Un ufologue français a indiqué que vers 1954 ou 1956, en été, à 3 heures de l'après-midi approximativement, un témoin qui a voulu rester anonyme et est désigné comme D.L.V., qui ne tient pas à la publicité et n'en avait jamais parlé jusqu'à ce jour, se trouvait, enfant, sur les pentes du château de Buron, situé à 4 km de Coudes, au nord d'Issoire-63, à mi-chemin à vol d'oiseau entre le château et la rivière Allier.
Comme ses camarades, il participait à un jeu de guerre: un camp avait pris position au pied du château qu'il défendait, l'autre camp dont faisait partie le témoin montait à l'assaut du château. Une demi-douzaine d'enfants grimpaient donc un chemin en regardant vers le château, à leur droite.
Soudain, ils sont tombés en arrêt, stupéfaits, à 25 ou 30 mètres, deux personnages mesurant 0.90 à 1 mètre environ, s'activaient à une besogne peu ordinaire en ce lieu peu fréquenté. Ils portaient un scaphandre argenté brillant. Leur tête était enveloppée dans un casque énorme. De 50 centimètres de diamètre environ, ce casque était muni d'une visière circulaire plate, à la manière d'un casque anglais, mais plus large. Ce casque semblait de même nature que le scaphandre. Le témoin n'a pas distingué de visage, un reflet à cet endroit, un peu plus luisant que le reste du scaphandre, était son seul souvenir.
Près des deux petits êtres, se trouvait une caisse rectangulaire sans couvercle, qui semblait être faite de la même matière que les scaphandres. Les personnages prenaient des pierres sur un pan de mur écroulé fait de pierre sèches, du basalte commun dans la région. Les pierres qu'ils choisissaient pouvaient peser entre 1 et 2 kg, ils les prenaient à deux mains, faisaient quelques pas très lentement, les déposaient dans la caisse en se courbant sans plier les membres inférieurs, et retournaient au tas de cailloux.
Après deux minutes environ d'observation, l'un des jeunes garçons a été pris de panique, s'est sauvé, et les autres ont immédiatement suivi. Les personnage n'avaient prêté aucune attention aux enfants.
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[Ref. er1:] R. EYRAUD:
Un atterrissage méconnu dans le Puits-de-DômeEnquête de R. Eyraud Vers 1954 ou 56, en été, à 3 heures de l'après-midi approximativement, Monsieur DLV (ne tient pas à la publicité, il n'en a jamais parlé jusqu'à ce jour) se trouve sur les pentes du château de Buron, situé à 4 km de Coudes, au nord d'Issoire-63, plus exactement à mi-chemin à vol d'oiseau entre le château et la rivière Allier. C'est un jeudi; comme ses camarades, il participe à un jeu de patronage: un camp pris position au pied du château qu'il est chargé de défendre, l'autre camp dont fait partie le témoin, monte à l'assaut du château. Une demi-douzaine d'enfants grimpent donc un chemin et regardent vers le château, à leur droite. Soudain, ils tombent en arrêt, stupéfaits, à 25 ou 30 mètres, deux personnages mesurant 0,90 à 1 mètre environ, s'activent à une besogne peu ordinaire en ce lieu peu fréquenté. Ils sont habillés d'un scaphandre argenté brillant. Leur tête est enveloppée dans un casque énorme. 50 centimètres de diamètre environ, ce casque est muni d'une visière circulaire plate (à la manière d'un casque anglais, mais plus large), le casque semble de même nature que le scaphandre. Le témoin ne distinguera pas de visage, un reflet à cet endroit, un peu plus luisant que le reste du scaphandre est son seul souvenir. Près des deux nains, se trouve une caisse rectangulaire sans couvercle, elle semble être faite de la même matière que les scaphandres. Les personnages prennent des pierres sur un pan de mur écroulé fait de pierre sèches ( du basalte commun dans la région). Les pierres qu'ils choisissent pourraient peser entre 1 et 2 kg, ils les prennent à deux mains, font quelques pas, les déposent dans la caisse en se courbant (sans plier les membres inférieurs) et retournent au tas de cailloux. A cette vision fantastique s'ajoute le fait que les personnages se meuvent très lentement. Un peu comme s'ils étaient soumis à une pesanteur difficile à supporter pour eux, "comme dans un film au ralenti" précise le témoin. Après deux minutes environ d'observation, l'un des jeunes garçons sera pris de peur et fuira, les autres suivront immédiatement. Monsieur DLV ne peut préciser si une force extérieure les a empêché d'approcher, si ce n'est la stupéfaction, ils n'ont rien ressenti et les nains ne les ont peut-être pas aperçus. Les témoins n'ont pas vu d'appareil au sol, ni dans le ciel, il est vrai que le pré qui servait de théâtre à cette tâche insolite était bordé de bosquets. Après 12 ou 14 ans, nous avons retrouvé l'endroit exact de l'observation (bien qu'un peu plus feuillu), nous avons pris deux photos et prélevé deux échantillons sur le mur écroulé. |
[Ref. ld1:] MAGAZINE "LUMIERES DANS LA NUIT:"
Ce magazine indique que le 5 novembre à Buron-Yronde, deux personnages ont été vus collectant des pierres, et qu'une enquête a été menée par M. Eyraud, un rapport étant publié dans "Lumières dans la Nuit" N. 98.
