Plusieurs sources ufologiques indiquent que le 15 octobre 1973, à Omro, Wisconsin, USA, a un certain moment après minuit, Georges Willis a été réveillé par un bruit perçant ou aigu et a vu sa chambre baignée de lumière ou d'une lueur, rouge-orange. Il a distingué en face de lui trois "créatures de cauchemar", qui avaient de 1 mètres à 1.30 mètres de haut, des têtes arrondies et chauves, de grandes oreilles rondes, et une peau ridée d'un blanc grisâtre. Ces créatures avaient des mouvements saccadés, mécaniques, comme des robots.
Willis a perdu conscience, et s'est souvenu qu'à son réveil, il était par terre, et que ces entités se sont emparées de lui et l'ont adossé contre le mur. Dans cette position verticale, son corps et ses membres se sont raidis d'un coup, et il était réduit à l'impuissance, voyant que les trois entités examinaient son corps à l'aide d'un étrange petit objet ovale. Lorsque cet objet a été dirigé vers le bas en direction de sa jambe, l'os de la jambe a été visible à travers cet objet.
Il a alors tout de suite été pris d'un violent mal de tête, et a de nouveau perdu connaissance, lorsqu'un des êtres l'a touché semble-t-il.
Il a repris connaissance à l'aube, a craintivement regardé autour de lui, et a trouvé que les lumières de la chambre étaient toujours allumées et que les draps étaient soigneusement pliés.
Le cas a été examiné initialement par Lee Mehciz et Lois Sayon, du MUFON, puis par Mme. Allen Hynek, qui secondait assidûment son mari l'astronome et ufologue J. Allen Hynek. Mme Hynek a indiqué en avril 1976 à un auteur qui lui a demandé ce qu'elle pensait de l'affaire, que le témoin semblait sincère. Un autre ufologue note cependant des incohérences dans le récit du témoin qui a fait une autre observation non décrite par la suite.
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[Ref. ls1:] LEONARD STRINGFIELD:
L'auteur indique dans son chapitre sur les "cas marginaux" que le 15 octobre 1973, à Omro, dans le Wisconsin, peu après minuit, Georges Willis a été réveillé par un bruit perçant. Sa chambre était baignée de lumière orange, et il distinguait en face de lui trois "créatures de cauchemar".
Elles avaient de 1 mètre à 1.30 mètres, des têtes arrondies, de grandes oreilles, et une peau ridée, d'un blanc grisâtre. Elles avaient des mouvements saccadés, mécaniques, comme des robots.
Willis s'est évanoui.
Il s'est souvenu qu'à son réveil, il était par terre, et que ces entités se sont emparées de lui et l'ont adossé contre le mur. Dans cette position verticale, son corps et ses membres se sont raidis d'un coup, et il était réduit à l'impuissance, voyant que les trois entités examinaient son corps à l'aide d'un étrange petit objet ovale. Lorsque cet objet a été dirigé vers le bas en direction de sa jambe, l'os de sa jambe était visible à travers cet objet.
Il a alors tout de suite été pris d'un violent mal de tête, et s'évanouit à nouveau.
Il a repris connaissance seulement à l'aube, et a craintivement regardé autour de lui. Les lumières étaient toujours allumées. Les draps étaient soigneusement pliés.
L'auteur note que le cas s'était produit quatre jours après l'incident de Pascagoula, où deux pêcheurs avaient été enlevés par de semblables entités. Mais il fait remarquer que l'affaire à Pascagoula n'avait pas été annoncée sur les ondes avant le 15, et que l'on ne voit donc pas bien comment Willis aurait pu l'entendre.
Ce cas a été examiné initialement par Lee Mehciz et Lois Sayon, du MUFON. Ensuite, son étude en a été reprise pour plus de détails, par Mme. Allen Hynek, qui secondait assidûment son mari astronome, au Centre de Recherche sur les OVNIS. L'auteur lui a téléphoné en avril 1976 pour lui demander ce qu'elle pensait de l'affaire, et elle lui a déclaré que le témoin semble sincère.
