A Dinan, département des Côtes-d'Armor, France, le 14 mai 1955 vers 23:45 ou le 15 mai à minuit 15, Mr. Droguet, professeur ou employé au collège des filles de Dinan, rentrait chez lui après avoir été au cinéma. Il logeait au collège, et c'est au moment où il a ouvert le portillon métallique d'une des cours de l'établissement qu'il a entendu que celui-ci a fait un peu de bruit, et qu'il a reçu en plein visage une sorte de rayon d'une lumière bleu-verte aveuglante.
Il a été effrayé, ses genoux se sont mis à trembler, et il pense que ses cheveux se sont peut-être hérissés. Il ressentait aussi comme une sorte de vibration continue.
Au bout de quelques secondes, il s'est habitué à la clarté, et a alors vu un objet énorme et totalement immobile et silencieux, stationnant à environ 1.50 mètres du sol de la cour du collège.
Il y avait deux êtres, qui ne semblaient pas du tout faire attention à lui, évoluant à côté de l'engin. Ils portaient des "scaphandres" boudinés qui évoquaient le "Bibendum" Michelin, des casques très volumineux, des gants, le tout d'une couleur gris métallisé. Sur leur ventre, ils portaient une boîte noire d'où sortaient de nombreux fils. Ils avaient une taille de 1.60 mètres environ.
L'un d'eux était penché sur le sol, et semblait prélever des cailloux de l'allée de gravier, l'autre semblait inspecter les lieux, et s'était approché d'une fenêtre qui donnait sur une ancienne salle de chaufferie.
Mr. Droguet aurait voulu se sauver, mais étais figé sur place à deux mètres du portillon comme s'il était paralysé, il s'est demandé si cela venait de la peur ou si c'était un effet de la lumière qui l'éclairait. Depuis qu'il se tenait là, il avait eu le net sentiment qu'il y aurait pu y avoir un troisième être dans l'engin, qui l'observait et qui avait peut-être braqué le projecteur sur lui.
Il pense être resté ainsi un quart d'heure environ, observant les déplacement des êtres, notant que le temps lui a paru bien long.
Finalement, les deux êtres sont revenus à leur engin. Sous l'engin, Mr. Droguet distinguait comme un trou noir central, d'où pendait une sorte d'échelle métallique de quelques barreaux seulement. Quand les êtres y sont montés, il a nettement entendu un bruit de métal qui semblait provenir du contact de leurs semelles et de l'échelle. Quand les êtres ont été rentrés à l'intérieur, l'échelle a été remontée.
Il a alors senti une sorte d'aspiration, de courant d'air comme une succion, et l'engin, toujours éclairé, a pris de la hauteur, révélant qu'il avait une forme circulaire, et qu'il semblait tourner sur lui-même, avec au centre le trou noir qu'il avait remarqué, et qui semblait immobile.
Quand l'engin s'est trouvé plus haut que le niveau du sommet des arbres, tout s'est éteint et il n'a plus rien vu, et se sentant capable de bouger de nouveau, il s'est précipité chez lui.
Mr. Droguet a rapporté cette rencontre à l'ufologue enquêteur français Jacques Cresson en 1976 semble-t-il.
