu'un de lumineux qui, apparemment, avait l'air d'être une lumière sans forme mais en avançant, il a vu que c'était un être d'environ deux mètres, imposant, large d'épaules et portant un "scaphandre" lumineux constitué d'une combinaison argentée brillante comparable aux armures médiévales mais d'aspect plus léger et plus étincelant, qui ressemblait selon le témoin à "une grille à larges mailles, comme du fil de fer qu'on aurait travaillé au crochet..." et lui donnait l'impression que ce tissu transmettait de la lumière par lui-même au lieu de la réfléchir, ne serait-ce que parce que l'unique source lumineuse des alentours était loin, derrière la créature et non en face. Cette combinaison n'avait pas de pli particulier, était faite de "morceaux assemblés" et était reliée à un casque par une espèce de fraise. Ce "heaume"était lui aussi lumineux, mais pas transparent, et le témoin n'a donc pas vu la tête et les traits du visage à l'intérieur.

Le témoin avait du mal à se rappeler les chaussures qui semblaient ne rien avoir de particulier et faisaient peut-être partie de la combinaison. Les mains de l'être étaient dans des gants blancs argentés.

L'être avançait dans une position plutôt droite, d'une démarche d'automate, d'un pas lent et lourd en pliant peu les genoux.

Tandis qu'ils s'approchaient l'un de l'autre, Mr. Marocchi a levé instinctivement le bras et a tendu la main pour le saluer. A cet instant il a pensé que quelqu'un envoyait des images, des visions à son cerveau, parce qu'il a pensé voir une sorte de vaisseau spatial classique en forme de "chapeau de curé" avec une partie très lumineuse sur le dessus qui variait de l'orange au bleu vers le bas et sur les bords.

De la partie inférieure de cette objet sortaient des faisceaux de lumière qui servaient apparemment d'ascenceur pour faire monter et descendre des créatures, et le témoin a pensé que cet astronef utilisait la lumière comme source d'énergie.

Ces visions ont duré seulement de courts instants. Le témoin et l'entité s'étant arrêtés face à face, leurs mains droites se touchaient presque. De la main gantée de l'être, des étincelles de couleur blanche et d'extrémité bleu ciel se sont échappées. Ces étincelles étaient très nombreuses et semblaient attirer la main du témoin qui commençait à être effrayé. Remarquant que sa main droite paraissait s'illuminer à son tour, il a saisit de la main gauche celle de l'extraterrestre pour s'en détacher.

L'être a fait quelques pas en arrière, s'est retourné, s'est éloigné, et en même temps, le témoin est reparti rapidement vers sa voiture, d'où son fils avait assisté à une grande partie des faits.

Une fois remonté dans le véhicule, le témoin allait remettre le moteur en route quand il a remarqué qu'au-delà de la colline, une luminosité augmentait, éclairant toute la zone. "L'OVNI s'éleva rapidement", s'arrêta un instant et est reparti dans la direction d'où il semblait être venu, le nord-est.

Le témoin a alors regardé ses mains, qui lui ont fait horreur parce que les deux paumes semblaient "tachetées", la peau se détachait et la chair était d'une impressionnante couleur rouge violacé. Jusque-là il n'avait ressenti aucune douleur mais dans la nuit, des douleurs ont commencé, qui ont persisté malgré les crèmes et les remèdes, et les plaies ne cicatrisaient pas.

Il n'a rien dit de ce qui lui était arrivé, même pas au médecin, par peur qu'on ne le croie pas ou qu'on se moque de lui.

Environ une semaine plus tard, un "facteur" a sonné chez lui. C'était un homme de 1m70 - 1m80 qui n'était pas la personne habituelle, et qui lui a fait signer un reçu en échange d'un petit paquet anonyme ficelé et scellé normalement mais sans cachet ni adresse d'expéditeur.

A l'intérieur, il y avait une petite boîte de pommade et un billet manuscrit détaillant la posologie, ainsi que le conseil de détruire la crème éventuellement en trop.