L'auteur note que l'on peut toujours se demander si son aventure était un rêve ou une réalité, mais qu'il comporte cependant des détails similaires à ceux d'autres cas dont il n'a pas pu avoir connaissance.
Il ajoute que le témoin avait été frappé de l'intérêt qu'ils ont porté à son cas et que leur promesse que, de toute manière, il ne serait pas tourné en dérision, l'avait manifestement soulagé.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Omro, Wisconsin, le 15 octobre 1973, tard dans la nuit, le témoin a été réveillé à un certain moment après minuit par un bref bruit aigu; la chambre a été éclairée par une lueur brillante rouge orange, et il a vu trois humanoïdes de 4 - 5 pieds de haut se matérialiser.
Ils avaient des têtes chauves; une peau froissée blanche grisâtre et des oreilles arrondies. Ils se sont déplacées mécaniquement.
Le témoin s'est évanoui, et est alors revenu à lui sur le plancher, poussé contre le mur, incapable de se déplacer. Les entités l'examinaient avec un objet ovale qui a montré les os de ses jambes quand il passait au-dessus d'elles. Il a eu un sévère mal de tête et a encore perdu connaissance tandis qu'un des être allait l'atteindre. Il s'est réveillé vers l'aube sur le plancher. Il a trouvé la lumière allumée dans la chambre à coucher et les draps pliés d'une manière ordonnée.
Albert Rosales indique que la source est "Webb dans 1973 Year of The Humanoids."
[Ref. ni1:] JOHN SCHUESSLER:
Dans un catalogue des effets physiologiques provoqués par des OVNIS, l'ufologue note que le 15 octobre 1973, à Omro, Wisconsin, à 01:00, selon UFO Canada de mars 1979, une lueur brillante rouge-orange et un son aigu dans sa chambre ont réveillé le témoin.
Il a vu trois êtres et a perdu connaissance. Quand il est revenu à lui il était examiné par les êtres, incapable de se déplacer, et il avait un mal de tête extrême et a de nouveau perdu connaissance.
L'auteur énumère en tant qu'effets physiologique pour ce cas: l'examen médical, le mal de tête, la paralysie et la perte de conscience.
[Ref. ni1:] NICAP WEBSITE:
Le site Internet NICAP indique que le 15 octobre 1973, à Omro, Wisconsin, le témoin a été réveillé un certain moment après minuit par un bref bruit aigu. La chambre a été éclairée d'une lueur brillante et rouge-orange, et il a vu trois humanoïdes de 4 - 5 pieds de haut se matérialiser.
Ils avaient des têtes chauves, une peau froissée grisâtre-blanche et des oreilles arrondies, et se déplaçaient mécaniquement.
Le témoin a perdu connaissance, et est ensuite revenu à lui sur le plancher, puis adossé contre le mur, incapable de se déplacer. Les entités l'examinaient avec un objet ovale qui a montré les os de ses jambes quand il passait au-dessus d'elles. Il a eu un mal de tête grave et a de nouveau perdu connaissance alors qu'un être l'a atteint.
Il s'est réveillé vers l'aube sur le plancher. Il a trouvé les lumières allumées dans la chambre à coucher et les draps étaient de nouveau pliés d'une manière ordonnée.
Il a rapporté l'incident au CUFOS en juin 1974 après un deuxième incident curieux faisant participer son amie. Les auteurs notent que "il y a quelques contradictions dans les détails du compte-rendu" selon le "Catalog of Humanoid Reports" de David Webb et l'enquête de première main.
Du fait de manques de données dans les récits résumés parus dans la littérature ufologique et l'absence de disponibilité pour moi des rapports d'enquêtes mentionnés, je ne peux pas indiquer une explication sérieusement fondée, tout en pouvant en suggérer plusieurs dont l'une pourrait être la bonne:
Puisque David Webb mentionne qu'il y a eu des incohérences ou des contradiction dans le récit de ce témoin, qui a rapporté deux incidents, il est possible d'entendre par cela que le témoin aurait inventé son histoire et que ce serait donc un canular.
