Le 7 octobre 1975, le charpentier Robert Suffern, 27 ans, de Bracebridge, Ontario, a reçu un appel téléphonique de sa soeur qui vivait non loin et lui a recommandé d'aller vérifier une lueur étrange qui a semblé venir d'une grange des environs et dont elle a pensé que ce pourrait être un incendie. Suffern a pris sa voiture et est allé vérifier, mais il n'y avait rien. Ensuite, il a vu, posé sur un chemin qui est allé au lac, devant sa voiture, un objet en forme de soucoupe dont il a estimé les dimensions comme approximativement 3,5 mètres à 4 mètres de diamètre et 2,5 mètres de haut. L'engin n'a montré aucune lumière ou signe de vie, et avant qu'il ait pu arrêter sa voiture, l'objet a décollé sans faire de poussière et sans moyen de propulsion apparents et est parti droit vers le haut et au-dessus des arbres.
Suffern a indiqué qu'il a été terrifié, et a décidé de rentrer chez lui au lieu d'aller chez sa soeur. Il a alors bientôt vu sur la route juste devant sa voiture, une créature de 1.20 mètres de haut, humanoïde, avec deux bras et deux jambes, des épaules très larges, disproportionnées comparé à son corps, qui portait une tenue grise argentée ayant l'aspect de papier aluminium, et un casque sphérique de couleur plus claire. Suffern a actionné les freins et sa voiture a dérapé sur le gravier, évitant la créature de seulement quelques centimètres. Celle-ci a couru vers le bord de la route, a sauté par-dessus un taillis et a disparu dans un champ. Quand elle est arrivée à une barrière, elle a mis les mains sur un poteau et est passée au-dessus de la barrière sans le moindre effort, comme si elle était légère.
Suffern est retourné chez lui, où le son et l'image de sa TV se sont soudainement éteints. Il a alors regardé par la fenêtre et a vu l'OVNI planer maintenant à quelques mètres au-dessus de la route. Il a ensuite fait le tour d'un pylône et a été perdue de vue dans le ciel nocturne. Cette partie de l'histoire est immédiatement parue dans les journaux. Le reste de l'histoire semble provenir d'ufologues du CUFORN, qui ont noté que Suffern a été assiégé par des journalistes, des ufologues et des curieux, et qu'il s'en est tenu à son histoire devant tous sans en démordre.
Le 15 juillet 1976, un enquêteur du CUFORN lui a rendu visite et l'a décrit en comme étant une personne très équilibrée. Suffern a parlé librement au sujet de son observation pendant 5 heures. L'homme du CUFORN a découvert que le couple Suffern ont pensé tout savoir au sujet des OVNIS, bien qu'ils n'aient pas attaché en beaucoup en d'importance et n'aient parlé à personne au sujet des suites de l'observation, qu'ils ont alors expliqué. Suffern a indiqué que le 12 décembre 1975, tandis que leur ferme commençait à retrouver un peu de paix après avoir été assaillie pendant des semaines par les curieux, ils ont été visités par trois hommes qui avaient été annoncés à eux en date de novembre 1975. Suffern a affirmé que ces personnes étaient munies de lettres d'accréditation impressionnantes et se sont présentés comme de haut responsables des forces canadiennes d'Ottawa, de l'Armée de l'Air des Etats-Unis et du service secret de l'US Navy. Ils ont interviewé Suffern au sujet de son observation et ont franchement répondu à toutes les questions.
Suffern affirme qu'il leur avait demandé si ce qu'il a vu était quelque engin secret du gouvernement, mais ils lui ont dit que que ce qu'il a vu étaient un vaisseau spatial extraterrestre en difficulté, et lui ont même présenté des excuses au sujet de ce qu'ils ont appelé une "erreur." Ils ont déclaré que les gouvernements américains et canadiens coopèrent avec des extraterrestres depuis 1943 et connaissent leurs mouvements sur notre planète. Les Suffern assurent que ces hommes disaient la vérité parce qu'ils savaient l'heure exacte de l'incident, tandis qu'ils ne l'avaient jamais indiqué à quiconque, et qu'ils étaient au courant d'autres observations d'OVNIS à la ferme, qu'ils n'avaient jamais rapportées. Suffern a indiqué qu'alors que les ufologues amateur qui lui ont rendus visite ne savaient pas grand chose au sujet des extraterrestres, ces officiers en savaient beaucoup plus et ont même produit des photographies rapprochées d'OVNIS et d'autres documents.
