Sid Padrick, un technicien en radio et télévision, âgé de 45 ans, père de famille, employé dans une entreprise électronique à Selva Beach, près de Watsonville sur la côte du Pacifique, à 120 kilomètres au sud de San Francisco, Californie, USA, a raconté son aventure alléguée sur des émissions de radio et de télévision aux Etats-Unis.
Le 30 janvier 1965, ou dans la nuit du 7 mars 1965, à 02:00 du matin, prétendait-il, il se promenait le long de la plage de Selva Beach, ou le long de la plage de Manresa Beach - la date et le lieu changent au gré des versions - et a entendu un sifflement semblable à celui d'un avion à réaction.
Levant les yeux, il a vu "à sa grande surprise" un engin de 15 mètres de diamètre se poser devant lui, décrit comme une soucoupe volante tout à fait classique. Il veut se sauver mais une voix venue de l'engin, l'appelle par son nom et le rassure en disant qu'aucun mal ne lui est voulu.
Il est naturellement invité à bord de l'engin, ce qu'il accepte malgré sa frayeur. La porte de la soucoupe se referme sur lui, la soucoupe s'envole puisque Sid Padrick voit que le paysage visible au travers des hublots est devenu montagneux.
Un homme nommé Zeeno ou Xeno l'attend à l'intérieur de l'appareil, et lui fait visiter la soucoupe de 15 mètres de diamètre que Sid Padrick trouve moyen de décrire comme ayant 14 compartiments sur deux étages reliés par un ascenseur, avec une "quantité prodigieuse de tableaux de bord extrêmement compliqués", un équipage de gens "comme vous et moi" de sept hommes et une femme "très jolie", et une énorme lentille à travers laquelle Sid Padrick peut voir le vaisseau-mère qui se trouve dans l'espace.
Dans les médias, Sid Padrick racontera que les hommes de l'espace sont en mission d'exploration et d'observation, qu'il sont en contact avec un groupe de personnes en Nouvelle-Zélande depuis deux mois, mais ne s'intéressent pas aux gouvernements.
Ils viennent "d'une planète plus éloignée" ou "derrière" une "autre que nous observons", qui selon Padrick est dans notre système solaire.
Les êtres de l'espace communiquent entre eux par télépathie en en parfait anglais avec Sid Padrick, ils sont âgés de 25 à 30 ans, ont des cheveux courts bruns, la peau très claire, un visage un peu plus effilé que le notre et des doigts plus long que les autres. Ils sont en combinaison moulante deux pièces bleu pâle, presque blanche, sans bouton ou de fermeture éclair apparents, les souliers sont des sortes de bottes qui semblent ne faire qu'un avec la combinaison. Le col de la combinaison a une très jolie décoration, se terminant en V devant et portait une sorte de galon aux couleurs inconnue sur terre.
Les pièces de la soucoupe n'avaient pas d'angle, tout était arrondi, l'éclairage indirect semblait émaner des parois car il n'y avait pas de lampes.
La soucoupe va dans l'espace près d'un vaisseau énorme en forme de cigare, puis se pose sur un terrain de camping sur Terre en montagne, ou Padrick est invité à sortir et faire le tour de l'engin pour s'assurer "qu'il ne rêvait pas." Padrick déclare que la soucoupe est en un matériau non métallique mais très dur et poli, il explique que le seul produit analogue qu'il connaisse est le plexiglas.
L'homme de l'espace lui a ensuite montré une photographie d'une ville de sa planète, qui montrait des bâtiments espacés en forme de croissant de lune, avec des fenêtres. On devinait des routes dans le lointain, et au premier plan, il y avait des arbres et des buissons.
Bien entendu, sur leur planète il n'y a pas de maladie, pas de crime, pas de vice, pas de police, pas d'argent, pas de guerre. Il n'y a pas non plus d'école: "les enfants apprennent un métier dès leur plus jeune âge."
Sid Padrick insiste sur l'aspect religieux ou spirituel de sa visite, puisque l'homme de l'espace l'emmena dans la "chambre des consultations", sorte de chapelle de la soucoupe volante, "à l'intérieur de laquelle l'harmonie des couleurs était si belle que je faillis m'évanouir." Il lui est demandé s'il désire "invoquer la Divinité suprême?" et Padrick se met à prier, expliquant que sur Terre cette divinité s'appelle dieu.
Il apprendra encore que les gens de l'espace ne font pas de différence entre science et religion, qu'ils mesurent les distances en "lumières", que leur vaisseaux sont propulsés par un rayon venu d'un vaisseau plus grand.
Padrick explique que l'US Air Force et autres ufologues croient que les soucoupes volantes sont hostiles, mais son hôte lui a assuré que ce n'est pas le cas et qu'il leur arrive seulement de se défendre lorsque l'US Air Force leur tire dessus. Padrick assure également avoir été interrogé pendant trois heures par l'US Air Force, qui aurait été convaincue et qui aurait divulgué cela "à l'époque", mais qu'il n'insiste pas parce qu'il n'essaye pas de prouver ce qui lui est arrivé.
Enfin, Padrick, qui s'est engagé dans des tournées de conférences et d'interviews pour raconter cette histoire, expliquait que les gens de l'espace viendront de nouveau le voir, sur un signal convenu entre eux, et qu'il a reçu un énorme bouquet de fleurs, dont la carte disait "de la part de Xeno."
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[Ref. bb1:] PROJET BLUE BOOK, US AIR FORCE:
Le listing de cas du projet Blue Book pour janvier 1965, composé en octobre 1965, indique que le cas 9256 de Sid Padrick à Selva Beach, le 30 janvier 1965, a été estimé comme étant un rapport sans crédibilité:
[Ref. jk1:] JOHN KEEL:
Un contacté plus récent est un réparateur de téléviseurs Californien nommé Sidney Padrick. Padrick, qui a 46 ans, flânait le long de la plage de Manresa, en Californie, à 2 heures du matin le 30 janvier 1965, quand il dit qu'il a entendu un fort bruit de ronflement et a vu atterrir une étrange machine tout près. C'était, dit-il, d'environ 50 pieds de long et de 30 pieds de haut. Il a refusé de le décrire davantage, affirmant qu'un commandant de l'Armée de l'Air lui a ordonné de ne pas discuter les détails de son expérience. Dans des premiers comptes rendus de journal de l'incident, il a dit qu'une voix lui a parlé depuis l'engin et l'a invité à bord, l'assurant qu'il ne lui serait pas fait de mal. Il dit qu'il est entré par une porte carrée et a vu neuf hommes d'aspect normaux à l'intérieur. L'un d'entre eux lui a parlé en anglais. Ils portaient tous des uniformes bien ajustés bleuâtres-blancs et avaient des cheveux foncés. Il a remarqué qu'ils ont semblé communiquer entre eux silencieusement, par des gestes et des expressions faciales. Bien qu'il insiste sur le fait qu'il a passé deux heures à bord de la machine, Padrick n'a pas divulgué beaucoup de ce qu'il a vu ou de ce qui lui a été dit. |
[Ref. dk1:] DONALD KEYHOE:
L'auteur évoque les vantardises de soi-disant "contactés", rappelant les mensonges de George Adamski, évoquant un dame prétendant prendre le thé tous les matins avec des occupants d'une soucoupe, et citant dans la même veine qu'un certain Sid Padrick raconte aux journalistes avoir eu une longue conversation avec un gentleman extraterrestre nommé Ziena qui parlait un excellent anglais et portait une combinaison bleue d'une sobre élégance.
Ziena affirmait que sur sa planète, il n'existait ni crime ni vice ni école: "nous vivons en parfaite communauté avec un contrôle des naissances très strict..."
Donald Keyhoe commente que trop de ces salades, reprises par les journalistes, seraient inoffensives en soi mais aboutissent malheureusement à la ridiculisation du sujet des OVNIS.
[Ref. cc1:] JEROME CLARK ET LOREN COLEMAN:
Les auteurs indiquent que le 30 janvier 1965, à environ 2 heures du matin, le technicien radio et TV Sid Padrick marchait le long de la côte Pacifique près de Watsonville en Californie quand il a entendu un bruit comme celui d0un avion à réaction. Quand il a regardé en l'air il a vu un contour ombragé d'un OVNI énorme en forme de disque, et, paniqué, il a commencé à courir sur la plage. Il a alors entendu une voix venant de l'OVNI qui l'a assuré les occupants de l'objet ne lui voulaient pas de mal. Ils l'ont invité à bord et il a accepté.
L'équipage de l'OVNI était de 8 hommes et 1 femme, fondamentalement humain d'aspect avec cependant des mentons et nez pointus et des doigts plus longs.
Un des occupants a dit à Padrick qu'il pouvait l'appeler "Xeno", mot grec signifiant "étranger", et l'a guidé à travers le vaisseau, qui avait deux étages avec 7 pièces chacun. Xeno était le seul à parler à Padrick, "sans aucun accent du tout". Il a dit qu'il était le seul de l'équipage à parler anglais et Padrick est cité disant que "je crois qu'ils peuvent s'adapter à toutes les conditions sous lesquelles ils travaillent" et que Xeno a fait une pause à chaque question, de vingt - cinq ou trente secondes avant de répondre, quelle que soit la complexité de la question, comme s'il obtenait mentalement des instructions sur la réponse à donner.
"Il m'a dit qu'ils étaient d'une planète derrière une planète ce qui nous observons - mais nous ne les observons pas. Il n'a pas dit que nous ne pourrions pas les observer. Il a simplement dit que nous ne les avons pas observés... "
"Les parois, les planchers, et le plafond étaient tous de la même nuance de bleuâtre - blanc pâle. Il n'y avait aucun coins carrés nulle part. Tout était arrondi, les coins, portes, sièges, toute chose mobile ou même fixe. Les coins des salles étaient tous arrondis. La lumière a semblé venir droit à travers les murs. Il n'y avait aucun éclairage direct du tout. En d'autres termes, le mur entier était éclairé..."
"Il m'a été montré une lentille oblongue, qui semblait faire partie d'un système d'objectif. Elle avait un effet d'agrandissement tridimensionnel. Là-dessus j'ai vu un objet dont on m'a dit que c'était 'l'Engin de Navigation' - il ne l'a jamais désigné comme un 'Vaisseau-Mère.' Il semblait plus ou moins en forme de cigare - mais plus rond au milieu - plutôt comme un ballon dirigeable. Il était 2:45 ou 3:00 du matin, et l'objet était au soleil, ainsi il devait être plutôt lointain - j'imagine à mille miles de distance; ou plus. Je n'ai vu aucunes inscriptions ou hublot dessus..."
"L'homme de l'espace a dit, 'comme vous le savez, nous n'avons aucune maladie; nous n'avons aucun crime; nous n'avons aucun vice; nous n'avons aucune force de police. Nous n'avons aucune école - nos jeunes sont formés à un âge jeune pour faire un métier, qu'ils très bien. En raison de notre longue espérance de vie, nous avons un contrôle des naissances très strict. Nous n'avons aucun argent. Nous vivons comme un."