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[Ref. fs1:] FLYING SAUCER REVIEW:
Atterrissage spectaculaire à DinanJ. Cresson Une histoire jusqu'alors inédite qui aurait eu lieu dans les Côtes-du-Nord, en France, en 1955. De Lumières dans la Nuit N° 106 de juin 1970. Traduction de Gordon Creighton. Un samedi de mai 1955, Mr. Droguet revenait du cinéma vers 23h45. Il vivait à l'époque dans les locaux du collége des filles à Dinan (Note du traducteur: 48°28 N, 2°02 O.). Il interrompit son trajet pour aller voir un ami sur la place du Clos et rentra chez lui environ quinze minutes après minuit. Il ouvrit la petite porte menant à l'une des cours du Collège. Cette porte, en métal, faisait un certain bruit en claquant, et il avait à peine eu le temps de la refermer et de faire quelques pas lorsqu'il fut inondé de lumière. Une sorte de faisceau bleu-vert était dirigé vers lui, l'aveuglant si complètement qu'il était momentanément incapable de voir quoi que ce soit. Il ressentait une peur extrême, ses genoux s'entrechoquaient et il sentait ses cheveux se dresser sur sa tête. Quelques secondes après ce dur éclair de lumière, son oeil s'y étant habitué, Mr. Droguet put discerner un objet énorme qui était suspendu totalement immobile à une hauteur d'environ 1.5 mètres au-dessus du sol dans la cour. Il était étonné qu'une telle machine puisse rester en l'air comme ça. Il n'entendait aucun son, mais ressentait simplement une sorte de vibration continue. Soudain, il prit conscience qu'il y avait deux êtres près de la machine. Ils portaient une sorte de tenue qui faisait qu'il était probable qu'ils ne l'auraient pas entendu entrer dans la cour. Du moins c'est ce qu'il pensait, car les deux êtres semblaient l'ignorer. Il sentit sa terreur monter et s'enfuirait volontiers, mais il fut littéralement "cloué sur place" et incapable de franchir la distance de six mètres qui le séparait de la porte par laquelle il auait pu sortir de la cour. Plus tard, il a été incapable de dire avec précision si c'était sa peur qui l'avait paralysé, ou l'effet du faisceau bleu-vert projeté sur lui. Les deux êtres étaient vêtus d'une sorte de combinaison métallique d'une seule pièce, et ressemblaient un peu aux "petits hommes" de la publicité pour les pneus Michelin. (Voir Contact Casualty in la Réunion, dans FSR de janvier / février 1969.) Il était incapable de voir leurs têtes, qui étaient enfermées dans des casques encombrants. Leurs mains n'étaient pas nues, mais couvertes de gants. Sur l'abdomen, chacun avait une boîte noire avec beaucoup de fils qui en sortaient. Un des êtres était occupé à ramasser quelque chose ici et là au sol (probablement des cailloux). L'autre inspectait les environs et à un moment donné il se baissa pour regarder dans une fenêtre derrière laquelle se trouvait un four désaffecté. Le témoin a eu l'impression très claire que quelqu'un le surveillait de l'intérieur de la machine et qu'il était celui qui projetait le faisceau de lumière sur lui. A l'époque, tout lui avait paru assez long, mais rétrospectivement, il estimait que l'observation n'avait duré tout au plus que quelques minutes et, en tout cas, pas plus d'un quart d'heure. A la fin de cet intervalle de temps, les deux êtres se dirigèrent vers la machine, et il vit que sur la sous-partie de l'engin il y avait un trou noir duquel [Légende:] Impression de l'atterrissage de Dinan par J.-L. Boncoeur pendait une échelle métallique de quelques échelons. Les deux entités n'étaient pas très grandes - environ 1,60 m., a-t-il estimé. Ils marchaient difficilement, comme des plongeurs avec leurs semelles de plomb. Le mouvement était difficile pour eux. Au moment où ils entraient dans l'engin, Mr. Droguet entendit distinctement un bruit métallique émaner de leurs pieds pendant qu'ils marchaient. Quand ils sont entrés dans l'engin, l'échelle a été tirée dedans et il y a eu un bruit comme une aspiration d'air. Il sentit un déplacement de l'air et une sensation de succion. La machine, toujours éclairée, s'est élevée verticalement au-dessus de la cime des arbres, sans aucun son. Il était maintenant possible de voir le trou noir au centre de la partie inférieure du vaisseau et de s'apercevoir que le trou était circulaire. L'engin tournait très rapidement, mais le trou noir ne semblait pas bouger. Lorsque la machine eu atteint la hauteur de la cime des arbres, ses lumières s'éteignirent. Récupérant ses facultés. Mr. Droguet se précipita chez lui. Pendant plusieurs jours, ses nerfs ont été très secoués à la suite de cette expérience qui lui avait donné la plus grande frayeur de sa vie. Réalisant que personne ne voudrait croire l'histoire, il l'a raconté seulement à sa femme et à certains |