Puisque Leonard Stringfield indique que le témoin ne pouvait pas avoir entendu parler de l'affaire de Pascagoula qui comporterait des détails similaires au moment où l'affaire est rapporté, on pourrait entre par cela que l'incident serait de ce fait plus ou moins authentifié. Mais malheureusement, il n'y a pas dans les sources ufologiques dont je dispose une indication claire et nette de quand le témoin a initialement rapporté son histoire. Le site Internet NICAP mentionne que le témoin a rapporté son incident au CUFOS de J. Ellen Hynek en juin 1974, et si c'est son rapport initial, alors l'argumentation de Stringfield ne tient pas puisque l'incident de Pascagoula était alors largement connu. Le site Internet du NICAP note également qu'il a rapporté cet expérience en supplément de son rapport d'une autre incident ultérieur, ce qui suggère encore plus que le premier rapport est postérieur à la date à laquelle l'incident de Pascagoula a été largement rapporté. Il n'est donc pas possible d'accorder un importance véritable à l'argument de Stringfield.
Puisque l'incident survient en chambre à coucher, sans OVNI, avec des étapes qui pourraient être conscientes mais aussi au contraire vécue dans le sommeil, il n'est pas exclu que Stringfield ait raison d'évoquer que l'expérience pourrait être de l'ordre du rêve plutôt que de la réalité - encore que la notion de rêve soit bien en-deçà du caractère bien plus marquant qu'un simple rêve que peut revêtir l'hallucination hypnagogique. Dans la littérature ufologique qui m'est disponible, ne figure rien qui puisse fermement établir l'un ou l'autre possibilité. Ceci constitue donc une deuxième explication possible, non pas un canular trahi par des contradictions dans le récit, mais un épisode onirique ou du type de l'hallucination hypnagogique. Un tel épisode pourrait naturellement être en toute bonne foi teinté par ce que le témoin a pu entendre de l'incident de Pascagoula et comporter en toute bonne foi des éléments incohérents qui ne seraient pas l'indication d'un canular mais de la nature onirique ou hallucinatoire de l'épisode.
D'un autre côté, n'importe quelle explication par des troubles du sommeil doit être rejeté s'il était vrai qu'il ne soit pas allé au lit réellement, comme les mentions des draps soigneusement pliés à son réveil et des lumières restées allumées dans la chambre à coucher sont probablement supposées le suggérer.
Les éléments d'enquêtes qui pourraient, peut-être, aider à approfondir une recherche d'explication n'étant pas disponibles, le cas perd tout autant en étrangeté véritable qu'il reste sans explication claire. une telle affaire ne devrait aucunement être citée comme cas d'OVNI causant des effets physiologiques sur son témoin avec de telles zones d'ombres et au moins deux explication ordinaires non liées aux OVNIS.
| Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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| 1 | Données | Grave | 28 août 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Il est question de deux enquêtes. Aucun des rapports n'est disponible. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
| 2 | Ufologie | Grave | 28 août 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Témoin unique. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
| 3 | Ufologie | Grave | 28 août 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Expérience dans le sommeil, en chambre à coucher, sans indication que les explications par expériences liées aux troubles du sommeil n'aient été envisagées par les enquêteurs. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
| 4 | Ufologie | Grave | 28 août 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | Témoin crédible selon une source et suggéré non crédible selon une autre. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
| 5 | Ufologie | Grave | 28 août 2007 | Patrick Gross | Patrick Gross | La date précise à laquelle témoignage a été fait n'est pas documentée dans les sources. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Hallucination hypnagogique ou canular ou visiteurs extraterrestres. Données insuffisantes.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
| Auteur principal: | Patrick Gross |
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| Contributeurs: | Aucun |
| Reviewers: | Aucun |
| Editeur: | Patrick Gross |
| Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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| 0.1 | Patrick Gross | 28 août 2007 | Création, [ls1], [ar1], [js1], [ni1]. |
| 1.0 | Patrick Gross | 28 août 2007 | Première publication. |
