Un rapport du groupe d'ufologie S.B.E.D.V. paru peu après l'événement indique que le 26 juillet 1965, de nuit, le collégien Adilson Batista Azevedo, 14 ans, est sorti de chez lui en compagnie de ses camarades Nelson Vieira, 17 ans, et João Pereira, 14 ans, qui l'avaient invité à aller avec eux au cinéma.
Comme la résidence d'Adilson était dans la périphérie de la ville, ils ont du marcher pendant 10 minutes. Arrivés à la hauteur d'un terrain en friche, entre les rues du 15 novembre, rue du Général Cenabarro et rue Alexandre da Mota, ils ont vu dans le ciel, sortant d'un nuage, à une hauteur dite de 500 mètres, un foyer de lumière puissante, en forme de cône, qui illuminait le sol sur une bande de 10 mètres.
Comme la lumière descendait rapidement, avec un bourdonnement étrange, les garçons se sont effrayés. Nelson et João ont pensé qu'il s'agissait d'une étoile filante, d'un météore, ou pire, d'une nuée d'abeilles, et se sont sauvés en criant "Ce sont des abeilles! Ce sont des abeilles!"
Adilson a été plus curieux et a pu observer que c'était un objet ovoïde de 5 ou 6 mètres de longueur pour 1.50 mètres de hauteur, qui a atterri dans le terrain en friche à 40 mètres de lui. L'appareil n'a pas touché le sol selon lui, il est resté immobile à 1 mètre du sol.
Trois minutes plus tard, un autre objet est apparu, a illuminé le sol et a atterri, avec le même bourdonnement, s'arrêtant à trois ou quatre mètres du premier, au même niveau, les deux engins projetant un faisceau de lumière vers le sol, par la partie inférieure. Ils étaient de formes identiques, néanmoins le second paraissait bien plus petit avec peut-être seulement 2 ou 3 mètres de longueur.
Deux "petits" êtres, de 1.5 mètres, ou 2.0 mètres selon un journal local, sont sortis de l'engin le plus grand, marchant en faisant le tour de leur appareil. Ils gesticulaient et parlaient dans une langue incompréhensible pleine de "S" et "Z", avec des voix graves comme celles de gens âgés.
Adilson est resté en les observant pendant une ou deux minutes et, au moment où les équipages étaient de côté, a avancé de 30 mètres, est entré dans le terrain, et s'est accroupi derrière les parois d'un vieux puits à seulement 30 ou 40 mètres des membres de l'équipage.
Ceux-ci portaient des vêtement foncé et un casque lumineux. Sortant du casque, depuis la hauteur du nez, une bande plus sombre descendait jusqu'à la poitrine.
Après 5 minutes d'observation, Adilson a remarqué que trois membres d'équipage, de stature identique, étaient sorti de l'appareil plus petit et se sont dirigés vers le premier groupe, parlant dans le même idiome sifflant. L'un de ceux de ce second groupe tenait dans la main droite un objet lumineux et "marchait d'un côté vers l'autre". Peu après, les deux petits hommes du premier groupe ont fait trois fois le tour de leur vaisseau et y sont entrés, par la partie inférieure, se baissant suffisamment pour cela.
L'appareil a décollé verticalement, augmentant à ce moment son bourdonnement et en disparaissant en quelques secondes, se confondant avec les étoiles. Les trois membres de l'équipage du second vaisseau spatial ont continué à parler encore 3 minutes, puis ont fait les mêmes mouvements que le groupe précédent, se pliants, finalement, pour disparaître au-dessous de l'engin, qui s'est bientôt élevé, à haute vitesse, disparaissant rapidement.
Adilson a été retrouver ses amis au cinéma, où il est seulement resté une demi-heure, parce qu'il sentait forte douleur de tête. Il est passé à la pharmacie, a acheté un comprimé de Fontol, qui n'a pas fait effet. Le lendemain, son père, Gumercindo Batista Azevedo, impressionné par l'histoire, l'a emmené chez le médecin, qui lui a prescrit des calmants et sédatifs qui n'ont servi à rien non plus. Son mal de tête a continué pendant 5 journées et 5 nuits, et a alors cessé soudainement.