amis totalement dignes de confiance. La directrice du collège des filles en fut informée à l'époque, et elle conseilla à Mr. Droguet de ne pas laisser l'affaire s'ébruiter de peur que cela ne produise un "scandale". Avant l'expérience, Mr. Droguet n'avait aucune croyance dans l'existence des soucoupes volantes et avait eu l'habitude d'en rire. Il a certainement changé d'avis maintenant. Ce n'est que par un heureux hasard que, quinze ans après son apparition, j'ai entendu parler de cette observation. * * * * * Note de l'éditeur de L. D. L. N .: Ce n'était pas tout à fait par hasard. Mons. Cresson faisait des recherches et enquêtait, et pendant ses déplacements, il apprenait beaucoup de choses dont nous parlerons plus tard. Même la plus insignifiante enquête, et même des événements du passé, aident à la découverte de contacts, et ces contacts peuvent nous réserver des surprises stupéfiantes... Notre ami Tyrode nous a écrit une fois qu'il était sorti pour faire deux enquêtes et en a ramené huit. Les gens nous écrivent souvent pour nous dire que rien ne s'est passé dans leur région. Ce n'est pas vrai. Chaque fois qu'un enquêteur passionné fait sa tournée, il revient avec une moisson de faits. Les faits ne viennent pas à la recherche de l'enquêteur. Il doit lui aller les chercher. Géologie: [1] Expert dans ce domaine, Mr. Cresson nous a envoyé un rapport détaillé, dont nous ne donnons que quelques passages. Le Collège est érigé sur une zone où convergent différents terrains. Au nord-est, granulite granitique en flocons. Au sud-ouest, granulite. Tout autour, il y a une "cheminée" volcanique, ou gorge de basalte. Environ six kilomètres au sud-est il y a des quartz argentifères qui ont été exploités. Cette même région contient des gisements uranifères qui ont été étudiés par le Dr Roptin de Dinan. Dinan repose sur une ondulation anticlinale. Il n'y a aucune faille reconnue sur la feuille géologique N° 60. Le sol est presque partout siliceux et le paysage est peu boisé. |
Note [1]: à cette époque, avec l'ufologue Fernand Lagarde, s'était propagée l'idée fausse que les OVNIS avaient un rapport avec les "failles" géologiques. Les ufologues avaient alors pris l'habitude de documenter la géologie des lieux d'observations - ce qui n'a mené à aucune constatation solide sur un quelconque lien entre OVNI et géologie.
[Ref. gl1:] CHARLES GARREAU ET RAYMOND LAVIER:
Les deux auteurs indiquent qu'à Dinan, Côtes-du-Nord, le 14 mai 1955, à 00:15, selon L.D.L.N., n° 106, de juin 1970, avait eu lieu une "sorte de mission Apollo" ou atterrissage d'un "commando minéralogiste" vu par un employé du collège de jeunes filles de Dinan, Mr. Droguet, qui est cité comme disant:
"Je rentrais du cinéma. Au moment où j'ai ouvert le portillon métallique de la cour, celui-ci a fait un peu de bruit. J'ai reçu alors, en pleine figure, une sorte de rayon bleu-vert, aveuglant. J'ai pris peur. Mes genoux se sont mis à trembler, et je crois bien que mes cheveux se sont hérissés. Au bout de quelques secondes, je me suis habitué à cette clarté. J'ai distingué un objet énorme, absolument immobile. Il ne faisait aucun bruit."
"Mais j'ai ressenti comme une sorte de vibration continue. Deux êtres, qui ne semblaient pas du tout faire attention à moi, évoluaient à côté. Ils étaient vêtus d'un scaphandre qui évoquait le "Bibendum" Michelin, avec un casque très volumineux, le tout d'une couleur gris métallisé. Sur le ventre, ils portaient une boîte noire, d'où sortaient de nombreux fils. L'un d'eux était penché sur le sol, et semblait prélever des cailloux. L 'autre inspectait les lieux. Il s'était approché d'une fenêtre, et regardait l'ancienne chaufferie."