Le témoin s'en est servi avec succès, après deux-trois jours, ses blessures ont commencé à se cicatriser et la peau a repoussé. Le témoin a déclaré avoir jeté la pommade inutilisée parce que sur le moment cela lui avait semblé la meilleure chose à faire.

Dans les mêmes jours il a reçu la visite de deux étranges personnages arrivés en jeep noire, vêtus de noir, de haute taille, et qui se ressemblaient beaucoup entre eux "presque comme si on les avait photocopiés".

Après avoir sonné, ils ont dit à son épouse qu'ils voulaient parler avec lui de ce qui était arrivé, ce que le témoin a refusé, étonné que quelqu'un soit au courant de son expérience. A d'autres moments, le témoin a remarqué qu'il était suivi par de mystérieux hommes grands et vêtus de noir.

Tout cela lui a fait vivre de longues périodes d'anxiété qui le laissaient mal à l'aise et nerveux, il faisait fréquemment des cauchemars la nuit et dans son demi-sommeil, pensant recevoir des "messages" directement dans le cerveau selon lesquels les extraterrestres se manifesteraient de nouveau afin de lui donner la "preuve" que ce qu'il avait vécu était bien réel et non le fruit de son imagination.

Les jours suivants il a même reçu différents coups de fil durant lesquels des voix masculines au ton décidé et péremptoire l'invitaient à faire attention à ce qu'il disait car tout devait rester secret.

Cette version de 2003 correspond à des versions bien antérieures quant aux grandes lignes de l'expérience, toutefois, les versions antérieures donnent un contexte plutôt différent. Dans ces versions, le témoin, non nommé, était avec deux autres cibistes ou "amateurs de radio de Friuli", L. Spongero et L. Olivieri, pratiquant leur hobby sur le Mont Bernardia le 11 mars 1978, quand ont vu une boule orange passer au-dessus de leur voiture et atterrir dans les bois voisins. Ils se sont d'abord approchés, mais ont été effrayé par la lueur brillante de l'objet et sont partis.

L'un des trois, d'évidence Gianfranco Marocchi, a ensuite été poussé le 19 ou le 20 mars 1978 par "un message télépathique" à retourner sur les lieux, et c'est alors qu'à lieu la rencontre avec l'entité, et la poignée de main, sans qu'il soit question de la présence du fils puisqu'il est alors raconté qu'il a d'abord déposé son épouse et son fils à domicile avant d'aller sur les lieux. Les suites avec le "facteur", la pommade, et les "hommes en noir" ne sont pas cités dans ces versions antérieures.

Tableau des informations de base:

Numéro de cas: URECAT-001155
Date d'observation: 19 ou 20 mars 1978, ou entre fin mars et début avril 1978
Premier rapport: 1980?
Délai de rapport: Jour, deux ans?
Témoignage apporté via: Non connu.
Premier enregistrement allégué par: Enquêteur Antonio Chiumienti.
Premier enregistrement certain par: Catalogue d'ufologie HUMCAT.
Type premier enregistrement allégué: Enquêteur dans bulletin ufologique.
Type premier enregistrement certain: Catalogue d'ufologie.
Ce dossier créé le: 15 novembre 2009
Sa plus récente mise à jour: 15 novembre 2009
Pays de l'événement: Italie
Etat/Département: Udine
Type de lieu: Plateau près de route.
Conditions d'éclairage: Nuit
OVNI observé: Incertain
Arrivée OVNI observée: Non
Départ OVNI observé: Incertain
Relation OVNI/entité: Certaine
Nombre de témoins: 1 ou 2 ou 3
Ages des témoins: 37, 14
Types de témoins: Non rapporté. Homme, fonctionnaire dans grande société et cibiste, son fils
Photographies: Non.
Dessins par témoins: Non.
Dessins approuvé par témoins: Peut-être.
Nombre d'entités: 1
Type d'entités: Humanoïde
Taille d'entités: 2.0 mètres
Tenues d'entités: Une pièce moulant, lumineux, tissu en grille à larges mailles comme du fil de fer qu'on aurait travaillé au crochet, fait de morceaux assemblés, sans pli, casque cachant la face, gants blancs argentés.
Couleur des tenues d'entités: Argenté.
Couleur de peau d'entités: Non visible.
Corps des entités: Massif, large d'épaules, démarche robotique.
Têtes des entités: Sous casque, face non visible.
Yeux des entités: Non visible, sous casque.
Bouches des entités: Non visible, sous casque.
Nez des entités: Non visible, sous casque.
Pieds des entités: Incertain, chaussures.
Bras des entités: Non rapporté.
Doigts des entités: Sous gant blanc argenté.
Nb de doigts des entités: Non rapporté.
Pilosité des entités: Non visible.
Voix des entités: Aucune entendue. Message et vision télépathiques.
Actions des entités: Approche témoin, envoie visions et message, poignée de main, départ.
Interactions entités/témoins: Vision, message, poignée de main, visite "men in black", colis postal pommade.
Réactions des témoins: Observation, approche, geste, poignée de main, fuite.
Sentiments des témoins: Non effrayé puis effrayé.
Interprétations des témoins: Non rapporté.
Catégorie explicative: Récit de type "contacté", psychologique.
Certitude de l'explication: Moyenne.

