Le 20 août 1965, dans la soirée, Eduardo Yacobi, prêteur sur gage âgé de 25 ans, et sa conjointe Teresa Ernestina Acuña de Yacobi, et leur petite fille de 2 ou 9 ans selon les sources, dînaient chez le frère d'Eduardo Yacobi, au centre de Mar del Plata, Argentine.
Au cours du dîner, les convives ont entendu un bruit, et le frère de Yacobi a dit "ce sont les hélicoptères", mais Yacobi a répondu que ce n'en sont pas, le son étant plus un bourdonnement qu'un bruit d'hélicoptère. Le frère a alors porté la conversation sur les soucoupes volantes, fréquemment rapportée dans la région à ce moment, lui assurant qu'il y aurait une base de soucoupes volantes dans le port de Mar del Plata. Eduardo Yacobi exprimait son scepticisme sur le sujet.
Après dîner, Eduardo Yacobi et sa famille ont quitté le domicile de son frère, décidant d'emprunter le bus de 23:30, sachant qu'il y a un bus toutes les demi-heures, pour rejoindre leur domicile au 206 ou 2060 de la rue San Luis.
Marchant sur une distance de deux pâtés de maisons, dans le coin d'un grand dépôt de poulets, Yacobi a remarqué que toutes les lumières étaient coupées. Ils ont continué jusqu'à la route, sont arrivés au croisement de la rue 9 juillet avec la rue 216, dans le centre même de la ville, près d'un champ vers la route 2 en une zone sans construction alors.
A cet endroit, où ils pensaient attendre le bus, Yacobi a noté un bruit, et a regardé à la hauteur des sommets des eucalyptus, dont certains étaient très hauts, de près de 50 mètres. Il ne voyait rien là d'où venait le bruit, qui était le même que celui entendu au cours du dîner.
Mais abasourdi, il a vu sur le champ de quelque 15 hectares, suspendu à environ deux mètres au-dessus du sol, à environ 200 mètres de la route, une chose lumineuse qu'il a estimé 50 fois plus puissante que la lumière de l'éclairage public, mais non aveuglant. La chose était d'une lumière généralement blanche, jetant parfois du jaune, du rouge, du jaune, émettant des étincelles.
La chose était circulaire, immense, faisant dans les 60 mètres de circonférence. La presse avait alors indiqué qu'il avait vu des occupants, certaines versions indiquant que ces occupants étaient près de l'engin, faisant des réparation; mais Yacobi a précisé plus tard que ce qu'il avait vu en fait d'occupants était des silhouettes sur la chose, comme lorsque quelqu'un passe devant la lumière, et qu'il n'a pas pu voir de détails de ces silhouettes.
Yacobi a voulu s'approcher de l'engin pour voir de plus près, mais son épouse, apeurée, l'en a dissuadé, expliquant que s'il était enlevé par la soucoupe, personne ne la croirait quand elle raconterait cela. Ils sont restés là à observer pendant 10 minutes, vers les 23:45, alors que le bus ne venait pas, que personne ne passait et que le silence régnait.
Finalement la chose a décollée et a été perdue de vue.
A ce moment, les lumières éteintes de l'éclairage public, ordinairement allumées, se sont rallumées, et des gens du journal la Capital de Balcarce sont passés par là, lui ont demandé où il allait, et ont parlé de la coupure de lumière. Au bout de 10 minutes le bus ordinairement ponctuel est enfin arrivé, Yacobi a signalé son retard au chauffeur, et le chauffeur a expliqué qu'ils étaient sur la route à 2 kilomètres de là et ne pouvaient pas démarrer le bus.
Le lendemain, Yacobi est allé raconter ce qui s'est passé aux journalistes de La Capital, qui sortiront un article sur l'événement. Les journalistes lui ont parlé de quelque chose qu'ils avaient vu eux-même, qu'ils avaient voulu prendre des photos mais que l'appareil n'a pas fonctionné. Il a été question dans l'article du journal d'autres personnes qui ont vu par la suite dit avoir vu voler un objet rougeâtre sur la ville vers les 20 heures, ou avoir entendu un bourdonnement.
Selon Yacobi, interviewé des décennies plus tard, les journalistes lui ont signalé avoir trouvé une marque triangulaire dans le champ où il avait observé l'OVNI, tandis que l'article dans le journal indique qu'ils n'y ont trouvé aucune trace.
Yacobi a également déclaré avoir reçu quelques jours après l'observation une lettre en anglais avec un formulaire d'observation d'OVNIS, lettre qui portait selon lui le sigle de la NASA. Yacobi n'a pas rempli le formulaire.
Dans les années qui ont suivies, il s'est intéressé à la question des OVNIS, mais n'a plus rien vu d'inhabituel depuis cette expérience.