Le magazine a situé le département comme "54 ou 56", probablement suite à l'erreur sur le nom de la localité qui est Yronde-et-Buron et non Buron-Yronde.
[Ref. fr1:] MICHEL FIGUET ET JEAN-LOUIS RUCHON:
Les deux auteurs indiquent qu'en 1954 ou en 1956, en été, en France au Château de Buron, vers 15 heures, M. Div et 6 autres enfants participaient à un jeu de patronage et grimpaient un chemin entre le château de Buron et la rivière Allier.
A 25 ou 30 mètres, deux petits personnages, de 90 centimètres à 1 mètre environ, habillés de scaphandres argentés brillants, la tête enveloppée dans un énorme casque de 50 centimètres de diamètre environ de la même matière, muni d'une visière circulaire plate, s'affairent sur un pan de mur écroulé, fait de pierres sèches (basalte). Ils choisissent des pièces de 1 à 2 kg, les prennent à deux mains, font quelques pas et les déposent dans une caisse en se courbant, sans plier les jambes. Puis il retournent au mur. Ils se meuvent avec lenteur.
Après deux minutes d'observation, l'un des jeunes garçons pris de peur s'enfuit. Les autres suivent immédiatement.
Les auteurs notent que c'est l'un des rares cas d'êtres sans OVNI, et que la source est Lumières Dans La Nuit, N.98, page 5.
[Ref. js1:] JEAN SIDER:
L'auteur français Jean Sider fournit le texte par M. Eyraud, sauf qu'il orthographie "Eraud" et situe le cas en 1954 au lieu de 1954 ou 1956. Il indique que la source est la page 5 de LDLN #98.
Il reprend un dessin paru dans cette source, réalisé par Fernand Lagarde et appelé interprétation graphique.
[Ref. ar1:] ALBERT ROSALES:
Albert Rosales indique dans son catalogue que près de Coudes, France, en été 1955, à 15:00, D. L. V., alors un garçon, était en-dessous du château de Buron avec plusieurs autres garçons quand ils ont vu, à pas plus de 30 mètres de loin, 2 êtres de 3 pieds de haut en "costumes de plongeur" brillants, et portant d'énormes casques environ 18 pouces de large. Ces casques avaient des bords circulaires plats, comme des casques de la Ière guerre mondiale. Aucune caractéristique n'était visible. Près des nains était une boîte métallique carrée sans couvercle, et ils prenait des pierres d'un mur sec en pierre sec cassé et les mettaient dans cette boîte. Leurs mouvements étaient très lents, comme s'ils pesaient beaucoup. Les garçons ont observés pendant environ 2 minutes avant de se sauver en courant. Aucun OVNI n'a été vu.
Albert Rosales indique comme sources R. Eraud, FSR Vol. 4, #6, et Humcat 1955-12.
Nous avons là un cas particulièrement lamentable.
Tout d'abord, il n'y a aucun OVNI. Parler "d'atterrissage" n'a ici absolument aucun sens, et relève de la volonté de croire de l'enquêteur.
Ensuite, je n'ai rien trouvé de sûr à propos de la date. L'enquêteur aurait-il simplement souhaité ajouter cette affaire à la vague de 1954? Comment se fait-il que le cas soit daté du 5 novembre 1954 par les uns alors que le rapport apparemment initial note "1954 ou 1956 en été"? Nous verrons plus loin que l'été est bien plus probable que le mois de Novembre.
Ce qui est limpide par contre est la description par le témoin, qui était un enfant à l'époque des faits.
Il y a des personnages étranges, en blanc, avec des casques, de même apparence matérielle que leur tenue, le haut étant décrit avec ce détail très important: en forme de casque anglais. Il y a cette boîte, et ces choses plates qui y sont mises. L'enquêteur, le témoin, ont probablement associé ces choses plates aux pierre plates d'un mur, mais ces choses plates sont peut-être simplement posées contre ce mur.
Il y a le mouvement lent des personnages, qui suggère à l'enquêteur qu'ils ne sont pas habitués à la gravité terrestre.
En fait, tout devient assez simple et tout à fait conforme au récit si l'on pense à des apiculteurs:
Apiculteurs en action:
Le casque anglais:
Id: | Sujet: | Sévérité: | Noté le: | Soulevé par: | Noté par: | Description: | Proposition: | Statut: |
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1 | Données | Grave | 11 février 2008 | Patrick Gross | Patrick Gross | Aide nécessaire. | Ouvert. |
Confusion probable, apiculteurs.
* = Source dont je dispose.
? = Source dont l'existence m'est signalée mais dont je ne dispose pas. Aide appréciée.
Auteur principal: | Patrick Gross |
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Contributeurs: | Aucun |
Reviewers: | Aucun |
Editeur: | Patrick Gross |
Version: | Créé/changé par: | Date: | Description: |
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0.1 | Patrick Gross | 11 février 2008 | Création, [re1], [ld1], [fr1], [js1], [ar1]. |
1.0 | Patrick Gross | 11 février 2008 | Première publication. |