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[Ref. sb1:] S.B.E.D.V:
Le rapport du groupe d'ufologie S.B.E.D.V. indique que le 26 juillet 1965, de nuit, le collégien Adilson Batista Azevedo, 14 ans, est sorti de chez lui en compagnie de ses camarades Nelson Vieira, 17 ans, et João Pereira, 14 ans, qui l'avaient invité à aller avec eu voir un film au cinéma.
Comme la résidence d'Adilson est dans la périphérie de la ville, ils ont du marcher, à pied, pendant 10 minutes. Arrivés à la hauteur d'un terrain en friche, entre les rues du 15 novembre, rue du Général Cenabarro et rue Alexandre da Mota, ils ont aperçu dans le ciel, sortant d'un nuage, à 500 mètres de hauteur, un foyer de lumière forte, en forme de cône, qui illuminait le sol sur une bande de 10 mètres.
Comme la lumière descendait rapidement, avec un bourdonnement étrange, les garçons se sont effrayés. Nelson et João Pereira, pensant qu'il s'agissait d'une étoile filante, d'un météore, ou plus dangereux, d'une nuée d'abeilles, se sont sauvés en courant en criant:
"- Ce sont des abeilles! Ce sont des abeilles!"
Adilson a été plus curieux et a pu observer que c'était un objet ovoïde de 5 ou 6 mètres de longueur pou 1.50 mètres de hauteur, qui a atterri dans le terrain en friche, à 40 mètres d'où il se trouvait. L'appareil n'a pas touché le sol mais est resté immobile à 1 mètre du sol.
Trois minutes plus tard, un autre objet est apparu, a illuminé le sol et est descendu, avec le même bourdonnement, s'arrêtant à trois ou quatre mètres du premier, au même niveau, les deux engins projetant un faisceau de lumière vers le sol, par la partie inférieure. Ils étaient de formes identiques, néanmoins le second était bien plus petit. Il devrait avoir seulement 2 ou 3 mètres de longueur.
Deux petits êtres, de 1.5 mètres, sont sortis de l'engin le plus grand, marchant en faisant le tour de leur appareil. Ils gesticulaient et parlaient, dans une langue incompréhensible pleine de SS et ZZ, avec des voix graves comme celles de gens âgés. Adilson est resté en les observant pendant une ou deux minutes et, au moment où les créatures étaient de côté, a avancé de trente mètres et est entré dans le terrain, pour regarder de plus près. Il s'est accroupi derrière les parois de ciment d'un vieux puits, à seulement 30 ou 40 mètres des membres de l'équipage. Ceux-ci portaient des vêtements foncés et des casques lumineux. Sortant du casque, depuis la hauteur du nez, descendait jusqu'à la poitrine une bande plus foncée que le vêtement, se détachant de celui-ci avec suffisamment de netteté.
Après 5 minutes d'observation, Adilson a remarqué que trois membres d'équipage, de stature identique, étaient sorti de l'appareil plus petit et se sont dirigés vers le premier groupe, parlant dans le même idiome sifflant. L'un de ceux de ce second groupe tenait dans la main droite un objet lumineux et marchait d'un côté vers l'autre. Peu après, les deux petits hommes du premier groupe ont fait trois fois le tour de leur vaisseau et y sont entrés, par la partie inférieure, se baissant suffisamment pour cela.
L'appareil a décollé verticalement, augmentant à ce moment son bourdonnement et en disparaissant en quelques secondes, se confondant avec les étoiles. Les trois membres de l'équipage du second vaisseau spatial ont continué à parler encore 3 minutes, puis ont fait les mêmes mouvements que le groupe précédent, se pliants, finalement, pour disparaître au-dessous de l'engin, qui s'est bientôt élevé, à haute vitesse, disparaissant rapidement.
Après "son hallucinante aventure", Adilson a été retrouver ses amis au cinéma, où il est seulement resté une demi-heure, parce qu'il sentait forte douleur de tête. Il est passé à la pharmacie, a acheté un comprimé de Fontol, qui n'a pas fait effet. Le lendemain, son père, Gumercindo Batista Azevedo, impressionné par l'histoire, l'a emmené chez le médecin, qui lui a prescrit des calmants et sédatifs qui n'ont servi à rien non plus. Son mal de tête a continué pendant 5 journées et 5 nuits, et a alors cessé soudainement.