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[Ref. lc1:] JOURNAL "LA CAPITAL":
Extraño Relato de un Hecho más Extraõ aúnNuevamente, Mar del Plata visitada por un OVNI. Renacerá hoy la discusión entre crédulos e incrédulos. Se intensificará la creación de las más insólitas explicaciones y teorías. Enfrentamos el riesgo de contribuir con psicosis colectiva y con "lances" de la reconocida viveza criolla, haciéndonos eco, una vez más, de la versión no confirmada, tampoco comprobada, pero sí reiterada de varios vecinos de la zona comprendida entre El Pino y El Monolito, quienes a partir de las 20 de ayer, nos hicieron llegar el informe telefónico: vieron cruzar por el cielo marplatense un cuerpo luminoso con todas las características de los ya muy comentados OVNI. La información corrió por la ciudad y muchos fueron los que pasaron largos ratos recorriendo con ojos curiosos todo el estrellado cielo de la fría noche. Pero en La Capital recogimos la versión más completa. Nos visitó un joven matrimonio, llevando una pequeña hijita que mañana cumplirá el primer año de vida. Eduardo Angel Yacobi[2], originario de Luján y radicado hace un mes y medio en Mar del Plata, 25 años y productor de una compañía de capitalización y préstamos con domicilio en un hotel de la calle San Luis 2060, acompañado por su esposa, Teresa Ernestina Acuña de Yacobi, de 18 años lle-garon a nuestra redacción a las 23, para informamos sobre lo que aseguraron fue "una extraordinaria experiencia". Salían de la casa de un familiar, donde habían cenado. Caminaban por la calle 216 en dirección a Luro, cuando al cruzar 9 de Julio notaron un rui-do que sólo podían calificar como "fuerte zumbido" y súbitamente, a 50 metros de altura sobre sus cabezas, casi rozando las copas de los árboles, un objeto luminoso, giratorio y ovalado. Siguieron caminando y observando. El objeto se apoyó sobre la tierra a 200 metros de donde estaban ellos y parecían caminar delante de él algunas figuras no distinguidas por los fuertes destellos de la luz que tomaba tintes rojizos a violáceos. Eduardo Angel Yacobi, dice que quiso acercarse, pero ella - cuidadosa - se lo prohibió. Entonces, asegura el testigo que pensó en hacer partícipes de la experiencia a otros, ocurriéndosele así trasladarse de inmediato a nuestra redacción para hacer el relato. Transcribimos, aquí la versión. Nuestros cronistas concurrieron de inmediato al lugar señalado por Yacobi sin lograr seña o rastro del OVNI que impresionó a nuestro azorado visitante. El juicio definitivo de la versión queda a criterio del lector, no-sotros nos limitamos a cumplir nuestra labor objetivamente informativa. |
Histoire étrange d'un Fait encore plus EtrangeRécemment, Mar del Plata a été visité par un OVNI. Renaîtra aujourd'hui la discussion entre croyants et sceptiques. Apparaîtront les explications et les théories les plus inhabituelles. Nous faisons face au risque de contribuer à la psychose collective et de "relancer" l'imagination reconnue aux crédules, en nous faisant l'écho, une fois de plus, de la version non confirmée, ni non plus vérifiée, mais bien réitérée par plusieurs voisins de la zone comprise entre le El Pino et El Monolito, qui à partir de 20 heures, nous ont fait parvenir hier le rapport téléphonique: ils ont vu le ciel de Mar del Plata traversé par un corps lumineux avec toutes les caractéristiques des déjà très commentés OVNIS. L'information a circulé dans la ville et nombreux sont ceux qui ont passés de longs moments à parcourir avec des yeux curieux tout le ciel nocturne et froid. Mais dans LA CAPITAL nous avons repris la version la plus complète. Nous a visité un jeune couple marié, accompagné d'une petite fille qui entrera demain dans ses neuf ans. Eduardo Angel Yacobi, originaire de Luján et qui s'est établi il y a un mois et demi à Mar del Plata, 25 ans et producteur d'une compagnie de capitalisation et prêts domicilié à un hôtel au 2060 de la rue San Luis, accompagné par son épouse, Teresa Ernestina Acuña de Yacobi, 18 ans, ils sont arrivés à notre rédaction à 23 heures, pour nous informer sur ce qu'ils ont assuré avoir été "une expérience extraordinaire". Ils sortaient de la maison d'un parent, où ils avaient dîné. Ils marchaient par la rue 216 en direction de Luro, quand en traversant la 9 juillet ils ont remarqué un bruit qui pouvaient seulement être qualifié de "fort bourdonnement" et soudainement, à 50 mètres de hauteur au-dessus des têtes, presqu'en rasant les cimes des arbres, un objet lumineux, giratoire et ovale. Ils ont continué à marcher en observant. L'objet s'est posé sur la terre à 200 mètres d'où ils étaient, et devant paraissaient marcher lui quelques personnages indistincts à cause des forts éclats de la lumière qui prenait des teintes rougeâtres à violacées. Eduardo Angel Yacobi a dit qu'il a voulu s'approcher, mais elle - prudente - le lui a interdit. Alors, assure le témoin, il a a pensé à faire prendre part à l'expérience à d'autres, et s'est ainsi transporté immédiatement à notre rédaction pour en faire le récit. Nous donnons ici le récit. Nos chroniqueurs se sont immédiatement rendu au lieu indiqué par Yacobi sans trouver signe ou trace de l'OVNI qui nous avait amené notre visiteur. Le jugement définitif de l'histoire reste au bon soin du lecteur, nous nous limitons à accomplir notre devoir d'information objectivement. |
[Ref. gc1:] GORDON CREIGHTON:
L'ufologue britannique Gordon Creighton indique qu'à Mar del Plata, Argentine, à 23 heures le 20 août 1965, Eduardo Lujàn Yacobi, 25 ans, et sa femme Teresa Ernestina Acuña de Yacobi, revenaient chez eux au 206 calle San Luis, quand, à l'endroit où la calle 9 de Julio croise la 216e rue, en pleine ville, ils ont entendu un fort bourdonnement et virent un objet lumineux ovale qui pivotait sur lui-même, émettait des éclairs et est passé au-dessus d'eux à moins d'une quarantaine de mètres d'altitude, effleurant le sommet des arbres.