Récits:

[Ref. rh1:] RICHARD HALL:

Richard Hall indique que selon Edoardo Russo, les premières observations d'intérêt de 1978 en Italie ont eu lieu dans les provinces nordiques, quand le 11 mars, trois amateurs de radio de Friuli, province d'Udine, pratiquaient leur hobby sur le Mont Bernardia où ont vu une boule orange passer au-dessus de leur voiture et atterrir dans les bois voisins.

Curieux, ils se sont approchés pour étudier mais ont été effrayé par la lueur brillante de l'objet atterri.

Le 20 mars, un des hommes a été invité par "un message télépathique" à retourner sur les lieux; là il a rencontré un humanoïde de 2 mètres de haut portant une tenue d'une seule pièce et un casque. L'être a tendu la main, et quand l'homme l'a prise il a senti de la douleur et a dû lutter pour se libérer de la prise.

L'être est alors retourné à un engin et a été transporté à l'intérieur par un faisceau de lumière conique.

Le témoin a signalé que sa main a brûlé pendant plusieurs semaines. Il a reçu un message que l'être reviendrait.

Richard Hall indique le cas en tant que l'un d'une vague importante d'observation d'OVNIS en Italie durant 1978, la plupart du temps dans la période allant d'octobre aux premiers jours de janvier 1979, avec plus de 500 cas enregistrés, avec au moins 130 d'entre eux à courte distance, 25 impliquant des entités humanoïdes. Ces observations avaient mené à des discussion sans précédent et publiques, même au Parlement italien, et ont été largement ignorées par les médias de nouvelles conventionnels aux Etats-Unis.

Richard Hall indique que ceci provient de données fournies par Edoardo Russo du Centra Ufologica Nazionale, Milan; Massimo Greco, Brescia; et Maurizio Verga, Cermenate.

[Ref. mv1:] MAURIZIO VERGA:

Maurizio Verga indique que le 11 mars 1978 à 19:30 à Ciseriis (Udine), un homme, avec deux de ses amis, Mr. L. Spongero et Mr. L. Olivieri, ont observé un étrange objet volant effectuant des manoeuvres au-dessus de leur voiture, puis atterrissant à 200 mètres d'eux. Les témoins ont approché l'objet mais quand il augmenta sa luminosité, ils se sont enfuis.

Le 19 mars 1978 à 00:30, le même témoin que pour l'observation précédente rentrait chez lui avec sa famille, en voiture, quand il a soudain reçu une sorte de "signal télépathique" le poussant à retourner sur les lieux de sa précédente observation.

Il a laissé sa femme et son fils chez lui, s'est dirigé vers Ciseriis et une fois arrivé s'est arrêté "dans un champ (devant la route)".

Il a soudain vu une créature étrange de 2 mètres de haut, en combinaison lumineuse très ajustée avec des bandes transversales, et un casque sur la tête, de forte stature. L'être s'est approché du témoin effrayé, lui a tendu la main. Le témoin était étrangement calme et ressentait une impression de "sérénité": il a donc serré instinctivement la main de l'être. Immédiatement après, il a ressenti une profonde douleur dans sa main. Il a tenté de se dégager mais l'intérieur de la main de la créature était visqueux et collant. Il est arrivé à se dégager à l'aide de son autre main.