"J'aurais voulu me sauver, mais j'étais cloué au sol, comme paralysé. La peur peut-être? Je n'étais pourtant qu'à deux mètres du portillon. Et depuis que j'étais là, j'avais l'impression d'être observe depuis l'engin par un autre personnage, qui avait braqué le projecteur sur moi. Je ne sais combien de temps je suis resté ainsi, à observer maIgre moi les évolutions des deux scaphandriers. Un quart d'heure peut-être... mais le temps me semblait tellement long. Finalement les deux êtres sont revenus à 1’engin. Sous celui-ci, qui stationnait à environ, 1,50 m du sol, j'ai distingué comme un trou noir, d ou pendait une sorte d'échelle métallique de quelques barreaux seulement. Quand ils sont remontés, j'ai nettement entendu un bruit de métal qui semblait provenir du contact de leurs semelles et de l'échelle. Quand ils ont été rentrés à l'intérieur, celle-ci a été remontée. J'ai senti alors une sorte d'aspiration, de courant d'air. Comme une succion. L'engin, toujours éclairé, a pris de la hauteur. J'ai pu constater qu'il était circulaire, et qu'il semblait tourner sur lui-même. Au centre, il y avait le trou noir que j’ avais remarqué, et qui semblait immobile. Quand l'engin s'est trouvé plus haut que les arbres, tout s'est éteint et je n'ai plus rien vu..."
[Ref. hd1:] HENRI DURRANT:
Henri Durrant indique qu'à Dinan, dans les Côtes-du-Nord, en France, en mai 1955, Mr. Droguet, demeurant au collège de jeunes filles, rentrait du cinéma vers 23:45 en présence d'un engin stationnaire à 1.50 mètres du sol dans la cour de cet établissement scolaire.
Il a été paralysé par la surprise, ou par un rayon bleu-vert qui l'a éclairé aussitôt, et a distingué deux humanoïdes de petite taille vêtus de scaphandres avec casques, dont l'un prélevait des minéraux dans l'allée de la cour du collège.
Renseignements pris, il s'agissait d'un gros gravier, c'est-à-dire d'un "terrain rapporté", qui n'avait évidemment absolument rien à voir avec la nature géologique du site.
Durrant se demande s'il faut en conclure que les extraterrestres manquant de discernement, opérant en pleine obscurité, à moins qu'ils ne fassent une recherche sur l'urbanisme humain.
Henri Durrant indique que la source détaillée pour le cas est Lumières dans la nuit, volume 13, N.106, page 9.517, p. 354.
[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
Les deux ufologues indiquent que le 14.05.1955, à 00:15, à Dinan, département 22, Mr. Droguet, un professeur, rentrait du cinéma et ouvrait le portillon donnant accès à l'une des cours du collège de jeunes filles, quand à peine le temps de faire un ou deux pas, il a été inondé de lumière.
Une espèce de lumière bleue-verte était braquée sur lui, et quelques secondes après ce flash brutal, ses yeux s'y accoutumant, il a pu distinguer un engin énorme, immobile à 1.50 mètres du sol de la cour, de la forme d'une soucoupe et avec un dôme.
Il s'est brusquement rendu compte que deux êtres d'un mètre soixante se tenaient près de l'engin, ne paraissant pas faire attention à lui.
Il a senti sa peur s'accroître aurait voulu se sauver, mais il a été littéralement cloué au sol et incapable de bouger.
Les deux êtres portaient une combinaison de type "bibendum Michelin", avaient la tête recouverte d'un casque volumineux, les mains protégées par des gants, et portaient tous les deux sur le ventre une boîte noire dont partent des tas de fils.
Un des êtres ramassait des cailloux, l'autre inspectait les lieux et, à un moment donné s'est penché à une fenêtre derrière laquelle il y a une chaufferie désaffectée.