L'engin a atterri à une distance d'environ 200 mètres, et ils ont vu des silhouettes se déplacer autour d'elle comme si elles réparaient une avarie. Ces silhouettes étaient soit d'un violet brillant, soit rougeâtres.
Yacobi voulait s'approcher mais sa femme effrayée l'en a dissuadé. Ils sont restés là à observer jusqu'à ce que les silhouettes retournent dans leur machine qui s'est envolée et a disparu à la vue en quelques secondes.
On a trouvé plus tard d'autres témoins qui ont vu l'objet rougeâtre voler dans le ciel ou entendu le bourdonnement.
Gordon Creighton indique que la source est La Razon, Buenos Aires, 21 août 1965.
[Ref. lo1:] CORAL ET JIM LORENZEN:
Les auteurs indiquent qu'à Mar del Plata, Argentine, à 23 heures le 20 août 1965, plusieurs personnages humanoïdes ont été vus se déplaçant autour d'un OVNI qui a atterri à moins de 700 pieds du domicile Eduardo Lujan Yacobi. L'objet a été entendu, par un bruit de bourdonnement, et vu, comme un ovale lumineux dans le ciel au-dessus, avant d'atterrir. L'observation a été corroborée plus tard par des témoins qui ont vu l'objet passer au-dessus ou a entendu le bruit de bourdonnement.
[Ref. jv1:] JACQUES VALLEE:
Dans son catalogue des atterrissages d'UFO, Jacques Vallée indique que le 20 août 1965, à 23:00 à Mar del Plata, Argentine, M. et Mme Yacobi ont entendu un bruit fort de ronflement et a vu un objet luminescent ovale clignotant atterrir à 200 mètres de loin. Des personnages se sont déplacées autour de lui, comme s'ils examinaient l'engin, qui a redécollé.
Vallée indique que sa source est "Humanoids 42."
[Ref. rb1:] ROBERTO BANCHS:
L'ufologue indique que le vendredi 20 août 1965, à Mar del Plata sur l'Atlantique s'est produite une observation connue, et que même si la version la plus connue a été peut-être celle offerte le journal La Razon (1) et reproduite dans plusieurs livres étrangers (2), l'information originale provient du journal la Capital (3).
Roberto Banchs reproduit l'article de ce journal (voir [lc1]).
Il indique avoir essayé de localiser dans cette ville les témoins éventuels, mais beaucoup d'années étaient passées et les chances étaient maigres. L'hôtel où ils logeaient ne fonctionnait plus comme tel et personne n'a su lui donner d'indications. Il est allé sur les lieux, dans une banlieue avec de grandes terres en friche et peu de parties boisés qui entourent des constructions peu abondante, où peu a changé depuis, quelques petits logements ont été érigée, et la rue 216 s'appelle aujourd'hui Canada. Ils ont demandé dans le voisinage si l'on savait quelque chose sur le supposé OVNI ou si l'on connaissait les Yacobi, et la réponse a été dans tous les cas négative.
Il a consulté les annuaires de Mar del Plata et de Lugán pour trouver les supposés témoins, mais s'il y a de nombreux Yacobi et Acunãs, ce ne sont pas les bons, et aucun d'entre eux ne résident dans la zone de l'observation. Il a exploré ensuite les localittés de Pilar et de Lugán (30.000 habitants) pour des noms ressemblants, supposant une erreur d'orthographe dans le journal, mais en vain, ainsi qu0un fabricant de guitare de Buenos Aires, J. Yacopi, qui ne connaissait pas ce nom de Yacobi et a ajouté que c'est la première fois qu'il entend ce nom de famille.
Banchs indique que c'est tout ce qu'il a pu faire et invite d'autres ufologues à tenter de retrouver le témoin, commentant qu'en l'absence de celui-ci les élucubration sont inutiles et que le cas continuera à remplir les livres sur les OVNIS.
Il indique en notes de bas de pages que la nuit décrite comme froide mais avec un beau temps est correct, puisqu'il devait ne pas faire plus de 10° en cette saison.