Les auteurs indiquent que Padrick a dit que leur mission "comprend l'aspect religieux ou spirituel":
"L'homme de l'espace m'a porté à une salle semblable à une chapelle mais il s'est référé à elle seulement comme 'salle de consultation.' L'effet de couleur dans cette chambre était si joli que je me suis presque évanoui quand je suis entré dedans - un mélange de beaucoup de belles couleurs - je ne puis pas le décrire. Il y avait huit chaises, un tabouret, et ce qui a semblé être un autel. Il a dit, 'voudriez-vous présenter vos hommages à la Déité Suprême?' Quand il a dit cela, je me suis presque évanoui. Je ne savais même pas comment l'accepter. Je lui ai dit, 'nous en avons une, mais nous l'appelons Dieu. Est-ce que nous parlons de la même chose?' Il a répondu, 'il y en a seulement un.' Donc je me suis mis à genoux sur le petit tabouret et ai fait ma prière habituelle. J'ai quarante - cinq ans et jusqu'à cette nuit je n'avais jamais senti la présence de l'être suprême - mais je l'ai senti cette nuit. C'était un sentiment très soulageant et très passionnant, quelque chose qui vous élevait au-dessus de vous-même."
"Je ne classerais pas même (Xeno) comme une personne scientifique. Il est évident qu'ils sont à un niveau scientifique très élevé, mais leur rapport avec l'Etre Suprême signifie beaucoup plus pour eux que leurs capacités et connaissance techniques et scientifiques. Je dirais que leur religion et leur science sont toutes en un."
"Il m'a dit qu'ils ne mesurent pas le temps et la distance comme nous le faisons, mais plutôt en termes de lumière. Quand je lui ai demandé à quelle vitesse ils voyageaient dans l'espace, il a répondu que leur vitesse était limitée seulement par la vitesse à laquelle ils pouvaient transférer leur source d'énergie. Il dit que l'engin dans lequel j'étais n'était pas propulsé par sa propre source d'énergie, mais plutôt par une puissance qui leur était transmise - sur un faisceau lumineux, ou sur une source lumineuse connue d'eux..."
"Cette rencontre a signifié plus pour moi que juste une visite des gens de l'espace. Elle signifie que ma vie a été élevée, beaucoup plus haut que ce que j'avais pu concevoir auparavant."
Les auteurs indiquent que les enquêteurs ont découvert que la plupart de ceux qui connaissaient Padrick avaient beaucoup de considération pour lui et croyaient son histoire, que deux autres observations d'OVNIS avaient été faits dans le secteur à peu près à la même heure, qu'une équipe des gardes du parc du comté de Santa Clara avait vu "une chose comme un disque" au-dessus des montagnes de Hecker à l'est de Watsonville le 28 décembre, et que le maire de Monterey George M. Clemins a observé un objet lumineux au-dessus de la baie de Monterey dans la soirée du 29 janvier.
Les auteurs indiquent que John Keel a écrit intensivement au sujet de l'aspect curieux du phénomène des contactés qui est également dans le cas de Padrick, que les gens de l'espace pas mesurent pas le temps et la distance comme nous le faisons.
Les auteurs indiquent que "l'aspect religieux ou spirituel," affirmé par Padrick est absolument exact car il y a des indices subtils dans son histoire à ce sujet, par exemple, l'OVNI a neuf occupants, et avec Padrick cela en fait 10, un nombre qu'ils disent être "un archétype de l'unité", "de la totalité de l'univers aussi bien matériel que physique." Comme chaque pièce dans le vaisseau est arrondie, les auteurs disent que cela évoque dans nos esprits les "images des cercles ou des mandalas, avec tous ce que cela suggère." Les auteurs disent que les sept salles sur chacun des deux étage inévitablement "impliquent la notion antique des correspondances, exprimée habituellement par 'ce qui est en haut est en bas.'"
Les auteurs disent que "l'engin de navigation" en forme de cigare est un symbole masculin et que le petit vaisseau spatial que nous sommes menés à penser avoir été rond pourrait symboliser le féminin.
Les auteurs présentent leurs observations sur les gens de l'espace comme "vivant comme un", et que "il y en a seulement un" comme en rapport à la notion d'une "psyché collective" dans les gens de l'humanité comme Carl G. Jung en parle.
Ils commente sur la planète des gens de l'espace, "derrière une planète que nous observons" comme une absurdité astronomique mais "une description sacrément claire du monde caché de l'inconscient, qui est normalement mais cependant pas nécessairement obscurci par le monde familier du conscient."
[Ref. yn1:] YVES NAUD:
L'auteur indique que Sid Padrick [Padrick] est un Américain moyen que rien ne désignait pour une aventure aussi fantastique que celle qu'il raconte avoir vécue, et qu'il est l'une des plus célèbres vedettes ufologiques des Etats-Unis. Il est un technicien en radio et télévision, âgé de 45 ans, homme paisible et père de famille de réputation irréprochable, employé dans une entreprise électronique à Selva Beach, près de Watsonville, sur la côte du Pacifique, à 120 kilomètres au sud de San Francisco.
Dans la nuit du 6 au 7 mars 1965, à 02:00 du matin, il se promène le long de la plage de Selva Beach et croit entendre une sorte de sifflement semblable à celui d'un avion à réaction. Levant les yeux, il voit à sa grande surprise, un énorme engin de 15 mètres de diamètre se poser devant lui, dont il comparera plus tard la forme à celle de deux assiettes retournées l'une contre l'autre. Au moment où il se met à à s'enfuir, une voix mystérieuse surgie de l'engin, l'appelle par son nom et le rassure en disant:
"- Ne soyez pas effrayé, nous ne sommes pas hostiles. Nous ne vous voulons aucun mal."
Il est invité à bord de l'engin et le fait malgré sa frayeur. Une porte se referme sur lui, et un homme l'attend à l'intérieur de l'appareil, alors que la soucoupe s'est déjà déplacée à une rapidité déconcertante puisque Sid Padrick voit que le paysage visible au travers des hublots est devenu montagneux.
L'homme de la soucoupe organise pour lui une visite de l'engin, qui a 14 compartiments sur deux étages, reliés par un ascenseur, une quantité prodigieuse de tableaux de bord extrêmement compliqués, sur lesquels s'affaire un équipage de huit hommes et une énorme lentille à travers laquelle Sid Padrick peut voir le vaisseau-mère qui se trouve dans l'espace.
Yves Naud donne alors le texte d'une interview que Sid Padrick à accordé à la revue The Little Listening Post publiée en de mars-avril 1965.
"- Pourquoi les visiteurs de l'espace viennent-ils ici?" "- Ils sont ici en mission d'exploration et d'observation. Ils prétendent vouloir revenir pour des observations complémentaires. Je crois qu'ils observent les gens avant tout. Ils ne firent aucune allusion au gouvernement, à la politique ou à notre avenir. Ils me donnèrent l'impression de vouloir prendre contact à l'avenir avec un plus grand nombre de gens. Ils prétendirent avoir eu des contacts avec un groupe entier de personnes en Nouvelle-Zélande il y a deux mois." "- D'où viennent-ils?" "- Mon interlocuteur m'apprit qu'ils venaient d'une planète plus éloignée d'une autre que nous observons, mais que nous ne les observions pas eux-mêmes. Il ne dit pas que nous ne pouvions pas les observer, mais plutôt que nous ne les observions pas. Je pense que cette planète se trouve dans notre système solaire." "- Qui y avait-il à bord?" "- Ce sont des gens comme vous et moi. Nous n'avons rien à craindre d'eux. Je crois qu'ils n'étaient ni des anges ni des robots. Ils ne se livrent pas chez nous à des activités mettant nos vies en danger. Après ce contact avec eux, j'en suis absolument certain. Les êtres de l'espace communiquent entre eux par télépathie." "- A qui ressemblaient ces êtres?" "- Tous avaient 1,75-1,78 mètre à peu près. Poids 68-70 kilogrammes environ. Ils portaient les cheveux courts, sauf la femme. Ses cheveux étaient coiffés en arrière et disparaissaient dans la combinaison. Nous ne sommes pas entrés dans la pièce qu'elle occupait, mais nous sommes passés devant la porte ouverte. Je ne l'ai donc aperçue qu'un instant. Elle était très jolie. J'estime qu'ils étaient tous âgés de vingt à vingt-cinq ans. Ils paraissaient vifs, énergiques et intelligents. Tous avaient les cheveux châtains et la peau très claire. Leur visage était semblable au nôtre, mais plus effilé vers le bas. Mentons et nez pointus. Les yeux ne différaient pas des nôtres mais les doigts étaient plus longs." "- Comment étaient-ils habillés?" "- Tous portaient une combinaison deux pièces plaquant au corps, de couleur bleu pâle, presque blanche (la même couleur que les parois). Pas de bouton ou de fermeture éclair apparents. Les souliers, sortes de bottes, semblaient ne faire qu'un avec la combinaison. Ils avaient des semelles et des talons. Ces gens se déplaçaient à pas feutrés sur un tapis rappelant le caoutchouc. Le col de la combinaison avait une très jolie décoration. Il se terminait en V devant et portait une sorte de galon dont les couleurs ne ressemblaient à rien que je connaisse. Elles étaient beaucoup plus belles que nos couleurs." "- L'homme parlait-il bien l'Anglais?" "- Il n'avait pas d'accent. C'était un anglais parfait. Je crois qu'ils peuvent s'adapter à n'importe quelle condition. Il me confia cependant qu'il était le seul des neuf occupants à parler l'Anglais." "- y a-t-il eu télépathie dans vos contacts à bord?" "- Après chacune de mes questions, l'homme observait une pose de 25 à 30 secondes. Peut-être recevait-il des instructions télépathiques avant de répondre. Je suppose que les membres de l'équipe communiquaient par télépathie car je ne les entendis jamais s'entretenir." "- Quelles furent les réactions des autres occupants?" "- Ils me jetaient un coup d'oeil quand j'entrais dans leur compartiment, mais ne quittaient pas leur travail, comme si ma visite ne les concernait pas." "- Le sol, les parois et le plafond avaient la même apparence (blanc-bleu pâle). Les pièces n'avaient pas d'angle. Tout était arrondi. L'éclairage indirect semblait émaner des parois. Il n'y avait pas de lampes. En d'autres termes, tout était illuminé." "- Y avait-il des panneaux d'instruments?" "- Chaque compartiment occupé comprenait des tableaux d'instruments disposés sur les parois. Dans certaines pièces, il y en avait 4 ou 5, dans d'autres 15 ou 20. Mais ils se ressemblaient tous, bien que très différents des nôtres. Ils semblaient amovibles, mais je ne pus m'en approcher. Dans la première