L'article comprend cette photographie du témoin:
L'article montre cette photographie de l'endroit, avec le puits où le témoin s'est caché, et la maison de ferme dans la distance où les objets étaient:
L'article montre un croquis de l'observation. Le croquis n'est pas par le témoin. Il n'a pas plus d'information ou de détails que mon dessin ci-dessous:
[Ref. gc1:] GORDON CREIGHTON:
L'ufologue indique qu'à Carazinho, état de Rio Grande do Sul, Brésil, dans la soirée du 26 juillet 1965, Adilon Batista Azevedo, 15 ans, traînait derrière un groupe de jeunes qui allaient à un cinéma. Quand il est passé à travers un terrain en friche sur les périphéries de la ville, il a entendu un bourdonnement étrange et a vu deux cônes de lumière blanche dans le ciel, et a ensuite vu deux "deux engins arrondis", l'un plus grand que l'autre, atterrissant non loin de lui.
Il s'est caché derrière le bas mur circulaire d'un puits et a vu trois entités émerger d'un engin et deux de l'autre. Les deux groupes d'entités se sont réunis, et il a entendu qu'elles parlaient ensemble comme rien qu'il avait jamais entendu dans sa vie.
Les êtres étaient d'environ 1.50 mètres de grands, dans des casques et les tenues spatiales d'une seule pièce d'une couleur foncée et de petites bottes. L'un d'eux avait un objet brillamment lumineux comme une baguette magique dans sa main droite.
Ils ont parlé ensemble pendant environ cinq minutes, alors chaque groupe a marché autour de son engin trois fois, se pliant vers le bas et examinant la coque.
Le garçon a estimé le diamètre de la machine plus grande à 5 ou 6 mètres, et le bulletin de la SBEDV du Dr Buhler les croquis de l'engin et des entités par le garçon, avec les entités ressemblant de façon saisissante aux croquis faits par le fermier brésiliens Antonio Villas Boas des gens qu'il a rencontré.
Une fois l'inspection terminée, ils sont rentrés dans les appareils; qui ont décollé à une vitesse telle fantastique qu'en une seconde ou deux ils étaient juste deux taches de lumière des plus minuscules parmi les étoiles.
Le garçon a couru pour rejoindre ses amis au cinéma, mais a bientôt senti un mal de tête si violent qu'après une demi-heure ou à peu près, il a dû chercher un pharmacien qui lui a donné quelques comprimés, en vain car le mal de tête a duré cinq jours.
Le père du garçon a été considérablement alarmé et l'a emmené chez un docteur, qui a prescrit des médecines et le repos pour le mal de tête et pour "un dérangement du coeur."
Gordon Creighton indique qu'il a lu deux sources pour le cas. Il a préféré le rapport par le Dr. Bulher dans le bulletin N.45-47 de la S.B.E.D.V de juillet-août 1965, au rapport dans le journal Diario de Noite du 3 août 1965, car ce dernier a des différences dans le nom du garçon et indique que les entités étaient de "presque deux mètres de haut".
[Ref. jv1:] JACQUES VALLEE:
Dans son catalogue des atterrissages d'OVNIS, Jacques Vallée indique que le 26 juillet 1965, à 20:00, à Carazinho, au Brésil, un adolescent, Adilon Azevedo, et d'autres qui se sont sauvés, ont vu deux objets au niveau du sol, d'environ 3 mètres de diamètre, de 1.5 mètres de haut, avec cinq occupants, portant des casques lumineux, parlant entre eux-mêmes en une langue peu familière. Un des êtres avait un objet lumineux dans sa main. Le témoin a eu des maux de tête pendant cinq jours.
Vallée indique que sa source est "Humanoids 41."
[Ref. lo1:] CORAL ET JIM LORENZEN:
Les auteurs indiquent que dans la soirée du 26 juillet 1965, un garçon de 15 ans, Adilon Batista Azevedo, était sur son chemin vers le cinéma, et quand il a marché à travers une partie de terrain découvert sur les périphéries de la ville de Carazinho, état de Rio Grande do Sul, Brésil, il a entendu un bruit étrange de ronflement, puis a vu deux cônes de lumière, et deux engins ronds atterrir non loin de lui.
Il s'est caché, et a observé trois êtres semblables à des humains émerger d'une machine, et de deux de l'autre, puis les deux groupes se sont rejoints et ont parlé dans une langue étrange pendant environ cinq minutes, ils ont marché autour des machines trois fois, se pliant vers le bas et regardant la coque.