Il indique que le journal La Razon du samedi 21 nommait le témoin "Eduardo Luján Yacobi", et indiquait que l'OVNI avait été à moins de 40 m de hauteur, et qu'à ses côtés paraissaient marcher des personnages comme s'ils résolvaient une certaine panne mécanique. Les figures sont ensuite remontées dans l'ovni et ils se sont éloignés en quelques secondes.
Le Dr Banchs indique en référence bibliographies pour (1) La Razón, Buenos Aires, 21 août 1965, pour (2) Ribera, Antonio, dans Platillos Volantes en Iberoamérica y España, Pomaire, Barcelone, 1968, p. 175, ainsi que Ribera, Antonio dans Las máquinas del cosmos, Planeta, Barcelone 1983, p. 82; Bowen, Charles Ed. The Humanoids, Neville Spearman, Londres, 1969, p. 118; Lorenzen, Coral et Jim. Encounters whith UFO occupants, Berkley Medallion Books, New York, 1976, p. 156; Lorenzen, Coral et Jim. Flying Saucer occupants, The New American Library, New York, 1967, p. 113; et pour (3) La Capital, édition du matin, Mar del Plata, 21 août 1965, p. 12.
En note, le Dr. Banchs indique que la Lune se trouvait en phase décroissante, avec une fraction illuminée 39,86%, à 22 heures, son altitude était de 22'19 'et son azimut 40.05 degrés.
[Ref. mp1:] MIGUEL ANGEL GOMEZ POMBO:
LE CAS YACOBILIEU: aux périphéries de MAR DEL PLATA, Buenos Aires. ARGENTINE. DATE: 20 août 1965 TEMOINS: Eduardo Angel Yacobi et Teresa Ernestina Acuña AGES: Lui 23 ou 25 et elle 18 (au moment des faits) L'enquêteNous prenons connaissance de ce cas à travers le catalogue du chercheur Luis Pacheco qui citait un fragment de l'article apparu dans La Razon du 21 août 1965. Etudiant le matériel le plus actuel dont nous disposions à cette date qui s'est centré dans "Humanoïdes", nous nous référons à "Los Identificados" du Dr. Robert Enrique Banchs et nous y trouvons que notre collègue n'avait pu retrouver dans sa contre-enquête personne avec ce nom de famille. Sans plus matériel, nous utilisons le nouveau guide téléphonique en CD pour ordinateurs et grâce à cette technologie qui nous a bien simplifié cette difficile tâche nous avons trouvé la fille du témoin en question qui nous a gentiment informé que ses parents s'étaient séparés il y avait longtemps, que son père voyageait beaucoup et résidait à Mar del Plata et que sa mère ne voulait pas parler du sujet. Un peu frustrés puisque nous ne pouvions pas voyager à cette ville, nous laissons passer deux ou trois mois et décidons d'insister en ce qui concerne le possible témoignage du témoin qui résidait à Lugán. Il y a eu alors un de ces moments de coïncidence que les ufologues connaissent bien et qui s'avèrent tellement coïncider avec nos désirs. La fille du témoin nous dit que son père était par hasard ces jours-ci à Lugán et que nous pouvions l'appeler pour parler avec lui puisqu'il était intéressé par le sujet et serait heureux de causer avec nous. C'est ainsi été que nous nous sommes rendus à cette ville et que M. Eduardo Angel Yacobi nous a rapporté son expérience. Transcription de l'interviewInterview effectuée par les chercheurs Mariela Verónica Tomaso et Miguel Angel Gómez Pombo, membres du Projet CATENT, le 24 mars 2002. Quelle était la date? J'ai calculé que c'était à peu près en 66, près de la porte 12 de River plus ou moins à cette époque. Quel mois? En... septembre ou octobre de 66. Nous datons le cas de 65. Non, non, 66. Je ne croyais à rien, j'étais comment dire athée de religion, aussi dans les ovnis. Vous viviez à Mar del Plata? Clairement, parce que je travaillais pour une compagnie d'assurances. Une nuit, la maison de mon frère pour vous en donner une idée, il vivait au centre de Mar del Plata à 10 km ou 12 km par la route 226, celle qui va à Balcarce. En ce temps il y avait vers la route 2 tout un champ, il n'y avait rien, maintenant tu y vas et il y a 3 ou 4 mains (il se réfère à des voies de circulation pour véhicules), tout est peuplé, c'est immense. Là où vit mon frère, il n'y a pas moins de cinq maisons, des maisons, en ce temps c'était seulement un champ, il n'y avait rien. Nous mangions, nous dînions, il était tard et mon frère me dit... parce qu'un de ses amis lui avait dit à l'occasion "figure-toi que dans le port ils ont une base de soucoupes volantes", "non, comment ça il y a des soucoupes volantes, où?!" Et moi, nous terminions de dîner, je dis à mon frère "j'y vais parce qu'il est tard et nous allons prendre les transports en communs de onze heure et demi, il y en a un chaque demi-heure". Jusqu'où deviez-vous aller? Au centre de Mar del Plata, je vivais entre San Luis et Belgrano, autour de la cathédrale. Alors je dis bon... Et alors que nous étions là