L'ufologue Leonard Stringfield a été informé vers août 1955 par Herbert Clark du Ground Observer Corps qu'un volontaire de la Défense Civile avait vu trois hommes de 0.90 mètres de haut sous un pont de son secteur, ce qui aurait mené la police locale et les officiels de la Défense Civile à prendre des mesures, Clark qui disant que l'on a fait surveiller le pont par des hommes armés.
En dépit de ses contacts privilégiés avec le Ground Observer Corps et le commandement de la Défense Civile de l'Air, Stringfield n'a pu obtenir aucune confirmation d'une intervention officielle. Les autorités de la Défense Civile de Loveland, Frank Whitecotton, coordinateur du Ground Observer Corps pour le comté de Hamilton, le chef de la police de Loveland, John Fritz, ne lui en ont fourni aucune; mais un membre du Conseil du Collège de Loveland lui a dit que le FBI avait enquêté sur l'incident.
En 1956, Stringfield a arrangé une rencontre entre l'ufologue Ted Bloecher, intrigué par les cas multiples de la région, et Frank Whitecotton. Bloecher, qui étudiera l'affaire avec obstination pendant 18 ans par la suite, a rapporté qu'au cours de la rencontre avec Whitecotton chez les Stringfield le 26 août 1956, il lui a été demandé s'il pouvait donner des informations complémentaires sur l'affaire du pont, et sa réponse n'a été ni enthousiaste ni instructive: le cas lui était "familier", mais il en ignorait les détails, et le chef de la police, John Fritz, en saurait probablement davantage, puisque c'était lui qui, à la réception du rapport, avait ordonné d'établir un cordon de police autour du pont. Whitecotton avertit cependant que Fritz pourrait ne pas vouloir en dire plus.
Bloecher a trouvé Fritz cordial, coopératif et précis, mais a été peu désireux de parler de l'affaire du pont. Interrogé sur la possibilité que le FBI se soit intéressé à l'affaire, il s'est mis à jouer avec des pièces et des clefs qui se trouvaient sur son bureau et à remuer des papiers, a déclaré tout ignorer d'une telle éventualité et a changé de sujet. Il semblait surpris que Bloecher s'y intéresse, et celui-ci lui a alors expliqué qu'il était associé au Civilian Saucer Intelligence de New York et menait des enquêtes avec Leonard Stringfield sur les rapports de "petits hommes" dans la région de Cincinnati. Il a alors montré les dessins de Bud Ledwith sur les entités du cas d'Hopkinsville, que Fritz a examiné, ce qui l'a rendu moins réticent.
Fritz a alors indiqué que l'incident du pont avait eu lieu un soir en début juillet ou peut-être juin, avec un témoin conduisant un camion de la Défense Civile, en tant que colontaire de cet organisation, qui est passé sur un pont dans la région de Loveland, et a remarqué quatre petites silhouettes sur le bord de la rivière, sous le pont, tandis qu'une odeur terrible flottait dans l'air.
Ce témoin, appaemment nommé Carlos Flannigan, s'est tout de suite rendu au commissariat de police de Loveland et a rapporté son incident, alors que le chef de la police était absent, et son récit a été accueilli par des rires.
Fritz a indiqué qu'à sa connaissance il n'y a jamais eu de cordon de police autour du pont. A la fin de l'interview, il a offert à Bloecher de le conduire chez le témoin.
Celui-ci habitait une ferme avec sa femme et sa famille. Les deux hommes sont arrivés au moment inopportun où ils allaient se mettre à table, n'ont pas pu rester plus de dix minutes, leur visite ne les enthousiasmait manifestement pas.
L'homme a d'abord affirmé qu'il ne parlerait de l'incident à personne et à aucun moment, qu'il avait été tourné en dérision pour avoir fait un rapport sur l'incident; il en éprouvait visiblement de l'amertume, ayant à cause de cela perdu son travail à la Défense Civile.