Le témoin a eu l'impression très nette que quelqu'un l'observe de l'engin et que c'est lui qui l'avait éclairé avec l'espèce de projecteur.
Au bout de quelques minutes, les deux êtres réintègrent leur appareil par le dessous, passant par un trou noir et rond d'où pendait une échelle métallique de quelques barreaux seulement. Ces deux êtres marchaient difficilement, à la manière de scaphandriers avec des semelles de plomb, ayant du mal à se mouvoir.
Quand ils étaient en train de pénétrer dans l'engin, le témoin a perçu distinctement un bruit métallique provenant de leurs pas.
L'échelle a été remontée, il y a eu un déplacement d'air, comme une succion, et l'engin a pris de l'altitude à la verticale avec un mouvement de rotation très rapide, le trou noir au centre restant visible et ne paraissant pas bouger.
Arrivé au-dessus des arbres, tout s'est éteint, le témoin a retrouvé ses facultés et a bondi chez lui.
Pendant l'observation, il avait perçu une vibration constante, ses genoux du s'entrechoquaient et il sentait ses cheveux se hérisser, il n'a pas pu définir si cela provenait de sa peur ou du rayon tiré par l'engin, dans lequel il était pris.
Les auteurs commentent en indiquant des points communs avec d'autres observations.
Ils indiquent que la source est LDLN N.106 page 9, une enquête de M.J. Cresson; et LDLN N.116.
[Ref. go1:] GODELIEVE VAN OVERMEIRE:
L'ufologue belge indique que le 14 mai 1955, à Dinan dans les Côtes du Nord, en France, M. Droguet, demeurant au collège de jeunes filles, s'est trouvé en rentrant du cinéma vers 23:45 ou 00:15, en présence d'un engin stationnaire à 1.50 m du sol, dans la cour de cet établissement scolaire.
Paralysé par la surprise, ou par un rayon bleu-vert qui l'a aussitôt éclairé, il a distingué deux humanoïdes de petite taille, vêtus de scaphandres avec des casques, dont un prélevait des échantillons du gros gravier dans l'allée de la cour.
Le témoin a dit: "Sous l'engin j'ai distingué comme un trou noir d'où pendait une sorte d'échelle métallique de quelques barreaux seulement. Quand ils sont remontés j'ai nettement entendu un bruit de métal provenant de leurs semelles et de l'échelle. Quand ils étaient à l'intérieur elle a été remontée. J'ai alors senti une sorte d'aspiration, de succion. L'engin toujours éclairé a pris de la hauteur. Il était circulaire et semblait tourner sur lui-même. Au centre il y avait le trou noir que j'avais remarqué et qui semblait immobile. Quand l'engin s'est trouvé plus haut que les arbres, tout s'est éteint et je n'ai plus rien vu."
L'ufologue indique que la source est Garreau et Lavier dans "Face aux extra-terrestres", Delarge éditeur, 1975, J'ai Lu, pages 142, 143, et Henry Durrant, "Premières enquêtes sur les Humanoïdes ET", Laffont, 1977 page 92.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue qu'à Dinan, France, en mai 1955, à 00:15 du matin, en fermant la porte de la cour de sa résidence, Mr. Droguet a été temporairement aveuglé par un faisceau de feu vert bleuâtre, et paralysé, par le faisceau ou par la crainte. Alors il a vu un énorme objet planant à 5 pieds au-dessus de la cour. Près de lui étaient 2 hommes courts portant des combinaisons grises d'une seule pièce métalliques, et des casques encombrants; ils ont légèrement ressemblé "l'homme pneu" de Michelin. Sur l'abdomen, ils avaient des boîtes noires avec des fils joints. L'un d'eux a semblé ramasser des cailloux. Ils ont marché avec difficulté. Après quelques minutes, ils sont entrés par une ouverture dans la partie inférieure de l'engin au moyen d'une échelle; le vaisseau s'est levé verticalement sans bruit, son partie externe tournant, et sa lumière s'est ensuite éteinte.
Albert Rosales indique comme sources J. Cresson, FSR Case Histories 10/70, et Humcat 1955-4.