La créature a regardé l'homme maintenant paniqué quelques instants, et s'est dirigé vers un étrange objet en forme de disque qui se trouvait à proximité, et que le témoin n'avais pas vu jusqu'alors.

L'OVNI a soudain émis trois rayons lumineux coniques, le rayon central a attiré l'être vers l'objet et l'a fait monter à bord. Immédiatement après, l'OVNI a décollé très rapidement en émettant une lueur rougeâtre intense.

Simultanément, l'homme aurait reçu mentalement le message: "Nous reviendrons et vous donnerons des informations... ne racontez pas ce qui vous est arrivé. La prochaine fois, nous vous apporterons quelque chose qui prouvera notre existence."

Par la suite, le témoin a ressenti une violente douleur dans les doigts de sa main droite, qui sont devenus plus sombres comme s'ils avaient été "tannés".

La source est indiquée comme "'NOTIZIARIO CTRU' N.4 Enquête de M. A. Chiumiento".

[Ref. gv1:] GENEVIEVE VANQUELEF:

Geneviève Vanquelef indique que le 19 mars 1978, à Ciserilo en Italie, l'un des trois témoins d'un atterrissage survenu 8 jours plus tôt, retournait sur les lieux. Il a aperçu une créature de 2 m de haut, casquée et moulée dans une combinaison grise. L'être donnait une impression de calme et de sérénité, et a tendu sa main vers l'Italien. Celui-ci l'a serrée sans hésitation mais a immédiatement ressenti une vive douleur. Il n'est arrivée à détacher sa main collée qu'avec l'aide de l'autre main. L'étrange créature a alors regardé sa victime puis s'est dirigée vers un objet rond qui reposait un peu plus loin. La main brûlée changea de couleur et s'est tannée.

Genevière Vanquelef indique que la source est "LDLN 207."

[Ref. ac1:] ANTONIO CHIUMIENTO:

L'ufologue italien indique qu'entre la fin mars 1978 et le début d'avril 1978, par une soirée dégagée, vers 22:30 - 23:00, Gianfranco Marocchi dont le surnom de cibiste était "CB Phantom", né en 1941 et à l'époque fonctionnaire dans une grande entreprise, roulait sur la route qui va de Tarcento dans la Province d'Udine vers le mont Bernadia. Il était avec son fils de 14 ans et voulait rejoindre un endroit haut pour mieux transmettre avec sa CB.

Alors qu'ils traversaient Cesariis di Lusevera, ils parlaient justement d'apparitions de lumières étranges ou de foudres globulaires survenues à cet endroit quelques jours avant lorsqu'en abordant un virage serré, ils ont vu quelque chose de lumineux dans le ciel, une lumière de type globulaire, initialement d'un blanc intense qui est devenue graduellement orangée, puis rougeâtre et plus brillante. En se rapprochant, elle a grandi et est descendue jusqu'à disparaître derrière une colline, comme si elle s'était posée à environ 400 mètres d'eux.

Stupéfait et probablement curieux, Mr. Marocchi a arrêté sa voiture sur le bas-côté, est descendu avec son fils; et s'est apprêté à gravir seul la pente qui menait au sommet de la colline où s'étendait un plateau.

En marchant, il a vu devant lui quelque chose ou quelqu'un de lumineux qui, apparemment, avait l'air d'être une lumière sans forme mais en avançant, il a vu que c'était un être d'environ deux mètres, imposant, large d'épaules et portant un "scaphandre" lumineux constitué d'une combinaison argentée brillante comparable aux armures médiévales mais d'aspect plus léger et plus étincelant, qui ressemblait selon le témoin à "une grille à larges mailles, comme du fil de fer qu'on aurait travaillé au crochet..." et lui donnait l'impression que ce tissu transmettait de la lumière par lui-même au lieu de la réfléchir, ne serait-ce que parce que l'unique source lumineuse des alentours était loin, derrière la créature et non en face. Cette combinaison n'avait pas de pli particulier, était faite de "morceaux assemblés" et était reliée à un casque par une espèce de fraise. Ce "heaume"était lui aussi lumineux, mais pas transparent, et le témoin n'a donc pas vu la tête et les traits du visage à l'intérieur.