pièce où nous étions entrés, je voulus m'approcher d'une paroi mais mon hôte fit un geste me l'interdisant. Il n'en dit pas la raison et je ne la lui demandai pas. J'aperçus des repères défilant sur des instruments, quelque chose qui me rappelait la bande des téléscripteurs, avec des points et des traits se déplaçant de gauche à droite. Il n'y avait pas d'écran tel que ceux de nos oscilloscopes. Par contre, des sortes de manomètres sans division sur les cadrans. Mon hôte me fit remarquer que les cadrans s'allumaient en service seulement." "- L'engin était-il contrôlé par un autre vaisseau?" "- On me plaça devant une énorme lentille qui devait constituer une partie seulement d'un système d'observation optique. La reproduction des images avait un effet tridimensionnel. Celle que mon guide me fit observer était l'image de ce qu'il appelait le vaisseau de navigation (il ne prononça jamais les mots de vaisseau-mère). Bien qu'il fût 02 h. 45 ou 3 heures du matin, le vaisseau était éclairé par le soleil de sorte qu'il était à ce moment très éloigné de la Terre, peut-être à 1500 kilomètres ou davantage. Je ne remarquai aucune inscription, aucun hublot sur le vaisseau, dont la forme rappelait celle d'un cigare. Il était impossible d'estimer ses dimensions. Il était entouré d'une sorte de brume ou halo malgré la clarté de l'atmosphère. Lorsque je quittai l'engin, je ne pus l'apercevoir à l'oeil nu. Je ne le vis pas non plus après son décollage. On m'a assuré, d'après les mesures faites, que ces vaisseaux avaient 2 à 2,5 kilomètres de longueur. L'homme me dit ensuite que l'engin tirait toute son énergie du vaisseau de navigation qui le guidait entièrement dans l'espace. J'en conclus que l'instrument compliqué dont disposait l'équipage servait uniquement à l'observation." "- Et le vol en région montagneuse?" "- Après un temps d'arrêt, l'astronaute m'expliqua que notre engin s'était déplacé et était parqué maintenant sur un grand terrain de camping pour caravanes non utilisé en hiver. 'Nous ne pourrons être vus ici', ajouta-t-il. Je n'ai pas la moindre idée de l'endroit où nous étions; je reçus par la suite nombre d'informations décrivant les terrains de camping existant dans la région. Un seul correspondait à celui décrit par l'astronaute. Il était à 260 kilomètres de ma maison." "- Avez-vous touché la surface extérieure de l'engin?" "- Après avoir atterri dans les montagnes, l'homme m'ordonna de sortir afin de prendre conscience que je ne rêvais pas. Je quittai donc l'engin seul et en fis le tour. Il me parut d'un matériau non métallique, mais très dur. Le seul produit analogue que je connaisse est le plexiglas. Celui de l'engin était poli à l'extrême. L'astronaute ne m'interdit pas de le toucher et je ne ressentis aucun effet particulier, ni au moment présent, ni plus tard. Je m'introduisis sous l'engin et regardai les pieds sur lesquels il reposait. Je cherchai à découvrir des marques d'immatriculation ou des inscriptions, mais il n'y avait rien." "- Les photographies de leur ville?" "- L'astronaute me montra une photo et dit: "Voilà où nous vivons." Cette photo montrait des bâtiments à l'arrière-plan, en forme de croissant de lune. On voyait des fenêtres mais je peux dire que je n'ai jamais vu une photographie aussi étrange. La disposition des bâtiments n'avait rien de chez nous. Eloignés les uns des autres, la distance entre les suivants était encore supérieure à celle existant entre les précédents. On devinait des routes dans le lointain. Au premier plan, il y avait des arbres et des buissons. La photo était d'une grande netteté, on y voyait les plus petits détails." "- Comment vivent-ils chez eux?" "- L'astronaute me dit: 'Comme vous le savez, nous n'avons pas de maladie, pas de crime, pas de vice, pas de police. Nous n'avons pas d'école. Les enfants apprennent un métier dès leur plus jeune âge. En raison de notre longue espérance de vie, nous avons un contrôle des naissances rigoureux. Nous n'avons pas d'argent. Nous vivons absolument unis'." "- Votre rencontre faisait-elle partie d'un plan prémédité?" "- Absolument. Et ce plan a un aspect religieux ou spirituel. L'astronaute m'emmena dans la 'chambre des consultations', sorte de chapelle à l'intérieur de laquelle l'harmonie des couleurs était si belle que je faillis m'évanouir. La description en est impossible. Huit chaises occupaient la pièce, un tabouret, et ce qui me parut être un autel. 'Désirez-vous invoquer la Divinité suprême?' me demanda-t-il. A nouveau, je me sentis proche de l'évanouissement. Je ne savais que faire. 'Nous en avons une, lui répondis-je, et nous l'appelons Dieu. Parlons-nous de la même chose?' 'Il n'y en a qu'une seule', dit-il. Je m'agenouillai ainsi sur le petit tabouret et je fis ma prière habituelle. J'ai quarante-cinq ans et je n'ai jamais senti la présence de l'Etre suprême comme cette nuit-là." "- Avez-vous eu le sentiment de subir un influx électrique?" "- Non, c'était un sentiment très excitant, quelque chose qui vous élevait vraiment." "- L'astronaute était-il plus un conducteur spirituel qu'un homme de science?" "- Je ne crois pas pouvoir le considérer comme un homme de science, bien que le niveau scientifique de ces gens soit évident. Mais leurs relations avec la Divinité suprême ont une signification beaucoup plus profonde que leurs connaissances techniques. On pourrait dire que leur religion et leur science ne font qu'un." "- Le temps et les distances?" "- Ils se mesurent en termes de "lumières". Quand je lui demandai à quelle vitesse ils voyageaient dans l'espace, il m'expliqua que cette vitesse était limitée seulement par celle à laquelle ils pouvaient déplacer leur source d'énergie. Il ajouta que l'engin dans lequel je me trouvais n'était pas propulsé par sa propre énergie mais par celle qui lui était transmise par le faisceau d'un rayon de lumière ou d'une source de lumière connue d'eux." "- Prendront-ils contact avec le gouvernement?" "- Non, pas pour le moment. Selon les dires de l'astronaute, ils ne désirent pas de contact officiel maintenant. Mais je pense plus aux autorités militaires qu'au gouvernement. Je lui demandai s'ils avaient déjà essayé de prendre contact avec les instances militaires ou le gouvernement. Sa réponse fut non. "Puis-je vous être utile dans l'établissement de ce contact?" continuai-je. Réponse: non. Et il ajouta: "Votre nation et toutes les nations veulent attaquer un objet inconnu sans raison, dans le but de détruire." Les mots "sans raison" signifiaient qu'ils ne venaient jamais armés chez nous et qu'il n'y avait aucune raison de les attaquer et de les détruire. Mais nous connaissons notre propre attitude: descendre tout ce que nous ne pouvons identifier." "- A-t-on remarqué une certaine hostilité de la part d'O.V.N.I.?" "- L'Air Force et d'autres enquêteurs croient à l'existence d'engins hostiles. L'astronaute m'a assuré que ce n'était pas le cas et que l'engin à bord duquel j'étais n'avait d'ailleurs jamais essuyé le feu de personne. Par contre, on avait tiré sur des vaisseaux de navigation. Je lui demandai s'ils avaient déjà été engagés dans un combat. Il me répondit: "Oui, mais pas dans le but de détruire, de nous détruire." D'après cette allusion, j'ai l'impression que nous sommes plus vulnérables qu'eux. Je ne pense pas que le fait que nous cherchions à les descendre leur cause le moindre souci." "- Comment pourrions-nous établir un contact avec eux?" "- Nous ne pouvons prétendre les contrôler, partant, nous ne pouvons créer aucun contact. Eux seuls peuvent vouloir le faire. A ma question de savoir si je pourrais, en tant que radio-amateur, communiquer avec eux, il répondit non. Leurs systèmes de communication nous sont inconnus, mais ils nous écoutent néanmoins. Je suppose qu'ils communiquent par le canal de rayons lumineux ou magnétiques." "- Avez-vous des photos ou une preuve tangible?" "- Je n'avais pas d'appareil avec moi. Je n'ai pas eu l'idée de demander l'autorisation d'emporter quelque chose. Ce fut une telle surprise, un tel choc, que je n'ai pensé à rien. "- Et votre interrogatoire de trois heures par l'Air Force? "- Ils me demandèrent un compte rendu circonstancié. Je leur ai raconté exactement ce qui était arrivé. Ils étaient les premiers à m'entendre. Ils me dirent de ne pas parler publiquement de certains détails. Quant à moi, tout pouvait être révélé. Je ne vois pas pourquoi quelque chose est à cacher. On me demanda de ne pas dire que les extra-terrestres n'avaient pas d'argent, de ne rien révéler sur le genre et les dimensions de l'engin, parce que cela pourrait vouloir signifier, aux yeux du public, que l'Air Force manque à son devoir. Je leur rétorquai qu'il n'y avait pas de raison à tout cela. "- L'Air Force a-t-elle divulgué des informations confirmant ou concernant votre expérience? "- Oui, à l'époque. Mais je n'insiste pas. Je n'essaye pas non plus de prouver ce qui est arrivé. Que l'on y croie ou pas m'importe peu. Mais je sais que l'Air Force y croit. Elle enquêta maintes fois dans la région. Les enquêteurs vinrent ici peu de temps après l'incident et eurent la preuve absolue qu'un engin avait atterri déjà avant l'incident et après. "- Y avait-il encore d'autres faits que l'Air Force voulait taire? "- Oui, quelques-uns: les moyens de communication et la source d'énergie. Le nom de l'astronaute, aussi. Ils m'ont demandé de ne jamais répéter ce nom, parce qu'il ne voulait rien dire. L'astronaute m'avait dit: "Vous pouvez m'appeler Xéno." Ce n'était pas nécessairement un nom. Je l'ai appelé Zéno ou Zeeno, mais c'était bien Xéno. D'après le dictionnaire, cela veut dire "Etranger". "- Vous contacteront-ils encore? "- Oui, cela fut convenu. Mais la prochaine rencontre sera de mon choix et non du leur. Le signal sera donné par l'exécution par moi d'un acte convenu entre nous. Ils m'observeront. "- Quel est le sens de cette rencontre? "- Elle signifie pour moi beaucoup plus qu'une simple visite d'extra-terrestres. Je m'en suis senti transformé, élevé bien au-dessus de tout ce que j'aurais pu imaginer avant." |
[Ref. mm1:] MAGONIA MAGAZINE:
Le surpeuplement était encore un des thèmes dans une histoire de 1965, celle du réparateur de TV californien Sid Padrick. Marchant le long d'une plage la nuit il a vu un objet en forme d'oeuf volant bas. Il a été invité à bord où il a rencontré un équipage de personnes des deux sexes avec 'les cheveux courts mais n'ayant pas l'air d'avoir été coupés', des mentons pointus et de longs doigts minces. L'un d'eux, le chef, lui a parlé. Les thèmes de Bullard de l'excursion, du voyage, de la conférence et de la théophanie ont suivi. Pendant l'excursion, le chef évasif a toujours gardé son côté droit vers Padrick, qui a remarqué que toutes les surfaces dans l'intérieur éclairé uniformément étaient arrondies. Il y avait un 'troisième niveau' dans lequel il n'a pas été invité, mais il lui a été montré une sorte d'écran ou de lentille dans laquelle il a vu un engin de navigation en forme de cigare. Le 'chef' a donné son nom, mais ce n'était rien de plus qu'un son de bourdonnement, différemment transcrit comme Zno, Zienna ou Zeno. Ils sont insectoïdes et ils 'vivent en tant qu'un' dans un monde dépourvu de guerre et de crime, mais fortement régimenté avec un contrôle des naissances strict. Leurs enfants sont formés pour des tâches prédéterminées sur 'un monde invisible derrière celui que nous voyons'. Ils ne mesurent pas le temps et la distance comme nous le faisons. Ils ont pris Padrick vers le sommet d'une montagne où on lui a permis de marcher seul. Les êtres ont indiqué qu'ils étaient sur une mission d'exploration, mais il a eu l'impression qu'il y avait là certain 'aspect religieux indicible', et il a eu une expérience mystique dans une sorte de chapelle. |
[Ref. ia1:] IRA ADAMS:
De: iadams@SU1D.ess.harris.com (Ira Adams) 30 janvier 1965: "Un dépanneur de télévision de Watsonville, Californie, a raconté aujourd'hui une visite de deux heures, et un bref tour, à bord d'un vaisseau spatial qui est venu d'un monde 'lointain, à une distance terrifiante de nous'. Sid Roderick, 45 ans, a dit qu'il a été invité à bord avec l'assurances que l'équipage de neuf hommes était 'totalement non hostile' et que l'engin avait passé la majeure partie du temps perché sur un flanc de colline à pas plus de 10 minutes de sa maison de bord de plage. Il a rapporté peu d'information spécifique au sujet de l'autre monde ou du moyen par lesquels le vaisseau spatial a fonctionné. 'Mais je lui ai demandé si n'importe quelle autre personne, avec une formation plus scientifique ou plus technique, pourrait en avoir appris plus,' a-t-il rapporté. 'La réponse était: 'absolument pas.' Roderick a dit que son aventure étrange s'est produite à environ 2 heures du matin du 30 janvier 1965, quand il faisait sa promenade habituelle de nuit sur la plage de Manresa, à environ 1.500 pieds de la maison où son épouse et ses trois fils étaient en train de dormir. Il a entendu un bruit de 'bourdonnement', a-t-il raconté, et s'est ensuite rendu compte de vaisseau à une certaine distance au-dessus de lui. Une voix l'a assuré, avant et après qu'il ait atterri, que l'engin était amical. A l'invitation d'une personne qu'il a supposé être le commandant - un Mr. 'Ziena' au mieux qu'il pouvait orthographier le nom qu'il a entendu seulement une fois - il y est entré depuis le sol par une grande porte carrée. A l'intérieur, dit-il, le vaisseau était composé d'au moins deux niveaux, et probablement d'un troisième qu'il n'a pas vu. Il y avait 14 salles ou compartiments. 'L'équipage était habillé relativement de la même manière, dans des tenues deux pièces bleuâtre-blanc,' a dit Roderick. 'La couleur était presque celle de la lumière à l'intérieur du vaisseau, qui était indirecte et semblé venir des parois. Les membres d'équipage ont semblé être des humains normaux, de taille moyenne, portant des cheveux foncés courts qui n'ont jamais semblé avoir été coupés - 'comme si c'était leur longueur naturelle.' 'Ziena a parlé anglais,' a dit Roderick. 'Il m'a dit qu'ils pourraient parler n'importe quelle langue entre eux, mais qu'il était le seul qui pourrait parler le mien. Ils ont semblé communiquer entre eux-mêmes avec des gestes de mains et peut-être des mouvements faciaux. Il m'a dit d'où ils étaient venus en des termes que je n'ai pas compris. Je ne sais pas beaucoup de choses au sujet de l'espace'. 'Je ne serais pas sûr que leur monde est dans le système solaire. Il a dit qu'ils avaient été ici avant, mais pas combien de fois, ou quand était leur visite la plus récente. Il a dit qu'ils reviendraient. Roderick a indiqué que le commandant lui a dit que la visite était pour 'des raisons exploratoires seulement. Mais je pense que c'était plus que cela, sincèrement,' a-t-il ajouté. 'Il y avait une facette religieuse que je ne pouvais pas déchiffrer.'" |
[Note: ceci provient d'un texte d'Ira Adams dans lequel elle cite des cas provenant d'articles de presse, mais malheureusement sans donner les références des articles de journaux cités, et en changeant tous les noms des témoins, ce pourquoi Sid Padrick est nommé ici "Sid Roderick".]
[Ref. tg1:] TIMOTHY GOOD:
L'auteur indique qu'il est convaincu que, bien que ridiculisés, quelques cas de contactés sont de vraies expériences, objectives, et il narre alors le cas de Sid Padrick en Californie comme méritant notre attention notamment parce que le témoin affirme qu'il a été invité par l'Armée de l'Air à ne pas discuter de certains détails.
Tim Good indique que le témoin est Sid Padrick, 44 ans, un technicien TV et radio et pilote privé avec 600 heures de vol, ayant servi dans l'Armée de l'Air pendant la deuxième guerre mondiale et servant dans la réserve de l'Armée de l'Air au moment de l'incident.
A 02:00 le 30 janvier 1965, alors qu'il faisait une promenade de fin de nuit habituelle près de son domicile vers Watsonville, 75 miles au sud de San Francisco, à la plage de Manreso ou à la plage La Selva dans le rapport de l'Armée de l'Air, il a affirmé avoir vu le contour ombragé d'un engin non éclairé d'environ 75 pieds de diamètre et 30 pieds de haut formé "comme deux vraies soucoupes épaisses inversées". La soucoupe l'a approché et est venu reposer juste au-dessus du sol.
Il a paniqué et a commencé à courir, puis a entendu une voix venant de l'engin disant "ne soit pas effrayé, nous ne sommes pas hostile." Il a couru plus loin, la voix a répété l'expression et a alors ajouté: "nous vous voulons aucun mal," et l'a invité à bord.
Quand il a précautionneusement approché l'engin, une porte s'est ouverte et il est entré à l'intérieur, se trouvant dans un petit compartiment d'environ 6 par 7 pieds. Une autre porte à coulissé pour s'ouvrir et il est entré, et a été accueilli par un homme, "aucunement différent de moi dans son apparence de base, ayant des traits nets, et portant une sorte de tenue de vol qui couvrait intégralement son corps."
Il y avait sept autres hommes à bord, semblable d'aspect, et une femme extrêmement jolie. Ils étaient tous d'environ 5 pieds 8 pouces à 5 pieds 9 pouces de haut. Padrick a dit:
"Selon nos normes que je dirais qu'ils ont tous eu l'air d'avoir entre 20 et 25 ans, très jeune, alertes, énergiques et intelligents. Leurs traits étaient semblables au nôtre. Il y avait seulement un trait que j'ai noté qui différerait de nous considérablement, et qui était que leurs visages se finissaient en pointe, beaucoup plus que le nôtre. Ils avaient les mentons et les nez pointus. Leur peau était d'une couleur légèrement 'arménienne'. Leurs yeux étaient tous très foncés... Il n'y avait rien d'inhabituel à leurs yeux - leur éclat, profondeur ou luminescence. Tous les hommes ont semblé avoir les cheveux auburn très courts, mais ils avaient l'air de n'avoir jamais été coupés - ils semblaient être à leur croissance normale. La dame avait de longs cheveux et ils descendaient à l'intérieur de sa tenue... Leurs doigts étaient un peu plus longs que les miens. Les mains étaient très propres - les ongles avaient l'air d'avoir été juste manucurés."
"Tous portaient des tenues en deux pièces - du type que l'on enfile - bleuâtre-blanc clair de couleur. Ils n'avaient aucun bouton ou fermeture éclair que je puisse voir. La section inférieure incluait réellement les chaussures - elles ressemblaient à des bottes qui se prolongeaient jusqu'à la taille, sans n'importe quelle coupure autour des chevilles, juste comme une tenue de ski d'un enfant... Il y avait une grande bande au milieu, et de grandes manchettes, et un grand col qui descendait avec un dessin en 'V'. Le col avait un très joli dessin dessus... et la partie au cou - juste autour du cou - avait une tresse d'une certaine sorte dessus. Ils avaient des semelles et des talons... Je pouvais les entendre marcher sur le plancher semblant caoutchouteux."
Le premier homme a agi en tant que porte-parole, expliquant qu'il était le seul à bord qui parlait anglais. Il n'avait cependant aucun accent, parlant l'anglais parfaitement. Padrick a indiqué qu'il pense qu'ils peuvent s'adapter à toute condition sous laquelle ils travaillent.
"A chaque question que je lui ai posé, il faisait une pause pendant environ 25 ou 30 secondes avant de répondre, indépendamment de l'importance de la question. Peut-être obtenait-il des instructions mentalement - sur quelle réponse donner. Je pense que si l'équipage communiquait entre eux, c'était par télépathie mentale, parce que je ne pouvais rien voir qui aurait indiquer une autre sorte de communication."
"Chacune des salles qui était occupée avait des tableaux de bord sur les murs, avec les membres d'équipage se concentrant sur les instruments. Ils ont juste jeté un coup d'oeil sur moi quand je suis entré dans leur pièce, et sont alors retournés à leur travail, comme s'il n'étaient pas concernés."
Certaines salles avaient quatre ou cinq instruments, d'autres en avaient 10 ou 20, d'un type semblable dans toutes les pièces et "en rien comme les nôtres".
"Je ne me suis rapproché d'aucune des parois qui avaient des instruments mobiles sur elles, parce que quand j'ai commencé à avancer dans la première salle, il a avancé sa main vers moi pour que je n'avance plus et je ne l'ai plus fait. Il n'a pas dit pourquoi et je n'ai pas demandé. J'ai vu des inscriptions sur certains des instruments; quelque chose comme une bande courant le long d'eux, avec de petits points et des tirets minuscules dessus - comme nos bandes de télétype, sauf qu'ils allaient de gauche à droite... Je ne le classifierais pas cela comme code, comme nos OC [Ondes Continues]. Il n'y avait aucun écran, tel que nos oscilloscopes. Ils ont avaient des appareils de mesure, mais je ne pouvais pas voir de cadrans dessus. Il a dit qu'ils les allument seulement quand ils s'en servent."