Les êtres étaient d'environ 5 pieds de haut, ils portaient des casques et des costumes d'une seule pièce de couleur foncée, et des bottes, et l'un tenait un objet brillant semblable à une baguette magique dans une main.
Après inspection des engins, les entités y sont rentrés, et ont décollé à grande vitesse et étaient partis en quelques secondes.
Les auteurs disent que les croquis des objets et des entités soumis au Dr. Buhler du Groupe Brésilien de Recherche OVNI ressemblent aux descriptions des êtres vus par Antonio Villas-Boas en 1957.
[Ref. jv2:] JACQUES VALLEE:
Jacques Vallée indique qu'il faut prendre en compte les récits d'apparitions de fées, et que dans le cas de Carazinho au Brésil, cinq petits êtres vêtus d'uniformes noirs et de petites bottes sont apparus, et qu'on nous dit que l'un d'entre eux avait dans la main un objet étonnament lumineux, comme une "baguette de fée".
[Ref. pd1:] PIERRE DELVAL:
L'auteur indique qu'entre les mois de juillet et novembre 1965, on a enregistré huit atterrissages d'engins inconnus au Brésil, l'un étant le 19 juillet 1965, à 20 heures, à Carazinho dans le Rio Grande Do Sul.
[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
L'ufologuq indique que le 26 juillet 1965 au Brésil à Carazinho, selon Jacques Vallée, "... ce furent cinq nains, vêtus d'uniformes noirs et de petites bottes qui apparurent. On nous dit que deux d'entre eux avait dans la main un objet étonnamment lumineux, comme une baguette de fée" (Jacques VALLEE: "Chroniques des apparitions E.T." - DENOEL 1972 - coll. J'AI LU - p. 105)
Selon Charles Bowen dans "En quête des humanoïdes" - J'ai Lu 1974, p. 137, 138, dans la soirée Adilon Batista Azevedo, 15 ans, flânait derrière un groupe de jeunes qui allaient au cinéma. Alors qu'il traversait un terrain découvert à la périphérie de la ville, il entendit un étrange bourdonnement et vit deux cônes de lumière blanche dans le ciel, puis deux appareils presque ronds, l'un plus grand que l'autre, atterrir non loin de lui. Il se cacha derrière le muret d'un puits et vit trois entités émerger d'une machine et deux de l'autre. Les deux équipes se rejoignirent et il put entendre leurs paroles qui ne ressemblaient en rien de ce qu'il avait jamais entendu. Les êtres mesuraient 1 m 50, portaient des casques et des scaphandres d'une pièce, de couleur sombre ainsi que de petites bottes. L'un d'entre eux portait à la main droite un objet très lumineux ressemblant à une baguette. Ils conversèrent dans leur langage sifflant pendant 5 minutes environ, puis chaque équipe tourna autour de sa machine trois fois en se penchant pour examiner la coque. L'inspection terminée il remontèrent dans leurs appareils qui s'envolèrent à vitesse si fantastique qu'en une seconde ou deux elles n'étaient plus qu'un minuscule point parmi les étoiles. Adilon courut rejoindre ses amis au cinéma mais sentit bientôt un si violent mal de tête qu'il dut aller chez un pharmacien acheter des comprimés. Sans le moindre résultat, son mal de tête dura pendant cinq jours. (...)
[Ref. gd1:] GEOFF DITTMAN:
Le cas est listé comme du 26 juillet 1965, à Carazinho, Brésil, témoin Adilon Azevedo, avec blessure et maux de têtes, la source étant Vallée.
[Ref. gd2:] GEOFF DITTMAN:
Geoff Dittman indique que le 26 juillet 1965 à 20:00 à Carazinho, Brésil teenager Adilon Azevedo et d'autres témoins ont observés deux objets atterrir, et cinq occupants parlant une langue peu familière. Les témoins se sont sauvés. Azevedo a ensuite souffert de maux de tête pendant cinq jours. La source est donnée comme Vallee, Passeport to Magonia N.662.
[Ref. jr1:] JEAN-PAUL RONECKER:
L'auteur indique que dans le cas de Carazinho, dans l'Etat de Rio Grande do Azul, au Brésil, dans la soirée du 26 juillet 1965, Adilon Batista Azevedo, 15 ans, a observé des petits êtres d'environ 1.50 m, qui conversaient dans un incompréhensible "langage sifflant."