Le témoin avait du mal à se rappeler les chaussures qui semblaient ne rien avoir de particulier et faisaient peut-être partie de la combinaison. Les mains de l'être étaient dans des gants blancs argentés.

L'être avançait dans une position plutôt droite, d'une démarche d'automate, d'un pas lent et lourd en pliant peu les genoux.

Tandis qu'ils s'approchaient l'un de l'autre, Mr. Marocchi a levé instinctivement le bras et a tendu la main pour le saluer. A cet instant il a pensé que quelqu'un envoyait des images, des visions à son cerveau, parce qu'il a pensé voir une sorte de vaisseau spatial classique en forme de "chapeau de curé" avec une partie très lumineuse sur le dessus qui variait de l'orange au bleu vers le bas et sur les bords.

De la partie inférieure de cette objet sortaient des faisceaux de lumière qui servaient apparemment d'ascenceur pour faire monter et descendre des créatures, et le témoin a pensé que cet astronef utilisait la lumière comme source d'énergie.

Ces visions ont duré seulement de courts instants. Le témoin et l'entité s'étant arrêtés face à face, leurs mains droites se touchaient presque. De la main gantée de l'être, des étincelles de couleur blanche et d'extrémité bleu ciel se sont échappées. Ces étincelles étaient très nombreuses et semblaient attirer la main du témoin qui commençait à être effrayé. Remarquant que sa main droite paraissait s'illuminer à son tour, il a saisit de la main gauche celle de l'extraterrestre pour s'en détacher.

L'être a fait quelques pas en arrière, s'est retourné, s'est éloigné, et en même temps, le témoin est reparti rapidement vers sa voiture, d'où son fils avait assisté à une grande partie des faits.

Une fois remonté dans le véhicule, le témoin allait remettre le moteur en route quand il a remarqué qu'au-delà de la colline, une luminosité augmentait, éclairant toute la zone. "L'OVNI s'éleva rapidement", s'arrêta un instant et est reparti dans la direction d'où il semblait être venu, le nord-est.

Le témoin a alors regardé ses mains, qui lui ont fait horreur parce que les deux paumes semblaient "tachetées", la peau se détachait et la chair était d'une impressionnante couleur rouge violacé. Jusque-là il n'avait ressenti aucune douleur mais dans la nuit, des douleurs ont commencé, qui ont persisté malgré les crèmes et les remèdes, et les plaies ne cicatrisaient pas.

Il n'a rien dit de ce qui lui était arrivé, même pas au médecin, par peur qu'on ne le croie pas ou qu'on se moque de lui.

Environ une semaine plus tard, un "facteur" a sonné chez lui. C'était un homme de 1m70 - 1m80 qui n'était pas la personne habituelle, et qui lui a fait signer un reçu en échange d'un petit paquet anonyme ficelé et scellé normalement mais sans cachet ni adresse d'expéditeur.

A l'intérieur, il y avait une petite boîte de pommade et un billet manuscrit détaillant la posologie, ainsi que le conseil de détruire la crème éventuellement en trop.

Le témoin s'en est servi avec succès, après deux-trois jours, ses blessures ont commencé à se cicatriser et la peau a repoussé. Le témoin a déclaré avoir jeté la pommade inutilisée parce que sur le moment cela lui avait semblé la meilleure chose à faire.

Dans les mêmes jours il a reçu la visite de deux étranges personnages arrivés en jeep noire, vêtus de noir, de haute taille, et qui se ressemblaient beaucoup entre eux "presque comme si on les avait photocopiés".

Après avoir sonné, ils ont dit à son épouse qu'ils voulaient parler avec lui de ce qui était arrivé, ce que le témoin a refusé, étonné que quelqu'un soit au courant de son expérience. A d'autres moments, le témoin a remarqué qu'il était suivi par de mystérieux hommes grands et vêtus de noir.