On a montré à Padrick une lentille oblongue, qu'il a considéré être une partie d'un système de vision avec un effet d'agrandissement tridimensionnel sur lequel il a vu un objet dont on lui a dit que c'était un "engin de navigation" qui ressemblait à un ballon dirigeable.
"C'était à 2.45 ou 3.00 du matin, et l'objet était au soleil, donc il devait être plutôt lointain, j'imagine à 1.000 miles de distance, ou plus. Je n'ai vu aucune inscriptions ou hublots dessus... il m'a dit que la source d'énergie (de l'engin dans lequel il était) leur était transférée à eux à partir de l'autre engin, et qu'il assurait tout la navigation et la manipulation dans l'espace."
"Il m'a dit qu'ils ne mesurent pas le temps et la distance comme nous le faisons mais plutôt en termes de lumière. Quand je lui ai demandé à quelle vitesse ils parcouraient l'espace, il a répondu que leur vitesse était limitée seulement par la vitesse à laquelle ils pouvaient transférer leur source d'énergie."
Après un moment, l'homme de l'espace a dit à Padrick qu'ils avaient voyagé une certaine distance et étaient maintenant garés dans un secteur abandonné, qui s'est révélé lors de l'enquête consécutive être près de Leggett, en Californie, à 175 miles au nord-ouest de Watsonville.
"Après que nous ayons atterri sur le flanc de colline, il m'a dit de sortie marcher dehors de sorte que je puisse retourner à cet endroit par la suite - pour savoir que ceci était vrai et non rêvé. Je suis descendu seul et ai marché autour de l'extérieur du vaisseau. J'ai touché la coque. Elle a semblé très dure mais non métallique: je n'avais jamais touché quelque chose comme cela avant. La chose la plus proche de cela que j'ai jamais touché sur cette terre serait un pare-brise, du plexiglas. Elle a eu une finition très fine, une finition fortement polie. Il ne m'a pas dit que le contact de cet engin me blesserait, et cela ne m'a fait aucun mauvais effet, aucun du tout. J'avais été dehors pendant pas plus de trois minutes. Je suis descendu et ai regardé les jambes sur lesquelles il reposait et j'ai essayé de trouver des inscriptions dessus: je n'ai pas trouvé aucune marque dessus nulle part."
Padrick a demandé d'où l'engin et ces personnes sont venus, et la réponse quelque peu mystérieuse a été:
"Il m'a dit qu'ils étaient d'une planète derrière une planète que nous observons - mais nous ne les observons pas. Il n'a pas dit nous ne pourrions pas les observer; il a simplement dit que nous ne les avons pas observés... Je pense que leur planète est dans notre système solaire."
Il lui a ensuite été montré une photographie d'une ville sur la planète des visiteurs:
"Chaque bâtiment dans cette image était arrondi; en forme de demi lune. J'ai vu des fenêtres sur les bâtiments. Je ne puis pas dire que l'image ressemblait à quelque chose que j'avais jamais vu avant, parce que ces bâtiments étaient espacés différemment - excentrés l'un de l'autre. Il semblaient qu'ils en avaient mis un à environ 50 pieds des autres et le suivant à 150 pieds. Il semblait y avoir des routes dans la distance et il y du feuillage dans le premier plan, des arbres et des buissons aussi."
L'homme de l'espace a dit à Padrick: "comme vous le savez, nous n'avons aucune maladie, nous n'avons aucun crime, nous n'avons aucune force de police. Nous n'avons aucune école - nos jeunes reçoivent un enseignement en bas âge pour faire un métier, qu'ils font très bien. En raison de notre longue espérance de vie nous avons un contrôle des naissances très strict. Nous n'avons aucun argent. Nous vivons comme un."
Padrick a demandé ce qu'était le but de la visite et l'homme de l'espace a répondu: "observation seulement."
"Je ne pense que cela signifiait qu'ils nous observent, je pense que c'était à moi de les observer... parce qu'il ne m'a pas à aucun moment demandé mon nom, mon âge, combien de dents j'avais, combien de membres de ma famille: il ne m'a pas demandé qu'une chose à mon sujet , et ceci me mène à croire qu'ils savent déjà tout de nous, et il est venu pour que nous les observions. Ils ont dit qu'ils viendraient pour d'autres observations... Je pense qu'ils observent les gens, la plupart du temps. Il n'y avait aucune mention de tremblements de terre, faille telluriques, ou de n'importe quoi lié au gouvernement, ou à la politique, ou quelque chose qui affecterait notre futur (sauf que) ils m'ont donné l'impression qu'ils prendront plus de gens à l'avenir."
Il a été pris dans ce qui désigné par les visiteurs sous le nom d'une "salle de consultation", avec des effets de couleur qui défiaient la description, et il lui a été demandé si "vous voulez présenter vos hommages à la Déité Suprême?":
Quand il a dit cela, je me suis presque évanoui. Je n'ai pas même su l'accepter. Je lui ai dit, 'nous avons une, mais nous l'appelons Dieu. Parlons-nous de la même chose?' Il a répondu, 'il n'y en a qu'un'... Donc je me suis mis à genoux et ai fait ma prière habituelle... Jusqu'à cette nuit je n'avais jamais senti la présence de l'Etre Suprême - mais je l'ai sentie cette nuit."
"Il est évident qu'ils sont à un niveau scientifique très élevé, mais leur relation avec l'Etre Suprême signifie beaucoup plus pour eux que leurs capacités et connaissance techniques et scientifiques. Je dirais que leur religion et leur science sont toutes en un."
Padrick a été alors ramené là o?u il il avait été pris deux heures plus tôt, il a marché hors de l'engin et à sa maison.
Il a rapporté son expérience à l'Armée de l'Air, et a été soumis à interrogatoire pendant trois heures par une équipe dirigée par le major Damon B. Reeder de la base aérienne de Hamilton, quartiers généraux, force occidentale de défense aérienne, près de Sacramento:
"... ils ont essayé de m'effrayer. Ils ont dit, 'Mr. Padrick, vous êtes une personne vraiment chanceuse. Ces engins qui descendent ici sont vraiment hostiles, et vous n'aviez pas à les approcher. Je n'étais pas d'accord avec eux, parce que quand cet engin est descendu, ils n'ont pas voulu m'effrayer. Ils ne m'ont pas dit d'aller à bord de leur engin, ils m'ont invité à bord."
L'auteur dit les investigateurs de l'Air Force auraient prétendument dit à Padrick qu'il y avait eu deux exemples où l'hostilité avait été impliquée: le cas de Mantell et un incident quand un avion a complètement disparu d'un écran de radar, et qu'en fait il y a eu d'autres tels incidents. Padrick a affirmé que l'Armée de l'Air l'a informé qu'il y avait plus d'un groupe d'OVNIS visitant la terre, et qu'il y en avait d'amicaux tout comme il y en avait d'hostiles, de plus d'une provenance. Il est cité comme disant:
"Il y avait certains détails qu'ils [l'Armée de l'Air] m'ont demandés de ne pas dire publiquement, mais je pense qu'en le racontant tout devrait en être révélé. Je ne puis voir aucune raison pour dissimuler n'importe quoi. Ils n'ont pas voulu que je dise que les gens de l'espace n'ont aucun argent. Ils n'ont pas voulu que je révèle le type et la forme de l'engin parce que cela indiquerait que l'Armée de l'Air ne fait pas son devoir. Je leur ai dit que je ne pouvais voir aucune raison pour celle, non plus. Ils n'ont pas voulu que je divulgue leur moyen de communication et d'où ils obtenaient leur puissance. En outre, le nom de l'homme - ils m'ont dit que je ne devrais jamais répéter cela parce qu'il ne signifiait rien. L'homme de l'espace avait dit: 'vous pouvez m'appeler Xeno.' Il n'a pas dit que c'était son nom."
Le rapport officiel de l'Armée de l'Air, signé par le Major Reeder (officier des opérations de la base, base de l'Armée de l'air de Hamilton) et expédié à la Division de la Technologie Etrangère à la base de l'Armée de l'Air de Wright-Patterson, inclut d'autres détails de conversation alléguée par Padrick avec l'homme de l'espace, duquel Tim Good cite ce qui suit:
Q. Comment avez-vous échappé à nos radars?
R. La coque de notre engin de l'espace absorbe l'énergie et ne permettra pas une réflexion ou une pénétration nocive.
Q. Etes-vous humains?
R. Oui, nous sommes humains mais pas de votre type.
Q. Comment m'avez-vous sélectionné pour cette expérience?
R. Nous ne vous avons pas sélectionné. C'était votre choix. Vous êtes la première personne jamais à venir à bord de ce vaisseau. Nous en avons invité beaucoup avant que mais ils ont été trop effrayés.
Q. Si j'étais un scientifique est-ce que j'aurais pu en apprendre plus?
R. Non.
Le major a signalé que Padrick semble être d'intelligence au-dessus de la moyenne avec un excellent vocabulaire et une maîtrise de l'anglais, parlant avec aisance, et de Reeder est cité comme disant que "c'est mon avis que ce n'est pas un contact valide d'OVNI mais plutôt une tentative de la part de Mr. Padrick d'obtenir l'implication de l'Armée de l'Air afin de prêter son histoire de l'authenticité et de la crédibilité."
Tim Good explique qu'il est en désaccord avec cette opinion, parce que bien qu'il n'ait jamais rencontré le défunt Sid Padrick qui a disparu de la scène vers la fin des années 60, étant devenu fatiguées d'être harcelé, il a écouté chaque inflexion de sa voix dans l'interview enregistrée sur laquelle le compte-rendu est basé, et il le trouve véridique. Tim Good indique que sous un barrage de questions croisées par les enquêteur civils alors, ses réponses étaient toujours claires, précises et sans détours, et il était toujours prêt à apprécier les aspects pleins d'humour de la situation incroyable dans laquelle il s'est trouvé.
[Ref. pc1:] PAUL CHRISTOPHER:
L'auteur indique que le 30 janvier 1965, près de Monterey, Californie, Sidney Padrick a été invité à bord d'un engin spatial atterri par un homme de l'espace qui s'est identifié comme "Zeeno" ou "Xeno".
[Ref. bh1:] ROBERT E. BARTHOLOMEW ET GEORGE S. HOWARD:
Les auteurs indiquent que le 30 janvier 1965, tôt le matin près de Monterey, Californie, Mr. S. Padrick marchait le long de la plage de Manresa et est tobé sur un objet atterri.
Une voix l'a invité à l'intérieur, et il a rencontré un homme d'environ 5 pieds 10 pouces de haut avec des cheveux auburn courts, un visage pâle, un menton et un nez pointu, et de longs doigts, qui se désignait sous le nom de Zeeno.