Bloecher lui a montré les dessins des créatures d'Hopkinsville, et l'homme a précisé qu'elles ne ressemblaient en rien aux silhouettes qu'il avait vu. Interrogé pour savoir s'il avait vu des détails tels que de grands yeux ou des pinces au bout des bras, il a déclaré qu'il avait seulement vu quatre petits hommes à l'aspect plus ou moins humain, d'environ un mètre de haut, et se déplaçant de façon bizarre sous le pont, pendant pas plus de 10 secondes. Il a confirmé qu'il y avait alors "une odeur terrible" à cet endroit. Il n'a rien dit d'autre.
Bloecher a été surpris que pour ce cas, personne n'ait semblé désireux de parler alors que les mêmes aprlaient ouvertement des autres cas dans le secteur; il suppose qu'il y a peut-être bien eu une intervention du FBI avec consigne de silence.
Stringfield indique qu'il a épluché les archives da presse locale sur trois contés et n'y a trouvé aucune mention de cet incident. En novembre 1973, Stringfield a de nouveau téléphoné au témoin, qui était chez lui avec la grippe, peu disposé à parler de l'affaire, refusant de donner le moindre détail et ne voulant sous aucun prétexte que mon nom soit mentionné à ce sujet, ajoutant que le l'observation est tellement vague de toute façon et qu'il refuse d'en aprler à qui que ce soit.
En janvier 1975, Ted Bloecher a écrit au Bureau du FBI à Cincinnati, demandant tout renseignement disponible sur l'affaire, et a eu comme réponse qu'il n'y en a aucun.
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[Ref. lo1:] CORAL ET JIM LORENZEN:
Coral Lorenzen indique que le bulletin disparu "Orbit", publication officielle de l'organisation Civilian Research, Interplanetary Flying Objects (CRIFO, Recherche Civile, Objets volants Interplanétaire) de Cincinnati, Ohio, avait un maigre article dans leur édition du 2 septembre 1955, disant qu'environ quatre petits hommes de trois pieds de haut avaient été vus sous un pont près de Cincinnati par un homme qui a censément rapporté l'observation à la police, sur quoi un garde a été placé au pont. Cela s'était passé plusieurs semaines avant le numéro du 2 septembre 1955 d'Orbit, et selon Leonard Stringfield, le témoin était un homme d'affaires éminent de Loveland, Ohio.
Elle note qu'il y a un manque de nom et de toute autre évidence dans l'histoire; qu'elle n'aurait pas mentionné si ce n'était parce que le rédacteur d'Orbit, Leonard Stringfield, avait une haute réputation élevée en tant que chercheur, et le fait que la plupart des personnes rapportant des hommes étranges en même temps que des atterrissages d'OVNIS préfèrent de toute façon ne pas être identifiées.
Les auteurs proposent que le lecteur se réfère pour d'éventuels détails additionnels au livre à venir de Leonard Stringfield, Inside Saucer Post 3-0 Blue, Cincinnati, Ohio, Moeller Printing Co., 1957.
[Ref. cl1:] CORAL LORENZEN:
Coral Lorenzen donne les mêmes informations qu'en [lo1].
[Ref. ls1:] LEONARD STRINGFIELD:
Leonard Stringfield rapport de multiples observations d'entités dans le secteur de Loveland qu'il avait vérifié avec Ted Bloecher, et indique que l'un des plus intrigants était celui qu'il avait surnommé "l'affaire sous le pont."
Il rappelle qu'il avait écrit à son sujet dans son bulletin Orbit, comme un cas impliquant un homme d'affaires éminent qui a vu quatre petits hommes d'environ trois pieds de haut sous un certain pont, et avait rapporté l'affaire bizarre à la police; un garde armé avait été placée là.
Il a malheureusement dû dire à Ted Bloecher que la plupart de ses tentatives pour glaner des détails additionnels ont échoué, les gens de la Défense Civile locale, dont il a entendu dire qu'ils s'étaient impliqués au pont, ne voulaient pas parler, le chef de la police de Loveland John Fritz, qui était censément au courant du cas avait "envoyé balader" quelqu'un qui voulait des informations, et ainsi de suite.