Tout cela lui a fait vivre de longues périodes d'anxiété qui le laissaient mal à l'aise et nerveux, il faisait fréquemment des cauchemars la nuit et dans son demi-sommeil, pensant recevoir des "messages" directement dans le cerveau selon lesquels les extraterrestres se manifesteraient de nouveau afin de lui donner la "preuve" que ce qu'il avait vécu était bien réel et non le fruit de son imagination.

Les jours suivants il a même reçu différents coups de fil durant lesquels des voix masculines au ton décidé et péremptoire l'invitaient à faire attention à ce qu'il disait car tout devait rester secret.

Vingt-cinq ans plus tard, interrogé par l'auteur, il se rappelle les faits "avec une extrême lucidité et force détails" mais avec une plus grande tranquillité et moins d'appréhension, y repensant encore de temps en temps tout au fond de lui-même, pensant surtout au message qu'il a reçu quant à leur prochaine visite.

[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:

Albert Rosales indique dans son catalogue qu'au Mt. Bernardia, Udine, Italie, le 20 mars 1978, dans la nuit, le 3 de ce mois les témoins avaient vu une grande sphère orange passer au-dessus de leur voiture et atterrir en un secteur boisé voisin, ils sont devenus effrayés et sont partis. A la date du 20, l'un d'eux a reçu un message télépathique l'invitant à retourner sur les lieux. Là il a rencontré un humanoïde très grand portant un tenue d'une seule pièce et un casque. L'être a tendu sa main et quand le témoin l'a prise il a senti une douleur et a dû lutter pour se libérer de la prise. L'être a alors été transporté dans l'engin par un faisceau de lumière conique. Le témoin a souffert de brûlures à la main.

Albert Rosales indique que la source est "Richard Hall, Mufon Journal N.153."

[Ref. ud1:] SITE WEB "UFODNA":

Le site web indique que le 20 mars 1978, à 19:30, à Ciserilo, Italie, il y a eu "un incident de fantôme", "une rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. Un témoin masculin a observé un objet non identifié à courte distance et ses occupants à une montagne."

Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Bullard, Thomas E., UFO Abductions: The Measure of a Mystery. Volume 1: Comparative Study of Abduction Reports, FUFOR, Bloomington, 1987.

Points à considérer:

Le fait qu'il y a une contradiction importante entre la version initiale et la version de 2003 est une des raisons de douter de la réalité de la rencontre alléguée. Tous les deux ne peuvent pas être vrais: ou bien le témoin était avec son fils, ou bien il avait déposé fils et épouse à la maison avant la rencontre. Ou bien la rencontre a été le fruit du hasard, ou bien il a été poussé par un "message télépathique" à aller sur les lieux.

Mon impression globale est qu'il n'y a rien de plus ici qu'un récit changeant, bien loin d'un cas enquêté. Le fils, l'épouse, les deux autres hommes, n'ont apparemment pas été interrogés. Aucune évidence n'a été recherchée, et, de la façon typique des affirmations de "contactés", une preuve matérielle qui devrait avoir été produite, la pommade, a été commodément jetée.

Liste de problèmes:

Id: Sujet: Sévérité: Noté le: Soulevé par: Noté par: Description: Proposition: Statut:
1 Données Grave 15 novembre 2009 Patrick Gross Patrick Gross Source primaire non disponible. Aide nécessaire. Ouvert.
2 Ufologie Grave 15 novembre 2009 Patrick Gross Patrick Gross Aide nécessaire. Ouvert.
3 Ufologie Grave 15 novembre 2009 Patrick Gross Patrick Gross Aide nécessaire. Ouvert.

Evaluation:

Récit de type "contacté", psychologique.

Références des sources:

* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.

Histoire du document:

Rédaction

Auteur principal: Patrick Gross
Contributeurs: Aucun
Reviewers: Aucun
Editeur: Patrick Gross

Historique des changements

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0.1 Patrick Gross 15 novembre 2009 Création, [rh1], [mv1], [gv1], [ac1], [ar1], [ud1].
1.0 Patrick Gross 15 novembre 2009 Première publication.

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