Diverses sources ufologiques résumées indiquent que le 12 mars 1977, ou en mars 1977, à Gisborne, Nouvelle Zélande, à 01:00 heures du matin, trois femmes non nommées campaient sur une colline raide pour chercher à observer des OVNIS, lors d'une vague d'observations, bavardant de temps en temps. Elles ont somnolé.
Elles se sont rappelés s'être réveillées en état de panique et s'être sauvé vers leur voiture. Incapable de rendre compte de deux heures, ce qui est normal s'il y avait sommeil, l'une d'elle a dit lors de sessions d'hypnose destinées à révélées si elles avaient été enlevées par des extraterrestres, qu'elle s'est soudainement réveillée à 01:00 heure du matin et a touché une botte métallique. Elle s'est retournée pour ne pas voir le personnage, a regardé ses amies endormies, est restée calme, et s'est rendormie.
Dans le récit sous hypnose, elle est menée dans une petite salle multicolore et a communiqué par télépathie avec des êtres masculins décrits comme étant des humains normaux portant des combinaisons et des bottes blanches. Elle dit avoir vu une autre des femmes dans l'engin, puis un rayon l'a ramené à la colline. Elle a commencé à donner des coups de pied, toujours dans son sommeil, réveillant ses compagnes, et c'est alors qu'elles ont toutes paniqué et se sont sauvé.
Il ne semble y avoir aucun souvenir conscient d'une observation d'OVNI ou d'occupants ou d'enlèvement, l'information que les femmes étaient somnolentes ou endormies étant généralement qualifié de "missing time" dans les résumés ufologiques.
Seuls de brefs résumés semblent disponibles sur le cas, et un des problèmes est que la date de l'observation varie de mars 1977, 11 mars 1977, 12 mars 1977, mars 1978, 11 mars 1978.
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[Ref. kb2:] KEITH BASTERFIELD:
Keith Basterfield indique que le cas UFORA89017 est qu'en mars 1977 à Gisborne, Nouvelle Zélande, il y a eu un récit complexe au moment de la "vague" de Gisborne, comportant des veillées d'obseravtion du ciel, des observations multiples d'OVNIS, des événements peu ordinaire et une abduction possible.
Il indique que la source est lui-même et UFORA-NSW.
[Ref. kb3:] KEITH BASTERFIELD:
L'ufologue indique qu'en mars 1978 à Gisborne, Nouvelle Zélande, trois femmes ont été impliqués dans un cas apparent d'abduction au milieu d'une grande vague d'OVNIS près cette ville qui a commencé en 1977. Une nuit, les femmes se trouvaient sur un flanc de colline, observant les cieux, et ont estimé qu'un "missing time" s'est produit. Peu de temps après l'événement, une session de régression hypnotique a été arrangée et un scénario d'abduction s'est révélé. En 1989 pendant une enquête rétrospective par Keith Basterfield et Bill Chalker, une session de régression a été menée avec "P"; ce qui a révélé un récit d'être attiré dans un faisceau de lumière; de voir une des autres femmes à l'intérieur de l'OVNI, de parler à une entité masculine. Les trois femmes se sont ensuite retrouvées sur le flanc de la colline.
Keith Basterfield indique que les sources sont UFORA89017; enquête originale par Bryan Dickeson; enquête rétroactive par Keith Basterfield et Bill Chalker; et Dykes, M. (1981), "Strangers In Our Skies" INL Lower Hutt. pp46-49.
[Ref. kb4:] KEITH BASTERFIELD:
L'ufologue indique qu'en mars 1978 à Gisborne, Nouvelle Zélande, trois femmes ont été impliqués dans un cas apparent d'abduction au milieu d'une grande vague d'OVNIS près cette ville qui a commencé en 1977. Une nuit, les femmes se trouvaient sur un flanc de colline, observant les cieux, et ont estimé qu'un "missing time" s'est produit. Peu de temps après l'événement, une session de régession hypnotique a été arrangée et un scénario d'abduction s'est révélé. En 1989 pendant une enquête rétrospective par Keith Basterfield et Bill Chalker, une session de régression a été menée avec une des femmes; ce qui a révélé un récit d'être attiré dans un faisceau de lumière; de voir une des autres femmes à l'intérieur de l'OVNI, de parler à une entité masculine, et que chacune des trois femmes était ensuite de retour sur le flanc de la colline.
Les sources sont indiquéEs comme "Enquête originale UFORA89017 par Bryan Dickeson. 1989 par Keith Basterfield et Bill Chalker."
[Ref. kb1:] KEITH BASKERFIELD:
L'ufologue australien indique dans un catalogue qu'en mars 1978, à Gisborne, Nouvelle Zélande, trois femmes ont été impliqué dans un cas d'abduction au milieu d'une grande vague d'OVNI près de cette ville qui avait commencé en 1977.
