L'ufologue Russe Boris Shurinov a raporté en 1995 indique qu'il y a eu un cas d'hommes volants à Tbilissi, qu'il connaît personnellement le major de milice A. Boukhrachvili, témoin unique des événements.
Une nuit de février 1978, ce major s'est réveillé aux environs de trois heures du matin à cause d'une rage de dent. Il allait chercher à la cuisine un calmant quand il a vu par la fenêtre un objet d'une forme étrange volant dans la direction de sa maison, qui se trouve sur une forte élévation par rapport aux maisons voisines.
Sûr de voir un nouvel appareil volant secret de l'armée, il est sorti sur la véranda pour mieux suivre le vol de l'objet inconnu, mais ce dernier s'est perdu du côté des montagnes derrière sa maison.
C'est à ce moment-là, la tête levée vers le ciel, que le major a remarqué deux points noirs dans le ciel qu'il a d'abord pris pour des oiseaux mais qui se sont révélés être deux hommes en scaphandres qui ont atterrit sur la véranda, "Ils furent en un instant debout devant moi", a-t-il dit.
L'un était plus grand que l'autre, mesurant à peu près deux mètres. Ils avaient les yeux derrière une plaque transparente de leurs casques.
D'après le témoin, ils parlaient un très bon Géorgien. Il les entendait, ce qui est un mystère pour lui puisqu'ils avaient des casques qui couvraient entièrement leurs visages et qu'il ne voyait que des yeux, et encore très vaguement à travers ce qu'il appelle "glace".
Les hommes du ciel lui ont proposé de partir avec eux et le major a répondu qu'il était d'accord à condition de prendre sa femme et ses enfants. Tout en parlant avec eux, il cherchait une possibilité quelconque d'entrer à la maison pour y prendre son revolver.
Boris Shurinov dit savoir qu'au cours de sa carrière, le témoin a risqué sa vie plus d'une fois en faisant des choses incroyables en face du danger imminent, mais cette fois tout fut différent: "J'ai été à leur merci. Aucune possibilité de me défendre, l'impuissance absolue... Je parlais pour gagner du temps, je les invitais à la maison. Mon dernier argument: 'Je ne peux pas partir avec vous à cause de ma maladie de coeur.'" Il se plaignait en effet depuis un certain temps de son coeur.
Le plus grand a lors tendu le bras avec quelque chose qui au toucher avait la forme d'un petit cube, "un dé", a dit le témoin qui l'a mis dans la bouche cédant aux instances du grand.
Le témoin ne se rappelle pas comment étaient les mains et les pieds. Boris Shurinov s'en est étonné, le major lui a répondu que "Quand vous sentez le danger potentiel émanant de la personne en face de vous, vous n'avez pas le temps d'examiner ses mains et ses bras. Vous regardez dans les yeux sans perdre ses mains et ses pieds de vue mais c'est automatique. J'ai pris ce 'dé' automatiquement."
Juste à ce moment-là, le témoin a entendu un signal, un sifflement. Il ne sait pas comment, mais il est sûr d'avoir entendu ce sifflement, les deux hommes ont serré les mains "comme s'ils exécutaient l'ordre 'les mains sur la couture!'" et se sont envolés pour devenir deux points noir dans le ciel et disparaître dans la direction suivie auparavant par l'objet inconnu.
Le lendemain, le major a commencé sa journée de travail par une visite à son supérieur, lequel a écouté son rapport sans poser aucune question et sans donner une suite quelconque à toute cette histoire.
Lors du séjour de Shurinov à Tbilissi, un docteur en médecine, ami du major le taquinait en dépassant toutes les limites admissibles même entre des amis. Quand il est resté seul avec le médecin celui-ci a remarqué: "Eh bien, on peut dire tout ce qu'on veut mais, chose étrange, il ne parle plus de son coeur!"
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[Ref. bs1:] BORIS SHURINOV:
L'ufologue Russe indique qu'il y a eu un cas d'hommes volants à Tbilissi, qu'il connaît personnellement le major de milice A. Boukhrachvili, témoin unique des événements.
Une nuit de février 1978, ce major s'est réveillé aux environs de trois heures du matin à cause d'une rage de dent. Il allait chercher à la cuisine un calmant quand il a vu par la fenêtre un objet d'une forme étrange volant dans la direction de sa maison, qui se trouve sur une forte élévation par rapport aux maisons voisines.