[Ref. dj1:] DONALD JOHNSON:
Donald Johnson indique que le 14 mai 1955, à 12:15 heure du matin dans Dinan, Cotes-Nord, France, Mr. M. [sic] Droguet a vu un grand disque en dôme planer 5 pieds au-dessus de la cour de sa maison. Deux petits humanoïdes en tenues d'Homme de Michelin sont sortis de l'engin, les deux ayant des boîtes sur leurs torses. M. Droguet a été paralysé sur place et ne pouvait pas se déplacer pendant la rencontre, et il a été temporairement aveuglé par une lumière bleu-verte. Les hommes ont marché avec une démarche maladroite. L'OVNI est parti silencieusement en faisant une montée verticale.
Donald Johnson indique que les sources sont Jacques Cresson, FSR Case Histories, octobre 1970, page 13; Alain Gamard, UFO Register, Volume 7, p. 44; David F. Webb et Ted Bloecher, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports, cas A0365.
[Ref. bo1:] BASE OVNI FRANCE:
La fiche du cas de ce site Internet indique que le 14 mai 1955, dans les Côtes d'Armor, à Dinan à 23:45, le témoin, demeurant au collège de jeunes filles, s'est trouvé en rentrant du cinéma en présence d'un engin stationnaire à 1.50 m du sol, dans la cour de cet établissement scolaire.
Paralysé par la surprise, ou par un rayon bleu-vert qui l'éclairait aussitôt, il distingua deux humanoïdes de petite taille, vêtus de scaphandres avec des casques, dont un prélevait des échantillons du gros gravier dans l'allée de la cour. Il a dit: "Sous l'engin j'ai distingué comme un trou noir d'où pendait une sorte d'échelle métallique de quelques barreaux seulement. Quand ils sont remontés j'ai nettement entendu un bruit de métal provenant de leurs semelles et de l'échelle. Quand ils étaient à l'intérieur elle a été remontée. J'ai alors senti une sorte d'aspiration, de succion. L'engin toujours éclairé a pris de la hauteur. Il était circulaire et semblait tourner sur lui-même. Au centre il y avait le trou noir que j'avais remarqué et qui semblait immobile. Quand l'engin s'est trouvé plus haut que les arbres, tout s'est éteint et je n'ai plus rien vu."
La fiche indique que les êtres étant du style Bonhomme Michelin avec casque, qu'il y a eu un déplacement d'air, et que l'effet sur le témoin a été une paralysie.
Les sources sont indiquées comme: Premières enquêtes sur les Humanoïdes ET par Durrant Henry, Laffont 1977; Face aux Extra terrestres par Garreau et Lavier, Delarge 1975; et Mini catalogue chronologique des observations OVNI par Van Overmeire Godelieve à users.skynet.be/sky84985.
[Ref. ud1:] "UFODNA" WEBSITE:
Le site internet indique que le 14 mai 1955 dans Dinan, France, une paralysie s'est produite, un objet énorme de la forme d'un disque en dôme d'environ 40 pieds de large a plané 5 pieds au-dessus de la cour, vu par un témoin masculin expérimenté, Mr. Droguet, à une maison, pendant plus de 15 minutes, une lumière bleu-verte a provisoirement aveuglé. Deux gros humanoïdes courts portant des costumes d'Homme Michelin et des boîtes sur leurs torses ont été vus, il y avaient une porte maladroite, une montée verticale d'OVNI qui est partie en volant rapidement directement vers le haut jusqu'à être perdu de vue, des effets physiologiques ont été notés. Aucun bruit n'a été entendu.
Les sources sont indiquées comme Webb, David, HUMCAT: Catalogue of Humanoid Reports; FSR Case Histories (v.1 to v.18 complete), FSR, London, 1970 ; Schoenherr, Luis, Computerized Catalog (N=3173); UFO Nachrichten (Veit), Germany; Delaire, J. Bernard UFO Register Volume 7 (1976), Data Research, Oxford, 1976; Rosales, Albert S., Humanoid Contact Database; Hatch, Larry *U* computer database, Redwood City, 2002.