[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:
Donald Johnson indique que le 26 juillet 1965, un adolescent, Adilon Azevedo, et d'autres dans Carazinho, Brésil qui se sont sauvés des lieux, ont vu deux OVNIS au niveau du sol. Ils étaient d'environ trois mètres de diamètre, 1.5 mètres de haut, et contenaient cinq occupants qui portaient des casques lumineux et parlaient entre eux dans une langue peu familière. Un des êtres avait un objet lumineux dans sa main. Le témoin a éprouvé des maux de tête pendant cinq jours après la rencontre rapprochée.
La source est indiquée être Jacques Vallee, Passport to Magonia: A Century of Landings, cas 662.
[Ref. jb1:] JEROME BEAU:
Jérôme Beau indique qu'à Carazinho, Brésil, 5 petits êtres vêtus d'uniformes noirs et de petites bottes sont apparues. Les témoins ont indiqué que l'un d'entre eux avait dans la main un objet étonnament lumineux, comme une baguette magique.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Carazinho, Rio Grande Do Sul, Brésil, le 26 juillet 1965, à 20:00, Adilon Batista Azevedo a vu deux objets arrondis débarquer non loin, le plus grand avait environ 16 pieds de diamètre. Se cachant derrière un puits, il a vu 3 entités émerger de la machine plus grande, 2 de l'autre. Elles étaient d'environ 5 pieds de haut et portaient des casques et des tenues spatiales foncées d'une seule pièce; l'un portait un objet brillamment lumineux comme une baguette magique. Ils ont parlé entre eux dans des tonalités sibilantes tandis qu'ils marchaient autour de l'engin, les inspectant apparemment. Ensuite ils y sont de nouveau entrés et ont décollé à des vitesses fantastiques. Le garçon a bientôt senti un mal de tête violent qui a duré 3 jours.
Albert Rosales indique comme source "The Humanoids par Hanlon".
[Ref. ud1:] SITE INTERNET "UFODNA":
Le site web indique que le 26 juillet 1965, à 20:00, à Carazinho, au Brésil, l'adolescent Adilon Azevedo et d'autres qui se sont sauvés ont vu deux objets au niveau du sol, d'environ trois mètres de diamètre, 1.5 mètres de haut, avec cinq occupants, portant des casques lumineux de port, parlant entre eux dans une langue peu familière. Un des êtres avait un objet lumineux dans sa main. Le témoin a eu des maux de tête pendant 5 jours.
En un deuxième résumé suivant l'autre, le site web indique qu'Adilon Batista Azevedo a vu deux objets arrondis atterrir non loin, le plus grand d'environ 16 pieds de diamètre. Il s'est bien caché derrière un puits, a vu 3 émergent de la machine plus grande, 2 de l'autre, qui étaient d'environ 5 pieds de haut et portaient des casques et des tenues spatiales foncées d'une seule pièce, l'un portant un objet brillamment lumineux comme une baguette magique. Ils ont parlé entre eux dans des tonalités "sibilantes" tandis qu'ils marchaient autour des engins, les inspectant apparemment. Ensuite ils y sont rentrés et ont décollé à des vitesses fantastiques. Le garçon a bientôt senti un mal de tête violent qui a duré 3 jours.
Le site web commente que trois adolescents masculins à une ferme ont observé deux boules d'environ 10 pieds de large pendant plus de 18 minutes, et cinq êtres de 5 pieds de haut, chacun portant un costume de plongeur et casque de plongeur ont été vus.
Les sources sont énumérées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Sparks, Brad, Computer Catalog of Type 9 Cases (N=150); Lorenzen, Coral E. Flying Saucer Occupants, Signet T3205, New York, 1967; Lorenzen, Coral E. Encounters with UFO Occupants, Berkley Medallion, New York, 1976; FSR (formerly Flying Saucer Review), London, 1966; Bowen, Charles, The Humanoids: FSR Special Edition No. 1, FSR, London, 1966; Pereira, Jader U., Les Extra-Terrestres, Phenomenes Spatiaux, Paris, 1974; Vallee, Jacques, A Century of Landings (N = 923), (in JVallee04), Chicago, 1969; Vallee, Jacques, Passport to Magonia, Henry Regnery, Chicago, 1969; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173): UFO Nachrichten (Veit), (Germany); Vallee, Jacques, Dimensions: A Casebook of Alien Contact, Contemporary Books, Chicago, 1988; Hatch, Larry, *U* computer database, Redwood City, 2002; and Rosales, Albert, Humanoid Sighting Reports Database.