Cette deuxième partie de l'histoire, au contenu plutôt incroyable, semble avoir été diffusée par des gens du CUFORN, et avoir fait son chemin dans le célèbre livre de Charles Berlitz sur la prétendue "expérience de Philadelphie" parce que les Suffern ont parlé d'un premier contact entre les extraterrestres et des personnes officielles en 1943 et que la prétendue expérience de Philadelphie a eu lieu cette année-là. Les rapports et les transcriptions d'interview au sujet de ces déclarations de Robert Suffern ne semblent pas être disponibles dans la littérature ufologique.
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[Ref. lf1:] LONDON FREE PRESS:
UN HOMME 'SECOUE' PAR UNE CREATURE DE L'ESPACEQue faut-il faire... leur offrir une bière?BRACEBRIDGE (CP) - Robert Suffern de Three Mile Lake dit qu'un vaisseau spatial a atterri à environ 13 miles au nord-ouest ici dans la nuit de mardi et qu'il a presque renversé un de ses occupants avec sa voiture. Mr. Suffern a dit mercredi que le vaisseau avait environ 12 à 14 pieds de large, neuf pieds de haut et était de forme circulaire. "Il y avait une bande noire courant autour de sa circonférence et ce qui a semblé être une petite plate-forme au dessous du véhicule," a-t-il dit. "A part cela il n'y avait aucune inscription ou antenne ou quoi que ce soit." Mr. Suffern a dit qu'il a trouvé ce vaisseau alors qu'il conduisait dans les environs pour enquêter sur "une lueur dans le ciel" vue par sa soeur, qui vit tout près et lui avait téléphoné pour lui dire qu'elle pensait que sa grange pourrait être en feu. Le vaisseau était garé sur une route de petite propriété qui menait au lac. Il a dit que quelques secondes après qu'il l'ait vu, le vaisseau s'est soulevé droit vers le haut depuis la route devant sa voiture. "Il n'y avait eu aucune poussière soulevée, aucune poussée apparente, rien," a-t-il dit, "il est parti droit vers le haut et au-dessus des arbres." M. Suffern a dit qu'il a fait un demi-tour et s'est dirigé vers sa maison. Cependant, quand il a atteint le sommet d'une colline, il a dû enfoncer ses freins pour éviter de heurter "une certaine sorte de créature." La créature était, dit-il, de la taille de l'amortisseur de la voiture et habillée en argenté. Elle avait deux jambes, deux bras, un casque en forme de globe et marchait "comme une sorte de nain." "Son casque était légèrement plus clair de couleurs et sa tenue spatiale était comme du papier d'aluminium, qui aurait été froissé et aplati," a-t-il dit. La créature a tourné, a fait trois ou quatre pas, a sauté au-dessus d'une barrière et a disparu. M. Suffern a dit qu'il a foncé vers sa maison et est arrivé à temps pour voir que le vaisseau spatial flotter près de sa maison avant de traverser le lac. M. Suffern a dit qu'il a été très secoué par l'incident. "C'est bien joli de penser à ce que vous le feriez si vous veniez à faire face à une situation pareille," a-t-il dit, "mais quand cela se produit réellement, vous êtes effrayés parce que vous avez affaire à l'inconnu." "Je veux dire, qu'est-ce que vous faites s'ils viennent à votre porte... vous leur offrez une bière?" |
[Ref. fs1:] FLYING SAUCER REVIEW:
Ce magazine d'ufologie indique en 1976 que le 7 octobre 1975, au Canada, au lac de Bushkong à Utterson vers 20:30, la soeur de Robert A. Suffern lui a téléphoné parce que sa grange semblait être en feu. Suffern sort et ne voit rien, mais peu après il a pris sa voiture pour aller voir le bétail qui semblait agité, et il a vu posé en plein milieu de la route un engin en forme de soucoupe d'aspect aluminium mat à surface irrégulière et ondulée, sans aucun lumière. Il a estimé que l'engin avait 3.60 à 3.80 mètres de large pour 2.5 mètres de haut environ. Il a accéléré et l'engin a décollé. Il a pris la route longeant le lac pour rentrer chez lui, quand il a vu une créature, en tenue d'une seule pièce de teinte argentée, la tête recouverte d'un bocal de couleur plus claire, qui a pivoté sans le moindre effort pour sauter la barrière et disparaître dans le pré. Rentré chez lui, Suffern a constaté que le son de sa TV a soudainement été coupé et que l'écran était devenu noir. Il est alors sorti et a vu derrière la grange une lumière orange fluorescente qui suivait les contours du terrain pour se diriger vers le lac.