[Ref. jg1:] JULIEN GONZALEZ:
Cet auteur indique qu'à Dinan, en Ile-et-Vilaine [sic], le 14 mai 1955, à 00:15, Mr. Droguet, professeur, rentrait du cinéma et ouvrait le portillon donnant accès à l'une des cours du collège de jeunes filles de Dinan. Il avait à peine eu le temps de faire un ou deux pas qu'il a été inondé de lumière, par un faisceau lumineux bleu-vert braqué sur lui.
Quelques secondes après ce flash brutal, ses yeux s'y étant accoutumés, il a pu distinguer un objet énorme ayant la forme d'une soucoupe avec dôme, immobile, à 1,50 m du sol de la cour.
Brusquement il s'est rendu compte que deux êtres d'un mètre soixante et portant une combinaison "bibendum Michelin" se tenaient près de l'appareil, ne paraissant pas faire attention à lui. Il a senti sa peur s'accroître et aurait voulu se sauver, mais était littéralement cloué au sol, incapable de bouger.
Les deux êtres avaient la tête recouverte d'un casque volumineux, les mains protégées par des gants. Sur le ventre, ils avaient tous les deux une boîte noire d'où partaient des tas de fils.
Un de ces êtres ramassait des cailloux, l'autre inspectait les lieux et à un moment donné s'est penché à une fenêtre derrière laquelle il y avait une chaufferie désaffectée. Le témoin a l'impression très nette que quelqu'un l'observait depuis l'engin et que c'est celui qui l'éclairait avec cette espèce de projecteur.
Au bout de quelques minutes, les deux êtres ont réintégré leur appareil par le dessous, en passant par un trou noir et rond d'où pendait une échelle métallique de quelques barreaux seulement. Les deux pilotes marchaient difficilement, à la manière des scaphandriers avec leurs semelles de plomb. Ils avaient du mal à se mouvoir. Alors qu'ils pénètraient dans l'engin, Mr. Droguet a perçu distinctement un bruit métallique provenant de leurs pas.
L'échelle a été remontée, il y eut un déplacement d'air, comme une succion, et l'engin a pris de l'altitude à la verticale, avec un mouvement de rotation très rapide, le trou noir au centre étant visible et ne paraissant pas bouger. Arrivé au-dessus des arbres, tout s'est éteint et le témoin a retrouvé ses facultés et a bondi chez lui.
Julien Gonzalez indique que la source est "Lumières dans la Nuit, n° 106, page 9 (enquête de M. J. Cresson)."
Il montre cette illustration de Jean Giraud, extraite de la revue INFO-OVNI, numéro spécial "Les humanoïdes":
Bibendum, le "Bonhomme Michelin", mascotte publicitaire de la célèbre marque de pneus.
Je ne vois aucune explication ordinaire pour de tels événements, qui pour une fois ont fait l'objet d'une certaine enquête. Il n'y a pour moi aucun signe de mensonge ou d'invention par le témoin, mais n'ayant qu'un seul témoin le cas ne peut pas recevoir un indice de crédibilité important.
Comme souvent, des versions tardives par divers ufologues, particulièrement sur l'Internet, sous forme de brefs résumés retirant de nombreux détails, ajoutent leur part de déformations, telles que la taille des êtres, rapportée initialement comme de 1.60 mètres, qui devient "petite" pour des êtres devenus "trapus" sans aucune raison.
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 10 février 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Manque la source primaire, LDLN 106 page 9. | Aide nécessaire. | Ouvert. |
2 | Ufologie | Grave | 10 février 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Cas à témoin unique. | - | - |
Visiteurs extraterrestres.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 10 février 2008 | Création, [gl1], [hd1], [fr1], [go1], [ar1], [dj1], [bo1], [ud1]. |
1.0 | Patrick Gross | 10 février 2008 | Première publication. |
1.1 | Patrick Gross | 4 août 2018 | Additions [fs1], [jg1]. |