Cependant, Stringfield a appris d'un membre du conseil d'école de cette communauté que l'incident avait fait l'objet d'une enquête du F.B.I.
Stringfield indique que Ted Bloecher n'a pas été découragé, et tôt un matin, a sauté dans un taxi pour Loveland. Il a rendu visite au commissariat de police, a trouvé Fritz cordial et bavard, mais "quelque peu agité" quand il lui a demandé des nouvelles du garde armée au pont.
Ted Bloecher n'a cependant eu aucune difficulté à obtenant l'adresse personnelle du témoin, C. F., et lui a rendu visite plus tard dans l'après-midi.
Malheureusement, C. F. a refusé de passer en revue le cas au-delà des détails qui avaient déjà fui.
[Ref. ls2:] LEONARD STRINGFIELD:
L'auteur indique que Herbert Clark du Ground Observer Corps l'a informé qu'un volontaire de la Défense Civile avait vu trois hommes de un mètre de haut sous un pont de son secteur, ce qui aurait mené la police locale et les officiels de la Défense Civile à prendre des mesures, Clark qui disant que l'on a fait surveiller le pont par des hommes armés.
Stringfield indique que malgré ses contacts privilégiés avec le Ground Observer Corps et le commandement de la Défense Civile de l'Air, il n'a pas pu obtenir de détail sur cette intervention officielle. Les autorités de la Défense Civile de Loveland, Frank Whitecotton, coordinateur du Ground Observer Corps pour le contés de Hamilton, le chef de la police de Loveland, John Fritz, ne lui en ont fourni aucun; mais un membre du Conseil du Collège de Loveland lui a fait savoir que le FBI avait fait une enquête sur l'incident.
En 1956, Stringfield a arrangé une rencontre entre l'ufologue Ted Bloecher, intrigué par ce cas, et Frank Whitecotton. Bloecher, qui étudiera l'affaire avec obstination pendant 18 ans par la suite, a rapporté qu'au cours de la rencontre avec Whitecotton chez les Stringfield le 26 août 1956, il lui a été demandé s'il pouvait donner des informations complémentaires sur l'affaire du pont, et sa réponse n'a été ni enthousiaste ni instructive: le cas lui était "familier", mais il en ignorait les détails, et le chef de la police, John Fritz, en saurait probablement davantage, puisque c'était lui qui, à la réception du rapport, avait ordonné d'établir un cordon de police autour du pont. Whitecotton avertit cependant que Fritz pourrait ne pas vouloir en dire plus.
Bloecher a trouvé Fritz cordial, coopératif et précis, mais a été peu désireux de parler de l'affaire du pont. Interrogé sur la possibilité que le FBI se soit intéressé à l'affaire, il s'est mis à jouer avec des pièces et des clefs qui se trouvaient sur son bureau et à remuer des papiers, a déclaré tout ignorer d'une telle éventualité et a changé de sujet. Il semblait surpris que Bloecher s'y intéresse, et celui-ci lui a alors expliqué qu'il était associé au Civilian Saucer Intelligence de New York et menait des enquêtes avec Leonard Stringfield sur les rapports de "petits hommes" dans la région de Cincinnati. Il a alors montré les dessins de Bud Ledwith sur les entités du cas d'Hopkinsville, que Fritz a examiné, ce qui l'a rendu moins réticent.
Fritz a alors indiqué que l'incident du pont avait eu lieu un soir en début juillet ou peut-être juin, avec un témoin conduisant un camion de la Défense Civile, en tant que colontaire de cet organisation, qui est passé sur un pont dans la région de Loveland, et a remarqué quatre petites silhouettes sur le bord de la rivière, sous le pont, tandis qu'une odeur terrible flottait dans l'air.
Ce témoin s'est tout de suite rendu au commissariat de police de Loveland et a rapporté son incident, alors que le chef de la police était absent, et son récit a été accueilli par des rires.
Fritz a indiqué qu'à sa connaissance il n'y a jamais eu de cordon de police autour du pont. A la fin de l'interview, il a offert à Bloecher de le conduire chez le témoin.