[Ref. bm1:] CHARLES BERLITZ ET WILLIAM MOORE:
Le co-auteur William Moore rencontre la secrétaire du CURFORN, Michelle Alberti, qui enquêtait comme lui sur la soi-disant "expérience de Philadelphie" au cours de laquelle l'US Navy aurait fait disparaître un navire ou l'aurait fait voyager dans le temps, selon des lettre farfelues d'un certain "Carlos Allende." Michelle Alberti apprend à Moore que ce qui l'a fait s'intéresser à cette histoire est une enquête sur une rencontre du troisième type au Canada le 7 octobre 1975, en fin d'après-midi.
Un charpentier de 27 ans, Robert Suffern, habitant Bracebridge, Ontario, a reçu un appel téléphonique de sa sœur qui réside non loin de chez lui et qui le pressait d'aller examiner une étrange lueur qui semblait provenir d'une grange des environs. Suffern a pris sa voiture et est allé voir, mais n'a rien remarqué d'anormal et s'apprêtait à faire demi-tour quand il a soudain vu un objet sombre en forme de soucoupe d'environ 3,50 mètres à 4 mètres de diamètre, sur la route, juste devant lui.
Suffern a déclaré plus tard à un journaliste du Toronto Sun : "J'étais terrifié. C'était là, juste là, sans lumières ni aucun signe de vie." Sa voiture n'était pas encore arrêtée que cet objet "fila droit vers le ciel et disparut". Il avait tout juste repris la route vers chez lui quand il a vu sur la route, juste devant sa voiture, une créature d'apparence humaine haute de 1,20 mètres avec "de très larges épaules, disproportionnées par rapport à son corps", qui portait une tenue gris argenté et un casque en forme de globe. Suffern a freiné violemment et sa voiture a dérapé sur le gravier, il n'a évité la créature que de quelques centimètres. La créature s'est jeté sur le côté, a couru jusqu'au bord de la route, a sauté par-dessus un taillis et a disparaît dans un champ. Suffern racontera au Toronto Sun: "Quand il est arrivé à la clôture, il a mis les mains sur un pieu et il est passé par-dessus sans aucun effort. On avait l'impression qu'il n'avait pas de poids." Suffern est abasourdi mais réussit à conduire jusqu'à chez lui. Alors qu'il jette un coup d'oeil par la fenêtre, il constate que l'OVNI l'a suivi et flotte maintenant lentement à quelques mètres au-dessus de la route, puis fait le tour d'un pylône et se perd de nouveau dans le ciel nocturne.
Michelle Alberti indique que ses amis, sa famille, des journalistes, des enquêteurs et les simples curieux n'ont pas réussi à faire admettre une farce à Suffern qui a maintenu ses déclarations, disant : "Je sais très bien ce que j'ai vu, mais je me soucie peu de revoir cette créature..."