Lisant la source primaire, le rapport par la S.B.E.D.V., je ne peux pas m'empêcher de penser que l'épisode entier pourrait avoir été provoqué par deux hélicoptères et leur équipage:
Il pourrait être discuté contre la possibilité d'hélicoptères si l'on considère seulement superficiellement le rapport.
Comment aurait-il pu manquer d'identifier des hélicoptères? D'abord, parce que tout s'est passé dans la nuit obscure, avec des nuages mentionnés, probablement sans la lune ou une lune cachée dans les nuages.
Qu'en est-il de la baguette magique lumineuse de fée qu'une "entité" tenait? Ce n'était probable aucunement une baguette magique de fée. C'était probable une lampe-torche. Se rappeler que "l'entité" qui l'utilise balaye à gauche et à droite. L'entité était juste un homme en utilisant une lampe-torche sur le terre, balançant le faisceau à gauche et à droite. "Lumineux" ne signifie pas que la baguette magique était lumineuse. Cela signifie qu'il y avait un certain faisceau de lumière. "Baguette magique" est la traduction "de comme une baguette" de ce qui était dans le rapport original seulement "un objet lumineux", la notion que cela a ressemblé à "une baguette magique" est absurde, et la notion que cela a à voir avec des fées est bien plus absurde, provenant seulement du wishful thinking de Vallée voulant montrer que les histoires "d'extraterrestres" sont "comme les récits de fées". Vallée déclare en fait que son catalogue est de cas de crédibilité "diverse", qu'il ne prétend pas qu'un seul soit vrai, que c'est seulement un guide général de lecture, et avertit que les conclusions qui en seront tirées ne sont pas de sa responsabilité, mais n'entend pas son propre avertissement quand il a utilisé le cas.
Est-ce que les "entités" étaient vraiment "petites"? Le journal dit apparemment "2 mètres de haut", la S.B.E.D.V. indique 1.50 mètres de haut. Ceci suggère simplement que le garçon n'ait pas été très certain, et ce n'est que normal: cela s'est passé la nuit, et la nuit, tailles et distances ne peuvent pas être toujours correctement appréciées. Ce que nous savons est seulement que les tailles pouvaient avoir été n'importe quoi dans les alentours de 1.50 et 2.0 mètres, et ce n'est rien d'impossible pour un équipage d'hélicoptère.
Les investigateurs de S.B.E.D.V. ont-ils pensé aux hélicoptères? De toute évidence non. Rien dans le rapport n'indique qu'ils y aient pensé, tandis qu'ils appellent finalement les appareils des "vaisseaux spatiaux". Ceci suggère qu'il ait été évident pour eux qu'il s'agissait de vaisseaux spatiaux et qu'ils n'ont jamais pensé aux hélicoptères. Il n'est pas évident du tout qu'il y ait eu une enquête soigneuse ici. Par exemple, pas un mot n'est dit au sujet d'un examen du sol pour d'éventuelles traces de pas des "entités" ou des traces de l'atterrissage des engins! Une vraie occasion manquée de recueillir l'évidence, en fait.
Que dire de la ressemblance des entités avec celles rapportées par Mr. Villas Boas? C'est seulement une opinion par Gordon Creighton, purement et simplement copié par les Lorenzen, le dessin ne montre aucune entité détaillée, seulement des silhouettes humaines, et oui, certains des croquis dans l'incident de Villas Boas montrent également des êtres d'apsct humain. Seulement les plans rapprochés et les dires de Mr. Villas Boas montrent qu'ils n'étaient pas "vraiment" humains. Des silhouettes d'apparence humaine sont exactement cela des silhouettes humaines, juste comme un équipage d'hélicoptère aurait été vu comme silhouettes humaines.