Celui-ci habitait une ferme avec sa femme et sa famille. Les deux hommes sont arrivés au moment inopportun où ils allaient se mettre à table, n'ont pas pu rester plus de dix minutes, leur visite ne les enthousiasmait manifestement pas.
L'homme a d'abord affirmé qu'il ne parlerait de l'incident à personne et à aucun moment, qu'il avait été tourné en dérision pour avoir fait un rapport sur l'incident; il en éprouvait visiblement de l'amertume, ayant à cause de cela perdu son travail à la Défense Civile.
Bloecher lui a montré les dessins des créatures d'Hopkinsville, et l'homme a précisé qu'elles ne ressemblaient en rien aux silhouettes qu'il avait vu. Interrogé pour savoir s'il avait vu des détails tels que de grands yeux ou des pinces au bout des bras, il a déclaré qu'il avait seulement vu quatre petits hommes à l'aspect plus ou moins humain, d'environ un mètre de haut, et se déplaçant de façon bizarre sous le pont, pendant pas plus de 10 secondes. Il a confirmé qu'il y avait alors "une odeur terrible" à cet endroit. Il n'a rien dit d'autre.
Bloecher a été surpris que pour ce cas, personne n'ait semblé désireux de parler alors que les mêmes aprlaient ouvertement des autres cas dans le secteur; il suppose qu'il y a peut-être bien eu une intervention du FBI avec consigne de silence.
Stringfield indique qu'il a épluché les archives de presse locale sur trois comptés et n'y a trouvé aucune mention de cet incident. En novembre 1973, Stringfield a de nouveau téléphoné au témoin, qui était chez lui avec la grippe, peu disposé à parler de l'affaire, refusant de donner le moindre détail et ne voulant sous aucun prétexte que mon nom soit mentionné à ce sujet, ajoutant que le l'observation est tellement vague de toute façon et qu'il refuse d'en aprler à qui que ce soit.
En janvier 1975, Ted Bloecher a écrit au Bureau du FBI à Cincinnati, demandant tout renseignement disponible sur l'affaire, et a eu comme réponse qu'il n'y en a aucun.
[Ref. lc1:] LOREN COLEMAN:
Discutant de divers observations alléguées "d'hommes-grenouilles" dans le secteur de Loveland, Ohio, , le cryptozoologiste et chercheur fortéen note que des trolls à bouches de grenouille ont été aperçus en mars 1955 sous un pont à Loveland, Ohio, et enquêtés par Leonard Stringfield.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Loveland, Ohio, en juillet, 1955, dans la soirée, Carlos Flannigan, conduisant un camion au-dessus d'un pont, a remarqué une odeur terrible, et a vu 4 êtres "plus ou moins humains" de 3 pieds de haut "se déplaçant curieusement" sur la rive du fleuve sous le pont. Il l'a rapporté aux quartier général de la police locale.
Albert Rosales indique comme sources Ted Bloecher, et Humcat 1955-7.
De toute évidence il n'y aura certainement jamais une conclusion ferme au sujet des petites silhouettes d'apparence humaine vagues que le témoin a vu seulement quelques dix secondes. Des ombres de buissons, des enfants, des hiboux, des occupants d'OVNI, tout est possible et rien n'est certain.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Ufologie | Grave | 14 février 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas à faible étrangeté pour lequel des possibilités de méprises existent et n'ont pas été abordées par les enquêteurs. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 14 février 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Mauvaises conditions d'observation, de nuit et de faible durée, distance inconnue, seules des silhouettes sont vues. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
3 | Ufologie | Grave | 14 février 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas sans OVNI. | - | - |
4 | Ufologie | Grave | 14 février 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Les chances qu'il y ai contre enquête sont faible puisque le témoin ridiculisé est devenu rétif et que l'incident est ancien. | - | - |
Visiteurs extraterrestres ou confusion. Données insuffisantes.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 14 février 2008 | Création, [lo1], [cl1], [ls1], [ls1], [cl1], [lc1], [ar1]. |
1.0 | Patrick Gross | 14 février 2008 | Première publication. |