il y a eu un bruit, mon frère me dit "ce sont les hélicoptères" et je dis à Julio (ami de son frère), "non, ce ne sont pas des hélicoptères, c'est un bourdonnement, ce n'est pas un bruit" et on est resté là, nous nous sommes mis à parler de l'affaire des soucoupes volantes. Ma fille avait deux ans et je dis bon, nous partons, et comme nous sortions à quelque deux halls, jusqu'à la route, il y a là cinq champs, ou quatre champs, très grands sans habitants ni personne. C'était joli et dans le coin du grand dépôt de poulets on a coupé la lumière, tout a été coupé et bon, nous continuons jusqu'à la route et j'ai là senti un bruit et j'ai regardé comme ça à la hauteur des eucalyptus, quelques-uns étaient très hauts, de quelque 50 mètres et j'ai regardé et regardé je ne voyais rien là où était le bruit que j'ai senti quand nous dînions et il ça nous a abasourdi et il était sur un champ de quelque 15 hectares. Il faut le voir pour le croire, je dis à mon épouse "tu vois ce que je vois?", et mon épouse dit "Ah non, partons, parce qu'ils ne vont pas nous croire!" ce à quoi réponds "non! je veux les voir de plus près pour le croire". Et j'allais traverser le champ pour voir de près parce que pour moi, il était suspendu à 2 mètres le sol ou 1 mètre mais je te le dis, à ce moment on avait coupé la lumière, personne ne passait, aucune voiture ne passait sur la route, il ne passait personne! Etait-il près de la route? Il était plus ou moins à 200 mètres de la route mais rien, un silence! Ma femme me dit "non!" et je lui dis "Mais qui nous va croire?", "nous l'avons vu" disait-elle. Ensuite je te dis, je l'ai bien vu, j'ai vu comment il était, la lumière était 50 fois plus puissante que la lumière des lampes à mercure mais ne t'aveuglait pas. Il était de quelle couleur? Entre blanche et il jetait parfois du jaune, du rouge, de la couleur tournesol, avec des étincelles qui sortaient. Je suis resté là et dix minutes sont passées. Et l'OVNI restait là? Oui, je dis à ma femme "je vais y aller" et elle me disait que non, elle disait que s'ils m'emmènent, qui allait la croire quand elle aura dit que "ils l'ont emmené dans une soucoupe volante". Bon, nous commençons alors à marcher vers la route et quand nous sommes arrivés [à l'arrêt d'autobus] nous sommes arrêtés dix autres minutes. Le bus ne venait pas. L'OVNI était vers la route? Non, vers un côté, vers ma droite, mais personne ne passait, ni bruits, rien. Bon, j'ai vu cela, c'était une soucoupe volante, quelque chose de non identifié. Et nous attendons sur la route et quand j'ai regardé j'ai vu qu'il repartait, il s'est élevé il a eu l'air comme de d'étirer et là il a disparu. Dans l'article du journal ils disent que vous aviez vu des silhouettes... Non, ce serait dans le... comme si vous aviez laissé les lumières allumées et passiez devant, cela était vu, comme des silhouettes de personnes. Est-ce vous qui l'avez vu ou votre épouse? Nous l'avons vu les deux. Ensuite la lumière est revenue et sont apparus les garçons du journal la Capital de Balcarce, ils sont passés et ils m'ont demandée où j'allais et nous avons parlé de la coupure de lumière, ils m'ont suivi pour Mar del Plata, je ne leur ai dit rien. Comme au bout de 10 minutes le bus est apparu je dis "quel retard!" et m'il a dit qu'ils étaient sur la route et ne pouvaient pas démarrer le bus et là je le dis... et il me dit "j'ai aussi vu une lumière". Et ils étaient à quelque 2 km de là plus ou moins. Et ce bus passait toujours à l'heure et la lumière n'était jamais coupée à cette époque. Et le lendemain j'ai parlé avec des journalistes de La Capital. Ils m'ont dit qu'ils ont voulu sortir des photos de ce qu'ils avaient vu et que la machine ne marchait pas. Un autre jour nous y sommes retournés et il y avait une marque triangulaire dans le champ. Les journalistes étaient aussi là. L'objet était dans l'air, non posé. Quelle était la forme du vaisseau? Circulaire, immense, il faisait dans les 60 mètres de circonférence. A quelle distance était-il? A 100 mètres, mon épouse ne m'a pas laissé approcher plus. Je me suis ensuite intéressé à tout ça, ces choses. A cette date à Mar del Plata, il y avait beaucoup de cas? Oui, beaucoup étaient commentés mais je n'y croyais pas. L'objet était lumineux ou solide? Il est lumineux mais on pouvait distinguer la forme, deux assiettes. Les ombres, est-ce que ça pouvait être de la végétation? Non non non, il n'y avait pas de végétation. Quand les avez-vous vus? Quand je l'ai bien regardé là. Les ombres étaient quelque chose... comme quand tu passerais devant de la lumière, comme des gens qui se déplaçaient. Ma