La distance d'observation n'était-elle pas si faible que les hélicoptères seraient reconnus en tant que tels? Malheureusement, c'est un des données dans le rapport qui semble douteuse. La photographie des lieux et la position des OVNIS sur le croquis correspondant prouvent que le puits n'était certainement pas juste à 30 ou 40 mètres des OVNIS. Ce qui était nécessaire ici avec le rapport est une carte de l'endroit avec une échelle des distances, indiquant les positions et les distances, une partie cruciale de tout bon rapport d'enquête. Mais il n'y a aucune une telle carte ici. Au contraire, il y a même une contradiction apparente dans le texte du rapport. Il est dit que l'engin a atterri à 40 mètres du témoin. Ensuite, est-il dit, Adilson avancé de 30 mètres et est entré dans le terrain découvert. Ceci, à première vue, signifierait que les OVNIS ont atterri à 10 mètres du bord du terrain découvert, et qu'Adilson était pratiquement au milieu des "entités" marchant autour des OVNIS. C'est indicatif d'un manque de soin dans l'évaluation des distances d'observations; encore une fois une carte de l'endroit avec les positions de l'UFO, le terrain découvert, la rue, les arbres, les maisons de ferme, aurait du avoir été réalisé. Mais au moins nous avons une image de l'apparence de l'endroit où se trouve le puits, les maisons et les arbres, et un croquis - sur lequel la distance entre le puits et les OVNIS est clairement sous-estimée - qui met les OVNIS près des maisons de ferme, à évidemment beaucoup puis que 10, 30 ou 40 mètres. Et il faut encore se rappeler que cela se produit dans la nuit obscure de l'hiver à 20 heures.
Une autre indication que les distances n'ont pas été comprises est que le garçon a dit que les deux OVNIS étaient identiques sauf que l'un était plus petit que l'autre. Ceci suggère très simplement qu'ils aient été vraiment identiques mais que l'un d'eux était plus éloigné et semblait u coup plus petit; et c'est d'ailleurs bien ce que le croquis montre. L'auteur du rapport devrait avoir réalisé cela mais il n'y a apparemment donné aucune considération.
Mais que dire du mal de tête de cinq jours? D'abord, il m'arrive moi-même d'avoir des migraines de temps en temps, sans qu'aucun vaisseau spatial n'y soit impliqué. Les migraines peuvent durer des jours, les migraines ne se soignent pas forcément avec des sédatifs ou des médicaments contre les maux de têtes ordinaires, elles peuvent nécessiter des médicaments spécifiques, et l'arrêt des migraines peut être soudain. Les migraines peuvent être provoquées par un stress, et c'est probable que le garçon ait été stressé par l'expérience qu'il n'a pas comprise. Un effet tel qu'une migraine ne peut pas du tout prouver que c'étaient des vaisseaux spatiaux et non des hélicoptères. Mais c'est un fait que beaucoup d'ufologue ne comprennent pas cela, et quand un témoin rapporte un tel effet, ils croient que c'est une "preuve", un "effet physiologique causé par l'OVNI", qui confirme la nature non ordinaire de l'expérience. Ce n'est pas le cas ici.
Qu'en est-il des casques lumineux? C'est réellement la seule vraie étrangeté dans ce cas-ci. Les pilotes d'hélicoptère ne portent pas de casques lumineux ("capacete luminoso" dans le rapport original.) Malheureusement ce n'est pas assez pour moi pour écarter des hélicoptères, car il y a la possibilité que le garçon ait voulu dire "des casques clairs", "des casques brillants", et a été mal compris, ou que c'était un détail qui a été inventé dans le journal, ou même, que le garçon ait exagéré quelque peu - c'est pourquoi un rapport d'enquête devrait contenir les rapports in extenso du ou des témoin(s). S'il y avait eu les éléments d'étrangeté suffisants par ailleurs dans le rapport pour écarter les hélicoptères, alors cela aurait été un d'eux, mais ici, c'est le seul détail qui va apparemment à l'encontre des hélicoptères (il resterait de toute façon à vérifier la possibilité de lampes sur les casques).
Ce cas montre que lorsqu'une enquête n'est pas correctement menée, un cas d'étrangeté factice apparaît. Etrangeté factice parce que tout ufologue avec un peu d'expérience pourra se demander si ce n'était pas simplement une observation d'atterrissage d'hélicoptère. Etrangeté factice également en ce que chaque version postérieure déforme ce qui a été dit à l'origine dans le rapport:
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 6 avril 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Manque de l'article dans le journal Diario de Noite, Sao Paulo, Brazil, 3 août 1965 | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Possible confusion, hélicoptères.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 6 avril 2008 | Création, [sb1], [gc1], [jv1], [lo1], [jv2], [pd1], [go1], [gd1], [gd2], [jr1], [dj1], [jb1], [ar1], [ud1]. |
1.0 | Patrick Gross | 6 avril 2008 | Première publication. |