Moore indique que le 15 juillet 1976, un membre du CUFORN accompagné d'un cinéaste qui faisait une tournée d'enquêtes sur plusieurs observations signalés dans l'Ontario afin d'avoir de la matière pour un film documentaire "Les OVNIS, le phénomène canadien" est allé interviewer Suffern. Suffern est décrit comme un individu très pondéré et parle librement de son observation pendant 5 heures. Ils découvrent que le couple Suffern pense être tout à fait éclairés sur les OVNIS, sans pour autant attacher beaucoup d'importance à ce sujet, et qu'il n'ont parlé à personne des suites de l'observation qu'ils vont alors décrire à ces deux visiteurs, ces "révélations stupéfiantes" semblant être faites simplement parce que Mme Suffern a laissé échapper quelques mots malencontreux à ce sujet. Moore cite alors l'enquêteur du CUFORN:
"Suffern finit par se détendre et par parler plus librement. Il semblait soucieux de satisfaire notre curiosité. Maintenant, moins nous lui en demandions et plus il en disait... Le 12 décembre 1975, alors que leur ferme commençait à retrouver un semblant de tranquillité après avoir été assaillie pendant des semaines par des troupeaux de curieux, les Suffern virent arriver trois hommes dont la venue leur avait été annoncée dès le mois de novembre. Ces officiels en grande tenue et munis d'impressionnantes lettres de créance se présentèrent comme des hauts responsables des Forces canadiennes d'Ottawa, de l'U.S. Air Force et des services secrets de la Navy. Suffern, qui s'était interrogé au sujet de la nature de sa rencontre avec un OVNI, affirma que ces trois messieurs répondirent de la façon la plus directe et sans la moindre hésitation à toutes ses questions. C'est ainsi qu'il apprit le pourquoi et le comment de cette affaire. Il en ressortait que les gouvernements américain et canadien n'ignoraient plus rien en matière d'OVNI depuis 1943, et qu'ils coopéraient avec les extraterrestres depuis cette époque. Comme si ce n'était déjà pas suffisant, ces militaires si bien renseignés crurent bon de présenter leurs excuses à Suffern pour l'incident du 7 octobre. Ils lui dirent qu'il s'agissait d'une erreur! Suffern en déduisit à haute voix qu'il avait dû surprendre les opérations d'un engin militaire ultra-secret. Pas du tout, rectifièrent-ils: c'était un incident technique à bord de la soucoupe qui l'avait obligée à atterrir sur sa propriété avec ses passagers. Mme Suffern se refusa à croire un mot de tout ceci, mais, quand elle voulut les mettre en difficulté, les officiels s'avérèrent capables de lui donner la minute exacte de l'atterrissage, un détail dont son mari et elle-même n'avaient fait part à personne. Ils avaient vu par trois fois un OVNI au-dessus de leur propriété et, là encore, quoiqu'ils n'aient parlé que de la dernière, le trio omniscient fut capable de leur préciser le jour et l'heure. Puis les savants personnages, exhibant des livres, des registres et des photos d'OVNIS prises au téléobjectif, insistèrent à nouveau sur le côté accidentel de cet atterrissage qui n'aurait jamais dû se produire."
Et:
"Au fil de la conversation, nous apprîmes que les militaires désignaient les occupants de l'OVNI sous le nom d"'humanoïdes". Le premier contact aurait eu lieu en 1943 et, depuis, les autorités sont au courant des mouvements de ces étrangers sur notre planète."
Et:
"Suffern insista bien sur le fait qu'on répondit d'une "façon satisfaisante" à toutes ses questions sur l'engin et son occupant, alors qu'auparavant de nombreux "civils" étaient venus le voir pour lui présenter diverses hypothèses ayant pour but d'éclaircir le mystère de sa rencontre: aucun de ces derniers ne lui avait offert de réponses "d'une telle précision". Le point crucial dans la rencontre de Suffern est qu'il faillit renverser avec son automobile un être habillé d'un costume argenté tout d'une pièce et de petite taille. S'il avait heurté la créature, de sérieuses répercussions auraient peut-être été à craindre. D'où, peut-on imaginer, cette intervention des militaires et leur surprenante franchise..."