Les auteurs indiquent que la source est John A. Keel, dans "Why UFOs", New York, Manor, 1970, page 212, également publié sous le titre "UFOs: Operation Trojan Horse", New York: Putnam's Sons, 1970.
[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
L'ufologue indique que le 30 janvier 1965 aux USA, à Watsonville en Californie, Sid Roderick, 45 ans, a rencontré un équipage de l'espace de neuf personnes et a fait un tour en soucoupe volante. La soucoupe volante était perchée sur le flanc de la colline à moins de 10 minutes du domicile de Roderick, il était environ 2 heures du matin quand l'événement se produit, lors d'une de ses accoutumées promenades nocturnes.
Il a entendu un léger bourdonnement et a vu le vaisseau. Après l'atterrissage, une voix est sortie de l'objet et l'a assuré des intentions amicales des visiteurs. Puis un personnage s'appelant Ziena est sorti par une porte au niveau du sol. Roderick a été invité à l'intérieur, qui avait au moins deux étages, 14 chambres, et un équipage d'une apparence parfaitement humaine qui portait un ensemble bleu-blanc élégant.
A l'intérieur du vaisseau la lumière était aussi d'un blanc bleuté. Ziena parlait l'anglais. Entre eux, les autres membres communiquaient par expressions faciales et par gestes. Roderick a reçu un message de paix à l'aspect religieux.
L'auteur indique que la source est "APRG, sur Internet en mai 1997".
[Ref. ue1:] BLOG "UFO EXPERIENCES":
SID PADRICK, MON AMISid Padrick était mon ami. Je l'ai rencontré en 1965 quand il est venu à Seattle pour parler à une conférence commanditée par la Commission Nationale d'Investigations sur les Phénomènes Aériens, dirigé par Robert J. Gribble. Plus tard c'est devenu le UFO Reporting Center. Quand Sid est venu à Seattle il a séjourné à notre maison. Il a dessiné plusieurs images pour mes filles de l'engin dans lequel il a été pris dans, où il a rencontré l'équipage vaisseau. J'étais également avec lui après sa conférence voyageant dans la grande Cadillac blanche de son ami Mike. Sid a dit qu'ils sont au-dessus de nous et m'a dit de ne plus parler d'eux parce que les gens ici ne sont pas prêts à comprendre. Nous avons arrêté la voiture et sommes sortis et il y avait le vaisseau au-dessus de nos têtes. C'était la dernière fois qu'il a parlé de son contact au public. Ce qui suit est ce qui lui est arrivé. Sid aimait aller à la plage et y dormir en emmenant son chien. La plage de La Selva est située approximativement à 75 miles au sud de San Francisco. A environ 03:00 du matin le 7 mars 1965, il a entendu un bruit sifflant. Il a regardé au-dessus de lui et il y avait un vaisseau spatial énorme. Il était formé comme deux bols à potages arrondis mis ensemble. Ca l'a tellement effrayé qu'il a commencé courir, déchirant le ligament de son genou pendant qu'il essayait de monter le rivage pour partir. Une voix forte a dit "n'ai pas peur, nous ne sommes pas hostile. Nous ne vous souhaitons aucun mal." Malgré sa crainte sa curiosité a pris le dessus. Il a approché le vaisseau, à une petite porte au fond. Elle s'est ouverte et il s'est retrouvé dans une petite salle où une lumière blanche brillante a avancé. Il a pensé qu'elle devait tuer les bactéries ou les germes sur lui. Alors une autre porte s'est ouverte et un "homme" se tenait là, l'invitant à l'intérieur. L'homme n'était aucunement différent de Sid dans son aspect, il avait des traits nets, et portait un costume deux pièces, bleuâtre-blanc clair de couleurs, qui a couvert son corps en se terminant en bottes sur la moitié inférieure. Il avait des semelles et des talons. Il pouvait l'entendre marcher sur le plancher ressemblant à du caoutchouc. A bord il y avait sept autres hommes, semblables d'aspect, et une femme, décrite comme extrêmement jolie. Ils étaient tous d'environ 5 pieds 8 pouces à 5 pieds 9 pouces de grands. La fille avait ses longs cheveux tombant dans le dos de son costume. Les cheveux de tous les hommes se ressemblaient et ils avaient une certaine longueur et s'arrêtaient - cela semblait une croissance normale. Tous avaient les cheveux de couleur auburn. Selon nos propres normes je dirais qu'ils ont tout semblé avoir entre 20 et 25 ans, semblants très jeunes, alertes, énergiques et intelligents. Leurs traits étaient semblables au nôtre. Il y avait seulement une caractéristique qu'il a remarqué qui différerait de nous considérablement, et qui était leurs visages se finissaient en un pointe, beaucoup plus prononcée que les nôtres. Ils avaient des mentons et des nez pointus. Leur peau était d'une couleur légèrement "arménienne". Leurs yeux étaient tous très foncés. Leurs doigts étaient un peu plus longs que les nôtre. Les mains étaient très propres - les ongles avaient l'ai comme si quelqu'un leur avait juste fait une manucure. Tous portaient des costumes en deux pièces - du type que l'on enfile - bleuâtre-blanc clair de couleurs. Ils n'avaient aucun bouton ou fermeture éclair qu'il ait pu voir. Il y avait une grande bande au milieu, et de grandes manchettes, et un grand col qui est descendait du cou en faisant un "V". Le col avait un très joli dessin dessus et la partie au cou avait une tresse d'une certaine sorte dessus. Le premier homme que Sid a rencontré pendant qu'il passait par la porte a fait fonction de guide. Il parlait un anglais parfait. Quand Sid a demandé comment l'appeler il a répondu, "vous pouvez m'appeler Xeno". Plus tard nous avons recherché le mot dans le dictionnaire. Il signifiait un étranger venu de loin. Très à propos. Plus tard quand Sid a parlé ici à Seattle il a reçu un énorme bouquet de fleurs. La carte disait "de Xeno." Tandis qu'il faisait visiter l'engin à Sid, il a toujours tenu son bras devant Sid, le dirigeant où il a voulu qu'il allât. Sid a demandé d'où ils sont venus. Xeno a répondu d'une planète derrière une planète que vous observez. Sid a eu une petite coupure de journal dans sa pochette qu'il nous a montrée. Il a indiqué que les scientifiques avaient découvert une planète qui est cachée derrière le soleil. Il n'a pas indiqué à quelle distance elle était. La coupure a prouvé ce qu'on lui avait dit. Il n'a pas dit nous ne pourrions pas les observer, il a simplement dits que nous ne les avons pas observés. Padrick a demandé le but de leur visite à notre planète. Xeno a répondu, "observation seulement." Sid a dit je ne pense pas qu'il voulait dire qu'ils nous observent, je pense que c'était pour que je les observe, parce qu'il ne m'a pas demandé à aucun moment mon nom, mon âge, combien de dents j'ai, combien de membres dans ma famille; il ne m'a rien demandé à mon sujet, et ceci me mène à croire qu'ils nous connaissent déjà, et il est venu pour que nous les observions. Il a dit qu'ils viendraient pour d'autres observations. Je pense qu'ils observent des gens, la plupart du temps. Il n'y avait aucune mention de tremblements de terre, de failles, ou de n'importe quoi qui concerne le gouvernement, ou la politique, ou quelque chose qui affecterait notre futur (sauf que) ils m'ont donné l'impression qu'ils ne prendront plus personnes à l'avenir. Le plancher, les murs et le plafond ont semblé plus ou moins pareils, bleu-clair. Les salles n'avaient aucun coin. Tout était rond et l'éclairage indirect a semblé émaner des murs. Il n'y avait aucune lampe, il a semblé que tout était illuminé. Chacune des salles qui était occupée avait des tableaux de bord sur les murs, avec des membres d'équipage se concentrant sur les instruments. Ils ont simplement ont jeté un coup d'oeil sur lui quand il est entré dans leur pièce, et sont alors retournés à leur travail, comme s'ils étaient indifférents. Quelques salles avaient quatre ou cinq instruments, d'autres en avaient 10 ou 20, mais ils étaient d'un type semblable dans chaque pièce. Elles n'étaient en rien comme les nôtres. Je ne me suis approché d'aucun des mur qui avaient ces instruments mobiles sur eux, parce que quand j'ai commencé à avancer dans la première salle il a mis sa main sur moi pour que je n'avance pas davantage et je ne l'ai pas fait! Il n'a pas dit pourquoi et je n'ai pas demandé. Il n'y avait aucun écran, tel que nos oscilloscopes. Ils avaient des appareils de mesure, mais je ne pouvais pas voir de cadrans dessus. Il a dit qu'on ne les allume que quand on s'en sert. Il a été placé devant une énorme lentille qui doit avoir constitué seulement une partie d'un système optique d'observation. La reproduction d'image avait une effet 3d. Ce que mon guide m'a montré qu'était l'image de ce qu'il a appelé l'engin de navigation. Il était 02:45 ou 3:00 du matin, et l'objet était au soleil, ainsi il a dû être vraiment loin - j'imagine à 1.000 miles de distance ou plus. Je n'ai vu aucune inscription ou hublot dessus. Il m'a dit que la source d'énergie (de l'engin dans lequel il était) leur était transférée à partir de l'autre engin, et qu'il assurait toute la navigation et les manipulations à travers l'espace. L'engin énorme a été formé quelque chose comme un cigare ou un dirigeable. Il était entouré par une sorte de brume ou de halo malgré la clarté de l'atmosphère. On m'a dit cet engin de navigation mesurait plus d'un mille de long. Xeno a dit à Sid qu'ils ne mesurent pas le temps et la distance comme nous le faisons mais plutôt en termes de lumière. Quand Sid lui a demandé à quelle vitesse ils voyageaient dans l'espace, il a répondu que leur vitesse été limitée seulement par la vitesse à laquelle ils pouvaient transférer leur source d'énergie. Après un moment Xeno a dit à Sid qu'ils avaient voyagé une certaine distance et étaient maintenant garés dans un secteur abandonné, qui par des recherches ultérieures s'est avéré être proche de Leggett, Californie, à 175 miles au nord-ouest de Watsonville. Un certain temps plus tard Sid a pu retrouver l'endroit où il a été déposé. Après qu'ils aient débarqué sur le flanc de la colline, Xeno lui a dit de pour faire un pas dehors de sorte qu'il ait pu revenir cet l'endroit plus tard - pour savoir si c'était vrai et pas rêvé. Il a fait un pas dehors seulement et a marché autour de l'extérieur du bateau. C'était un grand camping pour des caravanes, qui n'était pas utilisé. Il a touché le vaisseau et il était très lisse, comme le plastique. Il a senti la coque. Elle a semblé très dure mais non métallique. Il n'avait avant jamais senti n'importe quoi comme cela. La chose la plus proche qu'il