femme me disait "et s'ils t'emportent?" Est-ce que vous ressentiez de la peur? Non, non. Vous faisiez souvent ce trajet? Oui, nous marchions très tranquillement. Et la petite fille? C'est moi qui l'avait et je l'ai donnée à mon épouse pour m'approcher plus. Quand il a décollé il était à quelque 70 ou 80 mètres de hauteur. Alors vous le voyez haut et... Et il atterrit, en descendant au champ et ensuite il est parti. Maintenant, ces ombres qui passaient face à la lumière, si l'objet flottait à deux mètres de hauteur elles étaient hautes comment? Non, ils sont à l'intérieur de l'appareil, cela me donnait cette sensation, c'était comme s'ils s'étaient montrés à la fenêtre et coupaient la lumière venant de l'intérieur. (La conversation dérive vers le cas célèbre de Roswell et ce qui concerne la diffusion du sujet ovni). Et votre épouse à ce moment que disait-elle? Et, elle avait peur. Je ne croyais pas qu'ils pouvaient me faire du mal, il y en a tellement qui parcourent la terre, selon les articles que j'ai lus. Avez-vous vu d'autres choses en d'autres occasions? Non, depuis ce temps-là je me suis consacré à observer et je n'ai jamais rien vu de plus, j'aime tout ce qui concerne les OVNIS et j'ai voyagé beaucoup et connais tout mais... (En revenant au cas en question il nous dit:) 23:45, c'était avant minuit, il n'y avait pas d'hélicoptères ni rien parce que les journalistes ont enquêté. Comment était l'état de votre vue? J'avais 23 ans et elle marchait très bien, j'utilise maintenant des lunettes. A-t-elle vu la même chose? Oui, la même chose. Il avait-il un certain bruit? Ce n'était pas un bruit, c'était un bourdonnement, pas fort comme des turbines mais doux. Est-ce qu'il y avait du vent? Non, aucun. Comment était la nuit? Belle, bien. A quelle date vous rappelez-vous que c'était? J'ai calculé que c'était en octobre de 66. (Nous conversons avec la soeur et le beau-frère du témoin, partisans de Romaniuk.) J'ai reçu une lettre de la NASA mais je l'ai jetée, je l'ai reçue après trois ou quatre jours, (il dit que c'était par l'intermédiaire d'une maison de photos et ils lui ont là laissé la lettre avec affranchissement puisqu'il travaillait dans l'entreprise. Ils lui écrivaient en Anglais, quelqu'un la lui a traduit, ils lui demandaient de dessiner et de remplir une enquête) C'était la NASA avec le sigle OVNI. Nous feriez-vous un dessin? Oui. (Tandis qu'il dessine) Il me paraissait que c'est seulement le haut qui tournait, ils avaient vers le bas de la lumière qui paraissait couleur tournesol, ils étaient comme fenêtres et des lumières. Ils avaient de la lumière vers le bas, il avait quelque chose là. Le lendemain, c'était brûlé dans le champ, je ne me suis pas approchée, mais les journalistes en effet y ont été.
Cette expérience a-t-elle changé quelque chose dans votre vie? Oui, oui, cela a changé, oui, je crois tout maintenant, je crois, je suis croyant. Avant non. Mais il y a ce qu'il y a, nous ne pouvons pas penser que nous sommes uniques. Fin de l'interview. CommentairesLe témoin n'a pas pu spécifier la date du cas mais les sources journalistiques ont aidé à lui donner une date certaine, tout est arrivé le vendredi 20 août 1965. Il est évident qu'il ne rappelle pas bien certains détails, chose logique puisque nous parlons d'un événement qui s'est déroulé il n'y a pas moins de 37 ans. Il y a des données changées qui ne coïncident pas avec les sources journalistiques qui ne sont pas non plus très fiables mais en définitive le témoin raconte les faits qui dans leur partie essentielle sont concordants. La source la plus fiable qui soit adaptée dont nous disposions était le journal La Capital de Mar del Plata, La Razon a sorti son article sur le sujet à la même date mais ajoutait des choses comme quoi les êtres réparaient l'appareil et qu'ils sont ensuite monté dans le vaisseau et sont partis... Nous soulignons le fait que le témoin le long de son histoire ne mentionne pas du tout avoir vu des personnages, des êtres ou entités, il s'y réfère seulement après que nous le lui ayons demandé explicitement. De toutes manières quand il répondait à ce sujet il ne donnait pas de détails puisque ce sont seulement des ombres qui paraissent être interposées devant la lumière de l'OVNI et il s'est montré plus appliqué et plus intéressé par l'objet non identifié en oubliant le sujet des supposées personnages. Dans le dessin de l'OVNI il ne fait même pas référence aux ombres, il commente seulement qu'elles étaient à la hauteur de des ouvertures, étant donné qu'ils étaient à l'intérieur, à la suite de notre question. Il est intéressant de souligner que pendant l'observation une coupure de lumière se soit produite et que tout ait été d'un calme étrange, ils ne passaient pas de véhicules, il n'y avait pas d'autre bruit que le bourdonnement de l'OVNI. Nous avons trouvé en Eduardo Angel Yacobi un témoin qui a voulu voir de plus près bien que son ex-femme ne l'ait pas laissé, un témoin qui après tant de temps est encore fasciné par le sujet des OVNIS. |