Moore précise que les Suffern ont été fermes dans ces déclarations et que Robert Suffern affirmait connaître l'identité de ces trois hommes et pouvoir prouver qu'il ne s'agissait pas d'imposteurs. Il a répondu par la négative quand on lui a demandé s'il avait du promettre de garder le silence, ajoutant qu'il préfère tenir secrets certains détails de cette histoire pour répondre au "souhait du gouvernement", ce qui lui semble moralement justifié.
D'après l'enquêteur du CUFORN, les autorités canadiennes et américaines auraient étudié en profondeur les Suffern aussi bien médicalement que psychologiquement avant la rencontre secrète du mois de décembre, pensant que c'était sans doute dans le but d'établir quelle serait leur réaction probable aux révélations qu'on allait leur faire.
Moore et Berlitz notent bien que le récit semble délirant, s'ils y sont intéressé, c'est du fait que Suffern parle d'un incident en 1943, année à laquelle la prétendue "expérience de Philadelphie", sujet de leur livre, aurait eu lieu.
[Ref. jc1:] JEROME CLARK:
Jerome Clark indique que le 7 octobre 1975, un charpentier, Robert Suffern, âgé de 27 ans et résidant de Bracebridge, Ontario, Canada, a été appelé par téléphone par sa soeur: elle avait vu une lueur ardente près de sa grange et avait pensé qu'il devait y avoir le feu; donc Suffern a roulé vers là-bas, et après avoir découvert qu'il n'y avait aucun incendie, a commencé à retourner vers la route. Mais alors qu'il rentrait, il a rencontré un grand objet en forme de disque posé sur son chemin. Il a dit qu'il a été effrayé, car l'objet était juste là devant lui sans lumières ni aucun signe de vie. Mais avant qu'il ait pu entièrement arrêter sa voiture, le disque a soudainement décollé et est monté hors de la vue. Suffern a fait demi-tour et a décidé de rentrer chez lui au lieu d'aller chez sa soeur comme il avait prévu. A ce moment, il a vu un petit personnage portant un casque et un costume gris argenté qui a fait un pas devant la voiture, et il a dû freiner et a dérapé pour s'arrêter. Le personnage a couru dans un champ, et quand il est arrivé à la barrière, dit Suffern, "il a mis ses mains sur un poteau et a sauté par-dessus sans le moindre effort. C'était comme s'il était léger."
Dans les deux jours suivants, le rapport de Suffern était diffusé par les agences de nouvelles, et il a été assiégé par des ufologues, des journalistes, des curieux, et autres. Il n'a fait aucun effort pour tirer bénéfice de l'histoire et a semblé convaincu que ce qu'il a vu était vrai, mais a été bientôt fatigué d'en discuter. Un an après, Suffern et son épouse ont indiqué à un ufologue canadien qu'un mois après la rencontre, ils ont été contactés par des officiels de hauts rangs qui ont voulu les interviewer. Ils ont indiqué que le 12 décembre, une voiture de la Police Provinciale de l'Ontario est arrivée, avec trois officiers militaires, un canadien et deux Américains, qui portaient des livres et des documents. Ils ont réclamé que ces hommes ont eu une longue conversation avec eux, et leur ont même fait des excuses pour l'atterrissage d'OVNI dont ils ont dit que c'était "une erreur provoquée par le défaut de fonctionnement d'un vaisseau spatial extraterrestre." Les officiers ont montré des images d'OVNIS photographiés de près et ont dit que les gouvernements des Etats-Unis et du Canada connaissaient les extraterrestres depuis 1943 et coopéraient avec eux. Les Suffern ont affirmé que ces officiers savaient les dates et les heures exacts de deux observations d'OVNI précédentes mais non rapportées sur la propriété des Suffern. Les Suffern ont déclaré que les officiers ont répondu à toutes leurs questions entièrement et franchement, mais ils n'ont pas indiqué ce que les officiers ont répondu exactement. Ils ont été encore interviewés par un ufologues quelques mois plus tard et ont maintenu la même histoire, mais en ajoutant peu de détails. Les Suffern ont également affirmé avoir reçu "des examens complets par des médecins militaires." L'ufologue Harry Tokarz, qui a enquêté, a indiqué que Robert Suffern est un individu dont l'équilibre mental et la sincérité sont évidents, et que son épouse, une fille du pays, est "prompte à dire ses opinions et à énoncer sans équivoque ce qu'elle pense être factuel."