ait jamais touchée sur terre serait un pare-brise - du plexiglas. En regardant sous l'engin il pouvait voir son train d'atterrissage ressemblant à des jambes. Xeno n'a pas dit à Sid que le contact de l'engin lui ferait mal, et il n'a eu aucun effet néfaste sur lui - aucun du tout. Il a essayé de trouver des inscriptions sur le vaisseau mais il n'a pas trouvé aucune marque nulle part. Xeno a montré à Sid une image et a dit "c'est là que nous vivons." La photo montrait des bâtiments dans le fond, de la forme d'un croissant. Des fenêtres pouvaient être vues mais il a dit qu'il n'avait jamais vu une photographie si étrange. La disposition des bâtiments n'avait rien de commun avec les nôtres. Ils étaient tout à fait éloignés les uns des autres. Il semblait qu'ils en mettaient un à environ 50 pieds des autres et les suivants à 150 pieds. Il a semblé y avoir des routes dans la distance et il y avait des feuillages dans le premier plan - des arbres et des buissons aussi. On a également montré une photo à Sid d'une ville sur la planète du visiteur. Chaque bâtiment dans cette image était arrondi, en forme de demi lune. Xeno a décrit sa société utopique à Padrick. "Comme vous le savez, nous n'avons aucune maladie, nous n'avons aucun crime, nous n'avons aucune force de police. Nous n'avons aucune école - nos jeunes sont éduqués à un âge jeune pour faire un travail, qu'ils font très bien. En raison de notre longue espérance de vie nous avons un contrôle des naissances très strict. Nous n'avons aucun argent. Nous vivons unis." Sid a été pris dans une salle que Xeno a appelé la "salle de consultation." Il a dit à Sid qu'avant de faire quoi que ce soit ils consultent la Divinité et obtiennent Son avis. La couleur de la pièce défiait toute description. Xeno lui a demandé s'il voulait rendre hommage à la Divinité suprême? Quand il a dit cela Sid s'est presque évanoui. Il n'a pas même su comment accepter. Il a dit à Xeno, "nous en avons une, mais nous l'appelons Dieu. Est-ce que nous parlons de la même chose? " Il a répondu, " il y en a seulement un" donc je me suis mis à genoux et la seule prière à laquelle il pouvait penser était sa prière d'enfance. Il avait les larmes aux yeux parce qu'il était ainsi touché par l'ambiance dans la chambre. Jusqu'à cette nuit il n'avait jamais senti la présence de l'être suprême - mais il l'a sentie cette nuit. Il était évident qu'ils sont à un niveau scientifique très élevé, mais leur rapport avec l'être suprême signifie beaucoup plus pour eux que leurs capacités et connaissance techniques et scientifiques. Sid disait que leur religion et leur science sont un. Après que Sid a dit sa prière il a été tellement émus qu'il s'est assis dans une chaise et a récupéré. Il a dit que la chaise était couverte d'une matière métallique bleu argenté et était tellement belle, quelque chose qu'il n'avait jamais vue avant. Après deux heures, Sid a été ramené là où il avait été pris. Il est sortie de l'engin et a marché chez lui. Sa vie ne serait plus jamais la même. Après cela il a eu beaucoup plus de contacts avec Xeno et son équipage. Ils lui ont donné la connaissance scientifique au point qu'il a commencé à inventer des choses. Il était notre ami et une personne très gentille. Je me rappellerai toujours le temps que nous avons passé avec lui et quand j'ai pu voir leur engin. Dans le prochain article je vous dirai ce qui s'est produit quand Sid a rapporté cette rencontre à l'armée de l'Air. |
Jeudi, 07 avril, 2005 SUPPLEMENT AU CAS DE SID PADRICKRappelez-vous que cette interview a eu lieu en 1965. Depuis lors l'Armée de l'Air indique qu'elle n'étudie pas les observations d'OVNIS. Croyez-vous cela? Il y a eu des exemples où un militaire a étudié des incidences jusqu'à aujourd'hui! Extrait de "Beyond Top Secret" par Timothy Good. Sid Padrick a rapporté son expérience à l'Armée de l'Air, et a été soumis à un interrogatoire pendant trois heures par une équipe dirigée par le major Damon B. Reeder de la base aérienne de Hamilton (Quartiers Généraux, Force Occidentale de Défense Aérienne, près de Sacramento). ...ils ont essayé de m'effrayer. Ils ont dit, "M. Padrick, vous êtes une personne vraiment chanceuse... Ces engins qui descendent ici sont vraiment hostile, et vous n'aviez rien à faire à les approcher. J'étais en désaccord avec eux, parce que quand cet engin est descendu, ils n'ont pas voulu m'effrayer... Ils ne m'ont pas dit de monter à bord de leur engin, ils m'ont invité à bord. Les investigateurs de l'Armée de l'Air ont dit prétendument à Padrick qu'il y avait eu deux exemples où l'hostilité avait été impliquée: l'un était le cas de Mantell, et l'autre un incident quand un avion a complètement disparu d'un écran de radar (en fait il y a eu pléthore de tels incidents, comme nous l'avons appris). Padrick a affirmé que l'Armée de l'Air l'a informé qu'il y avait plus d'un groupe d'OVNIS visitant la terre, et qu'il y avait des engins amicaux aussi bien que des engins hostiles, de plus d'une origine. Il y avait certains détails qu'ils (l'Armée de l'Air) m'ont demandé de ne pas discuter publiquement, mais je pense en en parlant que tout devrait être révélé. Je ne puis voir aucune raison de dissimuler quoi que ce soit. Ils ne voulaient pas que je dise que les gens de l'espace n'avaient aucun argent. Ils n'ont pas voulu que je révèle le type et la forme de l'engin parce que cela indiquerait que l'Armée de l'Air ne fait pas son devoir. Je leur ai dit que je ne pouvais voir aucune raison pour cela, non plus... Ils ne voulaient pas que je divulgue leur moyen de communication et d'où ils obtenaient leur puissance. En outre, le nom de l'homme - ils m'ont dit que je devrais ne jamais répéter cela parce qu'il ne signifie rien. L'homme de l'espace avait dit, "vous pouvez m'appeler Xeno," il n'a pas dit que c'était son nom (Xeno signifie 'd'un autre pays' ou 'Etranger' en grec.) Le rapport officiel de l'Armée de l'Air, signé par le Major Reeder (officier des opérations de la base de Hamilton AFB) et expédié à la Division de Technologie Etrangère à Wright-Patterson AFB, inclut d'autres détails de la conversation de Padrick avec l'homme de l'espace, duquel je cite ce qui suit. Q: Comment avez-vous échappé à nos radars? A: La coque de notre engin spatial absorbe l'énergie et ne permettra pas de réflexion ou de pénétration nocive. Q: Etes-vous humain? A: Oui, nous sommes humains, mais pas de votre type. Q: Comment m'avez-vous sélectionné pour cette expérience? A: Nous ne vous avons pas sélectionné. C'était votre choix. Vous êtes la première personne à jamais venir à bord de ce vaisseau. Nous avons invité beaucoup de gens avant que mais ils ont été trop effrayés. Q: Si j'avais été un scientifique aurai-je pu en apprendre plus? A: Non Le Major Reeder a signalé que Padrick 'semble être d'intelligence supérieure à la moyenne avec un excellent vocabulaire et une maîtrise de l'anglais. Il parle avec facilité... C'est mon avis que ce n'est pas un contact valide d'OVNI mais plutôt une tentative de la part de M. Padrick d'obtenir l'implication de l'Armée de l'Air afin de prêter à son histoire de l'authenticité et de la crédibilité. De Timothy Good: Je suis en désaccord. Bien que je n'aie jamais rencontré Sid Padrick (il a disparu de la scène vers la fin des années 60, étant devenu fatigué d'être harcelé), j'ai écouté chaque inflexion de sa voix dans l'interview enregistrée sur laquelle ce compte-rendu est basé, et je la trouve véridique. Sous un barrage de questions croisées par les investigateurs civils alors, ses réponses étaient toujours claires, précises et sans hésitations, et il était toujours prompt à apprécier les aspects pleins d'humour de la situation incroyable dans laquelle il s'est trouvé. MERCI TIMOTHY! Et se rappeler, j'ai vu l'engin moi-même. Intéressant que nous avons maintenant les bombardiers "stealth" que le radar ne peut pas détecter! Hmmm on se demande d'où ils ont obtenu cela??? J'ai toujours les schémas du vaisseau que Sid a dessiné pour mes filles. Egalement une bande de sa conférence ici à Seattle. |
[Ref. br1:] BRENT RAYNES:
L'histoire de Sid Padrick de 1965Selon Sid Padrick, qui au moment de sa rencontre alléguée du 30 janvier 1965, était âgé de 45 ans, il marchait le long de la plage de Manresa près de Watsonville, Californie, censément parce qu'il souffrait alors d'insomnie. Il était presque 2 heures du matin, et il était une courte distance (approx.. 1500 pieds) de sa maison où son épouse et ses trois fils dormaient solidement, quand il a affirmé que quelque chose de très peu ordinaire s'est produit. Son attention a été attirée vers le haut par un bruit semblable à un avion à réaction à la basse altitude, mais au lieu d'un avion conventionnel, Padrick décrira plus tard avoir vu un enfin en forme de disque, "comme deux vraies soucoupes épaisses inversées," d'environ 50 pieds de diamètre et 30 pieds de la terre. Pendant qu'il observait dans l'émerveillement, l'objet est lentement venu plus près, planant par la suite à seulement un pied ou deux au-dessus du sable de la plage. Padrick a rappelé plus tard comment il a commencé à courir vers sa maison, quand il a entendu une voix venant de la direction de l'objet. La voix, a indiqué Padrick, lui a dit de ne pas avoir peur et qu'ils n'étaient pas hostiles. Au commencement, ces mots n'ont censément pas ralenti sa retraite, mais alors la voix a répété encore qu'ils étaient "non hostiles," et l'a également invité à bord. Padrick a affirmé qu'à ce moment sa curiosité a surmonté sa crainte, au moins légèrement, et il a alors commencé à marcher avec précaution vers l'engin. Une porte est apparue et Padrick a marché à l'intérieur, et bientôt conversait avec un monsieur apparaissant très humain portant une certaine sorte de tenue de vol. L'être a parlé un anglais américain parfait, a remarqué Padrick, et a indiqué à Padrick qu'il pouvait l'appeler "Xeno", et qu'il pouvait poser toutes les questions qu'il voulait. Padrick a indiqué, "cela a pris 15 minutes pour que je pose la première question. J'étais tellement effrayé." Padrick a demandé ce qu'était le but de leur visite sur la terre, et "Xeno" a censément énoncé "seulement l'observation." "Xeno" a guidé Padrick pour une visite du vaisseau, qui se composait de 14 pièces et pendant la visite Padrick a découvert qu'il y avait huit autres membres d'équipage (dont un était