Les femmes se trouvaient sur un flanc de colline observant les cieux une nuit et ont senti qu'une période de "missing time" s'est produite.
Peu de temps après cet événement, une session de régression hypnotique a été arrangée et un scénario d'abduction a été indiqué.
En 1989, une enquête rétrospective par Keith Basterfield et Bill Chalker ont inclus une session de régression hypnotique avec l'une des femmes, indiquant un récit d'une expérience dans laquelle elle a été tiré vers le haut par un rayon de lumière, voyant une des autres femmes à l'intérieur de l'OVNI, et parlant à une entité masculine. Chacune des trois femmes a été ensuite ramenée sur le flanc de colline.
Keith Baskerfield précise que l'enquête initiale avait été menée par Bryan Dickeson, et que le cas est raconté dans "Strangers In Our Skies" by M. Dykes, 1981, INL. Lower Hutt. pp 46-49.
[Ref. bh1:] ROBERT E. BARTHOLOMEW ET GEORGE S. HOWARD:
Les auteurs indiquent que le 12 mars 1977, à Gisborne, Nouvelle Zélande, à 01:00 heures du matin, trois femmes, "B", "S", et "1" campaient sur une colline raide pour chercher à observer des OVNIS pendant une vague d'observations, bavardant de temps en temps. Elles ont somnolé.
Elles se sont rappelés s'être réveillées simultanément en état de panique et s'être sauvé à leur voiture. Incapable de rendre compte de deux heures, "B" a dit sous hypnose qu'elle s'est soudainement réveillée à 01:00 heure du matin et a touché une botte métallique. Elle s'est retournée pour ne pas voir le personnage, a regardé ses amies endormies, est restée calmes, et s'est rendormie.
"B" a été menée à une petite salle multicolore et a communiqué par télépathie avec les êtres masculins d'aspect humain normaux portant les combinaisons et des bottes blanches. Elle a également vu "S" dans l'engin, puis le rayon l'a ramené à la colline et elle a commencé à donner des coups de pied dans son sommeil, réveillant ses compagnes. Elles ont toutes paniqué et se sont sauvé.
Les auteurs indiquent que la source est M. Dykes, dans Strangers in Our Skies: UFOs Over New Zealand, Lower Hutt, Wellington, Nouvelle Zélande, INL Publications, 1981.
[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
L'ufologue indique qu'en "mars 1978", en Nouvelle Zélande à "Gisbome", trois femmes, couchées à flanc de colline pour observer le ciel dans la soirée, ont senti qu'un "missing time" s'était produit. Peu de temps après cet épisode, une régression hypnotique a été décidée et un scénario d'abduction a alors été révélé. En 1989, une nouvelle régression eut lieu à l'instigation des enquêteurs Keith Basterfield et Bill Chalker, à propos desquels Godelieve van Overmeire commente que "des enquêteurs pareils, il faudrait les faire régresser jusqu'à leur "non conception" à mon avis!"; et il y eut alors un supplément d'information, comme celle d'un faisceau de lumière, ou celle de voir l'une des autres femmes parlant à une entité mâle.
L'ufologue commente: "comme tout ceci est vachement intéressant... fallait-il vraiment hypnotiser à deux fois cette femme pour obtenir de si maigres résultats?"
Les sources sont indiquées comme "UFORA89017. Enquête originale par Bryan Dickeson. Enquête rétroactive par Keith Baskerfield & Bill Chalker. Voir aussi Dykes, M. (1981). "Strangers In Our Skies." INL Lower Hutt.pp46-49.)"
[Ref. js1:] JOHN SCHUESSLER:
L'ufologue Etats-Unien a résumé qu'en mars 1978, à Gisborne, Nouvelle Zélande, trois femmes ont été enlevées d'un flanc de colline, attirée vers le haut dans un faisceau de lumière, et elles ont parlé à un être masculin tandis qu'elles étaient à l'intérieur de l'engin.
John Schuessler indique que la source est UFO Research Australia, avril 1991.
[Ref. aa1:] UFO ON-LINE:
Un résumé sur ce site Internet indique qu'en mars 1977, à Gisborne, Nouvelle Zélande, trois femmes ont été impliquées dans un cas apparent d'abduction au milieu d'un grande vague d'OVNI. La régression hypnotique sur une des femmes a indiqué un récit d'entrée dans un objet et qu'elle a parlé à une entité.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Waimata Valley, Nouvelle Zélande, le 11 mars 1978, à 2300, les trois témoins campaient sur l'emplacement d'un tumulus funéraire maori quand l'un d'eux s'est réveillé soudainement et a vu un être les regarder. Son souvenir s'est arrêté là; à 0400 du matin tous les trois se sont réveillés et ont quitté le secteur. Sous hypnose un des témoins s'est rappelé qu'elle et un de ses compagnons ont été pris à bord d'un engin en forme de disque lumineux avec un dôme par un faisceau de lumière. Un humanoïde étant de statuer moyenne et portant des bottes argentées à longueur de mollet est venu à leur rencontre à l'intérieur. Il a communiqué par télépathie et les a avertis de se taire au sujet de l'expérience.