[Ref. bg1:] BOB GRIBBLE:
Bob Gribble a publié une synthèse de l'affaire dans un article de 1990 pour le MUFON UFO journal, en donnant les mêmes informations que Jerome Clark [jc1] mais uniquement concernant l'observation de la soucoupe et de son occupant, sans aucune mention de la partie de l'histoire concernant des visites de militaires.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique que selon Henry McKay, un ufologue du MUFON, à Utterson, Ontario, Canada, le 7 octobre 1975 à 20:00, Robert Suffern a été alerté par sa soeur qui a pensé que sa grange était en feu. Il a donc roulé sur une petite route, sur laquelle il a vu un objet en formé de palourde non lumineux de 12 à 14 pieds de diamètre se reposant sur une large base; et qui était de "la couleur du côté mat du papier d'aluminium," avec une surface irrégulière et froissée. L'objet est monté verticalement et a disparu, ne montrant aucune lumière. Suffern a alors roulé vers sa maison, quand il a vu près de la route, un être qui se préparait à la traverser. L'être était petit avec de larges épaules et portait un costume d'une seule pièce argenté et un casque globulaire blanchâtre. Ce personnage a sauté par-dessus une barrière et a disparu dans le pâturage. Plus tard, la TV de Suffern s'est éteinte, donc il est allé à sa porte et a vu une lumière orange qui s'éloignait.
[Ref. bg1:] BOB GRIBBLE:
Bob Gribble a publié une synthèse de l'affaire pour le site Internet du NUFORC en donnant les mêmes informations que Jerome Clark [jc1] mais uniquement concernant l'observation de la soucoupe et de son occupant, sans aucune mention de la partie de l'histoire concernant des visites de militaires.
La deuxième partie de l'histoire, dans laquelle des officers des Etats-Unis et du Canada informent le témoin qu'ils coopèrent avec des extraterrestres depuis 1943, a peu de crédibilité inhérente. Il est permis de penser qu'une interview de 5 heure par un ufologue du CUFORN permettrait de récolter une masse de détails vérifiables au sujet de ces hommes; mais où sont ces détails, où est cette information?
Le témoin affirme que ces officiers lui ont fait des excuses au sujet de l'incident, étrangement appelé une "erreur." Mais quel sens y a-t-il dans ces excuses? Les officiers devraient-ils s'excuser de ce que le témoin a presque écrasé un de leurs amis extraterrestre avec sa voiture?
Une politique essentielle dans n'importe quel secret gardé par un service gouvernemental et le "need-to-know", le cloisonnement, principe par lequel seuls les personnes qui doivent être mises au courant de quelque chose le sont. Quel besoin de savoir justifierait que les fonctionnaires de deux gouvernements diraient à un témoin ordinaire d'une rencontre rapprochée du troisième type qu'ils coopèrent avec des extraterrestres depuis 1943? Pourquoi cette information particulière serait-elle confiée seulement à ce témoin particulier et à personne d'autre en plusieurs décennies de tels observations alléguées, se comptant par milliers?
En fin de compte, avec ces affirmations "renversantes", une approche devrait compter pour les ufologues sensés. Sa crédibilité se mesure aux évidences de ce que tout cela se soit vraiment produit. Mais l'histoire n'offre aucune une telle évidence.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 13 septembre 2006 | Patrick Gross | Patrick Gross | Aucun rapport d'enquête du CUFORN ne semble disponible. | Aide nécessaire | Ouvert. |
Probable canular, nombreuses données potentiellement capitales non indiquées.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 13 septembre 2006 | Création, [lf1], [fs1], [bm1], [jc1], [ar1], [bg1]. |
0.2 | Patrick Gross | 13 septembre 2006 | Première publication. |
1.0 | Patrick Gross | 27 juin 2008 | Conversion de HTML4 vers XHTML Strict. Addition de [bg2]. |