Le journal Cronica, de Buenos Aires, Argentine, a rapporté le 4 juillet 1968 l'histoire qui serait arrivée à Alejandra Martinez da Pascucci, mère de famille, un, deux ou trois jours auparavant: en arrivant à 23:30 à son domicile au coin de la rue Alvear et de la rue Savedra, dans un quartier peu développé avec des terrains découverts de la ville de Quilmes qui l'a toujours rendue nerveuse, elle avait senti une force invisible qui l'a pressée et enveloppée en l'empêchant de crier, et sans perdre connaissance, elle s'est retrouvée dans un espace fermé très chaud, à l'intérieur d'un engin rond avec des ouvertures montrant des lumières rouges et vertes, qui semblait être fait pour 4 ou 5 personnes.
Il y avait là deux hommes en tenues métalliques dont les tenues, les casques et les chaussures dégageaient une lumière puissante. L'un mesurait plus de deux mètres de haut et l'autre était un peu plus petit. Ils l'ont regardé et lui ont parlé dans une langue qui lui était inintelligible, puis un des hommes a appuyé sur un bouton, et peu après elle a été débarquée de façon similaire à son embarquement, se retrouvant non pas sur Mars comme elle l'avait craint, mais près d'un cimetière de sa ville, d'où elle a pris un taxi pour rentrer chez elle.
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[Ref. ce1:] BULLETIN DU CEFAI:
2. 1968, 2 juillet. Quilmes (Buenos Aires). Mardi. 20:30Alejandra Martínez de Pascucci, mère de 2 fils, allait vers sa maison, en devant traverser un terrain en friche situé entre les rues Saavedra et Alvear. Elle s'y trouvait quand elle a senti qu'une "force invisible" la serrait et l'enveloppait, en l'empêchant de crier. Sans en arriver à perdre connaissance, elle s'est trouvée dans un lieu chaud où il y avait deux hommes de quelque 2 m de stature, avec des tenues d'apparence métalliques-lumineuses, qui parlaient dans une langue incompréhensible pour la protagoniste. Après avoir entrepris un bref voyage, durant lequel elle dit avoir seulement vu des lumières vertes et rouges à travers les ouvertures, ils l'ont ramenée à terre, près d'un cimetière, d'où elle est finalement revenue en taxi à son domicile. (Source: journal Crónica, Buenos Aires, 4 juillet 1968). |
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique qu'à Quilmes, Buenos Aires, Argentine, le 3 juillet 1968 à 23:30, Alejandra Martinez de Pascucci marchait vers chez elle quand elle a senti "une force invisible" qui faisait pression sur elle et l'a empêché de crier. Elle s'est soudainement trouvée dans un espace clôt qui "aurait pu être fait pour 4 ou 5 personnes" avec deux hommes habillés de tenues et de casques lumineux métalliques, l'un de 6 pieds de taille, l'autre un peu plus petit. Il y avait une chaleur intolérable; l'engin était rond et avait de petites fenêtres rouges et vertes. Quand un des hommes a appuyé sur un bouton, l'engin a commencé à se déplacer, mais quand elle a été laissée dehors elle était toujours à Quilmes, face à un cimetière. Rosales indique FSR Vol.14 #5 comme source.
[Ref. pr1:] PETER ROGERSON:
Peter Rogerson indique que le 2 juillet 1968, La Cronica a rendu compte de l'histoire de Alejandra Martinez da Pascucci qui a indiqué qu'arrivant à son domicile la nuit précédente à 23:30 au coin de Calle Alvear et de Calle Savedra, un secteur peu développé avec des terrains découverts de la ville de Quilmes qui l'a toujours rendue nerveuse, elle avait senti une force invisible l'enfonçant et "l'enveloppant." L'histoire est que sans perdre conscience, elle s'est trouvée dans un espace fermé chaud comme un four à l'intérieur d'une machine ronde avec des fenêtres rouges et vertes. Il y avait deux hommes avec elle, en habillements métalliques qui dégageaient une lumière puissante, de même que leurs chaussures et casques. L'un d'eux était de plus de deux mètres de haut et l'autre un peu plus petit. Ils l'ont regardé et lui ont parlé dans une langue inintelligible, puis un des hommes a appuyé sur un bouton. Peu après elle est descendue avec les mêmes sensations, débarquant sans à-coup non pas sur Mars comme elle l'avait craint, mais près d'un cimetière en sa propre ville d'où elle a pris un taxi pour rentrer chez elle. Peter Rogerson indique que l'histoire est de Gordon Creighton, dans "A New South American Wave", FSR 14.5, p.23-28.
Le cas est rapporté par un journal, dont le texte ne m'est pas disponible actuellement, et il semble qu'aucune enquête ufologique n'ait été menée du tout.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 7 septembre 2006 | Patrick Gross | Patrick Gross | Manque de la source primaire journalistique La Cronica. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
1 | Données | Grave | 7 septembre 2006 | Patrick Gross | Patrick Gross | Manque de l'article de Gordon Creighton dans FSR. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Visiteurs extraterrestres.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 7 septembre 2006 | Création, [ce1], [ar1], [pr1]. |
0.2 | Patrick Gross | 8 septembre 2006 | Première publication. |