Albert Rosales indique que la source est "Thomas E Bullard, UFO Abductions The Measure of A Mystery."
La "vague de Gisborne" de la fin des années 70 et du début des années 80 avait été une période intense de rapports d'observations OVNIS sur le secteur de Gisborne et le nord-est de sa région de côtière. Les ufologues locaux indiquent qu'il y avait tant de rapports que des groupes de recherche ont pris naissance localement pour examiner directement les rapports. A cette occasion, l'ufologie Néo-Zélandaise a rendu compte pour la première fois d'expériences d'enlèvement OVNI.
Cependant, dans le cas présent, les événements peuvent être vus comme toute à fait autre qu'un enlèvement de trois femmes par des extraterrestres.
Un premier élément, qui n'apparaît dans ce dossier que dans la seule source "sceptique" alors qu'il est d'importance, est que les trois femmes s'étaient installé cette nuit là sur le flanc de colline précisément pour attendre de voir des OVNIS, ce qui pose d'ores et déjà un contexte dans lequel l'idée des extraterrestres est l'idée importante dans leurs esprits.
Le deuxième élément, encore une fois donné seulement par la source "sceptique", et qu'il semble bien que les femmes aient somnolés, ou se soient endormies. Cela n'a rien de surprenant. Ce qui devrait alors paraître suspect aux enquêteurs est cette idée de "missing time" ou temps manquant, qui semble être ici un temps pendant lequel les femmes ou l'une de femmes ne sait pas dire ce qui s'est passé. En quoi serait-ce surprenant ou anormal, si les femmes s'étaient endormies?
Cela se poursuit par une agitation dans le sommeil, avec un extraterrestre que la femme ne veut pas voir, elle lui tourne le dos, regarde ses compagnes, qui sont bien là et endormies. Ceci en soit a déjà un fort air de mauvais sommeil, ou de cauchemar, voir d'hallucination hypnagogique. Si cette femme dormait, avait fait un cauchemar, avec des extraterrestres qui l'enlèvent, thème peu étonnant puisque les femmes attendaient des OVNIS, il n'y a rien d'étonnant à ce que réveillée, elle soit prise de panique, réveille les autres femmes, et que toutes se sauvent.
Ce qui parait clair est qu'aucune OVNI n'a été vu du tout, ni même d'entité extraterrestre.
Il n'y a toujours rien d'étonnant à ce que par la suite, des enquêteurs utilisant l'hypnose "révèlent" un scénario d'abduction: ce scénario, si la femme a fait un cauchemar dans lequel elle est enlevée par des extraterrestres, existe bel et bien dans son esprit, mais fortement oublié, comme la plupart des rêves ou des cauchemars. L'hypnotiseur n'a alors pas besoin d'extirper une récit inventé par pure confabulation - ce qui l'on ne pourrait d'ailleurs pas exclure - puisque le récit est bien "là" dans son esprit, mais pas à titre de "souvenir conscient."
Il y a donc ici un contexte presque parfait pour un scénario d'abduction non réel, mais correspondant à quelque chose de réel: le rêve ou le cauchemar, "ressorti" des limbes de l'esprit par la technique de l'hypnose, fort en vogue à cette période mais de laquelle les ufologues sérieux se méfient maintenant, à juste raison.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 14 juin 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Pas de rapport d'enquête détaillé disponible. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 14 juin 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Ni OVNI ni occupants vus en état conscient. Entités et enlèvement "révélé" par sessions d'hypnose. | - | - |
3 | Ufologie | Grave | 14 juin 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Trois témoins mais un seul témoignage est décrit. Information disponible généralement insuffisante. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
4 | Ufologie | Grave | 14 juin 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Nombreux éléments d'importance curieusement omis des résumés à l'exception d'un résumé par des auteurs sceptiques. | - | - |
5 | Ufologie | Grave | 14 juin 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Témoins assoupis ou somnolents ou endormis au moment des événements. | - | - |
6 | Ufologie | Grave | 14 juin 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Témoins explicitement "en attente" d'OVNIS, dans un contexte de vague d'OVNIS. | - | - |
7 | Ufologie | Grave | 14 juin 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Age, occupations, profils des témoins non disponibles. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Probable cauchemar ramené au conscient par hypnose.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 14 juin 2007 | Création, [kb1], [bh1], [js1], [aa1]. |
1.0 | Patrick Gross | 14 juin 2007 | Première publication. |
1.1 | Patrick Gross | 21 décembre 2011 | Additions [kb2], [kb3], [kb4], [js2], [go1], [ar1]. Dans le résumé, addition du dernier paragraphe commençant par "Seuls de brefs résumés..." |