Sûr de voir un nouvel appareil volant secret de l'armée, il est sorti sur la véranda pour mieux suivre le vol de l'objet inconnu, mais ce dernier s'est perdu du côté des montagnes derrière sa maison.
C'est à ce moment-là, la tête levée vers le ciel, que le major a remarqué deux points noirs dans le ciel qu'il a d'abord pris pour des oiseaux mais qui se sont révélés être deux hommes en scaphandres qui ont atterrit sur la véranda, "Ils furent en un instant debout devant moi", a-t-il dit.
L'un était plus grand que l'autre, mesurant à peu près deux mètres. Ils avaient les yeux derrière une plaque transparente de leurs casques.
D'après le témoin, ils parlaient un très bon Géorgien. Il les entendait, ce qui est un mystère pour lui puisqu'ils avaient des casques qui couvraient entièrement leurs visages et qu'il ne voyait que des yeux, et encore très vaguement à travers ce qu'il appelle "glace".
Les hommes du ciel lui ont proposé de partir avec eux et le major a répondu qu'il était d'accord à condition de prendre sa femme et ses enfants. Tout en parlant avec eux, il cherchait une possibilité quelconque d'entrer à la maison pour y prendre son revolver.
Boris Shurinov dit savoir qu'au cours de sa carrière, le témoin a risqué sa vie plus d'une fois en faisant des choses incroyables en face du danger imminent, mais cette fois tout fut différent: "J'ai été à leur merci. Aucune possibilité de me défendre, l'impuissance absolue... Je parlais pour gagner du temps, je les invitais à la maison. Mon dernier argument: 'Je ne peux pas partir avec vous à cause de ma maladie de coeur.'" Il se plaignait en effet depuis un certain temps de son coeur.
Le plus grand a lors tendu le bras avec quelque chose qui au toucher avait la forme d'un petit cube, "un dé", a dit le témoin qui l'a mis dans la bouche cédant aux instances du grand.
Le témoin ne se rappelle pas comment étaient les mains et les pieds. Boris Shurinov s'en est étonné, le major lui a répondu que "Quand vous sentez le danger potentiel émanant de la personne en face de vous, vous n'avez pas le temps d'examiner ses mains et ses bras. Vous regardez dans les yeux sans perdre ses mains et ses pieds de vue mais c'est automatique. J'ai pris ce 'dé' automatiquement."
Juste à ce moment-là, le témoin a entendu un signal, un sifflement. Il ne sait pas comment, mais il est sûr d'avoir entendu ce sifflement, les deux hommes ont serré les mains "comme s'ils exécutaient l'ordre 'les mains sur la couture!'" et se sont envolés pour devenir deux points noir dans le ciel et disparaître dans la direction suivie auparavant par l'objet inconnu.
Le lendemain, le major a commencé sa journée de travail par une visite à son supérieur, lequel a écouté son rapport sans poser aucune question et sans donner une suite quelconque à toute cette histoire.
Lors du séjour de Shurinov à Tbilissi, un docteur en médecine, ami du major le taquinait en dépassant toutes les limites admissibles même entre des amis. Quand il est resté seul avec le médecin celui-ci a remarqué: "Eh bien, on peut dire tout ce qu'on veut mais, chose étrange, il ne parle plus de son coeur!"
Une illustration non signée montre:
Le témoin est unique, la source du cas est unique, aucun élément de corroboration ne semble indiqué.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Ufologie | Grave | 11 novembre 2011 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas à témoin unique. | - | - |
2 | Ufologie | Grave | 11 novembre 2011 | Patrick Gross | Patrick Gross | Il s'agit plus d'un récit recueilli que d'une enquête. | - | - |
3 | Ufologie | Grave | 11 novembre 2011 | Patrick Gross | Patrick Gross | Rien n'est dit d'une opinion des amis du témoin sur l'affaire. | - | - |
3 | Ufologie | Grave | 11 novembre 2011 | Patrick Gross | Patrick Gross | Des données manquent, comme la couleur des tenus, la teneur de la conversation, la durée, la description de l'OVNI. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Visiteurs extraterrestres ou invention.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 11 novembre 2011 | Création, [bs1]. |
1.0 | Patrick Gross | 11 novembre 2011 | Première publication. |