[Ref. in1:] SUR L'INTERNET:
BUENOS AIRES, MAR DEL PLATA (20 août 1965)Eduardo Lugán Yacobi, âgé de 25 ans, et sa conjointe Teresa Ernestina Acuña de Yacobi, retournaient à leur maison du 206 rue San Luis à 23:00 heures dans la nuit du 20 août 1965, quand au croisement de la rue 9 juillet avec la rue 216, dans le centre même de la ville, ils ont entendu un fort bourdonnement et ont vu passer sur eux à quelque 40 mètres de hauteur, presqu'en rasant les cimes des arbres, un objet lumineux, ovale et giratoire qui émettait des étincelles. La machine a atterri à quelque 200 mètres d'eux et ils ont vu se déplacer autour des personnages qui paraissaient inspecter une certaine avarie. Ces personnages étaient d'une couleur brillante violette ou rougeâtre. Yacobi a voulu s'en approcher mais son épouse, apeurée, l'en a dissuadé. Ils sont restés là, observant les personnages jusqu'à ce que ceux-ci soient de nouveau entrés dans la machine, qui a été perdue de vue en peu de secondes. Il y a eu d'autres personnes, comme il s'est avéré par la suite, qui ont vu voler l'objet rougeâtre ou ont entendu le bourdonnement. |
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Mar Del Plata, Buenos Aires, Argentine, le 20 août 1965, à 23:00, Eduardo Lujan Yacobi et son épouse, Teresa Ernestina Acuna, revenaient à leur maison quand, à l'intérieur de la ville elle-même, ils ont entendu un bourdonnement fort et ont vu un objet luminescent ovale, lumineux et tournant, volant au-dessus d'eux, et atterrissant à 200 yards au loin. L'objet a balayé les dessus des arbres voisins en passant au-dessus d'eux et après l'atterrissage les Yacobi ont pu voir des personnages rouges ou violets lumineux se déplaçant autour comme en une certaine opération de réparation; après un bref moment ces personnages ont réintégré la machine, qui a décollé et a disparu en quelques secondes. D'autres dans le voisinage avaient vu voler l'objet, et encore d'autres avaient entendu le bruit de bourdonnement.
Albert Rosales indique comme source "The Humanoids citant une source de journal."
[Ref. sc1:] SCOTT CORRALES:
Scott Corrales indique qu'à Mar del Plata, le 20 août 1965, Eduardo Jacobi, 23 ans, dînait quand son frère lui a dit que la rumeur de la rue était que le port hébergeait "une base de soucoupes volantes". Yacobi a ri de ceci.
Lui et son épouse Teresa Acuña, 18 ans, sont partis de la maison pour prendre un autobus de minuit vers le centre de Mar del Plata. Marchant sur une distance de "cinq ou six blocs ruraux" vers l'arrêt d'autobus, selon Yacobi, les quelques lumières sur la route se sont soudainement éteintes, mais cela ne l'a pas préoccupé.
A ce moment, il a entendu un bruit venir d'en haut au-dessus des arbres d'eucalyptus. Cela venait d'un objet qui est descendu au-dessus d'un champ vide de 15 hectares, planant au-dessus de la terre et n'atterrissant jamais. Il était environ 100 mètres du couple, circulaire dans la forme et "immense", avec une circonférence de 60 mètres.
Lui et son épouse se sont rendus compte qu'ils voyaient la même chose, mais elle n'a pas été d'accord quand Yacobi a voulu s'approcher pour mieux le regarder. Elle l'a convaincu, demandant: "si tu es pris par une soucoupe volante, qui va me croire?"
Les réverbères se sont rallumés, et les gens du journal La Capital de Balcarce se sont arrêtés près de là et ont demandé où le couple allait, et ont mentionné la panne de courant, mais Yacobi n'a rien dit de l'observation.
Dix minutes plus tard, l'autobus est venu, et Yacobi a dit au conducteur "vous êtes bien en retard!"; il a répondu qu'ils étaient sur la route et ne pouvaient pas faire démarrer l'autobus, et ajouté: "j'ai vu une lumière, aussi" tandis qu'ils étaient à environ 2 kilomètres de distance. Yacobi a indiqué que le microbus a toujours été à l'heure et les lumières ne s'éteignaient jamais à cette époque.
Le lendemain matin, il a parlé avec des journalistes de La Capital, et ils lui ont indiqué qu'ils ont essayé de prendre des photos de ce qu'ils avaient vu mais leurs appareils photo ne fonctionnaient pas. Un autre jour, lui et son épouse sont retourné et ont trouvé une marque triangulaire sur le champ, avec les journalistes étant présents, selon lui.