une femme). Tous les êtres étaient aux environs de 5 pieds 9 pouces à 5 pieds 10 pouces de haut, estimé de 150 à 155 livres, semblant avoir de 20 à 25 ans, et tous portaient des tenues en deux pièces d'une couleur blanche bleuâtre claire, qui s'est avérée justement être de la même couleur que les parois. En fait, chaque pièce était illuminée par une lumière bleu-blanche. "La lumière a semblé venir des murs," a indiqué Padrick, ajoutant qu'aucune des salles n'avait de coin carré. Elles étaient arrondies. Il a semblé que seulement Xeno parlait anglais. Pendant la visite, les autres membres d'équipage ont prêté peu d'attention à Padrick. Ils ont semblé rester occupés à leurs stations de travail, travaillant à des tableaux d'instruments d'apparence complexes. Bien qu'ils aient semblé tout à fait humains, Padrick a noté que leurs visages se finissaient de manière plus pointue que les nôtres, avec des mentons et des nez pointus. Egalement, leurs doigts ont semblé être plus longs que les nôtres. Tous avaient un teint de peau très clair. Les hommes avaient des cheveux courts de couleur auburn, onduleux, et foncés, alors que le membre d'équipage qui était une femme avait les cheveux longs (de la même couleur) qui étaient rentrés en arrière sous son habillement. Tandis qu'il était à bord de l'engin, Padrick pense qu'il a été emmené pour un voyage. En fait, à un point il est sorti pendant environ trois minutes, et il a remarqué qu'ils étaient sur le flanc d'une colline, qui s'est avérée plus tard être un endroit près de Leggett, Californie, à environ 175 miles au nord-ouest de Watsonville. En fait, il a plus tard estimé qu'il avait retrouvé l'endroit exact. A environ 04:05 heure du matin. Padrick a été ramené et libéré là où sa rencontre avait commencé près de Watsonville. Quelques jours plus tard, le 4 février, il a téléphoné à la base aérienne de Hamilton et leur a dit qu'il avait été témoin de l'atterrissage d'un vaisseau spatial, ajoutant qu'il serait seulement disposé à leur en dire davantage en personne. Quatre jours plus tard un major Damon B. Reeder a rendu visite à Padrick. Padrick a montré au major où la rencontre s'était produite, et dit lui a raconté la totalité de l'histoire incroyable. Le major Reeder a estimé que Padrick, propriétaire d'une affaire de réparation de TV et radio, pilote privé, et un ancien membre de la réserve de l'Armée de l'Air, était d'une intelligence au-dessus de la moyenne, et a remarqué qu'il avait un excellent vocabulaire, mais a été rebuté quand Padrick a mentionné qu'il avait l'intention d'écrire un livre ou un article concernant son expérience. Le major Reeder était soupçonneux et a estimé que Padrick a inventé toute l'histoire et tentait d'utiliser l'Armée de l'Air pour faire paraître son histoire plus crédible. Une histoire de journal décrit comment le maire de Monterey, à moins de 30 miles de distance de Watsonville, avait vu "un objet lumineux" au-dessus de la baie de Monterey dans la soirée du 29 janvier. Jim et Coral Lorenzen de l'APRO ont estimé que Padrick était sincère, mais que son expérience avait été une illusion psychologique d'une certaine sorte. John Keel, cependant, pensait que Padrick avait été une autre victime des prétendus "ultraterrestres basés sur la Terre." Il a précisé comment les extraterrestres, comme les anges et les élémentaux d'antan, aiment tous se présenter sous des noms qui sont des variations sur des langues antiques. Il a précisé que Xeno (prononcé zi-no) signifie étranger en Grec. L'ufologue Leneesa Garroutte se rappelle toujours quand elle a rencontré la première fois Padrick en 1965, quand il est venu à Seattle et a donné une conférence pour la Commission Nationale d'Investigations sur les Phénomènes Aériens [National Investigations Commission on Aerial Phenomena, NICAP], qui était dirigée par Robert Gribble. Tandis qu'il était à Seattle, il est resté avec Leneesa et a dessiné quelques croquis de l'engin pour ses deux filles. (voir le dessin accompagnant cet article) Egalement Leneesa était avec Padrick après sa conférence et ils sont montées dans la Cadillac de son ami et Padrick a déclaré qu'il a senti que les êtres de l'OVNI étaient au-dessus d'eux. Ils se sont garés et sont sortis, et ont vu un "vaisseau" au-dessus. J'ai interrogé Leneesa à ce sujet, et dans un email récent elle a répondu, "quand il était au-dessus de nos têtes c'était une forme blanche ronde." Références:
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Dessin du vaisseau par Sid Padrick. |
[Ref. ik1:] ISAAC KOI:
"Isaac Koi" indique que le 29 janvier 1965, Sid Padrick a prétendu avoir été accueilli dans une soucoupe volante près de Watsonville, Californie.
Le cas a été listé comme Cas du Projet Blue Book numéro 9256 sur le microfilm de l'administration des archives nationales des USA ("NARA") du Projet Blue Book. publié aux archives nationales en 1975 comme T1206 rouleau numéro 1.
Une image de la page d'index est à www.bluebookarchive.org. Elle est également énumérée sans numéro de cas sur les microfilms bruts de la base aérienne de Maxwell du projet Blue Book, microfilm numéro 30.363, également visible à www.bluebookarchive.org
Isaac Koi indique que le cas de Sid Padrick est discuté dans:
1975, Clark, Jerome and Coleman, Loren "The Unidentified" (1975) aux pages 228-230 (dans la section non numérotée titrée "Paraufology: Understanding the Incomprehensible", part 1), pages 233-234 (dans la section non numérotée titrée "Paraufology: Understanding the Incomprehensible", partie 2), de l'édition de poche Warner.
1998, Clark, Jerome dans son "The UFO Encyclopedia: The Phenomenon from the Beginning - 2nd edition" (1998) dans le volume 2: L-Z aux pages 692-694 (in an entry entitled "Padrick Contact Claim") de l'édition Omnigraphics.
2000, Dolan, Richard dans son "UFOs and the National Security State: Volume 1" (2000) à la page 371 (au chapitre 7) de l'édition Keyhole, aux pages 280-281 de l'édition révisée Hampton Road.
1967, Green, Gabriel avec Smith, Warren dans leur "Let's face the facts about Flying Saucers" (1967) aux pages 44-46 (dans le chapitre non numéroté titré "Weird Ride in a Flying Saucer") de l'édition de poche Popular Library.
1970, Keel, John A dans son "UFOs: Operation Trojan Horse" (1970) à la page 228 (au chapitre 12) de l'édition Souvenir Press (avec la même numérotation de page que l'édition Abacus).
1971, Keel, John dans son "Our Haunted Planet" (1971) à la pages 185-187 (au chapitre 14) de l'édition de poche Fawcett.
1973, Keyhoe, Donald E dans son "Aliens from Space" (1973) à la page 198 (au chapitre 13) de l'édition de poche Signet, page 225 de l'édition de poche Panther.
1997, Pope, Nick dans son "The Uninvited" (1997) aux pages 29-31 (au chapitre 2) de l'édition Simon and Schuster, avec la même numérotation de page que dans l'édition de poche Pocket Books.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Manresa Beach, Californie, le 30 janvier 1965, à 02:00 du matin, Sid Padrick, 52 ans, marchait le long de la plage la nuit quand il a entendu un bruit et a vu un grand objet foncé s'approcher au-dessus de l'océan. Il s'est sauvé en courant mais a entendu une voix qui en venait dire, "ne soit pas effrayés, nous ne sommes pas hostiles." Il est descendu à moins de 2 pieds de la plage, et la voix a invité Padrick à venir à bord, ce qu'il a fait. L'OVNI, qui ne portait aucune lumière, était formé comme une sphère de 50 pieds avec le dessus et le bas découpés, et entourés par une jante horizontale. Y entrant par une antichambre brillamment éclairée, Padrick a été accueilli et pris pour une visite par un jeune homme habillé d'une tenue deux pièces serrées et blanc bleuâtre, qui se continuait sur les pieds. Cet homme, qui s'est identifié comme étant "Zeeno," a dit qu'ils sont venus d'une planète qui nous est invisible, comme elle est toujours derrière une des planètes que nous pouvons voir. Leur société n'a aucun maladie, vice ou crime. Padrick a vu sur un écran de TV un autre vaisseau de ce genre, identifié en tant que leur "engin de navigation." Il a été emmené pour un tour à un certain endroit dans les montagnes et ramené de nouveau à la plage après la durée de deux heures.
Albert Rosales indique comme source "Major Damon B. Reeder, Air Force Sam Vestal et Paul Cerny".
[Ref. ud1:] SITE INTERNET "UFODNA":
Le site web indique que le 30 janvier 1965, à 01:55, à la plage de Manresa, Californie, USA, marchant sur la plage, un disque foncé a approché de l'océan. Un voix a dit "nous ne sommes pas hostiles." Invité à bord, le témoin a rencontré un jeune homme habillé d'une tenue moulant bleuâtre-blanc de deux pièces. Il a été pris pour un tour dans les montagnes et ramené, pendant deux heures. C'était une rencontre rapprochée avec un engin et ses occupants. Il y avait un disque foncé observé par un témoin masculin de 52 ans sur le rivage pendant deux heures (Clemens; Padrick, S). Un bruit a été entendu. Neuf humanoïdes de 5.8 pieds de haut chacun portant un costume bleu ont été vus.
Le site web comment que "L'estimation de Sérieux de Vallee" est "043", "sources inconnues ou incertaines; visite du site par un analyste habile; une explication naturelle exige le changement complet de plusieurs paramètres".
Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; Project Bluebook, (USAF) Blue Book files counted in official statistics; Data-Net Report; Keel, John A. UFOs: Operation Trojan Horse, G. P. Putnam's Sons, New York, 1970; Pereira, Jader U., Les Extra-Terrestres, Phenomenes Spatiaux, Paris, 1974; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N = 3173); Flying Saucers, Flying Saucers Magazine, (Palmer) Bloecher, Ted R., Ted R Bloecher investigation files; CUFOS Proceedings 1976, Proceedings of the CUFOS Conference: 1976, CUFOS, Chicago, 1976; Hatch, Larry, *U* computer database, Author, Redwood City, 2002.
Donald Keyhoe du NICAP avait dit bien assez vite ce qu'il convenait de penser de ces histoires à dormir debout.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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Sans. |
Fable de type "contacté".
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 19 août 2008 | Création, [bb1], [jk1], [dk1], [cc1], [yn1], [mm1], [ia1], [tg1], [pc1], [bh1], [go1], [ue1], [br1], [ik1], [ar1], [ud1]. |
1.0 | Patrick Gross | 19 août 2008 | Première publication. |