Yacobi est présenté comme athée et sceptique avéré de n'importe quoi d'aussi exotique que les soucoupes volantes, il a développé une passion pour le sujet, mais n'a jamais eu une autre observation ou d'autres rencontres.
Quand il a été interviewé par Miguel Angel G. Pombo, il a déclaré qu'il "a reçu une lettre de la NASA environ trois ou quatre jours plus tard, mais l'a jetée." C'était apparemment un formulaire et une demande de faire un dessin de l'objet qu'il avait vu.
Scott Corrales indique que Yacobi est en désaccord sur la date de l'observation, affirmant que cela s'est produit en septembre 1966.
L'événement a été mentionné la première fois dans le journal La Razón du 21 août 1965, puis par l'auteur et chercheur Roberto Banchs et ensuite rouvert par Miguel Angel Gomez Pombo, qui a interviewé Eduardo Jacobi en l'année 2002.
[Ref. ud1:] SITE INTERNET "UFODNA":
Le site web indique que le 20 août 1965, à 23:00, à Mar del Plata, Argentine, M. et Mme Yacobi ont entendu un fort bruit de ronflement et ont vu un objet ovale luminescent, clignotant, atterrir à 200 mètres de loin. Des personnages se sont déplacés autour de lui, comme s'ils examinaient l'engin, qui a de nouveau décollé.
C'était une rencontre rapprochée avec un engin non identifié et ses occupants. Un objet ovale a été observé par deux témoins dans une ville pendant 30 minutes. Un bruit a été entendu.
Eduardo Lujan Yacobi et son épouse, Teresa Ernestina Acuna, revenaient à leur domicile quand, à l'intérieur de la ville elle-même, ils ont entendu un fredonnement fort et ont vu un objet rougeâtre ovale, lumineux et tournant, passer au-dessus d'eux et atterrir à 200 mètres de là. L'objet a balayé les dessus des arbres voisins dans son passage et, après le débarquement, les Yacobi ont pu voir des figures rouges ou violettes lumineuses se déplaçant à ses abords comme s'ils faisaient quelque réparation; après un bref moment ces personnages regagnaient l'engin, qui a décollé et a disparu en quelques secondes. D'autres dans le voisinage avaient vu le passage de l'objet au-dessus d'eux, et encore d'autres avaient entendu le bruit de ronflement.
Le sources sont indiquées comme étant Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Lorenzen, Coral E., Flying Saucer Occupants, Signet T3205, New York, 1967; Lorenzen, Coral E., Encounters with UFO Occupants, Berkley Medallion, New York, 1976; Bowen, Charles, The Humanoids: FSR Special Edition No. 1, FSR, Londres, 1966; Pereira, Jader U., Les Extra-Terrestres, Phenomenes Spatiaux, Paris, 1974; Vallee, Jacques, A Century of Landings (N = 923), (in JVallee04), Chicago, 1969; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173); Newspaper Clippings; Uriondo, Oscar A.; Hatch, Larry, *U* computer database, Author, Redwood City, 2002; Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database.
Il n'est pas possible d'être certain que tout se soit bien passé comme Eduardo Yacobi l'a rapporté, et il est dommage que son ex-épouse n'ait pas pu être entendue. Une contradiction peut-être due au passage du temps existe, celle que le journal indique qu'il n'y avait aucune trace tandis que Yacobi dit son souvenir de journalistes trouvant une trace triangulaire. Dans l'interview tardive, il semble d'ailleurs lui-même surpris de ces traces puisqu'il rappelle que l'objet n'avait justement pas été sur le sol mais en l'air deux mètres au-dessus.
Le formulaire de rapport que Yacobi dit avoir reçu n'était probablement pas de la NASA, puisque cet organisme a toujours assuré ne pas s'occuper de la question des OVNIS et n'aurait donc pas posté de tels formulaire. Par contre, bien probablement, ce formulaire a pu venir de l'une des grandes organisation ufologiques des USA, le NICAP ou l'APRO. Parfois de pseudo-témoins se donnent de l'importance en évoquant des "contacts officiels" au sujet de leur observation alléguée, mais ici il semble bien que Yacobi n'ait pas manifesté de réels désirs d'obtenir une attention médiatique soutenue, à la façon des "contactés". Il ne semble pas non plus avoir brodé sur la question des occupants, comme la presse de seconde main semble l'avoir fait alors.
Au final le cas n'est pas bien assuré et il est difficile de se faire une opinion. Une belle opportunité de démarches d'enquêtes a été négligée, puisqu'il aurait été possible à l'époque d'interroger par exemple son épouse, ou le conducteur du bus en retard rapportant une panne selon Yacobi, ou de vérifier ce qu'il en était de l'éclairage public éteint.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Ufologie | Grave | 24 août 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Plusieurs personnes apparemment impliquées mais une seule a été interviewée. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 24 août 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Pas d'enquête formelle. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Visiteurs extraterrestres ou invention.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 24 août 2008 | Création, [lc1], [gc1], [lo1], [jv1], [rb1], [mp1], [in1], [ar1], [sc1], [ud1]. |
1.0 | Patrick Gross | 24 août 2008 | Première publication. |